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INTRODUIRE UN TEMOIGNAGE
DANS UN FAIT HISTORIQUE
CONTENU DE LA SEQUENCE
ACTIVITES DE COMPREHENSION
Séance 1
Séance 2
Séance 3
Séance 4
Séance 5
ACTIVITES DE LANGUE
Lexique
Syntaxe
ACTIVITES D’ECRITURE
FICHE METHODOLOGIQUE
EVALUATION FORMATIVE
FICHE D’AUTOEVALUATION
CORRIGES
ACTIVITES DE COMPREHENSION
Séance 1 : TEMOIGNER D’UN FAIT
D’HISTOIRE ET LE COMMENTER
Objectifs de la séance :
Plan de la leçon :
- Observation du document ;
- Lecture du document ;
- Questions (analyse du document) ;
- Récapitulation et synthèse (faire le point).
Durée : 1 heure
Mots expliqués :
- Aubervilliers : quartier de Paris.
- André Malraux : écrivain et homme politique français.
- Charonne, Bonne nouvelle : stations du métro parisien.
Le père de Delphine Renard tenant sa fille dans ses bras
Maifestation antiOAS
Lectur e analytique :
Conclusion n° 1 :
Objectifs de la séance:
Plan de la leçon:
- Observation du document ;
- Lecture du document ;
- Questions (analyse du document.) ;
- Récapitulation et synthèse (faire le point).
Durée : 1 heure
Observation:
Messali Hadj
Corps d’Algériens massacrés le 8 mai 1945 à Sétif
Observation :
Lectur e analytique :
Conclusion n° 2 :
Objectifs de la séance :
Plan de la leçon :
- observation du document
- lecture du document
- questions (Analyse du document.)
- Récapitulation et synthèse à retenir. (faire le point)
Durée : 1 heure
Observation:
Lectur e analytique :
Conclusion n° 3 :
Objectifs de la séance :
Plan de la leçon :
- observation du document
- lecture du document
- questions (analyse du document.)
- Récapitulation et synthèse à retenir. (faire le point)
Durée : 1 heure
Documents à consulter :
- dictionnaire, encyclopédie.
Femmes algér iennes dans les camps
Récit d’une ancienne détenue qui, dans un rapport
adressé au F.L.N., a relaté les souffrances et le courage des
femmes algériennes dans les camps. Ce document nous a été
transmis par Meradi Mehadji. (Note de l’auteur)
Observation:
Lectur e analytique :
Conclusion n° 4 :
Chœur :
Présents et absents
Pardessus les murs
Parmi les cadavres
Présents et absents
En tant de charniers
Présents et absents
Partageons nos pertes
Nos seules richesses
Lakhdar :
Présents et absents
Restent les vieux murs qui chantent
Sur des points d’enfants
Reste Barberousse
Reste la prison
Et les cris des femmes
Sur des poings d’enfants
Chœur :
C’est l’école du soir
A.L.N. F.L.N.
Tel est notre alphabet
Toutes les lettres sont
majuscules
Sur tous les murs où
sont écrites
D’inébranlables
volontés.
Kateb Yacine.
Barberousse : prison situé en haut de la Casbah d’Alger, appelée
maintenant Serkadji, où l’on exécutait les combattants condamnés à
mort.
Observation:
Lectur e analytique :
Conclusion n° 5 :
Titres de la leçon :
1 Les mots de la famille de « mémoire ».
2 La dérivation : la for mation des mots par affixation
(préfixes et suffixes).
3 Champ lexical de la mémoire.
Objectifs de la séance :
Activité 2 :
Activité 3 :
Oscarine Bosquet
Activité 5 :
Entretenir sa mémoire
Titre de la leçon :
Objectifs de la séance
Plan de la leçon :
- observer ;
- s’entraîner;
- s’autoévaluer ;
- faire le point.
Durée : 1 heure 30 mn
Documents à consulter :
Activité 2:
Activité 3:
Activité 4:
Conclusion :
SYNTHESE :
Retiens :
Objectifs :
Plan de la leçon :
- observer ;
- identifier ;
- s’entrainer ;
- appliquer ;
- s’autoévaluer.
Durée : 2 à 3 heures
Documents à consulter :
Activité 2 :
Activité 4 :
L’évasion
Questions :
I Compréhension :
II Production écrite :
OUI NON
CRITERES DE REUSSITE
Séance 1 :
Observation :
Lectur e analytique :
Observation :
Lectur e analytique :
Séance 3 :
Observation :
L’observation du titre et des références du texte nous permet de
dire qu’il s’agit d’un document d’Histoire.
Lectur e analytique :
Séance 4 :
Observation :
Lectur e analytique :
1. Les prisonnières sont désignées dans le texte par des initiales pour
protéger la vie privée des gens. En effet, pour citer le nom d’une
personne dans un texte qui doit être publié, il faut demander
l’accord de cette personne ; or, après tant d’années, il n’était peut
être pas possible à l’auteur de retrouver toutes les personnes dont il
parle.
2. « Avec L. belle nomade, nous voyagions » (1er§).
Non, il n’est pas possible de voyager dans ce contexte. « Voyager »
est employé ici au sens figuré.
3. « Comme dans toutes les prisons du monde, nous passions par
des états extrêmes. » Les prisonnières passaient de l’état de joie et
d’enthousiasme à l’état de la peur et d’angoisse. Et c’est « l’homme
à la cagoule » qui était à l’origine de ces états.
4. « L’homme à la cagoule » dénonçait n’importe qui pour gagner
du temps ou pour abréger ses souffrances, par animosité ou par
jalousie.
5. L’apparition de l’homme à la cagoule provoque chez les
prisonnières la peur et l’angoisse.
6. Deux autres personnages apparaissent dans le dernier
paragraphe. Ils sont désignés par les termes « l’adjudant » et « le
sergent » L’auteur nous donne des informations sur leur situation
personnelle pour justifier leurs actes et leur choix.
7. Le duel entre les gardiens faisait la joie des prisonnières car les
bourreaux oubliaient les prisonnières pendant ce temps là.
8. Proposition de plan :
I. Les moments de joie des prisonnières.
- chants et danse
- évasion (par l’esprit).
II. L’apparition de « Bouchkara », l’homme à la cagoule
- la terreur provoquée par « Bouchkara » chez les
prisonnières.
- la dénonciation par peur ou par vengeance.
III. Le comportement des bourreaux
- l’identité et l’origine des tortionnaires
- l’explication de leurs comportements.
Séance 5 :
Observation:
Lectur e analytique :
ACTIVITES DE LANGUE :
I. Lexique :
Activité 1 :
Les mots « mémoriser, mémorable, mémoire, mémorialiste » ont
tous en commun l’élément « mémo ». C’est le radical auquel on a
ajouté un suffixe.
Le sens de chacun d’eux :
- mémoriser : fixer dans la mémoire.
- mémorable : dont le souvenir mérite d’être durable.
- mémoire (féminin) : aptitude à conserver et à restituer des choses
passées.
- mémoire (masculin) : ouvrage traitant d’un sujet de manière
brève.
- mémorialiste : auteur de mémoires historiques.
Activité 2 :
a On peut obtenir des mots à partir du radical « mémo » :
1 en ajoutant un suffixe : mémoire, mémoriser, mémorisation,
mémorable, mémorial, mémorialiste…
2 a. en ajoutant un préfixe et un suffixe : remémorer (se
remémorer), commémoration, commémoratif.
b Réponses libres (phrases personnelles).
c Expressions ou des citations dans lesquelles ces mots
sont utilisés.
Voici quelques exemples :
- perdre la mémoire ;
- devoir de mémoire ;
- « si j’ai bonne mémoire » ;
- « la mémoire me fait défaut » ;
- avoir un trou de mémoire, etc.
Activité 3 :
Réponses libres.
Activité 4 :
" Il n'y a pas grandchose dont je me souvienne
j'ai dû vivre à côté tout le long
sans être ailleurs non plus
je m'en souviendrais
Je ne me souviens pas qu'un jour tout
ou quelque chose ait basculé.
Souvienstoi de rester vivante. "
Oscarine Bosquet
Activité 5 :
Entretenir sa mémoire
La mémoire est une fonction essentielle de notre cerveau. Elle est
continuellement sollicitée. Aussi estil important de la préserver et
de l'entretenir. Comment fonctionnent nos souvenirs? Quels sont
les troubles qui empêchent de bien mémoriser ? Toute la lumière
sur notre matière grise.
II. Syntaxe :
Activité 1 :
Dans les phrases 1, 2 et 3, c’est le présent de nar ration : il
permet de présenter des faits passés mais « coupés de la situation
d’énonciation », comme s’ils étaient entrain de se dérouler au
moment où on les raconte.
Dans la phrase 4, c’est le présent d’énonciation : ancré dans la
situation d’énonciation, il renvoie au moment où le texte a été écrit.
Il signale une réflexion qui vient à l’esprit du narrateur au moment
où il est entrain de l’écrire.
Activité 2 :
La transformation est possible pour les phrases 1, 2, et 3.
1 le 1er novembre 1954 éclata la guerre de libération nationale.
2 Le 8 mai 1945, de grandes manifestations furent
organisées par le P.P.A à travers tout le pays.
3 Le 7 novembre 1961, la France réalisa son premier essai
nucléaire souterrain.
La transformation n’est pas possible pour la phrase 4 car elle
n’exprime pas un fait passé mais une réflexion de l’auteur.
Activité 3:
Les commentaires de l’auteur :
- ce mois d’octobre qui est si beau quand il est beau , le
soleil se couchait splendidement (…) ;
- Spectacle autrement attirant, en effet, que le palmier,
l’aloès, le figuier et le lentisque, que le soleil et les
collines, que la mer et que le ciel : c’était la civilisation
qui arrivait à Alger sous la forme d’une guillotine
Activité 4:
On peut relever par exemple :
- Il porte un sac sur l’épaule, un de ces sacs bon marché, imitation
cuir dans lesquels on rangeait sa gamelle. Plus loin, deux policiers
immobiles scrutent les visages. Ils arrêtent l’homme, fouillent son
sac, sans ménagement. L’homme baisse la tête et se laisse
bousculer sans réagir.
- Une rafale arrose la façade. Les deux jeunes gens ne se relèveront
pas. Trop mats de peau… On apprendra plus tard qu’il s’agissait
d’enfants d’immigrés italiens.
- Un visage sur les murs, celui de l’innocence assassinée. Le visage
d’une gosse de cinq ans, Delphine Renard, défigurée par la bombe
que l’O.A.S destinait à André Malraux.
- J’étais dans la rue, le 12 février 1962, un point minuscule dans la
foule venue lui rendre hommage.
- Je suis tombé sur le 17 octobre 1961, le plus important massacre
d’ouvriers à Paris depuis la Commune. Il m’a fallu du temps pour
prendre la mesure de l’événement, l’ampleur du refoulement.
- J’ai suivi dans les journaux du temps passé la litanie des morts
anonymes : chaque jour de ces terribles mois d’octobre et
novembre 1961…
- On leur avait ôté la vie, on effaçait leurs noms.
Et c’est en réalité à cause de cette amnésie volontaire que les
premiers chapitres de « meurtres pour mémoire » se sont appelés
Saïd Lilache, Kaïra Guélaline, Lounès Tougourd
- Des dizaines d’autres lignes à remplir pour rendre leur identité à
chacune des victimes afin que l’oubli ne soit plus possible.
ACTIVITES D’ECRITURE :
Activité 1:
Activité 2:
Sous les fenêtres, il y a un barrage de police. Deux jeunes
en Vespa essaient d’échapper au contrôle. Des coups de feu
retentissent. Les deux jeunes gens tombent. C’étaient des
enfants d’immigrés italiens qu’on avait pris pour des
Maghrébins.
Delphine Renard, une gosse de 5 ans, est défigurée par une
bombe destinée à André Malraux par l’OAS.. Deux jours plus
tard Suzanne Martorelle perdra la vie. Une foule nombreuse est
venue lui rendre hommage.
Activités 3 et 4:
Réponse libre. Travail personnel.
EVALUATION FORMATIVE :
1. Compréhension :