Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
INTRODUCTION
Actuellement tout le monde semble courir derrière le succès. L’on assiste aujourd’hui à
une certaine multiplicité du coté des organisations au sein de l’environnement social, qui dans
le temps n’avaient jamais pris une allure pareille. Aussi différentes qu’elles soient, les
organisations ont pollué la nature que le commun de mortels (les êtres vivants) ne pourrait
échapper à celles-ci. Pour ce faire, il n’ya pas d’autres choix, pour les organisations chacune
en particulier, que de se plonger dans la compétition, une course sans précédent pouvant
rassurer d’une part la réussite et d’autres parts le succès ; et l’émanation de cela est prouvée
au travers des méthodes et des techniques mises bien évidement en place. On observe, ce
faisant, dans la plupart des organisations la pratique de la communication marketing qui a
comme technique privilégiée la publicité, à part laquelle l’on retrouve aussi d’autres
techniques notamment la Promotion de vente, les Relations Publiques, le marketing direct, le
sponsoring et le mécénat (parrainage).1
Les affiches constituent, en effet le propre des entreprises, des institutions, des organismes,
ou des organisations qui peuvent être sous-entendues comme une composition de personnes
ou de groupes de personnes partageants un même code dans le but d’atteindre un objectif bien
déterminé. Au delà de refléter la bonne image d’une telle ou telle autre organisation ou lui
donner une certaine notoriété au près du public, elles sont aussi conçue dans le but d’amener
ce dernier concéder a la politique d’une entreprise tout en posant un pouvoir d’achat aux
produits, pour le cas des entreprises commerciales.
1
David, Cours de Communication Publicitaire, Inédit, L1 C.O, F.S.I.C, UNIGOM, 2017
Page |2
2
Laurent M., Cours de Sémiologie de la Communication, Inédit, L1 C.O, F.S.I.C, UNIGOM, 2017
Page |3
I. APPROCHE THEORIQUE
Le système en soi renferme plusieurs connotations. Néanmoins nous pouvons toutes fois,
à partir de la définition selon laquelle il est un ensemble d’éléments complexes 3, comprendre
ou retenir ce que les éléments assemblés font immédiatement appel à une interaction. C’est
comme autrement dit une structure qui contient des règles diverses conduisant ainsi a son bon
déroulement. Quant à l’icône ou encore signe iconique, est un signe qui réfère à l’objet qu’il
dénote simplement en vertu de ses caractéristiques propres.4
Les systèmes linguistiques s’agissent de tous les éléments ayant trait à la langue et le
langage. Ces derniers, le langage et la langue, permettent en les humains une certaine
interaction. De plus, ils sont comme une courroie de transmission de messages de l’émetteur
vers le récepteur, une fois que l’un arrive à déchiffrer le code utilisé par l’autre. La langue et
le langage sont en soi abstraits quelque part, en ne les utilisant qu’à l’oral. Néanmoins ils
arrivent être dénotés quand ils sont transcrits sous forme des signes, à l’écrit, d’où le binôme
signe linguistique.
La nature contient certaines composantes qui contribuent a son enjolivure. Ainsi nous
trouvons le ciel en bleu et blanc, les feuilles en vert, le sol en noir voire même en jaune pour
les uns et en chocolat pour les autres. C’est ainsi, avec tous ces aspects que le terme
chromatique trouve sa valeur significative dans le contexte dans lequel nous sommes. Au fait
le chromatique est lié aux couleurs.
II. GENERALITE
A présent, voici les composantes de la première fiche constituant pour nous l’objet
d’analyse. Tout d’abord, la fiche est constituée des écrits avec des symboles, des images. Sur
les images nous voyons un homme barbi en chapeau et en lunette, vue claire. Il est habillé en
costume et en chemise, avec une main jointe sur l’autre, ayant une montre sur son bras
gauche. Il est tout à fait concentré, regard fixé sur la machine. Sur la table, l’on y voit un plan
contenant des morceaux de pains, un journal des serviettes en couleurs rouge et beige, aussi,
un verre caché en moitié par une image coupée et en focus. Cela devrait avoir certainement
3
George-Jérémie W. M., Cours de Théorie de la Communication, Inédit, L1 C.O, F.S.I.C, UNIGOM, 2016
4
Laurent M., Idem
Page |4
L’image livre, en effet, le message mais qui peut être compris de différentes façons une
qu’elle n’est pas accompagné des énonces pouvant la définir ou soit l’expliciter d’avantage a
l’énonciataire et lui faire comprendre de ce qu’il s’agit. L’homme devant la machine bien
concentré ne serait-ce que qu’il est entrain de visualiser un film ou lire un travail quelconque.
L’image en soi pourrait rendre confus. Cela peut se justifier par l’affirmation de M. Henri
Besse sur l’image, d’où il dit: « une image n’est pas toujours un signe, bien qu’elle représente
toujours quelque chose d’autre qu’elle-même. On peut s’intéresser aux couleurs, aux lignes
qui la composent, à sa texture, à son monde de production, etc., sans se référer aux réalités
qu’elle est supposée dénoter. Une image est un objet ayant sa propre valeur économique,
esthétique, utilitaire, indépendamment de ce qu’elle représente. Une image ne devient signe
qu’en vertu de la volonté de celui qui la regarde ou du mutuel consentement de ceux qui la
déchiffrent »5
La compréhension de ces images résulte ou peut se justifier par la cohérence qu’elles ont
avec d’autres icônes mentionnées sur l’affiche. « L’œil n’explore pas au hasard la surface de
l’image, il suit de parcours qui obéissent à des règles encore mal connues mais qui ne sont
pas aléatoires. » 6 d’où l’on ne peut rien déconsidérer dans tous ces éléments. Eco Umberto
souligne que : « s’il n’ya pas d’éléments matériel communs, le signe figuratif peut
communiquer au moyen de supports étrangers, des formes rationnelles égales. Mais le
problème est justement de savoir ce que sont et comment sont ces relations, et comment elles
sont communiquées. Si non, toute reconnaissance de motivation ou de spontanéité donné aux
signes iconiques se transforme en une sorte de consentement irrationnel […] »7 par rapport au
signe, nous comprenons de cette affirmation qu’une image retrouve du sens dès lors qu’elle
est rattachée sur des supports étrangers départ lesquels les signes figuratifs sont communs.
5
Henri Besse M., Signes iconiques, signes linguistiques, In : Langue française, n°24, 1974, Audio-visuel et
enseignement du français, pp. 27-54, http://www.persee.fr/doc/lfr_0023-8368_1974_num_24_1_5692, P.28
6
Henri Besse M., Signes iconiques, signes linguistiques, Idem, p.29
7
Eco Umberto, Sémiologie des messages visuels, In : Communications, 15, 1970. L’analyse des images. Pp. 11-
51 ; doi : 10.3406/comm.1970.1213, http://www.persee.fr/doc/comm_o588-8018_1970_num_15_1_1213, p.
15
Page |5
Les signes langagiers sont ici nécessaires et jouent donc indubitablement un rôle important
pour expliquer plus une image.
ECOBANK
Par ailleurs, cette disponibilité qu’annonce le locuteur trouve encore en cohérence à partir
de "la banque partant, 24h/24". Le " partant" veut bien évidemment montrer que l’utilisation
de la banque est aussi possible a partir des outils informatiques machine ordinateur,
Page |6
téléphone, ainsi d’autres à usage de comptes bancaires telles que nous les voyons mentionnées
sur la fiche, en couleur blanche.( qui est une couleur).
L’on notera aussi bien que, l’image de l’homme barbi avait un rapport avec le slogan
même d’Ecobank "La Banque Panafricaine". Il est connu par le commun de montrer dans tout
l’univers entier que le continent le plus par les noirs d’Afrique qu’au-delà même de ce terme
l’on ajoute l’Afrique nègre. Somme toute, l’homme negre lui-même, en râle noire prouve la
panafricanité de la dite organisation, Ecobank.
Pour cette seconde affiche, plusieurs éléments y sont mentionnés justifiant même la
détermination dans le transfert. Nous y voyons donc une bande en couleur bleue, contournée
par la couleur jaune aussi les écrits à l’intérieur étant rapidement transfert. Cette mesure dans
une autre un peu plus large en couleur verte avec des écrits en blanc. Nous y trouvons aussi
deux cercles en vert aussi des écritures étant en couleur blanche. Au-delà de ces signes, nous
rencontrons sur les images le dessin de la carte de la R.D.Congo contourné aussi par la
couleur jaune, d’où le fond est tout en couleur bleue. Nous avons aussi une image montrant un
homme de race noire en pleine course. Dans une position de rapidité. Par ailleurs, le locuteur
utilise une locution de vitesse "Rapid" aussi un certain automatisme lors de transaction par ces
relationnemes verticaux " Envoyez et Recevez" d’où une fonction expressive, laquelle
fonction consiste au message que le locuteur envoie à son interlocuteur.
Par la suite, il se remarque une certaine imposition ou encore une condition sous
laquelle est bute l’interlocuteur pour bénéficier de cette offre que réceptrice. La condition
"Si" appelle l’instance réceptrice à titulariser d’un compte à Ecobank pour ainsi baigne dans
la "Banque par internet".
Page |7
CONCLUSION
Somme toute, l’analyse de notre travail consistant à faire l’étude de système Iconiques
linguistiques et chromatique quelques affiches de Ecobank. Nous devons retenir que toute
organisation dit que le nom, pour plus ou moins qu’elle puisse prévaloir auprès du public ou
avoir une certaine notoriété, elle doit recourir à la politique Marketing en général
particulièrement les relations publiques, la publicité,… Ecobank étant aussi une organisation,
elle a procédé a la production des affiches pour pouvoir le plus informer au public le service
qu’elle met as sa disposition avec toute garantie d’aller une fois être titulaire d’un compte
Ecobank et utiliser la banque par internet.
BIBLIOGRAPHIE
2. Eco Umberto, Sémiologie des messages visuels, In : Communications, 15, 1970. L’analyse des
images. Pp. 11-51 ; doi : 10.3406/comm.1970.1213, http://www.persee.fr/doc/comm_o588-
8018_1970_num_15_1_1213, p. 15
3. George-Jérémie W. M., Cours de Théorie de la Communication, Inédit, L1 C.O, F.S.I.C,
UNIGOM, 2016
4. Henri Besse M., Signes iconiques, signes linguistiques, In : Langue française, n°24,
1974, Audio-visuel et enseignement du français, pp. 27-54,
http://www.persee.fr/doc/lfr_0023-8368_1974_num_24_1_5692, P.28-p29
5. Laurent M., Cours de Sémiologie de la Communication, Inédit, L1 C.O, F.S.I.C,
UNIGOM, 2017