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Zone, Apollinaire : analyse


43 commentaires • Par Amélie Vioux

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Voici une analyse du poème « Zone » de Guillaume


Apollinaire.

Sont étudiés ici uniquement les 24 premiers vers du


poème, du début jusqu’à « entre la rue Aumont-
Thiéville et l’avenue des Ternes » .

« Zone », Apollinaire :
introduction
Placé en tête du recueil Alcools, « Zone » est en
réalité le dernier poème écrit par Guillaume
Apollinaire avant la publication en 1913.

(Voir mon résumé et mon analyse d’Alcools pour


le bac de français)

Le choix de faire de ce poème le poème liminaire du


recueil (c’est à dire le premier poème) est
significatif : « Zone » sera un manifeste poétique,
par lequel le poète révolutionne le genre poétique,
tant dans la forme que dans les thèmes.

« Zone » est un poème fleuve, sans ponctuation


(Apollinaire la retire au dernier moment) ni
régularité de mètre ou de rime.

Le titre lui-même est porteur de sens : en marge du


recueil, ce poème renvoie également au quotidien
urbain moderne qui fascine Apollinaire.

Poème analysé
Zone
!
À la fin tu es las de ce monde ancien

Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce


matin

Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecque et


romaine

Ici même les automobiles ont l’air d’être anciennes


La religion seule est restée toute neuve la religion
Est restée simple comme les hangars de Port-
Aviation

Seul en Europe tu n’es pas antique ô Christianisme


L’Européen le plus moderne c’est vous Pape Pie X
Et toi que les fenêtres observent la honte te retient
D’entrer dans une église et de t’y confesser ce matin
Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui
chantent tout haut

Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les


journaux
Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d’aventures
policières
Portraits des grands hommes et mille titres divers

J’ai vu ce matin une jolie rue dont j’ai oublié le nom


Neuve et propre du soleil elle était le clairon
Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-
dactylographes
Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y
passent
Le matin par trois fois la sirène y gémit
Une cloche rageuse y aboie vers midi
Les inscriptions des enseignes et des murailles
Les plaques les avis à la façon des perroquets
criaillent
J’aime la grâce de cette rue industrielle
Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et
l’avenue des Ternes

Extrait de « Zone », Guillaume Apollinaire, Alcools


(1913).

Questions possibles à l’oral sur


« Zone » :
♦ En quoi peut-on affirmer que le poème « Zone »
est moderne ?
♦ Pourquoi Apollinaire a-t-il choisi de commencer
son recueil Alcools par « Zone » ?
♦ En quoi ce poème peut-il être considéré comme un
art poétique ?
♦ Qu’est-ce qui est novateur dans ce poème ?

Annonce du plan
Dans cette lecture analytique, nous verrons tout
d’abord qu’Apollinaire affirme dans « Zone » une
esthétique novatrice (I), puis nous nous
demanderons à quel point ce texte représente une
rupture avec la poésie traditionnelle (II). Pour
terminer, nous remarquerons que c’est son
quotidien qu’Apollinaire place au centre de ce
poème (III).

I – « Zone » : une esthétique


nouvelle
A – Dans la forme
Un bref survol du texte suffit pour que la structure
du poème surprenne le lecteur : « Zone »
commence par trois vers désolidarisés les uns
des autres, puis une petite strophe de trois vers,
puis deux strophes beaucoup plus longues, de 8 et
10 vers, respectivement.

Cette irrégularité des strophes s’accompagne d’une


grande diversité dans la longueur des vers :
♦ 11 ou 12 syllabes pour le premier vers (si on lit en
faisant la diérèse du mot « an/ci/en », ce qui en fait
un alexandrin);
♦ 16 pour le vers 2;
♦ 17 pour le vers 3, etc.

Ce sont donc des vers libres, étonnamment longs.

De même, les rimes ne respectent pas les règles


traditionnelles : bien qu’il semble y avoir un schéma
très simple de rimes suivies, beaucoup d’entre elles
sont des rimes pauvres (ancien/matin,
haut/journaux, nom/clairon, etc.) et certaines ne sont
que des échos sonores (Christianisme/Pie X, sténo-
dactylographes/passent, industrielle/Ternes).

Enfin, il convient de remarquer l’absence totale de


ponctuation, qui oblige le lecteur à trouver son
propre rythme de lecture et de diction.

B – Dans l’énonciation
La situation d’énonciation de ce poème (qui
parle ? à qui ? quand ?) est très particulière : le
premier pronom à apparaître est celui de la
deuxième personne du singulier, « tu », au vers 1,
qu’on retrouve ensuite aux vers 3, 7, 9, 10, 11.

Mais on trouve également la deuxième personne


du pluriel, « vous », au vers 8 (une adresse
explicite au Pape : « c’est vous Pape Pie X ») et la
première du singulier, « je », aux vers 15 et 23.

Quels sont donc les interlocuteurs de ce


dialogue ? Il semble en réalité que la première et la
deuxième personne du singulier renvoient au
poète-narrateur, comme le révèle, à la suite de cet
extrait, certains indices autobiographiques marqués
par la deuxième personne (« tu n’es encore qu’un
petit enfant », « tu es très pieux », etc.).

Seul le « tu » du vers 6 s’adresse à une entité


particulière, le « Christianisme ».

Les indices temporels sont eux aussi brouillés et


n’aident pas le lecteur à clarifier la situation : la
plupart des verbes sont au présent, mais la dernière
strophe de l’extrait laisse apparaître du passé
composé et de l’imparfait (« J’ai vu », « j’ai
oublié », « était »).

L’expression « ce matin » apparaît trois fois (vers 2,


10 et 15) mais se retrouve ensuite sous la forme « le
matin » (vers 19), qui renvoie à une temporalité
moins précise (tous les matins).

C – Dans la langue
Le style du poète-narrateur de « Zone » apparaît
relâché, avec un niveau de langue familier : « Tu
en as assez » (v. 3), « il y a » (v. 12 et 13).

Dans la dernière strophe de cet extrait, le poète


semble raconter au lecteur une de ses flâneries
dans Paris, nonchalamment, utilisant des verbes
simples et directs pour s’exprimer (« J’ai vu »,
v. 15), « J’aime », v. 23) et des indications
étonnamment précises dans un texte poétique
(« entre la rue Aumont-Thieville et l’avenue des
Ternes », dernier vers).

Les images invoquées par le poète sont elles aussi


banales et peu ressemblantes à ce qu’on attend de
la poésie traditionnelle : « automobiles » (v. 4),
« hangars » (v. 6), « journaux » (v. 12), « rue
industrielle » (v. 23).

Transition : Apollinaire inscrit clairement « Zone »


dans une esthétique nouvelle, qui frappe dès les
premiers vers par son originalité. On peut néanmoins
se demander à quel point le poète s’éloigne de la
tradition.

II – « Zone » : un poème entre


rupture et continuité
A – Une volonté de rupture
Dès le premier vers de « Zone », la volonté de
rupture du poète se manifeste clairement : « A la fin
tu es las de ce monde ancien ». Cette volonté de
rupture se décline plus familièrement au vers 3 : « Tu
en as assez de l’antiquité grecque et romaine ».

Le « monde ancien » et « l’antiquité grecque et


romaine » font référence au siècle qui vient de
s’achever (le XIXe) et aux formes d’art classique,
jugées obsolètes par Guillaume Apollinaire. Le
début du XXe siècle voit en effet fleurir des
mouvements expérimentaux, comme le cubisme et
le futurisme.

Au tout début de ce poème, lui-même placé en début


de recueil, Apollinaire prône donc un
renouvellement du monde et de l’art, marqué par
l’omniprésence du présent de l’indicatif : ce qui
compte, c’est « ce matin ».

B – Le lyrisme
Apollinaire ne rompt pas totalement avec la tradition
lyrique attachée à la poésie.

Alors qu’il célèbre le monde nouveau qui l’entoure, la


figure du poète, présente par la deuxième personne
du singulier « tu », ne semble pas entièrement à
l’aise.

Sans s’épancher sur ses états d’âme, il fait référence


à sa « honte » (v. 9) provoquée par le regard des
autres, ou peut-être de Dieu (« toi que les fenêtres
observent ») et à son envie de se « confesser » (v.
10), c’est-à-dire d’exprimer ses sentiments.

Plus loin dans « Zone », il évoque son enfance


pieuse : cette veine autobiographique se rattache
elle aussi à une certaine tradition poétique et
lyrique.

On peut aussi noter l’utilisation du vocatif « ô », très


utilisée dans la littérature classique (« ô tour Eiffel »,
v. 2, « ô Christianisme », v. 7), qui souligne l’élan
lyrique du poète.

C – Le rôle de la religion
La religion occupe une place importante dans
« Zone », et Apollinaire y revient davantage dans la
suite du poème.

Le pronom personnel « tu » renvoie d’ailleurs autant


au poète lui-même qu’au christianisme (« tu n’es
pas antique ô Christianisme », v. 7), créant un
rapprochement surprenant.

On peut déjà remarquer ici le paradoxe entre la


lassitude exprimée devant « ce monde ancien » et la
vigueur du christianisme, cette religion qui « est
restée toute neuve » (v. 5), qui n’est « pas antique »
(v. 7) et comparée aux « hangars de Port-Aviation »
(v. 6).

La religion n’est pas inscrite dans le temps, elle ne


peut donc pas vieillir. Le sentiment religieux est
éternel : alors même qu’Apollinaire est athée, il reste
marqué par son enfance pieuse, évoquée plus loin
dans « Zone ». C’est ainsi qu’il ressent l’envie
d’« entrer dans une église » (v. 10), tout en y
renonçant par « honte », peut-être honte de la perte
de sa foi.

Transition : Guillaume Apollinaire conserve donc


des liens avec la tradition qui l’a précédé,
notamment dans les tonalités lyriques et
spiritualistes du poème. Mais son sujet central, lui,
est pour le moins surprenant et novateur : le
quotidien d’un Parisien en début de siècle.

III – « Zone » : un éloge du


quotidien
A – Un poème urbain
L’auteur et le lecteur s’identifient à travers le
« tu », qui nous invite à découvrir les
déambulations d’un citadin dans sa ville.

Il s’agit évidemment de Paris (« tour Eiffel »,


« Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et
l’avenue des Ternes »).

Ce qui intéresse le poète, c’est une « rue


industrielle » (v. 23) banale mais « neuve », et c’est
ce qui fait tout son attrait et sa « grâce ».

Loin du « monde ancien », la rue industrielle est le


témoin de la modernité et voit défiler « quatre fois
par jour » (v. 18) les parisiens de ce nouveau siècle,
« Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-
dactylographes » (v. 17).

Cette longue strophe sur une rue professionnelle et


bruyante (« Une cloche rageuse y aboie », v. 20, « à
la façon des perroquets qui criaillent », v. 22) montre
qu’Apollinaire s’intéresse à la réalité quotidienne
plutôt qu’aux thèmes traditionnellement associés à la
poésie (l’amour, le temps qui passe, etc.). Le
quotidien est lui aussi digne d’être un sujet
poétique.

B – Un art né de la banalité
La modernité du nouveau siècle se manifeste sous
de nombreuses formes, notamment les nouvelles
formes de littérature, comme les romans policiers
ou les biographies (« les livraisons pleines
d’aventures policières / Portraits des grands hommes
et mille titres divers », v. 13-14).

La ville elle-même est un support sur lequel s’inscrit


la poésie des temps nouveaux : « les prospectus
les catalogues les affiches qui chantent tout haut /
Voilà la poésie ce matin » (v. 11-12).

La ville moderne est un sujet poétique : le regard


du poète transforme ce qu’il voit en images
insolites et novatrices.

Ainsi, la tour Eiffel, symbole fort de modernité


puisque érigée en 1890, se transforme en
« bergère » dans un paysage bucolique de
« troupeau de ponts » qui « bêle » (v. 2), associant
ville et campagne.

Cette personnification permet de doter la ville d’une


âme : elle devient animée (de même, les « fenêtres
observent », « les affiches chantent tout haut », « la
sirène y gémit », la « cloche rageuse aboie », etc.)

C – L’inspiration cubiste
Difficile de ne pas penser au mouvement cubiste à
la lecture de « Zone » : Apollinaire crée des images
très visuelles, un tableau composé de fragments
de ce qu’il perçoit en déambulant dans les rues de
Paris.

L’absence de ponctuation renforce l’impression de


juxtaposition d’images (« les prospectus les
catalogues les affiches » v. 11, « Les inscriptions des
enseignes et des murailles / Les plaques les avis » v.
21-22).

Le lecteur est livré à lui-même, submergé par ce


patchwork d’images, avec la liberté de trouver lui-
même le rythme du poème, tout comme le
spectateur d’un tableau cubiste cherche lui-même
l’angle par lequel aborder le sujet de la toile.

Les associations insolites de termes permettent de


créer une nouvelle manière de voir les choses, à
la fois pleine d’humour et déstabilisante pour le
lecteur, mais pleine de sens.

Ainsi, la religion comparée aux « hangars de Port-


Aviation » prépare l’image du Christ aviateur à la
suite de cet extrait, qui prête à sourire mais qui dans
le même temps accorde une qualité spirituelle à
l’aviation moderne.

« Zone », Apollinaire :
conclusion
Sans renier totalement la tradition poétique qui l’a
précédé, « Zone » se démarque par sa profonde
originalité et donne le ton du reste du recueil.

En abordant le quotidien sous un nouvel angle, le


poète utilise désormais son art pour sublimer le
quotidien et transfigurer les éléments les plus
banals du monde contemporain, qui acquièrent une
qualité presque magique pour qui sait les regarder.

La forme épouse ici le sujet : c’est un poème


résolument moderne et optimiste, célébrant la
nouveauté et l’inventivité de ce début de siècle.

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43 commentaires

Valentin
26 septembre 2022 à 18 h 24 min

Bonjour je voudrais savoir qu elle est l’image que


donne le poète a la ville s’il vous plaît merci

Répondre

Amélie Vioux
28 septembre 2022 à 8 h 07 min

Bonjour Valentin,
Lis attentivement mon analyse et repère les
adjectifs que j’utilise pour qualifier la ville : tu vas
trouver des réponses. Bon courage !

Répondre

Chahine
9 juin 2021 à 22 h 25 min

Bonjour Amélie ,
je te remercie pour ce commentaire très
compressif .
Mais j’aimerai savoir si le commentaire peut se
dire dans un oral de Français.
Merci beaucoup !

Répondre

Florian
13 septembre 2020 à 9 h 42 min

merci beaucoup pour ce commentaire qui me


permet de compléter celui fait en classe.

Répondre

Alix
29 octobre 2019 à 11 h 50 min

Bonjour,
L’analyse du poème est très claire merci. Mais j’ai
juste un problème car je dois faire un
commentaire linéaire du poème mais je n’arrive
vraiment pas à dégager deux mouvements dans
le texte et ainsi trouver une problématique.
Pourriez vous m’aider?

Répondre

Ines
5 mars 2020 à 16 h 13 min

Bonjour
J’ai étudié ce poème en classe .On peut
distinguer 3 mouvements:
_La tristesse de la fin de l’amour
_l’évocation du souvenir au présent
_l’élargissement de la réflexion

Répondre

Lucie
15 septembre 2019 à 18 h 47 min

Bonjour, votre travail est très utile et intéressant!


J’ai encore du mal à analyser des textes
complètement par moi-même et vos analyses
m’aide à me lancer dedans, c’est le petit coup de
pouce dont j’ai besoin, car ça fait germer pleins
d’idées dans ma tête ^^ J’en apprends toujours
sur l’histoire, ou la méthodologie de la poésie
dans vos analyses, c’est vraiment enrichissant

Répondre

Lucie
2 mars 2019 à 19 h 33 min

Vos cours sont très clairs et limpides, j’aime


beaucoup les regarder alors que je n’aime pas
trop le français, mais grâce à vous je comprends
mieux le but d’un commentaire.

Répondre

Nacer
23 juin 2018 à 13 h 33 min

Un travail complet. Un petit problème cependant :


si on considère qu’un élève ne dispose que de dix
minutes pour présenter sa lecture à l’oral, des
travaux aussi consistants posent,
paradoxalement, problème. Cordialement.

Répondre

Amélie
23 juin 2018 à 21 h 10 min

Bonjour Nacer,
Tu n’es pas censé réciter mes lectures
analytiques, autrement l’oral de français n’a
aucun enjeu. Le jour J, tu as 30 minutes pour
répondre à une question. Mes analyses
contiennent suffisamment d’éléments pour vous
permettre de répondre aux questions possibles.

Répondre

lafillebleue
19 juin 2018 à 11 h 32 min

Bonjour, je voudrai savoir si ce plan fonctionne


pour la question : « peut-on parler d’un poème qui
oscille entre tradition et modernité? »
Car il développe véritablement la modernité ainsi
qu’un peu de traditionnel mais il ne parle pas par
exemple des poèmes bucoliques, mythologie
grecque..

Répondre

Amélie
20 juin 2018 à 12 h 38 min

Mon plan fonctionne bien sûr, mais tout plan a


besoin d’un minimum d’adaptation.

Répondre

Louis
27 avril 2018 à 17 h 55 min

Très bonne article je vous remercie j’étudie moi


même en ce momoent Guillaume Apollinaire .

Répondre

Hasna
11 février 2018 à 12 h 01 min

Bonjours Amélie , ma professeur nous a donnés


une question pour s’entraîner à l’oral et c’est en
quoi l’espace urbain est il source d’inspiration #

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