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DEFINITION

Le terme consultant (ou conseil) convient à toute personne (ou groupe de personnes) qui
répond à la demande d’aide d’un client. Le consultant peut être un individu seul ou une équipe
de personnes sollicité pour son expertise, être spécialisé dans un domaine tel que le
management, la formation ou le recrutement. Et dans la méthodologie de l’activité de
consultation, soit le processus. Le consultant est chargé de maîtriser des dysfonctionnements,
de préconiser des « remèdes », mais plus rarement d’en assurer la mise en œuvre, la
concrétisation finale appartient au dirigeant. Le consultant n’a aucune autorité directe pour
faire des changements ou implanter des programmes dans une organisation, sinon il agirait
non plus comme conseil mais comme gestionnaire.
Le consultant ne fournit qu’une aide au client ; suite aux recommandations qu’il préconise,
seul le dirigeant est responsable de la prise de décision. Le consultant peut être externe ou
interne au système-client.

1. LE CONSULTANT EXTERNE
Le consultant externe est totalement indépendant de l’organisation dans laquelle il intervient,
tant du point de vue juridique que du point de vue administratif. En général, une organisation
fait appel à un consultant externe lorsqu’une des situations suivantes se présente :
– l’organisation ne possède pas en interne les ressources spécialisées nécessaires pour réaliser
une mission, un projet de service, etc. ;
– l’extériorité et la neutralité du consultant constituent des paramètres essentiels pour la
réussite de la mission ;
– l’organisation n’a pas le temps nécessaire pour accomplir le travail souhaité, même s’il
existe des ressources internes compétentes ;
– la confidentialité.

2. LE CONSULTANT COACH

Depuis deux à trois ans, on voit apparaître une nouvelle cohorte de consultants : le consultant-
coach. Ils se présentent comme une race à part. Il semble bien que le coaching existait avant
même que le mot ne fut créé.
Le coaching est apparu et se développe parce qu’il permet de compenser des organisations du
travail certes plus efficaces à court terme, mais plus avares de lieux, de temps et de parole.

3. LE CONSULTANT INTERNE

L’appel à un consultant interne doit tenir compte de sa position dans l’entreprise. Il est
souhaitable qu’il soit placé suffisamment en extériorité du service concerné par le projet.
Cependant, si la mission concerne l’ensemble de l’organisation (par exemple un projet
d’entreprise), il apparaît essentiel que la personne (ou les personnes) pressentie prenne un
recul suffisant par rapport à l’action engagée.

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