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CONTEXTE
Dès lors on comprendrait que le mil et mais historiquement parlant étaient destinés à la
consommation parfois à la transformation pour des produits de substitutions.
Importance du thème
En effet nous avons choisi ce thème parce qu’au Sénégal le mil et le maïs font partie des
aliments de base des populations urbaines comme rurales. Ces céréales locales sont également
très utilisées pour l’alimentation du bétail et de la volaille.
Objectifs
Ainsi notre objectif général est de mettre en place une unité de transformation de mil et maïs
en céréale.
-Exporter pour promouvoir les produits aliments partout en Afrique et dans le monde.
En ce qui concerne le local de notre entreprise, nous avons décidé de l'implanter à Keur
Massar. En effet, ce choix est motivé par le fait que cette ville est l’une des zones les plus
dynamiques et denses en termes d’habitants. Située à l'extrême Est du département de Pikine,
la ville fut érigée en département le 28 mai 2021 par le président Macky Sall devenant ainsi le
46ème département du Sénégal, est l’une des seize communes de la ville de Pikine. La
commune a été créée en 1996 et érigée en département en 2021. En plus, au niveau
démographique, keur massar enregistre une population de 593000 habitants et une densité de
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23720 habitants par km2, le milieu a pris de la valeur ces dernières années. En outre, elle
abrite désormais des infrastructures telles que : deux lycées, des écoles élémentaires,
secondaires privées et publiques…. A keur massar l'accès est de nos jours plus facile par la
création de l’autoroute à péage Dakar-Diamniadio. Avec cette autoroute, keur massar se
trouve désormais à 20 minutes de Dakar et 30 minutes à l'aéroport international de Blaise
Diagne. Notre choix de s’implanter dans cette zone est également justifié par le fait que les
coûts des loyers à Keur Massar sont moins élevés qu’à Dakar.
Le statut juridique d’une entreprise désigne le cadre légal imposé à une activité économique,
il existe plusieurs formes juridiques, mais le plus important c’est de tenir en compte la nature
de notre activité. C’est ainsi que notre entreprise prend la forme d’un statut juridique SARL
(Société à Responsabilité Limite). Autrement dit, en dehors de partager les engagements, les
associés fixent librement le montant du capital social et la part qu’ils veulent apporter pour la
construction de la société. Ils ne sont responsables qu’à hauteur du montant de leurs apports.
Le statut de la SARL, permet aussi de faire la distinction entre le patrimoine des associés et
celui de l’entreprise. Ce statut présente de nombreux avantages :
• La baisse des charges sociales, c’est-à-dire, la réduction des charges en versant des
dividendes plutôt qu’une rémunération,
• La SARL offre un cadre juridique sécurisant qui permet aux associés de pouvoir agir en
priorité pour éviter qu’un tiers indésirable ne prenne une participation au capital.
• En partant de ce statut juridique, nous allons naviguer sur la structure organisationnelle pour
vous montrer comment nous comptons mener le déroulement de notre entreprise SEN
CEREALE qui se base sur la transformation du mil et du maïs en céréale
Pour cela nous allons choisir quatre produits céréaliers dérivés de ces produits alimentaires
comme le THIAKRI ,SANKAL, THIERE, ARRAW
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Plan
Ce projet de création d’une unité de transformation du mil et maïs s’inscrit dans la phase de la
présentation des promoteurs en premiers lieu et en second lieu la présentation de l’offre des
produits ou services
Je me nomme ndecka sene. Nationalité sénégalaise, titulaire d’un diplôme en série l au lycée
blaise Diagne. Je suis étudiante en deuxième année en marketing et communication a l’institut
ISBD. Disciplinée, passionnée, travailleuses avec une bonne initiative en équipe.
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Je réponds au nom de Mamadou Diarra.J’habite à HLM.Je suis étudiant en deuxième année à
l’international School of business and développement en droit et fiscalité.Par ailleurs etudiant
a la facultee de lettres et sciences humaine de l’universite Cheikh Anta Diop de Dakar.
Mame Diarra Faye , Je suis sénégalaise .J’habite à Dakar plus précisément à khar yalla en
face de la banque athlantique .J’ai eu mon bac en 2021 et maintenant je suis étudiante en L2
en commerce international à ISBD et étudiante à l’Universite Cheikh Hamidou kane ex UVS
en Administration Économique et sociale et je suis en mon deuxième année aussi .je m’y
connais un peu en informatique j’ai eu à faire une formation en informatique à CRE à
pikine pendant 6mois
MOUSSA NDIAYE .De nationalité sénégalaise, il est natif de Saint Louis Titulaire d’un
baccalauréat en série L2 au lycée Charles De Gaule de Saint Louis . Est un étudiant en 2 eme
année à l’institut ISBD spécialisé en droit des affaires et Fiscalité . Déterminé, ambitieux avec
une bonne aptitude de travail en équipe.
- Le Tiakry qui résulte de la cuisson à la vapeur d’une pâte de Soungouf de mil ou de maïs,
hydratée correctement et roulée grossièrement par rapport au Tiéré.
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- L’Arraw qui est de petites boulettes de mil, obtenues à partir de Soungouf de mil ou de maïs
mélangé à de l’eau et roulée. C’est avec l’Arraw qu’on prépare le fondé (bouillie de mil ou
maïs) et le Lakh (bouillie de mil ou maïs accompagnée de lait caillé).
- Le Sankal, est une mouture grossière des grains de mil brut, préalablement décortiqués à
secs ou humides, suivie d'un tamisage pour séparer la farine. Le Sankal est un produit
intermédiaire entre les grains de mil bruts et le Soungouf.
Le Tiéré qui est le résultat de la cuisson à la vapeur d’une pâte de Soungouf de mil ou de
maïs, hydratée correctement, roulée et fermentée facultativement.
I-Les partenaires
La cible de vente des céréales peut varier en fonction du type de céréales que vous vendez et
de la stratégie de votre entreprise. Cependant, généralement, la cible de vente des céréales
peut inclure :
Les consommateurs finaux : Cela peut inclure des individus de tous âges, des enfants aux
adultes, qui consomment des céréales au petit-déjeuner ou comme collation.
Familles avec enfants : Les céréales sont souvent populaires auprès des familles en raison de
leur praticité et de leur variété.
Personnes soucieuses de leur santé : Les céréales à grains entiers et faibles en sucre attirent les
personnes qui cherchent des options plus saines.
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Étudiants et personnes actives : Les céréales peuvent être un choix rapide et facile pour les
personnes en déplacement.
Hôtels et restaurants : Les céréales peuvent être achetées en gros par des établissements de
restauration pour le petit-déjeuner.
Supermarchés et épiceries : Ces entreprises peuvent également être des clients potentiels si
vous vendez en gros.
Il est essentiel de comprendre votre marché cible spécifique et d'adapter votre marketing en
conséquence pour maximiser vos ventes de céréales.
2-Les fournisseurs
Au Sénégal, les céréales locales telles que le mil et le maïs font partie des aliments de base
des populations urbaines comme rurales. Elles sont également très utilisées pour la
consommation du bétail et de la volaille. C’est pourquoi l’augmentation de la production
locale de ces céréales est devenue une priorité pour le pays. Le mil est cultivé principalement
au centre du pays plus connu sous l’appellation du Bassin arachidier (Kaolack, Fatick, Louga,
Thiès, Diourbel, Casamance) et dans la région de Tambacounda. Le mil tolère la sécheresse,
un faible niveau de fertilité des sols et des températures élevées, il nécessite un minimum de
200 à 250 mm d’eau. En revanche, la culture du maïs, est plus exigeante. Très gourmand en
eau, le maïs se cultive principalement dans le bassin arachidier et dans la région de
Tambacounda. Le programme « maïs » initié en 2003 par le gouvernement avait diffusé la
culture dans toutes les régions du Sénégal mais l’effet recherché n’a pas été atteint. En effet,
depuis 2003, la production s’est presque maintenue à ce niveau. En revanche, avec 580 705
tonnes, la production de maïs a augmenté en 2019-2020 de 45 002 tonnes par rapport à son
niveau de la campagne agricole 2018-2019 et aux années antérieures. Cette hausse de la
production de maïs peut être justifiée par l’usage de semences certifiées par les producteurs.
En effet, le programme des corridors céréaliers mis en place en 2014 par le gouvernement
sénégalais dans le cadre du Programme Sénégal Émergent (PSE) attribue des lots de semences
certifiées aux producteurs dans les principales zones de production de maïs. Malgré tous ces
efforts, les importations de maïs sont encore élevées notamment pour répondre aux besoins de
l’alimentation animale. Au Sénégal, lors de la campagne agricole 2019-2020, le mil a
enregistré une production de 807 044 tonnes contre 897 348 tonnes en 2018-2019, soit une
baisse de 90 304 tonnes (DAPSA, 2019). Cette régression de la production du mil est surtout
liée à une diminution des superficies emblavées de 28 542 hectares entre les campagnes
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agricoles 2018-2019 et 2019-2020. Cette diminution de la production du mil est également
justifiée par la crise sanitaire de 2019 liée à à la Covid qui a entraîné une fermeture des
circuits de distribution.
3-Analyse du secteur
L’Ipar en 2017 a réalisé une étude sur la consommation du mil et du maïs en milieu urbain
versus milieu rural. Des résultats intéressants ont été obtenus sur la structure de la
consommation de ces céréales locales. Analyse de la consommation du mil en milieu urbain
versus milieu rural. La consommation moyenne annuelle par tête est estimée à 30,2 kg/tête/an
au niveau national, 53,3 kg/tête/an dans les zones rurales et 23,1 kg dans les zones urbaines
(Niang et al. 2017). En zones rurales, les consommations les plus élevées sont constatées dans
le Bassin arachidier. Les zones rurales de Kaolack/Kaffrine, de Mbour et de Touba/Thiès les
consommations de mil sont respectivement de 102 kg, 94,7 kg et 91,6 kg par personne et par
an (Niang et al, 2017). La région de Dakar a une consommation moyenne faible de 15,3
kg/tête/an. Guédiawaye avec 17,8 kg/tête/an, enregistre les préférences relativement similaires
pour cette céréale. Dans les centres urbains, du fait du processus relativement long de
préparation du mil, le riz est préféré. Cependant, avec une consommation en mil de 53,3
kg/tête/an, équivalente à celle des zones rurales, la ville de Touba se distingue des autres
villes (Niang et al. 2017). Cela pourrait s’expliquer par le caractère hybride de Touba dont la
population conserve ses habitudes alimentaires rurales. En bref, le mil est une céréale plus
rurale qu’urbaine. Avec une consommation moyenne de 53,3 kg/tête/an, les résidents des
zones rurales consomment plus du double que ceux des zones urbaines dont la moyenne est de
23,1 kg/tête/an. Pour une meilleure illustration de cet écart, les classes de consommation
établies montrent que 40% des ménages en zones rurales consomment 50 kg/tête/an ou plus
contre 14% des ménages en milieux urbains. En termes de variations de la consommation de
mil durant l’hivernage, 53% des ménages enregistrent une augmentation moyenne de 58% de
leurs quantités consommées. Et les zones rurales les plus affectées par cette augmentation
sont situées dans la Moyenne Vallée (70%), à Touba/Thiès (60%) et à Kaolack/Kaffrine
(54%) (Niang et al. 2017).Analyse de la consommation du maïs en milieu urbain versus
milieu rural. La consommation moyenne de maïs est estimée à 9,2 kg/tête/an au niveau
national. Elle est de 19,5 kg/tête/an dans les zones rurales et de 6,0 kg/tête/an en milieu
urbain. Les zones rurales de Sud-Est enregistrent les valeurs moyennes les plus élevées avec
37,4 kg/tête/an et 37,1 kg/tête/an pour Kédougou et Tambacounda respectivement. Ces
valeurs sont proches de la moyenne notée au niveau des zones rurales de Mbour avec 35,1
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kg/tête/an. Les autres zones rurales qui enregistrent des moyennes relativement importantes
sont celles de Kaolack/Kaffrine (31,8 kg/tête/an), de Matam (28,6 kg/tête/an) et de Kolda à
leur la plus élevée de la région tandis que la plus faible est notée. Analyse du marché des
céréales locales (mil et maïs) au Sénégal. A Pikine avec 13,9 kg/tête/an (Niang et al. 2017).
Ces écarts de consommation relativement faibles entre les départements de Dakar reflètent un
niveau d’accès et des (24,7 kg/tête/an) (Niang et al. 2017).Au niveau des villes, Kédougou et
Tambacounda ont les moyennes de consommation les plus élevées avec 16,2 kg/tête/an et
14,9 kg/tête/an respectivement. Elles sont suivies par les villes de Kaffrine et de Touba qui
enregistrent 13,4 kg/tête/an et 12,4 kg/tête/an respectivement. La ville de Saint-Louis à la
consommation moyenne la plus faible avec 0,9 kg/tête/an. Une analyse par zones agro-
géographiques permet de faire des comparaisons intra et inter zones. Analyse du marché des
céréales locales (mil et maïs) au Sénégal. La région de Dakar avec une consommation
moyenne de 2,1 kg/tête/an a des moyennes relativement équilibrées entre ses départements à
l’exception de Rufisque qui enregistre la valeur moyenne la plus élevée de la région avec 4,7
kg/tête/an. Ces écarts de consommation relativement faibles entre les départements de Dakar,
Pikine et Guédiawaye pourraient refléter un niveau de préférence relativement similaire pour
cette céréale. Au niveau des zones du Centre Nord et du Sud Bassin arachidier, les milieux
ruraux ont des moyennes de consommation nettement plus élevées que celles enregistrées au
niveau de leurs centres urbains à l’exception des zones rurales de Touba/Thiès. Ceci
s’explique par le fait que ces zones rurales du Bassin arachidier de Touba/Thiès sont situées
sur des isohyètes qui ne favorisent par la production du maïs, contrairement à celles de
Kaolack/Kaffrine. Au niveau des centres urbains du Bassin arachidier Kaffrine (13,4
kg/tête/an) et Touba (12,4kg/tête/an) enregistrent les moyennes de consommation les plus
élevées. Les consommations montrent que le maïs reste une céréale importante dans les zones
rurales malgré la forte introduction du riz dans les habitudes alimentaires. Par contre, dans les
centres urbains, du fait du processus relativement long de préparation du maïs, les préférences
portent plus souvent sur le riz. A l’exception des zones rurales et urbaines de Touba/Thiès, les
autres zones du Bassin arachidier ont des moyennes proches ou supérieures aux moyennes de
l’ensemble des milieux urbains et ruraux respectivement. Au niveau de la Vallée du fleuve, la
consommation moyenne en milieu urbain notamment à Saint-Louis (0,7 kg/tête/an) est
similaire à celui du Delta (0,7 kg/tête/an). Par contre, dans la Moyenne Vallée, le niveau de
consommation moyenne entre l’urbain notamment Matam (7,7 kg/tête/an) est presque 4 fois
moins élevé que celui du rural (28,6 kg/tête/an). Ici également cette dichotomie entre ces deux
sous zones s’expliquent par le fait que dans la Moyenne Vallée, en plus des cultures de
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décrues, existent toujours des terres (zones du diéri) sur lesquelles les cultures sous pluie
notamment le
maïs et le mil sont pratiquées à une échelle relativement importante alors que dans le Delta,
ce sont principalement les cultures irriguées qui prédominent, surtout celle du riz.
En résumé, le maïs est une céréale plus consommée dans les zones rurales Sud Bassin
arachidier et du Sénégal Oriental. Avec une consommation moyenne de 19,5 kg/tête/an, les
ruraux consomment plus du triple que les résidents des zones urbaines dont la moyenne est
6,0 kg/tête/an. Cependant une répartition des niveaux de consommation en classes montre que
la majorité des ménages en zones rurales (54%) et en milieu urbain (76%) consomme moins
de 5.Analyse du marché des céréales locales (mil et maïs) au Sénégal kg/tête/an de maïs. Ces
moyennes relativement faibles illustrent le caractère circonscrit de la consommation du maïs à
certaines zones notamment du Sud Bassin arachidier (31,8 kg/tête/an) et du Sénégal Oriental
(37,2 kg/tête/an). Et concernant les variations saisonnières, une proportion importante des
ménages en zones rurales (48%) a déclaré une augmentation moyenne de 68% des quantités
consommées en maïs durant l’hivernage. Les zones rurales les plus concernées par cette
augmentation sont situées dans le Sud Bassin arachidier (57%) et le Sénégal Oriental
(70%).Analyse du marché des céréales locales (mil et maïs) au Sénégal.kg/tête/an de maïs.
Ces moyennes relativement faibles illustrent le caractère circonscrit de la consommation du
maïs à certaines zones notamment du Sud Bassin arachidier (31,8 kg/tête/an) et du Sénégal
Oriental (37,2 kg/tête/an).
II-La concurrence
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cessent de frequenter regulierement niveaux .la presence du
les magasins de groupe carrefour dans les
l’entreprise.l’automation des pays africains et
entreprises apporte une qualite asiatuiques est encore
carrefour faible
I-STRATEGIE DE PRIX
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La vente de nos produits dépend de plusieurs facteurs, notamment nos coûts de production, la
concurrence sur le marché, la demande des consommateurs, et nos objectifs commerciaux.
Voici quelques stratégies de prix que comptons utilisées :
Prix de pénétration : Nous allons Fixer un prix initial bas pour pénétrer rapidement le marché,
attirer de nouveaux clients et gagner des parts de marché pour un temps défini
Prix haut de gamme : Positionner nos produits comme haut de gamme en fixant un prix élevé
pour refléter la qualité supérieure, l'innovation ou l'exclusivité de nos céréales.
Prix concurrentiel : Aligner nos prix sur ceux de nos concurrents directs pour rester compétitif
sur le marché. Cette stratégie est courante lorsque la différenciation des produits est faible.
Prix de valeur : Fixer des prix légèrement inférieurs à ceux de nos concurrents tout en mettant
en avant la valeur exceptionnelle de nos produits, comme leur qualité ou leurs bienfaits pour
la santé.
Prix bas tous les jours : Adopter une stratégie de prix bas permanents pour attirer les clients
soucieux des prix. Cela peut être efficace dans un marché axé sur la valeur.
Prix bas avec ventes promotionnelles : offrir des réductions temporaires ou des ventes
spéciales pour attirer les clients, tout en maintenant des prix plus élevés en dehors de ces
périodes.
Prix par paliers : Offrir différents niveaux de prix pour différentes gammes de produits, afin
de répondre à différents segments de clients.
Prix dynamique : Ajuster nos prix en fonction de la demande, des saisons ou d'autres facteurs
en temps réel. Cela se fait en ligne.
Prix d'ancrage : Mettre en avant un produit haut de gamme avec un prix élevé à côté de nos
autres produits pour rendre ces derniers plus attrayants en comparaison.
Prix de bundle : Proposer des ensembles ou des offres groupées de nos produits pour
encourager l'achat multiple.
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décisions éclairées en matière de tarification. Ainsi, La fixation de notre prix de pénétration
dépend de la demande des consommateurs et la concurrence avec Auchan et Casino. En effet
nous allons :
Analyse de la concurrence : Commencer par analyser les prix pratiqués par Auchan et Casino
pour des produits similaires. Pour s’assurer que notre prix est compétitif, mais légèrement
inférieur pour attirer l'attention des consommateurs.
Prix psychologique : Considérer un prix qui semble être une bonne affaire pour les
consommateurs sénégalais, mais qui reste rentable pour notre entreprise. Par exemple, si les
produits similaires d’Auchan et Casino sont vendus à 575 FCFA, Nous allons envisager de
fixer notre prix de pénétration à 525 FCFA par paquet de 500g.
Promotions de lancement : Pour attirer l'attention des clients, envisageons de lancer nos
céréales Thiakri à un prix encore plus bas lors de notre première entrée sur le marché, par
exemple à 500FCFA par paquet, pendant une période limitée.
En définitive le prix de pénétration est souvent une stratégie temporaire pour gagner
rapidement des parts de marché. À mesure que notre marque et notre produit gagnent en
notoriété et en qualité perçue, nous pourrons envisager d'ajuster nos prix en conséquence. Il
est également essentiel de prendre en compte les coûts de distribution, les marges
bénéficiaires cibles et la perception des consommateurs lors de la fixation du prix final
II-STRATEGIE DE COMMUNICATION
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Marketing en ligne : Utiliser les médias sociaux, un site web attrayant et des publicités en
ligne ciblées pour atteindre un large public. Partager des recettes, des informations sur les
bienfaits des céréales, et créer une présence en ligne solide.
Marketing de contenu : Rédiger des articles de blog, des vidéos ou des infographies sur les
avantages des céréales pour la santé et l'utilisation dans la cuisine quotidienne.
Publicités ciblées : Utiliser la publicité en ligne pour cibler spécifiquement les consommateurs
intéressés par des aliments sains et nutritifs.
Promotions et offres spéciales : Attirer les clients avec des promotions, des réductions ou des
offres groupées pour inciter à l'achat.
Communication sur la qualité : Mettre en avant la qualité de nos céréales, en mettant en avant
des certifications biologiques, sans OGM, ou d'autres caractéristiques positives.
Avis et témoignages : Encourager les clients satisfaits à laisser des avis positifs en ligne, car
les avis de consommateurs peuvent avoir un grand impact.
Nous allons personnaliser notre stratégie en fonction de notre budget, de nos ressources et de
notre marché cible. Il peut être judicieux de consulter un professionnel du marketing pour
nous aider à élaborer et à mettre en œuvre votre stratégie de communication.
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III-STRATÉGIE DE DISTRIBUTION
Pour vendre rapidement et partout nos produits, une stratégie de distribution efficace est
essentielle. Voici quelques stratégies de distribution à considérer en fonction de nos produits
et de os ressources :
Vente en ligne et Livraison à domicile : Établir une présence en ligne solide en créant un site
web de commerce électronique 50%. Cela nous permettra de toucher un public mondial et de
vendre nos produits afin d’offrir plus de commodités à nos clients.
Plateformes de commerce électronique tierces : En plus de notre site web, nous allons vendre
nos produits sur des plateformes de commerce électronique populaires comme Amazon, eBay,
Etsy, ou d'autres adaptées à votre niche 10%.
Vente en gros : Établir des partenariats avec des détaillants ou des distributeurs pour vendre
nos produits en gros. Cela nous permettra d'atteindre un public plus large grâce à leur réseau
de distribution 15%.
Service clientèle exceptionnel : Offrir un excellent service client pour fidéliser nos clients et
encourager les achats répétés 5%.
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CHAP4 : INFRASTRUCTURE ET MOYENS DE PRODUCTION
La transformation du mil et du maïs en céréales peut varier en fonction des produits finaux
que Nous souhaitons obtenir, mais voici les étapes générales du processus pour chacun d'eux :
Récolte : La première étape consiste à récolter les épis de maïs lorsque les grains sont mûrs.
Cela se fait généralement à la fin de l'été ou au début de l'automne.
Égrenage : Les grains de maïs sont retirés de l'épi, soit à la main, soit à l'aide d'une machine
d'égrenage.
Séchage : Les grains de maïs sont séchés pour réduire leur teneur en humidité à un niveau
approprié pour le stockage. Cela peut être fait naturellement en l’exposant à l'air sec ou à
l'aide de séchoirs industriels.
Stockage : Les grains secs sont stockés dans des endroits frais et secs pour éviter tout
développement de moisissures ou d'insectes.
Mouture : Les grains de maïs sont moulus pour créer la farine de maïs, qui peut être utilisée
pour préparer une variété de produits tels que la polenta, la farine de maïs, ou la semoule.
Transformations additionnelles : La farine de maïs peut être utilisée pour produire divers
produits alimentaires, tels que des céréales pour le petit-déjeuner, des chips de maïs, ou des
tortillas. Les différentes transformations impliquent généralement des processus de cuisson,
de moulage et de séchage.
Récolte : Le mil est récolté lorsque les plantes sont mûres, généralement à la fin de l'été ou au
début de l'automne.
Battage : Les tiges des plantes de mil sont battues pour séparer les grains des enveloppes
extérieures.
Vannage : Les grains sont soufflés légèrement pour éliminer les enveloppes légères et les
impuretés. Séchage : Les grains de mil sont séchés pour réduire leur teneur en humidité et
éviter le développement de moisissures.
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Stockage : Les grains secs sont stockés dans des endroits frais et secs pour prévenir tout
dommage causé par l'humidité ou les insectes.
Mouture : Les grains de mil peuvent être moulus pour créer de la farine de mil, qui peut être
utilisée pour préparer divers produits alimentaires, notamment des bouillies, des galettes, ou
des produits de boulangerie.
Cuisson ou préparation : La farine de mil ou les grains de mil peuvent être utilisés dans
diverses préparations culinaires, en fonction des traditions locales.
Il est également important de noter que ces étapes peuvent varier en fonction des régions et
des cultures spécifiques. De plus, la transformation industrielle peut impliquer des procédés
plus complexes pour la production de céréales prêtes à consommer.
Tamiseuses : Pour séparer la farine de mil ou de maïs des particules plus grossières.
Machines à écraser ou à écraser les grains : Pour produire des produits comme la semoule ou
la polenta.
Machines à broyer ou à concasser : Pour préparer des aliments à base de mil ou de maïs tels
que la bouillie.
Presses pour l'extraction d'huile : Si l'huile de maïs est produite en plus de la farine.
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Aires de stockage : Pour conserver les récoltes de mil et de maïs en attendant la
transformation.
Aires de séchage : Où les grains récoltés sont séchés avant le stockage ou la transformation.
Salles de cuisson : Si des produits cuits à base de mil ou de maïs sont fabriqués.
Installations de nettoyage : Pour éliminer les impuretés des grains avant la transformation.
Entrepôts de stockage : Pour conserver les produits finis avant leur distribution.
Installations de traitement des déchets : Pour gérer les déchets générés lors du processus de
transformation.
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TAMISSEUSE Prix : 11050 FCFA
III-ORGANIGRAMME
RESPONSABLE
MARKETING
DRH
RESPONSABLE
COMPTABILITE
CHEF D'AGENT DE AGENTS DE
TERRAIN TERRAIN
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DEUXIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE
I-LES INVESTISSEMENTS
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