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Remerciement
Le présent travail étant le fruit d'un concours de plusieurs efforts réunis dans un même esprit,
ne serait pratiquement point réalisé n'eut été les contributions tant matérielles que morales de
certaines personnes. Qu'il nous soit permis à cet effet, de leur présenter nos sentiments de
profonde gratitude :
INTRODUCTION
Le présent travail comme le montre son intitulé « Rapport de stage », est destiné
à décrire d'une façon brève et claire les principales activités qui étaient durant
notre stage.
Nous avons choisi de passer notre période de stage à la Générale des Carrières et
des Mines en abrégée GECAMINES. Cette dernière nous a affectées au
Département de Maintenance.
Nos travaux à cette section ont débuté le 30 septembre 2023 et se sont terminés
le 16 octobre de cette même année.
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Vu l'abondance des étapes historiques de cette société minières depuis sa fondation jusqu'à
nos jours, nous ferons qu'un survol de son histoire dans le cadre de notre travail.
Au XVIe siècle déjà, l'industrie du cuivre était très active et florissante. Le cuivre du Katanga
avait même fait l'objet d'un échange international et intercontinental car d'importantes
quantités de ce métal provenant du Katanga se retrouvaient à l'Ouest de la côte Atlantique, en
Angola, au Nord en route vers la côte d'Ivoire et le Ghana, à la cote de l'Océan Indien à l'Est ;
et de là, il était exporté en Europe.
C'est avec les accords de la conférence de Berlin qui octroyèrent au Roi Léopold II de
Belgique l'Etat Indépendant du Congo que ce dernier devait être mis en valeur. Ainsi,
beaucoup d'investisseurs étrangers se sont intéressés et y ont participé par l'apport des
capitaux privés. D'où la création le 15 avril 1891 de la compagnie du Katanga par
l'exploitation du sol et du sous - sol du Katanga.
Apres une seule expédition en 1892, Jules CORNET eut le génie de concevoir les grands
traits géologiques du Katanga. Il signala plusieurs gisements importants de cuivre.
Pour résoudre certains problèmes fonciers, l'Etat indépendant du Congo avec la compagnie du
Katanga signèrent des accords pour la concession d'un territoire en vue de l'exploitation
minière. Un comité de gestion vit le jour le 19 juin 1900 : il était nommé comité spécial du
Katanga. Celui - ci confia à la Tanganika Concession Limited (TCL) créée le 20 janvier 1899,
la mission de faire des investigations en vue de l'exploration minière du Katanga. Ses travaux
aboutirent, le 18 novembre 1901 à la découverte de nombreux gisement de cuivre à Musonoi
et Kolwezi. Ce qui a permis la création, par le décret numéro 1473 signé par Léopold II, le
dimanche 28 octobre 1906, d'une société dénommée UNION MINIER DU HAUT -
KATANGA. Les actionnaires pour cette oeuvre furent l'E.I.C, le C.S.K et la T.C.L.
Cette nouvelle entreprise avait l'exercice des droits miniers et des autres droits accessoires
c'est-à-dire l'U.M.H.K pouvait créer des établissements de commerce et d'industries et
effectuer toutes les opérations utiles a but social. Le siège social de l'U.M.H.K se trouvait au
Congo tandis que son siège administratif était en Belgique.
Apres son indépendance, le Congo détenu Zaïre signa deux ordonnances - loi le 07 janvier
1966 : la première exigeait le transfert au Zaïre des sièges sociaux et administratifs des
sociétés ayant leur siège d'exploitation au Zaïre. La seconde baptisée « Loi Bakajika » résiliait
toutes les concessions et cessions accordées antérieurement à l'accession du pays à
l'indépendance le 30 juin 1960, aux entreprises minières privées.
Suite au refus de l'U.M.H.K de se plier aux exigences de ces deux ordonnances - lois, le Zaïre
repris ses droits et, par une ordonnance présidentielle signée le premier janvier 1967, l'Etat
retira l'autorisation de constitution de l'U.M.H.K et s'attribua tous les biens meubles et
immeubles appartenant à cette société et à ses filiales. Ce fut la fin de l'U.M.H.K.
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L'ordonnance - loi n° 67-01 signée le 02 janvier 1967, créa la Générale Congolaise des
minerais (GECOMIN) qui est devenue depuis le 14 septembre 1972 la Générale des Carrières
et des Mines, en abrégée GECAMINES
La GECAMINES est une entreprise publique à caractère industriel et commercial. Elle jouit
d'une personnalité juridique et est soumise à la tutelle du ministère des mines. Son siège social
est basé à Lubumbashi, sise Boulevard Kamanyola numéro 419 dans la province du Katanga,
en République Démocratique du congo.
Elle possède des représentations tant à l'intérieur qu'a l'extérieur du pays notamment à Likasi,
Kolwezi, Kinshasa, Bruxelles, Johannesburg, Ndola, etc.
Toutes ces représentations sont à sa disposition pour avoir des informations en rapport avec la
production, les conditions du marché et même en rapport avec la politique économique en
général.
Outre ces représentations, la GECAMINES s'étend sur une superficie d'environ 34 Kilomètres
carrés dans le Katanga. Dans son organisation actuelle, elle est composée de trois grandes
unités de production à savoir :
- Le Groupe Sud dont les gisements se concentrent autour des usines de lubumbashi. Celles -
ci traitent les minerais de cuivre provenant des usines de Kipushi.
- Le Groupe Centre : le centre des activités de ce groupe se trouve à Likasi. On y trouve les
usines métallurgiques les plus importantes de la société.
- Le Groupe Ouest. Il se situe à Kolwezi et ses environs. Le Groupe Ouest comporte plusieurs
gisements dont ceux de Kamoto, Luilu, Luena,...
Les objectifs de la GECAMINES se retrouvent à travers ses activités qui peuvent se résumer
en trois points essentiels à savoir :
A. LE CONSEIL D'ADMINISTRATION
B. LE COMITE DE GESTION
Son rôle est d'étudier les modalités d'application des décisions du conseil d'administration et
de contrôler les activités des directions, départements, divisions, services c'est-à-dire il assure
la gestion des affaires courantes de l'entreprise.
C. LA DIRECTION GENERALE
Elle est épaulée par les grandes directions hiérarchiques qui sont à la tête des entités
(Départements, divisions, service) fonctionnant conformément à l'organigramme établi.
DFI
TRG
CTG
CPB
CPT
IMO
CEN
CIE
CGA
CPT : Comptabilité
CHAPITRE I : LA SELECTIVITE
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1. DEFINITION :
C’est un caractère de ce qui est sélectif.
(salle
sélectivité / Likasi/ département géologie)
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Bien avant que la salle de sélectivité réceptionne les minerais, il existe ce qu’on
appelle les travaux en carrière qui permettent à ce que ses échantillons soient amener à la
sélectivité
La technique de l’encagement ne peut être déployée que pour des ouvrages en terre de
grande dimension.
1.2.3 ECHANTILLONNAGE
Définitions :
a) Échantillon : Partie d'un ensemble choisi pour représenter une ou plusieurs propriétés
caractéristiques de cet ensemble.
b) Teneur: La valeur relative d'un élément ou d'un minéral. La teneur en soi n'indique pas
la valeur économique d'une roche. Méthodes habituelles de noter la teneur: Pourcentages:
0.8% Zn, 0.4% CuS, 0.3% CuO Once par tonne: 0.08 oz d'or/Tonne Livres par tonne: 4 lb
U308/Tonne Parties par million: 30 ppm Ba, 10 ppm Th Gramme par tonne métrique =
ppm (1 once troy = 31,1g)
Dans une galerie, l'échantillonnage est effectué en même temps que le levé géologique.
Chaque front de taille fait l'objet d'un croquis indiquant la date, les observations géologiques
et minéralogiques, la position des rainures d'échantillonnage et leur longueur. Ces indications
sont réparties sur un registre d'avancement des travaux. Les résultats d'analyse sont reportés à
leur place sur le registre et les plans annexes.
Ce processus est simplement le renvoi des minerais c’est-à-dire après avoir achevé le
terrassement nous utilisons les engins appropriés pour un travail de qualité de telle sorte que
nous ne puissions pas emportés beaucoup des gangues ou stériles à la phase de traitement.
EXTRATE
CMM
EZD
EZDD
EZDS
CHAPITRE II : LABORATOIRE
1. Introduction générale
Le laboratoire de géologie Likasi dispose deux salles ; la première est nommée salle
de réunion x. Dans cette salle on réalise les analyses des minerais secs à l’aide de deux
appareils entre autre « METOREX », « NITON ».
2. TYPE D’APPAREILS
2.1 METOREX
Le metorex est conçu pour donner les éléments du cuivre et de cobalt. Il donne le résultat
après 300s
2.1 LE NITON
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REMARQUES
1ᵉʳ) L’appareil doit rester branché au réseau 220V en permanence de la pile
interne.
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1. Introduction générale
Le réseau d’informatique sur la géologie et les prospections minières en RD Congo né
d’une collaboration étroite entre le centre de recherches géologiques et Minières-Kinshasa
(CRGM), l’université de Lubumbashi (UNILU), la cellule technique de coordination et
planification minière (CTCPM), la société générale des carrières et des mines (GCM), la
société minière de bakwanga (MIBA), le musée royal de l’Afrique centrale (MRAC-
Belgique), le cadastre minier (CAMI) et la congolaise des hydrocarbures (COHYDRO) ,
le réseau a pour objectif de fournir un accès aux bases de données des archives minières
de tous les partenaires.
1.1 Définition
L’informatique est une science de traitement automatique des données à l’aide d’une
machine électronique appelée ORDINATEUR
Domaines d'application
D'un point de vue applicatif, les buts de la géochimie sont, entre autres :
La géophysique appliquée s'intéresse aux couches externes de la croûte terrestre et a pour but
de rechercher des gisements de pétrole et de minerais utiles ; on peut aussi englober dans la
géophysique appliquée certaines études environnementales qui font appel à des méthodes
géophysiques (géophysique environnementale). Les méthodes les plus importantes auxquelles
la prospection géophysique et la géophysique environnementale font appel sont
la sismique réflexion et la sismique réfraction (méthodes de prospection qui visualise les
structures en profondeur grâce à l'analyse des échos d'ondes sismiques créées artificiellement
par des explosions ou par des appareils générateurs de vibrations proches de la surface du
sol), la prospection gravimétrique, la prospection magnétique, la prospection électrique,
la prospection électromagnétique et le géoradar ; le génie sismique, qui essaie notamment de
dresser des cartes de risque sismique, de fixer des normes antisismiques, de prévoir
éventuellement des séismes, etc., peut aussi se ranger parmi les domaines de la géophysique
environnementale, de même que la volcanologie, la géothermie et l'étude du flux de chaleur
sortant de la Terre, ou encore les problèmes liés à la sécurité dans les zones minières et à
l'amélioration de l'environnement et de la sécurité en général (prévision de risques liés au
sous-sol et au sol, études d'impact, implantation d'ouvrages d'art, étudiés notamment
en géotechnique. La géophysique aéroportée est une discipline importante de la géophysique
appliquée.
Géophysique des couches-limites
CHAPITRE IV : LA PROSPECTION
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1. DEFINITION
La prospection est une discipline qui consiste à rechercher des minéraux, des minerais, ou
plus généralement des matières utiles, en utilisant des méthodes de surface.
Elle est souvent associée à d'autres disciplines :
Cartographie
Géologique
Géochimie
Géophysique
Sismique...
PROSPECTION GENERALE
PROSPECTION DES DETAILS
PROSPECTION SPECIALE
Prospection générale : C’est une prospection qui est sur une étendue vaste qui permet de faire
une géologie générale.
SONDAGE
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CONCLUSION
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Mise à fort la réalisation des taches qui nous ont été assignées lors de notre stage, nous avons
eu le privilège de bénéficier de l'ouverture aux réalités nouvelles de la vie professionnelle,
faisant ainsi d'une pierre plusieurs coups.
Ainsi nous avons été amenées à affirmer que, puisque la théorie est faite pour être appliquée
elle constitue l'instrument efficace de l'analyse et du diagnostic de la vie sociale.
C'est cela qui justifie une objective remise en question de certaines normes de gestion et nous
a permis d'entreprise GECAMINES d'atteindre l'état souhaité de ses objectifs.
REMERCIEMENTS……………………………………………………………….. page 1
INTRODUCTION……………………………………………………………………. Page 2
CONCLUSION……………………………………………………………………. Page 21