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Chapitre 1 

: La théorie de la firme dans l’analyse néo classique


Partie 1 : la production
Introduction : la decision de production de l’entreprise

1) La technologie de production

Elle decrit comment les imputs (facteur de production), peuvent etre transformer en outputs. C’est le
passage des matieres premieres du travail à a production . Les entreprises peuvent obtenir un meme
niveau de production (inputs) avec differentes combinaison d’outputs

2) Les contraintes de couts

Les entreprises doivent tenir compte des couts c’est-à-dire du prix du trvl du prix du capital et de tous les
autres facteurs de productions qu’elles utilisent. Les entreprise cherche a minimiser leur couts total de
production lequel depend pour parti des prix des inputs qu’elles utilisent

3 ) les choix des facteurs de production

L’entreprise va se servir des 2 etape precedente compte tenue de sa techno de production et du prix des
inputs, l’entreprise doit déterminer le nombre de chque facteur (quantité de chque facteur a utiliser dans
sa production). L’entrrise peut chosiir diff combi d’inputs de sorte a minimiser ces cout de production.

Comment les cout totaux de production varient avec la quantité produite ?


Comment elle determinent la quantité qu’elle va mettre sur le marché pr max sont profit

I- Entreprises et décisions en matière de production


Pour les neo classique ces entreprise existe car elle offrent une méthode de coordination essentiel qui
manque au travailleurs independant. Les entreprises vont permettre d’organiser
Les neo classique considerent qu’elles sont utilise en tant qu’institution car elles elimine
Elle peremttent de negocier ce typoe de negociation grace au manageurs.

Jusq recemment on a eu une vision pauvre du management

Ce qui caracterise lentreprise c sa production

A) La technologie de production de production


3 grde catego dinputs : le trvl( trvlleur qualifier et nn qualifier) , les mat 1ere ( tt ce que l’entreprise peut
acheter et transformer) et le capital ( l’immobilier, lex marchine et tt les equipements de l’entreprise ainsi
que les stock)

Technologie peut etre reprsenter avc le concept de fonction de production : elle indique pr chque combi
d’inputs le niveau max d’outputs (q) produits par l’entreprise.Pr simplifier l’analuse on se limitera a 2
inputs : le travail (L) et le capitel (K).

La fonction de produciton a 2 inputs est : q= F(K,L)  fonction de production depend de K et L.


On considere que les entreprise mette du temp a ajuster leur facteur de production en particulier si elle
decide de mofitier la q d’inputs qu’elle veut utiliser. Le court terme correspond a la periode de temps
durant laquelle il nest pas possible dajuster les quantité dun ou de plusieur facteur de production 
appeler facteur fixe. Le long terme correspond a une periode de temps suffisamment longue pr que tt les
facteur puisse ê variable.

II- La production avec un seil facteur variable ( le travail)


Pour decider du nombre de salarié qu’elle veut embaucher l’entreprise a besoin davoir une idee de la
relation entre la quantité de trvl utiliser et la quantité produite.
On represente cette relation par un tableau de chiffre.

- La productivité moyenne du travail (PML) mesure la quantité de bien par unité d’input travail.

- Elle mesure la productivité moyenne des travailleurs.

- Productivité moyenne du travail = q/L

- La productivité marginale du travail (PmL) mesure la quantité de bien supplémentaire produite


lorsque l’on augmente l’input travail de 1 unité.

- Elle mesure la productivité du dernier travailleur (ou de la dernière heure de travail).

- Productivité marginale = Dq/DL ( D= delta)


Lorsque la q de trvl est nul on ne peut pas calculer.
On observe que la production augmente avc le travail
La production marginal est positive ( supp a 0) tant que la production total augmente
La production marginal a un moment donner a la mm valeur que la productivité moyenne. Ces 2 courbe
vont se couper

La loi des rendements marginaux decroissants :L ’exemple précédent montre qu’il arrive un moment où
les suppléments de production se réduisent, alors que l’utilisation d’un facteur de production (ceteris
paribus) augmente. C’est la loi des rendements marginaux décroissants. Cette loi sapplique generalement
a court terme qd on a au moins un facteur de production qui est fixe.
Remarque : elle sapplique pr une technologie donner. Donc la prodictivité du trvl peut augmeznter suite a
du progres technique meme avc des rendement marginaux decroissant.

III- La production avec 2 facteurs variables


 cette info qu on a sur ce
tableau peut etre representer graphiquement.
- Une isoquante est une courbe qui relie toutes les combinaisons de facteurs permettant d’obtenir le
même niveau de production.
- Les courbes sont tracées en continu pour considérer des quantités de facteurs parfaitement
divisibles.

- Substitution entre facteurs de production :

 Une entreprise doit décider dans quelle mesure substituer un

input à un autre pour produire une certaine quantité d’un bien.

 La pente de l’isoquante montre ce degré de substitution d’un input à un autre : la valeur absolue
decette pente (négative) est le taux marginal de substitution technique (TMST).

 Le taux marginal de substitution technique (TMST) est égal à:


Le TMST est décroissant à cause des rendements marginaux décroissants (et les isoquantes sont donc
convexes).

L’augmentation de la production due à une utilisation supplémentaire de travail est égale à : PmL ΔL (avec
ΔL>0).

La réduction de la production due à une utilisation moins importante de capital est égale à : PmK ΔK (avec
ΔK>0).

- Le taux marginal de subsitution technique (TMST)

Si on maintient le niveau de production constant, on augmente le niveau d’utilisation du travail et on baisse


celui du capital, l’effet net est zéro :

Le taux marginal de substitution technique (TMST)

- En redisposant les termes de l’équation :


Les isoquantes : facteurs parfaitement substituables

lorsque les facteur de production sont parfaitement


substituable le taux marginal de susbstitution technique est constant en tt point d’une isoquante.

2eme cas : les isoquantes facteurs parfaitement complementaire

IV- Les rendements d’echelles

- Les rendements d’échelle sont les taux auxquels la production augmente lorsque les quantités de
facteurs augmentent dans les mêmes proportions. Ces rendements d’échelle peuvent être :
Croissants
Décroissants
constants

Les rendements dechelle croissants Les rendements d’echelle constants


Les rendements d’echelle decroissants

Chapitre 1

Les couts de production


I- La mesure des couts prendre en compte ?

- Les coûts économiques distinguent les coûts que l’entreprise peut contrôler de ceux qu’elle ne peut
pas contrôler : Le concept de coût d’opportunité joue un rôle fondamental.
- Le coût d’opportunité est le coût des opportunités auxquelles l’entreprise a renoncé en n’assignant
pas ses ressources à leur meilleure utilisation alternative.
Coûts fixes et coûts variables
- Certains coûts varient avec le niveau de production, alors que d’autres restent inchangés tant que
l’entreprise produit.
- Le coût total peut être décomposé en :
 Coût fixe : ce coût ne varie pas avec le niveau de production. La seule façon d’éliminer un
coût fixe est d’arrêter de produire.
 Coût variable : ce coût varie avec le niveau de production.

- La production totale est une fonction des inputs fixes et variables.


- Par conséquent, le coût total de production est égal à la somme du coût fixe (le coût des inputs fixes)
et du coût variable (le coût des inputs variables) :

Le cout marginal et le cout moyen

- Le coût marginal (Cm) est l’accroissement du coût correspondant à la production d’une unité
supplémentaire.

§ Les coûts fixes n’ont pas d’effet sur Cm.

- Le coût total moyen (CTM) est le coût total par unité de production. Le CTM est aussi égal à la
somme du coût fixe moyen (CFM) et du coût variable moyen (CVM) :

II- Les couts de court terme


Les determinants des couts de court terme

- Supposons que le salaire (w = wage) est fixe par rapport aux nombres de salariés.
- Puisque les coûts variables sont égaux au salaire w fois la quantité de travail L, le coût marginal Cm
est égal à :

En se souvenant que :

On peut conclure qu’une productivité marginale du travail PmL implique un coût


marginal élevé Cm et vice versa :

Les courbes de cout pr une entreprise

(a) Le coût total CT est la somme


verticale de CF et de CV.
(b) Le coût total moyen CTM est la somme du coût variable moyen CVM et du coût fixe moyen CFM.
Le coût marginal Cm coupe les courbes de coût variable moyen et de coût total moyen en leurs points
minimaux.

III- Le cout d’usage du capital

- Ainsi, le coût d’usage du capital (dans l’exemple précédent, le coût annuel de la possession et de
l’utilisation de l’avion) est la somme de la dépréciation économique et des intérêts qui auraient pu
être perçus si l’argent avait été investi ailleurs.

 Coût d’usage du capital = dépréciation économique + (taux d’intérêt) × (valeur du capital) = 5 +


(0,10)(150 – dépréciation)
•An1: 5+(0,10)(150)=20millions
•An10: 5+(0,10)(150–5×10)=15millions

- Le coût d’usage du capital peut être calculé comme un taux r par euro de capital :

r = taux de dépréciation + taux d’intérêt

- Dans notre exemple précédent, le taux de dépréciation est de 5/150 (=


3,33 % par an).

Soit: r=3,33%+10%=13,33%paran

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