Vous êtes sur la page 1sur 5

B.

MARWA
TD : Examen clinique en ORL

Interrogatoire : Motif de consultation/Histoire de la maladie/Antécédents/Habitudes/ profession : - menuisier/ travailleurs de bois


cancer de l’ethmoïde
Examen de la face et du cou:
EXAMEN DU COU : La région cervicale renferme peu de viscères. Elle contient : muscles, vaisseaux, nerfs, et des chaines GG
Cette région est accessible à l’inspection et la palpation.
Les chaines ganglionnaires cervicales sont classées en
 Cercle de Cunéo
 Groupe jugulo-carotidien.
 Groupe sus-claviculaire. Triangle de Rouvière
 Groupe spinale
Examen clinique :
 Malade assis ; ce qui lui permet de mobiliser sa tête dans tous les sens. 
L’examinateur se place derrière le malade.
Inspection :  précise l’état cutané : peau normale, inflammatoire,
rétractile, fistule cutanée.
 L’existence d’une masse cervicale, sa taille, sa topographie,

voire son caractère pulsatile.


Palpation : avec la pulpe des doigts. d’explorer : aires GG cervicales (consistance, mobilité, sensibilité). corps thyroïde. axes vx du cou.
Région sous-maxillaire et sous-mentale : palpation se fait tête inclinée en avant et vers le coté à examiner, les doigts en crochet
contre le bord inférieur de la mâchoireGG sous-maxillaires, glandes salivaires sous-maxillaires.
Région jugulo-carotidienne :SCM doit être relâché, tête inclinée sur le côté à explorer.
C’est le lieu de drainage lymphatique de toute la région cervico-faciale.
Région spinale : Zone accessible, plan musculaire est profond, C’est le siège de ganglions spinaux, certaines tumeurs nerveuses.
Région antérieure et médiane du cou : Zone accessible. siège de la charpente laryngée, mais surtout la thyroïde.
- La palpation du corps thyroïdien se fait en position tête penchée en avant, en insérant latéralement avec les doigts les lobes
thyroïdiens, et en demandant au patient d’effectuer des mouvements répétés de déglutition.
Rhinoscopie antérieure : Spéculum + miroir frontal
 Patient assis.  L’inspection : pyramide nasale (déformation ; déviation cloison).  L’introduction du spéculum.
Résultats : Deux parois : muqueuse nasale.
Latérale : cornets inférieur et moyen, les méats (inférieur et moyen). Médiale (cloison).
Anomalies : Muqueuse inflammatoire, hypertrophie des cornets, épistaxis, déviation de la cloison, polypes, tumeur
Rhinoscopie postérieure (cavoscopie) : au miroir – ou à l’optique
- Elle permet d’explorer le cavum et l’orifice postérieur des fosses nasales (choanes).
- Elle se fait à l’aide d’un miroir laryngé.
- pathologie tumorale (cancer du cavum).
NB : l’exploration des fosses nasales et le cavum peut être effectuée par la naso-fibroscopie.
Examen de la cavité buccale :Il faut examiner toute la cavité buccale, lèvres, gencives, dents, tissu
gingival latéral, muqueuse buccale, langue, plancher, pharynx , sécrétion salivaire
On note:
— l'aspect de la muqueuse et sa couleur (rouge vive chez l' éthylique, ardoisée en cas
d'insuffisance surrénalienne ou jaunâtre en cas d'ictère surtout en sous lingual)
— son état de surface — la présence de "plages blanches" —plages inflammatoires, de tumeurs
— on précise l'aspect de la salive — l'orifice du canal de Sténon
Les lèvres : On examine le bord muqueux, la commissure buccale, la face interne (la muqueuse doit être humide et lisse)
Couleur : Pâleur – anémie/ Cyanose-compression VCS, ICC, BPCO/ Rouge - policitemia vera/ Taches hyperpigmentées: sd de Peutz-
Jeghers
Le volume : ↑ myxædème, acromégalie, œdème Quincke, tumeurs
L'état du revêtement : Sécheresse, fissuration - déshydratation sévère- Vésicules - signe d'herpès (apparaît en pneumonie, méningite)
Ulcérations : infections, tumeurs (souvent chez les fumeurs), traumatismes
- Une induration  carcinome
Les gencives : La couleur normale : rose/ gencives pales = anémies/ rouges = inflammations (gingivites érythémateuses)
Modifications pathologiques de la muqueuse buccale :
Inflammations : stomatites
Hyperpigmentation muqueuse dans la maladie d'Addison
Stomatites (mucites buccales) :
Symptômes
- bouche sèche et rouge,
- douleurs, sensations de brûlure dans la bouche - œdèmes, ulcères ou saignements,
Formes cliniques
- Érythémateuse : la muqueuse est rouge, lisse et gonflée (fumeurs, mauvaise hygiène dentaire, maladies infectieuses, intoxication
chronique par des métaux lourds
- Aphteuse Paralysie du nerf hypoglosse (XII) gauche -
- Ulcéro-hémoragique déviation de la langue vers le côté paralysé
La langue a la protrusion
- on note sa couleur et la surface (veloutée)
-on cherche d'induration, changement de la couleur
- mobilité de la langue, déviation latérale de la langue à la protrusion (paralysie unilatérale du nerf XII), la présence des tremblements
Le volume : - macroglossie : myxœdème, acromégalie, œdème Quincke, tumeurs, amylose
- Microglossie : congénitale, paralysie générale progressive, lésion du nerf IX
Causes de la langue saburrale
lors d'épisodes fébriles / infectieux des VADS/ au cours des affections digestives 
 Un enduit blanchâtre constitué de squames, de débris alimentaires et d'une flore bactérienne
saprophyte recouvre la face dorsale de la langue, il se détache au raclage à l'abaisse-langue et la muqueuse
apparaît normale au-dessous, indolore et disparaît avec la guérison de la cause
Tumeur maligne : carcinome épidermoïde :ulcération indurée persistante
Examen du pharynx – amygdales  : a l’aide d’un abaisse langue
Examen du larynx
Interrogatoire : Age, sexe du patient/ Motif de consultation : dysphonie, bruit laryngé, dyspnée laryngée,
dysphagie haute, masse cervicale médiane/ ATCD: allergiques, profession, habitudes toxiques (alcool, tabac), TBC/ Signes associés :
fièvre, adénopathies cervicales, altération de l’état général, signes de lutte respiratoire, cyanose …/ Mode évolutif : aigu, chronique.
Examen clinique :
L’inspection : les cicatrices d’intervention ou traumatiques, l’état de la peau en regard (normale, inflammatoire, fistulisation …..,)
La palpation : cartilages du larynx, à l’état physiologique la mobilisation des cartilages  craquement audible = signe de MOORE (+), dans
certaines pathologies tumorales le signe de MOORE est négatif.
Laryngoscopie indirecte ( L.S.I ) : vision du larynx à l’aide d’un miroir (vue réfléchie)
Matériels :  Miroir laryngé.  Source lumineuse ( miroir de Clar ).
 Malade est assis en face du médecin.
 Ouvrir la bouche, tirer la langue, placer le miroir laryngé contre la paroi postérieure de l’oropharynx.
 Le malade doit respirer librement par la bouche, en lui faisant dire « é » ou « i », pour apprécier mieux la filière et
surtout la mobilité des cordes vocales.
Données de l’examen : Base de la langue/ Epiglotte/ Cordes
vocales, bandes ventriculaires/ Région sous-glottique (premiers
centimètres de la trachée)/ Hypopharynx ( sinus piriformes ).
Elle permet de préciser l’aspect lésionnel : Inflammatoire/ Tumoral .

La nasofibroscopie : fait partie de l’examen clinique, offrant un


confort pour le malade et l’examinateur, permettant d’explorer les
voies aériennes des narines jusqu’à larynx

Examen otologique
Inspection : pavillon, implantation de l’oreille (normo-implantation : la ligne passant du cantus externe de l’œil jusqu’à l’occiput croise
1/3 sup du pavillon de l’oreille sinon si l’oreille passe sous cette ligne virtuelle = basse implantation)
A) - Les malformations congénitales de l’oreille :
1- Microties : oreille de petite taille => 3 types

2- Fistule péri-oriculaire
Peuvent cacher un syndrome BOR
3- Condylome pré tragien (appendice cartilagineux)
N.B : Une malformation de l’oreille externe peut masquer un sd poly malformatif : syndrome de Goldmann (malformation cardiaque),
BOR (Sd branchio-oto-rénal)
B) - Les malformations acquises :
1- Périchondrite : inflammation ou infection provoqué par le traumatisme du cartilage (piercing, piqure d’insecte,…)
- C’est l’apanage des jeunes filles qui font un piercing dans des conditions d’asepsie non rigoureuse
- Tuméfaction du pavillon rouge hyper douloureuse avec collection purulente
- PEC immédiate (urgence)  risque de nécrose du cartilage amputation du pavillon
- Drainage+ double ou triple ATB gle + changement quotidien du pansement
(N.B : le périchondre est une membrane conjonctive recouvrant le cartilage)
2- zona auriculaire (urgence): réactivation VZV dans le GG géniculé (structure anatomique qui fait jonction
entre la 1ère et 2ème portion du nerf facial) suite a une ID  fébricule, AEG, myasthénie, sd sensitif (otalgie=
douleur de type brulure ou sensation de cuisson) , après la disparition de la dlr  apparition des vésicules remplies
de liquide jaune citrin qui s’éclosent laissant place et des croutes cicatricielles rétractiles
- Associé a une PFP
- Sd de Sicard : zona+ PFP + signes cochléo-vestibulaire (vertiges, surdité brusque, acouphènes)
- PEC : hospitalisation + CRTC+ Antiviraux + soins locaux : éosine (pour l’assèchement des vésicules) , parfois
antalgique pallier 2 ou 3
Otoscopie : examen du CAE et du tympan
50-60 % des consultations pédiatriques sont pour un motif ORL
COMMENT ? :
 L’otoscope (spéculum) doit être maintenu par la main du même côté de l’oreille examinée,
 Il doit être maintenu entre le pouce et l’index comme un stylo,
 L’autre main doit tirer avec prudence le pavillon de l’oreille vers le haut et l’arrière,
 Pour introduire prudemment l’otoscope dans le CAE
- Tympan normal : couleur gris perlé semi transparent (transparent par endroit),bien tendu
autour du cadre tympanique (annulus), reliefs présents
(ombilic=umbo=spatule, manche et ligament du marteau),
présence du triangle lumineux (cadrant antéro-inf)
Devisé en 4 quadrants par deux lignes :
1- Verticale le long du manche du marteau (ant/pos)
2- Horizontale passe par l’ombilic (sup/ inf)
N.B : le cadre tympanique est un épaississement du mb
tympanique qui forme une barrière entre la peau du conduit
et caisse du tympan
2 membranes : 4/5  pars tensa / 1/5  mb de shrapnell (pars flaccida) : fragile
- Tympan pathologique : perforé, congestif, épaissie, bombé, rétracté Cholestéatome : présence de
Perforation Centrale : Perforation marginale peau dans l’oreille moyenne par
 pars tensa  Touche le shrapnell
une perforation marginale =>
 ne touche pas le cadre annulaire (annulus)/ structures  Touche le cadre osseux,
caractère érosif (complication :
osseuses/ les osselets  Parfois atteins les osselets,
PFP, Sd vestibulaire,
 l’appanage des OMC simples (ou otite muqueuse ouverte)  Souvent l’apanage des OMC
cholestéatomateuses, labyrinthite)

Bouche de cérumen (le cérumen forme une


Barrière physico-chimique contre les germes) : Bouchon épidermique :
Perte du caractère de l’autonettoyage accumulation des débris de
(utilisation excessive des cotons tiges) Hypoacousie
desquamation de la peau (kératine)

Corps étranger (cafard, Exostoses du CAE : dévloppement anarchique de l’os dans CAE
insecte,
L’ail chez les adultes âgés pour - Apanage des sports aquatiques : la piscine, la plongée
baisser la PA) - Empechent l’autonettoyage ==> infections otologiques, baisse
Acuité auditive, bouchons  TRT chirurgical
Furoncle du CAE : folliculite : infection bactérienne du follicule pilo-sébacé due au staph doré
Très douloureuse (otalgie insomniante), ATCD : piscine, hammam
TRT : percer le bouton par une aiguille + ATB + gouttes antalgiques
Possible évolution vers une otite externe nécrosante
Otite externe nécrosante : Grave et fatale
Apanage sujet âgé, diabétique, ID, Ice Rénale, chimio
Ostéomyélite de l’os temporal  base du crane (les ATB diffusent mal dans l’os) = atteinte des
paires crâniennes : PFP (7), sd du Gradenigo : inflammation de l’apex pétreux : apicite (otorrhée,
douleur rétro-orbitaire (5), diplopie (6), OMA  pointe du rocher
URGENCE=> Hospitalisation, imagerie, triple ATB (claforan, flayl, aminosides), surveillance
Otomycose : champignon de l’oreille (piscine, douches collectives) SF : prurit
Candida albicans : touffe blanchâtre Aspergillus : noir
TRT : arrêter l’humidification de l’oreille (les mycoses sont hydrophiles), antimycosique (pévaryl) pd 21j (5 gouttes 2 fois/j) => rester
allonger pd 15- 20 min
Perforation post traumatique du tympan : perforation non marginale avec des berges réguliers
Une simple gifle peut entrainer une perforation par effet blast

Otite séro-muqueuse : présence de liquide derrière une mb tympanique intègre


Physiopath : dysfonctionnement de la trompe d’Eustache  ventilation de l’oreille n’est pas
assurée  accumulation de sécrétions dans l’oreille moyenne
OSM chez l’Adulte  endoscopie  cancer du cavum (Algérie zone endémique) : UCNT
Cause de surdité la + fréq chez l’enfant  troubles d’apprentissage
Présence de bulles d’air (niveaux hydro-aériques)
TRT : médical (CRTC, ATB) si échec pose de drain trans tympanique
Otite moyenne aigue : 3 stades
1- Congestive : tympan congestif, rougeâtre
2- Collectée (suppuré) : aspect bombé du tympan vers l’extérieur
3- Perforée : éclatement du tympan sous l’effet de pression
Stade séquellaire (dernière image) : perforation en «pis de vache»=> mastoidite
TRT : avant 2 ans  ATB systématique
Plus de 2 ans : antipyrétique, antalgiques jamais AINS (source de cellulite)
Fièvre =/= infection bactérienne (éviter l’usage anarchique des ATB)
Otite moyenne chronique simple : perforation centrale non marginale
Otite moyenne chronique cholesteatomateuse : aspect sale (perte de caractère
d’autonettoyage) otorhéés fétides nauséabondes intarissables ne répond pas au trt médical  perforation
marginale : masse blanchâtre squameuse
Traitement chirurgical
Otite moyenne chronique : OMC : otite adhésive :
plaque de tympanosclérose : Tympan attiré par O.Moyenne
dépôt de débris de calcaire  aspect de drap mouillé
=> baisse de l’audition

Examen du paires craniens :


I olfactif =>Troubles de l’audition
Qualitatifs Quantitatifs
Cacosmie : Objective : ressent une mauvaise odeur intrinsèque 2nd Anosmie : absence de l’odorat (SARS-Cov2)
a une infection naso-sinusienne, mauvais état buccodentaire, RGO Hyposmie : diminution de l’odorat (ressent uniquement les
, infections broncho-pulm odeurs fortes nauséabondes)
Fantosmie : subjective, hallucination olfactive schizophrénie
Parosmie : paradoxale : distorsion des odeurs / SEP, parkinson,
tm cérébrales

II optique AV, champ visuel


III oculomoteur commun : innerve tous les muscles de l’oculomotricité mise à part (droit externeabducens 6, oblique supérieur
(grand oblique)pathétique 4)
Releveur de la Paupière supérieure  Atteinte= ptosis / Pupille : myosis (m.constricteur)mydriase aréactive/ Strabisme divergent
IV pathétique (trochléaire) :
Grand oblique : monter les escalier vision vers le bas et en dedans
Diplopie verticale (un objet devant l’autre)
Pour corriger le flou visuel (dans le regard vers le bas)  attitude pathétique : incliner la tête vers le côté sain
VI abducens : responsable du regard vers l’extérieur
 si atteinte : strabisme convergent + diplopie horizontale
V trijumeau nerf mixte sensitivo-moteur
V1 ophtalmique : sensibilité du cuir chevelu (névralgie du V=névralgie suicidaire : dlr atroce au niv du cuir chevelu), front, sourcils,
paupiere sup, GO (iris, sclère), racine et le dos du nez
V2 maxillaire : joue, paupière inf, aile du nez, levre sup, sensibilité des dents
V3 mandibulaire : menton, lèvre inf, dentition inf, région latérale
Test : demander au patient de fermer les yeux, et stimuler par une épingle les deux cotés de la face
Réflexe cornéen (V,VII)
VII Faciale
Fonction Motrice : innerve tous les muscles de la face mis a part le releveur de la paupière supérieure
Muscle stapès réflexe stapédien : protéger contre les sons aigus + M mineurs de déglutition : ventre post du digastrique, stylo-hyoidien
Sensitive : zone de ramsey hunt (tragus, antétragus, paroi post du CAE, conque, partie du tympan)
Sensorielle : 2/3 ant de la langue (le 1/3 post 9)
Sécrétoire : sécrétion salivaire sub linguale et sub mandibulaire (parotide=9, lacrymo-nasale)
Atteinte => charl bell … consulter le cours
VIII auditif (cochléo-vestibulaire) :
Cochléaireaudition : voix chuchotée, voix haute, basse , acoumétrie (weber, Rinne)

Weber (latéralisation) : Nle indifférent


TM : transmission-malade (weber positif
+)
PS : perception-sain (négatif -)
Rinne (conduction)=> Nle : CA> CO
ST: CA < CO (Rinne négatif)
SP: CA> CO ( Rinne +)
Vestibulaire
Vertiges : sensation erronée de déplacement des objets
Nystagmus : 2 secousses lente (montre la lésion), rapide ramener l’œil a sa position initiale
Il existe un nystagmus physiologique chez les enfants
L’équilibre :
• La réaction posturale ou test de Romberg : on demande au patient de se tenir debout, les yeux
fermés, tallons joints. Le sujet normal va garder la position.
 Piétinement aveugle de FUKUDA
• La marche aveugle : on demande au patient de marcher sur une ligne imaginaire. Chez le sujet
normal, il n’y a pas de déviation
• L’épreuve des index : on demande au patient de tendre ses bras en avant en pointant ses index
devant lui, les yeux fermés. Le sujet normal ne dévie pas.

Ainsi en cas de syndrome vestibulaire périphérique DROIT par exemple :


• test de Romberg : le patient va avoir tendance à chuter vers la droite.
• L’épreuve des index : les index du sujet vont dévier progressivement vers la droite.
• La marche aveugle : marche en étoile :au lieu de marcher en avant/ arrière déviation vers droite, formant ainsi une étoile.
• L’examen des mouvements oculaires : on retrouve un nystagmus dont la phase rapide bas à gauche (phase de rappel) et la phase lente bas vers la
droite. La phase lente a le même sens que les déviations segmentaires. On parlera de nystagmus GAUCHE
N. B : toutes les déviations segmentaires se font donc dans le même sens= syndrome vestibulaire « harmonieux ».
IX Glosso-pharyngien sensibilité du pharynx, amygdales, voile du palais, mvmts des muscles du pharynx, sensibilité gustative u 1/3
post de la langue, sécrétion salivaire de la glane parotide
Si atteinte : Abolition du réflexe nauséeux, troubles de déglutition, agueusie 1/3 post de la langue, assèchement buccal
X Vague : mouvement du larynx = cordes vocales (dysphonie/ voix bitonale), réflexe de contraction du voile du palais (régurgitation
nasale), mvmts paroi post du pharynx (signe du rideau :paroi post du pharynx attiré vers le coté sain)
XI accessoire=spinal nerf purement moteur : mvmt du trapèze (chute de l’épaule ou diminution de son tonus), mvmts latéraux du
cou = SCM (tourner la tete contre une résistance)
XII hypoglosse : protrusion de la langue vers le coté paralysé (m. génio-glosse)

Vous aimerez peut-être aussi