Vous êtes sur la page 1sur 176

Cas Clinique

IST
Partie 1
Dr. Makram www.themegallery.com
Koubaa L/O/G/O

27/07/2020
Cas clinique
▪ Mr N. G. âgé de 29
ans consulte pour
Brulures mictionnelles
▪ Apparu 48 H après
sortie en boîte de nuit
▪ A l’examen:
▪ Temp = 37.8°C
▪ Examen des OGE
Quel est votre Dg ?
◼ Urétrite = inflammation de l’urètre d’origine
infectieuse et sexuellement transmissible

◼ Ecoulement : purulent, muco-purulent, séreux


ou hémorragique

◼ ≥10 PNN sur le culot de centrifugation du 1er


jet d’urine (même en l’absence d’écoulement).

◼ ≥ 5 PNN en présence d’écoulement


QROC

Citer les 2 principaux germes responsables


d’urétrite en Tunisie :
QROC

Citer les 2 principaux germes responsables


d’urétrite en Tunisie :

• Gonocoque
• Chlamydia trachomatis
Quel complément d’interrogatoire ?

▪ Recherche de rapports sexuels non protégés

▪ Partenaire

▪ Date

▪ Recherche d’autres IST


IST: définition ?
▪ Différents types d’infections qui peuvent se
transmettre par les activités sexuelles :

• Rapports sexuels oraux

• Rapports sexuels vaginaux

• Rapports sexuels anaux

• Contact de peau à peau


IST: définition ?

Infections Sexuellement Transmissibles (I.S.T)

Maladies Sexuellement Transmissibles Maladies vénériennes


I.S.T : Classification

Classification clinique Classification étiologique


I.S.T : Classification clinique
Ecoulements

Ulcérations
Végétations

Douleurs pelviennes chez la femme

Sans atteinte génitale


apparente

I.S.T asymptomatiques ➔ Rôle important


dans la propagation
Les virus responsables d’infections sexuellement
transmissibles sont :
A. Virus Coxsackie A

B. Virus de l’hépatite B

C. Virus de l’hépatite C

D. Human papilloma virus

E. Cytomégalovirus
Les virus responsables d’infections sexuellement
transmissibles sont :
A. Virus Coxsackie A

B. Virus de l’hépatite B

C. Virus de l’hépatite C

D. Human papilloma virus

E. Cytomégalovirus
B–D–E
Enumérer quatre principales IST virales en
Tunisie :
Enumérer quatre principales IST virales en
Tunisie :

1. L’herpès génital
2. L’infection par papillomavirus
3. L’hépatite B
4. L’infection par le VIH
Cas clinique
▪ Mr N. G. âgé de 29
ans consulte pour
Brulures mictionnelles
▪ Apparu 48 H après
sortie en boîte de nuit
▪ A l’examen:
▪ Temp = 37.8°C
▪ Examen des OGE
Quel germe suspectez-vous?
A. Chlamydia trachomatis
B. Mycoplasma genitalium
C. Neisseria gonorrhoeae
D. Ureaplasma urealyticum
E. Trichomonas vaginalis
Quel germe suspectez-vous?
A. Chlamydia trachomatis
B. Mycoplasma genitalium
C. Neisseria gonorrhoeae
D. Ureaplasma urealyticum
E. Trichomonas vaginalis

Réponse : C
Les gonocoques :

A. sont des diplocoques à Gram négatif


B. peuvent secréter une  lactamase
C. sont des bactéries exclusives de l’espèce humaine
D. résistent dans le milieu extérieur
E. peuvent occasionner des arthrites aiguës
Les gonocoques :

A. sont des diplocoques à Gram négatif


B. peuvent secréter une  lactamase
C. sont des bactéries exclusives de l’espèce humaine
D. résistent dans le milieu extérieur
E. peuvent occasionner des arthrites aiguës

A–B–C–E
Le bactériologiste vous répond :
Urétrite gonococcique

Diplocoque gram (-) en grain de café


QCM
Chez l’homme, l’urétrite à gonocoque :

A. a une incubation courte de 4 à 6 jours

B. peut s’accompagner d’une balanite

C. est caractérisée par un écoulement clair peu abondant

D. s’accompagne de brûlure mictionnelle intense

E. s’accompagne de fièvre
QCM
Chez l’homme, l’urétrite à gonocoque :

A. a une incubation courte de 4 à 6 jours

B. peut s’accompagner d’une balanite

C. est caractérisée par un écoulement clair peu abondant

D. s’accompagne de brûlure mictionnelle intense

E. s’accompagne de fièvre

A –B – D
QCM
Les complications d’une vulvo-vaginite
gonococcique chez la femme sont :

A. Endométrite
B. Salpingite
C. Pelvipéritonite
D. Syndrome de Curtis
E. Cervicite
QCM
Les complications d’une vulvo-vaginite
gonococcique chez la femme sont :

A. Endométrite
B. Salpingite
C. Pelvipéritonite
D. Syndrome de Curtis
E. Cervicite
A-B-C-E
QCM

Parmi les complications de l’infection à gonocoque :

A. La stérilité
B. Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter
C. La salpingite
D. La conjonctivite
E. L’oligo-arthrite
QCM

Parmi les complications de l’infection à gonocoque :

A. La stérilité
B. Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter
C. La salpingite
D. La conjonctivite
E. L’oligo-arthrite

A–C–D-E
Urétrite: Germes incriminés ?

1 Neisseria gonorrhoeae

2 Chlamydia trachomatis

3 Mycoplasma genitalium

4 Ureaplasma urealyticum

5
3 Trichomonas vaginalis
QCM
Chez l’homme, l’urétrite à Chlamydia trachomatis :

A. a une incubation de 10 à 15 jours


B. est caractérisée par un écoulement purulent jaunâtre
C. peut rester asymptomatique
D. s’accompagne de fièvre
E. peut se compliquer d’une orchi-épididymite
QCM
Chez l’homme, l’urétrite à Chlamydia trachomatis :

A. a une incubation de 10 à 15 jours


B. est caractérisée par un écoulement purulent jaunâtre
C. peut rester asymptomatique
D. s’accompagne de fièvre
E. peut se compliquer d’une orchi-épididymite

A–C-E
Diagnostic clinique : Gonococcie
• Chez l’homme : 3 types d’atteinte
– Incubation de 2 à 7 jours
– Urétrite antérieure aigue : brûlures mictionnelles,
écoulement purulent, inflammation du méat, risque de
prostatite et d’épididymite

– Rectite gonococcique : prurit anal, anite purulente, souvent


asymptomatique

– Oropharyngite : souvent asymptomatique


Diagnostic clinique : Gonococcie
• Chez la femme :
– Le plus souvent asymptomatique
– Cervicite discrète ou purulente
– Pesanteur pelvienne, leucorrhées purulentes
– Urétrite

– Risque de complications sur le haut appareil avec stérilité


tubaire, algies pelviennes inflammatoires et risque de
grossesse extra-utérine
• Dans les deux sexes :
– Tableau septicémique avec fièvre, oligo ou monoarthrite,
papules et papulo-pustules péri-articulaires
Les localisations extra-génitales du gonocoque
sont :

A. Ano-rectites

B. Pharyngite

C. Rétinite

D. Bactériémie

E. Arthrite
Les localisations extra-génitales du gonocoque
sont :

A. Ano-rectites

B. Pharyngite

C. Rétinite

D. Bactériémie

E. Arthrite

A–B–D-E
Diagnostic clinique : Infection à
Chlamydia trachomatis
• Chez l’homme :
– Incubation variable (jours ou mois)

– Urétrite subaigue : brûlures mictionnelles, écoulement


clair inconstant (50%) risque de prostatite et d’épididymite

– Kérato-conjonctivites et arthrites

– Syndrome de Fiessinger Leroy Reiter : conjonctivite,


polyarthrite asymétrique, talalgies, tendinites, balanite,
lésions psoriasiformes
Diagnostic clinique : Infection
à Chlamydia trachomatis

• Chez la femme :
– Souvent asymptomatique (50 à 90%)

– Cervicite avec leucorrhées, urétrite, dyspareunie. Col utérin


fragile, hémorragique avec sécrétions

– Transmission pendant la grossesse avec kérato-conjonctivite


et pneumonie chez le nouveau né

– Risque de salpingite et de stérilité tubaire


Trichomonas vaginalis
• Gros parasites ronds flagellés, rares et fragiles, confondus avec
les cellules

• Examen CAPITAL à l’état frais : parasite mobile entre lame et


lamelle reconnaissable à ses mouvements saccadés

• Ecouvillon sec et écouvillon sur coton humidifié

• Prélèvements du cul-de-sac vaginal postérieur ou latéral

– pour frottis coloré

– mais surtout examen direct si le laboratoire est à côté et pour


culture
QCM

Indiquez la (les) forme(s) parasitaire(s) de Trichomonas vaginalis


responsable(s) de la contamination interhumaine :

A. Kyste
B. Oocyste
C. Gamétocyte
D. Forme végétative
E. Larve
QCM

Indiquez la (les) forme(s) parasitaire(s) de Trichomonas vaginalis


responsable(s) de la contamination interhumaine :

A. Kyste
B. Oocyste
C. Gamétocyte
D. Forme végétative
E. Larve

D
QCM
Les pertes vaginales au cours d’une
vulvo-vaginite à T. vaginalis sont :

A. verdâtres
B. peu abondantes
C. malodorantes
D. accompagnées de dyspareunie
E. accompagnées de prurit
QCM
Les pertes vaginales au cours d’une
vulvo-vaginite à T. vaginalis sont :

A. verdâtres
B. peu abondantes
C. malodorantes
D. accompagnées de dyspareunie
E. accompagnées de prurit

A–C–D-E
Mycoplasmes
•Mycoplasma genitalium (Mg)
•Mycoplasma hominis (Mh)
•Ureoplasma urealyticum (Uu)
➢Aucun prélèvement génital n’est stérile de mycoplasmes.

➢Les mycoplasmes ne sont pas franchement responsables


d’IST,
➢Sauf Mycoplasma genitalium (Mg), responsable
d’urétrites chez l’homme.
Urétrite: Clinique
Urétrite aigue Urétrite subaiguë
Incubation Courte: 24H à 48H Longue: 2 à 3 sem
Le germe(+)frq Gonocoque: 90% CT: 90%
◼Début aigue ◼Début insidieux et
◼Écoulement progressive
Clinique précédé par un gène ◼«gtte matinale»
◼Vert pistache précède les urines
◼Chaude pisse ◼Tache transparente
◼Une gtte précède ou méat accolé au
les urines puis de + slip
en + augmenter ◼Pas dl parfois
dysurie et pollakiurie
QCM
Parmi les agents infectieux suivants, lesquels peuvent
être responsables d’urétrite :
A. Chlamydia trachomatis

B. Neisseria gonorrhoeae

C. Ureaplasma urealyticum

D. Trichomonas vaginalis

E. Candida albicans
QCM
Parmi les agents infectieux suivants, lesquels peuvent
être responsables d’urétrite :
A. Chlamydia trachomatis

B. Neisseria gonorrhoeae

C. Ureaplasma urealyticum

D. Trichomonas vaginalis

E. Candida albicans

A–B–C–D–E
QCM

Citer 3 manifestations extra-génitales de


l’infection à Chlamydia trachomatis?

• Péri-hépatite de Fitz-Hugh et Curtis


• Syndrome de Fiessinger Leroy Reiter
1. Arthrite
2. Pelvi-péritonite
3. Ano-rectite
Comment identifier le germe ?

Conditions
► Prélèvements à effectuer le matin, avant
toute toilette et avant la première miction

► Avant tout traitement antimicrobien ou local

► Noter l’aspect de l’écoulement

► Préciser le site de prélèvement


Prélèvement urétral ou endocol :
bactériologie standard
Ecouvillon coton
PCR
Ecouvillon IFD : sur la lame
type Bactopick PCR

1 écouvillon Milieu de transport pour la


type Bactopick recherche de U. urealyticum
Ou coton et M. hominis

ECBU du 1er jet PCR Chlamydia trachomatis++


Prélèvement endocol :
Prélèvement urétral
Auto-prélèvement :
Urétrite: Siège du prélèvement

Homme
Méat
Urétre
Massage prostate
(subaiguë)

Femme
Deux sexes Urétre
Prélèvements anaux Endocol
& pharyngés
=> systématiques Orifices glandulaires
(Skène, Bartholin)

Examen direct, culture + antibiogramme


Cervicite à Chlamydia trachomatis
QROC

Citer 2 molécules actives sur le gonocoque :

• Ceftriaxone

• Azithromycine
QCM
Les antibiotiques indiqués dans les urétrites à gonocoque sont :

A. Spectinomycine (Trobicine®)
B. Gémifloxacine
C. Amikacine
D. Cefixime (Oroken ®)
E. Ceftriaxone (Rocéphine®)
QCM
Les antibiotiques indiqués dans les urétrites à gonocoque sont :

A. Spectinomycine (Trobicine®)
B. Gémifloxacine
C. Amikacine
D. Cefixime (Oroken ®)
E. Ceftriaxone (Rocéphine®)

A–B–D–E
La sérologie de Chlamydia trachomatis :

A. consiste à réaliser deux prélèvements à 15 jours


d’intervalle
B. réalisée par la technique d’immunofluorescence
indirecte
C. est toujours positive dans les infections génitales
basses
D. doit être réalisée avant toute antibiothérapie
E. est spécifique d’une infection génitale
La sérologie de Chlamydia trachomatis :

A. consiste à réaliser deux prélèvements à 15 jours


d’intervalle
B. réalisée par la technique d’immunofluorescence
indirecte
C. est toujours positive dans les infections génitales
basses
D. doit être réalisée avant toute antibiothérapie
E. est spécifique d’une infection génitale

A–B
QROC

Citer 2 molécules actives sur Chlamydia

trachomatis :

• Cyclines (Doxycycline : 200mg/j)

• Azithromycine
QCM
Les antibiotiques indiqués dans les urétrites à Chlamydia

trachomatis sont :

A. Azithromycine (Zithromax)
B. Doxycycline (Vibramycine)
C. Ofloxacine (Oflocet)
D. Amoxicilline
E. Métronidazole (Flagyl)
QCM
Les antibiotiques indiqués en empirique dans les urétrites
à Chlamydia trachomatis sont :

A. Azithromycine (Zithromax)
B. Doxycycline (Vibramycine)
C. Ofloxacine (Oflocet)
D. Amoxicilline
E. Métronidazole (Flagyl)

A–B
Conduite Thérapeutique ?
▪ TRAITEMENT = DOUBLE +++
▪ Anti N. gonorrhoeae et anti C. trachomatis
▪ Tt « minute » anti gonococcique
▪ En l’absence de complications et de
localisation extra-génitale
• SPECTINOMYCINE 2 gr. IM.(Non disponible)

• CEFTRIAXONE 500 mg IM +++ (pharynx)


• CEFIXIME 400 mg PO +++
• AZITHROMYCINE 1 gr PO
Conduite Thérapeutique ?
▪ Tt « long » anti-Chlamydiae (associé dans 15 à
40 %)

▪ Efficacité égale sur Mycoplasmes (sauf

M. genitalium)

• DOXYCYCLINE 200 mg/jr x 7 jrs +++

▪ Tt « minute » anti-Chlamydiae

• AZITHROMYCINE 1 gr PO
QCM
Le traitement d’une urétrite à gonocoque nécessite :

A. une dose unique d’un antibiotique actif


B. une durée de traitement de 10 jours
C. l’association d’un antibiotique actif sur
Chlamydia trachomatis
D. l’association systématique de 2 antibiotiques
actifs sur gonocoque
E. une durée de 3 jours si elle est associée à une
atteinte extra génitale
QCM
Le traitement d’une urétrite à gonocoque nécessite :

A. une dose unique d’un antibiotique actif


B. une durée de traitement de 10 jours
C. l’association d’un antibiotique actif sur
Chlamydia trachomatis
D. l’association systématique de 2 antibiotiques
actifs sur gonocoque
E. une durée de 3 jours si elle est associée à une
atteinte extra génitale
A–C
Protocole recommandé

Ceftriaxone 500 mg en IM
+
doxycycline 100 mg x 2 /j ➔ 7 j
ou
Azithromycin 1 g Po
Si allergie sévère au C3G:
Azithromycine 2 g en monoprise
+ Contrôle bactério à J7
Cas clinique : Suite …
▪ Après l’arrêt du traitement :
persistance d’un écoulement intermittent

▪ Pourquoi ?
Ecoulement persistant !
1. Compliance au traitement ?
2. Réinfection ? Traitement du partenaire ?
3. Abstinence (1 semaine)
4. N. gonorrhoeae résistant ?
5. Exceptionnel C. trachomatis résistant ?
6. Prostatite ? Orchiépididymite?
7. Mycoplasma genitalium ?
8. T. vaginalis ?
9. Cause psychogène ?
Comment traiter une urétrite ?

Privilégier le traitement
minute
Abstinence
7 jours
Règles

Traitement du
partenaire (2 mois)
Comment contrôler ce patient ?

▪ Contrôle clinique et microbiologique à J7


si pas de Céftriaxone (pharyngé)

▪ Persistance de signes isolés: ne pas


retraiter systématiquement

▪ Contrôles sérologiques à M1 et M3
Les complications à craindre suite à une urétrite à
gonocoque incorrectement traitée, sont:

A- La prostatite

B- L’orchi-épididymite

C- La salpingite chez la partenaire

D- Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter

E- Le syndrome de Fitz-Hugh-Curtis
Les complications à craindre suite à une urétrite à
gonocoque incorrectement traitée, sont:

A- La prostatite

B- L’orchi-épididymite

C- La salpingite chez la partenaire

D- Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter

E- Le syndrome de Fitz-Hugh-Curtis
A–B–C
QCM
Une uréthrite aiguë à gonocoque peut se compliquer de :

A. Arthrite aiguë
B. Glomérulonéphrite
C. Epididymite
D. Ostéite
E. Stérilité
QCM
Une uréthrite aiguë à gonocoque peut se compliquer de :

A. Arthrite aiguë
B. Glomérulonéphrite
C. Epididymite
D. Ostéite
E. Stérilité

A – C –E
Les agents infectieux responsables d’une cervico-
vulvovaginite sexuellement transmise sont :

A. Chlamydia trachomatis

B. Neisseria gonorrhoeae

C. Mycoplasma genitalum

D. Candida albicans

E. Trichomonas vaginalis
Les agents infectieux responsables d’une cervico-
vulvovaginite sexuellement transmise sont :

A. Chlamydia trachomatis

B. Neisseria gonorrhoeae

C. Mycoplasma genitalum

D. Candida albicans

E. Trichomonas vaginalis

A–B–D–E
QROC

Quel est le traitement d’une vulvo-vaginite


à T. vaginalis chez une femme enceinte ?

Un traitement local par des ovules gynécologiques


de métronidazole pendant 10 jours.
QCM

La prise en charge d’une urétrite comporte :

A. Une hospitalisation systématique


B. Une antibiothérapie visant la syphilis et le
gonocoque
C. Le traitement systématique du partenaire
D. Le dépistage systématique d’une infection VIH
E. Le dépistage systématique d’une infection par le
virus VHC
QCM

La prise en charge d’une urétrite comporte :

A. Une hospitalisation systématique


B. Une antibiothérapie visant la syphilis et le
gonocoque
C. Le traitement systématique du partenaire
D. Le dépistage systématique d’une infection VIH
E. Le dépistage systématique d’une infection par le
virus VHC
C–D
QCM
Quel est le traitement le plus adapté à la
vaginose bactérienne (Gardnerella vaginalis) ?

A. Fluconazole
B. Kétoconazole
C. Streptomycine
D. Métronidazole
E. Thiophénicol
QCM
Quel est le traitement le plus adapté à la
vaginose bactérienne (Gardnerella vaginalis) ?

A. Fluconazole
B. Kétoconazole
C. Streptomycine
D. Métronidazole
E. Thiophénicol

D
En faveur d’une infection à Gardnerella
vaginalis :

A. PH < 4,5
B. Leucorrhées grises, mousseuses
C. Test olfactif : odeur caractéristiques de
poisson dégagée par les secrétions vaginales
D. Présence de clue cells à l’examen direct
E. Douleur pelvienne (dyspareunie)
En faveur d’une infection à Gardnerella
vaginalis :

A. PH < 4,5
B. Leucorrhées grises, mousseuses
C. Test olfactif : odeur caractéristiques de
poisson dégagée par les secrétions vaginales
D. Présence de clue cells à l’examen direct
E. Douleur pelvienne (dyspareunie)

B–C–D-E
Quel est le Traitement Antibiotique
des Salpingites ?

• Ceftriaxone 1g IM/IV x 1/j

• + Doxycycline 100mg x 2/j

• + Métronidazole 500mgx 2/j

10 à 14 jours
Cas Clinique : Suite…

▪ Notre malade est


perdu de vue
▪ Re-consulte après 6
mois
▪ Ulcération génitale
▪ Adénopathie inguinale
indolore ferme
Examen de la bouche
Partenaire !
Quel est votre diagnostic ?
A. Maladie de Nicolas et Favre
B. Herpès génital
C. Chancre syphilitique
D. Chancre mou
E. Donovanose
Quel est votre diagnostic ?
A. Maladie de Nicolas et Favre
B. Herpès génital
C. Chancre syphilitique
D. Chancre mou
E. Donovanose

Réponse : C
QCM
Le chancre d’inoculation de la syphilis :

A. Apparait 21 jours après le contact sexuel


contaminant
B. Est indolore
C. Fourmille de tréponèmes
D. Est contemporain d’autres lésions cutanéo-
muqueuses syphilitiques
E. Repose sur une base indurée
QCM
Le chancre d’inoculation de la syphilis :

A. Apparait 21 jours après le contact sexuel


contaminant
B. Est indolore
C. Fourmille de tréponèmes
D. Est contemporain d’autres lésions cutanéo-
muqueuses syphilitiques
E. Repose sur une base indurée

A–B–C-E
Le chancre de la syphilis primaire se
caractérise par :

A. une induration

B. un prurit

C. une tendance spontanée à la guérison

D. Le plus souvent unique

E. la présence d’une adénopathie satellite


Le chancre de la syphilis primaire se
caractérise par :

A. une induration

B. un prurit

C. une tendance spontanée à la guérison

D. Le plus souvent unique

E. la présence d’une adénopathie satellite


A–C–D-E
Syphilis : Phase primaire
Chancre syphilitique : aspects
Chancre syphilitique : aspects

Balanite de Follmann
Les primo-infections syphilitiques sans
chancre sont dues à :

A. Syphilis prénatale

B. Syphilis transfusionnelle

C. Syphilis décapitée

D. Syphilis chez un patient VIH

E. Syphilis chez une femme enceinte


Les primo-infections syphilitiques sans
chancre sont dues à :

A. Syphilis prénatale

B. Syphilis transfusionnelle

C. Syphilis décapitée

D. Syphilis chez un patient VIH

E. Syphilis chez une femme enceinte

A-B-C
QROC

Citer les 3 phases évolutives de la syphilis :


• Syphilis primaire : chancre + adénopathies
• Syphilis secondaire : signes cutanéo-muqueux
+ poly ADP + manifestations générales et
viscérales
• Syphilis tertiaire : atteinte neurologique,
gommes syphilitiques, atteinte CVx, rénale,
hépatique, articulaire.
QCM
Parmi les infections sexuellement transmissibles suivantes
lesquelles peuvent être responsables d’ulcérations génitales :

A. Syphilis
B. Chancre mou
C. Lymphogranulomatose vénérienne
D. Infection à Herpes simplex
E. Infection à Mycoplasma genitalium
QCM
Parmi les infections sexuellement transmissibles suivantes
lesquelles peuvent être responsables d’ulcérations génitales :

A. Syphilis
B. Chancre mou
C. Lymphogranulomatose vénérienne
D. Infection à Herpes simplex
E. Infection à Mycoplasma genitalium

A–B–C–D
QCM
Une ulcération génitale chez la femme peut faire
évoquer le diagnostic d’une infection à :

A. Treponema pallidum

B. Haemophilus ducreyi

C. Ureaplasma urealyticum

D. Chlamydia trachomatis

E. Herpes simplex virus 2


QCM
Une ulcération génitale chez la femme peut faire
évoquer le diagnostic d’une infection à :

A. Treponema pallidum

B. Haemophilus ducreyi

C. Ureaplasma urealyticum

D. Chlamydia trachomatis

E. Herpes simplex virus 2


A–B–D–E
Il n’a pas reçu le traitement
45 j
Il n’a pas reçu le traitement
Il n’a pas reçu le traitement
Quel diagnostic évoquez vous ?
▪ Le diagnostic évoqué est un syphilis
secondaire

▪ Terrain, homme jeune + FDR

▪ Type et topographie de l’éruption


syphilides papuleuses, tronc et atteinte
palmo-plantaire +++ (30% des syphilis
au stade secondaire)
QCM

Les manifestations cliniques suivantes peuvent


être observées dans la syphilis secondaire:

A. Chancre d’inoculation
B. Adénopathies inguinale satellite
C. Gommes syphilitiques
D. Plaques muqueuses
E. Syphilides papuleuses
QCM

Les manifestations cliniques suivantes peuvent


être observées dans la syphilis secondaire:

A. Chancre d’inoculation
B. Adénopathies inguinale satellite
C. Gommes syphilitiques
D. Plaques muqueuses
E. Syphilides papuleuses

D-E
Syphilis : Formes cliniques
Syphilis : Formes cliniques
Syphilis: clinique

▪ Dg de syphilis I méconnu (chancre non vu)


Toujours un chancre sauf:

▪ Syphilis congénitale

▪ Syphilis transfusionnelle +++

▪ Dg de syphilis II non évoqué :

la grande simulatrice
Syphilis secondaire : grande similatrice
▪ La peau, les muqueuses, les phanères
▪ Signes généraux
- fièvre, 38°C
- céphalées
- polyadénopathies
- hépato-splénomégalie
▪ Atteintes viscérales
- Foie, cytolyse et cholestase
- anomalies NFS
- méningite
- uvéite, papillite
- Rein, syndrome néphrotique
- arthrites, périostites, synovites
Syphilis secondaire : grande similatrice
Syphilis : Phase secondaire

Syphilides muqueuses
Condyloma lata
Evoquez le syphilis devant !
▪ Une ulcération génitale, buccale ou anale
▪ Une éruption fugace maculeuse ou maculo-papuleuse
ressemblant à une virose ou une toxidermie
▪ Une éruption papulosquameuse, surtout si elle
touche les paumes et les plantes
▪ Un tableau pseudo-viral (fièvre, céphalées, poly-
adénopathies, hépatite)
▪ Une uvéite ou une rétinite
▪ Une méningite ou une méningo-radiculite
▪ Une paralysie des nerfs crâniens
QCM
Les localisations viscérales notées au cours d’une
syphilis tertiaire sont :

A. Des gommes
B. Une aortite
C. Une méningite
D. Un signe d’Argyll Robertson
E. Une hépatite scléro-gommeuse
QCM
Les localisations viscérales notées au cours d’une
syphilis tertiaire sont :

A. Des gommes
B. Une aortite
C. Une méningite
D. Un signe d’Argyll Robertson
E. Une hépatite scléro-gommeuse

A–B-C–D-E
Quels examens pour le diagnostic ?
▪ Sérologie de la syphilis avec TPHA et VDRL qui
sont tous les 2 positifs à ce stade

pas confirmation ++++

▪ Grattage d’une lésion cutanée suivie d’un


examen au microscope à FN qui peut être
positif dans 15 à 50% des cas sur les lésions
cutanées

▪ PCR +++
QCM
La première réaction sérologique à se positiver
au cours de la syphilis :

A. La réaction de Nelson
B. La réaction du TPHA
C. La réaction de l’immunofluorescence indirecte (FTA)
D. La réaction de Widal
E. La réaction de VDRL
QCM
La première réaction sérologique à se positiver
au cours de la syphilis :

A. La réaction de Nelson
B. La réaction du TPHA
C. La réaction de l’immunofluorescence indirecte (FTA)
D. La réaction de Widal
E. La réaction de VDRL

C
Syphilis : diagnostic
Méthodes directes

▪ Microscopie au fond noir

(sensibilité= 50%)

▪ Aucune valeur au niveau buccal


+++ (spirochètes saprophytes)

▪ C’est le seul examen qui


permette un diagnostic de
certitude (CDC)
Syphilis : diagnostic sérologique
Phase primaire = Syphilis primaire
Cinétique après apparition du chancre
 FTA IgM 4 à 10 jours
 TPHA 8 à 10 jours
 VDRL 8 à 20 jours

Phase de latence précoce


= contamination dans les 12 mois précédents
 TPHA et VDRL à titres très élevés

Phase de latence tardive :


= contamination de plus de 12 mois
1. Chute des anticorps avec quelques fois des VDRL (-)
2. Ascension des anticorps à titre variable
Quel test sérologique de la syphilis reste positif
même après un traitement efficace :

• TPHA
Cinétique des anticorps au cours
de la syphilis
Cinétique des anticorps au cours
de la syphilis
Interprétation de la sérologie
Interpréter la sérologie syphilitique suivante :
➢ TPHA : 1/320 et VDRL à 4 :
syphilis guérie (séquelle sérologie)
syphilis tertiaire (rare)
➢ TPHA : 1/2560 et VDRL >16:
syphilis active à traiter
➢ TPHA – (<160) et VDRL – (0):
Absence de tréponématose
Syphilis en incubation
➢ TPHA : négatif et VDRL : positif:
fausse sérologie syphilitique
Une sérologie syphilitique retrouvant un TPHA négatif et
un VDRL positif :

A. peut se rencontrer lors d’une infection virale


B. est le profil d’une cicatrice sérologique
C. Peut être un faux positif
D. permet d’éliminer une syphilis ancienne traitée
ou non
E. peut être observée en présence d’anticorps anti-
phospholipides
Une sérologie syphilitique retrouvant un TPHA négatif et
un VDRL positif :

A. peut se rencontrer lors d’une infection virale


B. est le profil d’une cicatrice sérologique
C. Peut être un faux positif
D. permet d’éliminer une syphilis ancienne traitée
ou non
E. peut être observée en présence d’anticorps anti-
phospholipides

A – C– E
Étiologies d’une réaction sérologique
syphilitique faussement positive ?

• Cirrhose
• Dysglobulinémie
• Hépatite, VIH, MNI
• LES
• Sclérodermie
• Grossesse
QROC

Quel est le traitement médicamenteux d’une


syphilis primaire ?

• Extencilline 2,4 MU en une injection IM


• Si CI , Doxycycine 200 mg/j pendant 15 jours.
QCM
Les antibiotiques actifs sur Treponema pallidum sont :

A. Doxycycline
B. Ofloxacine
C. Azithromycine
D. Benzathine pénicilline
E. Spectinomycine
QCM
Les antibiotiques actifs sur Treponema pallidum sont :

A. Doxycycline
B. Ofloxacine
C. Azithromycine
D. Benzathine pénicilline
E. Spectinomycine

A - C- D
Traitement de la syphilis
Traitement du Syphilis neurologique ?

• Pénicilline G intra-veineuse : 20 Millions


unités/jour x 15 jours
• aucune alternative thérapeutique
Un patient allergique à la pénicilline ayant
une sérologie syphilitique positive, Quels sont
les famillles d’antibiotiques que vous pouvez
prescrire en cas de syphilis précoce ?

➢Macrolides (Azithro 2 g prise unique)

➢C3G : ceftriaxone (8 jours)

➢ Cyclines (Doxy 200 mg/j) : 14 j


Un patient ayant une syphilis primaire, 3 heures
après le début du traitement par pénicilline, le
malade a présenté de la fièvre, une éruption et des
poly-adénopathies, Quel est votre diagnostic ?

➢ Réaction d’Herxheimer:

sans gravité au stade du syphilis primaire


Allergie femme enceinte !

• Femme enceinte : même schéma + prévention de


la réaction d’Herxheimer :

• paracétamol systématiquement

• prednisone : 0,5 mg/kg la veille et les 3 premiers


jours du traitement en cas de syphilis secondaire
profuse
Sur quels arguments vous jugez l’efficacité du
traitement de la syphilis

➢ Clinique

➢ Biologique: VDRL: 3/6/12/24 mois

• VDRL divisé par 4 à 6 mois si non retraiter

• VDRL doit être négative 1 an après le TTT de


syphilis primaire et 2 ans après syphilis
secondaire
Cas clinique : suite …
▪ Il a reçu son traitement Herpès typique

▪ Il amène sa partenaire
▪ Prurit et douleur
périnéale ++

Traitement:
Valaciclovir500mg
1 cp x 2 /j ➔ 10 j
Ou Aciclovir per os : 200 mg x 5/ j
Le germe responsable du chancre mou est :
A. Treponema pallidum

B. Herpès

C. Gonocoque

D. Haemophilus ducreyi

E. Chlamydia trachomatis
Le germe responsable du chancre mou est :
A. Treponema pallidum

B. Herpès

C. Gonocoque

D. Haemophilus ducreyi

E. Chlamydia trachomatis

D
Le germe responsable du lymphogranulomatose
vénérienne est :

A. Treponema pallidum

B. Herpès

C. Gonocoque

D. Haemophilus ducreyi

E. Chlamydia trachomatis
Le germe responsable du lymphogranulomatose
vénérienne est :
= Maladie de Nicolas Favre

A. Treponema pallidum

B. Herpès

C. Gonocoque

D. Haemophilus ducreyi

E. Chlamydia trachomatis (sérovar L1, L2 ou L3)


Parmi les IST suivantes, lesquelles peuvent être
responsables d’ulcérations génitales ?

A. syphilis
B. chancre mou
C. lymphogranulomatose vénérienne
D. infection à herpes simplex
E. infection à Mycoplasma genitalum
Parmi les IST suivantes, lesquelles peuvent être
responsables d’ulcérations génitales ?

A. syphilis
B. chancre mou
C. lymphogranulomatose vénérienne
D. infection à herpes simplex
E. infection à Mycoplasma genitalum

A–B-C–D
Une ulcération génitale chez la femme peut faire
évoquer le diagnostic d’une infection à :

A. Treponema pallidum

B. Haemophilus ducreyi

C. Ureaplasma urealyticum

D. Chlamydia trachomatis

E. Herpes virus 2
Une ulcération génitale chez la femme peut faire
évoquer le diagnostic d’une infection à :

A. Treponema pallidum

B. Haemophilus ducreyi

C. Ureaplasma urealyticum

D. Chlamydia trachomatis

E. Herpes virus 2
A–B–D-E
Le(s) germe(s) responsable(s) de Donovanose:
A. Treponema pallidum

B. Klebsiella granulomatis

C. Calymmatobacterium granulomatis

D. Haemophilus ducreyi

E. Chlamydia trachomatis
Le(s) germe(s) responsable(s) de Donovanose:
A. Treponema pallidum

B. Klebsiella granulomatis

C. Calymmatobacterium granulomatis

D. Haemophilus ducreyi

E. Chlamydia trachomatis

B-C
Ulcération génitale : étiologie
Incubation Syphilis Sensibilité adénopathies Localisations
Complications
Herpès 3–6j Vésicules Douloureuse Satellites S. généraux
multiples, planes sensibles pharyngée
Syphilis 10 – 90 j Ulcération Indolore Satellites Pharyngée
unique, base indolores Anorectale
indurée Compl. II aire
Chancre mou 4 – 10 j Ulcérations Douloureuse Satellites Fistulisation
mucopurulentes sensibles Surinfection
LGV 7 – 80 j Herpétiforme ± sensible « Bubon » Placard
Non indurée sensible fistulisation
Donovanose 7 – 180 j Papule surélevée Indolore Pseudo-
1 ou plusieurs adénopathie
Ulcération génitale : étiologie
Cas clinique : suite …
▪ 2 ans plus tard: Papilloma virus humain

▪ Lésions bourgeonnante du pénis


Sa partenaire …
HPV: traitement ?
HPV: traitement
HPV: Risque évolutif ?

Néoplasie
Est-ce qu’elle a pu éviter
cette infection ?
3 doses à
11 ans Oui
M0-M2-M6
HPV: Verrues
QCM

Parmi les infections suivantes, la(es) quelle(s)


peu(ven)t être transmise(s) par voie sexuelle :

A. Herpès génital
B. Varicelle
C. Candylome acuminé
D. Hépatite virale E
E. Zona généralisé
QCM

Parmi les infections suivantes, la(es) quelle(s)


peu(ven)t être transmise(s) par voie sexuelle :

A. Herpès génital
B. Varicelle
C. Candylome acuminé
D. Hépatite virale E
E. Zona généralisé

A–C
QCM

Ces agents responsables d’IST peuvent être


transmis de la mère à l’enfant pendant
l’accouchement :

A. VIH
B. HSV 1
C. VHB
D. HPV
E. Chlamydia trachomatis
QCM

Ces agents responsables d’IST peuvent être


transmis de la mère à l’enfant pendant
l’accouchement :

A. VIH
B. HSV 1
C. VHB
D. HPV
E. Chlamydia trachomatis
ABCDE
QCM

Ces agents responsables d’IST peuvent être


transmis de la mère à l’enfant par allaitement:

A. VIH
B. HSV 1
C. VHB
D. HPV
E. Chlamydia trachomatis
QCM

Ces agents responsables d’IST peuvent être


transmis de la mère à l’enfant par allaitement:

A. VIH
B. HSV 1
C. VHB
D. HPV
E. Chlamydia trachomatis

AC
Les modes de transmission des principales
infections sexuellement transmissibles
I.S.T avec végétations

Condylomes, verrues

I.S.T avec douleurs pelviennes


chez la femme

Salpingite, Endométrite
I.S.T : Classification
étiologique
Bactériennes Virales Parasitaires
• Chlamydia • VIH • Trichomonase
• Gonorrhée • Herpès
• Syphilis • HPV

Vous aimerez peut-être aussi