Vous êtes sur la page 1sur 65

UNIVERSIDAD MARIANO GÁLVEZ DE GUATEMALA

FACULTÉ DES SCIENCES JURIDIQUES ET SOCIALES


PROGRAMME D'ÉVALUATION
DROIT CIVIL PRIVÉ GÉNÉRAL

La personne physique et la personne morale : Définition, caractéristiques et attributs de la


personne.

1. COMBIEN DE TYPES DE PERSONNES Y A-T-IL : Personne physique et personne


morale.

2. DÉFINIR LA PERSONNE : Toute entité capable d'acquérir des droits et de contracter


des obligations.

3. DEFINITION D'UNE PERSONNE JURIDIQUE : Toute entité abstraite à laquelle la loi


confère la capacité d'être un sujet de droit et de contracter des obligations.

4. Personnalité : Définition et théories expliquant la personnalité.

5. DÉFINITION DE LA PERSONNALITÉ : C'est l'investiture juridique que la loi accorde


aux personnes, afin de contracter des droits et des obligations.

6. QUELLES SONT LES THÉORIES DE LA PERSONNALITÉ : a) la théorie de la


naissance : détermine que la personnalité commence à la naissance, b) la théorie de la
conception : détermine que la personnalité commence à la conception, c) la théorie de la
viabilité : détermine que la personnalité commence à la naissance d'une personne et qu'elle
naît vivante. d) théorie éclectique : cette théorie est considérée comme mixte car elle établit
que la personnalité civile commence à la naissance et se termine à la mort, mais l'enfant à
naître est considéré comme né pour tout ce qui lui est favorable, à condition qu'il naisse dans
des conditions viables.

7. CE QUE LES THÉORIES DE LA PERSONNALITÉ ÉTUDIENT : Elles étudient le


moment où la personnalité commence.

8. QUELLE THÉORIE EST ACCEPTÉE PAR NOTRE LÉGISLATION : La THÉORIE


ÉLECTRONIQUE et son fondement se trouvent dans l'art. 1 du Code. Civil

9. QUAND LA PERSONNALITÉ COMMENCE : Elle commence avec la naissance de la


personne. Art. 1 19. QUAND LA PERSONNALITÉ PREND FIN : Elle prend fin avec le décès
de la personne. Art. 1

10. CLASSIFICATION DES PERSONNES JURIDIQUES : a) personne morale de droit


public b) personne morale de droit privé

11. DÉFINIR LES PERSONNES LÉGALES DE DROIT PUBLIC : Il s'agit de toutes les
institutions de l'État. Ex. Municipalités, USAC, IGSS, CONFEDE, ETC.

12. COMMENT LES PERSONNES JURIDIQUES DE DROIT PRIVÉ sont-elles classées :


a) en fonction de l'intérêt public b) en fonction de l'intérêt privé.
13. ENTITÉS JURIDIQUES PRIVÉES D'INTÉRÊT PUBLIC : Il s'agit de toutes les
fondations. Ex. La Fondation Mirna Mac

14. COMMENT LES ENTITÉS DE DROIT PRIVÉ AVEC INTÉRÊT PRIVÉ SONT
CLASSIFIÉES : a) à but lucratif b) à but non lucratif

15. QU'EST-CE QUE DES ENTITÉS JURIDIQUES PRIVÉES AYANT DES INTÉRÊTS
PRIVÉS ET DES FINS DE RÉALISATION DE BÉNÉFICES : Toutes les entreprises.

16. ENTITÉS JURIDIQUES PRIVÉES AVEC INTÉRÊTS PRIVÉS ET BUT NON


PROFITOIRE : Toutes les associations

17. QUOI PROCÉDER À L'ÉGARD DES PERSONNES LÉGALES :Les personnes


morales
Le registre civil continuera à régir les personnes morales et les partenariats civils
continueront à être enregistrés auprès du ministère de l'intérieur.

Attributs de la personne

18. DEFINITION DE LA CAPACITE : C'est l'aptitude qu'ont les personnes à être sujets de
droits et à contracter des obligations.

19. QU'EST-CE QUE LA CAPACITÉ JURIDIQUE : - Elle est détenue par des personnes
âgées de 23 ans □ Sujet actif : Reus Credendi □23.

20. DEFINITION DE L'ETAT CIVIL : La situation juridique dans laquelle se trouve une
personne au sein de la société en ce qui concerne ses droits et ses obligations.

Capacité civile

1. DEFINITION DE LA CAPACITE : aptitude d'une personne à être un sujet de droit et à


contracter des obligations.

2. QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE LA PERSONNALITÉ ET LA CAPACITÉ : La


personnalité est une investiture juridique accordée par la loi et la capacité est une aptitude que
possède une personne. Il s'agit à la fois d'être des sujets de droits et de contracter des obligations.

Capacité de jouissance et capacité d'exercice.

3. QUELLES SONT LES CATÉGORIES DE CAPACITÉS ? a) la capacité de jouissance b) la


capacité d'exercice

4. QU'EST-CE QUE LA CAPACITÉ DE BONNE VOLONTE : C'est la capacité de toute


personne, mais elle a besoin d'un représentant légal pour la représenter, afin de contracter des
obligations.

5. QU'EST-CE QUE LA CAPACITÉ D'EXERCICE : La capacité d'exercice des droits civils est
acquise à l'âge de la majorité, c'est-à-dire lorsqu'une personne atteint l'âge de 18 ans ; elle n'a donc
pas besoin d'un représentant légal, puisqu'elle peut être un sujet de droit et contracter des
obligations par elle-même, tant qu'elle n'a pas été déclarée en état d'interdiction.
6. QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE LA CAPACITÉ DE FAIRE RESPECTER ET LA
CAPACITÉ D'EXERCER : C'est par l'intermédiaire de qui les droits et les obligations sont exercés.

7. QUI A LA CAPACITÉ D'EXERCER : ART. 8 PREMIER PARAGRAPHE Être majeur et ne


pas avoir été déclaré en état d'interdiction.

8. CAPACITÉ RELATIVE : ART. 8 DEUXIÈME ALINÉA Il s'agit du droit de certains mineurs


d'acquérir des droits et de contracter des obligations sans représentant légal. Ex. Un homme de
plus de 16 ans et une femme de plus de 14 ans, bien que mineurs, peuvent se marier sans avoir
besoin d'un représentant légal. (Art. 81, 218, 259, 303, 1502, 1619)

9. DÉFINIT L'INCAPACITÉ : C'est l'absence totale de capacité, qui ne permet pas à une
personne d'entrer dans la sphère juridique en tant que sujet de droit, ce qui rend nécessaire la
désignation d'un représentant légal.

10. COMMENT L'INCAPACITÉ EST DIVISÉE : a) Incapacité absolue, art. 9 c.c. b) Incapacité
relative, art. 10 c.c.

11. QU'EST-CE QUE L'INCAPACITÉ ABSOLUE : L'incapacité absolue survient lorsqu'une


personne, bien que majeure, a été déclarée en état d'interdiction.

12. (a) lorsqu'un majeur souffre d'une maladie mentale qui le prive de discernement. b)
Lorsqu'une personne abuse de boissons alcoolisées et de stupéfiants et fait courir à sa famille le
risque d'un grave préjudice économique. (art. 9 c.c.)

13. QUI PEUT DEMANDER UNE DÉCLARATION D'INTERDICTION : ART. a) le bureau du


procureur général de la nation (PGN) b) les parents de l'incapable c) les personnes qui ont une
action à intenter contre lui.

14. QUI PRODUIT LA DÉCLARATION D'INTERDICTION : ART. 9 DERNIER ALINÉA À partir de


la date à laquelle l'incapacité absolue de la personne d'exercer ses droits est constatée par un
jugement définitif, mais les actes antérieurs à cette déclaration peuvent être annulés s'il est prouvé
que l'incapacité existait notoirement au moment où ils ont été vérifiés.

15. DÉFINIR L'INCAPACITÉ RELATIVE : ART. 10 Se réfère au fait que les troubles mentaux
transitoires

16. Une personne souffrant de troubles mentaux transitoires peut contracter : cela dépend du
moment où elle se trouvait lorsqu'elle a conclu le contrat ; si, à ce moment-là, elle souffrait de
troubles, le contrat sera nul et non avenu, mais si elle ne souffrait pas de troubles, le contrat est
considéré comme valide.

Domicile :

Définition

1. QU'EST-CE QUE LE DOMICILE : Il s'agit de la circonscription territoriale où une personne


exercera ses droits et contractera ses obligations.
Classification.

2. a) domicile volontaire : le domicile est constitué volontairement par la résidence en un lieu avec
l'intention d'y demeurer de façon continue pendant un an. Art. b) domiciliation multiple : si une
personne vit alternativement ou exerce des activités régulières dans plusieurs lieux, elle est
considérée comme domiciliée dans n'importe lequel d'entre eux. Art. 34 c) le domicile légal : c'est
le lieu où la loi fixe sa résidence pour l'exercice de ses droits et l'exécution de ses obligations. Art.
d) le domicile de la personne morale : il s'agit du lieu désigné dans l'acte constatant sa création ou,
à défaut, du lieu où elle a son administration ou son siège social. Art. (e) domicile contractuel ou
spécial : les personnes peuvent, dans leurs contrats, désigner un domicile spécial pour l'exécution
des obligations découlant de leurs contrats. Art. 40 23. f) ** domicile du vagabond : une personne
qui n'a pas de résidence habituelle est considérée comme domiciliée à l'endroit où elle est trouvée.
Art. g) ** domicile fiscal : il figure dans le code des impôts et correspond à l'adresse Internet ou à
l'adresse de courrier électronique. Code fiscal.

. Différence avec la résidence et le quartier

3. QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE LE DOMICILE ET LA RÉSIDENCE : a) Le domicile :


est la circonscription départementale où une personne exerce des droits et contracte des
obligations, b) Le quartier : est la circonscription municipale où une personne exerce des droits et
contracte des obligations, c) La résidence : est l'adresse où une personne vit habituellement et où
une personne exerce des droits et contracte des obligations.

Absence :

Définition :

a. QU'EST-CE QUE L'ABSENCE : Il s'agit de la déclaration judiciaire qui détermine le


statut juridique d'une personne qui se trouve en dehors de la république ou qui est portée
disparue.

Caractéristiques :

Classification :

b. QUELS SONT LES TYPES D'ABSENCE : 1.- Absence simple et 2.

c. ABSENCE SIMPLE : Lorsqu'une personne se trouve en dehors de la république.

d. ABSENCE QUALIFIÉE : il s'agit d'une personne qui a disparu de son domicile et dont on ne
sait pas où elle se trouve.

e. DÉFINITION DE L'ABSENT : ART. 42 Un absent est une personne qui se trouve hors de la
république et qui y a ou y a eu son domicile. Une personne qui a disparu de son domicile et dont on
ne sait pas où elle se trouve est également considérée comme absente au sens de la loi.
Déclaration d'absence et ses effets juridiques.

a. QUEL EST L'OBJECTIF DE LA DÉCLARATION D'ABSENCE : Désignation d'un défenseur légal


pour la personne absente Art. 44

b. POUR LES CAS DANS LESQUELS L'ABSENT EST NOMMÉ AVOCAT JUDICIAIRE : pour les
cas dans lesquels il doit répondre à une action en justice ou faire valoir un droit devant un tribunal.
Art. 44

c. QUOI FAIRE SI L'ABSENT A DES BIENS ET QU'AUCUN GARDIEN N'A ÉTÉ DÉSIGNÉ : Le
juge désignera un dépositaire provisoire et dictera les mesures nécessaires pour sécuriser les
biens. Art. 47 deuxième paragraphe.

d. QUELLES SONT LES CONDITIONS À REMPLIR PAR L'AVOCAT COMMIS D'OFFICE POUR
ÊTRE DÉSIGNÉ : ART. 45 a) De préférence la procuration laissée par l'absent lorsqu'il dispose de
pouvoirs suffisants b) Ou, à défaut, le juge désignera toute personne, dès lors qu'elle aura fait
preuve d'une honnêteté, d'un enracinement et d'une compétence notoires.

f. LA FIN DE LA FONCTION DE DÉFENSEUR LÉGAL DE LA PERSONNE ABSENTE : ART. a) à


partir de la fin du litige dans lequel il est désigné b) à partir du moment où l'absent est pourvu d'un
tuteur aux biens, et c) à partir du moment où l'absent comparaît en personne ou par procuration
avec des pouvoirs suffisants.

g. QUE FAIRE SI LA PERSONNE ABSENTE A DES BIENS : un tuteur aux biens doit être désigné.
Art. 47

h. QUI PEUT SIGNALER L'ABSENT ET DEMANDER LA NOMINATION D'UN GARDIEN DES


BIENS DE L'ABSENT : Toute personne capable ou le bureau du procureur général de la nation. Art.
47

i. QUI PEUT ÊTRE TUTEUR D'UN BIEN : ART. 48 Il peut s'agir de n'importe quelle personne, y
compris le défenseur public lui-même.

j. QUELS POUVOIRS A LE REPRÉSENTANT DE L'ABSENT : Le représentant de l'absent est


l'administrateur du patrimoine de l'absent et a les mêmes obligations, pouvoirs et interdictions que
les tuteurs, dans la mesure où ils sont applicables. (art. 50)

k.LORSQUE LA POSITION DE GARDIEN DE LA PROPRIÉTÉ PREND FIN : ART. a) lorsque


l'absent comparaît en personne ou par procuration b) lorsque les biens s'éteignent ou cessent
d'appartenir à l'absent c) lorsque le tuteur décède, est admis à démissionner ou est révoqué, selon
les règles établies pour le tuteur, dans la mesure où elles sont applicables, auquel cas le juge
procède d'office à la nomination d'un nouveau tuteur et d) lorsque l'administration est confiée au
conjoint et aux enfants de l'absent et en l'absence de mandataire.d) lorsque l'administration est
confiée au conjoint et aux enfants de l'absent et, en leur absence, aux parents de sang dans l'ordre
de succession établi par la loi.

l. QUI SIGNALE AU JUGEMENT RESPECTIF LES MOTIFS DE DÉMISSION DU GARDIEN : ART.


54 Le bureau du procureur général et les parents de l'absent.

m.QUI PEUT ÊTRE ADMINISTRATEUR DES BIENS DE L'ABSENT : ART. 55 Uniquement les
parents (conjoint et enfants de la personne absente et, en leur absence, les parents par le sang
dans l'ordre de succession établi par la loi).

L'inventaire et l'évaluation des biens et la liquidation ou le partage de ceux qui appartiennent au


mariage sont effectués si l'absent est marié. Art. 56

ñ.L'ADMINISTRATEUR PEUT PERMETTRE QUE LES BIENS DE L'ABSENT SOIENT IMPOSÉS


OU SAISISISIS : ART. 60 No. Sauf s'il respecte les formalités prévues par la loi concernant les
biens des mineurs ou des incapables.

o.ce qui se passe lorsque le tuteur ou l'administrateur acquiert des biens ou des droits par
succession ou autre titre à titre gratuit pour la personne absente : ART. 61 Ils doivent les signaler au
juge concerné dans les 15 jours et prolonger la garantie qu'ils ont fournie jusqu'à concurrence de la
valeur de ces biens ou droits.

p. QUOI FAIRE LORSQUE L'ABSENT EST CONVAINCU D'ÊTRE DÉCÉDÉ une déclaration de
présomption de décès est demandée.

q.DEFINITION DE LA PRESUMED DEATH : la présomption de mort est la déclaration par un juge,


par le biais d'une résolution, qu'une personne est présumée morte.

r. QUELLE EST LA DATE LIMITE DE DÉCLARATION D'ABSENCE : Aucune date limite.

s. QUEL EST LE DÉLAI DE DÉCLARATION DE DÉCÈS PRÉSUMÉ : 5 ans après que


l'administration a été décidée par les proches ou après que la personne absente a été entendue
pour la dernière fois. Art. 63

t.DANS QUELS AUTRES CAS LE DÉCÈS PRÉSUMÉ PEUT ÊTRE DÉCLARÉ : ART. 64 a) D'une
personne disparue au cours d'une guerre à laquelle elle a participé ou dans laquelle elle s'est
trouvée dans la zone des opérations, lorsqu'une année s'est écoulée depuis la fin de la guerre sans
que l'on ait de nouvelles d'elle. (b) d'une personne retrouvée à bord d'un navire naufragé ou dans
un accident d'avion, lorsqu'un an s'est écoulé depuis sa disparition ; et c) d'une personne dont le
corps n'a pas été retrouvé et qui a disparu à la suite d'une explosion, d'un incendie, d'un
tremblement de terre, d'un glissement de terrain, d'une inondation ou d'un autre sinistre. (Délai :
immédiatement)

u. QU'EST-CE QUE LA RÉSOLUTION DÉCLARANT LE DÉCÈS PRÉSUMÉ ET CELLE


ACCORDANT LA POSSESSION DÉFINITIVE DU BIEN : Elle sera inscrite dans les registres
correspondants de l'état civil et de la propriété immobilière. Art. 68

v. QUAND LA POSSESSION DÉFINITIVE DES BIENS DU DÉCÉDÉ PRÉSUMÉ CESSERA :


Lorsqu'il y a des nouvelles vérifiées que l'absent est vivant, à partir de ce moment, l'héritier aura le
caractère de tuteur et sera soumis à toutes les obligations de l'absent. Art. 71

w.QUELS EFFETS LA DÉCLARATION DE DÉCÈS PRÉSUMÉ PRODUIT-ELLE : Elle a 2 effets a)


effet patrimonial : laisser la succession ouverte, déclarer qui sont les héritiers (régler la succession
héréditaire) Art. 67 b) effet personnel : laisser la succession libre et le conjoint peut se remarier Art.
77 x.QU'EST-CE QUI SE PASSE SI L'ABSENT VIT ET QUE SON CONJOINT SE MARIE A
NOUVEAU : 34. Lorsque l'un des conjoints avait connaissance de la circonstance que le conjoint
absent était en vie. L'action en nullité appartient à l'absent ou à l'époux qui, au moment du mariage,
ignorait qu'il était vivant. Cette action se prescrit par 6 mois à compter de la date à laquelle l'absent
a eu connaissance du remariage et pour le conjoint par la date à laquelle il a eu connaissance de la
survie de l'absent.

Si l'absent ou le présumé mort se présente ou si son existence est prouvée, même après la
possession définitive, il récupère ses biens dans l'état où ils se trouvent, le prix de ceux qui ont été
vendus et ceux qui proviennent de l'usage qui a été fait de ce prix. 75

4. Institutions du droit de la famille :

a. Mariage :

1. QU'EST-CE QUE LE MARIAGE : L'ART. 78 Il s'agit d'une institution sociale par laquelle un
homme et une femme s'unissent légalement, dans un but de permanence et dans le but de vivre
ensemble, de procréer, de nourrir et d'éduquer leurs enfants, et de s'entraider.

2. D'APRÈS LA DOCTRINE, QUEL TYPE DE MARIAGE EXISTE : a) Mariage civil b) Mariage


religieux c) Mariage mixte

3. AU GUATEMALA, QUEL MARIAGE EST RÉGLEMENTÉ PAR NOTRE LÉGISLATION : Le


mariage civil uniquement, car le mariage religieux est un acte symbolique selon la foi et les
croyances de chaque personne.

4. QUELLES SONT LES THÉORIES QUI ÉTUDIENT LA NATURE JURIDIQUE DU MARIAGE : a)


Le mariage est un contrat : car il établit qu'il s'agit d'un accord bilatéral de volontés, par lequel des
droits et des obligations sont créés, modifiés ou éteints. b) Le mariage est un acte juridique mixte :
un ensemble de règles imposées par l'État, mais en plus desquelles des droits et des obligations
peuvent être convenus. c) Le mariage est une institution sociale : parce qu'il fait référence au fait
que le mariage est un ensemble de règles ou de normes imposées par l'État par le biais de la loi
(système juridique).

5. QUELLE THÉORIE NOTRE LÉGISLATION ADOPTE-T-ELLE : La théorie selon laquelle le


mariage est une institution sociale.
6. QUELS SONT LES PILIERS FONDAMENTAUX DU MARIAGE : Le mariage est fondé sur
l'égalité des droits et des obligations des deux époux. Art. 79

7. QU'EST-CE QUE LES PARTENAIRES : Ce sont les promesses du mariage. Art. 80

8. QUE LES FIANÇAILLES PRODUISENT : ART. 80 Les fiançailles ne donnent pas lieu à une
obligation de se marier, mais elles donnent lieu à une demande de restitution des choses données
et données avec la promesse d'un mariage qui n'a pas eu lieu.

9. CAPABLES DE CONTRACTER MARIAGE : ART. 81 Les personnes majeures sont celles qui
ont atteint l'âge de 18 ans, mais les hommes mineurs de plus de 16 ans et les femmes mineures de
plus de 14 ans ont également la capacité d'agir, pour autant qu'ils disposent de l'autorisation prévue
par la loi.

10. QUI DOIT DONNER L'AUTORISATION : L'autorisation doit être donnée conjointement par le
père et la mère, ou par le parent exerçant seul l'autorité parentale. Art. 82 0

11. EN CAS D'ADOPTION QUI DONNE L'AUTORISATION : L'adoptant Art. 82 paragraphe 2.

12. EN CAS DE DÉCÈS DES PARENTS QUI DONNE L'AUTORISATION : Le tuteur, qui peut être
un membre de la famille, peut-être un membre de la famille est un tuteur spécifique. Art. 82 3ème.
Paragraphe.

13. QUE FAIRE SI L'AUTORISATION DES PARENTS N'EST PAS OBTENUE : La demande doit
être adressée au juge de première instance de votre domicile, (dispense judiciaire) Art. 83

14. PAR QUEL MOYEN LA DISPENSE JUDICIAIRE EST-ELLE AUTORISÉE : Par la juridiction
judiciaire volontaire.

15. EN QUOI CONSISTE LE MARIAGE PAR PROCURATION : ART. 85 Le mariage peut être
célébré par procuration, en accordant un mandat spécial, qui doit indiquer l'identification de la
personne avec laquelle le mariage doit être contracté et contenir une déclaration sous serment sur
les points mentionnés à l'article 93.

16. QUELS SONT LES TYPES D'EMPÊCHEMENTS AU MARIAGE CONTRACTUEL : a)


Empêchements absolus : appelés dans la doctrine dirimentes. Ce sont ceux qui rendent le mariage
insubsistant, ce qui signifie que le mariage est nul et non avenu, car il ne naît pas à la vie légale.
Art. 88 b) Les empêchements relatifs : appelés dans la doctrine impidientes. Ce sont celles qui
rendent le mariage illégal mais valide, en imposant une sanction à la personne qui a commis l'acte
illégal. Art. 89

17. QUELLES SONT LES DISQUALIFICATIONS ABSOLUES : a) les parents par le sang en ligne
droite, et en ligne collatérale, les frères et sœurs et les demi-frères et demi-sœurs. b) les
ascendants et descendants liés par des liens d'affinité c) les personnes mariées et les personnes en
union de fait avec une personne autre que leur cohabitant, tant que cette union n'a pas été
légalement dissoute. Exemples : 1.- Peut-il y avoir un mariage entre cousins ? Oui, puisque le seul
empêchement concerne les frères et sœurs et les demi-frères et sœurs (ligne collatérale). 2. Peut-
on se marier avec une ancienne belle-sœur ? Oui, puisque le seul obstacle serait le mariage avec
l'ancienne belle-mère ou un enfant de l'ancien conjoint.

18. QUELS SONT LES OBSTACLES RELATIFS. ART. (a) d'une personne âgée de moins de 18
ans sans le consentement exprès de ses parents ou de son tuteur b) d'un homme âgé de moins de
16 ans ou d'une femme âgée de moins de 14 ans. Sauf si la femme a été conçue avant cet âge et
que les personnes exerçant l'autorité parentale ou la tutelle ont donné leur consentement. (c) de la
femme avant l'expiration d'un délai de 300 jours à compter de la dissolution du précédent mariage
ou de l'union de fait, ou à compter de la date à laquelle le mariage a été déclaré nul. Si la nullité du
mariage est due à l'impuissance du mari, la femme peut se remarier sans attendre un quelconque
délai. d) du tuteur et du géniteur ou de leurs descendants avec la personne qui est sous tutelle ou
sous curatelle e) du tuteur ou du géniteur ou de leurs descendants avec la personne qui a été sous
leur tutelle ou sous curatelle. Mais seulement après l'approbation et l'annulation des comptes de
son administration. f) Quiconque, ayant des enfants sous son autorité parentale, ne fait pas
l'inventaire judiciaire de leurs biens, ni n'en garantit la gestion, à moins que l'administration ne
passe à une autre personne. (g) de l'adoptant avec l'adopté pendant la durée de l'adoption.

19. QUE FAIRE EN CAS DE CÉLÉBRATION D'UN MARIAGE ILLÉGAL : ART. 90 Si le mariage
est néanmoins célébré, il est valable, mais le fonctionnaire et les personnes coupables de
l'infraction sont responsables selon la loi.

20. QUE FAIRE SI LE FONCTIONNAIRE CONNAÎT L'EXISTENCE D'UNE IMPLICATION


JURIDIQUE, QUE CE SOIT SUR LES FONDS DE LA FONCTION OU SUR LE RAPPORT DE LA
PGN, OU DE TOUTE AUTRE PERSONNE : Art. 91 Le fonctionnaire ordonne la suspension de la
procédure matrimoniale.

21. QUI SONT LES OFFICIERS PUBLICS QUI PEUVENT AUTORISER LE MARIAGE : ART. 92
a) Le maire b) Ou le conseiller municipal qui en tient lieu Toutefois, elle peut également être
autorisée par c) Le notaire d) Et un ministre du culte dûment habilité.

22. QUI EST CHARGÉ D'AUTORISER LE MINISTRE DES CULTES : Le ministère de l'Intérieur.

23. QUELLES SONT LES OBLIGATIONS ULTÉRIEURES QUI NAISSENT APRÈS LA FIN DE LA
CÉLÉBRATION DU MARIAGE ? ♦ Un acte de l'acte qui a eu lieu est délivré ♦ Les cedulae des
contractants sont motivées ♦ Un avis circonstancié est envoyé au registre civil du renal ♦ Un avis
est envoyé au registre des cedulae ♦ Un avis est envoyé au registre où sont consignés les actes de
naissance. L'acte de mariage doit être notarié.

24. RÉDACTION D'UN PROCÈS-VERBAL DE L'ACTE : Dans la ville de Guatemala, le quinzième


jour du mois de novembre de l'année deux mille huit, moi Nelly Yadira Morataya Aguilar notaire, j'ai
procédé à la célébration du mariage civil de Marvin Josué Cabrera Godoy et Wendy Fabiola Barrios
Soza dans la cinquième avenue une ligne directrice deux de la zone cinq de la municipalité de
Guatemala, département de Guatemala.n dos de la zona cinco del municipio de Guatemala
departamento de Guatemala en vertu de laquelle je procède à la remise de la preuve respective de
l'acte célébré qui consiste en deux feuilles, la première photocopie reproduite à partir de l'original
qui contient l'acte de mariage et la présente. En foi de quoi □ Après la lecture des articles respectifs,
les contractants sont invités à donner leur consentement □ Au début du mariage, les articles
suivants doivent être lus : 78 et 108 à 112 C.Civ. et expliquer en quoi consiste chacun d'entre eux.
Le notaire doit être présent à l'endroit où le mariage doit avoir lieu □ Une date et une heure sont
fixées pour la célébration du mariage (tous les jours et heures sont des jours ouvrables pour la
célébration du mariage) □ Les parties contractantes doivent prouver qu'elles disposent de toutes les
conditions nécessaires pour contracter le mariage. □ Commencer par l'avis correspondant : □
Publication du décret : 1 fois dans le journal officiel et 1 fois dans un autre journal de grande
diffusion, dans un délai de 15 jours.

25. ÉTAPES À SUIVRE POUR CONCLURE LE MARIAGE □ Preuve de la liberté d'État (cela
dépend du pays de la personne, mais elle doit se conformer aux exigences légales) □ Contrat de
mariage □ Certificat de santé □ Passeport □ Inventaire

26. LES EXIGENCES AUXQUELLES UN CONTRACTANT ÉTRANGER DOIT SE CONFORMER :


ART. 96 □ Garantie d'entretien pour les enfants mineurs □ Document légal attestant la dissolution
du mariage précédent □ Contrats de mariage □ Certificat de santé □ Certificat de citoyenneté □ Acte
de naissance □ Acte de naissance □ Acte de mariage □ Acte de mariage □ Acte de mariage □ Acte
de mariage □ Acte de naissance

27. QUELLE PROCÉDURE SI LE MAIRE EST PRÉSENT, MAIS S'IL EST INDISPENSABLE ET
NE VEUT PAS FAIRE LES MARIAGES ET DEMANDE QUE LE CONSEILLER DE LA
MUNICIPALITÉ LES FAITES : Conformément au code civil, il ne le pourrait pas, puisqu'il est
présent et que le conseiller n'agit à sa place qu'en l'absence du maire. Cependant, l'article 49 du
CPRG ne fait pas de distinction entre le maire et le conseiller, de sorte que même si le code civil
établit l'interdiction, le conseiller pourrait toujours célébrer le mariage, puisque, en vertu de la
suprématie des lois, la constitution l'emporte sur le code civil.

28. QUELLES SONT LES CONDITIONS NÉCESSAIRES POUR LES MARIAGES NORMAUX
ET POUR LES MARIAGES SPÉCIAUX : MARIAGE NORMAL MARIAGE D'UN MINEUR
Certification de l'acte de naissance Certification de l'acte de naissance de l'acte de naissance des
deux conjoints mineurs. Certificat de santé des deux conjoints Certificat de santé des deux conjoints
Certificat de santé des deux conjoints Contrat de mariage Contrat de mariage Contrat de mariage
Autorisation de la personne concernée

29. IL EST OBLIGATOIRE DE DEMANDER LE CERTIFICAT DE NAISSANCE DES DEUX


PARENTS DANS LE CADRE D'UN MARIAGE NORMAL : Le certificat est demandé pour des
raisons de sécurité juridique, mais il n'est pas vraiment obligatoire car il n'est pas fondé sur notre
législation.

30. DANS CE CAS, LA PRÉSENTATION DU CERTIFICAT DE SANTÉ N'EST PAS EXIGÉE. ART.
(a) Les personnes résidant dans des endroits où il n'y a pas de médecin et de chirurgien agréés en
activité ou d'établissements publics de soins de santé ne sont pas tenues de le présenter. (b) qui
ont déjà eu des relations de fait qui rendent ce certificat inutile.

31. QUEL EST LE DÉLAI POUR QUE LE MARIAGE SOIT EFFECTUÉ, SI LES PARTIES ONT
DÉJÀ LES CONDITIONS NÉCESSAIRES : La loi ne fixe pas de délai, le mariage peut donc être
célébré immédiatement ou une date et une heure peuvent être fixées pour la célébration du
mariage.
32. QUELLE PROCEDURE SI UN MINEUR VEUT SE MARIER MAIS QUE SON CERTIFICAT DE
NAISSANCE N'A JAMAIS ETE INSCRIT DANS LE REGISTRE : Une procédure de détermination
de l'âge est effectuée dans la juridiction judiciaire volontaire (elle ne sert qu'à célébrer le mariage)
Art. 94

33. LES EXIGENCES AUXQUELLES LE PARTENAIRE ANCIENNEMENT MARIÉ DOIT SE


CONFORMER : ART. 95 Je signe ce certificat de mariage civil.

34. ÉCRIRE UNE CEDULA RAISON : RAISON : le titulaire de la présente cedula de vecindad, a
épousé Mlle DORA MARLENE HERRERA RUSTRÍAN, autorisée dans la ville de Guatemala, le 5
novembre de l'année 2008. Par le notaire soussigné. Signature et cachet du notaire

35. RÉDIGER UN AVIS CIRCONSTANCIÉ : l'avis circonstancié doit contenir toutes les
informations figurant dans l'acte de mariage.

36. DANS LE CAS DES CONTRAYANTS ÉTRANGERS, EST-IL NÉCESSAIRE DE RAISONNER


LES PASSEPORTS : Si le passeport doit être motivé, conformément à ce qui est établi dans l'art.
100 code civil. À l'exception des passeports des Brésiliens, comme l'a ordonné l'ambassade du
Brésil.

37. EN QUOI CONSISTE LE MARIAGE EN ARTICLE DE DÉCÈS : ART. 105 En cas de maladie
grave, le mariage peut être autorisé sans que soient observées les formalités prescrites, à condition
qu'il n'existe pas d'empêchement manifeste et évident rendant l'acte illicite.

38. PERSONNES HABILITÉES À AUTORISER LE MARIAGE AUTRES QUE LES PERSONNES


PRÉVUES À L'ARTICLE 92 : Les militaires et les autres personnes appartenant à l'armée, qui sont
en campagne ou dans une place assiégée. Ils peuvent se marier devant le chef de corps ou de
poste. A condition qu'ils n'aient pas d'empêchement manifeste rendant l'union impossible. Art. 107

39. QUELLE OBLIGATION POSTALE DOIT ÊTRE REMPLIE : L'original de l'acte de mariage doit
être envoyé au registre civil approprié. Art. 107

40. DANS QUEL DÉLAI DOIT-ON RESPECTER CETTE OBLIGATION : Dans les 15 jours suivant
la fin de la campagne ou le retrait du site.

41. QUELS DROITS DÉCOULENT DU MARIAGE : a) La femme a le droit d'ajouter son propre
nom de famille à celui de son conjoint et de les conserver toujours (tant que dure le mariage). Art.
108 b) La représentation du conjoint est partagée à parts égales entre les deux conjoints. Art. 109
c) Organiser toutes les questions relatives à l'éducation et à l'établissement des enfants. Art. 109 d)
régler toutes les questions relatives au budget familial. Art. 109

42. DONT LES OBLIGATIONS DÉCOULENT DU MARIAGE : 5


Communauté de biens

43. QUI ÉTABLIT LA COMMUNAUTÉ ABSOLUE DE BIENS : ART. 122 Sous ce régime, tous les
biens apportés dans le mariage par les époux ou acquis pendant le mariage font partie des biens
matrimoniaux et sont partagés par moitié lors de la dissolution du mariage.

44. QUI ÉTABLIT LE RÉGIME DE SÉPARATION ABSOLUE : ART. 123 Dans ce régime, chaque
époux conserve la propriété et l'administration des biens qui lui appartiennent et est propriétaire
exclusif des fruits, produits et successions. Les traitements, salaires, émoluments, émoluments et
bénéfices provenant de services personnels ou de l'exercice d'un commerce ou d'une industrie sont
également la propriété de chacun des conjoints. Cela signifie que tous les biens ne font pas partie
du patrimoine conjugal et que, même si le mariage est dissous, les deux parties continueront à
conserver ce qu'elles possèdent.

45. QUI ÉTABLIT LE RÉGIME DE LA COMMUNAUTÉ DES BIENS : ART. 124 Sous ce régime, les
époux conservent la propriété des biens qu'ils avaient au moment du mariage et de ceux qu'ils
acquièrent pendant le mariage, soit à titre gratuit, soit avec la valeur de l'un et de l'autre ; mais les
biens suivants leur reviennent par moitié lors de la dissolution du régime matrimonial : (a) les fruits
des biens propres de chacun des époux, déduction faite des frais de production, de réparation, de
conservation et des charges fiscales et municipales des biens respectifs ; b) ce qui est acheté ou
échangé avec ces fruits, même si l'acquisition est faite au nom d'un seul des époux ; et c) ce que
chaque époux acquiert par son travail, son emploi, etc.

46. QUEL REGIME ECONOMIQUE EST LE PLUS APPROPRIÉ POUR CONSEILLER LES
CLIENTS : Le régime économique de la séparation absolue.

47. LA CONVENTION MATRIMONIALE PEUT ÊTRE ALTÉRÉE OU MODIFIÉE : ART. 125 Les
époux ont le droit inaliénable de modifier les contrats de mariage et d'adopter un autre régime
patrimonial pendant le mariage.

48. DANS LEQUEL SONT CONSIGNÉES LES MODIFICATIONS DU CONTRAT DE MARIAGE :


ART. 125 2ème ALINÉA Elle se fait par un acte public qui est inscrit dans les registres respectifs et
n'est opposable aux tiers qu'à partir de la date de l'inscription.

49. QUE FAIRE SI LES CONTRACTANTS NE FAISENT PAS DE CAPITULATIONS ET NE


PRÉCISENT PAS LE RÉGIME QU'ILS ACCEPTENT DANS LE MARIAGE : Le mariage sera réputé
avoir été contracté sous le régime de la communauté de biens. Art. 126

50. SOUS QUEL AUTRE NOM LE RÉGIME DE LA COMMUNAUTÉ DES BIENS EST-IL
CONNU ?

PROFIT : Régime subsidiaire

51. Héritages, dons ou autres héritages reçus à titre gratuit et demandes d'indemnisation pour
accidents ou demandes d'assurance-vie : Nonobstant le régime sous lequel les époux ont leurs
biens matrimoniaux, ceux-ci sont considérés comme des biens propres de chaque époux.

52. QU'EST-CE QUE LES BIENS MÉNAGERS : Tous les biens meubles qui servent à l'usage
ordinaire de la famille.

53. A QUI COR□ Séparation absolue □ Communauté absolue □ Si la femme est guatémaltèque et
l'homme étranger ou naturalisé guatémaltèque.

54. A combien s'élève le salaire minimum actuel : Le salaire minimum actuel est de Q. 138.LIEU
DE CONSTATATION DES CONVENTIONS DE MARIAGE : Elles doivent être consignées dans un
acte public ou dans un acte dressé devant l'officier qui doit autoriser le mariage.
55. QUI DOIVENT ÊTRE REMPLIES PAR LA SUITE : ART. 119 a) L'attestation de l'acte ou la
certification de l'acte est inscrite au registre de l'état civil après le mariage, b) ainsi qu'au registre
foncier, si des biens immobiliers ou des droits réels sur ceux-ci sont concernés.

56. DÉFINIR CE QU'EST UN RÉGIME DE BIENS MARITAUX : Les régimes de biens


matrimoniaux visent à établir des règles sur le sort des biens matrimoniaux en cas de dissolution du
mariage.

57. QUI SONT LES RÉGIMES ÉCONOMIQUES DU MARIAGE : □ Si l'un d'eux a en gestion les
biens de mineurs ou d'incapables qui sont sous son autorité parentale, sa tutelle ou sa garde ; □ Si
l'un des contractants exerce une profession ou un métier qui produit un revenu ou un émolument
qui dépasse deux cents quetzales par mois ; □ Quand l'un des contractants a des biens dont la
valeur atteint deux mille quetzales ; □ 6. (a) Le mari doit protection à sa femme et est tenu de lui
fournir tout ce qui est nécessaire à la subsistance du ménage, en fonction de ses moyens
financiers. Art. (b) Les deux conjoints ont l'obligation de s'occuper de leurs enfants pendant leur
minorité. Art. (c) La femme contribue à parts égales à l'entretien du ménage, mais si le mari est
dans l'incapacité de travailler et n'a pas de biens propres, la femme prend en charge tout ou partie
des dépenses de la famille. Art. (d) La femme a toujours un droit préférentiel sur le salaire ou les
revenus du mari pour son entretien et celui de ses enfants plus aisés. Art. 112

58. QU'EST-CE QUE LES COVENANTS DE MARIAGE : Ce sont les accords conclus par les
parties contractantes pour établir et réglementer le régime économique du mariage. Art. 117

59. LA CONVENTION SUR LES BIENS MATRIMONIAUX COMPREND LES ÉLÉMENTS


SUIVANTS

SUIVANT : ART. 121 ♦ la désignation détaillée des biens détenus par chacun des époux au
moment du mariage. ♦ Déclaration du montant des dettes de chaque partie, et ♦ Déclaration
expresse des parties contractantes quant à l'adoption du régime de la communauté absolue de
biens, de celui de la séparation absolue ou de celui de la communauté d'acquêts ; ou aux modalités
et conditions auxquelles elles souhaitent le soumettre.

60. DANS QUELS CAS LE CONTRAT DE MARIAGE EST-IL OBLIGATOIRE : ART. 118
ENTRETIEN DU DOMAINE : L'épouse est exclusivement responsable de la gestion du domicile
conjugal, à l'exception des effets personnels du mari.

61. UN CONJOINT PEUT VENDRE LES BIENS À SON NOM, QUEL QUE SOIT LE RÉGIME
QU'IL A ACCEPTÉ : Chaque conjoint ou cohabitant a la libre disposition des biens inscrits à son
nom dans les registres publics, sans préjudice de répondre envers l'autre de l'aliénation qu'il fait des
biens communs.

62. QUI PROCÈDE À L'ADMINISTRATION DES BIENS ET DU PATRIMOINE MATRIMONIAL DU


MARI MINEUR : Si l'époux est mineur, il est assisté dans l'administration de ses biens et du
patrimoine matrimonial par la personne qui exerce sur lui l'autorité parentale ; mais si l'épouse est
majeure, elle exerce l'administration des biens jusqu'à la majorité de l'époux.

63. QUAND LES BIENS COMMUNS PRENNENT FIN : 1) par la dissolution du mariage ; 2) par la
séparation des biens ; et 3) par la condamnation définitive de l'un des conjoints pour un délit
commis à l'encontre de l'autre.

64. QUOI PROCÉDER APRÈS LA FIN DE LA COMMUNAUTÉ : La liquidation des biens de la


communauté se fait immédiatement.

65. QUI PEUVENT CONSTITUER DES MOTIFS DE RUPTURE DE LA COMMUNAUTÉ DE


BIENS :

L'abandon injustifié du domicile conjugal par l'un des époux fait cesser les effets de la communauté
de biens à son égard, à compter du jour de l'abandon, dans la mesure où ils lui sont favorables.

66. QU'EST-CE QU'UN MARIAGE INSUBSISTANT : Cela signifie qu'un mariage est nul et non
avenu, c'est-à-dire qu'il ne naît pas à la vie légale.

67. IMPEDIMENTS RELATIFS : rendre le mariage illégal.

68. QUAND UN MARIAGE EST NUL : Lorsque le mariage est né à la vie légale mais qu'il est
susceptible d'être rendu nul, c'est-à-dire de demander sa nullité.

69. DANS QUELS CAS UN MARIAGE EST-IL ANNULABLE ? (a) lorsque l'un des époux ou les
deux ont consenti par erreur, fraude ou contrainte ; b) de celui qui souffre d'une impuissance
absolue ou relative à procréer ; c) de toute personne qui souffre d'une incapacité mentale au
moment de contracter le mariage ; et d) de l'auteur, du complice ou de l'instigateur du décès de l'un
des époux.(d) de l'auteur, du complice ou de l'instigateur du décès d'un conjoint, avec le conjoint
survivant.
70. QU'EST-CE QUE L'IMPUISSANCE ABSOLUE : Il s'agit de l'impuissance de l'un des conjoints
ou des deux, et il ne peut y avoir de relations de fait.

71. QU'EST-CE QUE L'IMPOTENCE RELATIVE : Lorsque l'un des conjoints ou les deux conjoints
ont une relation de droit commun, mais sont incapables de procréer des enfants parce qu'ils sont
stériles.

72. DÉFINITION DE LA SÉPARATION : Institution de droit civil par laquelle l'État libère les époux
de leur obligation de vivre ensemble, modifiant ainsi le mariage.

73. DEFINITION DU DIVORCE : Il s'agit d'une institution de droit civil par laquelle le mariage est
dissous.

74. COMMENT LA SÉPARATION ET LE DIVORCE PEUVENT ÊTRE DÉCLARÉS : a) par accord


mutuel entre les conjoints b) par la volonté de l'un des conjoints pour une raison précise.

75. SÉPARATION OU DIVORCE PAR ACCORD MUTUEL DES CONJOINTS : Il s'agit du cas où
les deux conjoints sont d'accord pour se séparer ou divorcer.

76. PAR QUELLE VOIE LE DIVORCE OU LA SÉPARATION PAR CONSENTEMENT MUTUEL


EST-IL TRAITÉ ? Il est traité par la juridiction judiciaire volontaire.

77. SÉPARATION OU DIVORCE PAR LA VOLONTE DE L'UN DES CONJOINTS, EN VERTU


D'UNE CAUSE DÉTERMINÉE : Cela se produit lorsqu'il existe une cause qui motive la demande de
séparation ou de divorce de la part de l'époux inculpé, c'est-à-dire qu'il ne motive pas la cause.

78. DE QUELLE MANIÈRE LE DIVORCE OU LA SÉPARATION POUR CAUSE DÉTERMINÉE


EST-T-IL TRAITÉ : Il est traité dans le cadre d'un procès ordinaire.

79. QUEL EST LE DÉLAI POUR LA DISSOLUTION DU MARIAGE PAR CONSENTEMENT


MUTUEL ? Après un an, vous pouvez demander la dissolution du mariage.

80. QUEL EST LE DÉLAI DE DISSOLUTION D'UN MARIAGE POUR UNE CAUSE
DÉTERMINÉE : Dans les 6 mois suivant la connaissance de la cause.

81. QUI PEUT DEMANDER LA SÉPARATION OU LE DIVORCE POUR CAUSE DÉTERMINÉE :


Elle peut être demandée par l'époux qui n'en a pas donné la cause.

82. DANS QUEL DÉLAI PEUT-IL ÊTRE DEMANDÉ : Dans les 6 mois suivant le jour où les faits
sur lesquels la demande est fondée ont été portés à sa connaissance.

83. QUELLES SONT LES CAUSES COMMUNES DE SÉPARATION OU DE DIVORCE : (1)


l'infidélité de l'un des conjoints. (2) Les mauvais traitements en nature, les querelles et disputes
continuelles, les injures graves et les atteintes à l'honneur et, en général, les comportements qui
rendent la vie commune insupportable, 3) L'attentat de l'un des époux contre la vie de l'autre ou des
enfants(4) La séparation volontaire ou l'abandon du domicile conjugal ou l'absence non motivée
pendant plus d'un an, 5) Le fait pour la femme de donner naissance, pendant le mariage, à un
enfant conçu avant la célébration du mariage, à condition que le mari ne soit pas marié depuis plus
d'un an, 6) Le fait pour la femme de donner naissance, pendant le mariage, à un enfant conçu avant
la célébration du mariage, à condition que le mari ne soit pas marié depuis plus d'un an.(6)
L'incitation du mari à la prostitution de la femme ou à la corruption des enfants ; 7) Le refus non
fondé de l'un des époux de remplir envers l'autre ou envers les enfants communs les devoirs
d'assistance et d'entretien auxquels il est légalement tenu ; 8) Le refus non justifié du mari ou des
enfants communs de subvenir aux besoins des enfants communs ; 9) Le refus non justifié du mari
ou des enfants communs de subvenir aux besoins des enfants communs.9) Le jeu, l'ivresse ou
l'usage constant et abusif de stupéfiants lorsqu'ils menacent de causer la ruine de la famille ou
constituent une cause continue de mésentente conjugale. (10) Accusation criminelle ou
calomnieuse portée par l'un des époux contre l'autre, (11) Condamnation de l'un des époux, par un
jugement définitif, pour un crime contre les biens ou pour tout autre crime de droit commun puni de
plus de 5 ans d'emprisonnement, (12) Maladie grave, incurable et contagieuse, nuisible à l'autre
époux ou à la descendance, (13) Impuissance absolue ou relative pour la procréation, à condition
qu'elle soit par nature incurable et postérieure au mariage, (14) Maladie mentale incurable de l'un
des époux qui suffit à déclarer l'interdiction(13) l'impuissance absolue ou relative à procréer, à
condition qu'elle soit par nature incurable et postérieure au mariage, (14) la maladie mentale
incurable de l'un des époux qui suffit à prononcer l'interdiction ; (15) de même, la séparation de
personnes prononcée par un jugement définitif est une cause de divorce.

84. QU'EST-CE QUE LA DISSIPLATION DES BIENS MENAGERS : Elle consiste à vendre petit à
petit les biens qui correspondent aux biens ménagers.

85. QU'EST-CE QUE L'ON FAIT EN CAS D'IMPUISSANCE DE L'UN DES CONJOINTS : Il
convient de déterminer si l'impuissance est antérieure ou postérieure au mariage. Pour déterminer
s'il s'agit d'un motif de divorce (plus tard) ou si l'annulation du mariage peut être demandée (plus
tôt).
86. LA CONFESSION OU LA SAISIE PEUT-ELLE ÊTRE UNE PREUVE SUFFISANTE POUR
DÉCLARER LE DIVORCE OU LA SÉPARATION : Non, car elle n'est pas considérée comme une
preuve suffisante.

87. QUELS SONT LES EFFETS COMMUNS DE LA SÉPARATION ET DU DIVORCE : a) la


liquidation du patrimoine conjugal ; b) le droit à une pension alimentaire en faveur du conjoint
inapte, le cas échéant ; et c) la suspension ou la perte de l'autorité parentale, lorsque la cause de la
séparation ou du divorce l'entraîne et qu'il y a une demande expresse de la part de l'intéressé.

88. QUELS SONT LES EFFETS DE LA SÉPARATION : 1) la rupture de la relation conjugale ; 2) le


droit à la succession ab intestat de l'autre conjoint ; et 3) le droit de l'épouse de continuer à utiliser le
nom de famille de son mari.

89. QUELS SONT LES EFFETS DU DIVORCE : a) la dissolution du lien conjugal ; b) il laisse les
époux libres de se remarier ; c) la femme divorcée n'a pas le droit d'utiliser le nom de famille de son
mari.

90. QUI EST RESPONSABLE DE LA PROTECTION DE LA FEMME ET DES ENFANTS : Dès


l'introduction de la demande de séparation ou de divorce, la femme et les enfants seront sous la
protection de l'autorité pour la sécurité de leur personne et de leurs biens, et les mesures urgentes
nécessaires seront prises.

91. À PRÉSENTER PAR LES ÉPOUX LORS D'UNE DEMANDE DE SÉPARATION OU DE


DIVORCE PAR CONSENTEMENT MUTUEL : Ils doivent soumettre au juge compétent un projet
d'accord.

92. CE QUE LE PROJET DE PACTE DEVRAIT CONTENIR : 1) à qui sont confiés les enfants
issus du mariage ;

2. (2) à la charge de qui les enfants doivent être nourris et éduqués et, si cette obligation incombe
aux deux époux, dans quelle proportion chacun d'eux est tenu ; 3) la pension que le mari doit verser
à la femme si celle-ci n'a pas de revenus propres suffisants pour couvrir ses besoins ; 4) la garantie
à fournir pour l'exécution des obligations contractées d'un commun accord entre les époux 3) quelle
pension le mari doit verser à la femme si celle-ci ne dispose pas de revenus propres suffisants pour
couvrir ses besoins ; 4) quelle garantie doit être fournie pour l'exécution des obligations contractées
d'un commun accord entre les époux ; 5) ils doivent présenter un projet de liquidation des biens
matrimoniaux.

b. Union de fait :

93. DÉFINITION DE L'UNION DE FACTO : Il s'agit d'une institution sociale par laquelle un homme
et une femme ayant la capacité de contracter mariage déclarent devant un maire, devant un notaire
ou devant un juge qu'ils ont établi depuis plus de trois ans un foyer et une vie commune devant
leurs proches et leurs relations sociales, remplissant ainsi les conditions du mariage.

94. QUELS SONT LES BUT DU MARIAGE : a) vivre ensemble b) procréer, élever et éduquer des
enfants c) se soutenir mutuellement.

95. L'UNION DE FAIT D'UN COUPLE QUI VIT ENSEMBLE DEPUIS PLUS DE TROIS ANS, SANS
AVOIR D'ENFANTS, PEUT ÊTRE DÉCLARÉE : L'union de fait ne peut pas être déclarée, car elle
ne remplit pas les objectifs du mariage, qui est une condition indispensable.

96. QUELS SONT LES DEUX MOYENS DE DÉCLARER UNE UNION DE FAIT : 1) Volontaire 2)
Judiciaire.

97. QUAND L'UNION VOLONTAIRE DE FACTO EST PROCÉDÉE : Lorsque les deux parties
donnent leur accord pour passer devant un maire ou un notaire, afin de déclarer l'union du couple.

Fait.

98. a) en cas d'opposition de l'un des concubins b) en raison du décès de l'un des concubins (dans
ce cas, on parle d'union de fait post-mortem) Dans les deux cas, l'union de fait est déclarée devant
un juge compétent.

99. COMMENT EST DÉCLARÉE UNE UNION VOLONTAIRE DE FACTO : 1) si elle est devant le
maire, elle est déclarée au moyen d'un acte 2) si elle est devant le notaire, elle est déclarée au
moyen d'un acte notarié ou d'un acte public.

100. COMMENT EST DÉCLARÉE UNE UNION JUDICIAIRE DE FACTO : Elle est déclarée par un
jugement définitif dans un jugement ordinaire.

101. EFFETS PRODUITS PAR L'ENREGISTREMENT DE L'UNION DE FAIT : (1) (Effet de la


filiation) les enfants nés après 180 jours à compter de la date fixée comme début de l'union de fait
et ceux nés dans les 300 jours à compter du jour où l'union a cessé sont réputés être les enfants de
l'homme avec lequel la mère était unie, présomption contre laquelle la preuve contraire est admise ;
2) à défaut d'acte de séparation de biens, ceux acquis pendant l'union de fait sont réputés être la
propriété de l'un et de l'autre.2) à défaut d'acte de séparation de biens, les biens acquis pendant
l'union de fait sont réputés appartenir aux deux partenaires, sauf preuve contraire, à moins qu'il ne
soit démontré que ces biens ont été acquis par l'un d'eux seul, soit à titre gratuit, soit à la valeur du
bien, soit à la valeur du bien au moment de l'union de fait.3) le droit pour l'une des parties de
demander la déclaration d'absence de l'autre partie et, une fois déclarée, de demander la
succession de l'absent, la liquidation des biens communs et l'adjudication des biens qui lui
reviennent ; 4) en cas de décès de l'un d'eux, le survivant peut demander la liquidation des biens de
la communauté et l'attribution des biens comme dans le paragraphe précédent ; et 5) la soumission
de l'homme et de la femme aux droits et obligations des époux pendant le mariage.

102. DÉCLARATION D'UNION DE FAIT DE MINEURS : Les maires ou notaires ne peuvent


accepter une déclaration d'union de fait de mineurs sans le consentement des parents ou du tuteur
ou, le cas échéant, l'autorisation du juge (dispense judiciaire).

103. COMMENT L'UNION DE FAIT PEUT ÊTRE RÉSILIÉE : a) elle peut être résiliée par accord
mutuel de l'homme et de la femme, dans la forme où elle a été constituée ; b) ou pour l'une des
raisons indiquées pour le divorce et la séparation, auquel cas la résiliation doit être déclarée
judiciairement.

104. a) si l'union de fait a été déclarée devant un notaire, la cessation de l'union de fait est
demandée devant un notaire ; b) si l'union de fait a été déclarée devant un maire, la cessation de
l'union de fait est demandée devant un juge de première instance. En effet, la loi ne donne pas de
pouvoir au maire.

DEVANT UNE JURIDICTION ORDINAIRE

105. DIFFÉRENCE ENTRE MARIAGE ET UNION DE FAIT : Mariage Union de fait 1) est un acte
constitutif 1) est un acte déclaratif 2) est permanent et immuable 2) est permanent, mais variable

106. POURQUOI LE MARIAGE EST UN ACTE CONSTITUTIF : Parce qu'il prend effet à partir du
moment où le mariage est autorisé.

107. PARCE QUE LE MARIAGE EST UN ACTE PERMANENT ET INVARIABLE : Parce que le
mariage reste tel qu'il a été constitué et ne change pas.

108. POURQUOI L'UNION DE FAIT EST CONSIDÉRÉE COMME UN ACTE DÉCLARATIF :


Parce que les effets sont rétroactifs au moment où l'union de fait est déclarée.

109. PARCE QUE L'UNION DE FAIT EST UN ACTE PERMANENT MAIS VARIABLE : Parce que
l'union de fait est maintenue de la même manière que le mariage mais est variable, puisqu'ils
peuvent déclarer leur union de fait mais, s'ils le souhaitent, ils peuvent aussi se marier.

110. OBLIGATIONS POST-OPÉRATOIRES APRÈS LA DÉCLARATION VOLONTAIRE D'UNION


DE FACTO : a) obligation légale : envoyer un avis au registre civil du registre national des
personnes, dans les 30 jours. (b) obligation technique : la même que pour le mariage (fourniture
d'un enregistrement de l'acte.......................................................................... etc.)

Parenté :

111. DEFINITION DE LA RELATION : C'est un lien juridique qui existe entre plusieurs personnes :
- par les liens du sang, - par les liens d'affinité (dérivés du mariage), - et - par l'adoption. (Le civil)

112. RELATION CONSANGUINALE : C'est le lien juridique qui existe entre plusieurs personnes
descendant d'un même parent. Ex. Les frères et sœurs sont issus de leurs parents (même parent).

113. QU'EST-CE QUE LA RELATION D'AFFINITÉ : C'est le lien juridique qui unit un conjoint à
l'autre et à leurs parents de sang respectifs (nés du mariage).

114. QU'EST-CE QUE LA RELATION D'ADOPTION : C'est le lien juridique qui existe uniquement
entre l'adoptant et l'adopté (appelé relation civile).

115. DEFINITION DU GRADE : C'est la distance qui existe entre un parent et un autre parent,
chaque génération constituant un degré.

116. DÉFINITION DE LA LIGNE : Il s'agit de la série de générations, qui se réfère aux degrés
existants.

117. CLASSES DE LIGNES : a) Ligne droite : c'est le cas des personnes qui descendent les unes
des autres, à partir d'un ancêtre commun. b) Ligne collatérale ou transversale : lorsque des
personnes ne descendent pas les unes des autres, mais sont issues d'un même ancêtre commun.

118. DIPLÔMES RECONNUS PAR LA LOI :


1) Par consanguinité : jusqu'au quatrième degré 2) par affinité : jusqu'au deuxième degré 3) par
adoption : uniquement entre l'adoptant et l'adopté

Paternité et filiation :

119. DEFINITION DE L'AFFILIATION : Lien juridique de filiation entre deux personnes dont l'une
est le parent de l'autre.

120. DEFINITION DE LA PATERNITE : C'est le lien juridique de filiation qui existe entre le père et
l'enfant.

121. EN CAS DE PERTE DE L'AUTORITÉ PARENTALE : ART. 274 □ Pour ivresse habituelle, □
Pour interdiction, déclarée de la même manière, □ Pour absence de celui qui l'exerce, déclarée
judiciairement □ Pour avoir voué les enfants à la mendicité ou leur avoir donné des ordres, des
conseils, des insinuations et des exemples corrupteurs ; 9□ Pour les habitudes dépravées ou
scandaleuses des parents, la dureté excessive dans le traitement des enfants ou la négligence de
leurs devoirs familiaux ; □ Et pour avoir l'habitude du jeu ou pour l'usage indu et constant de
stupéfiants.

122. CLASSES DE FILIATION : a) matrimoniale b) quasi matrimoniale c) extra-maritale d)


adoptive

123. DEFINITION DE LA FILIATION MARITIALE : filiation des enfants nés d'un mariage.

124. DEFINITION DE LA FILIATION QUASIMATRIMONIALE : Il s'agit de la filiation entre les


enfants nés d'une union libre.

125. DEFINITION DE LA FILIATION EXTRAMATRIMONIALE : Filiation entre enfants nés hors


mariage.

126. DEFINITION DE LA FILIATION ADOPTIVE : Filiation qui se produit à la suite d'une adoption.

127. QUELLES SONT LES FORMES DE LA RECONNAISSANCE EXTRAMATRIMONIALE : a)


sur une base volontaire b) sur une base judiciaire

128. 1) Dans l'acte de naissance par comparution devant l'officier de l'état civil 2) Par acte spécial
devant le même officier de l'état civil 3) Par acte public 4) Par testament 5) Par aveu judiciaire.

129. Un testament peut être révoqué lorsqu'il contient une reconnaissance de paternité : la
reconnaissance n'est pas révocable.

130. RECONNAISSANCE JUDICIAIRE EXTRAMATRIMONIALE : L'enfant qui n'a pas été reconnu
volontairement a le droit de demander une déclaration judiciaire de filiation et ce droit n'est jamais
prescrit à son égard. Art. 220

131. Dans quels cas la paternité peut-elle être déclarée : 1) lorsqu'il existe des lettres, des écrits
ou des documents dans lesquels elle est reconnue, 2) lorsque le demandeur est en possession
notoire de la qualité d'enfant du père présumé. 3) En cas de viol, de détournement de mineur,
d'enlèvement, lorsque le moment de l'infraction coïncide avec le moment de la conception. 4) Et
lorsque le père présumé a vécu maritalement avec la mère au moment de la conception.

132. QU'EST-CE QUE LA POSSESSION NOTORIEUSE D'UN STATUT : Une personne qui
reconnaît avoir un enfant et le présente socialement, et qui, en outre, réunit l'une ou l'autre des
circonstances suivantes : 1) avoir pourvu à sa subsistance et à son éducation ; 2) avoir utilisé
constamment et publiquement le nom du père ; et 3) avoir présenté l'enfant comme tel dans les
relations sociales de la famille.

e. Adoption :

133. DEFINITION DE L'ADOPTION : Institution sociale de protection et d'ordre public protégée par
l'Etat, par laquelle une personne prend l'enfant biologique d'une autre personne.

134. QUI EST L'ORGANE ADMINISTRATIF CHARGÉ DES ADOPTIONS : Le Conseil National de
l'Adoption (CNA).

135. QUELS SONT LES TYPES D'ADOPTIONS : a) Adoption nationale : adoption dans laquelle
l'adoptant et l'adopté sont des résidents légaux habituels au Guatemala b) Adoption internationale :
adoption dans laquelle un enfant résidant légalement au Guatemala doit être transféré dans un
pays d'accueil.

136. QUELLE EST LA PROCÉDURE ADMINISTRATIVE POUR L'ADOPTION :

Autorité parentale et tutelle :

137. DEFINITION DE PATRIA POTESTAD : C'est le droit des parents de représenter leurs enfants
mineurs ou majeurs déclarés en état d'interdiction, ainsi que le droit d'administrer leurs biens, avec
l'obligation de veiller sur leurs biens, avec l'obligation de les soigner, de les soutenir, de les éduquer
et de les corriger.

138. QUI EXERCE LA POTESTE : Les deux parents.

139. QUELS DROITS DÉCOULENT DU PATRIOTE (PARENTS) : a) représenter leurs enfants b)


administrer leurs biens c) bénéficier de leurs services.

140. QUELLES OBLIGATIONS DÉCOULENT DES OBLIGATIONS PARENTALES (PARENTS) :


1) S'occuper des enfants 2) Soutenir les enfants 3) Éduquer les enfants 4) Corriger les enfants

141. QUELLES OBLIGATIONS DÉCOULENT DES OBLIGATIONS PARENTALES (ENFANTS) :


a) obligation de vivre avec ses parents b) d'honorer et de respecter ses parents c) d'assister ses
parents.

142. QU'EST-CE QUE LA CAPACITÉ RELATIVE : les personnes âgées de plus de 14 ans ont la
capacité de contracter leur travail et de recevoir la rémunération convenue, avec laquelle elles
aideront leurs parents à subvenir à leurs besoins.

143. LES PARENTS PEUVENT-ILS VENDRE LEURS ENFANTS MINEURS : Ils ne peuvent pas le
faire, à moins d'avoir l'autorisation judiciaire du juge compétent et l'intervention de la PGN.

144. QUAND IL PEUT Y AVOIR SÉPARATION DE L'AUTORITÉ PARENTALE : ART. 269 a)


Lorsque la personne exerçant l'autorité parentale dissipe les biens des enfants, b) Lorsque par sa
mauvaise gestion (les biens du mineur) sont diminués ou dépréciés.

145. LORSQUE L'AUTORITÉ PARENTALE EST SUSPENDUE : ART. 273 L'autorité parentale est
également perdue lorsque l'enfant est adopté par une autre personne. □ Pour avoir été condamné
deux ou plusieurs fois pour un délit de droit commun, si la peine prononcée est supérieure à trois
ans d'emprisonnement pour chaque délit ; □ Pour l'exposition ou l'abandon de leurs enfants par l'un
des parents, pour celui qui les a exposés ou abandonnés ; □ Pour une infraction commise par l'un
des parents contre l'autre, ou contre la personne d'un de leurs enfants ; □10. Lorsque leur
subsistance a été assurée jusqu'au même âge.

146. QUELS SONT LES EFFETS DE LA SUSPENSION OU DE LA PERTE DE L'AUTORITÉ


PARENTALE : ART. 275 Même en cas de suspension ou de perte de la suspension ou de la perte
de la suspension, il n'est pas libéré de ses obligations envers ses enfants.

147. Le parent innocent et le PGN sont parties à la procédure dans tous les cas.

148. QUAND LE RÉTABLISSEMENT DE L'AUTORITÉ PARENTALE PEUT AVOIR LIEU : ART.


277 (1) Lorsque la ou les causes de la suspension ou de la déchéance ont disparu et ne sont pas
dues à une infraction contre la personne ou les biens des enfants, (2) Lorsqu'il s'agit d'une infraction
commise contre l'autre conjoint visée à l'alinéa (3) de l'article 277 (2), la suspension ou la
déchéance est prononcée à l'encontre de l'autre conjoint. 3) Lorsque la réhabilitation est perdue par
les enfants de plus de 14 ans ou par leur tuteur, à condition que la cause de la perte de l'autorité
parentale n'entre pas dans les cas spécifiques déterminés à la section 1 de l'article 274, paragraphe
1. 277.

Droit alimentaire :
149. DÉFINITION DES ALIMENTS : Le terme aliments comprend tout ce qui est indispensable à
l'entretien, au logement, à l'habillement, aux soins médicaux ainsi qu'à l'éducation et à l'instruction
de la personne qui subvient à ses besoins lorsqu'elle est mineure.

150. CE QUI EST COUVERT DANS LES CAS DE MINEURS : Outre l'entretien, le logement,
l'habillement, les soins médicaux, cela comprend également l'instruction et l'éducation.

151. CARACTÉRISTIQUES DES ALIMONIES : a) Proportionnalité : dépend de la situation


économique de la personne obligée de fournir des aliments ; b) Fixation en argent : les aliments
doivent être fixés en argent et non pas payés en nature. (à l'exception du fait que le débiteur peut
être autorisé à fournir des aliments d'une autre manière lorsque, de l'avis du juge, des raisons le
justifient) ; c) Modifiable : en vertu du fait que les aliments seront réduits ou augmentés
proportionnellement à l'augmentation ou à la diminution des besoins du débiteur d'aliments et de la
fortune... d) Complémentaire : elle n'est due que pour la partie que l'autre personne ne peut pas
couvrir par son travail ; e) Inaliénable : cela signifie que le demandeur d'aliments n'a pas le droit de
renoncer à son droit à des aliments (de recevoir des aliments) : Cela signifie que le créancier
d'aliments n'a pas le droit de renoncer à son droit à des aliments (de recevoir des aliments) ; f) elle
est incessible : la créance alimentaire ne peut être transférée à une autre personne que le créancier
d'aliments ; g) elle est insaisissable : les aliments ne peuvent être perçus pour l'exécution d'une
obligation ; h) elle est imprescriptible : l'obligation ne peut être ni compensée ni éteinte ; i) elle est
imprescriptible : tant que le besoin subsiste, le créancier d'aliments a toujours le droit de réclamer
des aliments. (Imprescriptible) ;

152. L'OBLIGATION DE GARANTIR : La personne tenue de fournir des aliments contre laquelle il
a été nécessaire d'engager une procédure pour les obtenir doit garantir suffisamment l'exécution
des aliments par une hypothèque, si elle a des biens hypothéqués, ou par un cautionnement ou une
autre garantie, selon l'avis du juge.

153. QUELLE EST L'EXCEPTION AUX DISPOSITIONS DE L'ART. 282 : Les arriérés d'aliments
peuvent néanmoins être compensés, saisis, abandonnés et aliénés.

154. PERSONNES TENUES DE FOURNIR DES DENRÉES ALIMENTAIRES DE MANIÈRE


RECIPROQUE : Art. 283 - Les conjoints : les deux - Les ascendants : par exemple, mon père, mon
grand-père, mon grand-père, mon arrière-grand-père, mon arrière-arrière-grand-père, etc. - Les
descendants : par exemple, mon fils, mon petit-fils, ma petite-fille, mon arrière-petit-fils, mon arrière-
arrière-petit-fils, etc. - Frères et sœurs : entre eux

155. QU'EST-CE QUI SE PASSE SI IL Y A PLUS D'UN FOURNISSEUR DE DENRÉES


ALIMENTAIRES (DEMANDEUR) : Art. 285 Lorsque plusieurs personnes ont le droit d'être nourries
par la même personne et que celle-ci n'est pas assez riche pour subvenir à leurs besoins à toutes,
elle doit y pourvoir dans l'ordre suivant : o à son conjoint o aux descendants du degré le plus proche
o aux ascendants, également du degré le plus proche, et o aux frères et sœurs.

156. QUAND L'OBLIGATION DE FOURNIR DES ALIMENTS SERA MISE EN ŒUVRE : Art. 287
Dès que la personne qui y a droit en a besoin. Le paiement est effectué par mensualités d'avance
et, au décès du créancier d'aliments, ses héritiers ne sont pas tenus de rembourser ce que le
créancier d'aliments a reçu d'avance.

157. QUAND L'OBLIGATION DE FOURNIR UN SOUTIEN CESSERA : Art. 289 ♦ Au décès du


débiteur ; ♦ Lorsque le débiteur n'est pas en mesure de continuer à fournir des aliments ou lorsque
le besoin du bénéficiaire cesse ; ♦ En cas de blessure, de faute ou de dommage grave infligé par le
débiteur à la personne qui doit fournir des aliments ; Si le besoin d'aliments dépend de la conduite
vicieuse ou du manque d'application au travail du débiteur d'aliments tant que ces causes
subsistent ; et ♦ Si les enfants mineurs se marient sans le consentement des parents.

158. DANS CE CAS, LES DESCENDANTS NE PEUVENT PAS RÉCLAMER D'ALIMENTS :

TUTELA

159. DÉFINITION DE LA TUTELLE : Le droit d'une personne de représenter un mineur ou un


majeur déclaré en état d'interdiction qui n'est pas soumis à l'autorité parentale, ainsi que le droit
d'administrer ses biens avec l'obligation de le soigner, de l'entretenir et de le corriger.

160. QUELLES SONT LES CARACTÉRISTIQUES DE LA GARANTIE : a) Personnelle b) Non


délégable c) Charges publiques d) Obligatoire

161. TYPES DE TUILAGES : a) Testamentaire : art. 297 est instituée par testament, par le parent
survivant, pour les enfants qui sont sous son autorité parentale, par le grand-parent pour les petits-
enfants qui sont soumis à sa tutelle légitime par tout testateur ; b) légitime : art. 299 est la tutelle qui
correspond à l'ordre suivant 1.- au grand-père paternel 2.- au grand-père maternel 3.- à la grand-
mère paternelle 4.- à la grand-mère maternelle 5.- aux frères et sœurs sans distinction de sexe, en
privilégiant ceux qui sont issus des deux lignées. (c) Judiciaire : art. 300 procède par désignation du
juge compétent lorsqu'il n'y a pas de tuteur testamentaire ou légitime.

162. CONDITIONS D'EXERCICE DE LA TUTELLE : Discernement de la fonction : le tuteur et le


protecteur n'entreront dans l'exercice de leur fonction qu'après le discernement du juge.

163. DEFINITION DU TUTEUR : Personne qui exerce la tutelle et représente le mineur et le


majeur en état d'interdiction s'il n'a pas de parents et qui, pour leur compte, gère ou oriente le
patrimoine.

164. TYPES DE TUTEURS : a) Tuteurs spécifiques : Art. 306 lorsqu'il y a conflit d'intérêts entre
plusieurs pupilles soumis à la même tutelle, le juge leur désigne des tuteurs spécifiques ; b) tuteur
spécial : en cas de conflit d'intérêts entre des enfants soumis à la même autorité parentale ou entre
eux et leurs parents, le juge désigne un tuteur spécial ; c) tuteur légal : les directeurs ou supérieurs
des établissements sociaux qui accueillent des mineurs ou des personnes handicapées sont leurs
tuteurs et représentants légaux.

165. QUI N'A PAS BESOIN DE LA DISCERNATION DU BUREAU : Tuteurs légaux

166. LES ÉTRANGERS PEUVENT-ILS ÊTRE OBLIGÉS D'EXERCER LA TUTELLE : Les


étrangers ne sont pas obligés d'accepter la fonction de tuteur ou de protuteur, sauf dans le cas de
leurs parents et de leurs ressortissants.

167. UNE PERSONNE QUI A PERDU L'EXERCICE DE LA PARENTHODE DE SON ENFANT


PEUT-ELLE ÊTRE LE TUTEUR DE L'ENFANT : Art. 314 # 7º. Une personne qui a perdu l'exercice
de l'autorité parentale ou l'administration des biens de ses enfants ne peut être tuteur ou protuteur.

168. POURQUOI LA TUTELLE EST CONSIDÉRÉE COMME UNE CHARGE PUBLIQUE : Parce
qu'elle est supervisée par l'État par l'intermédiaire d'un tuteur.

169. DÉFINITION D'UN PROTECTEUR : Personne qui surveille l'exercice de la tutelle □


Lorsqu'elle a atteint l'âge de 18 ans, à moins qu'elle ne soit habituellement malade, handicapée ou
en état d'interdiction, et □ Lorsqu'elle a atteint l'âge de 18 ans, à moins qu'elle ne soit habituellement
malade, handicapée ou en état d'interdiction, et □ Lorsqu'elle a atteint l'âge de 18 ans, à moins
qu'elle ne soit habituellement malade.

170. Garantie sous serment : il s'agit du serment par lequel le tuteur jure qu'il remplira
effectivement la tutelle.

171. Dans quels cas faut-il une autorisation judiciaire□ Caution : celle-ci et les précédentes
accordées par une institution. □ Gage □ Hypothèque □ Hypothèque □

172. QUELLES SONT LES INTERDICTIONS POUR ÊTRE TUTEUR ET PROTUTEUR ? ⇒ Un


mineur et un incapable ⇒ Une personne qui a été condamnée pour vol, escroquerie, faux, délits et
contraventions contre l'honnêteté ou autres crimes de droit commun punis de plus de 2 ans ⇒ Une
personne qui a été soustraite à une autre tutelle ou qui n'a pas rendu compte de son administration.
⇒ L'ivrogne habituel, l'usager habituel de stupéfiants, le vagabond et l'inconduite notoire ⇒ Le failli
ou l'insolvable, tant qu'il n'a pas été réhabilité ⇒ Le failli ou l'insolvable déclaré, tant qu'il n'a pas été
réhabilité ⇒ Le failli ou l'insolvable déclaré, tant qu'il n'a pas été réhabilité ⇒ Une personne qui a un
litige en cours entre elle-même ou ses ascendants, descendants ou conjoints, et le mineur ou
l'incapable ⇒ Une personne qui a perdu l'exercice de l'autorité parentale ou l'administration des
biens de ses enfants ⇒ Un créancier ou un débiteur du mineur pour un montant appréciable en
relation avec les biens du mineur selon le jugement du tribunal ⇒ Une personne qui a été déclarée
en faillite ou insolvable, tant qu'elle n'a pas été réhabilitée.( ⇒ un créancier ou un débiteur du mineur
pour un montant qui, de l'avis du juge, est appréciable par rapport aux biens du mineur, à moins
qu'il n'ait été sciemment désigné par testament ; ⇒ une personne qui n'a pas de domicile dans la
République ; et ⇒ un aveugle et une personne atteinte d'une maladie grave, incurable ou
contagieuse.

173. LORSQUE LA RÉVOCATION DE LA TUTELLE EST APPROPRIÉE : 1) Ceux qui font preuve
de négligence, d'inaptitude ou d'infidélité dans l'exercice de la charge, 2) Ceux qui incitent le pupille
à la corruption ou au crime, 3) Ceux qui usent de mauvais traitements à l'égard du mineur, 4) Ceux
qui ont sciemment commis une inexactitude dans l'inventaire en omettant des éléments d'actif ou de
passif, et 5) Ceux qui sont absents depuis plus de 6 mois du domicile du pupille, 5) Ceux qui sont
absents depuis plus de 6 mois du domicile du pupille.4) Ceux qui ont sciemment commis une
inexactitude dans l'inventaire en omettant des biens ou des crédits, des actifs ou des passifs, et 5)
Ceux qui sont absents pendant plus de 6 mois du lieu où ils exercent la tutelle et la pro-tutelle.

174. QUI PEUVENT ÊTRE DISPENSÉS DE LA TUTELLE ET DE LA PRO-TUTELLE : (a) ceux qui
sont chargés d'une autre tutelle ou pro-tutelle (b) ceux qui ont plus de soixante ans (c) ceux qui ont
trois enfants ou plus sous leur autorité parentale (d) les femmes (e) ceux dont les ressources
limitées les empêchent d'exercer leur fonction sans nuire à leur subsistance (f) ceux qui souffrent
d'une maladie habituelle qui les empêche de remplir les devoirs de leur fonction, et (g) ceux qui
doivent s'absenter de la république pendant plus d'un an.

175. QUELLE EST LA CONSTITUTION DE LA GARANTIE : En procédant à l'inventaire, le tuteur


et le protuteur s'engagent conjointement et solidairement à promouvoir la constitution de la garantie.

176. TYPES DE GARANTIES : LE GARDIEN : Pour les dépenses extraordinaires dépassant Q.


500.00

177. QUELS SONT LES ACTES INTERDITS AU TUTEUR : I. De contracter par lui-même ou par
personne interposée avec le mineur ou l'incapable pour accepter contre le crédit, des droits ou
actions à moins qu'ils ne résultent d'une subrogation légale ; II. Disposer gratuitement des biens du
mineur ou de l'incapable ; III. Accepter des donations de l'ancien pupille, sans que les comptes de
sa gestion aient été approuvés et annulés, sauf si le tuteur est un ascendant, un conjoint ou un frère
ou une sœur du donateur ; IV. Renonciation volontaire aux droits du mineur ou de l'incapable V.
accepter l'institution de prestations d'assurance en sa faveur de la part de son pupille.

178. MODE DE RÉMUNÉRATION DU TUTEUR : La rémunération est versée annuellement et ne


peut être inférieure à 5 % ni supérieure à 15 % par an des revenus et des produits liquides du
patrimoine du pupille.

179. DANS QUELS CAS LE GARDIEN ET LE PROTECTEUR N'ONT PAS LE DROIT DE


RECEVOIR UNE RÉMUNÉRATION : Lorsqu'ils ont été révoqués par leur faute, ils n'ont pas le droit
de recevoir une rémunération.

180. COMMENT PROCÈDE LA RESPONSABILITÉ DE LA TUTELLE : Elle se fera devant le juge


avec l'intervention du procureur et du procureur général de la nation.

181. LE TUTEUR DOIT ÊTRE TENU POUR RESPONSABLE S'IL NE SOUHAITE PAS L'ÊTRE :
Cela doit se faire dans le cadre d'une audition orale

182. QUAND LES ACTIONS OU OBLIGATIONS QUI APPARTIENNENT RÉCURRENT AU


TUTEUR ET À L'EX-ÉLÈVE SONT ÉLIMINÉES : Elles s'éteignent cinq ans après la fin de l'exercice
de la tutelle.

183. Quelles sont les différences entre la tutelle et la PATRIA POTESTADY : Tutelle Tutelle
Exercée par les parents uniquement Non exercée par les parents Pas de discernement nécessaire
Oui discernement nécessaire Pas de rémunération perçue Oui droit à une rémunération Pas de
garantie nécessaire Oui garantie nécessaire

184. QU'EST-CE QUE LA CURATOIRESSE : Il s'agit de la tutelle des personnes déclarées en état
d'interdiction.

DROITS RÉELS

Définition, classification, propriété, copropriété, possession.

185. DÉFINITION DES BIENS : Ce sont toutes les choses susceptibles d'appropriation et utiles à
l'humanité :

186. CLASSES DE LA SUCCESSION SELON LA LOI : □ Lorsque les biens qui la constituent sont
expropriés □ Lorsqu'il est démontré qu'il est utile et nécessaire pour la famille que la succession
s'éteigne □ Lorsque sans juste motif et sans autorisation judiciaire la famille cesse d'habiter la
maison qui doit lui servir d'habitation, ou de cultiver pour son propre compte la parcelle ou le bien
qui lui est lié □ Lorsque tous les ayants droit cessent d'avoir le droit de percevoir des aliments □12.
d) Ne peut être grevé : la propriété familiale ne peut être construite sur une propriété grevée e) Ne
peut être grevé : la propriété familiale ne peut être grevée

187. QUELS SONT LES AUTRES TYPES DE BIENS : □ Biens meubles : biens qui peuvent être
déplacés d'un endroit à un autre sans compromettre leur existence. □ À l'expiration de la période
pour laquelle il a été constitué

188. QUELS AUTRES BIENS SONT CONSIDÉRÉS COMME BIENS MEUBLES PAR LA LOI : Art.
451 # 1 à 6 et art. 455 (bétail) - 4º les actions ou quotas et obligations des sociétés en question,
même si elles sont constituées pour l'acquisition de biens immobiliers ou pour la construction ou
d'autres commerces, sur ce type de biens, (par exemple les obligations) - 5º les droits de crédit
portant sur des meubles, de l'argent ou des services personnels.

189. QUELS SONT LES AUTRES BIENS CONSIDÉRÉS COMME IMME IMMEUBLES PAR LA
LOI : Art. 455 # 1 à 7 et art. 446 12□ rrespond à des personnes privées en raison de l'existence d'un
titre juridique qui les protège. Art. 460 Domaine privé : biens dont la propriété appartient à l'État ou à
ses institutions. Art. 457 □ Non fongibles : biens qui ne peuvent être remplacés par d'autres de
même qualité, quantité ou nature. Ex. Une œuvre d'art. Art. 454. □ Biens fongibles : biens qui
peuvent être remplacés par d'autres de même qualité, quantité ou nature. Ex. L'argent, l'art. 454. □
Les accessoires : c'est lorsqu'il s'agit d'un bien qui est rattaché au bien dans son ensemble. Ex. Une
porte, de l'art. 449 □ Principal : c'est lorsqu'un actif entier est concerné. Ex. Une maison. Art. 447 □
Bien immeuble : bien qui ne peut être déplacé d'un endroit à un autre sans porter atteinte à son
existence.

. Immuable : lorsque les animaux sont mis au service ou à l'exploitation d'une ferme.

190. a) Biens d'usage commun : il s'agit des biens qui sont la propriété de l'État, mais qui peuvent
être utilisés par toutes les personnes, compte tenu des dispositions de la loi. Ex. Parcs, places,
ponts, rues, etc. L'art. 458 b) Biens à usage non commun : il s'agit des biens qui sont le domaine de
l'État ou de ses institutions et que seules certaines personnes peuvent utiliser, par exemple les
installations de l'IGSS, que seules certaines personnes sont autorisées à utiliser.

191. COMMENT LES SEMOVENTS SONT DIVISÉS : □ # 7º les pouponnières, les colombiers, les
ruchers, les étangs à poissons ou les lieux de reproduction similaires, lorsque le propriétaire les a
placés ou les conserve dans le but de les garder attachés de façon permanente à la propriété. les
chemins de fer et leurs voies, les lignes télégraphiques et téléphoniques et les stations fixes de
radio et de télégraphe, □ # 4º les pipelines, les conduites d'eau, de gaz ou de pétrole, les oléoducs,
les gazoducs ou les gazoducs, □ # 5º les conduites d'eau, les oléoducs, les gazoducs ou les
gazoducs, □ # 6□ # 3º les constructions fixées au sol de façon permanente et définitive, □ # 2º les
arbres et les plantes tant qu'ils sont fixés au sol et les fruits non récoltés, □ # 1º le sol, le sous-sol,
l'espace aérien, les mines tant qu'elles ne sont pas extraites, et l'eau à la surface ou à l'intérieur du
sol, □ 13. dans la loi (lorsqu'il existe un pacte d'indivision, de médiane et de propriété horizontale).
13

192. QUEL AUTRE NOM PORTE LES MARCHANDISES SEMOVENDANTES : Marchandises à


double qualité

193. DÉFINITION DES DROITS RÉELS : Il s'agit du pouvoir que les personnes ont sur certains
biens de manière immédiate et directe et qui est opposable aux tiers.

194. CLASSIFICATION DES DROITS IN REM : a) Droits réels de disposition et de jouissance b)


Droits réels de simple jouissance c) Sûretés réelles

195. DEFINITION D'UN DROIT REEL DE DISPOSITION ET DE JOUISSANCE : C'est le pouvoir


de disposer d'un bien et de jouir en même temps de ce même bien.

196. QUEL DROIT RÉEL DE DISPOSITION ET DE JOUISSANCE EST CONSIDÉRÉ COMME UN


DROIT RÉEL D'EXCELLENCE : Propriété

197. DEFINITION DE LA PROPRIETE : C'est le droit d'une personne de jouir et de disposer d'un
bien dans les limites et avec l'observation des obligations établies par la loi. Art. 464

198. 1) Original 2) Dérivé 2) Dérivé


199. ORIGINALITE : C'est ce qui est acquis de manière originale, c'est-à-dire que personne n'a
possédé le bien auparavant, ou que l'on présume que c'est le cas.

200. COMMENT LES MÉTHODES ORIGINALES PEUVENT ÊTRE : a) Occupation b) Usucapion


c) Accession

201. DEFINITION DE L'OCCUPATION : C'est un mode original d'acquisition de la propriété d'un


bien mobilier ou immobilier.

202. LES BIENS IMMEUBLES PEUVENT ÊTRE OCCUPÉS : Les biens immeubles ne peuvent
être occupés, car ils appartiennent à la nation.

203. QUELS BIENS PEUVENT ÊTRE MEUBLES OU SEMOVIENTS ET FAIRE L'OBJET D'UNE
OCCUPATION : 1) Art. 591 pierres, coquillages et autres substances trouvés sur les bords de la
mer, des rivières et des fleuves d'usage public et qui ne présentent pas de signes de propriété
antérieure ; 2) les choses dont la propriété est volontairement abandonnée par leur propriétaire ; 3)
l'art. 592 trésor découvert : le trésor trouvé sur son propre terrain appartient entièrement à celui qui
l'a découvert, le trésor trouvé sur le terrain d'autrui est réparti à parts égales entre le propriétaire du
terrain et la personne qui a fait la découverte. Le découvreur n'a droit à sa part que si la découverte
est fortuite ou s'il a cherché le trésor avec l'autorisation du propriétaire du terrain. 4) Chasse et
pêche : Art. 600 sont susceptibles d'être occupés par la chasse et la pêche, les animaux sauvages
et la faune sauvage Peuvent-ils attraper un voilier ? Non car c'est interdit 5) Animaux féroces art.
605 animaux féroces qui s'échappent du lieu de détention de leur propriétaire, peuvent être détruits
par n'importe qui et peuvent également être occupés dès que le propriétaire abandonne la
poursuite. (6) Animaux domestiques art. 610 animaux domestiques nés et élevés ordinairement
sous la domination de l'homme, même s'ils quittent son pouvoir, il peut les réclamer à celui qui les
retient, en payant les frais de nourriture s'ils ont été causés.

204. SIGNIFICATION DU BIEN MONTRÉAL : Biens en déshérence

205. QUE FAIRE DES BIENS DISPERCUS : Quiconque trouve un objet mobilier ou un bien
meuble apparemment perdu et dont le propriétaire est inconnu, doit le présenter à l'autorité
municipale la plus proche du lieu où il a été trouvé. L'autorité qui reçoit les biens trouvés rend le fait
public et, s'ils sont trouvés, ils sont portés à la connaissance du public.

206. QUEL AUTRE NOM PORTE L'USUCAPION DANS LA DOCTRINE : Prescription acquisitive

207. QUI PEUT ACQUÉRIR PAR USUMPTION : Toute personne capable d'acquérir à quelque
titre que ce soit peut acquérir un bien par usucapion.

208. QU'EST-CE QUI SE PASSE LORSQUE LE DROIT DE POSSESSION D'UN BIEN EST
ACQUIS PAR HÉRITAGE VERBAL DU PARENT À L'ENFANT : Une déclaration sous serment est
faite dans un acte public.

209. QUEL AUTRE NOM DONNE-T-ON AU JUSTE TITRE EN DOCTRINE : Titulo


Colorado

210. QUAND LA POSSESSION ENREGISTRÉE D'UN BIEN IMMOBILIER DEVIENT UNE


POSSESSION DE DOMAINE : Une fois écoulé le délai de dix ans à compter de la date
d'enregistrement du titre au registre foncier, celui-ci devient un enregistrement de domaine et peut
être opposé à tout autre enregistrement de propriété relatif au même bien.

211. DEFINITION DE L'ACTION : C'est un mode original d'acquisition de la propriété des fruits
naturels ou civils produits par les biens d'une personne ou ceux qui sont joints ou incorporés auxdits
biens qui lui appartiennent conformément aux dispositions du code civil.

212. DEFINITION DES FRUITS NATURELS : Ce sont les productions spontanées de la terre, la
progéniture des animaux et les autres produits obtenus avec ou sans l'industrie humaine. Ex.
Récoltes d'oranges

213. DEFINITION DU FRUIT CIVIL : Il s'agit du produit des négociations entre les hommes. Ex. Si
une maison est donnée en location, le loyer est considéré comme un fruit civil.

214. COMMENT L'ACTION EST DIVISÉE : a) Adhésion discrète b) Adhésion continue

215. EN QUOI CONSISTE L'ACCESSION DISCRÈTE : C'est une façon originale d'acquérir la
propriété des fruits naturels et civils qui appartiennent au propriétaire de la chose qui les produit.

216. 15□ Témoignage légalisé d'un acte public □ Un acte sous seing privé □ Si personne ne se
manifeste pour justifier de la propriété dans le délai fixé, le bien sera vendu aux enchères publiques.

217. Le propriétaire du bien trouvé est tenu de payer les frais et de verser au trouveur dix pour
cent de la valeur du bien ou du produit de la vente.

218. QU'EST-CE QUE CE DROIT EST NOMMÉ : Droit de récupération de l'art. 680

219. QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE LORSQUE L'ON TROUVE DANS LA BAIE DE MER DES
MARCHANDISES QUI ONT ÉTÉ JETÉES PAR LES NAVIGATEURS : Art. 599 Les choses que les
marins jettent à l'eau et en l'air pour alléger le navire ne sont pas présumées avoir été abandonnées
par leurs propriétaires, non plus que le butin du naufrage.

220. QU'EST-CE QUE LA FORME CI-DESSUS EST APPELÉE : Le tangage

221. LES OBJETS QU'ON A ENLEVÉS SUR LA VOIE PUBLIQUE POUR LES SAUVER : Les
objets qu'on a enlevés sur la voie publique ou ailleurs en cas de tremblement de terre, d'incendie ou
d'autres catastrophes ne sont pas présumés abandonnés.

222. DEFINITION DE L'USUPLICATION : C'est un mode original d'acquisition de la propriété par


l'écoulement du temps tel qu'il est établi par la loi en vertu du fait d'avoir eu la possession.

223. QUELLE EXIGENCE EST INDISPENSABLE POUR L'ACQUISITION DE L'USUPLICATION :


Possession

224. DEFINITION DE LA POSSESSION : C'est la domination sur un bien. Art. 612 Le possesseur
est la personne qui exerce sur un bien tout ou partie des pouvoirs inhérents à la propriété.

225. DIFFÉRENCE ENTRE LA POSSESSION ET LA PROPRIÉTÉ D'UN BIEN IMMOBILIER : La


différence réside dans le fait que la propriété est inscrite au registre foncier général et que la
possession ne l'est pas.
226. QUELLES SONT LES CONDITIONS DE POSSESSION POUR PRODUIRE UN DOMAINE :
(POUR USUPLICATION) 1) Elle doit être fondée sur un juste titre 2) Acquise de bonne foi 3) De
manière continue 4) De manière publique 5) De manière pacifique 6) Pour la période de temps
établie par la loi.

227. QUEL EST LE DÉLAI EN VERTU DE LA LOI : Art. 651 Sauf dispositions particulières, la
propriété des immeubles et autres droits réels sur ceux-ci s'acquiert par prescription décennale. Les
biens mobiliers et immobiliers pour une période de deux ans.

228. TRANSMISSION DE LA POSSESSION : La possession se poursuit de plein droit dans la


personne du successeur. Le possesseur peut ajouter à sa possession celle de son ou ses
prédécesseurs, à condition que les deux possessions remplissent les conditions légales.

229. QU'EST-CE QUE LA POSSESSION DISCONTINUE : Art. 630 Il y a discontinuité de la


possession lorsque la chose possédée est abandonnée ou inoccupée pendant plus d'un an, ou plus
tôt, lorsque l'intention est expressément ou tacitement manifestée de ne pas la conserver.

230. DEFINITION DU TITRE JUSTE : Art. 621 Il s'agit d'un document qui accrédite la possession
et qui, s'agissant d'un transfert de propriété, présente certaines circonstances qui le rendent
inefficace pour vérifier l'aliénation à lui seul.

231. QUELLE PROCÉDURE DOIT ÊTRE SUIVIE POUR ENREGISTRER UN DROIT DE


POSSESSION : La procédure de titrage complémentaire

EXEMPLES DE TITRES SIMPLES :

232. EN QUOI CONSISTE L'AVULSION : Lorsque le courant d'un ruisseau, d'un torrent ou d'une
rivière sépare de sa rive une portion de terrain connue et la porte aux domaines limitrophes ou
inférieurs, le propriétaire du domaine qui bordait la rive séparée conserve la propriété de la portion
de terrain incorporée ; mais si, dans un délai de six mois, il n'exerce pas son droit, il le perd en
faveur du propriétaire du terrain auquel elle a été ajoutée, il le perd en faveur du propriétaire du
terrain auquel elle a été ajoutée.Toutefois, si, dans un délai de six mois, il n'exerce pas son droit, il
le perd au profit du propriétaire du terrain auquel la partie de terrain enlevée a été ajoutée. (Ce que
la force du fleuve arrache et emporte d'un champ, lors d'une crue soudaine, et le transporte dans un
autre champ en contrebas ou sur la rive opposée lorsqu'il est d'une importance telle qu'il peut être
connu et distingué).

233. QU'EST-CE QUE L'ALUVION : Il appartient aux propriétaires des terrains riverains des
ruisseaux, torrents, rivières et lacs, l'accroissement qu'ils reçoivent progressivement par accession
ou sédimentation des eaux. (Il s'agit de l'augmentation des terres que la rivière incorpore
progressivement dans les propriétés riveraines).

234. DIFFÉRENCE ENTRE AVULSION ET AVULSION : En cas d'avulsion, une partie connue du
terrain est submergée (du jour au lendemain) et appartient au propriétaire initial à condition qu'il
exerce son droit dans les 6 mois prévus par la loi. Alors que les alluvions le font progressivement, le
fleuve construit peu à peu la propriété d'une personne.

235. CE QUI CONSTITUE LES CAUSES DU FLEUVE : Connu dans la doctrine comme la
mutation de la cause. Art. 673. Les lits de rivière abandonnés à la suite d'une modification naturelle
du cours de l'eau appartiennent aux propriétaires des terrains riverains sur toute la longueur de la
rivière. Si le lit abandonné de la rivière séparait des propriétés appartenant à des propriétaires
différents, la nouvelle ligne de démarcation sera équidistante de l'une à l'autre.

236. EN QUOI CONSISTE LA FORMATION DE L'ÎLE : Art. 678. Les îles formées dans les
estuaires par l'accumulation successive des traînées supérieures appartiennent aux propriétaires
des rives ou rivages les plus proches de chacune d'elles, ou aux propriétaires des deux rives si l'île
est hal □ Causes des rivières □ Alluvions □ Avulsion □16. Il s'agit d'un moyen original d'acquérir la
propriété d'un bien parce qu'il est attaché ou incorporé à un bien appartenant au propriétaire du
bien.

237. LA FAÇON DONT L'ACCESSION CONTINUE EST DIVISÉE : - Elle peut se faire de meuble
à immeuble - Elle peut se faire de meuble à meuble - Elle peut se faire d'immeuble à immeuble

238. DIVISION DE L'ACTION CONTINUE DE PROPRIÉTÉ À PROPRIÉTÉ : Par correspondance

239. DURÉE DE L'USUFRUIT : - à terme fixe : lorsqu'une limite de temps est fixée pour la durée
de l'usufruit - à vie : lorsque l'usufruit dure toute la vie de l'usufruitier - à titre pur ou sous condition :
l'usufruit dure jusqu'à ce que la condition pour laquelle il a été créé se réalise L'usufruit ne peut pas
être constitué à la PERPETUITE : il ne peut pas être constitué de manière éternelle.

240. ÉLÉMENTS DE LA PERSONNALITÉ INTÉRESSÉS PAR L'USUFRUCTION : a) Usufruitier :


celui qui reçoit (le bénéficiaire) b) Usufruitier : celui qui donne (le propriétaire)

241. QU'EST-CE QUI SE PASSE SI AUCUN TERME N'EST ÉTABLI DANS L'USUFRUCTION :
Par durée de vie, on entend

242. QUEL EST LE DÉLAI MAXIMAL POUR LA CONSTITUTION D'UNE USUFRUCTION EN


FAVEUR DES PERSONNES LÉGALES ET QUAND ELLE N'EST PAS VITALE : Il ne peut excéder
30 ans.

243. QUELLE EST LA DURÉE DE LA CONSTITUTION D'UNE USUFRUCTION SUR LA


PROPRIÉTÉ NATIONALE : Ne peut excéder 50 ans.

244. Par le décès de l'usufruitier - Par l'expiration de la durée pour laquelle l'usufruit a été constitué
ou par la réalisation de la condition résolutoire à laquelle l'usufruit était soumis.

. 16□ Par acte passé devant le maire □ Par acte sous seing privé □ Par acte notarié.
public □ par actes de dernières volontés (par testament)

245. DIVISION DE L'ACTION CONTINUE DE MEUBLE EN MEUBLE : a) Union : art. 686 Lorsque
deux meubles appartenant à des propriétaires différents sont réunis de manière à n'en former qu'un
seul, sans mauvaise foi, le propriétaire du principal acquiert l'accessoire en payant sa valeur. (b)
Conmixtión : Art. 695. Appelé aussi confusion, si deux choses de taille égale ou différente sont
mélangées par la volonté de leurs propriétaires ou par hasard et que les choses ne sont pas
séparables sans préjudice, le propriétaire au pouvoir duquel la confusion ou le mélange s'est
produit, peut acquérir pour lui-même la chose mélangée ou confondue, en remboursant à l'autre
propriétaire la valeur proportionnelle à la partie qui lui revient. (c) Spécification : Art. 698. Celui qui,
de bonne foi, utilise, en tout ou en partie, la matière d'autrui pour former une chose d'un genre
nouveau, doit s'approprier l'œuvre, à condition que la valeur artistique de celle-ci dépasse en prix la
matière dont le propriétaire l'indemnisera.

246. DIVISION DE L'ACTION CONTINUE DU MEUBLE À LA PROPRIÉTÉ : Art. 659. Toute


construction, tout ensemencement, toute plantation, tout travail effectué sur ou sous le sol est
présumé avoir été fait par le propriétaire à ses frais et lui appartenir.

247. EN QUOI CONSISTE LE MODE DERIVATIF : Il s'agit de ceux qui sont acquis de manière
dérivée, c'est-à-dire qu'ils ont déjà une propriété antérieure, ce qui signifie qu'ils sont acquis par
transfert de propriété.

248. a) Entre personnes vivantes : par exemple, la vente, l'échange et la donation entre personnes
vivantes b) Pour cause de décès : par exemple, la succession héréditaire testamentaire, la
succession héréditaire ab intestat et la donation pour cause de décès.

249. DÉFINITION D'UN DROIT RÉEL DE JOUISSANCE MERE : Il s'agit d'un pouvoir par lequel
on ne peut que jouir d'un bien, sans pouvoir en disposer.

250. CLASSIFICATION DES DROITS EN REM : ⇒ Usufruit ⇒ Usage ⇒ Habitation ⇒ Servitude ⇒


Servitude

251. DEFINITION DE L'USUFRUCTION : Il s'agit d'un droit réel de simple jouissance par lequel
une personne peut jouir d'un bien appartenant à autrui et disposer de ses fruits de manière limitée
avec l'obligation de le restituer à l'expiration du terme ou lorsque la condition est remplie. Ex. Les
actions

252. LES MODALITÉS DE CONSTITUTION DE L'USUFRUIT :

- Par la réunion de l'usufruit et de la propriété d'une même chose (confusion) - Par la prescription -
Par la renonciation de l'usufruitier - Par la perte de la chose usufruitée - Par l'annulation ou la
cessation du droit de l'usufruitier (Usufruitier)

253. DEFINITION DE L'USAGE : C'est un droit réel de simple jouissance qui consiste à utiliser la
chose d'autrui limitée aux besoins de l'usager et de sa famille, réglementée par le titre qui l'a
constituée avec l'obligation de la restituer. Ex. Une machette

254. DEFINITION DE L'HABITATION : Il s'agit d'un droit réel de simple jouissance qui s'acquiert
par le biais d'un contrat sur un bien immobilier limité à l'habitation du titulaire de ce droit et de sa
famille. Ex. Une maison pour vivre.

255. DIFFÉRENCES ENTRE L'UTILISATION ET L'HABITATION : I. L'usage peut être donné sur
les biens meubles et immeubles et l'habitation seulement sur les biens immeubles. II. L'usage sert à
exploiter le bien et l'habitation seulement à l'habiter III. L'utilisation est gratuite mais des frais
peuvent être perçus et la salle ne peut être que gratuite.

256. DIFFÉRENCES ENTRE L'USUFRUIT ET L'USAGE ET L'HABITATION : i. L'usufruit peut


concerner des personnes physiques ou morales, tandis que l'usage et l'habitation ne concernent
qu'une personne et sa famille. ii. L'usufruit est illimité tandis que l'usage et l'habitation sont limités
aux besoins du titulaire du droit et de sa famille. iii. L'usufruit ne nécessite pas l'octroi d'une
garantie, contrairement à l'usage et à l'habitation. Art. 749 iv. Dans le cas de l'usufruit, les fruits
peuvent être taxés, alors que dans le cas de l'usage et de l'habitation, ils ne peuvent pas l'être. Art.
748

257. 1) Ce sont tous des droits réels de simple jouissance 2) Ils sont tous temporaires et non
perpétuels 3) Ils sont tous opposables Erga Homnes : opposables aux tiers (hommes) 4) Dans tous
les cas, des droits et des obligations sont constitués.

258. DEFINITION DE LA SERVIDUME : Il s'agit d'un droit réel de simple jouissance consistant en
une charge imposée sur un bien immobilier en faveur d'autrui.

259. a) Propriété servante : c'est la propriété qui subit une charge (subit la servitude) b) Propriété
dominante : c'est la propriété en faveur de laquelle la servitude est constituée.

260. QU'EST-CE QUE LA SERVIDUMBRE PATERS : Lorsque le propriétaire de deux biens


immobiliers grève un bien en faveur d'un autre bien dont il est propriétaire.

261. CLASSIFICATION DES SERVANTS : art. 754 - Continue : ce sont les servitudes dont l'usage
ne nécessite aucune action humaine réelle (sans intervention humaine) - Discontinue : ce sont les
servitudes dont l'usage nécessite une action humaine réelle (avec intervention humaine) -
Apparente : ce sont les servitudes qui sont annoncées par des ouvrages ou des signes extérieurs
disposés pour leur usage et leur exploitation, par exemple une servitude légale de passage - Non
apparente : ce sont les servitudes qui ne présentent aucun signe extérieur de leur existence, par
exemple un câblage souterrain - Volontaire : ce sont les servitudes qui sont établies volontairement
par les propriétaires du terrain. Une servitude légale de passage - Non apparente : ce sont les
servitudes qui ne présentent aucun signe extérieur de leur existence, par exemple un câblage
souterrain - Volontaire : lorsque les propriétaires du terrain établissent volontairement une servitude
- Légale ou obligatoire : lorsque la loi elle-même autorise l'établissement direct de la servitude.

262. CARACTÉRISTIQUES DU SERVIDUM : o Inséparabilité o Indivisibilité

263. CLASSES DE SERVIDUME : - Servitude d'aqueduc : art. 760 - Servitude de culée : art. 778 -
Servitude d'abreuvoir et de captage d'eau : art. 781 - Droit de passage légal : art. 786 - Servitude
pour établir une communication téléphonique : Art. 796 - Servitude de transport d'énergie
électrique : art. 797 - Servitude légale de drainage : Art. 798 - Servitude de lumière ou de vue : Art.
517 - Droit de passage pour les véhicules aériens : Art. 797 - Servitude d'eau lumineuse : Art. 585

264. QUELLE EST LA NATURE DE LA SERVITUDE LORSQUE LES FONDATIONS D'UNE


PASSERELLE SONT INSTALLÉES SUR UN TERRAIN :

265. Cette servitude est établie pour empêcher le blocage de la vue panoramique d'un terrain et le
voisin est prié de ne construire que jusqu'à la servitude de satellite.

266. COMMENT LES SERVITURES VOLONTAIRES SONT EXTINCÉES : a) Par le non-usage b)


Lorsque les lieux atteignent, sans qu'il y ait faute du propriétaire du fonds servant, un état tel que la
servitude ne peut plus être utilisée. c) Par remise gratuite ou onéreuse, faite par le propriétaire du
fonds dominant d) Lorsqu'il est constitué en vertu d'un droit révocable, la durée expire, la condition
se réalise ou la circonstance qui doit y mettre fin se produit.

267. QUAND LES SERVITUDES JURIDIQUES SE PRESCRIENT : Les servitudes légales établies
pour cause d'utilité publique ou communale se perdent après cinq ans de non-usage.

268. DÉFINITION D'UNE GARANTIE : Une sûreté qui garantit l'exécution d'une obligation, sachant
que la sûreté est réalisée si et quand l'obligation n'est pas exécutée.

269. CLASSIFICATION DES PASSIFS DE GARANTIE : - Hypothèque - Gage

270. DEFINITION DE L'HYPOTHÈQUE : C'est un droit réel de garantie qui consiste en un privilège
qui sera constitué sur un bien, mais qui garantira l'exécution d'une obligation.

271. PAS DE SOLDE SUR L'HYPOTHÈQUE : Il n'y a pas de solde impayé.

272. QU'EST-CE QUE L'ÉQUILIBRE INSOLVANT : Art. Le montant de 823 euros est la différence
entre la dette principale et le montant pour lequel le bien a été saisi lorsque le bien a été garanti.

273. CARACTÉRISTIQUES DE L'HYPOTHÈQUE : a) Elle est indivisible : elle subsiste donc en


totalité sur l'ensemble du bien hypothéqué. Art. 825

274. QU'EST-CE QUE LA RÉDUCTION DE L'HYPOTHÈQUE : Art. Le 826 consiste à lever les
privilèges hypothécaires sur certains biens, lorsque plus de 50 % de la dette a été payée (ce qui
n'est le cas que lorsque deux ou plusieurs biens sont hypothéqués). 17□ Servitude d'héliport □
Servitude de câble □5 Mts : Servitude de vue

275. QUELS SONT LES AUTRES SERVITudes : Servitudes internationales :

276. QUI S'APPLIQUE LORSQUE LA RÉDUCTION DE L'HYPOTHÈQUE NE PEUT SE FAIRE


D'UN COMMUN ACCORD : Elle se fait judiciairement au moyen d'un procès oral.

277. DANS LA MESURE OÙ L'HYPOTHÈQUE S'ÉTEND : ⇒ aux accessions et améliorations


naturelles ⇒ aux nouveaux bâtiments que le propriétaire construit et aux nouveaux appartements
qu'il érige sur les bâtiments hypothéqués ⇒ aux droits du débiteur dans les excédents de la surface
de l'immeuble ⇒ aux indemnités qui se rapportent à l'immeuble hypothéqué, accordées ou dues au
propriétaire par assurance, expropriation forcée ou dommages-intérêts ⇒ aux servitudes et autres
droits réels en faveur de l'immeuble ⇒ aux servitudes et autres droits réels en faveur du
propriétaire.Les droits du débiteur excédant la superficie de l'immeuble ⇒ aux indemnités relatives
aux biens hypothéqués, accordées ou dues au propriétaire par assurance, expropriation ou
dommages-intérêts ⇒ aux servitudes et autres droits réels en faveur de l'immeuble.

278. QUI PEUT HYPOTHÉCAIRE : Seule la personne qui peut disposer peut hypothéquer, et
seuls les biens immobiliers dont on peut disposer peuvent être hypothéqués.

279. DANS LES CAS OÙ L'HYPOTHÈQUE N'EST PAS PROLONGÉE : Art. 834. Lorsqu'un gage
agraire a été constitué

280. UN BIEN MORTGAGÉ PEUT ÊTRE ATTRIBUÉ : Art. 836 si elles peuvent être éliminées

281. QUELLE EST L'OBLIGATION : Le vendeur doit indiquer à l'acheteur que le bien est
hypothéqué. C'est l'acheteur qui décidera de l'accepter ou non.
282. QUAND UN BIEN HYPOTHÉCAIRE NE PEUT ÊTRE VENDU : Lorsqu'il est établi dans des
contrats qui font référence à des crédits bancaires.

283. (b) Les biens acquis par héritage, legs ou donation lorsque le testateur a posé une telle
condition (pas plus de 5 ans) (c) Le droit d'usage et d'habitation.

284. COMMENT L'HYPOTHÈQUE EST CONSTITUÉE ET ACCEPTÉE : Art. 841 doit être
expressément

285. QU'EST-CE QU'UNE DEUXIÈME HYPOTHÈQUE : Il s'agit de la constitution d'une


hypothèque sur un bien déjà hypothéqué. (Il s'agit d'une hypothèque sur une hypothèque)

286. QUE FAIT-on lorsque la garantie est insuffisante parce que la valeur du bien hypothéqué a
diminué : Art. 845. Si la garantie n'est pas suffisante, le créancier peut exiger qu'elle soit améliorée
jusqu'à ce qu'elle soit suffisante pour faire face à l'obligation. Si l'insuffisance de la garantie est
prouvée par une expertise et que le débiteur ne s'améliore pas dans le délai fixé par le juge, le délai
est considéré comme expiré et la créance est recouvrée.

287. QU'EST-CE QUE LA SOUS-HYPOTHÈQUE : Art. 852. Il s'agit d'une sûreté qui grève un
crédit garanti par une hypothèque pour garantir l'exécution d'une obligation.

288. DEFINITION DU GAGE : C'est un droit réel de garantie qui consiste en un privilège qui sera
constitué sur un bien meuble, mais pour garantir l'exécution d'une obligation.

289. Y A-T-IL UN SOLDE INSOLVANT SUR LE PRET : Il n'y en a pas, sauf accord contraire.

290. Par quel document le gage est-il enregistré : - dans un acte public : lorsque le notaire et les
constituants sont impliqués - dans un acte sous seing privé : uniquement entre particuliers sans
l'intervention du notaire

291. DANS QUELS CAS EST-IL OBLIGATOIRE D'ENREGISTRER LA PRISE DE SERMENT PAR
ECRIT PUBLIC : Lorsque le bien est soumis à l'enregistrement. (Les témoignages sont les seuls
que nous pouvons utiliser pour l'inscription).

292. CLASSES DE VÊTEMENTS : - Vêtements agricoles - Vêtements pour le bétail - Vêtements


industriels

293. QU'EST-CE QUE LE GAGE AGRICOLE : Il s'agit de la constitution d'un gage sur les récoltes
pour l'exécution d'une obligation.

294. GAGE INDUSTRIEL : Il s'agit d'un gage constitué sur des machines utilisées dans l'industrie,
toujours pour l'exécution d'une obligation.

295. QU'EST-CE QU'UN GAGE SUR LE BÉTAIL : Il s'agit de la constitution d'un gage sur le bétail
pour l'exécution d'une obligation.

296. DEFINITION DU PATRIMOINE FAMILIAL : C'est l'institution socio-juridique par laquelle un ou


plusieurs biens sont destinés à la protection du ménage et à l'entretien de la famille.

297. CARACTERISTIQUES DU PATRIMOINE FAMILIAL : a) Il est indivisible : le patrimoine est


constitué sur l'ensemble des biens b) Inaliénable : parce qu'il ne peut être aliéné, transféré ou
donné c) Insaisissable : parce qu'il ne peut être saisi 11

. Domaine public : biens appartenant à l'État ou à ses institutions. Art. 457 □ Non fongibles : biens
qui ne peuvent être remplacés par d'autres de même qualité, quantité ou nature. Ex. Une œuvre
d'art. Art. 454. □ Biens fongibles : biens qui peuvent être remplacés par d'autres de même qualité,
quantité ou nature. Ex.

L'argent, l'art. 454. □ Les accessoires : c'est lorsqu'il s'agit d'un bien qui est rattaché au bien dans
son ensemble. Ex. Une porte, de l'art. 449 □ Principal : c'est lorsqu'un actif entier est concerné. Ex.
Une maison. Art. 447 □ Bien immeuble : bien qui ne peut être déplacé d'un endroit à un autre sans
porter atteinte à son existence.

298. DEFINITION DE L'EXPROPRIATION : C'est lorsque l'Etat dépossède une ou plusieurs


personnes de leurs biens.

299. QUAND L'EXPROPRIATION A EU LIEU : L'indemnité doit être versée avant que
l'expropriation n'ait lieu, art. 467 c. civil et art. 40 CPRG

300. QUELLE EST LA DURÉE MINIMALE POUR CONSTITUER UN DOMAINE FAMILIAL : Une
durée d'au moins dix (10) ans.

301. QUELLE EST LA DURÉE MAXIMALE POUR CONSTITUER UN PATRIMOINE FAMILIAL :


Une durée de vingt-cinq (25) ans, lorsqu'il s'agit d'un patrimoine légal.

302. QU'EST-CE QUE L'EXCEPTION QUE LA PROPRIÉTÉ NE PEUT ÊTRE IMPOSÉE ET NE


PEUT ÊTRE IMPOSÉE : L'exception concerne les servitudes.

303. DIFFÉRENCE CONCERNANT LES BIENS NON IMPOSABLES ET LES BIENS NON
IMPOSABLES : les biens familiaux ne peuvent pas être constitués si les biens sont imposés et si
les biens sont constitués en biens familiaux, ils ne peuvent pas être imposés.

304. CLASSES DE DOMAINE FAMILIAL : - Volontaire : lorsqu'il y a consentement art. 354 -


Judiciaire : lorsqu'il est donné de force (dans le cadre d'une procédure orale) art. 360 - Juridique :
lorsque l'Etat procède au partage et à la distribution d'un bien national, il peut donner à chaque
parcelle le caractère de patrimoine familial.

305. 1) Maisons de résidence 2) Terres cultivables ou parcelles de terre 3) Établissements


industriels ou commerciaux

306. QUELLE EST LA VALEUR MAXIMALE SUR LAQUELLE LE PATRIMOINE FAMILIAL PEUT
ÊTRE CONSTITUÉ : Ne doit pas dépasser Q. 100 000,00 au moment de la constitution.

307. COMBIEN DE DOMAINES FAMILIAUX PEUT-ON CONSTITUER PAR FAMILLE : Un seul


domaine familial par famille.

308. LORS DE LA FIN DU PATRIMOINE FAMILIAL : Semi-élevage : tous les animaux considérés
comme du bétail en général. Art. 455

309. QUELLES SONT LES OBLIGATIONS OU LIMITES FIXÉES PAR LA LOI : 1) Abus de droit :
art. 465 le propriétaire, dans l'exercice de son droit, ne peut accomplir des actes qui causent des
dommages à autrui et, notamment dans ses travaux d'exploitation industrielle, est tenu de s'abstenir
de tout excès nuisible à la propriété du voisin. 2) Expropriation forcée : art. 467 peuvent être
expropriés pour cause d'utilité collective, de bénéfice social ou d'intérêt public, moyennant une
indemnité déterminée conformément à la loi sur l'expropriation. 3) Sol et sous-sol : art. 473 la
propriété s'étend au sous-sol et au sous-sol, dans la mesure où il est utile au propriétaire. Ex. Que
le propriétaire d'un actif peut construire vers le haut et vers le bas. 4) Interdiction d'effectuer des
fouilles nuisant au voisinage : art. 474 les excavations ou les constructions qui affaiblissent le sol de
la propriété voisine ne peuvent être effectuées sur une propriété, sans les travaux de consolidation
nécessaires pour éviter tout dommage supplémentaire. 5) Délimitation et démarcation : Art. 475 Le
bornage consiste à établir les limites entre deux propriétés (déterminer jusqu'où s'étend la propriété)
et la délimitation consiste à déterminer les limites puis à les matérialiser par des panneaux. 6)
Constructions interdites : art. 479 personne ne peut construire à moins de deux mètres du mur
d'autrui ou du mur mitoyen, des puits, des égouts... sans réaliser les ouvrages de protection
nécessaires... (Interdiction de réaliser des constructions qui menacent la santé du voisin, il est donc
nécessaire de respecter les lois sanitaires) 7) Interdiction des actes qui endommagent les murs
mitoyens : art. 480 aucune accumulation de terre, d'ordures ou d'autres matériaux susceptibles de
nuire à la santé des personnes ainsi qu'à la solidité et à la sécurité des bâtiments ne peut être
placée contre un mur mitoyen séparant deux propriétés appartenant à des propriétaires différents.
8) Planter des arbres à proximité du terrain d'autrui : Art. 481 Les arbres ne doivent pas être plantés
à proximité du terrain d'autrui, mais à une distance d'au moins trois mètres de la ligne séparative,
s'il s'agit de grands arbres, et d'un mètre s'il s'agit d'arbustes ou de petits arbres. (Il est possible de
demander l'abattage de l'arbre par le biais d'un jugement en référé) 9) Travail dangereux : art. 484
si un bâtiment ou un mur présente un danger, le propriétaire peut être obligé de le démolir ou
d'effectuer les travaux nécessaires pour l'éviter. (La démolition de travaux de construction
dangereux peut être demandée par voie de référé)

310. QUELLE LIMITATION DE LA PROPRIÉTÉ A UN RANG CONSTITUTIONNEL :


L'expropriation

311. QUAND L'INDEMNISATION A LIEU : Avant que l'expropriation ne soit effectuée.

312. POURQUOI L'EXPROPRIATION EST CONSIDÉRÉE comme ayant une portée


CONSTITUTIONNELLE : Parce qu'elle est réglementée dans la Constitution politique de la
République du Guatemala à l'art. 40 qui stipule que "dans des cas particuliers, la propriété privée
peut être expropriée pour des raisons d'utilité collective, d'intérêt social ou d'intérêt public dûment
prouvées... l'indemnisation doit se faire à l'avance et en monnaie ayant cours légal...".

313. QU'EST-CE QUE LA VINDICATION : C'est lorsque le propriétaire a le droit d'intenter une
action contre une autre personne pour que son bien lui soit restitué. La demande ne porte que sur
des questions de propriété.

314. TELLE QUE LA REINDICATION EST CONNAISSANTE DANS LA DOCTRINE : Action


publicitaire

315. QU'EST-CE QUE LA FORME PARTICULIÈRE DE LA PROPRIÉTÉ : la copropriété

316. DÉFINITION DE LA COPROPRIÉTÉ : Forme particulière de propriété dans laquelle un bien


ou un droit est détenu pro indiviso par plusieurs personnes.

317. CE QUE SIGNIFIE LA PROPRIÉTÉ PRO INDIVIDUELLE : Cela signifie qu'un bien n'est pas
divisé, de sorte qu'un copropriétaire possède une partie de ce bien et en même temps l'ensemble
du bien.

318. QUEL EST L'ASPECT LE PLUS IMPORTANT de la copropriété : L'aspect le plus important
est le droit de préemption.

319. QU'EST-CE QUE LE DROIT DE TITRE : Il s'agit du droit préférentiel dont disposent les
copropriétaires à égalité de conditions pour acquérir la part d'un autre copropriétaire qui souhaite se
défaire de sa part. Art. 491

320. COMMENT LES PROPRIÉTAIRES SONT INFORMÉS DE LA DÉCISION DE VENDRE LA


PARTIE DE LA PROPRIÉTÉ QUI LEUR APPARTIENT : Au moyen d'un acte notarié de notification.

321. LES PERSONNES PEUVENT ÊTRE FORCÉES DE RESTER EN INDEMNITÉ : Un


propriétaire ne peut être forcé de rester en indivision, sauf dans les cas spécifiés □ Meubles : ils
sont considérés comme du bétail en général, à moins qu'ils ne soient utilisés pour l'exploitation
d'une ferme □ Art. 446 droits réels immobiliers et les actions qui les garantissent sont considérés
comme des biens immobiliers.

322. QUEL EST LE COÛT DE LA CONVENTION D'INDIVISION : Il consiste dans le fait que la
convention de garder la chose indivise pendant une période déterminée sera valable.

323. QUELLE EST LA DURÉE DE L'ACCORD D'INDIVISION : Une période de 3 ans.

324. L'ACCORD D'INDIVISION PEUT-IL ÊTRE PROLONGÉ : Oui, il peut être prolongé par une
nouvelle convention.

325. QUAND LA DIVISION EST INAPPROPRIÉE : Les copropriétaires ne peuvent pas exiger la
division de la chose commune, lorsqu'elle la rend inutilisable pour l'usage auquel elle est destinée.
Dans ce cas, si les copropriétaires ne sont pas d'accord pour qu'elle soit attribuée à l'un d'entre eux
en compensation des autres, elle est vendue et le prix est divisé.

326. QUELS SONT LES DEUX MOYENS DE METTRE FIN A LA COOPERATION : a) Volontaire :
lorsque la copropriété prend fin par un accord de volontés dans son intégralité. b) Judiciaire : se
produit lorsqu'il n'y a pas d'accord testamentaire c) Juridique : se produit dans les cas spécifiés par
la loi (par ex. pour avoir détruit ou endommagé ce bien)

327. Comment se déroule le partage de la copropriété lorsqu'elle est résiliée volontairement et


devant qui : Il se fait devant un notaire et est formalisé dans un acte public de partage.

328. Comment se déroule le partage de la propriété commune lorsqu'il est mis fin à la procédure
judiciaire et devant qui il peut être effectué : Il est présenté devant un juge compétent et ce juge le
résoudra lors d'un procès oral et il est connu sous le nom de partage de la propriété commune.

329. DÉFINITION DU MÉDIATEUR : art. 505 Il s'agit d'un mur, d'un fossé, d'une clôture ou d'un
fossé qui sert de limite ou de séparation entre deux propriétés contiguës et qui est présumé être
commun aux deux propriétaires.
330. QUELLE EST L'EXCEPTION À LA NON-OBLIGATION DE RESTER EN COPROPRIÉTÉ ?

331. QUELS SONT LES SIGNES CONTRAIRES AU MÉDIATISME : Art. 506 # 1er à 9ème ♦ # 1er
lorsqu'il existe des fenêtres ou des ouvertures dans les murs séparatifs des bâtiments ♦ # 2ème
lorsque l'ensemble du mur, de la clôture ou de la haie est réputé construit sur le terrain de l'une des
propriétés et non à moitié entre l'une et l'autre des deux propriétés contiguës ♦ # 3ème lorsque le
mur supporte les charges de passage des planchers et de renforcement de l'une des propriétés et
non de la contiguë. 4º lorsque le mur de séparation entre cours, jardins et autres propriétés est
construit de telle sorte que le couronnement tombe vers une seule des propriétés ♦ 5º lorsque le
mur de séparation, construit en maçonnerie, comporte des pierres appelées "pasaderas" qui, de
distance en distance, ne sortent de la surface que d'un côté du mur et non de l'autre. ♦ # 6º.
Lorsque le mur sépare un bâtiment dont il fait partie et un jardin, un champ, une basse-cour ou un
lieu sans bâtiment ♦ 7ème lorsqu'un domaine est clos ou défendu par une clôture, une haie ou des
haies et que ceux qui sont contigus n'en ont pas ♦ 8ème lorsque la clôture qui enferme
complètement un domaine est d'une espèce différente de celle que le domaine voisin a sur ses
côtés attenants au premier. 9e lorsque, dans les clôtures grillagées de toute nature, le fil est cloué
aux poteaux ou aux haies qui le soutiennent, uniquement du côté d'un domaine et non du côté du
domaine voisin.

332. DÉFINITION DE LA PROPRIÉTÉ HORIZONTALE : Lorsqu'une personne est propriétaire d'un


appartement, d'un logement ou d'une pièce dans un immeuble de plus d'un étage. En même temps,
il devient la copropriété de tous les habitants de l'immeuble. Ex. Escaliers, couloirs, ascenseurs et
tout ce qui fait partie du même bâtiment.

333. QU'EST-CE QUE LA PROPRIÉTÉ HORIZONTALE EST DÉNOMMÉE : Propriété divisée


horizontalement

334. COMMENT NAÎT LA PROPRIÉTÉ HORIZONTALE : a) lorsque le ou les propriétaires


communs d'un bâtiment décident de le soumettre à ce régime afin d'effectuer toute opération
juridique avec tout ou partie de ses différents appartements, une fois qu'ils ont été inscrits au
registre foncier en tant que propriétés indépendantes ; b) lorsqu'une ou plusieurs personnes
construisent un immeuble dans le même but c) lorsque, dans un testament, les héritiers ou certains
d'entre eux sont institués légataires des appartements d'un même immeuble soumis au régime de la
propriété horizontale.

335. QUELLE QUALITÉ DOIT AVOIR LE BIEN POUR ÊTRE CONSTITUÉ EN BIEN
HORIZONTAL : Le bien pour être constitué en bien horizontal doit être libre de toute charge.

336. DEFINITION DE L'ETAGE : C'est l'ensemble des appartements et des pièces construits sur
le même plan horizontal, dans un bâtiment à plusieurs étages.

337. DEFINITION DE L'APPARTEMENT : C'est la construction qui occupe une partie d'un étage.

338. DÉFINITION DE LA CHAMBRE : C'est l'espace constitué par une seule pièce

339. INTERDICTIONS POUR LES PROPRIETAIRES DU PREMIER ET DU DERNIER ETAGE :


Le propriétaire du premier étage ne peut faire de sous-sol ou d'excavation de quelque nature que ce
soit, à moins d'y être autorisé. Et le propriétaire du dernier étage ne peut élever le niveau de cet
étage sans l'accord unanime des autres propriétaires et l'autorisation de la municipalité.

Institution du droit successoral :

a. définition et éléments

b. l'héritage et le legs

c. Succession testamentaire

d. succession ab intestat

340. quel est le nom donné au livre iii du code civil : la succession héréditaire ?

341. DEFINITION DE LA SUCCESSION HEREDITAIRE : Il s'agit d'une institution de droit civil par
laquelle est étudiée la manière de transmettre les biens, les droits et les obligations d'une personne
qui ne sont pas éteints par le décès.

342. EXEMPLE DE DROITS ET D'OBLIGATIONS QUI NE SONT PAS ÉLIMINÉS PAR LE DÉCÈS
: Les dettes ne s'éteignent pas avec le décès.

343. EXEMPLES DE DROITS EXINGUISÉS PAR LE DÉCÈS : Usufruit, usage, habitation, etc.

344. DEFINITION DU PROCESSUS DE SUCCESSION : La série d'étapes progressives par


lesquelles sont transmis les biens, les droits et les obligations qui ne sont pas éteints par le décès.

345. DEFINITION DU DROIT DE LA SUCCESSION : Il s'agit de la branche du droit qui étudie


l'ensemble des principes et des règles juridiques qui régissent le transfert des biens, des droits et
des obligations qui s'éteignent par le décès.

346. QUELS SONT LES MOYENS PAR LESQUELS LA SUCCESSION HÉRITAIRE PEUT SE
FAIRE : ⇒ Volontaire : héritage testamentaire (la personne disposera de ses biens de son vivant et
volontairement par le biais d'un testament). ⇒ Par disposition de la loi : succession ab intestat (la
personne ne dispose pas de ses biens de son vivant) ⇒ Mixte : la succession peut être en partie
testamentaire et en partie ab intestat.

347. FORMES DE TRANSMISSION DE L'HÉRITAGE : - A titre universel : transmission de


l'héritage dans son intégralité à une, deux ou plusieurs personnes - A titre particulier : détermination
et spécification des biens à transmettre

348. DÉFINITION DE L'HÉRITAGE : L'ensemble des biens, droits et obligations qui ne sont pas
éteints par le décès.

349. QU'EST-CE QU'ON APPELLE QUAND C'EST UNIVERSEL : Héritage

350. QU'EST-CE QUE L'ON APPELLE QUAND IL S'AGIT D'UN TITRE PARTICULIER : Legs

351. QU'EST-CE QUE SIGNIFIE LE FAIT QUE L'HÉRITAGE EST ACCEPTÉ AVEC LE
BÉNÉFICE D'UN INVESTISSEMENT : Art. 920. L'héritier n'est responsable des dettes et des
charges de l'héritage que dans la mesure de l'actif de l'héritage.

352. COMMENT LE PROPRIÉTAIRE JURIDIQUE RÉPOND : Art. 920. Il n'est responsable que
des charges qui lui ont été expressément imposées par le testateur.

353. QUOI FAIRE LORSQUE L'ENSEMBLE DE L'HÉRITAGE EST RÉPARTI DANS LES
LÉGISMES : Art. 921. Les légataires sont considérés comme des héritiers : (considérés comme un
héritage et non comme un legs)

354. QUI EST INDIGNE : 18

355. Exigences essentielles

356. QUELLES SONT LES CONDITIONS PARTICULIÈRES : - Le moment et le lieu où le


testament est accordé, - La nationalité du testateur, - La présence de 2 témoins instrumentaires, -
La preuve de la capacité mentale du testateur dans le jugement du notaire, - Que le testateur
exprime lui-même sa volonté, - Que le testament soit lu clairement et distinctement par le testateur
ou la personne qu'il choisit, - Si le testateur ne parle pas espagnol, - Si le testateur ne parle pas
espagnol, deux interprètes choisis par lui pour traduire ses dispositions dans l'acte d'expression, -
Que le testateur, les témoins, les interprètes, s'il y en a, traduisent ses dispositions dans l'acte
d'expression, - Que le testateur, les témoins, les interprètes, s'il y en a, traduisent ses dispositions
dans l'acte d'expression.Si le testateur ne parle pas espagnol, deux interprètes choisis par lui pour
traduire ses dispositions dans l'acte de les exprimer, - Que le testateur, les témoins, les interprètes,
s'il y en a, et le notaire, signent le testament dans le même acte, 19□ Conditions particulières □
Conditions générales □ Lorsqu'il encourt une cause d'indignité.

357. QUI A LE DROIT DE REPRÉSENTATION : Les descendants d'une personne.

358. EN LIGNE COLLATÉRALE QUI A LE DROIT DE REPRÉSENTATION : Uniquement les


enfants des frères et sœurs qui hériteront en ligne directe s'ils sont d'accord avec leurs oncles et
tantes. (Si les neveux et nièces concourent seuls, ils hériteront à parts égales).

359. QU'EST-CE QUE L'ON ENTEND PAR HÉRITAGE : Les héritiers recevront l'héritage en parts
égales, quel que soit leur nombre.

360. QUE SIGNIFIE LE TERME HÉRITER PAR LES ESTIPES : Ils n'hériteront que de la partie
correspondant à leur ancêtre.

361. QU'EST-CE QUE LA SUCCESSION TESTAMENTAIRE : C'est lorsqu'il y a un testament.

362. DEFINITION DU TESTAMENT : Acte purement personnel et révocable par lequel une
personne dispose de tout ou partie de son patrimoine après son décès.

363. QUELS SONT LES ÉLÉMENTS DE LA CONCEPTION DE VOLONTÉ : - C'est un acte :


parce que c'est une déclaration unilatérale de volonté - Il est personnel : seule la personne elle-
même peut le faire - Il est révocable : Il est personnel : seule la personne elle-même peut le faire - Il
est personnel : seule la personne peut le faire - Il est révocable : il peut laisser sans effet juridique
un testament antérieur ou postérieur - Mortis causa : il prend effet après la mort d'une personne -
Unilatéral : une seule personne peut intervenir dans l'acte - Solennel : il doit être enregistré dans un
acte public.

364. QU'EST-CE QUE LE DROIT DU TESTATAIRE DE DISPOSER DE SES BIENS APPELÉ :


Liberté des droits testamentaires.

365. QUELLE LIMITATION LE TESTATEUR FIXE À LA LIBERTÉ DE TESTER : La seule


limitation est le droit de certaines personnes à être nourries.

366. DEFINITION D'UN ENFANT POSTUME : Enfant né après le décès du testateur.

367. DEFINITION D'UN ENFANT NAISSANT APRES UN LEGS : Un enfant né après la rédaction
d'un testament.

368. DEFINITION DE L'ENFANT INTENTIONNEL : L'enfant qui n'est pas mentionné dans le
testament (s'il était connu du père).

369. L'enfant posthume et l'enfant né après la rédaction du testament ont le droit d'hériter. L'enfant
prématuré n'a pas le droit d'hériter.

370. DANS QUELLE PROPORTION LES ENFANTS NAISSENT-ILS APRÈS LE TESTAMENT :


Cela dépend : si les héritiers sont des enfants du testateur ou si les héritiers ne sont pas des
enfants du testateur.

371. CE QUE SIGNIFIE LE TERME PRORRATA : Celui qui a plus donne plus et celui qui a moins
donne moins.

372. QUI EST INCAPABLE DE TESTER : - La personne déclarée en état d'interdiction - Le sourd-
muet et la personne qui a perdu l'usage de la parole lorsqu'elle est incapable de comprendre par
écrit - La personne qui, sans être en état d'interdiction, ne jouit pas de ses facultés intellectuelles et
volitives pour quelque raison que ce soit au moment du testament testamentaire.

373. CLASSIFICATION DES TESTAMENTS SELON LEUR FORME : ⇒ Testaments communs :


testament commun ouvert et testament commun fermé ; ⇒ Testaments spéciaux : testament
militaire, t. maritime, t. au secret, t. du prisonnier, t. à l'étranger.

374. QUELLE EST L'EXIGENCE DU SINECUANON POUR L'ÉCHANGE DU TESTAMENT


CONJOINT OUVERT : Il doit être exécuté par un acte public.

375. QUELLES SONT LES CONDITIONS D'ÉCHANGE DE TESTAMENTS CONJOINTS


OUVERTS : □ Lorsque vous renoncez à l'héritage □ Lorsque vous décédez avant le testateur, □19.
Personne incapable d'hériter parce qu'elle a encouru une cause d'indignité.

376. CITEZ LES CAUSES D'INDIGNITÉ : Art. 924 # 1 à 9º - # 6º Le père ou la mère qui a
abandonné ses enfants mineurs ou qui les a corrompus ou a tenté de les corrompre, quel que soit
l'âge des enfants, - # 7º Celui qui, par fraude ou par contrainte, oblige le testateur à faire un
testament, à le modifier ou à le révoquer. - 8. celui qui, par les mêmes moyens, empêchera un autre
de faire un testament ou de révoquer celui qui a été fait, ou qui supplantera, dissimulera ou altérera
un testament postérieur, - 9. celui qui exercera des violences contre le notaire ou les témoins, pour
empêcher la rédaction du testament ou pour obtenir un testament en sa faveur ou en faveur d'une
autre personne.

377. QUAND L'ACTION EN INDIGNITÉ PEUT ÊTRE EXÉCUTÉE : Art. 928. L'action en
déclaration d'indignité de l'héritier ne peut être intentée que dans un délai de deux ans à compter de
la possession par l'indigne de l'héritage ou du legs, et cette action n'est pas opposable aux héritiers
si elle n'a pas été intentée du vivant de l'héritier.

378. QUAND LES CAUSES D'INDIGNITÉ NE S'APPLIQUENT PAS : Art. 925 lorsque le testateur
le prévoit dans des dispositions testamentaires postérieures aux événements qui les ont produites.

379. LES PERSONNES INCAPABLES DE SUCCESSION PAR TESTAMENT : - Les ministres du


culte, à moins qu'ils ne soient parents du testateur, - Les médecins ou chirurgiens qui ont assisté le
testateur dans sa dernière maladie, s'il en est mort... - Le notaire qui autorise le testament et ses
parents, ainsi que les témoins instrumentaires. - Le tuteur, le curateur et leurs parents si les
comptes de la tutelle n'ont pas été approuvés... - Les institutions étrangères, quel que soit leur
objet.

380. DEFINITION DU DROIT DE REPRESENTATION : C'est le droit qu'ont les descendants d'une
personne d'hériter à sa place, si elle est décédée avant le défunt, lorsqu'elle a renoncé à l'héritage
ou l'a perdu pour cause d'indignité.

381. QU'EST-CE QUE LE DROIT DE REPRÉSENTATION : Il consiste à hériter à sa place.

382. QUAND ILS POURRONT HÉRITER À SA PLACE :

- Si le testateur ne sait pas ou ne peut pas signer, il doit apposer son empreinte digitale et signer
pour lui un témoin supplémentaire, qui doit avoir les mêmes qualités que les témoins instrumentaux.

383. QUELLES SONT LES CONDITIONS ESSENTIELLES : - le moment où il est accordé, - la


présence de deux témoins, - l'expression par le testateur de ses dernières volontés, - la lecture du
testament, - les signatures des intéressés.

384. DÉFINITION DU TESTAMENT CLOS : Testament accordé, rédigé et accepté par le testateur
lui-même, sur papier libre, pour la rédaction du testament, qui doit respecter les formalités prévues
par la loi.

385. DIFFÉRENCE ENTRE LE VOLONTARIAT FERMÉ ET LE VOLONTARIAT


HOLOGRAPHIQUE : Le testament fermé est rédigé sur papier bond et doit respecter les formalités
prévues par la loi, tandis que le testament olographe est rédigé uniquement sur n'importe quelle
feuille de papier de l'écriture du testateur.

386. Les testaments olographiques sont valables au Guatemala : Ces testaments ne sont pas
valables au Guatemala.

387. LES FORMALITÉS DES TESTAMENTS STANDARDS OUVERTS DOIVENT ÊTRE


RESPECTÉES DANS UN TESTAMENT FERMÉ : Oui, les formalités pertinentes doivent être
respectées.

388. EN PLUS DES FORMALITÉS MENTIONNÉES, QUELLES SONT LES AUTRES


FORMALITÉS QUE DOIT RESPECTER LE TESTAMENT ? C Le séquestre est remis à la personne
désignée par le testateur.

389. CE QUE LE DÉPOSITAIRE DU TESTAMENT FAIT AU DÉCÈS DU TESTATAIRE : Il doit le


présenter au juge compétent après avoir eu connaissance du décès du testateur, au plus tard dans
les dix jours, sous peine d'être condamné à des dommages et intérêts.

390. LE NOTAIRE A L'OBLIGATION DE RÉVISER LE TESTAMENT : Oui, car le notaire connaît la


loi et peut déterminer si le testament est conforme aux exigences de la loi afin qu'il ne soit pas nul et
qu'il puisse remplir sa fonction.

391. CE QUE LE JUGE ORDONNE APRÈS AVOIR DÉCLARÉ LA VALIDITÉ DU TESTAMENT : Il


ordonne l'homologation du testament.

392. ET APRÈS CE QUI PRÉCÈDE : Le processus de succession est enclenché.

testamentaire

393. TYPES DE TESTAMENTS SPÉCIAUX : - Testament militaire, - Testament maritime, -


Testament au secret, - Testament de prisonnier, - Testament à l'étranger.

394. QUELLE INTERVENTION LE NOTAIRE A-T-IL DANS LES TESTAMENTS SPÉCIAUX : Le


notaire n'a aucune intervention.

395. QUAND LES TESTAMENTS SPÉCIAUX SONT VALIDÉS : Ils ne sont valables que si le
testateur décède au cours de la situation visée dans ces articles ou dans les 90 jours suivant la
cessation de cette situation.

396. Êtes-vous sûr que le testament échangé à l'étranger est spécial : compte tenu du fait que
l'article 973 exclut le testament à l'étranger de la classification des testaments spéciaux, le
testament à l'étranger est considéré comme un testament spécial.

397. LORSQUE LE TESTAMENT COMMUN OUVERT OU LE TESTAMENT FERMÉ PEUT ÊTRE


NUL, ANNULABLE OU RÉVOQUÉ : Classe de testament NUL ANNULABLE RÉVOCABLE S'il naît
à la vie juridique et sera annulable jusqu'à Il signifie laisser sans effet Il n'est pas né à la vie
juridique que la nullité juridique est demandée un testament OUVERT Il sera nul lorsqu'ils manquent
Lorsque le Both pour le testament est accordé solennités que le testament avec : a) ouvert ainsi
que pour les violences fermées, il y a 3 façons de □ ÉTAPE 4 : l'acte est transcrit dans le protocole
(un témoignage spécial doit être envoyé aux archives générales des protocoles), □ ÉTAPE 3 : l'acte
d'octroi du testament est tamponné sur l'enveloppe contenant le testament (le séquestre), la taxe de
Q200.00 doit être payée et il doit être signé par les personnes impliquées dans l'acte. (Copie à
envoyer au cadastre), □ ÉTAPE 2 : insérer le testament à l'intérieur d'une couverture scellée
(enveloppe) de telle sorte que le testament ne puisse être retiré sans rompre l'entiercement, □
ÉTAPE 1 : présenter le testament devant le notaire et les témoins et interprètes éventuels, □ FAUX :
& qu'il n'est pas accordé en (b) malice de révoquer le testament. Acte public, (c) fraude expresse :
quand elle est et quand elle n'est pas conforme à l'art. 978 se présente devant un notaire avec les
formalités pour exécuter un testament et indispensables pour exécuter un acte public de testament.
Le testament précédent est expressément révoqué. Art. 982 FERMÉ Il sera nul et non avenu dans
les mêmes Lorsque le Tacite : lorsque le testament est accordé conditions que le testament est
accordé avec : a) un autre testament et laisse commune violence sans effet juridique l'ouvert b)
fraude testament accordé avec $ en plus lorsque c) fraude apparaît précédemment brisé séquestre
que l'art. 978 Présumé : lorsqu'il est contenu. Art. 977 fait un testament et laisse des biens, mais de
son vivant il en fait usage ou en dispose, le testament est considéré comme révoqué.
398. QU'EST-CE QU'UN HÉRITAGE CONDITIONNEL : Un héritage qui est laissé mais qui est
soumis à une condition.

399. PEUT-ON ÉTABLIR UNE CONDITION DE NON-VENTE DU BIEN : Oui, cette condition peut
être établie, mais elle sera valable jusqu'à la majorité et 5 ans de plus des héritiers ou légataires.

400. PEUT-ON ÉTABLIR UNE CONDITION DE NON-MARIAGE : Cette condition ne peut être
établie et est réputée ne pas avoir été fixée. En revanche, celle qui vise à empêcher le mariage
avec une personne déterminée est valable.

401. QU'EST-CE QU'UN TERME D'HÉRITAGE : La désignation du jour ou de l'heure à laquelle


l'institution d'un héritier ou d'un légataire doit commencer ou cesser de produire ses effets est
valable.

402. DÉFINITION DE L'HÉRITAGE : 20

Ne pas être dans le service judiciaire ou PGN actuel.

403. QUELS SONT LES POUVOIRS ET ATTRIBUTIONS DES ALBATHS EN PLUS DE CEUX
DÉSIGNÉS PAR LE TESTATAIRE : - Organiser et payer les funérailles du testateur... - Prendre les
dispositions nécessaires pour la sécurité immédiate des biens, - Dresser l'inventaire avec
l'intervention des héritiers et à défaut avec celle des intéressés aux biens, - Payer les dettes et les
legs, - Administrer les biens jusqu'à ce que les héritiers en prennent possession.

404. QUELS POUVOIRS L'ALBACEA A-T-IL, S'IL N'EST PAS ENLEVÉ ET S'IL N'Y A PAS DE
DÉCLARATION DES HÉRITIERS : Avoir la représentation de la succession pour ester en justice, à
moins que le testateur ne l'interdise.

405. QUEL EST LE MANDAT DE L'EXÉCUTEUR : Lorsque le testateur ne l'a pas fixé, l'exécuteur
doit exercer ses fonctions dans un délai d'un an à compter de son acceptation ou de la fin du litige
portant sur la validité ou la nullité du testament ou de l'une quelconque de ses dispositions.

406. QUI S'APPLIQUE SI LE TESTATEUR DISPENSE L'EXÉCUTEUR TESTAMENTAIRE DE


L'OBLIGATION DE DRESSER UN INVENTAIRE ET DE RENDRE DES COMPTES : Ces
dispositions sont nulles et non avenues de plein droit.

407. EN QUOI CONSISTE LA REDDITION DE COMPTES : L'exécuteur testamentaire doit fournir


un compte rendu documenté de l'exécution aux parties intéressées immédiatement après l'avoir
exercée.

408. (a) pour cause de négligence b) pour cause d'abus ou de détournement

409. QUELLES SONT LES CAUSES DE LA CESSATION DE L'EXÉCUTORAT : - Par la mort de


l'exécuteur testamentaire - Par l'impossibilité de l'exécuteur testamentaire - Par la démission de
l'exécuteur testamentaire - Par la révocation de l'exécuteur testamentaire - Par l'expiration du terme
indiqué par le testateur, par la loi ou, le cas échéant, par les parties intéressées.

410. QUAND LA SUCCESSION INTESTATE SE PRODUIT : C'est le cas lorsque le défunt n'a pas
laissé de testament et que les dispositions de la loi doivent être respectées à cet effet.
411. QUAND LA SUCCESSION INTESTE A EU LIEU : a) Lorsqu'il n'y a pas de testament, b)
Lorsque la condition attachée à l'institution de l'héritier n'est pas remplie, ou lorsque celui qui a été
institué meurt avant le testateur, ou est incapable d'hériter, répudie l'héritage... c) Lorsque dans le
testament il n'y a pas d'héritier institué et que le testateur n'a pas disposé de tous ses biens en legs,
d) Lorsque le testateur a cessé de disposer d'une partie ou de l'ensemble de ses biens.

412. QUELLES SONT LES RÈGLES DE LA SUCCESSION INTAINÉE : l□ Ne pas être incapable
de les acquérir par voie d'héritage □ Être légalement capable d'administrer des biens □ Avoir l'âge
légal □ Judiciaire : lorsqu'il est nommé par un juge

413. CONDITIONS POUR ÊTRE UN ALBACEA : □ Volontaire : lorsque le testateur le désigne


□21. Le testateur peut disposer d'une chose ou d'une somme, ou de tout ou partie de ses biens, par
voie de legs, en faveur d'une ou plusieurs personnes physiques ou morales.

414. QUI EST CONSIDÉRÉ COMME LÉGATAIRE : La personne à qui un bien est donné par
testament, même si elle n'a pas été désignée comme héritier.

415. COMMENT L'ACCEPTATION DE L'HÉRITAGE PEUT ÊTRE : a) Expresse : l'héritier déclare


qu'il accepte l'héritage b) Tacite : lorsque l'héritier ne dit rien mais prend possession de l'héritage.

416. L'acceptation de l'héritage ne peut être ni conditionnelle ni partielle.

417. QUEL EST LE DÉLAI D'ACCEPTATION DE L'HÉRITAGE : - 6 mois à l'intérieur du pays. - 1


an en dehors de la république.

418. QUEL EST LE TERME DE LA RENONCIATION À L'HÉRITAGE : C'est le même que celui de
l'acceptation.

419. DEFINITION DE L'ALBACEA : La personne à laquelle le testateur confie l'exécution de sa


volonté.

420. QUEL EST LE NOM DE L'ALBACEA : Exécuteur testamentaire

421. QU'APPELLE-T-ON L'ALBACEA DANS LA DOCTRINE : Al waci

422. CLASSES D'ALBACEA : La succession ab intestat est héritée en propre et par


représentation.

423. QU'EST-CE QUE L'HÉRITAGE PAR DROIT PROPRE : C'est lorsqu'on hérite par tête, c'est-
à-dire que chacun prend, à parts égales, la part que la loi lui attribue.

424. QU'EST-CE QUE L'HÉRITAGE PAR DROIT DE REPRÉSENTATION : Il s'agit d'un partage
de l'héritage par lignée afin que le ou les représentants n'héritent pas plus que ce dont leur mandant
hériterait s'il était en vie.

425. QUI SONT APPELÉS À HÉRITER : - Les parents du défunt - En l'absence de ceux-ci, l'Etat et
les Universités du Guatemala, à parts égales.

426. QUEL EST L'ORDRE DE SUCCESSION DANS LE CAS DES PARENTS : i. En premier lieu :
les enfants et le conjoint, mais en moyenne le conjoint n'a pas droit à la communauté de biens ii. En
l'absence de descendants, le plus proche parent et le conjoint succèdent (à parts égales) iii. En
l'absence des personnes appelées à succéder, les parents collatéraux jusqu'au quatrième degré de
la loi succèdent.

427. SI LE CAUSANT N'A QU'UN PETIT ENFANT, PEUT-IL ÊTRE APPELÉ À HÉRITER : Oui, le
petit-enfant peut être appelé à hériter, car il a le droit de représentation. Art. 1081

428. JUSQU'À QUEL DEGRÉ EST RECONNU LE DROIT DE REPRÉSENTATION : En ligne


droite : la représentation correspond aux descendants jusqu'au quatrième degré En ligne collatérale
: la représentation correspond uniquement aux enfants des frères et sœurs, qui hériteront en ligne
directe s'ils sont en concordance avec leurs oncles et tantes.

429. LE CONJOINT SÉPARÉ A LE DROIT D'HÉRITER : S'il a été déclaré coupable de la


séparation dans une sentence, il n'aura pas le droit d'hériter, mais s'il n'a pas été coupable, il aura le
droit de recevoir une partie de l'héritage.

430. UN CONJOINT DIVORCÉ A-T-IL LE DROIT D'HÉRITER : Un conjoint divorcé n'a aucune part
dans la succession ab intestat de son ex-conjoint.

431. LE CONJOINT QUI N'A ÉTÉ QUE DANS UNE UNION DE FAIT (QUAND L'UNION N'A PAS
ÉTÉ LÉGALISÉE) A LE DROIT D'HÉRITER : Si l'union de fait n'a pas été légalisée, il ne peut pas
hériter, mais la loi établit qu'il peut entamer la procédure d'union de fait post mortem, afin d'avoir le
droit d'hériter.

432. DANS L'AFFAIRE CI-DESSUS, QUI EST POURSUIVI : Le représentant de la société de


pompes funèbres est poursuivi.

COMMENT LA PARTITION SE TERMINE : des meubles identifiables

433. LORS DU PARTAGE DE L'HÉRITAGE : Lorsque l'inventaire et le compte administratif ont été
approuvés, l'exécuteur testamentaire doit immédiatement procéder au partage de l'héritage.

434. UN COHÉRIER PEUT ÊTRE FORCÉ DE RESTER PRO INDIVISIDO : Aucun cohéritier ne
peut être obligé de rester pro indiviso dans les biens hérités, même sur ordre exprès du testateur.

435. PROCEDURE DE PARTAGE DES BIENS EN CAS D'ABSENCE DE L'UN DES HÉRITIERS :
Le partage de l'héritage peut également être demandé par le représentant légitime de la personne
absente.

436. QU'EST-CE QUE LA SUCCESSION : Il s'agit de l'ensemble des biens qui restent après le
paiement des dettes du défunt.

437. SI L'HÉRITAGE COMPORTE TOUJOURS LES CHARGES OU LES DETTES TELLES


QU'ELLES SONT DÉNOMMÉES : Actifs Reliquaires

438. LES 3 ORGANES ADMINISTRATIFS ÉTAIENT : - le registre civil (muni) - le registre des
cartes d'identité (muni) - le registre des citoyens (TSE)

439. Actuellement, quelle est l'institution chargée de toutes les questions relatives à l'état civil des
personnes : Le registre national des personnes (RENAP).

440. COMMENT ELLE EST ACTUELLEMENT RÉPARTIE : Elle a été créée en tant qu'unique
institution publique chargée de conserver les dossiers du registre national des personnes.

441.QUELLE EST LA FORME DE L'ENTRÉE EN VIGUEUR DES LOIS : a) Synchrone : lorsqu'une


loi est émise et entre en vigueur immédiatement b) Successive : lorsqu'une loi est émise et entre en
vigueur par phases ou par périodes.

442. sous quelle forme la loi renap entrera-t-elle en vigueur : successivement

443.CONSIDEREZ-VOUS LEGAL QUE LE REGISTRE DES CITOYENS SOIT TRANSFERE A LA


RENAP, COMME PREVU : Personnellement, je considère que non, puisque le registre des citoyens
appartient au tribunal électoral suprême, et que celui-ci est habilité par une loi constitutionnelle,
alors que la renap relève du droit commun, pour toutes les délégations - Toutes les délégations
seront connectées en réseau via internet - Dans la renap, les certifications nécessaires peuvent être
demandées dans n'importe laquelle des délégations (par exemple l'acte de naissance), où qu'elle
se trouve - Quant aux avis de mariage, ils peuvent être délivrés dans la renap, même si la
naissance et la résidence des parties se trouvent dans une autre municipalité. Les actes de mariage
(par exemple les actes de naissance) peuvent être déposés à la renap, même si la naissance et la
résidence des mariés se trouvent dans une autre commune. Renap n'est responsable que de
l'enregistrement des personnes.

444.QUELS SONT LES AVANTAGES DU REGISTRE NATIONAL DES PERSONNES : - Il n'y a


qu'un seul renap, mais il y aura au moins une délégation dans chaque commune - Le renap émet
une seule disposition et elle est exécutoire

Le cadastre général :

a. définition, caractéristiques, systèmes d'enregistrement :

24. DEFINITION DU REGISTRE DE LA PROPRIETE : C'est un établissement public qui a pour


objet l'enregistrement, l'annotation et la radiation des actes et contrats relatifs à la propriété et aux
autres droits réels sur les immeubles et les biens mobiliers identifiables.

25. 546 - NOM DE CETTE INSTITUTION PUBLIQUE : le décret-loi 106 l'appelle le Registre de la
propriété, mais la Constitution politique de la République du Guatemala l'appelle le Registre général
de la propriété.

26. 547.QUELS SONT LES 3 PRINCIPES REGISSANT LE REGISTRE DE LA PROPRIETE : -


Principe de publicité - Principe de priorité - Principe de légalité

27. 548.QUEL EST LE PRINCIPE DE LA PUBLICITÉ ?


Les registres sont publics, ce qui signifie que toute personne intéressée peut demander à les
consulter.

28. 549.QU'EST-CE QUE LE PRINCIPE DE PRIORITÉ ?


ou plusieurs inscriptions de même date concernant le même bien ou droit, la préférence est
déterminée par la date antérieure de remise du titre au registre.

29. 550. EN QUOI CONSISTE LE PRINCIPE DE LÉGALITÉ ?

30. 551.QUEL EST LE DÉLAI D'ENREGISTREMENT, D'ANNULATION OU D'ANNOTATION DU


REGISTRAIRE : Il dispose d'un délai de 8 jours à compter de la date de réception de l'acte. S'il
donne lieu à plusieurs des opérations susmentionnées, le délai est prolongé de 6 jours
supplémentaires.

31. 552.QUELLE EST LA CLASSIFICATION DES ENTRÉES : a) Entrées permanentes b)


Entrées temporaires c) Entrées spéciales

32. 553.SUR QUELS TITRES PROCÈDE L'INSCRIPTION DÉFINITIVE : ⇒ Titres qui


Les actes qui transfèrent la propriété des immeubles et dans lesquels sont constitués, reconnus,
modifiés ou éteints les droits d'usufruit, d'usage, d'habitation, de patrimoine familial, d'hypothèque,
de servitude et tous autres droits réels sur les immeubles, ⇒ La possession constatée par un titre
complémentaire légalement délivré, ⇒ Les contrats de mariage, s'ils affectent des immeubles ou
des droits réels, ⇒ Les actes constatant que la propriété des immeubles ou des droits réels est
affectée, ⇒ Les actes constatant que la propriété des immeubles ou des droits réels est affectée.La
possession qui figure dans un titre complémentaire légalement délivré, ⇒ Les contrats de mariage,
s'ils affectent des biens immobiliers ou des droits réels, ⇒ Les actes dans lesquels il est indiqué
qu'un bien est soumis au régime horizontal de la propriété ; ⇒ Les chemins de fer, tramways,
canaux, docks ou ouvrages publics de même nature, ainsi que les navires, les dirigeables, et les
charges qui grèvent l'un quelconque de ces biens, ... Etc.

33. 554.WHEN PROCÉDURE D'ENREGISTREMENT PROVISOIRE : Registre départemental où


le registre est situé.

34. 563.AVEC QUEL DOCUMENT DEMANDEZ-VOUS UNE ANNULATION : Par lettre


le paiement total effectué dans le cadre de l'acte public.

35. 564.COMMENT LES ANNULATIONS PEUVENT ÊTRE EFFECTUÉES : Les annulations


peuvent être effectuées en tout ou en partie

36. 565.QUI EST ANNULÉ PAR LE GREFFIER SUR DEMANDE ÉCRITE


À LA DEMANDE DE L'INTÉRESSÉ : - les inscriptions hypothécaires à durée inscrite, lorsque 10
ans se sont écoulés depuis l'expiration de la durée et pendant 2 ans, les autres droits réels sur les
immeubles, - les inscriptions de droits sur les immeubles identifiables lorsque 3 ans se sont écoulés
depuis l'expiration de la durée, - les inscriptions de créances et les saisies après 5 ans à partir de
leur dateles inscriptions de créances et les saisies après 5 ans à compter de leur date, - les gages
fonciers après 2 ans à compter de l'expiration du délai 22

37. Personne imposable : Reus Debendi

9. 539.COMMENT SE TERMINE LA PARTITION : 21

10. de meubles identifiables

11. 556.OÙ EST RÉGLEMENTÉE LA PROCÉDURE DE CHANGEMENT D'ADRESSE : Elle est


réglementée à l'art. 1130 (b)

12. 557.QU'EST-CE QUE L'AZIMUT : Ce sont les mesures utilisées par les ingénieurs pour
déterminer la superficie et les mesures d'un bien immobilier.
13. 558.COMMENT LES DOCUMENTS DOIVENT ÊTRE PRÉSENTÉS AU REGISTRE : Le
document original doit être présenté avec un duplicata.

14. 559. QU'EST-CE QU'UN DUPLICATA : Il s'agit d'une photocopie du document à soumettre,
avec les éléments suivants
signature et cachets originaux.

15. 560 - QUAND L'ENREGISTREMENT EST ANNULÉ : Lorsque, par omission d'une des
circonstances qu'il doit contenir ou parce qu'il est inexact, il a induit un tiers en erreur et que celui-ci,
ou l'une des parties contractantes, se trouve lésé dans l'enregistrement.

16. 561.A LES BIENS INSCRITS PEUVENT ÊTRE TRANSFERÉS : Les biens
les immeubles ou droits réels notés peuvent être aliénés ou grevés, mais sans préjudice du droit de
la personne en faveur de laquelle l'annotation est faite.

17. 562.QUE FAIRE SI UNE PERSONNE N'EST PAS D'ACCORD AVEC UNE DÉCISION DE
LA
LE REFUS D'UN DOSSIER PAR LE GREFFIER : Il peut saisir le greffier d'un recours incident
devant le juge de première instance de la branche civile de la circonscription□ des mines et
hydrocarbures □ des canaux, docks, chemins de fer et autres ouvrages publics de même nature □
des navires et aéronefs □ des usines immobilisées □ des biens horizontaux □ des testaments et
donations à cause de mort □ des gages agraires □ Les légataires et certains créanciers du défunt
en droits réels de la succession ;..... etc.

18. 555.QUELLES ENTRÉES SONT CONSIDÉRÉES COMME SPÉCIALES : Dans le registre se


trouvent
Les registres suivants sont tenus séparément : □ Une personne qui obtient une décision de justice
pour la saisie de droits réels enregistrés du débiteur ; □ Une personne qui intente une action en
justice pour la propriété, la constitution, la modification ou l'extinction de droits réels sur des biens
immobiliers ou d'autres droits réels soumis à enregistrement, ou la radiation ou la modification de
cet enregistrement ; □22. 1) Volontaire : un notaire est commis à la demande d'une partie et un acte
de partage est accordé ; 2) Judiciaire : un juge est commis.

19. 566.QUELLES SONT LES EXIGENCES QUE DOIVENT CONTENIR TOUTES LES
ANNULATIONS ?
la date de l'acte et la date de remise au greffe ; - la désignation du juge qui a délivré l'acte ou du
notaire devant lequel il a été passé ; - les noms des personnes intéressées par l'annulation ; et -
l'inscription ou l'annotation à annuler.

20. 567.QUOI FAIRE SI UN BIEN A 15 OU PLUS D'ENTRÉES : Art.


1178 L'officier de l'état civil les radie et ouvre une nouvelle inscription avec les données résultant
des inscriptions, en y transcrivant toute inscription ou annotation en vigueur.

21. 568. CE QUE NOUS POUVONS FAIRE POUR DÉTERMINER SI LE BIEN EST SOUMIS OU
NON.
PAS DE GRAVAMENTS : Vous vous rendez au cadastre général et demandez un certificat
attestant de l'état de la propriété.
22. 569.COMME DÉTERMINÉ PAR L'ART. 1194 DU CODE CIVIL : Réglemente que le décès du
le testateur présente le témoignage du testament ouvert avec le duplicata et la certification de l'acte
de décès pour qu'il soit inscrit au livre des écritures et motivé.

23. 570. LE NOMBRE DE REGISTRES DE PROPRIETE : Il y a 2 registres : le premier dans la


zone centrale située sur la 9ème avenue et la 14ème rue de la zone 1 de la municipalité de
Guatemala. Le second registre est situé à Quetzaltenango.

24. 571 - LE NOMBRE DE REGISTRES SELON LA LOI : Selon les dispositions de l'art. 23 de la
constitution politique de la République du Guatemala établit qu'il doit y avoir au moins un pour
chaque département ou au moins un pour chaque région du pays (il y a 22 départements et 8
régions dans le pays).

25. 572. qui s'occupe des registres : il s'agit d'un officier d'état civil.
propriétaire

26. 573.QUI NOMME LE REGISTRAIRE : le Président de la République, par le biais d'un accord
gouvernemental.

27. 574. QUELLES QUALITÉS DOIT AVOIR LE REGISTRAIRE : - Être ressortissant


guatémaltèque de
origine - Être notaire et avocat - Être membre actif d'un barreau

28. 575. LE REGISTRE DE LA PROPRIÉTÉ DÉPEND DE QUEL MINISTÈRE : Du ministère de


l'intérieur.

29. 576.QUI EST CHARGÉ DES INSPECTIONS DU REGISTRE : Chargé de


du juge de première instance en matière civile, nommé annuellement par la Cour suprême de
justice.

30. 577.À QUELLE OBLIGATION LES BUREAUX D'ENREGISTREMENT DOIVENT-ILS SE


CONFORMER AVANT D'ÊTRE AUTORISÉS À EXERCER LEUR ACTIVITÉ ?
POUR ENTRER DANS L'EXERCICE DE LEUR FONCTION : Ils devront garantir les responsabilités
qu'ils peuvent encourir, par une hypothèque ou un cautionnement, et seront imposés par le
Ministère de l'Intérieur, qui peut être fixé à Q1,000.00 à Q10,000.00, le montant de la garantie.

31. 578.QUAND LA GARANTIE EST EXÉCUTÉE : La garantie visée à l'article précédent ne peut
être levée qu'un an après la cessation des fonctions de l'officier de l'état civil, à moins qu'il n'y ait
une réclamation pendante contre l'officier de l'état civil....

32. 579.SUR L'HYPOTHÈQUE, IL N'Y A PAS DE SOLDE IMPAYÉ, MAIS QUEL EST LE
MONTANT DE L'HYPOTHÈQUE ?
EXCEPTION À CETTE RÈGLE : Si la garantie est une hypothèque et qu'il reste un solde impayé
lors de la vente aux enchères du bien, le conservateur est responsable de ce solde avec ses autres
biens.

33. 580.QUELS SONT LES LIVRES QUI DOIVENT ÊTRE CONSERVÉS DANS LE REGISTRE :
I. Livraison
de documents II. Inscription III. A partir des tableaux statistiques IV. Index par ordre alphabétique
des noms de famille des propriétaires et détenteurs de biens immobiliers.

8. Le droit des obligations :

a. définition

b. Éléments

c. sources.

d. classification

e. conformité et non-conformité

f. transmission et extinction

g. obligations découlant d'actes et d'omissions fautifs

9. 583.DEFINITION DE L'OBLIGATION : Il s'agit d'un lien juridique par lequel une personne
appelée créancier peut exiger d'une autre personne appelée débiteur l'exécution d'une prestation
qui peut consister à donner, à faire ou à ne pas faire.

10. 584.QUELS SONT LES SUJETS IMPLIQUÉS DANS L'OBLIGATION : - Partie active - Partie
passive

11. 585.QU'EST-CE QU'UN SUJET ACTIF : Le créancier, qui est la personne qui a le droit d'agir
en son nom.

droit

12. 586. QU'EST-CE QU'UN OBJET RESPONSABLE : Le débiteur est la personne qui doit à la
l'exécution d'une obligation

13. 587. comment naissent les obligations : elles résultent d'actes juridiques

14. 588.QU'EST-CE QU'UNE ENTREPRISE JURIDIQUE : Il s'agit d'une déclaration de volonté


dans laquelle
les droits et obligations sont créés, modifiés, éteints ou transférés

15. 589.COMMENT L'AFFAIRE JURIDIQUE EST DIVISÉE : - L'affaire juridique en tant qu'acte -
L'affaire juridique en tant que contrat

16. 590.EXEMPLES D'ACTE : Offre au public Volonté

17. 591.EXEMPLES DE CONTRAT : ⇒ Achat et vente ⇒ Mutuel 592.DANS UN ACHAT ET UNE


VENTE QUI EST LE SUJET ACTIF ET QUI EST LE SUJET PASSIF : Dans l'achat et la vente,
l'acheteur et le vendeur sont considérés comme des sujets de double qualité, puisqu'ils agissent en
tant que sujets actifs et passifs 593.EN DOCTRINE QU'EST-CE QUE L'ON APPELLE LE SUJET
PASSIF ET LE SUJET ACTIF :

18. Erreur dans le compte

19. 608.QU'EST-CE QU'UNE ERREUR DANS LA CHOSE : C'est lorsque nous donnons un
consentement
sur l'opération juridique (objet)

20. 609.QU'EST-CE QUE A□ Erreur de personne □ Erreur de chose (objet) □24. - Mi-temps non
ont été déclarés en état d'interdiction

21. 598. QU'EST-CE QU'UN CONSENTEMENT QUI N'EST PAS ENTACHÉ D'UN VICE :
Signifie que la personne déclare volontairement qu'il n'y a pas de vice de consentement.

22. 599.PAR LEQUEL LA VOLONTE OU LE CONSENTEMENT EST MANIFESTÉ : a) De


b) Expressément b) Tacitement c) Prétendument d) Silence

23. 600.LORS DE L'EXPRESSION : Lorsque sa volonté se manifeste directement. Ex. Lorsque


le testateur révoque expressément un testament antérieur

24. 601 - QUAND IL EST TACTIQUE : Lorsqu'il ne manifeste rien mais qu'il commence à s'y
conformer.

25. 602.QUAND ELLE EST PRÉSUMÉE Il y a manifestation de volonté lorsqu'elle est énoncée
dans la loi

26. (603) QUAND LE SILENCE EST DONNÉ : Le silence n'est pas considéré comme une
manifestation tacite de volonté, sauf dans les cas où il existe, pour la partie concernée, une
obligation de s'expliquer.

27. 604.QUELS SONT LES VICES DU CONSENTEMENT : - Erreur - Fraude - Violence


- Simulation

28. 605. QU'EST-CE QU'UNE VICIENCE : Une circonstance particulière qui, sans supprimer
l'activité commerciale, peut avoir des conséquences négatives sur la santé et la sécurité des
personnes.
dommages-intérêts légaux qu'il

29. 606 - QU'EST-CE QUE L'ERREUR : C'est l'assentiment inexact à la réalité qui consiste à
en croyant que ce qui est vrai est faux et que ce qui est faux est vrai.

30. 607.QUELS SONT LES TYPES D'ERREUR : ERREUR SUR LA PERSONNE : C'est lorsque
l'objet du contrat tombe sur une personne qui n'est pas celle que l'on croyait.

31. 610 - QU'EST-CE QUE L'ERREUR DE COMPTE : C'est lorsque la transaction légale n'est
pas endommagée.
ne conduit qu'à la correction

32. 611.QU'EST-CE QUE LE DOLE : C'est lorsque la ruse ou la tromperie est utilisée pour
tromper ou induire en erreur.
une personne dans la transaction juridique

33. 612.QU'EST-CE QUE LA VIOLENCE : Lorsqu'une personne est intimidée par l'un des
moyens suivants
physiquement ou psychologiquement
34. 613.CONSIDÉRANT QUE L'OBJET DOIT ÊTRE LICITE : signifie qu'il doit avoir
dans la mesure où la loi l'autorise

35. 614.BASE DES CONTRATS ATYPIQUES : Art. 1256 lorsque la loi ne prévoit pas de forme
spécifique pour un acte juridique, les parties intéressées peuvent utiliser celle qu'elles jugent la plus
appropriée.

36. 615. EXEMPLES DE CONTRATS CIVILS ATYPIQUES : o Lettre de paiement intégral o


Reconnaissance de dette o Démembrement de soi

37. 616. QU'EST-CE QUE L'ACTIVITÉ LÉGALE CONDITIONNELLE ?


une transaction juridique soumise à une condition pour être effective.

38. 617. QU'EST-CE QU'UNE CONDITION : Un événement futur et incertain mais possible.

39. 618.COMMENT LA CONDITION PEUT ÊTRE : a) Résolutoire : lorsque la condition est


posée, les effets de l'opération juridique commencent b) Suspensive : lorsque la condition est
posée, les effets de l'opération juridique prennent fin.

40. 619. QU'EST-CE QU'UNE ENTREPRISE LÉGALE DÉPOSÉE ?


sont soumis à une sorte de condition, qui est future mais certaine parce qu'on sait précisément
quand elle se réalisera.

41. 620.QUELS SONT LES TYPES DE TERMES : - Juridique : c'est ce qui est établi par la loi -
Judiciaire : c'est ce qui est stipulé par un juge - Volontaire : c'est ce qui est fixé par les parties

42. 621.COMMENT LE TERME VOLONTAIRE PEUT ÊTRE : - Déterminé : il est donné


lorsqu'un jour exact est fixé pour l'exécution de l'obligation - Indéterminé : il est donné lorsqu'il est
dit qu'à une certaine date l'exécution de l'obligation sera effective, mais que le jour exact n'est pas
fixé.

43. 622. QU'EST-CE QUE LA SIMULATION : Il s'agit d'un défaut dans le consentement qui est
se produit lorsque ce qui est déclaré par les parties n'est pas réel, ou lorsqu'elles lui donnent une
fausse apparence qui dissimule le véritable caractère de l'opération juridique.

44. 623.QUELLES SONT LES FORMES DE LA SIMULATION : ⇒ Simulation absolue : lorsque


ce qui est déclaré par les parties n'est pas vrai ⇒ Simulation relative : lorsque le véritable caractère
de l'opération juridique est dissimulé en donnant une fausse apparence.

45. 624. QUEL EST L'EFFET DE L'OPÉRATION JURIDIQUE EN CAS DE SIMULATION


ABSOLUE : Elle n'a aucun effet juridique.

46. 625. QUEL EST L'EFFET DE L'ENTREPRISE LÉGALE EN CAS DE SIMULATION


RELATIVE : Elle produira les effets de l'entreprise déguisée.

47. 626.QU'EST-CE QUE LA RÉVOCATION : Il s'agit de l'action dont dispose l'État membre de
l'Union européenne.
créancier de rendre inefficaces en droit toutes les opérations effectuées par le débiteur en fraude de
ses droits
48. 627 - CE QU'ON APPELLE LA RÉVOCATION DANS LA DOCTRINE : l'action paulinienne

49. 628 HISTOIRE DE LA RÉVOCATION : Un roi nommé Paul a décrété que l'activité légale
pouvait être révoquée. Comme il était alors impossible de révoquer l'activité légale conclue, l'impact
a été tel que l'on a décidé d'appeler la révocation une action paulienne.

50. 629.COMMENT LE DROIT DE TITRE EST ÉVITÉ : Lorsqu'il y a copropriété et que le droit
de préemption doit être évité au moyen d'une donation.

51. 630 - Conditions pour demander la révocation : a) L'opération juridique a été conclue en
fraude du créancier Art. 1290 1er. Paragraphe (b) La créance est antérieure à l'acte juridique
contesté, art. 1290 2e. Paragraphe (c) Le débiteur est insolvable (ne veut pas payer) Art. 1291 d)
Lorsque l'acte juridique est à titre onéreux, lorsqu'il y a mauvaise foi de la part de l'acquéreur de
l'acte juridique. Art. 1296 24

52. Non-concordance des conditions essentielles - Capacité juridique de l'auteur du testament -


Objet licite * Consentement non entaché de vice

53. 637.QUAND UN CONTRAT JURIDIQUE SERA ANNULÉ : ⇒ Pour incapacité relative


(troubles mentaux passagers) ⇒ Pour vices de consentement (consentement non vicié)

54. 638.DIFFÉRENCE ENTRE UNE NULLITÉ ABSOLUE ET UNE NULLITÉ RELATIVE : N.D.
Non né dans la vie légale N.R. Naissance dans la vie légale mais peut être annulée N.A. Elle peut
être déclarée par le juge d'office, elle peut être invoquée par la PGN, elle peut être invoquée par
ceux qui ont un intérêt N.R. Ne peut être annulé que par les parties N.A. Il est imprescriptible N.R.
Prescription (délai de 2 ans) (en cas de violence ou de peur, délai de 1 an) N.D. Ne peut être
revalidé N.R. Si elle peut être revalidée

55. DEFINITION DE L'OBLIGATION : C'est le lien juridique qui existe entre une personne
appelée créancier qui peut exiger d'une autre personne appelée débiteur l'exécution d'une
obligation qui consiste à donner, à faire et à ne pas faire.

56. 640.CLASSES D'OBLIGATIONS : - Selon la prestation, elles peuvent être : à donner, à faire
et à ne pas faire - Selon la forme, elles peuvent être : alternatives, facultatives, conjointes, divisibles
et indivisibles.

57. 641.QU'EST-CE QUE L'OBLIGATION DE DONNER : Elle consiste à donner une chose. Ex.
Un achat et une vente

58. 642 - QU'EST-CE QU'UNE OBLIGATION DE FAIRE : Elle consiste à exécuter quelque
chose.
Ex. Lorsqu'une personne s'engage à effectuer un travail et ne le fait pas.

59. 643. QU'EST-CE QUE L'OBLIGATION DE NE PAS FAIRE : Elle consiste en


s'engager à ne pas faire quelque chose. Ex. Lorsqu'une personne s'engage à ne pas divulguer un
secret commercial d'une entreprise... (Formule de poulet fermier)

60. 644.IL EST NÉCESSAIRE DE PRÉVOIR DANS UN CONTRAT QUE POUR LES
L'EXÉCUTION DE L'OBLIGATION EST GARANTIE PAR LA PROPRIÉTÉ DU DÉBITEUR : Art.
1329 l'obligation personnelle est garantie par les biens aliénables que le débiteur possède au
moment de la demande d'exécution, la doctrine parle de gage patrimonial général.

61. 645.DÉFINITION DE LA GARANTIE : Garantie

62. 646 - QU'EST-CE QUE LA THÉORIE DE L'IMPREVU : Art. 1330 détermine si


un contrat peut être révisé ou non. Dans la doctrine, il est connu sous le nom de Reus Sic Stantibus
= une chose qui est tenue pour stable.

63. 647. QU'EST-CE QU'UNE OBLIGATION ALTERNATIVE ?


est tenu d'exécuter plusieurs services mais n'en exécute qu'un seul (c'est convenu)

64. 648. QU'EST-CE QUE L'OBLIGATION FACULTATIVE : Elle se produit lorsque le débiteur
est obligé de fournir un service, mais a le droit de l'échanger contre un autre. (pas d'accord) Ex. le
créancier prête 100 euros au débiteur et celui-ci doit rembourser 100 euros, mais à la date limite
d'exécution de l'obligation, le débiteur se présente et dit qu'il n'a pas l'argent, de sorte que le
créancier l'autorise à payer dans un délai de 2 jours ouvrables.

65. 649. QUI S'APPLIQUE EN CAS DE DOUTE SUR LA NATURE DE L'OBLIGATION.


ALTERNATIVE OU FACULTATIVE : Les éléments suivants sont considérés comme facultatifs

66. 650. QU'EST-CE QU'UNE OBLIGATION CONJOINTE : Lorsqu'une obligation conjointe dans
une
pour une même obligation, il y a plusieurs débiteurs et plusieurs créanciers

67. 651. RÉPARTITION DES OBLIGATIONS CONJOINTES : - Responsabilité conjointe simple -


Responsabilité conjointe et solidaire

68. 652.QU'EST-CE QUE C'EST L□ Lorsque l'objet est contraire aux lois prohibitives
express □ Lorsque l'objet est contraire à l'ordre public □ Relatif : dépend des exigences manquantes

69. 634. QU'EST-CE QUE LA NULLITÉ ABSOLUE : Cela signifie que l'opération juridique est
est nulle et non avenue et ne peut donc pas voir le jour.

70. 635.QU'EST-CE QUE LA NULLITÉ RELATIVE : Cela signifie que l'opération juridique est
peut être annulé et naît donc de la vie juridique jusqu'à ce que son annulation soit demandée.

71. 636.QUAND UNE NÉGOCIATION JURIDIQUE EST NULLE : □ Absolue : elle dépend des
exigences qui font défaut □ Adjective : elle est réglementée par le Code de procédure civile et
commerciale, dans le cadre du recours en annulation.

72. 633.DIVISION DE LA NULLITÉ SELON NOTRE LÉGISLATION : □ Substantive : elle est


réglée par le Code civil □25.

73. DEFINITION DE LA NULLITE : L'inefficacité d'un acte juridique en raison de l'absence des
conditions nécessaires à sa validité.

74. 632.DIVISION DE LA NULLITÉ : UNE JOINTURE SIMPLE : Dans ce cas, la créance ou la


dette est considérée comme divisée en autant de parties qu'il y a de créanciers ou de débiteurs, et
chaque partie constitue une dette ou une créance distincte.
75. 653. QU'EST-CE QU'UNE COMMUNAUTÉ HUMAINE DE SOLIDARITÉ ?
L'obligation est solidaire à l'égard des créanciers lorsque l'un d'entre eux a le droit d'exiger la totalité
de la créance et que le paiement effectué à l'un d'entre eux libère le débiteur.

76. 654.QUEL DROIT A CELUI QUI PAIE LA DETTE À L'ENCONTRE DE CEUX QUI
N'A PAS PAYÉ SA PART DE DROIT : Vous avez un droit de recours.

77. 655.QU'EST-CE QU'UNE OBLIGATION DIVISIBLE : Lorsque l'objet de l'obligation est


susceptibles d'être partiellement remplies, par exemple Une location-vente

78. 656.QU'EST-CE QU'UNE OBLIGATION INDIVISIBLE : Lorsque l'objet doit être


doivent être pleinement respectées. Ex. Achat et vente au comptant.

79. 657.QUELLES SONT LES FORMES D'EXÉCUTION DES OBLIGATIONS : a) Formes


normales de paiement b) Formes spéciales d'exécution des obligations

80. 658.QUELLES SONT LES FORMES DE PAIEMENT : ಃಃಃಃಃ Paiement ಃಃಃ 659.DEFINITION DU
PAIEMENT : C'est le mode normal d'exécution d'une obligation par la réalisation de l'obligation par
le débiteur dans la forme et les conditions établies dans l'acte juridique avec l'intention de l'éteindre.

81. 660.QUELS SONT LES MODES DE PAIEMENT PARTICULIERS : - Paiement par


consignation - Paiement par transfert de marchandises

82. 661.QUELS MOYENS DE PAIEMENT PEUVENT ÊTRE ACCORDÉS : - Paiement par


chèque 25

83. Et les dégâts

84. 681 - QU'EST-CE QUE LE DOMMAGE : C'est la perte qu'une personne subit dans son
patrimoine.

85. 682 - QU'EST-CE QUE LA PERTE : Ce sont les profits ou les fruits licites auxquels on
renonce.
Les dégâts.

86. 683. QU'EST-CE QUE LA CLAUSE D'INDEMNITÉ : Il s'agit d'une somme de


une somme d'argent convenue à l'avance, en cas de défaillance de l'une des parties.

87. 684 - QU'APPELLE-T-ON LA CLAUSE D'INDEMNISATION EN DOCTRINE : On l'appelle


clause pénale.

88. DEFINITION DES ARRAS : Le terme "arras" désigne les choses, et en particulier l'argent,
qui sont données en signe ou en garantie de l'exécution d'une obligation.

89. 686.QUELS SONT LES MODES DE TRANSFERT DES OBLIGATIONS ? - Cession de


droits - Subrogation - Transfert de dette

90. 687.QU'EST-CE QU'UNE CESSION DE DROITS : Il s'agit d'une forme de transfert de droits.
l'obligation par laquelle le créancier transfère ses droits à une autre personne. Ex. Dans un contrat
mutuel, le créancier cède sa créance à un tiers (une autre personne).
91. 688.LA CESSION DES DROITS NÉCESSITE LE CONSENTEMENT DE L'ÉTAT MEMBRE.
DEBITEUR : Il n'est pas nécessaire d'avoir le consentement du débiteur.

92. 689.QU'EST-CE QUE LA SUBROGATION : art. 1453 Il s'agit d'un moyen de transmettre
les
obligation dans laquelle le créancier transfère l'action à un tiers qui paie. Ex. X a son véhicule qui
est assuré et X percute Y... et comme X est fautif, l'assureur paie à Y tout ce qui découle de
l'événement, de sorte que l'assureur devient le créancier.

93. 690.QU'EST-CE QUE L'ACTION : C'est le pouvoir qu'ont les personnes d'intenter une action
devant une cour ou un tribunal.
le tribunal pour demander une prestation. 26□ Dommages et intérêts □ Défaut actif : c'est lorsque le
créancier est en défaut,

94. 678 - QUELLE EST LA CONDITION DU RETARD DE PROCEDURE : L'interpellation du


créancier, ce qui signifie que le créancier doit être sollicité.

95. 679.QUELLES SONT LES DEUX MANIÈRES D'INTRODUIRE LA DEMANDE : a) Notariale :


la demande par un acte notarié b) Judiciaire : avec la signification de la créance

96. 680.QUELS SONT LES EFFETS DE LA DÉFAUT : □ Défaut passif : c'est lorsque le débiteur
est en défaut, □ Judiciaire : lorsque les créanciers ne sont pas d'accord, il faudra observer une
procédure d'insolvabilité volontaire et une procédure d'insolvabilité nécessaire.

97. 670. QUELLE EST LA NATURE DE L'INEXÉCUTION DES OBLIGATIONS ? Le


manquement à
l'exécution de l'obligation est réputée due à la faute du débiteur, jusqu'à preuve du contraire.

98. 671. EN QUOI LE NON-RESPECT DE L'OBLIGATION D'INFORMATION PEUT


OBLIGATIONS : - Faute - Défaut

99. DÉFINITION DE LA PLAINTE : Consiste en un acte ou une omission préjudiciable à autrui,


commis par ignorance, inexpérience ou négligence, mais sans intention de nuire.

100. 673. DÉFINITION DU DOLE : C'est l'intention de causer du tort à une personne.

101. 674. QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE L'ÉVÉNEMENT FORTUITAIRE ET LA FORCE


MAJEURE : L'événement fortuit : ce qui arrive de manière inattendue, c'est-à-dire l'imprévisible La
force majeure : ce qui consiste ou se réfère à l'irrésistible, c'est-à-dire à l'inévitable.

102. DEFINITION DU RETARD : C'est l'état dans lequel se trouve le débiteur qui n'exécute pas
son obligation, après avoir été appelé par le créancier, lorsqu'il n'accepte pas la prestation ou refuse
d'accomplir les actes préparatoires qui lui incombent pour que le débiteur puisse s'acquitter de son
obligation.

103. 676.QUI PEUT ÊTRE EN DÉFAUT : a) Le créancier b) Le débiteur

104. 677.CLASSES DE RETARD : □ Extrajudiciaire : lorsque les créanciers s'entendent et


établissent un accord dans le contrat □26. - Paiement en monnaie nationale - Paiement en nature
105. 662.QU'EST-CE QUE LA CLAUSE D'INDEXATION : Elle consiste dans le fait que si le
paiement doit être effectué en monnaie étrangère, le débiteur doit livrer la contre-valeur en monnaie
nationale au taux de change en vigueur sur le marché le jour du paiement.

106. 663.PARCE QUE LA CLAUSE D'INDEXATION N'EXISTE PLUS : Parce qu'il y a maintenant
la loi de libre négociation des changes, et c'est cette loi qui a abrogé l'Art. 1396 du code civil.
664.QU'EST-CE QUE LE PAIEMENT PAR CONSIGNATION : Il s'agit d'une modalité particulière
d'exécution des obligations de donner, en déposant la somme ou la chose devant un juge
compétent, lorsque, en raison de circonstances prévues par la loi, le paiement ne peut être effectué
au créancier. 665.QUELLES SONT LES CIRCONSTANCES PRÉVUES PAR LA LOI : Art. 1409 #1
à #8 du code civil. ⇒ lorsque le créancier refuse de recevoir le montant qui lui est dû, ⇒ lorsque le
créancier est incapable de recevoir le paiement et n'a pas de représentant légal ⇒ lorsque le
créancier ne se trouve pas au lieu où le paiement doit être effectué et n'a pas de représentant
connu à ce lieu ⇒ lorsque le droit du créancier est douteux et que d'autres personnes sont
présentes pour exiger le paiement ou lorsque le créancier est inconnu ⇒ lorsque la créance est
saisie ou retenue en possession du débiteur et que celui-ci souhaite être dispensé du dépôt ⇒
lorsque le titre de la créance a été perdu ⇒ lorsque le commissaire-priseur ou l'adjudicataire de
biens grevés souhaite les libérer des charges qui pèsent sur eux. 666. CONDITIONS POUR QUE
LE PAIEMENT PAR CONSIGNATION PRODUISE SES EFFETS : 1. A faire devant un juge
compétent 2ème. Qu'il soit effectué par une personne capable ou en mesure de vérifier le paiement
3. Qu'il couvre le montant total de la dette due et exigible avec ou sans intérêts et frais éventuels 4º.
La condition est remplie si la dette est conditionnelle ou le terme est échu s'il a été stipulé en faveur
du créancier. 667.QUAND LA CONSIGNATION EST DÉCLARÉE VALABLE : Lorsqu'elle donne lieu
à l'incident 668.QUE CONSIDÈRE LE PAIEMENT PAR CESSION DE BIENS : Il s'agit d'une
modalité particulière d'exécution de l'obligation que la loi confère aux débiteurs de bonne foi qui,
pour des raisons qui ne leur sont pas imputables, sont dans l'impossibilité de poursuivre leur activité
et qui consiste à remettre leurs biens à leurs créanciers afin qu'ils puissent les administrer.
669.COMME LE TRANSFERT D'ACTIFS :

107. 27. 691. QU'EST-CE QUE LE TRANSFERT DE DETTES : Il s'agit d'une forme de transfert
de l'obligation dans laquelle le débiteur transmet la dette à un tiers, mais le créancier doit consentir
à autoriser le tiers à se substituer au débiteur. 692. COMMENT S'ÉTEIGNENT LES
OBLIGATIONS : - L'extinction par compensation - L'extinction par novation - L'extinction par
rémission - L'extinction par confusion - L'extinction par prescription extinctive 693.EN QUOI
CONSISTE LA COMPENSATION : C'est une manière d'éteindre l'obligation qui se produit lorsque
deux personnes réunissent réciproquement les qualités de débiteur et de créancier en même
temps. 694.QU'EST-CE QUE LA NOVATION : Il y a novation lorsqu'on modifie une obligation en la
substituant à une autre. 695.QU'EST-CE QUE LA REMISE : Consiste spécifiquement en la remise
de la dette 696.QU'EST-CE QUE LES QUITTANCES : Consiste en la remise partielle de la dette.
Ex. 697.QU'EST-CE QU'UN ATTENTE : Il s'agit du délai extraordinaire accordé au débiteur pour
exécuter son obligation 698.QU'EST-CE QU'UNE CONFUSION : C'est la réunion dans une même
personne de la qualité de créancier et de débiteur, donc l'obligation est éteinte. 699.DEFINITION
DE LA PRESCRIPTION : C'est que par l'écoulement du temps un droit s'acquiert ou se perd
700.QUELS SONT LES TYPES DE PRESCRIPTION : - Prescription acquisitive - Prescription
extinctive 701.QU'EST-CE QUE LA PRESCRIPTION EXTINCTIVE : C'est que par l'écoulement du
temps un droit se perd 702.QU'EST-CE QUE LA PRESCRIPTION EXTINCTIVE AUTREMENT
NOMMÉE : Prescription négative ou libératoire 703.QUAND LA PRESCRIPTION EXTINCTIVE EST
COMPRISE : Prescription négative ou libératoire 703.QUAND LA PRESCRIPTION EXTINCANTE
EST COMPRISE : Elle est réputée abandonnée si le débiteur avoue une obligation sans alléguer la
prescription ou s'il paie tout ou partie de la dette 704.QUAND LA PRESCRIPTION N'EST PAS
ACQUISE : a) Contre les mineurs et les incapables, pendant le temps où ils n'ont pas de
représentant légal constitué, b) Entre parents et enfants, pendant l'autorité parentale, c) Entre les
mineurs et les incapables et leurs tuteurs, pendant la durée de la tutelle, d) Entre copropriétaires,
pendant la durée de l'indivision, e) Entre époux, pendant le mariage et entre homme et femme,
pendant l'union de fait. 705.LORSQUE LA PRESCRIPTION EST INTERROMPUE - par une action
dûment signifiée ou par une mesure conservatoire exécutée, à moins que le créancier ne se désiste
de l'action ou que le défendeur ne soit acquitté de l'action ou que l'acte judiciaire ne soit déclaré nul,
- si la personne en faveur de laquelle la prescription court reconnaît expressément et par écrit ou
tacitement par des faits incontestables, - par le paiement d'intérêts ou d'amortissements, - par le
paiement d'intérêts ou d'amortissements, ou par le paiement de tous autres intérêts ou
amortissements.Si la personne en faveur de laquelle court la prescription reconnaît expressément
par oral et par écrit ou tacitement par des faits incontestables le droit de la personne contre laquelle
elle court, - par le paiement d'intérêts ou d'amortissements par le débiteur, ainsi que par l'exécution
partielle de l'obligation par le débiteur. 706.QUEL EST L'EFFET DE L'INTERRUPTION DE LA
PRESCRIPTION : L'interruption a pour effet de rendre inutile tout le temps qui s'est écoulé avant
elle. 707.QUELLES SONT LES SOURCES DES OBLIGATIONS : Les sources sont le lieu où
naissent les obligations 708.DEFINITION DU CONTRAT : Il s'agit d'une déclaration bilatérale de
volonté par laquelle des droits et des obligations sont créés, modifiés et éteints 709.QUELS SONT
LES PRINCIPES QUI REGISSENT LE CONTRAT : - Consensualisme - Autonomie de la volonté -
Formulisme 710.QU'EST-CE QUE LE PRINCIPE DU CONSENSUALISME : Il se réfère au fait que
pour qu'un contrat soit parfait, le consentement seul suffit 711.QU'EST-CE QUE LE PRINCIPE DE
L'AUTONOMIE DE LA VOLONTE : Il se réfère au fait que les parties peuvent convenir de tout ce
qu'elles veulent pourvu que l'objet soit licite 712.QU'EST-CE QUE LE PRINCIPE DU FORMULISME
: Il s'agit de la forme dans laquelle le contrat doit être exprimé (il y a liberté de contracter) o
Verbalement o Par écrit 713.EN QUOI LE NOTAIRE INTERVIENT-IL DANS UN ACTE PRIVE : Il
n'intervient pas 714.EN QUOI CONSISTE UN CONTRAT D'ADHÉRENCE : Il s'agit d'un contrat
dans lequel une seule des parties établit les conditions et l'autre partie n'a que le pouvoir d'adhérer
ou non au contrat. 715. QU'EST-CE QU'UN CONTRAT USURAIRE : Celui qui, profitant de la
situation qu'il occupe ou du besoin, de l'inexpérience ou de l'ignorance d'autrui, l'amène à consentir
des avantages usuraires ou à contracter des obligations notoirement préjudiciables à ses intérêts.
716.QUEL AUTRE NOM REÇOIT LE CONTRAT USURAIRE : Contrat de loyauté 717. QUE SE
PASSE-T-IL S'IL EST PROUVÉ QUE LE CONTRAT EST USURAIRE : La personne est obligée de
restituer ce qu'elle a reçu, avec les dommages et préjudices, une fois que la nullité du contrat a été
judiciairement déclarée. (718.QU'EST-CE QUE L'ASSAINISSEMENT : C'est le droit de la personne
qui a acquis un bien de bonne foi, lorsqu'elle en est dépossédée de manière judiciaire ou lorsque le
bien présente des vices cachés, de demander le paiement de dommages-intérêts ou d'en
demander la réparation. 719.QUELS SONT LES 2 FORMES D'ASSAINISSEMENT : o Par éviction :
lorsqu'une personne est dépossédée judiciairement d'un bien o Par vices cachés : il s'agit des
défauts de l'objet du contrat qui ne sont pas visibles à l'œil nu. 720.FR
QU'EST-CE QUE L'ASSAINISSEMENT PAR EVICTION : Il se produit lorsqu'une personne est
dépossédée de ses biens de manière judiciaire (par un jugement), par exemple lorsqu'une
personne est privée de ses biens par une décision de justice. Le vendeur achète une maison en
prétendant qu'elle n'a pas de privilège, alors qu'en réalité elle est grevée d'une hypothèque. Le
vendeur doit restituer le prix du bien et payer des dommages et intérêts. 721.COMMENT LA
RESPONSABILITÉ SE DÉVELOPPE EN CAS DE SANCTION PAR ÉVICTION : Responsabilité
civile : paiement des dommages-intérêts Responsabilité pénale : crime de parjure 722.QU'EST-CE
QUE LA SANCTION PAR VICTIMES CONCEPTÉES : 27

108. 28 Il s'agit de défauts de l'objet du contrat qui ne sont pas visibles à l'œil nu. (De sorte que s'il
avait su, il n'aurait pas acheté le bien à ce prix) 723. QUE RECHERCHER POUR LES VALEURS
CACHÉES : Il y a deux options : a) L'action rédhibitoire : résilier le contrat b) L'action estimatoire :
fixer le prix du bien et restituer la différence. 724.PAR QUEL TRIBUNAL SE FAIT L'ACTION
REDHIBITOIRE : Par un procès sommaire 725.PAR QUEL TRIBUNAL SE FAIT L'ACTION
STIMATOIRE : Par un procès ordinaire 726.QUEL EST LE DÉLAI D'EXÉCUTION DES ACTIONS
PRÉCÉDENTES : Elles doivent être intentées dans un délai de 6 mois à compter de la livraison de
la chose. 727.QUELLES SONT LES FORMES DES CONTRATS : 1er par acte public 2ème par
acte sous seing privé ou par acte dressé devant le maire 3ème par correspondance 4ème
verbalement 728.QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN CONTRAT FORMEL ET UN
CONTRAT SOLENNEL : Les contrats formels doivent être rédigés dans un acte public parce qu'ils
sont soumis à l'enregistrement et les contrats solennels sont ceux qui doivent être rédigés dans un
acte public, ce qui est une condition essentielle de leur validité. 729.QUAND EST-IL OBLIGATOIRE
D'ECRIRE UN CONTRAT : En matière civile lorsque la valeur du contrat dépasse 300,00 euros
730.QUELS SONT LES CONTRATS SOLENNELS (CIVILS) : - Le viager - Le mandat - La société -
La donation entre vifs (mais sur un bien immobilier) 731.DEFINITION DE LA RESCISSION : Elle
consiste à laisser sans effet juridique un contrat 732.DIFFÉRENCE ENTRE RESCISSION ET
RÉVOCATION : La rescission consiste à laisser le contrat sans effet juridique, elle peut être d'un
commun accord ou être demandée par une seule des parties La révocation est le droit qu'a le
créancier de laisser sans effet les actes juridiques qui ont été passés par le débiteur au détriment
de ses droits. 733.QUELLES SONT LES MODALITÉS DE RÉSILIATION : a) Volontaire : elle est
effectuée devant un notaire volontairement par les deux parties b) Judiciaire : lorsqu'une seule des
parties demande la résiliation du contrat. 734.QUEL EST L'EFFET DE LA RÉSILIATION D'UN
CONTRAT : Les choses retournent à l'état dans lequel elles se trouvaient avant la conclusion de
l'acte juridique, par conséquent les parties doivent se rendre mutuellement ce qu'elles ont
respectivement reçu. 735.QUEL EST LE DÉLAI DE RÉSILIATION : Un an à compter de la date de
conclusion du contrat 736.QUELLE EST LA DIVISION DES CONTRATS APPELÉE EN DOCTRINE
: On l'appelle les caractéristiques des contrats 737.QUELS SONT LES CARACTERISTIQUES DES
CONTRATS : - Unilatéral - Bilatéral - Consensuel - Réel - Principal - Accessoire - Onéreux - Gratuit
- Commutatif - Aléatoire - Conditionnel - Absolu - De tract successif * de tract unique - Typique *
Atypique - Plurilatéral 738.QUAND LE CONTRAT EST-IL UNILATERAL : Lorsqu'une seule des
parties est obligée Ex. un contrat de donation entre personnes vivantes, pur et simple 739.QUAND
LE CONTRAT EST-IL BILATÉRAL : Lorsque les deux parties sont réciproquement obligées l'une
envers l'autre Ex. un contrat de vente 740.QUAND LE CONTRAT EST CONSENSUEL : Lorsque le
consentement des parties suffit à sa conclusion. 741.QUAND LE CONTRAT EST RÉEL : Lorsque la
livraison de la chose est nécessaire à sa perfection. 742.QUAND LE CONTRAT EST PRINCIPAL :
Lorsqu'il subsiste par lui-même 743.QUAND LE CONTRAT EST ACCESSOIRE : Lorsqu'il a pour
objet l'exécution d'une autre obligation Ex. 744.QUAND LE CONTRAT EST ONEREUX : C'est celui
dans lequel sont stipulées des prestations et des charges réciproques 745.QUAND LE CONTRAT
EST GRATUIT : C'est celui dans lequel l'avantage ne profite qu'à l'une des parties. 746.QUAND LE
CONTRAT EST CONMUTATIF : Il s'agit d'un contrat dont le montant du bénéfice est connu dès la
conclusion du contrat. 747. lorsque le contrat est aléatoire : un contrat dans lequel le montant du
profit ou de la perte n'est pas connu. Ex. Contrat de tombola ou contrat d'assurance. 748.QUAND
LES CONTRATS SONT CONDITIONNELS : Contrats dont l'exécution ou la subsistance dépendent
d'un événement incertain ou inconnu des parties (c'est-à-dire qu'ils dépendent d'une condition)
749.QUAND LES CONTRATS SONT ABSOLUS : Contrats dont l'exécution est indépendante de
toute condition. 750 Obligations découlant d'actes licites sans convention : - Gérant d'affaires -
Enrichissement sans cause 751.QU'EST-CE QUE LE GÉRANT D'ENTREPRISE : C'est un acte
licite sans convention par lequel une personne appelée "Gérant" prend en charge l'entreprise
d'autrui, sans en avoir reçu l'ordre, ce qui engendre l'obligation de tout faire au profit du
"propriétaire" et de répondre des éventuels dommages ou préjudices causés à ce dernier. Art. 1605
752.CE QU'EST L'ENRICHISSEMENT SANS CAUSE : 28

109. Professionnels : il est responsable des dommages causés par une ignorance ou une
négligence inexcusable, ou par la divulgation de secrets dont il a connaissance en raison de sa
profession. 760.DANS QUEL DÉLAI L'ACTION EN RÉPARATION DES DOMMAGES ET
PRÉJUDICES SE PRESCRIT : Elle se prescrit par un an à compter du jour où le dommage a été
causé, ou du jour où la partie lésée a eu connaissance du dommage ou du préjudice et de
l'indemnisation s'il y a lieu. 761.QUI RÉGIT LA CONSTITUTION POLITIQUE DE LA RÉPUBLIQUE,
EN CE QUI CONCERNE LA PRESCRIPTION DE LA RESPONSABILITÉ DES FONCTIONNAIRES
ET DES EMPLOYÉS : Il réglemente que la responsabilité civile des fonctionnaires et des employés
peut être déduite tant que le délai de prescription n'a pas été consommé, la durée de ce délai étant
de 20 ans. 762.QU'EST-CE QU'UN ACTE JURIDIQUE : Ce sont les faits qui se produisent en
raison de la nature (la nature intervient), par exemple l'avulsion 763.QU'EST-CE QU'UN ACTE
JURIDIQUE : Ce sont les faits qui se produisent en raison de l'intervention de la personne, (la
volonté de l'être humain intervient), par exemple l'avulsion, l'avulsion, l'avulsion, l'avulsion,
l'avortement, etc. Un art. 123 c.p. 764. COMMENT LES RÈGLES SONT STRUCTURÉES : - Par
des hypothèses de fait : c'est l'hypothèse établie par la règle - La conséquence juridique : c'est
l'effet www.estuderecho.com Le droit évolue avec vous... Envoyez-nous vos fichiers et vos lois pour
que nous les publiions sur cette page et que nous puissions les partager avec plus d'utilisateurs
gratuitement. Merci d'avoir téléchargé cette archive sur www.estuderecho.com... Envoyez-nous vos
documents à estuderecho@gmail.com Ah ! et n'oubliez pas d'inclure les coordonnées de l'auteur. A
bientôt ! En avant le Guatemala ! Document envoyé par : Karolayn Rodriguez. Élève du CCJJSS.
29□ L'État et les municipalités : sont responsables des dommages causés par leurs fonctionnaires
ou employés dans l'exercice de leurs fonctions. Cette responsabilité est subsidiaire. □ Personnes
morales : elles sont responsables des dommages causés par leurs représentants légaux dans
l'exercice de leurs fonctions □ Responsabilité des employeurs : les employeurs qui ont une ou
plusieurs personnes sous leur supervision sont responsables des dommages causés par leurs
employés et autres travailleurs dans l'exercice de leurs fonctions. Mineurs ou personnes
incapables : les mineurs de plus de 15 ans et les personnes incapables agissant dans un état de
lucidité sont responsables des dommages ou des blessures qu'ils peuvent causer. En ce qui
concerne les moyens de transport : les entreprises ou les propriétaires de tout moyen de transport
sont solidairement responsables, à condition que le responsable du véhicule le leur ait confié. □ Les
accidents du travail : dans ce cas, l'employeur est tenu de payer □ Ce qui découle d'un crime : qui
peut être soit intentionnel, soit coupable. Toute personne pénalement responsable d'une infraction
peut également être civilement responsable □ Ce qui entraîne un dommage ou un préjudice : qui
peut être de deux formes, intentionnel ou par négligence. □29. Il s'agit d'un acte licite sans accord
par lequel une personne enrichit son patrimoine au détriment d'une autre sur la base d'un contrat ou
d'un acte licite, ce qui l'oblige à dédommager la partie lésée à hauteur de cet enrichissement injuste.
Art. OBLIGATIONS DÉCOULANT DES DÉCLARATIONS DE VOLONTE : a) Offre au public b)
Promesse de récompense c) Titres au porteur 754.EN QUOI CONSISTE L'OFFRE AU PUBLIC : La
personne qui offre des objets au public à un certain prix est obligée de soutenir son offre.
(755.QUELLES CARACTERISTIQUES L'OFFRE AU PUBLIC DOIT-ELLE CONTENIR POUR
CREER UNE OBLIGATION : ಃಃಃಃಃಃಃಃ doit être claire ಃಃಃಃಃಃಃಃಃಃಃಃಃಃ doit être claire

être spécifique ಃಃಃಃಃಃಃ doit être précis ಃಃಃಃ 756.COMMENT L'OFFRE EST EXTINCÉE OU PEUT ÊTRE
LIBÉRÉE : - Par le contrat de vente lorsque l'acheteur lègue l'achat du bien offert - Par l'arrivée du
terme - Par la révocation de l'offre : elle doit être révoquée de la même manière que l'offre a été
faite, c'est-à-dire par le biais d'un moyen de communication sociale. 757.QU'EST-CE QU'UNE
PROMESSE DE REMBOURSEMENT Une personne qui fait une offre dans la presse ou par
d'autres moyens de diffusion pour payer un service ou un acte, s'engage à exécuter ce qui a été
promis. Toute personne qui exécute la prestation, même si elle ne connaissait pas l'existence de la
promesse, peut exiger du créancier la récompense offerte. Art. 1630 758. QU'EST-CE QUE LES
ACTES AU PORTEUR : Les actes au porteur sont ceux qui ne sont pas émis en faveur d'une
personne spécifique, qu'ils contiennent ou non la clause du porteur. Ces titres sont transmis par
simple tradition.
L'obligation générée est de la payer en faveur de la personne qui la porte. Art. 1638
759.OBLIGATIONS DÉCOULANT D'ACTES ET DE FAITS ILLICITES :

9. Théorie générale de la transaction juridique

19. 594 - CONDITIONS ESSENTIELLES POUR LA VALIDITÉ D'UNE OPÉRATION


JURIDIQUE : - Capacité juridique du sujet déclarant sa volonté - Consentement non entaché d'un
vice - Objet licite

20. EXIGENCES NON ESSENTIELLES : ಃಃಃಃಃಃ Condition ಃಃಃಃಃಃಃಃಃಃಃಃಃಃ

a. Définition et éléments

b. vices de consentement

c. simulation

d. inefficacité
10. Contrats de génie civil

a. général

b. les contrats de transfert de propriété

c. contrats de garantie

366. DÉFINITION DU CONTRAT : Il s'agit d'une déclaration bilatérale de volonté, par laquelle des
droits et des obligations sont créés, modifiés ou éteints.

1. 367.DANS QUELLES CONDITIONS LES CONTRATS PEUVENT ÊTRE CONCLUS : Dans


quelles conditions
verbale ou écrite

2. 368.QUELLE FORME PEUT PRENDRE LE CONTRAT ÉCRIT : Art. 1574 de la


Code civil o Par acte public o Acte privé o Par acte dressé devant le maire du lieu o Par
correspondance

3. 396.QUELS SONT LES MOYENS DE CONCLURE UN CONTRAT : a) Verbalement b) Par


écrit

4. 397.COMMENT LES CONTRATS SONT CONCLUS PAR ECRIT : par contrat lase en demi-
fleuve, puis divisée en deux dans le sens de la longueur. Si une île unique ainsi formée est plus
éloignée d'une rive que de l'autre, elle appartiendra uniquement et entièrement à celle qui se trouve
sur la rive la plus proche.

AGENDA DU DROIT COMMERCIAL


1. Droit des sociétés :
a. Définition et éléments.
b. Organes de l'entreprise.

c. Capital.
d. Les actions.
e. Les assemblées.
f. Les types d'entreprises.
g. Sociétés irrégulières et de fait.
h. Fusion, transformation, dissolution et liquidation.
2. Sujets auxiliaires des commerçants :
a. Le facteur.
b. Personnes à charge.
c. Agents et distributeurs.
d. Coureurs.
e. Les commissaires.
3. Registre général du commerce de la République :
a. Principes d'enregistrement.
b. Obligation d'enregistrement.
c. Conditions d'inscription.
d. Actions administratives et judiciaires.
4. La société commerciale et ses éléments :
a. Définition.
b. Éléments.
c. Transmission.
d. Interdiction de concurrence.
5. Titres de créance :
a. Définition et caractéristiques.
b. Éléments et exigences.
c. Classification.
d. L'aval.
e. L'aval.
f. Titres en particulier.
g. Action d'échange et action causale.
h. Annulation, rétablissement et réclamation.
6. Contrats commerciaux :
a. Caractéristiques.
b. Principes des contrats commerciaux et des obligations.
c. Recrutement typique.
d. Recrutement atypique.
7. Propriété intellectuelle
a. Protection nationale et internationale
b. brevets.
c. marques.
d. droits d'auteur et droits voisins
8. Banques et groupes financiers
9. Registre du marché des valeurs mobilières et des produits de base
a. Définition de l'offre publique de titres
b. fonctions.
c. caractéristiques
d. objet de l'enregistrement
e. contrats de bourse
f. les types de marchés
g. tarif
DROIT PROCÉDURAL CIVIL ET COMMERCIAL
1. Processus de prévention ou de précaution
a. Définition
b. Caractéristiques
c. Injonctions provisoires
d. Rapprochement
e. Tests préalables
2. Processus de connaissance
a. Définition et caractéristiques
b. Procès ordinaire
c. Procès oral
d. Jugement sommaire
3. Étude des exceptions dans le code de procédure civile et commerciale.
a. Définition
b. Exceptions et exigences procédurales
c. Classement
d. Objections préliminaires réglementées
4. Le test
a. Définition et objectif
b. Charge de la preuve
c. Procédure de preuve
d. Systèmes d'évaluation des preuves
e. Les moyens de preuve régis par le code de procédure civile et commerciale
5. Processus de mise en œuvre
a. Définition et caractéristiques
b. Procédures d'exécution
c. Exécution par voie d'injonction
d. Exécutions spéciales
e. Exécution collective
6. Moyens de contestation
a. Ressources.
b. Remedios.
7. La fin de la relation procédurale
a. Modes de terminaison exceptionnels ou anormaux
b. Mode normal de terminaison
c. Phrase
d. Coûts
e. Adjudicated

Vous aimerez peut-être aussi