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Rapport de Stage
Rapport de Stage
Rapport de stage
En vue d’obtention du diplôme de License en sciences Economique
Thème :
Année universitaire
2016-2017
Remerciements
3
Sommaire
Partie Théorique
Introduction générale……………………………………………………………...…………...2
Partie Pratique
Section 1 : présentation des deux organismes: Cnep banque et Cardif El Djazair et l’accord de
partenariat…………….…………………………………………...……………………..……24
Conclusion générale……………………………………………………………………...….34
Bibliographie………………………………………………………………………………….36
ANNEXES……………………………………………………………………………………39
4
Introduction générale :
Née en 1965, par les britanniques qui sont considérés comme les pionniers par la création de
la Barclays life. C’est ainsi que, durant les années 80-90, la distribution de produits
d’assurance par l’entremise des guichets bancaires à commencer à se généralisé en Europe , a
eu un tel succès que l’Algérie a décidé de l’adopté par la promulgation de la loi n°06-04 du
26 février 2006, modifiant et complétant l’ordonnance n°95-07, cette réforme vise à renforcer
le secteur d’assurance pour mieux rentabiliser les réseaux d’agences et la stimulation de
l’activité financière des sociétés.
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Chapitre 1 : Cadre conceptuel de la banque et
de l’assurance, et les enjeux de la
bancassurance.
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Introduction :
Dans toute économie, la banque joue un rôle important. Elle est l'une des premières ressources
de financement de l'activité économique, son intervention dans la création d'entreprise
lorsqu'elle est sollicitée.
Pour que la banque joue pleinement son rôle, les reformes à engager doivent impérativement
libérer l'esprit d'initiative des banquiers et raccourcir les délais dans les études des dossiers.
I. La banque
Les banques sont des entreprises dont l’activité spécifique s’exerce dans un cadre complexe,
concurrentiel et règlementé .en effet, une banque est un établissement qui reçoit du public des
dépôts de fonds qu’elle réemploie pour son propre compte en opération de crédits.
Comme toute autre entité économique, les banques sont appelées a assurer la continuité
de l’existence de ses entreprises dans les conditions les plus normal possibles de leur activité,
pourcela, elles sont appelées a être rentable et donc dégager des résultats profitables.
1. Définition de la banque
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dépôts, puis, il va prêter les capitaux ainsi collectés aux agents à besoin de financement en
leur proposant des contrats de crédit.
La banque en tant qu'établissement de crédit est une institution dont le statut et les opérations
relèvent d'une législation spécifique, dite loi bancaire, traitant de la plupart des aspects de
fonctionnement d'une banque et définissant l'activité bancaire.
Les banques non seulement exerce le commerce de l’argent, mais sont également les
organismes qui produisent de la monnaie :
Les banques joue un rôle économique très important dans la société, elle contribue
à orienter l’argent de ceux qui en ont momentanément vers ceux qui ont besoin et
présentent les garanties suffisantes. leur rôle peut être comparé à celui du cœur
humain qui distribue le sang riche en oxygène vers les organes .sans elles, les
marches financiers ne seraient pas capable de transférer les fonds des agents qui
épargnent versceux qui ont des projets d’investissement, par conséquent, leurs
effets sur l’ensemble de l’économie sont importants.
Le rôle primordiale des banques a été souligné par AGLIETTA : les banques jouent un
rôle spécifique dans l’économie monétaire parce qu’elles peuvent fournir aux emprunteurs des
liquidités en gros montant au moment demandé sans que ces liquidités soient prélevées sur
une épargne préexistante.
2. Types de banques
L’ensemble des banques, chapeauté par la banque centrale, forme le système bancaire d’une
zone monétaire.
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De règlementer et de superviser les opérations des différentes banques.
De superviser la production de la monnaie par ces banques, et d’en réguler l’usage par le biais
des taux d’intérêtsappelé taux directeur et d’agir sur l’inflation par le biais la politique
monétaire
Les banques de détail destinées aux particuliers, aux professionnels et aux PME (petite
et moyenne entreprise).
Les banques d’affaire, destinées aux moyennes et grandes entreprises.
Les banques commerciales reçoivent les dépôts et effectuent des prêts, les banques
commercial sont des sociétés dont le capital est détenu par des actionnaires et qui sont
généralement coté en bourse.
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-banques spécialisées dans le financement de l’activité économique particulière (agriculture,
commerce, etc.).
La banque joue un rôle prépondérant dans le développement économique d’un pays, son
intervention a pour effet d’optimiser l’utilisation des ressources et rapprochant l’offre et la
demande, la création de richesse nouvelle, pour agir dans ce sens, les banques, en général sont
autorisées à exercer les activités suivantes :
L’activité principale d’une banque consiste à exercer le rôle d’intermédiaire entre les agents
économiques qui disposent d’un surplus financiers et ceux qui ont besoins d’un financement,
la banque cherche à satisfaire les besoins des agents économiques qu’ils soient des besoins
des capitaux ou de services.
Il faut savoir qu’une banque est mieux placée pour obtenir d’une entreprise débitrice une
information plus complète sur les activités d’une entreprise.
II. L’Assurance
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L’assurance est née à la fin du XVIIème, alors que les connaissances en mathématique étaient
maitrisés (notamment les probabilités).elle s’est développée au XIXème siècle autour des
risques maritimes et de l’incendie, liés à l’activité humaine de l’époque. Elle a connu un essor
fulgurant au XXème siècle et notamment l’assurance de personnes afin de se prémunir des
risques sociaux : baisses des revenus, maladie, invalidité.
Nous avons à étudier dans cette section la définition de quelques termes d’assurance et les
mécanismes fondamentaux utilisées dans ce domaine, second acteur important de la
bancassurance.
1. Définition de l’assurance
Une assurance est un service qui fournit une prestation lors de la survenance d'un risque. La
prestation, généralement financière, peut être destinée à un individu, une association ou une
entreprise, en échange de la perception d'une cotisation ou prime.
D'une manière simple, l'assurance est un contrat passé entre une personne physique ou morale
et une compagnie d'assurance qui la garantit contre les risques éventuels.
L’engagement de l’assureur vis-à-vis des assurés porte sur l’indemnisation des victimes lors
de la survenance des sinistres, grâce aux contributions versées par des personnes physiques ou
morales désireux de prévenir le risque. L’assurance est une activité économique et
socialimportante, par son rôle social et par son influence favorable au progrès économique.
Le premier souci de l’assurance est d’apporté aux hommes cette sécurité dont ils
ressentent le besoin .elle protège contre le risque du hasard qui les menace dans leur
personne et leur donne ainsi confiance dans l’avenir.
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L’assurance permet d’indemniser les préjudicesrésultantde la réalisation des risques.
Grâce à elle l’immeuble incendié sera reconstruit, le véhicule endommagé sera réparé
L’assurance permet de sauvegarder des intérêts patrimoniaux comme la santé, la
capacité de travail.
A côté du rôle social évoqué ci-dessus, l’assurance intervient aussi sur le plan économique,
par la prise en charge des risques. L »assurance encourage les nouvelles idées
d’investissements.
D’autres rôles économiques peuvent être cités à titre d’exemple : la garantie des
investissements.
Il est indispensable de bien comprendre le sens des termes propres à l’industrie des assurances
et dont l’emploi est constant dans cette profession :
3.1. Assuré
C’est une personne a qui est accordée la garantie prévue par le contrat d’assurance, cette
hypothèse est la plus simple car, il est nécessaire de distinguer :
le souscripteur qui signe le contrat et s’engage envers l’assureur t à payer les primes.
l’assuré dont les biens ou la personne sont exposées au risque.
Le bénéficiaire qui recevra s’il survient un sinistre la prestation su par l’assureur.
3.2. Assureur
Nom génétique utilisé dans le langage courant pour distinguer des organismes d’assurance.
Disposant d’un agrément, ces entités produisent les contrats d’assurance. Il existe trois types
d’assureurs : les sociétés d’assurances, les mutuelles et les institutions de prévoyance.
3.3. Bénéficiaire
Personne qui reçoit la rente ou le capital versés par l’assureur, soit au décès de l’assuré, soit
au terme du contrat. En cas de vie, le bénéficiaire est le souscripteur/l’adhérent.
3.4. Garantie
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Couverture d’un risque par l’assureur en contrepartie d’une cotisation.
3.6. Risque
Evénement incertain (qui n’a pas encore eu lieu) affectant une personne, ses biens ou sa
responsabilité. La définition du risque en assurance est différente de celle retenue pour un
placement financier.
3.7. Sinistre
3.8. Dommage
Perte, destruction, atteinte corporelle, manque à gagner. Les dommages peuvent être matériels
(concernant la détérioration, la destruction ou le vol des biens), corporels (concernent
l’intégrité physique d’une personne) ou immatériels (préjudices pécuniaires, privation de
jouissance d’un bien).
3.9 Adhérent
Personne membre du groupe au profit du quel le contrat d’assurance collectif (par exemple
contrat collectif d’assurance-vie, contrat collectif d’assurance emprunteur, contrat collectif
d’assurance santé) est souscrit auprès d’un organisme d’assurance par une personne moral ou
chef d’entreprise qui a la qualité de souscripteur.
Les textes législatifs et réglementaires imposent certains assurances dans l’objectif de garantir
l’indemnisation de victimes ou de leurs biens en cas de survenance d’un sinistre.par exemple,
l’assurance de responsabilité civile est obligatoire pour tout conducteur d’une voiture ou d’un
deux roues.
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4. Typologie des contrats d’assurance
Le contrat d’assurance est une convention passé entre l’assuré et la société. Il se matérialise
par une police d’assurance, ce document est composé au moins des conditions générales et
des conditions particulières.
Le contrat d’assurance doit être prouvé par écrit ; la police d’assurance énonce la date du
jour ou l’assurance est contracté ; le nom de la personne qui fait assurer pour son compte et le
risque que l’assureur prend sur lui et les temps aux quels les risques doivent commencer et
finir.
Se sont les assurances dites de dommage qui couvre l’automobile, les habitations, les biens
professionnels, les biens agricoles, les catastrophes naturelles, la construction, la
responsabilité civile en générale.
Ce type d’assurance protège les équipements contre les risques de dommages involontaires
(accident, incendie).
D’autres assurances couvrent les personnes. On peut les distinguer selon leurs couvertures :
En cas de vie, en cas de décès ou par une combinaison des deux dans les contrats
mixtes, ce des contrats d’assurance et des contrats d’épargne.
En cas de maladie ou en cas d’accident corporel, ce sont des contrats d’assurances
classiques.
Les opérations d’assurance de vie concernant les entreprise qui, sous forme d’assurance
direct, contractant des engagements dont l’exécution dépend de la durée de vie humaine.
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les assurances en cas de décès, de maladie ou d’accident, sont des contrats offrant des
garanties de versement de prestation en cas de survenance d’un risque de décès, d’incapacité
de travail, de maladie ou de perte d’emploi.
Conclusion
Dans ce chapitre on a parlé sur les deux facteurs qui forme la bancassurance, on a énumérer
la définition de l’assurance et les principaux mécanismes fondamentaux de la matière, bien
qu’on a parlé d’une manière générale sur la banque et ses opérations et service multiple , nous
avons constaté que la banque et la compagnie d’assurance jouent des rôles différents dans
l’économie, elles sont complémentaires en produisant des services financiers pour la clientèle,
ce qui a résulté le rapprochement entre les deux secteurs.
Introduction
A cet effet, nous tenterons de présenter dans la présente section les divers enjeux de la
bancassurance.
1. Définition
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Ce nouveau néologisme d’origine française, couvre une large gamme d’accords entre les
banques et les compagnies d’assurance, qui, dans tous les cas, comprend la fourniture de
produits bancaires et assurantiels à la même source ou à la même clientèle.
En général, le terme bancassurance est utilisé pour désigner les efforts des banques pour
pénétrer le marché de l’assurance ; alors que le terme AssurFinance décrit la même approche
mais suivie par les assureurs comme stratégie de diversification vers l’activité bancaire.
2. Origine de la bancassurance
La distinction entre une banque et une société d'assurance relève du passé, l'assurance fait
aujourd'hui partie intégrale du paysage financier. Depuis les années 1970, les banques et les
sociétés d'assurance se sont associées pour créer la bancassurance.
Au début des années 70, les ACM (Assurances du Crédit Mutuel) Vie et IARD en France
obtiennent leur agrément, marquant ainsi l'histoire de l'assurance. L'idée leur est venue de se
passer d'intermédiaire pour l'assurance des crédits emprunteurs, et de devenir eux-mêmes
assureur de leurs propres clients de banque. Ils sont ainsi devenus les précurseurs de ce que
l'on nommera quinze ans plus tard « la Bancassurance ».
De leur côté, les Espagnols se lancent dans la bancassurance au début des années 80, quand
le groupe BANCO DE BILBAO acquiert une part majoritaire de EUROSEGUROS SA (dont
la dénomination originelle est LA VASCA ASEGURADORA SA, constituée en 1968).
Aujourd'hui les cinq premiers bancassureurs espagnols détiennent un tiers du marché (VIDA
CAIXA, BBVA, SHC SEGUROS, ASEVAL, MAPFRE VIDA).
Cependant, d'un point de vue purement historique, les véritables pionniers furent les
britanniques avec la création de Barclays Life en septembre 1965. Cette filiale n'eut pas un
franc succès, tout comme le concept de bancassurance d'ailleurs.
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Ceci nous conduit à conclure que l'Europe est le berceau de la bancassurance, ce qui
explique en partie la dominance des marchés bancassureurs européens.
Les produits distribués doivent être complètement adaptés au réseau bancaire, c'est à dire
synchronisés aux procédures de vente de la banque, qui incuse l'uniformisation des bulletins
d'adhésion, une sélection financière aussi simplifiée que possible et une standardisation de
toutes les transactions. Sans cette recherche de simplification, les réseaux auraient, sans aucun
doute, une grande réticence à proposer indifféremment des produits bancaires et/ou
d'assurance à leur clientèle7.
L'offre des bancassureurs en matière de produits d'assurance était fortement corrélée avec
l'évolution historique de la bancassurance et les stratégies y afférentes. Après un tour
d'horizon de grands bancassureurs à travers le monde, nous constatons que la bancassurance
peut tout vendre, qu'elle n'est pas limitée à une certaine catégorie de produits. Les
bancassureurs ont compris que pour continuer à être performants, ils doivent faire preuve
d'une forte capacité d'innovation.
Nous proposons de classer ces produits selon leur nature. Ainsi, nous pouvons distinguer les
catégories suivantes :
L'assurance vie est une assurance de personnes définie comme étant toute opération
comportant des engagements, dont l'exécution dépend de la vie humaine. Il est à souligner que
la bancassurance vie a très longtemps concentré ses efforts sur la clientèle des banques, à
savoir les particuliers.
Il est vrai pourtant que, du fait de leur nature, proche de l'activité première des banques,
certains produits d'assurance vie ont été largement captés par les banques et sont aujourd'hui
facilement assimilés à la bancassurance. Les formules les plus connus du marché sont :
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Les assurances en cas de vie ou assurance épargne prévoient le paiement d'un capital ou d'une
rente si l'assuré est en vie à une date fixée au contrat.
Les assurances en cas de décès prévoient le plus souvent le versement au bénéficiaire désigné
d'un capital ou d'une rente si l'assuré vient à décéder avant une échéance fixée au contrat. Les
formules les plus courantes sur le marché sont :
a. Vie entière
Garantit le paiement, au bénéficiaire désigné, d'un capital fixé à l'avance, au décès de l'assuré,
à quelque époque qu'il survienne. Cette formule est souvent proposée à des salariés, couverts
pendant leur vie professionnelle par un système de prévoyance sociale.
Garantit le paiement d'un capital au décès de l'assuré, mais à condition que ce décès survienne
avant une date déterminée au contrat. Ce type de contrat est le plus répandu actuellement. Il
est souvent souscrit en cas d'achat à crédit, pour garantir le remboursement du capital restant
dû en cas de décès de l'emprunteur ou comme garantie complémentaire à une couverture
maladie.
Dès les années 1990, le marché de l'assurance de dommages a commencé à être envahi par les
bancassureurs malgré sa rentabilité hypothétique et malgré les risques sur les relations
commerciales avec les clients, car un retard ou un mauvais règlement d'un sinistre peut
s'avérer fatal pour la relation banque/client.
Cette classe de produits est la plus standardisée et la plus simple à vendre par le réseau. Ces
produits sont généralement totalement intégrés à l'offre bancaire et n'ont pour le client pas
réellement une nature d'assurance mais sont considérés plutôt comme un service bancaire
additionnel. Ce sont, par exemple, les assurances liées aux comptes bancaires ou aux cartes de
crédit. En général elles sont automatiquement mises en service avec l'ouverture d'un nouveau
compte bancaire ou d'une nouvelle carte de crédit, elles sont souvent intégrées dans les frais et
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la prime d'assurance est parfois payée par la banque elle-même. Il s'agit alors davantage d'un
outil marketing afin d'inciter un client à ouvrir un compte ou à souscrire une carte de crédit.
Outre les produits d'assurance traditionnels, bancassureurs ont développé des produits
spéciaux afin de satisfaire certains besoins qui émanent de transactions bancaires, ou
d'améliorer certains produits afin de les rendre plus attrayante et utile pour le client.
a. La rentabilité
Au fil des années, les banques se verront confrontées à des défis toujours beaucoup plus
nombreux ; par exemple : la désintermédiation, la maîtrise du risque de crédits, l'émergence
d'autres services concurrents. Le développement des commissions et la maîtrise des frais
généraux demeurent la seule alternative de salut. C'est la raison qui explique la vente des
contrats d'assurance dans les réseaux bancaires.
La banque reçoit de son partenaire assureur, à titre de rémunération pour son rôle de
distributeur, des commissions qui peuvent être un pourcentage de la prime qu'il a touchée ou
une part des résultats techniques réalisés ou, dans certains cas, un dosage des deux.
L'avantage premier de la distribution de produits d'assurance par les banques, par rapport à
d'autres canaux, est la relation avec la clientèle. La fidélisation de la clientèle a un avantage
économique, qui est un besoin universel pour toute entreprise et un argument clé pour la
commercialisation des produits d'assurance.
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Avec l'intégration de la bancassurance, la banque devient une sorte de« supermarché », un
fournisseur unique de services financiers, où le client peut trouver réponse à tous ses besoins,
qu'ils soient financiers ou d'assurance.
Ainsi la banque peut aspirer à une plus grande attractivité du fait de l'élargissement de sa
gamme de produits et peut renforcer la satisfaction et donc la fidélisation de ses clients.
La plupart des stratégies de bancassurance passent, si ce n'est pas par une création d'une filiale
ou une acquisition d'une compagnie d'assurance existante, par des prises de participations
croisées entre une banque et une société d'assurance. Ces investissements en capital
produisent des effets de levier très importants qui confèrent aux deux entités une plus grande
capacité d'élargir leurs activités.
Le choix des canaux de distribution peut procurer un avantage concurrentiel durable car il
constitue le seul élément réel de différenciation des enseignes dans un secteur caractérisé par
la banalisation des produits et par une concurrence des prix encore seulement émergente.
La bancassurance est souvent considérée comme étant plus avantageuse, en termes de coûts,
que les canaux traditionnels des agences et du courtage. L'assureur a l'avantage également de
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la réduction des coûts de distribution par rapport aux frais inhérents aux agents traditionnels
(frais fixes), puisque le réseau de vente est en général le même pour les produits bancaires et
les produits d'assurance. Cette économie de frais a pu être enregistrée de façon notable par
bon nombre de bancassureurs à travers le monde et est ainsi répercutée dans les frais inclus
dans les contrats. Les produits peuvent donc être proposés à un meilleur coût.
c. L'amélioration de la rentabilité
L'assureur a l'opportunité de varier ses modes de distribution, afin d'éviter une dépendance
trop grande à un réseau unique. La diversification permet de limiter les risques. La compagnie
d'assurance impliquée dans la bancassurance verra sa rentabilité s'améliorer ; grâce à
l'augmentation de son volume d'activité et la baisse des coûts de distribution, comme
conséquence directe de l'utilisation du réseau de distribution bancaire.
Le consommateur a une accessibilité plus grande à tous les services financiers, du fait d'une
banque qui propose à la fois des produits bancaires et des produits d'assurance.
Les coûts de distribution étant réduits par rapport à un réseau de distribution traditionnel, le
consommateur peut, la plupart du temps, bénéficier de produits d'assurance à des prix plus
intéressants que dans les réseaux traditionnels (courtier et agent général) et les modes de
règlement des primes sont en outre simplifiés puisque celles-ci sont directement prélevées sur
le compte bancaire.
De plus, la relation privilégiée qui peut exister entre un client et son banquier permet d'obtenir
une meilleure adéquation entre les besoins du client et les réponses qui lui sont apportées.
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Malgré ce qu'a été développé dans le point précédent en termes d'apports de la bancassurance
aux banques, certains inconvénients et limites existent.
Ainsi les contrats d'assurance vie peuvent être achetés en utilisant les fonds détenus dans un
compte à vue auprès de la banque. Certes, l'épargne serait moins volatile puisque les produits
d'assurance vie sont généralement à long terme, mais elle ne figurera plus dans la comptabilité
de la banque; ce qui provoquera, stricto facto, la diminution des capitaux gérés par cette
dernière.
Les banques jouissent d'une bonne image de marque auprès de la clientèle, acquise grâce à la
relation de proximité entretenue par les chargés de clientèle qui fournissent quotidiennement
divers services aux clients à leur charge, allant du simple retrait jusqu'aux crédits immobiliers
les plus importants.
Les banques, soucieuses de la nécessité de sauvegarder leur image et conscientes des coûts
très élevés en matière de dépenses marketing, nécessaires pour acquérir une nouvelle clientèle
déjà bancarisée.
La bancassurance nécessite des efforts de marketing et une force de vente active, la vente de
quelques polices d'assurance vie ne suffit pas pour faire d'une banque traditionnelle un
véritable bancassureur.
Pour obtenir une rentabilité suffisante, l'activité de bancassurance exige des volumes
importants. Ce n'est qu'à partir d'un certain nombre de contrats, détenu dans son portefeuille
que la banque peut rentabiliser sa nouvelle activité.
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Le niveau de connaissances nécessaire pour le personnel banquier pour vendre les produits
d'assurance devient de plus en plus élevé avec la complexité et la sophistication des produits.
Les produits d'assurance vie à dominante financière sont très proches du domaine bancaire et
leur appropriation par les banquiers était très rapide mais les autres produits et surtout les
contrats IARD nécessitent une très bonne connaissance du métier de l'assurance et une
compétence technique de pointe afin de donner des conseils personnalisés sur des produits
complexes.
Par voie de conséquence, ils nécessitent des investissements importants en formation dont
l'amortissement peut s'étaler sur plusieurs années ce qui pourrait alourdir, dans un premier
temps, les charges et affecter la rentabilité de la banque.
Les banquiers et les assureurs travaillent différemment et leur approche client n'est pas
toujours identique. En terme d'approche marketing, les compagnies d'assurance adoptent une
approche Produit alors que les banques adoptent une approche Client.
Les banques visent à attirer une clientèle de jeunes, même peu fortunée, pariant ainsi sur sa
fidélité à moyen terme. Néanmoins cette clientèle n'est pas attirée par l'assurance étant donné
qu'elle est moins averse au risque associé à ce type d'assurance que d'autres groupes d'âge,
elle souscrit notamment l'assurance automobile, où elle souffre d'un taux de sinistralité
beaucoup plus important pour constituer une cible des assureurs.
Toutes les compagnies d'assurance qui travaillent avec le réseau de distribution bancaire dans
le cadre de la bancassurance se plient aux exigences des banques. Ainsi, il y a une forte
dominance du mode de distribution sur le fabricant. La compagnie d'assurance est tenue de
fabriquer des produits selon les exigences et selon les critères arrêtés par son banquier
distributeur. La suprématie de la banque est beaucoup plus grande si la compagnie d'assurance
est sa filiale. Indubitablement, l'activité de la compagnie d'assurance dépend largement de la
politique de la maison mère, sa dépendance serait totale si le réseau bancaire était son seul
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canal de distribution et en cas de rupture avec celui-ci, la compagnie d'assurance perdrait son
seul accès au marché car elle n'a pas de clients mais des assurés.
D'un autre côté, lors de la survenance de sinistres, le banquier a tendance à défendre son client
et essaie toujours de faire payer l'assureur pour éviter des conflits avec son client. Et si le
problème persiste, le banquier déclinera toute responsabilité à l'égard de la tournure qu'ont
pris les choses et n'hésitera pas à mettre tout sur le dos de l'assureur.
c. Le secret bancaire
Jusqu'à ce jour, aucune banque n'est mise en accusation pour non-respect du secret
professionnel lié aux opérations de bancassurance.
Conclusion
Tout au long du premier chapitre, il a été question pour nous d’analysé l’approche théorique
de la bancassurance. Le deuxième chapitre de notre travail sera consacré à l’étude de la
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bancassurance en Algérie. En d’autre terme nous allons présenter les deux organismes :
CNEP-banque et Cardif El Djazair.
25
Chapitre 2 : La bancassurance en Algerie cas de
la CNEP-banque
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Section 1 : présentation des deux organismes :Cnep banque et Cardif El Djazair et
l’accord de partenariat
1.1.Présentation
Outre ses 223 agences d’exploitation et 14 directions régionales réparties à travers le territoire
national, la CNEP-Banque est présente également au niveau du réseau postal pour l’épargne
des ménages
1.2.Historique de la CNEP-banque
· La collecte de l'épargne
· Le financement du logement
· La promotion immobilière
La CNEP a connu diverse changements tant sur le plan statutaire que sur le plan de ses
activités.
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Durant cette période la CNEP s'est assignée comme mission :
- la collecte de l'épargne sur livret pour les ménages (taux d'intérêt de 2.8% jusqu'à 1970)
- l'octroi de crédits pour achat de logement (prêts sociaux) le réseau de collecte de l'épargne
était constitué de deux agences (Alger, Tizi ouzou) qui furent ouvertes au public 1967
La collecte était surtout assurée par le réseau des PTT (575 points de collecte)
- Mise en œuvre d'un nouveau produit d'épargne qui est le compte d'épargne devise
(instruction CNEP N° 08 du moins de mai 1971)
La CNEP a également des produits durant cette période, augmentée le nombre d'agence (120
agence 1988 et 172 en 1996.
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Suite à la promulgation de la loi sur la monnaie et le crédit (loi 90-10 avril 1990) de
nombreux bouleversement ont marqué le système bancaire Algérien qui est désormais livré la
concurrence et donc à la diversification de ses produits.
Ainsi la CNEP a connu depuis 1997 une modification des statuts qui a marqué son passage
d'une caisse chargée de la collecte à une banque exerçant l'ensemble des activités qui lui sont
accordée et présente actuellement le statut juridique de société par action (SPA) au capitale de
14000000 DA divisé en 14000 action entièrement libérés par l'unique actionnaire qui est
trésor public.
- Les crédits hypothécaires prévus par les textes particuliers en vigueur au sein de la banque à
l'exclusion des prêts pour l'achat locaux, la construction, l'extension et l'aménagement des
locaux à l'usage commercial ou professionnel.
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En 2011, repositionnement stratégique de la CNEP-banque, dont l’objectif est de définir le
champ d’intervention de la CNEP-banque en matière de financement. Le crédit aux
particuliers est autorisé :
-le financement des investissements de tous les secteurs d’activité économique y compris le
fonds de roulement nécessaire au démarrage de l’activité.
2. Cardif
Très vite, des accords de distribution ont été signés avec Paribas et le Crédit du Nord. Par la
suite, des partenariats bancaires ont été noués en dehors du groupe d'origine avec des banques,
des sociétés de crédit et des sociétés de grande distribution.
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Cardif est la filiale d’assurance de BNP Paribas, elle distribue et développe ses produits et
services via de multiples partenaires dans plusieurs pays. Spécialisé dans les produits
d’assurance vie et plus largement dans les produits de prévoyance.
Cardif El Djazaïr est une filiale de BNP Paribas Assurance SA. C’est une compagnie de droit
algérien qui a obtenu son agrément le 11 octobre 2006.c’est une société d’assurance
spécialisée dans les assurances de personnes. Elle répond ainsi aux nouvelles exigences
législatives qui prévoient la séparation juridique entre les compagnies pratiquant les branches
d’assurance de personnes des compagnies pratiquant les assurances de dommage.
Elle est spécialisée dans la couverture liée aux crédits ainsi que la prévoyance individuelle :
-prévoyance individuelle
-prévoyance collective
Les premiers produits d’assurance CARDIF El Djazaïr ont reçu le visa du Ministère des
Finances Algérien en février 2007.
Crée en 2003, l’agence est situé au centre-ville de Bejaia (cité Tobal), le réseau de Bejaia
compte neuf (09) agences :
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- L’agence de Tichy (803)
La Cnep-banque bénéficiera d’une double rémunération par son partenaire Français qui lui
versera une commission sur les encaissements des primes d’assurance, et une participation
aux profits réalisés par Cardif avec les clients de la Cnep.
Les produits de bancassurance lancée par la caisse nationale d’épargne et de prévoyance, sont
en nombre de trois(3), le premier destinés aux particuliers qui sont bénéficiaire de crédit
hypothécaire, qui couvre le risque de décès et d’invalidité absolue et définitive
appelé : « Assurance des Emprunteurs »(ADE).
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Pour le deuxième produit appelé « Cnep Totale Prévoyance » (CTP), il garantit au
souscripteur ou à ses ayant droit à un capital choisi sur le contrat d’adhésion et couvre ainsi
les risques décès et invalidité absolue et définitive.
Pour le troisième produit « SAHTI»(ma santé), lancée en 2013, SAHTI est un produit
d’assurance santé qui garantit le versement d’un capital a l’assuré en cas de diagnostic d’une
maladie (cancer) avec une indemnisation journalière en cas d’hospitalisation.
L’agence Cnep-banque 802 ou nous avons effectué notre stage propose ces trois produits, A
côté de ces produits, la Cnep-banque envisage de commercialiser u autre produit qui est
« assurance voyage». Dans ce qui suit nous allons définir ses produits ainsi que les conditions
et modalité d’adhésion de chaque produit d’assurance.
La production du réseau de Bejaia par année et en nombre pour chaque produit pendant les
trois dernières années est comme suit :
Est le produit de Cardif qui garantit le paiement à la CNEP banque du montant du capital
restant dû de l’emprunt conformément au contrat d’assurance signé entre l’assureur et
l’assuré, à la date de l’évènement couvert.
33
Ces deux formules couvrent :
L’emprunteur principal.
Le co-emprunteur.
1.1.1 condition et modalité d’adhésion
condition d’adhésion
pour pouvoir adhérer a ADE, le client demandeur devra être âgé entre dix-neuf (19) ans au
moins et de soixante-dix (70) ans au plus a la date de signature de la convention de prêt.
La procédure d’adhésion à l’ADE doit être enclenchée dès la réception du dossier du crédit,
afin de respecté les délais de traitement définis par la réglementation de la banque.
Elle obéit a des conditions qui varient en fonction du montant du crédit sollicité par le client
après simulation.
Est un produit d’assurance santé qui garantit le versement d’un capital a l’assuré en cas de
diagnostic d’une maladie (cancer) avec une indemnisation journalière en cas d’hospitalisation.
La formule individuelle
Cette formule garantie le versement d’un capital de 500000.00 DZD en cas de maladie
aggravé (cancer) pour l’assuré.et le versement d’une indemnité journalière de 3000 DZD par
jour pour maladie ou accident. Limité a deux hospitalisations par année et par assuré et de 15
34
jour d’indemnité par évènement, les trois premier jours de l-hospitalisation ne sont pas pris en
charge par l’assureur.
La formule familiale
Cette formule garantit aussi le versement d’un capital de 300 000 DZD par assuré en cas
d’un cancer, et le versement d’une indemnité journalière de 3000 DZD suite à un accident
ou maladie, et le versement de 5000 DZD en cas d’intervention chirurgicale.
Le CTP est un produit pour le versement d’un capital aux bénéficiaires en cas de décès ou en
cas d’invalidité absolue et définitive.
Cnep Totale Prévoyance est une assurance adossé aux produits d’épargne proposé :
Le produit d’assurance est vendu par le chargé clientèle, une notice de l’assurance CTP
est remise au client afin qu’il prenne connaissance des conditions générale du contrat
d’adhésion, le chargé de clientèle explique et répond aux éventuelles questions de client.
Pour la première formule les montant sont comme suit : 3000 000 ; 2000 000 ; 1500 000 ;
Pour la deuxième formule le montants sont comme suit :6 000 000 ; 4 000 000 ; 3 000 000 ;
35
2 000 000 ; 1 000 000 DZD
L’adhésion a l’assurance Cnep Total Prévoyance devient effective : décès et IAD toutes
causes pour la formule 1 dès la signature du formulaire d’adhésion et la réception de l’avis
favorable de Cardif El Djazair ; décès et IAD accidentels pour la formule 2 dès la signature du
formulaire d’adhésion.
Mais dans tous les cas l’assurance n’est définitive qu’a la condition suspensive de
l’encaissement effectif de la première prime. Le formulaire d’adhésion doit être rempli en 3
exemplaires :
Conclusion
L’accord Cnep banque et cardif accuse pour sa part un retard important dans sa mise en
œuvre, la Cnep banque est loi de suivre les évolutions en matière de bancassurance par la
diversification de ses activités. Sa coopération avec Cardif dans la distribution des produits
d’assurance reste insignifiante, elle ne dépasse les simples souscriptions d’une police
d’assurance.
36
Conclusion générale
37
Conclusion générale
La commercialisation des produits d’assurance par les banques est devenue enfin une réalité
en Algérie. Plusieurs produits d’assurances sont désormais proposés soit par les banques, soit
par les compagnies d’assurance.
La bancassurance est sans nul doute une véritable chance pour le secteur des assurances qui
connaît un faible taux de pénétration. Le marché souffre, en effet, de la faiblesse du pouvoir
d’achat, mais aussi du manque d’une culture assurance bien ancrée, notamment l’assurance-
vie. Pour les banques aussi, la vente des produits de bancassurance ne peut qu’élargir
davantage leur gamme de produits, fidéliser leurs clients et surtout assurer la croissance des
marges bancaires par des rentrées régulières de fonds.
Grâce à leur puissance financière et aux informations dont elles disposent, les banques
peuvent exercer une influence très importante sur leurs clientèles et leur vendre assez
facilement les produits d’assurance. Il est alors relativement aisé au chargé de la clientèle
bancaire de présenter les produits d’assurance et de les argumenter. Par ailleurs, il est
important pour les équipes de marketing des banques de rédiger des contrats plus faciles et
plus simples à comprendre afin de former leurs commerciaux et guichetiers d’une part, et de
se démarquer des assureurs traditionnels dont les contrats sont plus compliqués d’autre part.
Cependant, il convient de noter que la relation banque-assurance peut être source de risque
pour le banquier. En effet, une mauvaise gestion des risques peut ternir la relation principale
de la banque avec son client. Il convient pour la banque d’intégrer cet élément de risque et de
mettre l’accent sur la qualité du service en veillant à l’indemnisation rapide du client après la
survenance du risque, car un mauvais traitement du client pourrait conduire à la résiliation de
sa relation avec la banque (clôture du compte) voire à une propagation d’une image négative
de la banque. C’est pourquoi la banque doit assister le client et veiller à une indemnisation
irréprochable.
38
Bibliographies
39
Bibliographie générale
1.Ouvrage
40
o Bouhriz Daidj Aicha, « innovation technologique des services bancaires et financiers»,
Thèse de magistère, Université d’Oran, 2014.
o WissamKakouche, Sabah Kerkar, « Essai d’analyse de la bancassurance en Algérie»,
Thèse de master, Université de Bejaia, 2015.
3. Autres :
4. Sites web
o http ://www.memoireonline.com/05/13/7172/m_La-bancassurance--une-nouvelle-
dynamique-en-marche-pour-la-BADR51.html
o www.cardifeldjazair.dz
o www.cnepbanque.dz
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Annexes
42
Table de matières
43
Table des matières
Partie Théorique
Introduction générale………………………………………………………………………...5
Introduction…………………………………………………………………………………...7
I. La banque.. ………………………………………………………….…………7
1.Definition de la banque .. ……………………………….……………………….…………..7
2. Rôle de la banque…………………..…………………….…………………….……………8
3. Type de banque………………………………………….…………………….…………….8
3.1 La banque de dépôt……………………………………………………….……………..9
3.2 La banque d’investissement………………………………………………………….….9
3.3 La banque commerciale………………………………………………………………….9
3.4 la banque spécialisé……………………………………………………….……….…….9
4. Les fonctions d’une banque………………………………………………….……….……10
4.1. La fonction d’intermédiation…………………………………………….………….…10
4.2. La fonction relationnelle……………………………………………….…………….10
4.3. Les fonctions de liquidités……………………………………………….…….……….10
II. L’Assurance
Généralité sur les assurances ………………………………………………….……….……10
1.Définition de l’assurance …………………………..……...…………………….……11
2.Le rôle social et économique de l’assurance……………………………………….….11
3.définition des termes usuels………………………….…………………………………12
4. Typologie des contrats d’assurance………………………………………………………14
4.1. Les assurance de biens et de responsabilité ………………………….………………..14
4.2. Les assurances de personne…………………………...………………………………..14
Conclusion……………………………………………………………………………………14
Section 2 : les enjeux de la bancassurance, apports et inconvénients
44
I.Les enjeux de la bancassurance……………………….……………..……………………..15
Introduction…………………………….…………………………………….………..........15
1.Définition …………………………….………………………………….………..............15
2.Origine de la bancassurance………………………………………………………………16
3.Les produits distribués par la bancassurance…………..………………….………..............17
3.1 Les types de produits distribués ….…………………………………….…………….17
1. Des produits traditionnels….………………………………….………..........................17
2. Des produits développés pour les réseaux bancaires ….……………… ………………..18
4.Les apports et les inconvénients de la bancassurance ….…………………………………..19
II.Les avantages /apports………………..……..……………………………………………19
1.Les avantages pour la banque ……………………………………………………………19
a. La rentabilité …………………………..………………...………………………………19
b. La fidélisation de la clientèle : un avantage économique………………………………..19
c. Le renforcement des fonds propres………………………………………………………20
2. Les avantages pour les assureurs ……………………………………….…………………20
a. L’accès à une large clientèle………………………………………….…………………20
b. Réduction des coûts…………………………………………………..…………………20
c. L’amélioration de la rentabilité………………………………………..…………………21
3. Les avantages pour les clients……………………………………………………………21
II. Les inconvenants, limites et les risques de la bancassurance………..……………………….21
i. Les limites de la bancassurance pour les banques …………….………………………….21
A.1. La cannibalisation des produits bancaires……………….………………………….22
A.2 Les risques sur l’image de la banque……………………..………………………….22
A.3 La formation du personnel……………………………….…………………………..22
A.4 La divergence de cultures commerciales……………………………………………..23
ii. Les limites et les inconvénients de la bancassurance pour les assureurs …………………23
a. Le transfert du centre de décision…………………………………………………….23
b. Le traitement des sinistres et la sélection des risques…………………………………24
c. Le secret bancaire………………………………………………………………………24
Conclusion……………………………………………………………………………………24
Partie pratique
Chapitre 2 : La bancassurance en Algérie cas de la CNEPbanque
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1.Cnep-banque……………………………………………..…………………………………27
1.1.Présentation…………………………………………………………………………27
1.2 Historique de la CNEP-banque ……………………………………………………….27
2. Cardif………………………………………………………………………………………30
1.2 Les produits distribués par CARDIF ………………………………………………….30
1.3 Présentation de Cardif El Djazair………………………………………………………31
3. Présentation de l’organisme d’accueil : CNEP-banque agence 209…………………...…..31
4. Signature de l’accord de partenariat……………………..…………………………………32
Section 2 : Les produits distribués par la Cnep banque
5. Les produits de bancassurance distribuée par la Cnep-banque……….……………………32
5.1. Assurance des Emprunteurs…………………………..………………………………….33
1.4 condition et modalité d’adhésion ……………………..………………………………….34
5.2. Produit SAHTI ………………………………………………………………………..34
5.2.1 Contenu de l’offre SAHTI…………………………………………………………….34
5.3. Produit CTP………………………………………………………………………………35
5.3.1 Processus d’adhésion ………………………………………………………………..35
5.3.2 Les capitaux assurés …………………………………………………………………35
5.3.3 Formalisation de l’adhésion …………………………………………………………36
Conclusion …………………………………………………………………………………36
Conclusion générale………………………………………………………………………....38
Bibliographie……………………………………………………………………...............40-41
Annexes
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