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Etant arrivé au terme de notre parcours d’étudiant ardu ,du premier cycle à l’ispt
Likasi nous sommes en ce moment précis saisis d’un sentiment de satisfaction ,
de fierté et reconnaissance après un parcours dans les installations des E/C pour
concilier la théorie à la pratique ,suivant le programme établi par l’enseignement
supérieur et universitaire de notre pays qui a prévue dans son institution une
période de stage professionnel dite industriel pour conquérir à la réalité du
travail dans l’industrie .
Avant tout, nous tenons à remercier JEHOHVAH DIEU pour nous avoir
donné la force et la patience pour mener à terme ce stage.
A l’issu de notre industriel, j’aimerais exprimer ma reconnaissance et mes
remerciements qui viennent tout droit du cœur à qui ont permis au bon
déroulement du stage.
A monsieur le directeur des E/C (EC DIR) MUKUNA MULENDA jacques de
nous avoir accepté afin d’effectuer notre stage da la disions des E/C et grâce aux
personnels qui en dépit de leurs multiples taches ont pu accepter de disponibilité
sur tout ce qui est de nécessaire durant la période de stage et pour notre
formation ;
Nous tenons à exprimer notre immense gratitude, et présenter nos
remercîments à monsieur MUSOLO WAKITENGE HENRI, notre encadreur
qui se sacrifier de son temps si précieux mis à notre disposition, pour nous
permettre nous apprenant a passé ce stage dans ses mains malgré son temps de
congé étais déjà pris, qui par.
Nos remerciements aussi à monsieur NGOIE LUKUSA marcel qui par
ces qualités des différentes questions nous ont permis des voir et développer
note façon de voir.
Qu’il nous soit permis de remercier également toutes les personnes qui ont
contribuée de près ou de loin à notre parcours de ce stage industriel enrichissant.
INTRODUCTION
Introduction générale
Le Génie civil représente l’ensemble des techniques concernant les
constructions civiles, militaires et industrielles. Les ingénieurs constructeurs
s’occupent de la conception, la réalisation, l’exploitation et la réhabilitation
d’ouvrages de construction et infrastructures urbains de la GCM à travers les
E/C, dont en assurent la gestion afin de répondre aux besoins de la général
carrière et de mine (GCM) toutes en assurent la sécurité du public et la
protection de l’environnement. Très variées, leurs réalisations se répartissent
principalement dans le domaine d’intervention.
Le domaine d’application du génie civil est très vaste ; il englobe les travaux
publics et le bâtiment.
Dans le but de récapituler l’essentiel de ce que nous avons acquis durant
notre formation, approfondir nos connaissance le domaine de calcul des
structures et s’initier à la station totale nous avons procédé aux levées
topographiques de flori, pour de terminer la surface dont celle-ci nous permettra
de placé nos salles des classes.
Pour ce faire, nous allons répartir le travail en quatre chapitres à savoir.
I. Chapitre 1 : Présentation de la Gécamines E/C.
II. Chapitre 2 : Généralités sur le béton
III. Chapitre 3 : Topographie
IV. Chapitre 4 : Cadre de formation
A. Scierie
B. Coffrage circulaire
C. Atelier
V. Visites effectuées sur les sites de la GECAMINES
CHAPATRE I : PRESENTATION DE LA GECAMINES E/C
I.1. PESENTATION DE LA GECAMINES
La générale de crierie et de mines en sigle GECAMINES, est une
entreprise publique de droit congolais à vocation minière, et caractère industriel
et commercial, ayant remplacée l’union minière du haut-Katanga, société privée
de droit belge. Actuellement elle est en cours de transformation en société priver
action à responsabilités (SARL).
La GECAMINES à une forme de société nationalisée, c’est-à-dire une entreprise
primitivement semi ou privée dont la propriété a été transféré à l’état après
indemnisation des anciens actionnaires.
I.2. HISTORIQUE
La GECAMINES fut créé par l’ordonnance loi N°6701/Q du chef de l’état
le 02/01/1967 Ayant son siège à Lubumbashi dans le haut-Katanga. Elle a
remplacé l’union minière du haut-Katanga créée le 28/10/1906, vers les années
1912 et 1929. La production de L’UMHK était ascendante suite à l’ajout
régulier de nouvelles unités de production et à la découverte de nouveau
gisement.
Avec la crise financière mondiale de 1930, la production a sensiblement baisé
jusqu’au plus aux moins 54000 Tonnes de cuivre soit environs 39%.
EN 1976, la Gécamines a réalisé un record de production de 476000 Tonnes de
cuivre, 14500 tonnes de de cobalt et 6400 tonnes de Zinc lingots pour chiffre
d’affaire annuel de l’ordre de 1 milliard de dollars, cependant en 1987, les
métaux ont connu une chute progressive dont l’effondrement de la mine de
KAMOTO située à Kolwezi puis à l’instabilité politique dans le pays avec la
plus longue transition du monde de production perdue jusqu’à nos jours.
I.2.1 PLAN DE SES ACTIVITES
En 1909 : la montagne de l’usine de traitement des oxydes par fusion
réductrice avec le coke venant d’Europe, puis Walkie en Rhodésie du sud.
En 1910 : l’ouverture de la voie ferrée allant à Baiera au Mozambique
passant par la Rhodésie du nord, pour faciliter le transport des produits
vers la mer.
En 1911 ; la montagne des fours des Lubumbashi.
En1915 ; la découverte du gisement de cuivre-cobalt-uranium de
SCHINKOLOBZE.
En 1919 ; l’exploitation du gisement de SCHINKOLOBWE et L’UMHK
de la première production de radium au monde en 1923.
En 1922 ; l’ouverture de l’usine a cathode de panda.
En 1930 ; la grande dépression dans l’entreprise.
En 1966 ; précisément le 31/12/1966, le président MOBUTU met fin aux
activités de L’UMHK.
En 1967 ; la création de la GECOMI (Générale congolaise des minerais)
qui deviendra plus tard la GECAMINES.
En 2009 ; le lancement du processus de restriction jusqu’à nos jours.
I.2.2. COORDONNEES GEOGRAPHIQUES DES E/C ET PLAN DE LA
MAIN D’ŒUVRE.
Les études et constructions et un domaine de la Gécamines qui s’occupe
de la construction, situé dans la ville de Likasi précisément dans la commune de
panda à quelque mettre de la fonderie. La main d’œuvre locale est passée de
8500 Ouvriers en 1959 EST EN 1929 à 17200 Ouvriers. Mais l’effectif actuel
est à 10.000 AGENT suite à l’opération du départ volontaire (ODV), dont une
bonne partie se trouve dans le secteur social).
I.2.3. OBJECTIF DES ETUDES ET CONSTRUCTIONS A LA
GECAMINES
Ce dernier a été conçu dans le but de réaliser tous les travaux de génie
civil et de s’occuper des constructions industrielles pour soutenir les entités des
productions dans divers domaines entre autres :
Le domaine de la construction métallique.
Les ouvrages en béton armée.
Les ouvrages d’arts.
La construction des bâtiments scolaires et des maisons d’habitation.
Aussi industriel.
I.2.4. PLAN SOCIAL
En dehors du fait que la Gécamines regorge beaucoup de travailleurs, il
est aussi le numéro un de toutes les entreprises implantées au Katanga dans le
social il compte à nos jours :
o 12 hôpitaux et cliniques ;
o 27 dispensaire et centre de santé ;
o 17 permanences de médecine du travail ;
o 100 écoles pour un total de 900 classes 20.000 élèves et 1400 enseignants,
En plus de tout ceci, on doit à la Gécamines sa participation dans
l’implantation du réseau du chemin de fer et du réseau électrique de la
province.
I.2.5 LESPARTENARIATS
Pour trouver des capitaux frais, la Gécamines a constitué avec des sociétés
privées congolaises ou étrangères (plus de 30) des partenariats l’exploitation des
divers gisements.
EX : KCC, BOSS MINING, CMSK, et TFM, etc…
Dans ces contrats, l’apport de la GECAMINES est constitué principalement en
session des droits miniers et parfois en apport des équipements et des
installations sous forme de location.
I.3. ORGANIGRAMME DE LA GECAMINES
I.3.1. Le conseil d’administration
C’est l’organe suprême qui chapeaute tout ce qui est comme le
représentant de l’Etat congolais. IL est constitué d’un président et des membres
du conseil.
I.3.2. Le comité de gestion
C’est une structure qui s’occupe de la gestion quotidienne de la chose.
Elle est constituée de L’ADG et L’ADGA, ces deux gros, sont attachées deux
grandes directions sont :
o LA DIRECTION DES FINANCES (ADF)
Elle s’occupe de la gestion de financière d’une manière générale et comprend
plusieurs directions qui à meurs tours sont divisées en département comme la
trésorière générale, le contrôle, …
o LA DIRECTION TECHNIQUE
C’est l’organe de production et d’études des projets. Il est dirigé par un ADT et
comprend deux grandes directions qui sont :
a. La direction d’exploitation (DEX) ; cette direction s’occupe de la
production et comprend d’exécution sud, centre, la direction
d’approvisionnement et de transport et la direction des stratégies
matériels.
b. La direction de planification recherche et développement (PRD) : cette
direction s’occupe des Eudes des projets et comprend leurs départements
à savoir la géologie, les Eudes des projets minières (EMI), les Eudes
métallurgiques (EMT), le génie minière et sondage (GMS) et Etudes et
construction (EC).
Vue le déroulement de notre stage qui qui a était effectué au département des
EC, c’est ainsi que nous nous baserons sur ce dernier. L’organigramme des EC
est constitué de :
a. EC/Directeur
b. Secrétariat Administratif et le secrétaire
Les Divisons :
EC/ETEL : étude électrique
EC/TECH : étude technique
EC/PLN : planification
EC/C-S : côte sud
EC/O : Ouest
EC/AC : Architecture
EC/ETIN : étude industrielle
Secrétariat
Ingénieur chef de projet
Archive
Salle de dessin
Tirage de plan
Les ateliers du chantier sont :
Un atelier Electrique
Un atelier Mécanique
Un atelier de tuyauterie
Un atelier de chaudronnerie
Un atelier de menuiserie
I.4. ORGANIGRAMME DES EC
EC/DIRECTION
EC/ST EC/SA
SEC
IR. D’ETUDE
TIRAGE PLAN
Chef de
Secrétariat
service
technique
technique
Atelier
electrique
Atelier
mecanique
Dispatche
GVR
Chef de
service de Génie Menuis
Scierie
génie civil civil erie
Δla=Δlb (ib=ia)
σa =σb.n
F= σa.sa+ σb.sb
F= σb (n. sa+ sb)
σb σa
=
Eb Ea
Ea
σa = σb ¿ } coefficient d’équivalence acier-béton
Ea
ALLONGEMENT (OU RACCOURCISSEMENT) ΔL D’UNE
POUTRE DE LONGUEUR L.
D’après la loi de Hooke : σ = E ε.
On peut donc écrire, en supposant que l’allongement est également réparti sur toute la
Longueur L de la poutre.
2- Dosage en poids :
Il s'agit en principe du poids du liant inclus dans un mètre cube de mortier
fini. Mais le
Plus souvent, on entend par dosage en poids le poids de liant à mélanger à 1m3
de sable, ce qui donne environ 1,05m3 de mortier. La différence est relativement
négligeable et ne peut guère jouer sur la résistance finale rechercher.
Le dosage est une opération qui être faite avec précision car la résistance
finale recherché en dépende.
Quant est ce qu’il faut changer le dosage ?
On peut changer le dosage lorsque on n’atteint pas la résistance voulut lors des
essais d’écrasement a jour-j d’âge c’est-à-dire :
LES ADJUVANTS
I - Définition :
Adjuvants, ce sont des substances autres que le ciment, l'eau et les
granulats, ajoutées au béton, au mortier ou au ciment en vue de changer on
l'améliorer une ou plusieurs de leurs propriétés.
En effet, ces additifs de béton, même s'ils sont habituellement employés en
faibles dosages (en général moins de 2 % de la masse du ciment, sauf dans le cas
des adjuvants inertes) peuvent changer considérablement la caractéristique du
béton plastique et du béton durci. Toutefois L’utilisation d'adjuvants dans le
béton entraîne généralement une augmentation du coût de celui-ci ;
On devrait toujours comparer ce coût additionnel avec celui qu'entraînerait une
correction dans le
Processus de mise en œuvre et de mûrissement, en vue d'améliorer les mêmes
propriétés du béton.
1 - Rôle des adjuvants :
Les adjuvants sont toujours incorporés dans la masse et leur emploi, qui
nécessite des dosages précis, ne peut être envisagé que sur des chantiers
disposant de moyens suffisants pour assurer un contrôle rigoureux.
Il ne faut pas les considère comme des palliatifs destinés à remédier à une
mauvaise exécution, mais comme agents susceptibles d'améliorer les qualités
d'un bon béton.
∗ Leur action est :
− soit mécanique, en modifiant la consistance du mélange.
− soit physique, en agissant sur la tension superficielle des composants.
− soit chimique, en modifiant la vitesse de prise des liants.
∗ Leurs différents buts :
− améliorer la maniabilité ou la consistance.
− réduire la teneur en eau.
− améliorer la durabilité.
I.I. 4 ECRASEMENT DU BETON
L’écrasement du béton est un essai de compression dont elle mesure la
résistance à la compression d’un matériau sur une machine mécanique suivant
un protocole normalisé. Les essais de compression se font sur un appareil
appelé : compressiomètre. Cet essai consiste à donner la valeur de la résistance
caractéristique de l’échantillon de béton à jour-j d’âge.
Cependant, l’échantillon doit avoir des coordonnées comme :
Une date de fabrication ;
Un dosage ;
Une section (dimensions) ;
Un type de chantier
L’appareil utilisée pour effectuer les essais est composée de :
D’une centrale hydraulique actionnée d’un moteur, d’une manivelle et
d’un vérin qui est commandé par une huile.
D’un manomètre, qui est constitué de deux tableaux gradués qui permet
de lire la valeur trouvée lors de l’opération en MPa
Essai effectué :
1er essai
Pour un échantillon de section 20×20, d’un béton coulé aux EC
GECAMINES
DATE 04/05/2017,
Section = s=20×20=400 cm, V=1000/S on aura: V=1000/400=2.5
L’échantillon a était encrassé à une pression de compression de 92,5 MPa
A l’ETU on aura : 92,5 MPa/2,5= 226kg/cm2
En parlant de la résistance du béton Bolomey à établit une loi selon
laquelle le béton doit avoir une résistance de 25Mpa a 28 jours d’Age. Vérifiable
avec sa formule :
J x FC(28) /4.83+0.8xJ
II.4. OUVRAGE EN BETON ETUDIER
a. Poutre.
b. Dalle.
c. Plancher.
Leurs : (système d’appui, sollicitation et ferraillage)
Etend des ouvrages conçus pour un but précis, ils sont soumis à des
efforts qui tendront à les déformer (ou encore en acier).
Dans les sollicitations qui tendent à déformer une pièce
nous pouvons citer quelques-unes :
COMPRESSION ET TRACTION
FLEXION SIMPLE, DEVIER ET COMPOSE
LE FLAMBAGE
Elles sont aussi vues sur des ouvrages métalliques
Et voici certains ouvrages en béton arme ou nous avons
étudié les déformations :
LA POUTRE
LA DALLE (PLANCHER OU LONGRINE)
LA COLONNE
Voici les étapes à suivre pour le calcul des sollicitations sur un ouvrage, en vue
d’avoir les déformations pour savoir comment armée notre ouvrage :
Trouver les équations d’équilibre
Calculer le moment fléchissant (MF) et l’effort
tranchant(T)
Etablir les diagrammes du moment fléchissant et
l’effort tranchant
Etudier la déformée de l’ouvrage pour voir comment
armée (connaitre la partie tendue et la partie
comprimée).
Toutes ses opérations nous permettent de déterminer les armatures de la masse
de béton.
La dalle : ouvrage en béton armé ; sur une grande partie, elle
est coulée partiellement (partie par partie)
Longrine : posée sur le sol
Plancher : posée dans les aires
Longrine : doit être armée en conséquence pour lutter contre la
poussée de terre ;
Plancher : doit être armée pour supporter les charges qui seront
au-dessus de celle-ci.
Il arrive de fois que même armée le plancher se déforme, pour remédier à ce
problème en ajoutant des raidisseurs (nervures) pour éliminer les déformations.
Cette liaison nervure dalle dépend de la liaison de la dalle et les autres ouvrages.
La nervure permet d’économiser les matériaux parce qu’en plaçant la nervure
l’épaisseur de la dalle diminuera.
PANNE
FERME
COLONNE OU MUR
FONDATION
SOL
Chaque partie doit supporter des charges et il faut bien
dimensionner pour que notre ouvrage soit en équilibre.
COUVERTURE ou TOITURE : étant posé sur les pannes
directement, elle doit supporter l’effort extérieur à l’ouvrage
tels :
-EFFORT DU VENT
-EFFORT CLIMATIQUE
-CHARGE D’EXPLOITATION
Pour la dimensionner, on doit disposer de ces trois efforts pour calculer
l’épaisseur d’une tôle, pour sa on considère la tôle reposant sur deux appuis
(pannes)
A B
L
L’angle est de 450 L
Si le comble est carre :
450
C C
F
Si âpres vérifications on se rend compte que la colonne n’est pas
comprimée (lorsque la force ne sait trouver pas dans la zone centrale d’inertie),
on parlera du flambage (ou on utilisera la formule d’EULER) en prenant en
compte l’élancement qui dépend du système de liaison.
CHAPITRE TOPOGRAPHIQUE
DEFINITION ;
La topographie étant une science qui permet de faire les levées de terrain
(différence de niveau, les angles, les distances, etc.…) pour effectuer tous ces
opérations nous disposons des machines nous permettant d’effectuer ces
travaux, parmi ces machines nous avons manipulé : -la lunette
-le théodolite
-la station totale
LA LUNETTE :
La lunette est une machine permettant de déterminer les distances et les
dénivelés, ses opérations sont comme suite :
Prendre un point de référence sur le site prendre les pieds et
le stationner ;
Vérifier l’horizontalité de la table et bloquer les trois pieds ;
Mettre l’appareil sur la table ferme la vise en dessous de
celui-ci ;
Jouer avec les trois vise pour faire entre le bull dans le repère,
on peut effectuer cette opération aussi qu’avec les pieds ;
Régler la visibilité de la lunette on peut commencer les
opérations de vise sur la mire ;
En effectuant la vise on fait toujours un cout arrière et un cout
avant ;
Après cela on peut calcule la différence de niveau
ANNEE 2019-2020