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Résumé
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Mémoire de fin d’étude 2012
INTRODUCTION
Situé au cœur de Casablanca, le grand port est considéré un véritable levier de la croissance
économique que ce soit à l’échelle régionale ou nationale. En effet, plusieurs atouts confirment
l’importance économique dont il jouit, et eu égard à sa position géographique au carrefour des
grandes lignes de transport maritime, ses possibilités nautiques, son extraordinaire faculté
d'adaptation aux techniques modernes de transport maritime et de manutention, et les infrastructures
de transport terrestre et aérien qui le desservent, l’Agence Nationale des Ports est consciente du
volume du trafic enregistré, allant du port vers les différentes destinations, de cet effet elle prévoit
l’extension de la voie de la desserte Nord du grand port de Casablanca afin de :
Notre travail s’inscrit dans ce cadre et en particulier Extension des ouvrages de rejet en mer au niveau de
la zone d’extension de la desserte routière nord du port.
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Mémoire de fin d’étude 2012
Contenu
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Mémoire de fin d’étude 2012
I. Présentation du projet
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Mémoire de fin d’étude 2012
Sur le plan administratif, la zone concernée par le projet est toute la région du grand Casablanca, mais les
zones concernées par la réalisation sont les arrondissements de Sidi Belyout et Ain Sebaa.
Le projet longe une partie de la côte de la ville de Casablanca, qui abrite de multiples aménagements
côtiers (dépôts, industries, commerces, équipement de loisir et de plaisance, etc.).
Le projet s’insère en grande partie dans le domaine public maritime, à part la zone du raccordement où se
trouvent quelques terrains à exproprier.
L’ensemble de l’emprise sollicitée pour la réalisation du présent projet revient au domaine public
Maritime, mis à part le tronçon du raccordement avec le boulevard Moulay Slimane, ou il s’agit des
terrains privés.
La zone est couverte par le schéma directeur d’aménagement urbain qui est régi par les dispositions du
dahir portant loi N° 1-84-17 du 25 janvier 1984.
Il est signalé dans le SDAU que la zone du projet abritera l’extension du port de Casablanca jusqu'à la
porte d’Oukacha, et une requalification de la façade maritime d’AinSebaa.
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Mémoire de fin d’étude 2012
Le port de Casablanca est l'un des plus grands ports artificiels au monde et le plus grand port de l'Afrique
du nord. Il constitue aussi la plus grande base navale de la Marine Royale.
Situé au centre de la façade Atlantique à 33° 36' Nord et 7° 37' Ouest, le port de Casablanca est à vocation
de commerce, minéralier, céréalier, de pêche et de plaisance touristique.
Avec 54% du trafic portuaire national, il est le premier port du Maroc. Il traite plus chaque année plus de
20 millions de tonnes de marchandises et 8500 000 conteneurs (trafic de l’année 2011)
Élaboré juste avant la première guerre mondiale, le projet portuaire de Casablanca offre l’exemple d’un
port modulable, c’est à dire ouvert à tout aménagement qui serait rendu nécessaire par l’accroissement des
trafics ou par des innovations techniques.
Une analyse du trafic actuel et des projections à des horizons de 10 ans a montré qu’une extension de la
desserte doit être réalisée.
Ci-après l’évolution projetée du trafic journalier du poids lourd PL généré par le port :
Années 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020
Trafics PL (à 4%) : 4 759 5 136 5 547 5 908 6 327 6 785 7 285 7 832 8 431 8 931 9 464 10 031 10 636 11 281
Trafics PL (à 6%) : 4 759 5 209 5 700 6 235 6 761 7 336 7 964 8 651 9 403 10 064 10 771 11 528 12 339 13 207
Moyennes : 4 759 5 173 5 624 6 072 6 544 7 061 7 625 8 242 8 917 9 498 10 118 10 780 11 488 12 244
D’après le tableau ci-dessus, Le trafic moyen projeté à l’horizon 2020 est de 12244 PL/jr.
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Deux types de variantes ont été étudiés pour réduire l’impact sur les infrastructures routières, et
notamment de créer une desserte de 2x2 voies et de 2x3 voies.
L’analyse du trafic projeté a montré qu’une desserte de 2x2 voies est suffisante à l’horizon 2020, mais la
variante de 2x3 reste meilleure pour absorber le flux de pointe.
Il évolue en passant par une jetée de l’ONE au PK 1+380. Il est prévu de construire un parking d’une
longueur de 250m entre le PK 1+750 et PK 2+000.
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Après concertation avec les différents intervenants par rapport au point de raccordement. L’ANP a opté
pour un choix de tracé qui prendra fin à un carrefour à 5.5 Km du point de départ
La solution technique de raccordement est un ouvrage d’art qui fera l’objet d’une étude spécifique.
Point d’arrivée
o Terre-plein central : 1 m
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- On a un aménagement de chaussée de 2x3 voies. 50 % du trafic lourd sera supporté par la voie lente, le
reste sera réparti entre la voie médiane et la voie rapide.
- Le trafic exprimé sur les 2 sens est supposé équilibré entre ces deux sens.
Le taux de croissance du trafic poids lourd est de 6% et le taux de croissance du trafic des conteneurs entre
2015 et 2030 est de 8%. Aussi un taux de croissance de 7% prenant en compte les deux types de trafic.
1.13 Température
1.14 Plate-forme
- La structure de chaussée sera réalisée sur un terrain entièrement remblayé.il est exigé pour le remblai à
utiliser comme sol support, un matériau insensible à l’eau (par exemple des quartzites, des calcaires ou des
graves alluvionnaires).
- il est exigé aussi pour le matériau de remblai un indice CBR minimale à court terme de 15 %.
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La liste exhaustive des données reçues de l’ANP est présentée comme suit :
Le Maître d’ouvrage nous a transmis une note présentant les aménagements existants et projetés
par Lydec ainsi que les dispositions générales à prendre en compte dans le cadre de l’étude au
niveau de l’emprise du projet d’extension de la desserte du port de Casablanc
Dans cette note, la LYDEC a insisté sur la préservation de la capacité d’évacuation par
temps de pluie des collecteurs existants qui seront impacté par ce projet.
De même Lydec, a précisé dans cette note les diamètres recommandé dans le
prolongement des rejets existants correspondants aux pentes adoptés afin d’éviter toute
augmentation importante du niveau d’eau dans les collecteurs.
Lydec, Nous a donné aussi les nouvelles emprises et ouvrages à prévoir au niveau
de la desserte.
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o Apprécier la nature des bassins versants (aptitude au ruissellement, nature des écoulements…)
;
o Relever les éventuelles contraintes hydrauliques qui peuvent avoir un impact sur
l’aménagement;
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Le levé topographique des rejets enterrés a été difficilement réalisé vue la nécessité des travaux de
terrassement pour arriver aux cotes radier des ouvrages
Un relevé du regard situé avant chaque rejet : côte radier, côte tampon, dimensions intérieurs et
extérieurs…etc.
Un relevé des ouvrages de rejet : Côte radier ,Côte tampon, section de l’ouvrage , épaisseur
des parois, dimensions des têtes des rejets
Le levé de l’emprise de l’extension des rejets sur une bande d’une largeur de 20 à 40 m jusqu’à
la cote –2.00 NGM
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Collecteur Gergovie 2 :
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Collecteur Olivier :
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Collecteur Afriquia : ce collecteur est un ouvrage privé, dont le but est de drainer la nappe sous les
réservoirs de stockage d’hydrocarbures d’Afriquia Gaz.
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Trop plein :
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REJET 1.70 m
AFRIQUIA
299244.30 337197.39 5.75 1.79 299233.58 337211.26 3.00 1.40
X 1.30
Entre
2.25 à
TROP 2.50 x 2.50 m
PLEIN
299654.04 337273.41 299651.04 337279.85 3.05
0.80
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Suite aux différentes notes techniques transmises par la LYDEC, le Schéma Directeur
d’Assainissement du réseau du Grand Casablanca dont la mise à jour est en cours de réalisation
prévoit de créer un collecteur de rejet des eaux pluviales en mer.
Une réservation devra donc être réalisée dans le cadre de la desserte Nord pour la réalisation de ce
collecteur :
La Localisation de collecteur dans l’emprise du projet de la desserte du port de
D’après la LYDEC cet ouvrage de rejet projetée devra avoir les caractéristiques géométriques
minimales suivantes :
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Le dimensionnement d’un ouvrage hydraulique consiste à analyser sa capacité d’évacuation des eaux de
ruissellement d’un côté à l’autre de la route.
La méthode utilisée pour le dimensionnement hydraulique des ouvrages hydrauliques est celle développée
ci-dessous.
3.1 Généralités :
Une route, qu'elle soit en remblais ou en déblais, subit des risques graves d’érosion dus aux eaux de
ruissellement.
Ces fossés concentrent toutes les eaux de ruissellement ayant une action directe sur la route, qu’elles
proviennent des impluviums extérieurs ou bien de la plate-forme routière proprement dite et des talus
attenants.
Les dispositions sont très spécifiques suivant la topographie, mais en général, il est conseillé de mettre
systématiquement des fossés extérieurs
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Aussitôt qu'il y a un impluvium amenant des débits non négligeables au pied de la route. On décharge
ainsi les fossés latéraux de ces apports, on évite leur comblement en diminuant les dépôts solides et on
réduit les risques d'obstruction des ouvrages de décharge par le charriage solide (branches, détritus divers).
En terrain meuble non cohésif, les fossés peuvent être revêtus pour éviter les affouillements ; compte tenu
du coût de ces canaux, les profils trapézoïdaux dits économiques sont parfois utilisés, ils sont tels que l‘on
a le maximum de section d’écoulement pour une longueur de revêtement donnée (périmètre mouillé).
Les dimensions peuvent être très variables, notamment pour les fossés extérieurs qui peuvent être amenés
à véhiculer des débits importants.
Pour les fossés latéraux, on ne dépasse pas en général une profondeur de 0,60 m pour des problèmes de
sécurité à moins que des dispositifs spéciaux (glissières...) ne soient mis en place.
Fossés extérieurs ou fossés latéraux doivent comporter les ouvrages de décharge en nombre suffisant :
pour éviter les débordements de Peau quand les débits dépassent la capacité des fossés
intéressés;
ou bien pour que les vitesses d’écoulement dans les fossés non revêtus n'atteignent pas les
limites d’affouillement des terrains traversés.
Les ouvrages de décharge peuvent ainsi être des ouvrages sous chaussée ou bien des ouvrages divergents,
selon la topographie du la zone traversée.
Ils sont placés aux endroits où la longueur critique des fossés est atteinte.
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3.2.1 Climatologie
La région de Casablanca se situe à proximité immédiate de l’Océan. Son relief est à peu près
négligeable en ce qui concerne l’influence possible sur la climatologie. Les températures son
modérées dans les zones proches de l’Océan, plus contrastées à l’intérieur. Les pluies tombent
régulièrement en automne et en hiver ; une longue saison sèche s’étend au printemps et en été. Les
sécheresses catastrophiques sont rares, mais le total pluviométrique ne correspond pas partout aux
besoins minima des cultures. Les précipitations occultes sont d’un secours sensible à la végétation
jusqu’à de grandes distances de la cote et atténuent les effets de l’aridité.
Le Sahel aurait un climat littoral modéré tandis que la plaine de Chaouia-Ouardigha se placerait dans
le climat semi-continental chaud.
Casablanca possède un climat méditerranéen à forte tendance océanique qui est particulièrement
agréable. Il est caractérisé par des hivers doux et humides, ainsi que des étés relativement
tempérés et l'humidité des étés est comprise entre 48% et 85%
Le courant froid de l'océan atlantique, qui borde la côte occidentale de la ville, modère les
températures de manière à les rafraîchir tout au long de l'année. La température moyenne annuelle de la
ville est de 15,4 °C.
Pendant l'été, les chaleurs qui dépassent 30 °C sont très rares ainsi que les canicules. Pendant l'hiver,
le gel est rarement existant et, les courtes averses fréquentes. A Casablanca le record de froid a été le
14 janvier 1912 avec -9 °C et le record de chaleur le 1er juillet 2011 avec 40 °C.
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Mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température
5 7 8 11 14 17 20 21 18 10 8 7 12,1
minimale moyenne (°C)
Température
14 15 18 19 20 23 26 25 20 16 16 15 18,9
maximale moyenne (°C)
Source : Site the Weather Network statistiques sur 5 ans 2005-2010 consulté le 5 janvier 2011
La saison sèche s’étend de juin à septembre, tandis que la saison humide couvre en moyenne la
période d’octobre à Mars. Les pluies génératrices des grosses crues proviennent de la succession à
intervalles réduits de plusieurs perturbations d’Ouest.
La zone est dominée par des petits bassins versants dont les cours d’eau convergent directement vers
l’océan ou vers le réseau d’assainissement urbain existant.
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Le réseau hydrographique au niveau du terrain du projet se caractérise par un relief un peu prés
négligeable limité par une zone industrielle coté terre.
L’objectif principal est de protéger et d’assurer la pérennité de la route projeté par la mise en place d’un
système d’assainissement extérieur et le rétablissement de tous les écoulements naturels par la mise en
place des ouvrages hydraulique.
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L’évaluation des apports hydrauliques des bassins versants projetés par la création de la voie et des
nouvelles plateformes limitrophes (débits de pointe) en tenant compte du profil en long de la route est des
ouvrages d’assainissement correspondants (caniveau, fossé..) ont montré que le drainage de ces bassin
versant sera acheminé vers le rejet Gergovie et le Délestage de la zone basse de AIN SEBAA.
L’étude hydrologique va se baser sur le plan de délimitation des bassins versants établi lors des études
antérieures (Voir annexes).
Différentes méthodes sont utilisées pour l’évaluation du débit pluvial. Dans notre travail nous considérons
la méthode la plus utilisée :
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L'expression littérale du débit provenant d'un bassin versant urbanisé pour une fréquence
« F » donnée a été établie à partir des travaux de M. Caquot. Les études les plus récentes,
Confirmées par des vérifications expérimentales, ont permis de fixer la valeur numérique des
coefficients de cette expression.
La formule superficielle du débit de fréquence de dépassement « F » prend l'aspect suivant :
Qp =K*C^u*I^v*A^w
Dans laquelle les divers paramètres sont des fonctions de a (F) et (ou) de b (F) qui sont eux-
mêmes.
Les paramètres de la relation.
i(t.F ) a( F )tb( F )
Où :
i (t, F) : est l'intensité maximale de la pluie de durée t, de fréquence de dépassement F, i est
exprimé en millimètres par minute et t en minutes est compris entre 5 minutes et 120 minutes.
Q (F) : est le débit de fréquence de dépassement F exprimé en mètres cubes par seconde
I : est la pente moyenne du bassin versant (en mètres par mètre).
Cr : est le coefficient de ruissellement
A : est la superficie du bassin versant (en hectares).
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Mémoire de fin d’étude 2012
Cette formule est valable pour des bassins versants d'allongement moyen « M= 2»
Evaluation de la pente :
Pour un bassin urbanisé dont le plus long cheminement hydraulique « L » est constitué de
tronçons successifs «LK» de pente sensiblement constante « IK », l'expression de la pente
moyenne qui intègre le temps d'écoulement le long du cheminement le plus hydrauliquement
éloigné de l'exutoire (ou temps de concentration) est la suivante
2
L
I
LK
IK
Zone d'urbanisme Cr
Habitations très denses 0,9
Habitations denses 0,60…..0,70
Habitations moins denses 0,40…..0,50
Habitations quartiers résidentiels 0,20…..0,30
Square, jardins, prairies 0,05….0, 20
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Zone d'influence Cr
Surface totalement couverte 0,90
Trottoirs avec pend de joints 0,85
Trottoir avec joints cimentés 0,75…….0, 85
Surface goudronnée 0.25…….0, 60
Chemin en gravier 0,10…….0, 20
Gares, terrain de sport 0,10…….0, 30
Jardin, gazon 0,05…….0,25
Forêt 0,01…….0, 02
Cœfficient de ruissellement en fonction des caractéristiques des zones d'influence:
20 0.20
30……………60 0,20………0,25
60…………..150 0,25………0,30
150………….200 0,30………0,45
200………….300 0,45………0,60
300………….400 0,60………0,80
400………….600 0,70………0,90
600………….700 0,70………0,90
Coefficient de ruissellement en fonction de la densité de la population:
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Paramètres Ae
Ceq Ieq Meq
Equivalents q
N
Ci Ai
2
N
Li
N
Bassins N i 1N
N i 1 Li
Ai
Ai
Li
i 1
En série i 1
i 1
( Ii )
N
i 1 Ai
i 1
N
Ci Ai
2
N
IiQi
N
Bassins Ai i 1N
i N
1
L(Q pjMAX )
En parallèle
i 1
Ai
Qi
N
Ai
i 1
i 1
i 1
Li : pente du tronçon i ;
Qi : débit du tronçon i ;
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Remarque :
La formule de Caquot est donnée pour M=2 et pour des valeurs de M≠2, le débit
de pointe donné par la formule doit être corrigé par m. Q ( f ) c o r r i g é = m Q ( f )
Avec :
m = coefficient (correcteur) d’influence donnée par l’expression suivante :
0 ,84.b ( f )
M
m ( ) 1 0, 287.b ( f )
2
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L
M : coefficient d’allongement M =
A
L : longueur du plus long parcourt hydraulique en (m).
A : surface du bassin considéré en (m²).
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Avec :
K : Coefficient caractéristique
A : Surface du bassin versant (ha)
I : Pente moyenne du bassin versant (ha)
C : Coefficient de ruissellement
Qp : Débit brute
L : Longueur du bassin versant en hectomètre (1hm=100m)
M : Coefficient d'allongement du bassin
m : Coefficient d'influence
Qc : Débit corrigé
BV : Bassin versant
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Mémoire de fin d’étude 2012
u v w Montana(a) K Montana(b)
1.220718 0.3153115 0.7697726 4.209 0.9840615 -0.63
BV6 4.5065 0.9 0.97% 1018.64 0.639262033 4.798450713 0.568162537 0.363204738 363.20
A1 13.7987 0.9 0.002 1818.92 0.919528569 4.896598689 0.560779301 0.515652588 515.65
Parallèle BV6//A1 A2 18.3052 0.9 0.005182173 1818.92 1.543191669 4.2513 0.61437855 0.948103863 948.1038629 948.103863
BV10 1.4664 0.9 0.20% 258.63 0.16372901 2.13576111 0.95846054 0.15692779 156.93
BV11 0.1657 0.9 1.10% 65.82 0.05231784 1.61695012 1.14722268 0.06002021 60.02
Série BV10-BV11 A3 1.6321 0.9 0.002561433 324.45 0.192219245 2.539653084 0.85699977 0.164731848 164.7318483 164.731848
BV12 2.3795 0.9 0.11% 243.47 0.19682978 1.57834741 1.16527091 0.22936002 229.36
A3 1.6321 0.9 0.00256143 324.45 0.19221924 2.53965308 0.85699977 0.16473185 164.73
Serie BV12-A3 A4 4.0116 0.9 0.001705561 567.92 0.337877007 2.835491514 0.79811755 0.269665568 269.6655676 269.665568
BV13 3.7617 0.9 0.20% 1335.07 0.33811466 6.88354187 0.45002508 0.15216008 152.16
A4 4.0116 0.9 0.00170556 567.92 0.33787701 2.83549151 0.79811755 0.26966557 269.67
serie BV13-A4 A5 7.7733 0.9 0.001904613 1902.99 0.58213106 6.825489323 0.452494 0.263410813 263.4108127 263.410813
BV14 2.3992 0.9 0.97% 990.41 0.393492104 6.394134838 0.471985147 0.185722429 185.72
A5 7.7733 0.9 0.001904613 1902.99 0.58213106 6.825489323 0.452494001 0.263410813 263.41
Parallèle BV14A5 A6 10.1725 0.9 0.005128107 1902.99 0.978540193 5.9665 0.49356761 0.482975745 482.9757446 482.975745
Rejet Gergovie
BV2 0.5268 0.9 3.00% 215.79 0.174869737 2.973092572 0.774055401 0.135358865 135.36
BV3 12.0002 0.9 0.30% 1226.06 0.938431015 3.539300861 0.691613875 0.649031911 649.03
Parallèle BV2//BV3 A8 12.527 0.9 0.007659271 1226.06 1.303520496 3.4641 0.7012784 0.914130763 914.1307628 914.130763
BV8 0.4613 0.9 3.00% 202.81 0.157880245 2.986053866 0.771883239 0.121865115 121.87
BV9 3.3585 0.9 0.30% 1240.55 0.352115315 6.769266259 0.454918291 0.160183697 160.18
Parallèle BV8//BV9 A9 3.8198 0.9 0.014665917 1240.55 0.641239745 6.3474 0.47422853 0.304094185 304.094185 304.094185
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Mémoire de fin d’étude 2012
Les débits des fossés latéraux sont donnés par la formule de MANNING STRICKLER:
V=
Q = débit en mᶾ/s,
V = vitesse en m/s,
Avec K = coefficient de rugosité de MANNING,
R = rayon hydraulique en m,
I = pente longitudinale en m/m
D’où Q = VS = S
Pour une pente donnée, la vitesse d’écoulement croit avec la hauteur d’eau dans le fossé. Au-delà
d’une certaine hauteur d‘eau, la vitesse de l’eau dépasse la valeur limite qu’un sol meuble peut
supporter sans érosion : il y a attaque du fossé et à brève échéance destruction totale ou partielle de
celui-ci. Pour un type de terrain meuble donné et une pente longitudinale donnée, il y a donc une
41
Mémoire de fin d’étude 2012
capacité limite qu’il ne faut pas dépasser : il y a lieu alors, soit de protéger le fossé (par un
revêtement), soit de changer de type de fossé, soit de l'interrompre et envoyer l’eau vers un
émissaire naturel au moyen d'un ouvrage de décharge (ouvrage divergent ou ouvrage sous-
chaussée par exemple) si le tronçon n’est pas trop en déblais.
Dans notre cas, où les fossés sont bétonnes, les affouillements ne sont pas à craindre. Néanmoins,
les vitesses supérieures à 3,5 m/s sont à déconseiller à cause des débordements dès qu'il y a un
obstacle éventuel dans le fossé (rochers, branchages, etc.).
Ces vitesses fixent par conséquent une capacité maximale pour les fossés revêtus ou non revêtus,
débit à ne pas dépasser pour une pente longitudinale donnée.
La surface mouillée S et le rayon hydraulique R étant fonction de la hauteur d‘eau h, on peut les
éliminer de la formule de MANNING, ce qui permet de calculer la hauteur d’eau dans les fossés
trapézoïdales .Pour les fossés de talus 1/1 on a :
Périmètre mouillé P=L+2 √ h
Avec L : largeur de fossé
42
Mémoire de fin d’étude 2012
h : hauteur d’eau
la section S=L h + h²
Q= S =k ( (L h + h²)
√
on pose :
F(h)=Q’- Q
43
Mémoire de fin d’étude 2012
Nom du Verification
l L H I nature k S P R Ca Qp C utilisé Vp F(h) He Vr
fossé de la
7 53.89 0.50 0.50 0.74% Beton 70 0.50 1.91 0.26 1.26 0.04 2.96% verifée 2.51 0.00 0.07 0.90
8 202.81 0.50 0.50 3.00% Beton 70 0.50 1.91 0.26 2.53 0.12 4.82% verifée 5.06 0.00 0.10 2.13
9 1240.55 0.50 0.50 0.30% Beton 70 0.50 1.91 0.26 0.80 0.16 20.04% verifée 1.60 0.00 0.22 1.03
10 258.63 0.50 0.50 0.20% Beton 70 0.50 1.91 0.26 0.65 0.16 24.04% verifée 1.31 0.00 0.24 0.88
11 65.82 0.50 0.50 1.10% Beton 70 0.50 1.91 0.26 1.53 0.06 3.92% verifée 3.06 0.00 0.09 1.21
12 243.47 0.50 0.50 0.11% Beton 70 0.50 1.91 0.26 0.48 0.23 47.39% verifée 0.97 0.00 0.35 0.79
13 1335.07 0.50 0.50 0.20% Beton 70 0.50 1.91 0.26 0.65 0.15 23.31% verifée 1.31 0.00 0.24 0.88
14 990.41 0.50 0.50 0.97% Beton 70 0.50 1.91 0.26 1.44 0.19 12.92% verifée 2.87 0.00 0.17 1.64
Avec:
l: la longueur en (m)
L: largeur en (m)
h: hauteur en (m)
I: pente
S: section en (m²)
p: perimetre mouillé en (m)
R: rayon mouillé en (m)
Ca: capacité en (m3/s)
Qp: debit pluvial (m3/s)
C utilisé: utilisation de la capacité
Vp: vitesse à plein section en (m/s)
He: hauteur d'eau en (m)
Vr: vitesse reelle en (m/s)
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Mémoire de fin d’étude 2012
Les fossés extérieurs servent à capter toutes les eaux provenant d`un impluvium extérieur et à les
évacuer hors de la zone de la plate-forme routière.
Contrairement aux fossés qui ne reçoivent en principe que les eaux de la plate-forme et zones
afférentes, les fossés extérieurs peuvent drainer, dans certains cas des bassins versants
importants, avant de parvenir à un exutoire naturel ou artificiel. En outre, aucune sujétion
d`emprise n'est, en général, attachée aux fossés extérieurs, Plus de souplesse peut donc être
donnée aux caractéristiques des fossés extérieurs qu’aux fossés latéraux.
à la différence des fossés dont la profondeur ne dépasse pas, en principe, h max = 0,60 m, la
profondeur des fossés extérieurs peut aller jusqu’à 1m : on peut donc, et on a tout intérêt à
dimensionner les fossés extérieurs pour fonctionner à pleine gueule.
Pour un fossé rectangulaire et un coefficient K de MANNING et une pente i donnés K√ est une
constante :
On pose :
la capacité Ca= S
Avec S = L * H
on utilise le solveur d’Excel pour trouver la hauteur H et L largeur au plafond des fossé
45
Mémoire de fin d’étude 2012
avec
cellule variable H et L
contrainte :
Ca < 90%
Elles donnent ainsi, pour un type de fossé rectangulaire, de caractéristiques données, les
capacités maximales à ne pas dépasser Pour un tronçon de voie à assainir, les limites des bassins
versants de ce tronçon étant déterminées, on procèdera par bandes perpendiculaires à la voie, de
largeur augmentant progressivement. Les calculs hydrologiques donneront les apports
correspondants, ce qui permettra de fixer les longueurs maximales du type de fossé donné. Cette
longueur une fois atteinte, on réduira les débits par un exutoire naturel ou artificiel quand cela
sera possible ou on changera de type de fossé de manière à en augmenter la capacité.
La surface mouillée S et le rayon hydraulique R étant fonction de la hauteur d‘eau h, on peut les
éliminer de la formule de MANNING, ce qui permet de calculer la hauteur d’eau dans les fossés
rectangulaires,
on a :
h : hauteur d’eau
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Mémoire de fin d’étude 2012
la section S=L h + h²
Q= S =k ( (L h + h²)
√
on pose :
F(h)=Q’- Q
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Mémoire de fin d’étude 2012
2 215.79 0.50 0.50 3.00% Béton 70 0.25 1.50 0.17 0.94 0.14 14.45% Verifiée 3.75 0.00 0.12 2.27
3 1226.06 0.50 0.50 0.30% Béton 70 0.25 1.50 0.17 0.30 0.65 219.11% Non verifiée 1.18
3 1226.06 0.72 0.68 0.30% Béton 70 0.49 2.07 0.23 0.72 0.65 90.00% Non verifiée 1.49
3 1226.06 0.70 0.80 0.30% Béton 70 0.56 2.30 0.24 0.85 0.65 75.98% Verifiée 1.53 0.00 0.65 1.43
4 225.57 0.50 0.50 0.20% Béton 70 0.25 1.50 0.17 0.24 0.19 79.36% Verifiée 0.97 0.00 0.42 0.91
5 1593.35 0.50 0.50 0.20% Béton 70 0.25 1.50 0.17 0.24 0.49 202.50% Non verifiée 0.97
5 1593.35 0.69 0.66 0.20% Béton 70 0.46 2.01 0.23 0.54 0.49 90.00% Verifiée 1.19
5 1593.35 0.70 0.80 0.20% Béton 70 0.56 2.30 0.24 0.70 0.49 70.22% Verifiée 1.25 0.00 0.61 1.15
6 1018.64 0.50 0.50 0.97% Béton 70 0.25 1.50 0.17 0.53 0.36 68.19% Verifiée 2.13 0.00 0.37 1.94
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Mémoire de fin d’étude 2012
Avec:
l: la longueur en (m)
L: largeur en (m)
h: hauteur en (m)
I: pente
S: section en (m²)
p: périmètre mouillé en (m)
R: rayon mouillé en (m)
Ca: capacité en (m3/s)
Qp: debit pluvial (m3/s)
C utilisé: utilisation de la capacité
Vp: vitesse à plein section en (m/s)
He: hauteur d'eau en (m)
Vr: vitesse réelle en (m/s)
3.4.3 Recommandations
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Mémoire de fin d’étude 2012
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Mémoire de fin d’étude 2012
Le choix de ces solutions doit préserver la capacité d’évacuation par temps de pluie des
collecteurs existants, en tenant compte des contraintes spécifiques au milieu marin.
Du point de vue tracé en plan de l’extension des rejets principaux (Gergovie 2, Olivier,
Afiquia Gaz, Trop plein), il n’y a aucune alternative possible permettant la déviation de ces
rejets, tout en garantissant un rejet en mer supérieur à la cote de la marée moyenne et
en tenant compte de la longueur de prolongement la plus optimale , et de ce fait le
prolongement rectiligne de ces rejets s’avère incontournable.
Du point de vue calage de l’extension des rejets, nous avons identifié une seule variante
possible, permettant un fonctionnement optimal, des rejets projetés.
Cette variante est dictée par le niveau de la marée moyenne de vive eaux qui se situe à la cote
de +2.20m/Zh (+0.03 NGM), et qui consiste à caler l’ouvrage de rejet présentant le cas le
plus défavorable du point de vue calage (rejet Gergovie 2) à la cote +2.20 qui correspond à
la marée moyenne, et remonter en amont avec une pente minimale admissible ( 0.3 % )
jusqu’à atteindre le collecteur déversant.
Pour les autres rejets, Les regards en amont qui présentent des cotes permettant de caler
leurs ouvrages de rejet projetés à des cotes supérieures à la cote de la marée
moyenne de vive eaux, avec la pente minimale admissible de 0.3%, nous préconisons
d’adopter ces cotes pour permettre à ces rejets un fonctionnement optimal.
Les éléments suivants seront pris en compte pour chaque ouvrage de prolongement :
La section,
La pente
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Mémoire de fin d’étude 2012
Et la vitesse d’écoulement.
Pour un dalot rectangulaire et un coefficient K de MANNING et une pente i choisi K√ est une
constante :
On pose :
la capacité Ca= S
Avec S = L * H
on utilise le solveur d’Excel pour trouver la hauteur H et L largeur au plafond des fossé
avec
cellule variable H et L
contrainte :
Ca < 90%
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Mémoire de fin d’étude 2012
La surface mouillée S et le rayon hydraulique R étant fonction de la hauteur d‘eau h, on peut les
éliminer de la formule de MANNING, ce qui permet de calculer la hauteur d’eau dans les fossés
rectangulaires,
on a :
h : hauteur d’eau
la section S=L h + h²
Q= S =k ( (L h + h²)
√
on pose :
F(h)=Q’- Q
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Mémoire de fin d’étude 2012
Nom du dalot Section largeur (m) hauteur (m) pente(%) nature k S(m²) P(m) R(m) Capacité debit Utilisation Vitesse à Hauteur Vitesse
F(h)
simple (m3/s) pluvial(m3/ de la plein d'eau(m) réelle(m/s)
Gergovie 1 1.2 1 0.3000% Beton 70 1.2 3.2 0.375 2.44137607 1.957 80.16% 2.03448006 -6.5783E-06 0.85286689 1.91217804
Nom du dalot Section largeur (m) hauteur (m) pente(%) nature k S(m²) P(m) R(m) Capacité debit Utilisation Vitesse à Hauteur Vitesse
F(h)
simple (m3/s) pluvial(m3/ de la plein d'eau(m) réelle(m/s)
Olivier 1 1.2 1 0.3000% Beton 70 1.2 3.2 0.375 2.44137607 2 81.92% 2.03448006 -2.2633E-05 0.86754777 1.9211238
Nom du dalot Section largeur (m) hauteur (m) pente(%) nature k S(m²) P(m) R(m) Capacité debit Utilisation Vitesse à Hauteur Vitesse
F(h)
simple (m3/s) pluvial(m3/ de la plein d'eau(m) réelle(m/s)
Ifriquia 1 1.3 1.7 0.3000% Beton 70 2.21 4.7 0.47021277 5.22822748 4.5 86.07% 2.36571379 6.2894E-06 1.52458257 2.27048277
Nom du dalot Section largeur (m) hauteur (m) pente(%) nature k S(m²) P(m) R(m) Capacité debit Utilisation Vitesse à Hauteur Vitesse
F(h)
simple (m3/s) pluvial(m3/ de la plein d'eau(m) réelle(m/s)
Trop plein 1 3 2.4 0.4800% Beton 70 7.2 7.8 0.92307692 33.7792764 30 88.81% 4.69156616 0.0006453 2.21993888 4.50462852
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Mémoire de fin d’étude 2012
Le choix des matériaux des collecteurs d’extension peut se faire à partir des 4 matériaux
suivant à savoir :
Collecteurs en PEHD
Collecteurs en PVC
Collecteurs en dalot en BA
Ce type de collecteurs présente une meilleure résistance vis-à-vis de ces sollicitations (charge
et surcharges). Ainsi qu’une facilité d’exécution et de mise en œuvre cependant le prix de
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Mémoire de fin d’étude 2012
Ce type de collecteurs présente une meilleure résistance vis-à-vis de ces sollicitations (charge
et surcharges). Ainsi qu’une facilité d’exécution et de mise en œuvre cependant Le diamètre de
ce type d’ouvrage est limité à 1000.
Ce qui élimine le choix de ce type d’ouvrage dans l’extension des rejets principaux et ils ne
peuvent être adoptés que pour l’assemblage et l’acheminement des petits rejets existants
vers les prolongements sous la voix.
Ce type de collecteurs présente une meilleure résistance vis-à-vis de ces sollicitations (charge
et surcharges). Ainsi qu’une facilité d’exécution et de mise en œuvre cependant Le diamètre de
ce type d’ouvrage est limité à 600 .Ce qui élimine le choix de ce type d’ouvrage.
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Mémoire de fin d’étude 2012
Des regards de visite seront prévus pour la ventilation des égouts et l’accès des engins de
curage à chaque changement de direction et de diamètre.
La distance entre regards successif est de 30 à 50 m.
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Mémoire de fin d’étude 2012
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Mémoire de fin d’étude 2012
Il n’y a pas de règles générales pour concevoir une digue à talus. Tout dépend des conditions
locales, à savoir : les houles, les terrains, les carrières, les conditions économiques et techniques
de construction….
Pour la stabilité d’une digue à talus, on utilise couramment au Maroc la formule de stabilité de
Hudson. Cette formule donne le poids des blocs comme suit :
( )
Avec :
: un coefficient de stabilité ;
La hauteur de la houle de projet est de : =5.3m,et le talus est d’une pente de 3V/4H.de
plus, pour un tronçon courant et une houle déferlante : =7
Poids des tétrapodes est de W=15.85 T, ce qui confirme l’utilisation des tétrapodes T6.3m³ avec
un poids de 15.12T par bloc.
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Mémoire de fin d’étude 2012
6 Conclusion
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Mémoire de fin d’étude 2012
Ce travail de fin d’étude a consisté donc en extension des ouvrages de rejet en mer au
niveau de la zone d’extension de la desserte routière nord du port de Casablanca.
Ce sondage doit être réaliser sur une profondeur de 7 m afin de mieux Apprécier
la nature des matériaux à déblayer.
Ces dimensionnements, quoique faite, ne serait vraiment complète qu’après l’achèvement total
du projet, en raison des imprévus qui peuvent surgir tout au long des étapes de sa réalisation, et
qui risquent d’engendrer beaucoup de modifications, chose qui nécessite de la part de l’ingénieur
un suivi et un contrôle permanents. Ainsi, une bonne coordination entre les différentes entités du
projet (maître d’ouvrage, maître d’œuvre et entreprise d’exécution) est fortement recommandée
pour la réussite du projet.
Pour finir, je suis très être heureux d’avoir pu effectuer ce travail de fin d’études entourés
de personnes compétentes qui ont su me guider dans mes démarches tout en me laissant une
certaine autonomie.
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7 Bibliographie
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8 Annexe :
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