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I1 s'avère donc que toute canalisation enterrée dans le sol est soumise à trois types
de corrosions : chimique, électrochimique et bactériologique.
1. La protection passive.
2. La protection active.
Mais malgré toutes les méthodes de protection utilisées il y a toujours des phénomènes
de corrosion lorsque la canalisation est mise en exploitation, entrainant parfois des dangers
considérables (éclatement de la canalisation, fuites importantes suivies d'incendie....).
Pour remédier ces incidents, il est nécessaire d'utiliser un moyen préventif qui se ré-
sume dans l'outil intelligent permettant de chercher d'éventuelles corrosions a 1'aide d'un ra-
cleur dote d'un système radiographie a rayon X, Cette opération consiste à localiser les zones
corrodées ainsi que leurs avancement en profondeur dans une canalisation enterrée et se fait
par une inspection programmée qui ne dérange en aucun cas 1'exploitation du produit à trans-
porter.
Apres avoir termine l'inspection le long du pipeline, la corrosion serra classée se-
lon son degré en profondeur et traite suivant sa catégorie par 1'opération de réhabilita-
tion de la canalisation.
1.1 Historique sur la SONATRACH :
Sonatrach TRC dispose d'un réseau de canalisation d'une longueur globale d'environ 16
000 km repartit en 07 régions dont deux gazoducs transcontinentaux, l’un va vers l'Espagne
via le Maroc (Pedro Duran Farel) nomme GME et 1'autre vers l'Italie via la Sicile (Enrico
Mattei) nomme transmed.
Ces Oléoducs et Gazoducs sont relies a un total de 288 Machines (de pompage et de
compression), et a 113 Bacs de stockage d'une capacité total de 4,3 Millions de m3 pour les
hydrocarbures liquides.
Tableau 1:
FIG 1.2.1 : Schéma montrant les de projets de Gazoducs Med GAZ. Et GALSI
L’industrie des gazoducs cherche à améliorer sans cesse la capacité, la sécurité, l’effica-
cité et la rentabilité des gazoducs afin de réduire les coûts liés au transport. Ce volet représente,
en effet, une part importante du prix final du produit
FIG : RESEAU DE TRANSPORT ACTUEL
La Direction Régionale Ouest RTO, dont le siège est a Arzew, Ore une nappe de pi-
pelines composée de 10 (Dix) pipes, transportant quatre produits pétroliers a partir des
centres de productions situes au grand sud vers les complexes et unités de transformation du
pole d'Arzew ainsi que vers les différents points de chargement du port.
Le Gaz Naturel.
Le Pétrole Brut.
Le Condensat.
Le Gaz Pétrole Liquéfié (GPL).
Oléoducs :
II.1.1 Introduction
Températures).
IL 1.2 Définition
La corrosion sèche design la corrosion dans les gazes (02, SO2, CO, CO2…etc.)À
haute température ce phénomène intervient dans des activités industrielles spécifiques ou
faisant appel a une technologie avancée : procédé de synthèse de l'industrie chimique et pé -
trochimique, production et traitement des métaux.
L'attaque d'un métal solide par un autre liquide (par exemple le mercure) par un sel
fondu ou par un liquide organique (Al dans A1C1 4) peut être considérée comme une corro-
sion chimique
Alors ces derniers sont causes par une dissymétrie détruisant un équilibre, cette dis -
symétrie peut provenir du métal ou de 1'électrolyte (Voir Fig. II.2)
e-
La corrosion biologique est 1'attaque des métaux par des bactéries. Il peut alors y
avoir formation de composes, tels que le dioxyde de carbone, l'anhydride Sulfureuse ou des
acides organiques qui détériorent le métal. La corrosion biologique intervient en particulier
dans les canalisations enterrées et les coques de bateau.
La corrosion inter granulaire est un type de corrosion caractérise par les susceptibi -
lités plus grandes des joints des gaines a faction du milieu corrosif, le métal se corrode en
profondeur.
11.1.5. 9 Corrosion sous contrainte
Cause par faction conjuguée d'une contrainte mécanique et d'un milieu corrosif.
On connait ainsi la corrosion de:
Elie est due a des effets mécaniques lorsque les métaux et les alliages sont soumis
a des tentions cycliques (efforts périodiques alternes ou vibration).
La corrosion sélective est caractérisée par le fait que 1'un des constituants
de 1'alliage est corrodable que les autres, donc
L’orque un métal est plonge dans une solution (électrolyte) des ions positifs passent en solu -
tion, tandis que des charges négatives apparaissent sur le métal. Ces différentes charges une
fois présente à l'interface métal- solution, créent une différence de potentiel sous 1'effet d'un
champ électrostatique, qu'on appelle potentiel thermodynamique.
Ce diagramme permet de prévoir le comportement du fer pur selon le PH et selon la ten -
sion (impose ou par la présence de substance oxydo-réductrices, ou par une source exté -
rieur de courant)
L'ensemble des droites ainsi tracées définit les différents domaines, chacun
d'eux représente le domaine de stabilité thermodynamique d'un compose pare
exemple pour le fer, 03 cas peuvent se produire :
L'espèce stable est dans ce cas un compose solide du métal, le compose se forme a
la surface du métal, l'isole du milieu extérieur et empêche ainsi tout échange d'électrons :
on dit que le métal se passive.
II.3. Les principes des moyens de lutte contre la corrosion
11.3.1 Introduction
La protection cathodique est la technique qui permet de conserver dansons intégrité la sur-
face extérieure des structures en acier enterrées ou immergées, en s'opposant au processus élec-
trochimique d'attaque du métal par le milieu ambiant, c'est-a-dire la corrosion. Les canalisa-
tions acier constituent le champ d'application principal de cette protection. Les réseaux en
acier, même anciens et dégrades, peuvent bénéficier de cette technique dans des conditions
économiques admissibles.
11.3.2 Définition
Un métal en contact avec un milieu conducteur, eau ou sol, est le siège de réactions
électrochimiques appelées effet de pile. Ce phénomène entraine une dissolution du métal de
1'anode vers la cathode, c'est-a-dire de la canalisation vers le milieu ambiant : c'est la corro-
sion ou oxydation. Deux moyens complémentaires existent pour maitriser cette corrosion.
Emploi d'additifs chimiques a faible concentration : c'est le cas des inhibiteurs de cor-
rosion et des bactéricides ;
· Soit de constituer une pile à l'aide d'un métal plus électronégatif que 1' acier.
· Soit de relier à une source électrique convenablement connectée de manière que
l’acier devienne la cathode du système, et de vérifier que le potentiel de cette cathode atteint
bien le critère de protection et y soit maintenu.
Critère de protection cathodique c'est le potentiel au dessous duquel le métal consi-
dère, plonge dans un électrolyte donnée, ne peut se corroder. Des vérifications faites sur ter-
rain ont montre que pour un potentiel inferieur à 1 V, on pouvait avoir encore une très faible
corrosion correspondant à une dissolution de métal de 1'ordre de 1 à 5µm par an.
Elle est constituée par le revêtement extérieur dont le rôle est de créer un effet de
barrière électrique entre le métal des canalisations et le milieu environnant. Ce revêtement ne
constitue cependant pas une protection absolue et définitive en raison des imperfections ou
blessures susceptibles de se produire lors de la pose ou au cours de la vie de l'ouvrage. C'est
pourquoi on maitrise ces risques potentiels par l'installation d'une protection cathodique.
- Les revêtements :
Les structures métal liquides enterrées ou immergées doivent être protégées extérieu-
rement par un revêtement qui doit donc assurer une isolation la plus parfaite possible ; par un
effet de barrière entre le métal des canalisations et le milieu agressif. Le revêtement ne consti-
tue cependant pas une protection absolue et définitive en raison des imperfections ou bles-
sures susceptibles de se produire Tors de la pose ou au cours de la vie de l'ouvrage.
Soit réduire le besoin en courant de protection cathodique Le revêtement utilise doit posséder
les qualités suivantes :
a)Revêtement a liants hydrocarbonés Ils sont largement utilises depuis le début du siècle
comme revêtement protecteur .I1 sont constitues des liants hydrocarbonés a base de brai
de houille ou de pétrole. Ils sont principalement régis par les codes American.
b) Revetments polyethylene :
Les systèmes de PE (PE 0 haute densité) sont employés en Europe depuis les années 60.
I1 s'agit d'une couche mince (300 à 500 µ m) appliquée par pulvérisation électronique de
poudre sur tube chauffe vers 240°C, sans primaire. Ces revêtements peuvent titre cintres pour
les rayons de courbure habituellement pratiquer sur le chantier, ils sont largement utilises pour
les conduites chaudes (jusqu'a environ 100°C). La protection cathodique est très simple,
l'usage d'électricité courante directe d'une source externe va s'opposer a la décharge de cou-
rant de la corrosion de régions de lit anodique qui seraient pressente naturellement. Quand un
système de la protection cathodique est installe pour effet du maximum.
Elie consiste à amener par des moyens extérieurs et artificiels 1'ensemble de la surface
extérieure du métal a un potentiel suffisamment négatif pour rendre le métal entièrement catho-
dique et supprimer ainsi tout risque de corrosion extérieure. Le critère de protection catho-
dique est la valeur du potentiel au-dessous duquel l'acier ne peut se corroder. Pour raciner en-
terre ou immerge, le critère de protection est mesure avec une électrode de référence C u/C
uSO4 en contact avec le milieu situe au voisinage immédiat du métal de -850 mV. Ce n'est
qu’à partir d'une certaine valeur de courant que le potentiel nécessaire est atteint.
Aujourd'hui les anodes réactives ou sacrificielles peuvent avoir différentes formes et sont
faites en utilisant des alliages de zinc, de magnésium et d'aluminium. Le potentiel électrochi-
mique, la capacité de courant et le taux de consommation de ces alliages est supérieur pour la
protection cathodique a ceux du fer. Les anodes sacrificielles sont conçues et choisies pour
avoir un potentiel électrochimique plus négatif que le métal de la structure à protéger. Pour
que la protection cathodique soit efficace la surface à protéger est polarisée. La force qui sous-
tend la protection cathodique est la différence de potentiel électrochimique entre 1'anode et la
cathode.
b) Protection cathodique a courant impose :
Pour des installations plus grandes, les anodes sacrificielles ne peuvent pas délivrer
suffisamment de courant pour une protection optimale. Dans les systèmes à courant impose
les anodes connectées à un générateur de courant continu (le redresseur de courant). Ces
anodes sont en forme de tube ou de tige compacte de différents matériaux dédies tels que raci-
ner, de la fonte, du graphite Des oxydes métalliques, des fils revêtus de platine etc....
L'ouvrage à protéger doit titre dote d'un revêtement possédant une résistance
électrique suffisante.
Ceci s'obtient au moyen d'une source de courant continu qui débite dans un circuit
comprenant :( qu'on appelle aussi poste de soutirage)
Un transformateur redresseur.
Un déversoir.
1'électrolyte.
La structure a protégé.
Les câbles de connections
Le pole positif du redresseur est relie au déversoir alors que le pole négatif est relie a
la structure protégée. Le courant venant du déversoir, traverse le sol puis entre dans la struc-
ture créant ainsi l'abaissement de potentiel.
Monte sur un tube en acier. Les câbles électriques passent dans le tube support pour atteindre le
coffret de distribution. Qui contient les éléments suivants :
0 Resistances ajustables.
Ainsi le choix des systèmes de peinture pour les structures immergées doit
toujours titre effectue en ayant a 1'esprit le risque de cloquage.
Lorsqu'une conduite est protégée par soutirage de courant il peut arriver qu'une
ou plusieurs zones éloignées du soutirage ne puissent pas titre protégées par cet ap-
pareil (débit trop faible et impossibilité de 1'augmenter suffisamment) on peut pro-
longer la protection par des anodes sacrificielles dont 1'effet ses local et limite.
Cette méthode ne peut titre utilisée que pour de faibles longueurs de conduites.
Rapport de Mission
Arzew le 10/09/07
I - Introduction :
En parallèle a des travaux d'application des peintures effectues par DRC au niveau des
conduite enterres GZ2 (TAZ gz2/gz3) dont I épaisseur minimum est respecte selon la spéci-
fication technique du produit ; le service protection cathodique a procédé a la rénovation d
un certains nombres d anodes dissémines se trouvant dans un état de passivation et qui sont
facteurs majeures d insuffisance de protection cathodique dans le terminal gaz GZ2/ GZ3 et
plus précisément dans les ouvrages concentres GZ2
A cet effet ; le service a procédé a des mesures de potentiels conduite/sol dans les situations
suivantes
1- relèves des potentiels des pipes GZ2/GZ3 avec poste PPC lige à I arrêt
2- relève des potentiels du TAZ Avant la mise en service des anodes qui sont été récemment
implantées
3-verification des coffers anodiques
4- relèves des potentiels du TAZ après la mise en service des anodes qui sont été récem-
ment implantées
5- relèves des potentiels des pipesGZ2/GZ3 avec poste ppc lige en service :
1-relèves des potentiels des pipesGZ2/GZ3 avec poste ppc lige à I arrêt :
- 04 coffrets sont électriquement isole (suite a une interconnexion le problème est résolu)
4-Relèves des potentiels du TAZ après connexion des anodes : Essai n 01:
N.B :
II est à signaler que Ies points de mesure au dessous du seuil sont dus a la passivation des
anodes et cela suite a la verification de certains coffrets anodiques donc il est recommande de
prévoir leur rénovation
5- relevés des potentiels des pipes GZ21GZ3 avec poste PPC lige en service : Poste de-
Apres avoir laissé un temps de polarisation aux canalisations le service protection ca-
thodique a procédé a des relevés de potentiels des pipes GZ2IGZ3
Gz3 = 867
N.B.
Apres avoir prendre en charge toutes les rénovations suggères nécessaires une com-
pagne de mesure sera tenu au niveau du terminal GZ2IGZ3.
I -Etude du sol :
Pour le choix d'un déversoir dans un endroit ou il faut protège la structure il faut bien
sur mesurer la résistivité du sol pour cela il faut utiliser la méthode des 4 piquets (méthode
WENNER).
En ce qui concerne 1'emplacement de ce dernier doit être éloigner du pipe qu'on veut protéger
d'une distance minimale de 200m , on implante les 4 piquets au sol éloignes entre eux de 1,6m
puis on relit chaque point avec 1'appareil de mesure qui va nous donne la résistance, et on re-
fait la même mesure dans le même intervalle en éloignant les piquets entre eux d'une distance
de 3m sans oublier de mouiller les piquets de terre a chaque fois pour favoriser le passage du
courant si le sol est sec. (Pour des mesures prises en saison d'été).
On doit prendre plusieurs mesures dans plusieurs parties du champ pour verifier laquelle de
ces derrières a une résistance plus faible. (Toujours parallèle au pipe et dans un intervalle de
75m environs).
Mesure de la résistivité des sols
Résistivité : ρ = 2 * π *a*R
a= distance entre les piquets correspond à la profondeur de la mesure (a en cm et P en Ω. cm
Partie du 1
champ
a (m) 1,6 3
R (S2) 1,235 0,5
p (S2.m) 12,40 9,42
Conclusion:
Il est possible de placer le déversoir car le sol présente une résistivité faible ce qui
favorise la conductivité du champ anodique.
F
ρ=2 π a ( A U / I ) → → p = 2 π a R l
R : Resistance en Ω
NOTE:
Dans la région MERS EL HADJAJ on a procédé a une prise de potentiel simple sur les 4
pipes, on a eu les résultats suivants :
Pour le OZ1 et le LNZ1 on ne peut rien dire, l'on doit procéder à d'autre mesure pour en sa-
voir d'avantage sur 1'état des deux pipes.
La physique du sol nous met en présence de conditions diverses, souvent instables. Les
mesures relatives à la protection cathodique demandent des précautions particulières. Les
grandeurs électriques mesurées et leur analyse exigent une autocritique constante. La multi-
plication des méthodes, 1'enregistrement et la comparaison des résultats recueillis permettent
de mieux cerner la réalité.
La protection cathodique est une technique simple sans son principe mais extrême-
ment minutieuse dans les détails et souvent lente dans son évolution. II faut donc que les ré-
sultats soient clairement exposes et rassembler tout les détails susceptible de donner 1'expli-
cation d'un phénomène. Ainsi, en plus des tableaux de mesure qui permettent de conserver
les valeurs chiffrées, il est bon d'établir des graphes montrant la variation de certains para-
mètres dans le temps ou dans 1'espace (par exemple, évolution de la résistance du déver-
soir).
n
or al
sio
g c ern
ro
Internal seam
tin xt
ac r E
Weld corrosion
er l o
Int ena
Int
Intenal or External
General corrosion
rn al
Exte
r
pit enal o
Int eld corrosion
Internal girth w
corro
si
Intern on
al pre
ntial fere
ugh' 'tro
Anomalies :
· Deterioration de L’enrobage,
· Mauvaises distribution du courant (provenant du mauvais enrobage),
· Terrain trop aggressive,
· Vieillissement de 1'enrobage qui présente des fissures, des décollements,
· Augmentation de courant aux points de défauts d'enrobage (accélération de corrosion),
· Le changement brusque de la nature du sol qui est un facteur très important (agressivi-
té du terrain),
· Saturation de certain poste de la protection cathodique,
· Chute anormale de tension,
· Mauvaise adherence du revetment.
Solutions preconises:
La corrosion se traduit par une altération des qualités hydrodynamiques des pipes line
ainsi que des surcouts d'exploitation. Le nettoyage par outils rigides ou élastiques et les ins-
pections en ligne par outils intelligent des canalisations d'hydrocarbures liquides ou gazeux ;
bien que devenus des opérations courantes de 1'exploitation et de la maintenance des pipe-
lines restent des opérations délicates .la maitrise de tous les aspects techniques est une néces-
site absolue pour la réussite de ces opérations.
Ø Deterioration de 1enrobage.
Ø Mauvaise distribution du courant (provenant du mauvais enrobage).
Ø Terrain trop agressif.
Ø Vieillissement de l’enrobage qui présente des fissures, des craque-
ments, des décollements.
Ø Augmentation de courant au point de défaut d'enrobage (accélé-
ration de corrosion).
Ø Le changement brusque de la nature du sol qui est un facteur très impor-
tant (agressivité du sol).
Saturation de certains postes de protection cathodique.
I1 est important de porter attention périodiquement, et des la pose si possible, aux défauts
de revêtement d'une canalisation enterrée ; la méthode et la sensibilité de détection seront
adaptées au besoin, et il faudra garder a 1'esprit les limitations de ce type de mesures qui ne
peuvent Dorner a coup sur un résultat exhaustif .les défauts repères doivent titre analyses et
classes