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2022-2023
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Introduction
Le présent rapport est le fruit d'un stage d’observation et une partie
d’application effectuée à l’entreprise Syaf Lubrifiants à Sale dans le
département de saisie des documents et relevés commerciaux, durant une
période de deux mois pendant laquelle j’ai tiré profit de ma formation
académique pendant la première et deuxième année au seins de l’EST pour but
d’améliorer mon savoir et mon savoir-être.
Bref, le stage est l’un des meilleurs moyens qui permettent de surmonter
les grandes difficultés qui entravent le passage au monde de travail et
d’affranchir le premier pas vers plus d’acquis au niveau professionnel. Ce stage
m’a permis de concrétiser les compétences acquises afin de perfectionner mes
capacités et mes connaissances théoriques au sein d’une organisation.
5
Partie théorique:
Monographie de
l’entreprise d’accueil
6
I Présentation générale de l'entreprise
Fiche Technique de l’entreprise SYAF Lubrifiants
7
Émergence de SYAF Lubrifiants
Depuis 2004, SYAF maintient l'entrepôt principal de SYAF et crée une station
d'entretien et de service automobile à Salé el Jadida
8
2020 Clôture de la collaboration entre SYAF et SHELL et initialisation du
partenariat entre SYAF et OPOET LUBRIFIANTS.1
1
Syaf lubrifiant consulté le 2021 Lien: https://syaflub.com/qui-sommes-nous/
9
Organigramme de l’entreprise SYAF Lubrifiants
Direction générale
Sécurité Département
Stock Administration
Commerciale
Service
Agent de saisie Réceptionnaire marketing
Manutentionnaire Comptabilité et
finance
La démarche de déroulement des actions commerciales
La saisie
Gestion de stock Journal de vente
Suivi de crédit
Traitement de créance client
Classement
Opérations d’achats
A. La préparation de la commande (Voir annexe N°1)
Autant que responsable sur les stocks, le magasinier est chargé de piloter
et mettre l’état des stocks à jour, ce qui lui permet au cas d’un besoin d’établir un
bon de commande puis le transférer à l’administration, pour que cette dernière
pourrait mettre une connexion avec les fournisseurs afin d’assurer la disponibilité
des marchandises au plus proche possible.
Il permet ainsi à l’agent commercial de communiquer avec client toute
information pré contractuel pour une validation des commandes de sa part.
La signature de bon de commande par l’acheteur constitue la preuve de
l’accord entre les deux parties. En ce qui concerne son utilité, le bon de
commande permet avant tout d’éviter des contestations ultérieures. Adressé par
l’acheteur au fournisseur, il matérialise la commande.
Le bon de commande doit indiquer quelques mentions obligatoires. Il
doit contenir entre autres :
l’identité de fournisseur
l’identité de client
le numéro ainsi que la date d’édition de la commande
la description de la commande
le montant total de la commande
les conditions de livraison
les conditions de règlement
les conditions générales de vente
12
B. La réception de la commande (voir annexe N°2)
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effet, il est possible qu’il reçoive des précommandes de la part de certains
clients. Dès que le magasinier valide le bon de charge, ça veut dire que la
totalité des produits demandés sont prêts à être fournis.
En cas d’un retour d’une partie, des produits soient à raison que le
commercial n’a pas réussi à les commercialiser ou il se peut que des clients
déclinent la commande.
Le magasinier s’occupe à enregistrer une décharge pour éviter chaque
mécompte le jour de l’inventaire.
Il est toujours établi en deux exemplaires : un pour le vendeur et un pour
l’acheteur. L’exemplaire adressé à l’entreprise portera le nom de « bon de
livraison » et celui adressé à l’acheteur.
C’est le détaillé des marchandises vendues sur lequel sont portées les
conditions et modalités de l’accord intervenu entre vendeur et acheteur. Elle est
établie par le vendeur, en eau moins deux exemplaires, dont une pour
l’acheteur.
En général, la facture est un document qui atteste d’un achat ou d’une
vente de biens ou de services. Elle est fournie par le vendeur lors de la livraison
ou de la prestation de services. Une facture liste donc les biens vendus ou les
prestations réalisées en précisant la nature, la quantité et les conditions
d’achat. La facture est un document à la fois commercial, comptable et
juridique. Elle présente donc différentes utilités. Elle est la preuve juridique
d’une transaction financière, elle sert de justificatif comptable et elle sert aussi
de support à l’exercice des droits sur la TVA.
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obligatoires comme le numéro et la date d’émission de la facture, l’identité de
l’émetteur de la facture, les coordonnées du client, la désignation des produits ou
services vendue, le montant total à payer, HT et TTC, les modalités de paiement
et les pénalités de retard.
Opérations de la saisie
A. L’enregistrement
Ensuite, il peut traiter l’état des crédits pour saisir les montants rentrants et
annuler les dettes, ou ajouter des nouveaux crédits.
La saisie comptable est l'opération manuelle qui consiste à affecter dans les
comptes de l'entreprise les mouvements comptables constatés (vente aux clients,
règlement des factures fournisseurs, etc.).
B. Suivi de crédit
Les créances clientes sont l’ensemble des sommes dues à une entreprise dans
le cadre de ses ventes de marchandises ou de ses prestations de services. Pour que
la créance soit reconnue comme telle une créance cliente devient recouvrable
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lorsque le délai de paiement accordé au client arrive à expiration. Pour gérer au
mieux les créances clientes, il faut tenir sa comptabilité à jour. La relation client
doit être suivie du début de la relation au paiement de la facture. Il faut identifier
les clients qui dépassent souvent les délais de paiement en mettant en place un
suivi des règlements avec Sage 100 par exemple.
C. Gestion de stock
D. Journal de vente
Le journal des ventes est un livre comptable qui contient toutes les
écritures comptables d'une entreprise relatives aux ventes effectuées. Dès lors
qu'elle établit une facture de vente, la société émettrice a l'obligation d'enregistrer
cette opération dans le journal des ventes.
Le journal de ventes doit apporter un certain nombre d'informations : la date à
laquelle la vente a été réalisée, le numéro de la facture, le montant de la vente en
HT, le montant de la TVA collectée, le nom du client, le libellé de l'écriture
comptable … La comptabilisation doit s'effectuer au jour le jour.
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E. Classement
Il comprend toutes les factures de vente quel que soit leur mode de
règlement, c’est-à-dire qu’elles soient réglées en espèces, par chèque,
par effet ou par virement, et sont classées selon leur numéro de facture.
17
II Mission effectuée: La saisie des informations sur Logiciel
SAGE 100 gestion commerciale (voir annexe N°5)
18
La saisie des documents des stocks
19
La saisie des documents des ventes
A. Les bons de livraison
B. Facture de vent :
C’est le détaillé des marchandises vendues sur lequel sont portées les
conditions et modalités de l’accord intervenu entre vendeur et acheteur. Elle est
établie par le vendeur, au moins deux exemplaires, dont un pour l’acheteur.
C. Le relevé de la facture :
C’est un récapitulatif des factures non réglées et qui est établi par le
fournisseur à la fin d’une période donnée (mois, trimestre…). À la différence
entre les factures de DOIT et les factures d’AVOIR donné le montant à payer
par le client.
20
D. La facture d’avoir :
en espèces (le montant est limité à 1 000 euros pour les paiements effectués
en espèces lorsque le débiteur a son domicile fiscal sur le territoire de la
République française ou agit pour les besoins d'une activité professionnelle),
par chèque,
La lettre de change
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certaine somme à son profit ou à celui d’un tiers (le bénéficiaire). (Voir annexe
N°7)
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d- Dossier de caisse :
Ce dossier comprend les factures et bons d’achats réglés en espèces .
e- La saisie des bons d’achats :
Remplir et saisir les factures des ventes : la facture est notée détaillée des
prestations ou des marchandises vendues. Il s’agit d’un document de nature
commerciale et comptable. la facture est notée détaillée des prestations ou des
marchandises vendues.
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Partie pratique:
problématique et
développement
24
Introduction
C'est à partir des années cinquante (50) que le marketing trouve sa véritable
place, et son véritable rôle dans le développement de la concurrence,
l'augmentation du pouvoir d'achat et la demande accrue des consommateurs
rendent la vente de plus en plus difficile. Il est alors nécessaire de réfléchir à de
nouvelles approches du concept et de la commercialisation des produits. Le
marketing va alors se concentrer sur la satisfaction des besoins des
consommateurs et devient une fonction fondamentale au sein de l'entreprise.
Problématique :
« Quel est l'impact du merchandising des grandes surfaces de distribution
sur le comportement d'achat du consommateur dans le secteur des huiles
moteur notamment le cas de l'entreprise SYAF LUBRIFIANS ?»
25
I. La grande distribution et le merchandising
Introduction
La distribution a évolué et la forme moderne que nous connaissons
aujourd'hui est née vers la fin du 19ème siècle. C'est elle qui va progressivement
donner naissance à la grande distribution qui tend aujourd'hui à s'implanter dans
le monde entier, elle se divise en plusieurs formes qui s'adaptent aux différents
besoins des consommateurs.
Concept de distribution
Définition
2
WELLHOFF. Alain, MASSON-Jean. Émile « le merchandising : bases, techniques, nouvelles tendances » 6ème
Édition, DUNOD, Paris 2005, page: 07
26
en choisissant une stratégie de distribution adaptée à leurs produits et à leurs
clients.
Le rôle de la distribution :
3
DEMEURE Claude, «marketing : Aide-mémoire », 6eme Édition, DUNOD, Paris ,2008. Page : 167 2 DEMEURE
Claude, opt.cit ..... Page: 170
27
B: Le rôle de la distribution vis-à vis du consommateur :
La distribution met à sa disposition, où qu'il soit et souvent pour n'importe
quelle raison, le bien qu'il désire dans la quantité souhaitée. Elle lui évite aussi
d'avoir à faire des achats importants et à mobiliser des sommes dont il ne dispose
pas forcément.
Concept du Merchandising
Définition
Les nombreux changements qu’ont connus la distribution, à savoir
l'arrivée et le développement du libre-service, l'abondance des produits, ont
amené les producteurs et les distributeurs à réfléchir sur la manière idéale de
présenter les produits dans les points de vente.
28
méthodes et des techniques relatives à la présentation et à la mise en valeur des
produits sur le lieu de vente.
Objectif
29
Le rôle du merchandising est de permettre de :
Le merchandising d’organisation
Le merchandising organisationnel concerne tout ce qui permet au
consommateur de trouver plus facilement les produits ou la famille de produits
recherchés dans les limites des besoins logistiques. On entend par là, entre autres,
la notion d'organisation globale du point de vente, l'étude des flux de clientèle et
de l'attractivité des familles, l'organisation et l'identification des univers jusqu'à
la catégorie. La facilité de repérage par le client est fonction de :
Circuit client.
Poids visuel de la marchandise dans la surface de vente.
30
Le merchandising de gestion
Ce type de merchandising permet une meilleure gestion de l’espace alloué
aux offres. Il s’agit d’optimiser la visibilité des produits en jouant par exemple
sur les facing, la taille des rayons, la proximité des produits ou familles, le niveau
de chaque produit dans le rayon, le nombre d’unités de besoin et le nombre de
références correspondantes à chaque unité de besoins.
La gestion de l'espace alloué aux offres arbitre le cumul des marges des
offres vendues avec l'espace utilisé. Elle est donc fonction de : de l'importance
des produits linéaires ; du poids des grandes marques et des marques de
distributeur.
Le merchandising de séduction
La création de ces espaces est gérée par des designers, des graphistes ou
des scénographes professionnels qui créent un environnement propice à la
compréhension du produit et de son univers. Fer de lance de ces techniques
récentes, l'industrie du luxe investit énormément dans le développement de
chartes d'espaces pour leurs marques et leurs produits ainsi que dans la fabrication
d'outils de PLV (publicité sur le lieu de vente) et dans l'installation sur les points
de vente. Ces animations, souvent temporaires, permettent de créer de la visibilité
sur un produit spécifique et d'augmenter les ventes. Les marques mettent
également en place des espaces permanents et dédiés dans de nombreux points de
31
vente généralistes, créant ainsi une boutique dans la boutique où l'image de la
marque est contrôlée.
L’intérêt du merchandising
32
Les rayonnages métalliques
Evolution de merchandising
Au milieu des années 1980, les distributeurs ont laissé aux fabricants le
soin de gérer leurs rayons, préférant se concentrer sur la négociation des achats.
Dans les années 1990, la concurrence accrue entre les marques dépasse le cadre
restreint des prix pour s'étendre aux services. Le distributeur s'approprie
désormais les techniques de merchandising. Il devient arbitre et gestionnaire,
donc maître de la destinée de ses rayons. Il crée des cellules nationales de
merchandising à partir desquelles sont prises des décisions de plus en plus
centralisées pour les points de vente. Le fabricant ne gère presque plus les rayons,
mais il doit donc fournir des recommandations spécifiques, adapter ses produits
aux marchés locaux pour optimiser les rayons. On peut donc dire que le
merchandising de marque découle du choix par le distributeur d'une stratégie de
différenciation. Cependant, sa mise en œuvre se heurte à une logique
33
spécifiquement locale sur le lieu de vente. Avant l'avènement des magasins
traditionnels, le merchandising à son stade primaire se trouvait sur les étals des
marchés. Un vendeur de mangues ou d'oranges tranchait un fruit et dévoilait sa
chair juteuse ; ceci afin d'attirer le client en lui donnant envie. Les magasins, quant
à eux, proposaient l'ensemble de l'assortiment derrière un comptoir. Cela avait
l'avantage d'offrir aux clients une belle vue. Au fil du temps, les magasins ont
amélioré la présentation des produits pour les rendre plus attractifs. Exemple des
pharmacies. L'aboutissement logique de cette évolution est le libre-service : le
client se promène librement, sans être dérangé par un vendeur, prend ce qu'il veut,
le met dans son chariot et passe à la caisse.
Merchandising distributeur :
Conclusion
34
rythmes des innovations commerciales et technologiques. Avec l'arrivée et
l'évolution du libre-service, de l'abondance des produits qui ont incité les
producteurs et les distributeurs à réfléchir à la manière idéale de présenter les
produits sur les points de vente, par un moyen appelé le merchandising que nous
avions exposé dans la deuxième section, où nous avons également montré
l'importance du merchandising dans la vie de la distribution, le merchandising
étant bien appréhendé, nous allons le développer dans le deuxième chapitre qui
s'intitule " les nouvelles techniques de merchandising ".
Le consommateur est le roi sur le marché ces pourquoi on fait appel à des
nouvelles techniques pour optimiser l'intérêt entre les producteurs dans le but de
35
mieux satisfaire le consommateur. Nous faisons ici une visite rapide des
nouvelles tendances qui se sont dégagées ces dernières années, et qui sont entrain
de modifier, plus ou moins profondément le paysage commercial. Efficient
consumer réponse (ECR): ECR signifie efficient consumer réponse ou réponse
optimal au consommateur, après des années d'études et de multiples conférences,
l'ECR entre sa phase opérationnelle.5
5
WELLHOFF,.A, MASSON.J.E, Opt.cit,.. page 219
36
- Qualité, meilleur assortiment, meilleure disponibilité, meilleur service à
moindre coût tout au long de la chaîne d'approvisionnement.
6
DEMEURE Claude, "Marketing : Aide-mémoire" 6ème édition, Dunod, Paris 2008, Page 205.
37
dans leur organigramme une structure de Trade marketing : chaque marque est
suivie par une personne. On passe ainsi d'une logique de produit à une logique de
client. Parallèlement, les producteurs et les distributeurs ont créé une nouvelle
fonction, les " Category managers ", chacun étant responsable d'un groupe de
produits (appelé univers). Ainsi, on ne raisonne plus en termes d'offre de produits
mais de satisfaction des besoins des consommateurs. Casino, pionnier en la
matière, en compte déjà plus d'une vingtaine. Des producteurs comme Coca-cola,
Danone ou Procter and Gamble ont fait de même. Ces modifications, tant pour le
producteur que pour le distributeur, permettent de mieux coller à la réalité des
échanges : travailler en partenariat pour améliorer son chiffre d'affaires, sa
rentabilité, et offrir au consommateur final des produits et un service de plus
grande qualité.
7
FADY André, RENAUDIN Valérie et VYT Day " Le marchandising", 6ème édition, vuibert, Paris. Page 33.
38
Le merchandising est directement concerné par ces nouvelles techniques
de maîtrise des micromarchés, notamment par la nécessaire promotion des
produits locaux au sein de l'assortiment des grandes marques nationales et des
marques de distributeurs. Les producteurs locaux sont bien sûr concernés car ils
y voient l'opportunité de développer leur production, justement avec la limite de
leur propre potentiel de fabrication face au potentiel de vente des supermarchés
de la région. Les distributeurs avec leurs cartes privatives font de même, et
cherchent ainsi à fidéliser leur clientèle, et à se démarquer le plus possible des
autres marques concurrentes. Il est évident que les investissements en géo-
merchandising sont rapidement rentables, car ils permettent d'élargir l'assortiment
à des produits à meilleures marges, de donner aux rayons le profit idéal pour les
consommateurs locaux et aussi d'élargir la zone d'emprise du magasin.
L'idée, qui venait des Etats-Unis, était de faire une sorte de C to B, c'est-à-
dire de qualifier fortement ces fichiers, quantitativement et qualitativement, pour
avoir des informations extrêmement détaillées sur une très grande masse de
consommateurs, afin de pouvoir traiter, recouper et revendre ces informations, en
fonction des besoins des entreprises, comme des données marketing et
8
WELLHOFF.A, MASSON.J.E. Opt.cit... page 226.
39
commerciales fondamentales. De la location de fichiers, ces entreprises
deviennent des sociétés d'études marketing.
Les usages sont multiples, par exemple; pour les services marketing des
industriels :
9
WELLHOFF.A, .MASSON.J.E. Opt.cit... page 229.
40
changement aura été fait. Toujours est-il que les sites de commerce électronique
sont généralement particulièrement tristes, spartiates, ils sont souvent
fonctionnels et visuellement peu attrayants.
Les enseignes marchandes qui ont une existence physique sont, sous cet
angle, nettement avantagées, d'où le fait que certains sites marchands
électroniques ouvrent également des magasins. Une solution pour maintenir un
contact humain souvent indispensable est le lien entre le site web et un centre
d'appel téléphonique (Web call center) ; outre le complément d'information,
l'internaute se sent rassurer par un véritable interlocuteur, et appréhende moins
d'indiquer son numéro de carte. Autre avantage, cette technique permet de
montrer le panier moyen et d'accompagner l'internaute, si nécessaire, dans sa
navigation (cobrowsing).
10
WELLHOFF.A, MASSON.J-E, Opt.cit.. page 233.
41
Les raisons pour lesquelles se créent ces places de marché (Market places)
sont les mêmes que pour les plates-formes EDI (échange de données
informatisées) :
42
L'avantage apporté pour le distributeur :
Conclusion
Et ceci, non seulement dans une optique de chiffre d'affaires, mais surtout
de profit...
43
III. L’aménagement et l’utilisation de l’espace de vente
Introduction
11
M.Vandercammen ; N.Jospin-Pernet Op.cit, P302
12
M.Filser ;V. Garets ; G.Paché ; La distribution Organisation et stratégie, 2éme édition, éditions EMS,
Paris,2012, P81.
44
- Le seuil de rentabilité d’un magasin détermine le chiffre d’affaires
minimum au m² qu’il doit réaliser;
Deux villes attirent le commerce d'une troisième, située entre les deux
premières et proche du point de rupture (où 50% de l'activité commerciale est
attirée par chacune des deux premières villes) en proportion directe de leur
population et en proportion inverse du carré des distances de ces deux villes à la
troisième.
13
WELLHOFF.A, .MASSON.J.E. Opt.cit... page 229.
45
La gravitation repose sur trois éléments : la masse de l'objet qui attire,
l'inertie de l'objet attiré et la distance entre les deux objets.
46
comme plus probabiliste. On n'affirme plus le côté déterministe ou inéluctable
d'un comportement, on préfère attribuer à un consommateur un certain
pourcentage de chance de se rendre dans un point de vente particulier. Concernant
les produits à fort degré d'implication, le consommateur est prêt à faire des efforts
de recherche pour ces produits, qui nécessitent une prospection dans différents
points de vente, le problème de la distance se pose de manière spécifique.
L'attraction du point de vente n'est plus, dans ce cas, une fonction continue et
décroissante de la distance. La distance est considérée selon des seuils : les
consommateurs vont accepter de parcourir plusieurs kilomètres de plus pour
trouver le produit qui leur convient. Au-delà d’un certain seuil de distance, les
consommateurs ne fourniront plus d’efforts. 14
14
G.Cliquet ; A.Fady ; G.Basset, Op.cit, P221-P222.
47
située aux alentours et qui constitue ce que l'on appelle la zone de chalandise. Les
taux de droit de passage ne sont pas les mêmes selon la durée du trajet.
Conclusion
Conclusion du partie 2
48
Conclusion General
Le stage est une phase essentielle et cruciale pour tout étudiant ayant suivi
une formation théorique. D'une part, il nous permet de voir la différence entre le
contexte de formation et le monde du travail et d'autre part, c'est une porte ouverte
sur la vie professionnelle ; ce qui permet au stagiaire d'augmenter sa vitesse
d'exécution et d'apprentissage à travers les tâches qui lui sont confiées.
Ce stage au sein du SYAF a été pour moi d'une importance capitale pour
ma formation. Il m'a permis de découvrir la vie professionnelle, d'acquérir une
expérience intéressante dans l'organisation du marketing.
À cet effet, ce travail restera pour moi une référence et un point de départ
pour apprendre, développer et améliorer mon savoir-faire ainsi que ma culture en
marketing.
49
Cependant, l'existence du commerce traditionnel hérité de nos ancêtres
(souks hebdomadaires et régionaux, épicerie de quartier, marché, etc.) a un autre
goût, et on ressent vraiment une nostalgie sincère pour ce dernier, qui exprime
notre fort attachement à nos origines, loin de la modernisation, et à l'ère de la
mondialisation portée par la technique comme moteur pour avancer.
50
Bibliographie
Ouvrage :
1 WELLHOFF. Alain, MASSON-Jean. Émile « le merchandising : bases,
techniques, nouvelles tendances » 6ème Édition, DUNOD, Paris 2005, page: 07
2 DEMEURE Claude, «marketing : Aide-mémoire », 6eme Édition, DUNOD,
Paris ,2008. Page : 167 2 DEMEURE Claude, opt.cit ..... Page: 170
3 WELLHOFF,.A, MASSON.J.E, Opt.cit, .. page 219
51
LES ANNEXES
ANNEXE N°1
52
ANNEXE N°2
53
ANNEXE N°3
54
ANNEXE N°4
55
ANNEXE N°5
56
ANNEXE N°6
57
ANNEXE N°7
ANNEXE N°8
58
Table des matières
Remerciements ................................................................................................................................. 2
SOMMAIRE........................................................................................................................................ 4
Introduction ...................................................................................................................................... 5
Partie théorique: Monographie de l’entreprise d’accueil ..................................................................... 6
I Présentation générale de l'entreprise ........................................................................................ 7
Fiche Technique de l’entreprise SYAF Lubrifiants ................................................................ 7
Émergence de SYAF Lubrifiants........................................................................................... 8
Activités effectuées par SYAF ............................................................................................. 9
Organigramme de l’entreprise SYAF Lubrifiants ................................................................ 10
La démarche de déroulement des actions commerciales .................................................. 11
Opérations d’achats.................................................................................................. 12
Opérations des ventes .............................................................................................. 13
Opérations de la saisie .............................................................................................. 15
II Mission effectuée: La saisie des informations sur Logiciel ......................................................... 18
1.1 SAGE 100 gestion commerciale (voir annexe N°5)............................................................. 18
La saisie des documents des stocks ........................................................................... 19
La saisie des documents des ventes .......................................................................... 20
Le classement manuel des dossiers........................................................................... 22
Partie pratique: problématique et développement ............................................................................. 24
Introduction .................................................................................................................................... 25
Problématique ................................................................................................................................ 25
I. La grande distribution et le merchandising ............................................................................... 26
Introduction ................................................................................................................................ 26
Concept de distribution .................................................................................................... 26
Définition ................................................................................................................. 26
Le rôle de la distribution ........................................................................................... 27
Concept du Merchandising ............................................................................................... 28
Définition ................................................................................................................. 28
Objectif .................................................................................................................... 29
Les types de merchandising ...................................................................................... 30
L’intérêt du merchandising ....................................................................................... 32
Evolution de merchandising...................................................................................... 33
Merchandising distributeur ...................................................................................... 34
59
Conclusion ............................................................................................................................... 34
II. Les nouvelles techniques du merchandising ............................................................................. 35
Introduction ............................................................................................................................ 35
2.1 Les nouveaux techniques du Merchandising ..................................................................... 35
Conclusion ............................................................................................................................... 43
III. L’aménagement et l’utilisation de l’espace de vente ............................................................ 44
Introduction ............................................................................................................................ 44
3.1 Implantation du point de vente ........................................................................................ 44
1.2 La localisation des points de vente ................................................................................... 47
Conclusion ............................................................................................................................... 48
Conclusion du partie 2 ................................................................................................................. 48
Conclusion General.......................................................................................................................... 49
Bibliographie ................................................................................................................................... 51
LES ANNEXES ................................................................................................................................... 52
Table des matières .......................................................................................................................... 59
60