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Partie 1
Dr. Makram www.themegallery.com
Koubaa L/O/G/O
27/07/2020
Cas clinique
▪ Mr N. G. âgé de 29
ans consulte pour
Brulures mictionnelles
▪ Apparu 48 H après
sortie en boîte de nuit
▪ A l’examen:
▪ Temp = 37.8°C
▪ Examen des OGE
Quel est votre Dg ?
◼ Urétrite = inflammation de l’urètre d’origine
infectieuse et sexuellement transmissible
• Gonocoque
• Chlamydia trachomatis
Quel complément d’interrogatoire ?
▪ Partenaire
▪ Date
Ulcérations
Végétations
B. Virus de l’hépatite B
C. Virus de l’hépatite C
E. Cytomégalovirus
Les virus responsables d’infections sexuellement
transmissibles sont :
A. Virus Coxsackie A
B. Virus de l’hépatite B
C. Virus de l’hépatite C
E. Cytomégalovirus
B–D–E
Enumérer quatre principales IST virales en
Tunisie :
Enumérer quatre principales IST virales en
Tunisie :
1. L’herpès génital
2. L’infection par papillomavirus
3. L’hépatite B
4. L’infection par le VIH
Cas clinique
▪ Mr N. G. âgé de 29
ans consulte pour
Brulures mictionnelles
▪ Apparu 48 H après
sortie en boîte de nuit
▪ A l’examen:
▪ Temp = 37.8°C
▪ Examen des OGE
Quel germe suspectez-vous?
A. Chlamydia trachomatis
B. Mycoplasma genitalium
C. Neisseria gonorrhoeae
D. Ureaplasma urealyticum
E. Trichomonas vaginalis
Quel germe suspectez-vous?
A. Chlamydia trachomatis
B. Mycoplasma genitalium
C. Neisseria gonorrhoeae
D. Ureaplasma urealyticum
E. Trichomonas vaginalis
Réponse : C
Les gonocoques :
A–B–C–E
Le bactériologiste vous répond :
Urétrite gonococcique
E. s’accompagne de fièvre
QCM
Chez l’homme, l’urétrite à gonocoque :
E. s’accompagne de fièvre
A –B – D
QCM
Les complications d’une vulvo-vaginite
gonococcique chez la femme sont :
A. Endométrite
B. Salpingite
C. Pelvipéritonite
D. Syndrome de Curtis
E. Cervicite
QCM
Les complications d’une vulvo-vaginite
gonococcique chez la femme sont :
A. Endométrite
B. Salpingite
C. Pelvipéritonite
D. Syndrome de Curtis
E. Cervicite
A-B-C-E
QCM
A. La stérilité
B. Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter
C. La salpingite
D. La conjonctivite
E. L’oligo-arthrite
QCM
A. La stérilité
B. Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter
C. La salpingite
D. La conjonctivite
E. L’oligo-arthrite
A–C–D-E
Urétrite: Germes incriminés ?
1 Neisseria gonorrhoeae
2 Chlamydia trachomatis
3 Mycoplasma genitalium
4 Ureaplasma urealyticum
5
3 Trichomonas vaginalis
QCM
Chez l’homme, l’urétrite à Chlamydia trachomatis :
A–C-E
Diagnostic clinique : Gonococcie
• Chez l’homme : 3 types d’atteinte
– Incubation de 2 à 7 jours
– Urétrite antérieure aigue : brûlures mictionnelles,
écoulement purulent, inflammation du méat, risque de
prostatite et d’épididymite
A. Ano-rectites
B. Pharyngite
C. Rétinite
D. Bactériémie
E. Arthrite
Les localisations extra-génitales du gonocoque
sont :
A. Ano-rectites
B. Pharyngite
C. Rétinite
D. Bactériémie
E. Arthrite
A–B–D-E
Diagnostic clinique : Infection à
Chlamydia trachomatis
• Chez l’homme :
– Incubation variable (jours ou mois)
– Kérato-conjonctivites et arthrites
• Chez la femme :
– Souvent asymptomatique (50 à 90%)
A. Kyste
B. Oocyste
C. Gamétocyte
D. Forme végétative
E. Larve
QCM
A. Kyste
B. Oocyste
C. Gamétocyte
D. Forme végétative
E. Larve
D
QCM
Les pertes vaginales au cours d’une
vulvo-vaginite à T. vaginalis sont :
A. verdâtres
B. peu abondantes
C. malodorantes
D. accompagnées de dyspareunie
E. accompagnées de prurit
QCM
Les pertes vaginales au cours d’une
vulvo-vaginite à T. vaginalis sont :
A. verdâtres
B. peu abondantes
C. malodorantes
D. accompagnées de dyspareunie
E. accompagnées de prurit
A–C–D-E
Mycoplasmes
•Mycoplasma genitalium (Mg)
•Mycoplasma hominis (Mh)
•Ureoplasma urealyticum (Uu)
➢Aucun prélèvement génital n’est stérile de mycoplasmes.
B. Neisseria gonorrhoeae
C. Ureaplasma urealyticum
D. Trichomonas vaginalis
E. Candida albicans
QCM
Parmi les agents infectieux suivants, lesquels peuvent
être responsables d’urétrite :
A. Chlamydia trachomatis
B. Neisseria gonorrhoeae
C. Ureaplasma urealyticum
D. Trichomonas vaginalis
E. Candida albicans
A–B–C–D–E
QCM
Conditions
► Prélèvements à effectuer le matin, avant
toute toilette et avant la première miction
Homme
Méat
Urétre
Massage prostate
(subaiguë)
Femme
Deux sexes Urétre
Prélèvements anaux Endocol
& pharyngés
=> systématiques Orifices glandulaires
(Skène, Bartholin)
• Ceftriaxone
• Azithromycine
QCM
Les antibiotiques indiqués dans les urétrites à gonocoque sont :
A. Spectinomycine (Trobicine®)
B. Gémifloxacine
C. Amikacine
D. Cefixime (Oroken ®)
E. Ceftriaxone (Rocéphine®)
QCM
Les antibiotiques indiqués dans les urétrites à gonocoque sont :
A. Spectinomycine (Trobicine®)
B. Gémifloxacine
C. Amikacine
D. Cefixime (Oroken ®)
E. Ceftriaxone (Rocéphine®)
A–B–D–E
La sérologie de Chlamydia trachomatis :
A–B
QROC
trachomatis :
• Azithromycine
QCM
Les antibiotiques indiqués dans les urétrites à Chlamydia
trachomatis sont :
A. Azithromycine (Zithromax)
B. Doxycycline (Vibramycine)
C. Ofloxacine (Oflocet)
D. Amoxicilline
E. Métronidazole (Flagyl)
QCM
Les antibiotiques indiqués en empirique dans les urétrites
à Chlamydia trachomatis sont :
A. Azithromycine (Zithromax)
B. Doxycycline (Vibramycine)
C. Ofloxacine (Oflocet)
D. Amoxicilline
E. Métronidazole (Flagyl)
A–B
Conduite Thérapeutique ?
▪ TRAITEMENT = DOUBLE +++
▪ Anti N. gonorrhoeae et anti C. trachomatis
▪ Tt « minute » anti gonococcique
▪ En l’absence de complications et de
localisation extra-génitale
• SPECTINOMYCINE 2 gr. IM.(Non disponible)
M. genitalium)
▪ Tt « minute » anti-Chlamydiae
• AZITHROMYCINE 1 gr PO
QCM
Le traitement d’une urétrite à gonocoque nécessite :
Ceftriaxone 500 mg en IM
+
doxycycline 100 mg x 2 /j ➔ 7 j
ou
Azithromycin 1 g Po
Si allergie sévère au C3G:
Azithromycine 2 g en monoprise
+ Contrôle bactério à J7
Cas clinique : Suite …
▪ Après l’arrêt du traitement :
persistance d’un écoulement intermittent
▪ Pourquoi ?
Ecoulement persistant !
1. Compliance au traitement ?
2. Réinfection ? Traitement du partenaire ?
3. Abstinence (1 semaine)
4. N. gonorrhoeae résistant ?
5. Exceptionnel C. trachomatis résistant ?
6. Prostatite ? Orchiépididymite?
7. Mycoplasma genitalium ?
8. T. vaginalis ?
9. Cause psychogène ?
Comment traiter une urétrite ?
Privilégier le traitement
minute
Abstinence
7 jours
Règles
Traitement du
partenaire (2 mois)
Comment contrôler ce patient ?
▪ Contrôles sérologiques à M1 et M3
Les complications à craindre suite à une urétrite à
gonocoque incorrectement traitée, sont:
A- La prostatite
B- L’orchi-épididymite
D- Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter
E- Le syndrome de Fitz-Hugh-Curtis
Les complications à craindre suite à une urétrite à
gonocoque incorrectement traitée, sont:
A- La prostatite
B- L’orchi-épididymite
D- Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter
E- Le syndrome de Fitz-Hugh-Curtis
A–B–C
QCM
Une uréthrite aiguë à gonocoque peut se compliquer de :
A. Arthrite aiguë
B. Glomérulonéphrite
C. Epididymite
D. Ostéite
E. Stérilité
QCM
Une uréthrite aiguë à gonocoque peut se compliquer de :
A. Arthrite aiguë
B. Glomérulonéphrite
C. Epididymite
D. Ostéite
E. Stérilité
A – C –E
Les agents infectieux responsables d’une cervico-
vulvovaginite sexuellement transmise sont :
A. Chlamydia trachomatis
B. Neisseria gonorrhoeae
C. Mycoplasma genitalum
D. Candida albicans
E. Trichomonas vaginalis
Les agents infectieux responsables d’une cervico-
vulvovaginite sexuellement transmise sont :
A. Chlamydia trachomatis
B. Neisseria gonorrhoeae
C. Mycoplasma genitalum
D. Candida albicans
E. Trichomonas vaginalis
A–B–D–E
QROC
A. Fluconazole
B. Kétoconazole
C. Streptomycine
D. Métronidazole
E. Thiophénicol
QCM
Quel est le traitement le plus adapté à la
vaginose bactérienne (Gardnerella vaginalis) ?
A. Fluconazole
B. Kétoconazole
C. Streptomycine
D. Métronidazole
E. Thiophénicol
D
En faveur d’une infection à Gardnerella
vaginalis :
A. PH < 4,5
B. Leucorrhées grises, mousseuses
C. Test olfactif : odeur caractéristiques de
poisson dégagée par les secrétions vaginales
D. Présence de clue cells à l’examen direct
E. Douleur pelvienne (dyspareunie)
En faveur d’une infection à Gardnerella
vaginalis :
A. PH < 4,5
B. Leucorrhées grises, mousseuses
C. Test olfactif : odeur caractéristiques de
poisson dégagée par les secrétions vaginales
D. Présence de clue cells à l’examen direct
E. Douleur pelvienne (dyspareunie)
B–C–D-E
Quel est le Traitement Antibiotique
des Salpingites ?
10 à 14 jours
Cas Clinique : Suite…
Réponse : C
QCM
Le chancre d’inoculation de la syphilis :
A–B–C-E
Le chancre de la syphilis primaire se
caractérise par :
A. une induration
B. un prurit
A. une induration
B. un prurit
Balanite de Follmann
Les primo-infections syphilitiques sans
chancre sont dues à :
A. Syphilis prénatale
B. Syphilis transfusionnelle
C. Syphilis décapitée
A. Syphilis prénatale
B. Syphilis transfusionnelle
C. Syphilis décapitée
A-B-C
QROC
A. Syphilis
B. Chancre mou
C. Lymphogranulomatose vénérienne
D. Infection à Herpes simplex
E. Infection à Mycoplasma genitalium
QCM
Parmi les infections sexuellement transmissibles suivantes
lesquelles peuvent être responsables d’ulcérations génitales :
A. Syphilis
B. Chancre mou
C. Lymphogranulomatose vénérienne
D. Infection à Herpes simplex
E. Infection à Mycoplasma genitalium
A–B–C–D
QCM
Une ulcération génitale chez la femme peut faire
évoquer le diagnostic d’une infection à :
A. Treponema pallidum
B. Haemophilus ducreyi
C. Ureaplasma urealyticum
D. Chlamydia trachomatis
A. Treponema pallidum
B. Haemophilus ducreyi
C. Ureaplasma urealyticum
D. Chlamydia trachomatis
A. Chancre d’inoculation
B. Adénopathies inguinale satellite
C. Gommes syphilitiques
D. Plaques muqueuses
E. Syphilides papuleuses
QCM
A. Chancre d’inoculation
B. Adénopathies inguinale satellite
C. Gommes syphilitiques
D. Plaques muqueuses
E. Syphilides papuleuses
D-E
Syphilis : Formes cliniques
Syphilis : Formes cliniques
Syphilis: clinique
▪ Syphilis congénitale
la grande simulatrice
Syphilis secondaire : grande similatrice
▪ La peau, les muqueuses, les phanères
▪ Signes généraux
- fièvre, 38°C
- céphalées
- polyadénopathies
- hépato-splénomégalie
▪ Atteintes viscérales
- Foie, cytolyse et cholestase
- anomalies NFS
- méningite
- uvéite, papillite
- Rein, syndrome néphrotique
- arthrites, périostites, synovites
Syphilis secondaire : grande similatrice
Syphilis : Phase secondaire
Syphilides muqueuses
Condyloma lata
Evoquez le syphilis devant !
▪ Une ulcération génitale, buccale ou anale
▪ Une éruption fugace maculeuse ou maculo-papuleuse
ressemblant à une virose ou une toxidermie
▪ Une éruption papulosquameuse, surtout si elle
touche les paumes et les plantes
▪ Un tableau pseudo-viral (fièvre, céphalées, poly-
adénopathies, hépatite)
▪ Une uvéite ou une rétinite
▪ Une méningite ou une méningo-radiculite
▪ Une paralysie des nerfs crâniens
QCM
Les localisations viscérales notées au cours d’une
syphilis tertiaire sont :
A. Des gommes
B. Une aortite
C. Une méningite
D. Un signe d’Argyll Robertson
E. Une hépatite scléro-gommeuse
QCM
Les localisations viscérales notées au cours d’une
syphilis tertiaire sont :
A. Des gommes
B. Une aortite
C. Une méningite
D. Un signe d’Argyll Robertson
E. Une hépatite scléro-gommeuse
A–B-C–D-E
Quels examens pour le diagnostic ?
▪ Sérologie de la syphilis avec TPHA et VDRL qui
sont tous les 2 positifs à ce stade
▪ PCR +++
QCM
La première réaction sérologique à se positiver
au cours de la syphilis :
A. La réaction de Nelson
B. La réaction du TPHA
C. La réaction de l’immunofluorescence indirecte (FTA)
D. La réaction de Widal
E. La réaction de VDRL
QCM
La première réaction sérologique à se positiver
au cours de la syphilis :
A. La réaction de Nelson
B. La réaction du TPHA
C. La réaction de l’immunofluorescence indirecte (FTA)
D. La réaction de Widal
E. La réaction de VDRL
C
Syphilis : diagnostic
Méthodes directes
(sensibilité= 50%)
• TPHA
Cinétique des anticorps au cours
de la syphilis
Cinétique des anticorps au cours
de la syphilis
Interprétation de la sérologie
Interpréter la sérologie syphilitique suivante :
➢ TPHA : 1/320 et VDRL à 4 :
syphilis guérie (séquelle sérologie)
syphilis tertiaire (rare)
➢ TPHA : 1/2560 et VDRL >16:
syphilis active à traiter
➢ TPHA – (<160) et VDRL – (0):
Absence de tréponématose
Syphilis en incubation
➢ TPHA : négatif et VDRL : positif:
fausse sérologie syphilitique
Une sérologie syphilitique retrouvant un TPHA négatif et
un VDRL positif :
A – C– E
Étiologies d’une réaction sérologique
syphilitique faussement positive ?
• Cirrhose
• Dysglobulinémie
• Hépatite, VIH, MNI
• LES
• Sclérodermie
• Grossesse
QROC
A. Doxycycline
B. Ofloxacine
C. Azithromycine
D. Benzathine pénicilline
E. Spectinomycine
QCM
Les antibiotiques actifs sur Treponema pallidum sont :
A. Doxycycline
B. Ofloxacine
C. Azithromycine
D. Benzathine pénicilline
E. Spectinomycine
A - C- D
Traitement de la syphilis
Traitement du Syphilis neurologique ?
➢ Réaction d’Herxheimer:
• paracétamol systématiquement
➢ Clinique
▪ Il amène sa partenaire
▪ Prurit et douleur
périnéale ++
Traitement:
Valaciclovir500mg
1 cp x 2 /j ➔ 10 j
Ou Aciclovir per os : 200 mg x 5/ j
Le germe responsable du chancre mou est :
A. Treponema pallidum
B. Herpès
C. Gonocoque
D. Haemophilus ducreyi
E. Chlamydia trachomatis
Le germe responsable du chancre mou est :
A. Treponema pallidum
B. Herpès
C. Gonocoque
D. Haemophilus ducreyi
E. Chlamydia trachomatis
D
Le germe responsable du lymphogranulomatose
vénérienne est :
A. Treponema pallidum
B. Herpès
C. Gonocoque
D. Haemophilus ducreyi
E. Chlamydia trachomatis
Le germe responsable du lymphogranulomatose
vénérienne est :
= Maladie de Nicolas Favre
A. Treponema pallidum
B. Herpès
C. Gonocoque
D. Haemophilus ducreyi
A. syphilis
B. chancre mou
C. lymphogranulomatose vénérienne
D. infection à herpes simplex
E. infection à Mycoplasma genitalum
Parmi les IST suivantes, lesquelles peuvent être
responsables d’ulcérations génitales ?
A. syphilis
B. chancre mou
C. lymphogranulomatose vénérienne
D. infection à herpes simplex
E. infection à Mycoplasma genitalum
A–B-C–D
Une ulcération génitale chez la femme peut faire
évoquer le diagnostic d’une infection à :
A. Treponema pallidum
B. Haemophilus ducreyi
C. Ureaplasma urealyticum
D. Chlamydia trachomatis
E. Herpes virus 2
Une ulcération génitale chez la femme peut faire
évoquer le diagnostic d’une infection à :
A. Treponema pallidum
B. Haemophilus ducreyi
C. Ureaplasma urealyticum
D. Chlamydia trachomatis
E. Herpes virus 2
A–B–D-E
Le(s) germe(s) responsable(s) de Donovanose:
A. Treponema pallidum
B. Klebsiella granulomatis
C. Calymmatobacterium granulomatis
D. Haemophilus ducreyi
E. Chlamydia trachomatis
Le(s) germe(s) responsable(s) de Donovanose:
A. Treponema pallidum
B. Klebsiella granulomatis
C. Calymmatobacterium granulomatis
D. Haemophilus ducreyi
E. Chlamydia trachomatis
B-C
Ulcération génitale : étiologie
Incubation Syphilis Sensibilité adénopathies Localisations
Complications
Herpès 3–6j Vésicules Douloureuse Satellites S. généraux
multiples, planes sensibles pharyngée
Syphilis 10 – 90 j Ulcération Indolore Satellites Pharyngée
unique, base indolores Anorectale
indurée Compl. II aire
Chancre mou 4 – 10 j Ulcérations Douloureuse Satellites Fistulisation
mucopurulentes sensibles Surinfection
LGV 7 – 80 j Herpétiforme ± sensible « Bubon » Placard
Non indurée sensible fistulisation
Donovanose 7 – 180 j Papule surélevée Indolore Pseudo-
1 ou plusieurs adénopathie
Ulcération génitale : étiologie
Cas clinique : suite …
▪ 2 ans plus tard: Papilloma virus humain
Néoplasie
Est-ce qu’elle a pu éviter
cette infection ?
3 doses à
11 ans Oui
M0-M2-M6
HPV: Verrues
QCM
A. Herpès génital
B. Varicelle
C. Candylome acuminé
D. Hépatite virale E
E. Zona généralisé
QCM
A. Herpès génital
B. Varicelle
C. Candylome acuminé
D. Hépatite virale E
E. Zona généralisé
A–C
QCM
A. VIH
B. HSV 1
C. VHB
D. HPV
E. Chlamydia trachomatis
QCM
A. VIH
B. HSV 1
C. VHB
D. HPV
E. Chlamydia trachomatis
ABCDE
QCM
A. VIH
B. HSV 1
C. VHB
D. HPV
E. Chlamydia trachomatis
QCM
A. VIH
B. HSV 1
C. VHB
D. HPV
E. Chlamydia trachomatis
AC
Les modes de transmission des principales
infections sexuellement transmissibles
I.S.T avec végétations
Condylomes, verrues
Salpingite, Endométrite
I.S.T : Classification
étiologique
Bactériennes Virales Parasitaires
• Chlamydia • VIH • Trichomonase
• Gonorrhée • Herpès
• Syphilis • HPV