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AVANT PROPOS

Etant arrivé au terme de notre parcours d’étudiant ardu ,du premier cycle à l’ispt
Likasi nous sommes en ce moment précis saisis d’un sentiment de satisfaction ,
de fierté et reconnaissance après un parcours dans les installations des E/C pour
concilier la théorie à la pratique ,suivant le programme établi par l’enseignement
supérieur et universitaire de notre pays qui a prévue dans son institution une
période de stage professionnel dite industriel pour conquérir à la réalité du
travail dans l’industrie .
Avant tout, nous tenons à remercier JEHOHVAH DIEU pour nous avoir
donné la force et la patience pour mener à terme ce stage.
A l’issu de notre industriel, j’aimerais exprimer ma reconnaissance et mes
remerciements qui viennent tout droit du cœur à qui ont permis au bon
déroulement du stage.
A monsieur le directeur des E/C (EC DIR) MUKUNA MULENDA jacques de
nous avoir accepté afin d’effectuer notre stage da la disions des E/C et grâce aux
personnels qui en dépit de leurs multiples taches ont pu accepter de disponibilité
sur tout ce qui est de nécessaire durant la période de stage et pour notre
formation ;
Nous tenons à exprimer notre immense gratitude, et présenter nos
remercîments à monsieur MUSOLO WAKITENGE HENRI, notre encadreur
qui se sacrifier de son temps si précieux mis à notre disposition, pour nous
permettre nous apprenant a passé ce stage dans ses mains malgré son temps de
congé étais déjà pris, qui par.
Nos remerciements aussi à monsieur NGOIE LUKUSA marcel qui par
ces qualités des différentes questions nous ont permis des voir et développer
note façon de voir.
Qu’il nous soit permis de remercier également toutes les personnes qui ont
contribuée de près ou de loin à notre parcours de ce stage industriel enrichissant.
INTRODUCTION
Introduction générale
Le Génie civil représente l’ensemble des techniques concernant les
constructions civiles, militaires et industrielles. Les ingénieurs constructeurs
s’occupent de la conception, la réalisation, l’exploitation et la réhabilitation
d’ouvrages de construction et infrastructures urbains de la GCM à travers les
E/C, dont en assurent la gestion afin de répondre aux besoins de la général
carrière et de mine (GCM) toutes en assurent la sécurité du public et la
protection de l’environnement. Très variées, leurs réalisations se répartissent
principalement dans le domaine d’intervention.
Le domaine d’application du génie civil est très vaste ; il englobe les travaux
publics et le bâtiment.
Dans le but de récapituler l’essentiel de ce que nous avons acquis durant
notre formation, approfondir nos connaissance le domaine de calcul des
structures et s’initier à la station totale nous avons procédé aux levées
topographiques de flori, pour de terminer la surface dont celle-ci nous permettra
de placé nos salles des classes.
Pour ce faire, nous allons répartir le travail en quatre chapitres à savoir.
I. Chapitre 1 : Présentation de la Gécamines E/C.
II. Chapitre 2 : Généralités sur le béton
III. Chapitre 3 : Topographie
IV. Chapitre 4 : Cadre de formation
A. Scierie
B. Coffrage circulaire
C. Atelier
V. Visites effectuées sur les sites de la GECAMINES
CHAPATRE I : PRESENTATION DE LA GECAMINES E/C
I.1. PESENTATION DE LA GECAMINES
La générale de crierie et de mines en sigle GECAMINES, est une
entreprise publique de droit congolais à vocation minière, et caractère industriel
et commercial, ayant remplacée l’union minière du haut-Katanga, société privée
de droit belge. Actuellement elle est en cours de transformation en société priver
action à responsabilités (SARL).
La GECAMINES à une forme de société nationalisée, c’est-à-dire une entreprise
primitivement semi ou privée dont la propriété a été transféré à l’état après
indemnisation des anciens actionnaires.
I.2. HISTORIQUE
La GECAMINES fut créé par l’ordonnance loi N°6701/Q du chef de l’état
le 02/01/1967 Ayant son siège à Lubumbashi dans le haut-Katanga. Elle a
remplacé l’union minière du haut-Katanga créée le 28/10/1906, vers les années
1912 et 1929. La production de L’UMHK était ascendante suite à l’ajout
régulier de nouvelles unités de production et à la découverte de nouveau
gisement.
Avec la crise financière mondiale de 1930, la production a sensiblement baisé
jusqu’au plus aux moins 54000 Tonnes de cuivre soit environs 39%.
EN 1976, la Gécamines a réalisé un record de production de 476000 Tonnes de
cuivre, 14500 tonnes de de cobalt et 6400 tonnes de Zinc lingots pour chiffre
d’affaire annuel de l’ordre de 1 milliard de dollars, cependant en 1987, les
métaux ont connu une chute progressive dont l’effondrement de la mine de
KAMOTO située à Kolwezi puis à l’instabilité politique dans le pays avec la
plus longue transition du monde de production perdue jusqu’à nos jours.
I.2.1 PLAN DE SES ACTIVITES
 En 1909 : la montagne de l’usine de traitement des oxydes par fusion
réductrice avec le coke venant d’Europe, puis Walkie en Rhodésie du sud.
 En 1910 : l’ouverture de la voie ferrée allant à Baiera au Mozambique
passant par la Rhodésie du nord, pour faciliter le transport des produits
vers la mer.
 En 1911 ; la montagne des fours des Lubumbashi.
 En1915 ; la découverte du gisement de cuivre-cobalt-uranium de
SCHINKOLOBZE.
 En 1919 ; l’exploitation du gisement de SCHINKOLOBWE et L’UMHK
de la première production de radium au monde en 1923.
 En 1922 ; l’ouverture de l’usine a cathode de panda.
 En 1930 ; la grande dépression dans l’entreprise.
 En 1966 ; précisément le 31/12/1966, le président MOBUTU met fin aux
activités de L’UMHK.
 En 1967 ; la création de la GECOMI (Générale congolaise des minerais)
qui deviendra plus tard la GECAMINES.
 En 2009 ; le lancement du processus de restriction jusqu’à nos jours.
I.2.2. COORDONNEES GEOGRAPHIQUES DES E/C ET PLAN DE LA
MAIN D’ŒUVRE.
Les études et constructions et un domaine de la Gécamines qui s’occupe
de la construction, situé dans la ville de Likasi précisément dans la commune de
panda à quelque mettre de la fonderie. La main d’œuvre locale est passée de
8500 Ouvriers en 1959 EST EN 1929 à 17200 Ouvriers. Mais l’effectif actuel
est à 10.000 AGENT suite à l’opération du départ volontaire (ODV), dont une
bonne partie se trouve dans le secteur social).
I.2.3. OBJECTIF DES ETUDES ET CONSTRUCTIONS A LA
GECAMINES
Ce dernier a été conçu dans le but de réaliser tous les travaux de génie
civil et de s’occuper des constructions industrielles pour soutenir les entités des
productions dans divers domaines entre autres :
 Le domaine de la construction métallique.
 Les ouvrages en béton armée.
 Les ouvrages d’arts.
 La construction des bâtiments scolaires et des maisons d’habitation.
 Aussi industriel.
I.2.4. PLAN SOCIAL
En dehors du fait que la Gécamines regorge beaucoup de travailleurs, il
est aussi le numéro un de toutes les entreprises implantées au Katanga dans le
social il compte à nos jours :
o 12 hôpitaux et cliniques ;
o 27 dispensaire et centre de santé ;
o 17 permanences de médecine du travail ;
o 100 écoles pour un total de 900 classes 20.000 élèves et 1400 enseignants,
En plus de tout ceci, on doit à la Gécamines sa participation dans
l’implantation du réseau du chemin de fer et du réseau électrique de la
province.
I.2.5 LESPARTENARIATS
Pour trouver des capitaux frais, la Gécamines a constitué avec des sociétés
privées congolaises ou étrangères (plus de 30) des partenariats l’exploitation des
divers gisements.
EX : KCC, BOSS MINING, CMSK, et TFM, etc…
Dans ces contrats, l’apport de la GECAMINES est constitué principalement en
session des droits miniers et parfois en apport des équipements et des
installations sous forme de location.
I.3. ORGANIGRAMME DE LA GECAMINES
I.3.1. Le conseil d’administration
C’est l’organe suprême qui chapeaute tout ce qui est comme le
représentant de l’Etat congolais. IL est constitué d’un président et des membres
du conseil.
I.3.2. Le comité de gestion
C’est une structure qui s’occupe de la gestion quotidienne de la chose.
Elle est constituée de L’ADG et L’ADGA, ces deux gros, sont attachées deux
grandes directions sont :
o LA DIRECTION DES FINANCES (ADF)
Elle s’occupe de la gestion de financière d’une manière générale et comprend
plusieurs directions qui à meurs tours sont divisées en département comme la
trésorière générale, le contrôle, …
o LA DIRECTION TECHNIQUE
C’est l’organe de production et d’études des projets. Il est dirigé par un ADT et
comprend deux grandes directions qui sont :
a. La direction d’exploitation (DEX) ; cette direction s’occupe de la
production et comprend d’exécution sud, centre, la direction
d’approvisionnement et de transport et la direction des stratégies
matériels.
b. La direction de planification recherche et développement (PRD) : cette
direction s’occupe des Eudes des projets et comprend leurs départements
à savoir la géologie, les Eudes des projets minières (EMI), les Eudes
métallurgiques (EMT), le génie minière et sondage (GMS) et Etudes et
construction (EC).
Vue le déroulement de notre stage qui qui a était effectué au département des
EC, c’est ainsi que nous nous baserons sur ce dernier. L’organigramme des EC
est constitué de :
a. EC/Directeur
b. Secrétariat Administratif et le secrétaire
Les Divisons :
 EC/ETEL : étude électrique
 EC/TECH : étude technique
 EC/PLN : planification
 EC/C-S : côte sud
 EC/O : Ouest
 EC/AC : Architecture
 EC/ETIN : étude industrielle
 Secrétariat
 Ingénieur chef de projet
 Archive
 Salle de dessin
 Tirage de plan
Les ateliers du chantier sont :
 Un atelier Electrique
 Un atelier Mécanique
 Un atelier de tuyauterie
 Un atelier de chaudronnerie
 Un atelier de menuiserie
I.4. ORGANIGRAMME DES EC

EC/DIRECTION

EC/ST EC/SA

EC/AC EC/PLN EC/O EC/TECH EC/ET.IN EC/C-S EC/ETEL


NNNNO

SEC

IR. D’ETUDE

SALLE DE DESSIN ARCHIVE

TIRAGE PLAN

ORANIGAMME DU DEPARTEMENT DES EC


.

Chef de
Secrétariat
service
technique
technique

Atelier
electrique

Atelier
mecanique

EC/CS/ Chef Atelier


DIR service chaudron
Electro
Atelier
Secrétariat tuyauterie
administra
tif Atelier
montage

Dispatche
GVR
Chef de
service de Génie Menuis
Scierie
génie civil civil erie

ORGANIGRAMME DE LA DIVISION DES CHANTIERS


CHAPITRE. II. LE BETON
II.1 Généralités
II.1.1 Définition
A. Béton : le béton est un conglomérat résultant du mélange des agrégats,
granulats et du liant (ciment).
B. Béton armé : Etant donné la faiblesse du béton à lui tout seul vers le 19e
siècle l’idée d’incorporer des armatures en acier dans le béton lors de sa
mise en œuvre.
L’association de ces deux matériaux complémentaires nous donne le béton
armé, il permet de réaliser des ouvrages capables d’accepter des charges bien
plus importantes que le béton non armé. Grace au phénomène d’adhérence
Acier-Béton qui doit être les plus imite que possible pour un transfert d’efforts
optimal, elle résiste également à des efforts de traction, de flexion de
compression plus variés. L’état de surface, la propreté, le diamètre, la longueur
et l’emplacement des armatures sont des paramètres qui influencent fortement
les caractéristiques mécaniques du béton armé.
II.1.1.1. Théorie du béton armé
II.1.1.2 Principe du béton armé
1ère condition : l’allongement des aciers doit être la même avec le béton dans
toute sa masse du béton pour bien travaillé.

Δla=Δlb (ib=ia)
σa =σb.n
F= σa.sa+ σb.sb
F= σb (n. sa+ sb)
σb σa
=
Eb Ea

Ea
σa = σb ¿ } coefficient d’équivalence acier-béton
Ea
ALLONGEMENT (OU RACCOURCISSEMENT) ΔL D’UNE
POUTRE DE LONGUEUR L.
D’après la loi de Hooke : σ = E ε.
On peut donc écrire, en supposant que l’allongement est également réparti sur toute la
Longueur L de la poutre.

2éme condition : la résistance du béton aux efforts de traction est nulle.


3ème condition : l’adhérence acier et béton doit être parfaite pour former
un seul corps (un bloc) pour permettre de bien travaillé ensemble.
II.2. Fonction du béton et de l’acier
Le béton il permet de résister mieux à la compression et les aciers
permet de palier la faiblesse a la traction et résiste a la traction .c‘est à dire le les
matériaux résultent de l’association acier-béton est appelé é « béton armé » dans
une structure en BA, les principaux aciers sont positionnés dans la parties
tendues de la masse du béton pour compensé la mauvaise résistance du béton en
traction.
Mise en Œuvre 
4phase :
 Réalisation du coffrage ;
 Mise en place du ferraillage ;
 Mise en place du béton frais ;
 Décoffrage ;
Deuxième cas de poteau :
 Ferraillage ;
 Coffrage :
 Mise en place du béton ;
 Décoffrage ;
AVANTAGE ET INCONVENIENT DU BETON
Avantage
 Souplesse : toutes les formes peuvent être utilisé ;
 Monolithique : l’ensemble acier béton forment un seul bloc ;
 Pas d’entretien régulier ;
 Ouvrabilité, résistance au feu ;
Inconvénient
 SON POID 25 N/m 3 ;
 Détail de réalisation ;
 Fissuration systématique : fibres tendues fissuré ;
CONCEPT
Restait : le retrait est lala diminution de la longueur d’un élément en béton, il se
développe au cours de la prise et durcissement elle en rapport avec le dosage, la
qualité de l’eau détachage, quantité du liant.
Fluage : déformation d’un béton durci, dus à son propre poids.
Durcissement : c’est le passage de l’état liquide ou visqueux à l’état solide et se
poursuivant par une amélioration des propriétés mécanique dans le temps, elle
augmente du jour au jour.
Prise : c’est le passage de l’état liquide à l’état plastique. Le temps de prise se
mesure sur une pâte de consistance normalisée à l’aide de l’aiguille à Vicat.
Exoration : c’est le phénomène que l’on aperçoit sur un béton quand une eau
claire dégage d’un béton durci.
II.3COMPOSITION DU BETON
I. BETON 
TYPE DE BETON :
a) Béton maigre : 150 à 250 kg /m3 mode d’utilisation ; semelle de
propreté, et de remplissage.
b) Béton moyen : utiliser dans des travaux dosés à 250 à 350 kg/m3
c) Béton gras : utiliser dans les travaux de bétonnage dosé de 350 à
450 kg /m3 (plancher, encorbellement, radier).
La différence de ces trois types de béton résultant sur le dosage
II. DOSAGE
Exécution sur chantier on a :
 Dosage en poids.
 Dosage en volume (volumique)
1- Dosage en volume :
Ce dosage est utilisé lorsqu'il s'agit d'un mortier de chaux grasse (exemple
: 1 volume de Chaux pour deux volumes de sable) ou encore dans le cas de
fabrication de mortier en Petites quantités.
L'unité de mesure peut être le seau (trois seaux de sable pour un seau de ciment).
Pour les ciments à prise rapide, le dosage est souvent volumique à prise rapide.

2- Dosage en poids :
Il s'agit en principe du poids du liant inclus dans un mètre cube de mortier
fini. Mais le
Plus souvent, on entend par dosage en poids le poids de liant à mélanger à 1m3
de sable, ce qui donne environ 1,05m3 de mortier. La différence est relativement
négligeable et ne peut guère jouer sur la résistance finale rechercher.
Le dosage est une opération qui être faite avec précision car la résistance
finale recherché en dépende.
Quant est ce qu’il faut changer le dosage ?
On peut changer le dosage lorsque on n’atteint pas la résistance voulut lors des
essais d’écrasement a jour-j d’âge c’est-à-dire :

EX : dosage de 350kg/m 3 28jour d’âge, 25MPa


Cela veut dire Après écrasement du béton on n’arrive pas à 25MPa.
Exemple de calcul 1:
0.2m3 dosé a 350kg/m3
350 kg/ m 3
1m3 50
=7 sacs
350 kg/ m 3
0.2m3 350kg/m3 50
×0.2m3=1,4
=2sac ; 160litre gravier ; 80litre sable

Exemple2 du calcul du dosage : calculer le sable, gravier et la quantité de


ciment pour un dosage de 350kg :
Nous savons que dans 1m3 de béton, il y’a :
-800l de gravier=0.8m3 ;
-400l de sable=0.4m3 ;
-une brouette de 50l ;
- sac de ciment de 50kg ;
-volume totale de 0.5m3
Résolution : 350kg/50kg= 7sacs de ciment
-gravier : 0,8 Vt= 0,8x0,5=0,4m3=400l
Nombre des brouettes : 400l/50l=8 brouettes
-sable : 0,4m3 Vt= 0,4x0,5=0,2m3=200l
Nombre des brouettes : 200l/50l=4 brouettes
Conclusion : on aura 7 sacs de ciment, 8brouettes de gravier et 4 brouettes
de sable.

NB : la quantité du sable est toujours la moitié du gravier


1m3 SABLE GRAVIER
350 400 800
400 400 800
450 400 800

Pour un sac de ciment


300 Kg ,1 Brouette, graviers, 2 Sable
CAPACITE D’UNE BROUETTE 65 LITRE
65×6= 390=400
65×12=780=800
Pour 6sacs des ciments 300kg pour avoir 350kg on aura à jouter 50kg divisée
par 6 on aura a compensé avec 8,333 dans 6sacs.
COMME CONCLUSON :
Le dosage du béton dépend des efforts qui supportera et de son emploie, dans le cas
où la résistance de notre béton a un dosage de 350kg donne une résistance inferieur a la
résistance caractéristique (fournis par BOLOMEY qui est 25Mpa) on maintiendra le même
dosage mais si elle est supérieure on devrait changer le dosage ou encore ajouter les adjuvants
pour accélérer la prise, (le dosage dont nous parlons ce pour le ciment).

LES ADJUVANTS
I - Définition :
Adjuvants, ce sont des substances autres que le ciment, l'eau et les
granulats, ajoutées au béton, au mortier ou au ciment en vue de changer on
l'améliorer une ou plusieurs de leurs propriétés.
En effet, ces additifs de béton, même s'ils sont habituellement employés en
faibles dosages (en général moins de 2 % de la masse du ciment, sauf dans le cas
des adjuvants inertes) peuvent changer considérablement la caractéristique du
béton plastique et du béton durci. Toutefois L’utilisation d'adjuvants dans le
béton entraîne généralement une augmentation du coût de celui-ci ;
On devrait toujours comparer ce coût additionnel avec celui qu'entraînerait une
correction dans le
Processus de mise en œuvre et de mûrissement, en vue d'améliorer les mêmes
propriétés du béton.
1 - Rôle des adjuvants :
Les adjuvants sont toujours incorporés dans la masse et leur emploi, qui
nécessite des dosages précis, ne peut être envisagé que sur des chantiers
disposant de moyens suffisants pour assurer un contrôle rigoureux.
Il ne faut pas les considère comme des palliatifs destinés à remédier à une
mauvaise exécution, mais comme agents susceptibles d'améliorer les qualités
d'un bon béton.
∗ Leur action est :
− soit mécanique, en modifiant la consistance du mélange.
− soit physique, en agissant sur la tension superficielle des composants.
− soit chimique, en modifiant la vitesse de prise des liants.
∗ Leurs différents buts :
− améliorer la maniabilité ou la consistance.
− réduire la teneur en eau.
− améliorer la durabilité.
I.I. 4 ECRASEMENT DU BETON
L’écrasement du béton est un essai de compression dont elle mesure la
résistance à la compression d’un matériau sur une machine mécanique suivant
un protocole normalisé. Les essais de compression se font sur un appareil
appelé : compressiomètre. Cet essai consiste à donner la valeur de la résistance
caractéristique de l’échantillon de béton à jour-j d’âge.
Cependant, l’échantillon doit avoir des coordonnées comme :
 Une date de fabrication ;
 Un dosage ;
 Une section (dimensions) ;
 Un type de chantier
L’appareil utilisée pour effectuer les essais est composée de :
 D’une centrale hydraulique actionnée d’un moteur, d’une manivelle et
d’un vérin qui est commandé par une huile.
 D’un manomètre, qui est constitué de deux tableaux gradués qui permet
de lire la valeur trouvée lors de l’opération en MPa
Essai effectué :
1er essai
Pour un échantillon de section 20×20, d’un béton coulé aux EC
GECAMINES
DATE 04/05/2017,
Section = s=20×20=400 cm, V=1000/S on aura: V=1000/400=2.5
L’échantillon a était encrassé à une pression de compression de 92,5 MPa
A l’ETU on aura : 92,5 MPa/2,5= 226kg/cm2
En parlant de la résistance du béton Bolomey à établit une loi selon
laquelle le béton doit avoir une résistance de 25Mpa a 28 jours d’Age. Vérifiable
avec sa formule :
J x FC(28) /4.83+0.8xJ
II.4. OUVRAGE EN BETON ETUDIER
a. Poutre.
b. Dalle.
c. Plancher.
 Leurs : (système d’appui, sollicitation et ferraillage)
Etend des ouvrages conçus pour un but précis, ils sont soumis à des
efforts qui tendront à les déformer (ou encore en acier).
Dans les sollicitations qui tendent à déformer une pièce
nous pouvons citer quelques-unes :
 COMPRESSION ET TRACTION
 FLEXION SIMPLE, DEVIER ET COMPOSE
 LE FLAMBAGE
Elles sont aussi vues sur des ouvrages métalliques
Et voici certains ouvrages en béton arme ou nous avons
étudié les déformations :
 LA POUTRE
 LA DALLE (PLANCHER OU LONGRINE)
 LA COLONNE
Voici les étapes à suivre pour le calcul des sollicitations sur un ouvrage, en vue
d’avoir les déformations pour savoir comment armée notre ouvrage :
 Trouver les équations d’équilibre
 Calculer le moment fléchissant (MF) et l’effort
tranchant(T)
 Etablir les diagrammes du moment fléchissant et
l’effort tranchant
 Etudier la déformée de l’ouvrage pour voir comment
armée (connaitre la partie tendue et la partie
comprimée).
Toutes ses opérations nous permettent de déterminer les armatures de la masse
de béton.
 La dalle : ouvrage en béton armé ; sur une grande partie, elle
est coulée partiellement (partie par partie)
 Longrine : posée sur le sol
 Plancher : posée dans les aires
 Longrine : doit être armée en conséquence pour lutter contre la
poussée de terre ;
 Plancher : doit être armée pour supporter les charges qui seront
au-dessus de celle-ci.
Il arrive de fois que même armée le plancher se déforme, pour remédier à ce
problème en ajoutant des raidisseurs (nervures) pour éliminer les déformations.
Cette liaison nervure dalle dépend de la liaison de la dalle et les autres ouvrages.
La nervure permet d’économiser les matériaux parce qu’en plaçant la nervure
l’épaisseur de la dalle diminuera.

Quand la dalle repose sur 4 murs, la nervure reposera sur le 4 ;


 Quand la dalle repose sur 2 murs, la nervure est placée
perpendiculairement aux deux murs (comme sur le pont aussi) ;
Il arrive dans certain cas même avec la nervure la dalle fléchisse, pour éviter
cela, il faut étudier la bonne disposition pour de la nervure, c.à.d. pour une dalle
rectangulaire, on place le raidisseur en longueur.
 Système d’appuis 
On distingue le système d’appuis ci-après :
 L’encastrement
 L’articulation
 Appuis simples
La rotule : ola rotule on utilise la rotule pour rentre un
système qui était isostatique en système hyperstatique
 Lorsqu’il y’a encastrement aux appuis, on augmentera les dimensions
à la base (colonne, dalle, etc.…)
 Lorsqu’il y’a articulation aux appuis, on diminue les dimensions a la
base, la rotule est utilisée pour les ouvrages légers et aussi pour rentre
un système hyperstatique, isostatique (utilise souvent pour les
ouvrages métalliques)
 L’appui simple est utilisé pour des ouvrages sans importance.
 Ferraillage
Le ferraillage est une opération qui consiste à placée les armatures, avant de
bétonner un ouvrage, il existe :
 Les armatures de résistance : placée dans les zones tendues ;
 Les armatures de répartition : pour donner la forme à l’ouvrage ;
 Les étriers (épingle, etc.) : pour soutenir les armatures.
 Cadre : généralement placé dans une section dangereuse pour éviter le
cisaillement, on le place souvent rapproché c’est-à-dire on diminue
l’écartement dans cette zone.
TROISIEME PARTIE : DESCENTE DES CHARGES
La descente des charges est la transmission des efforts de la
couverture jusqu’à la fondation. Étant un ouvrage expose, il doit support les
charges extérieures et son propre poids, pour les calculs ont commencé de haut
vers le bas, elle permet en tout d’évaluer les charges que supportera notre sol
portant.
On l’évaluer partie par partie, voici comment elles se transmettent
COUVERTURE

PANNE

FERME

COLONNE OU MUR

FONDATION
SOL
Chaque partie doit supporter des charges et il faut bien
dimensionner pour que notre ouvrage soit en équilibre.
 COUVERTURE ou TOITURE : étant posé sur les pannes
directement, elle doit supporter l’effort extérieur à l’ouvrage
tels :
-EFFORT DU VENT
-EFFORT CLIMATIQUE
-CHARGE D’EXPLOITATION
Pour la dimensionner, on doit disposer de ces trois efforts pour calculer
l’épaisseur d’une tôle, pour sa on considère la tôle reposant sur deux appuis
(pannes)

A B

 PANNE : pièce en bois pose sur les charpentes servant


d’intermédiaire entre la charpente et la tôle, Elle récupère les
efforts sur la couverture et le poids propre de la tôle. Pour le
dimensionnement on considère la panne intermédiaire (cas le
plus défavorable), il peut arriver que l’on ne dispose pas de la
section là, on recourt au catalogue (qui nous propose le module
de flexion) pour nous permettre de calculer la dimension de la
tôle.
 FERME : constituer des charpentes (métallique ou en bois), on
étudiera les efforts dans chaque barre par la méthode de
Cremona ou Ritter, tout en considérant les charges extérieures,
le poids propre de la Couverture et le poids propre de la panne
(les charges sont considère sur chaque panne) pour
dimensionner notre ferme.
 LA COLONNE ou encore LE MUR : intermédiaire entre le
comble et la fondation, elle réceptionne une demie partie du
comble et une partie du pont roulant (poids propre du pont et la
charge qu’il doit supporter placer à l’extrémité), pour notre
exemple.
Dans le cas du dimensionnement d’ouvrage (en béton ou métallique),
on prend toujours le cas le plus défavorable. Pour notre exemple ce quand la
charge et pèse à l’extrémité.
On divisera le comble comme suit :
 Si elle est rectangulaire :

L
L’angle est de 450 L
 Si le comble est carre :

450

C C

Si dans le calcul, on se rend compte que la colonne est comprimée, on utilisera


la formule de la compression

F
Si âpres vérifications on se rend compte que la colonne n’est pas
comprimée (lorsque la force ne sait trouver pas dans la zone centrale d’inertie),
on parlera du flambage (ou on utilisera la formule d’EULER) en prenant en
compte l’élancement qui dépend du système de liaison.

CHAPITRE TOPOGRAPHIQUE
DEFINITION ;
La topographie étant une science qui permet de faire les levées de terrain
(différence de niveau, les angles, les distances, etc.…) pour effectuer tous ces
opérations nous disposons des machines nous permettant d’effectuer ces
travaux, parmi ces machines nous avons manipulé : -la lunette
-le théodolite
-la station totale
 LA LUNETTE :
La lunette est une machine permettant de déterminer les distances et les
dénivelés, ses opérations sont comme suite :
 Prendre un point de référence sur le site prendre les pieds et
le stationner ;
 Vérifier l’horizontalité de la table et bloquer les trois pieds ;
 Mettre l’appareil sur la table ferme la vise en dessous de
celui-ci ;
 Jouer avec les trois vise pour faire entre le bull dans le repère,
on peut effectuer cette opération aussi qu’avec les pieds ;
 Régler la visibilité de la lunette on peut commencer les
opérations de vise sur la mire ;
 En effectuant la vise on fait toujours un cout arrière et un cout
avant ;
 Après cela on peut calcule la différence de niveau

Cette machine à un inconvénient très important à savoir : on ne peut pas


bascules la lunette (impossible de faire la lecture en hauteur). Pour pallier à ce
problème ils ont pu fabrique une autre machine qui corriger ce problème.
 LE THEODOLITE :
Le théodolite permet de mesurer les distances, les angles, plus apte à certaines
opérations que la lunette. Constituer d’une partie fixe (l’embase) et la partie
mobile (l’alidade).
 Partie mobile comprend : la lunette, la petite fenêtre, la vise pour zoomer
et un autre pour la netteté de l’image ;
 La partie fixe comprend : trois vis et un vise pour fixe l’appareil à la table
On procède comme suite avec le théodolite :
 Prendre un point de référence (repère) ;
 Stationner les pieds, à la hauteur de l’opérateur tout en vérifiant
l’horizontalité de la table ;
 Mettre l’appareil sur la table bloque pour qu’elle ne glisse pas sur
la table ;
 Jouer avec les vises pour faire entre le bull dans le repère (le bull
dans le repère montre que la machine est horizontale) ;
 Prendre la hauteur de tourillon
 Régler la visibilité, ouvrir la petite fenêtre pour apporter un
éclairage bien voulu dans la lunette ;
 Projetée la hauteur de tourillon sur la mire
 Vise la mire prendre les lectures (L> et L<) et l’angle horizontale.
Pour calculer la distance avec la formule ci-après :
D= (L>-L<) x100xcos²a : distance horizontale
Si l’angle dans la formule vaut 90° la formule sera :
D= (L>-L<) x100
Si on pivote la machine, est l’angle varie on prendra le tour complet
-90° ou 90°- le tour complet, âpres cela on peut calculée la hauteur. Le
théodolite nécessite une grande précision et répétée la lecture plusieurs fois pour
réduire les erreurs, alors en ce qui concernée la topographie de la Gécamines, il
dispose d’une autre machine plus performante que le théodolite et plus
sophistique appelle «LA STATION TOTALE » 
 LA STATION TOTALE :
La station est une machine topographique (électronique), plus évolué que celui-
ci, elle comprend une partie mobile et une partie fixe, elle fonctionne comme le
théodolite mais avec un clavier (contenant des boutons). On utilise un rayon
laser, on fournit la station totale avec des conditions a n’est pas négligée
comme :
 N’est jamais orienté le rayon dans l’œil ni sur le Corps de
quelqu’un
 Vérifiée que les batteries sont bien pleines
 Démarche à suivre :
A. Stationner l’appareil et réglée au point exiger ou non exiger en
faisant entrée le bulle dans son repère circulaire (avant cela il faut
stationner la table) ;
B. Âpres cela cliqué sur le bouton rouge pour allumer la machine, elle
nous présente l’état de batterie l’ambiance de la zone, puis le nom
de la machine, après cette fenêtre une deuxième s’ouvre sur l’écran
pour le réglage électronique puis on clique sur le bouton échappe
pour choisir le mode de travail.
C. Nous avons trois modes système de mesurage sur la station total qui
sont :
er
1 mode rapide : on n’a pas des points connus ni information, on vise un
point extérieur.
2eme mode résection : on a un point connu comme point de stationnement
et un deuxième point comme point extérieur de visé extérieur.
3eme mode connu : deux points connus avec leurs coordonnées,
ACTIVITES EFFECTUEES DANS L’ENSEMBLE
Dans cette période de stage, nous avons pu effectuer des visites sur les
chantiers ci-après de la Gécamines, la fabrication de bloc de béton (parpaing) et
un levé topographique
Visite a :
 KAMATANDA
 Grand HEAP
 Les ateliers (menuiserie, ferraillage et scierie) : ils ont été
énumérés dans la première partie de notre rapport.
 Cite de KAMATANDA
Cette visite nous a permis de voir le système de
fonctionnement de cette branche des E.C du point de vue génie
civil. Les matériaux (minerais) sont excrétés et laver sur place
(laverie des KAMATANDA) ; avant le transfert au grand HEAP.
Pendant notre visite, nous avons constaté qu’il y avait un
projet en court qui est : La construction des bassins pour les rejets
à cote’ du bassin LUNA et la construction d’un massif pour le
passage d’un tuyau d’acide.
Les éléments de génie civil que nous avons visités sont : le
point de captage, le mur en gabion, un tank (réservoir d’eau) et les
différents massifs.
-le point de captage : pour approvisionner en eau la laverie (les
machines), le département de génie civil a décidé de créer un canal
d’eau qui est à cheval de la laverie de KAMATANDA, et sur ce
canal, ils ont construit un point de captage dont la logique reste
similaire à celle de la digue. Les radeaux qui sont des pièces en
métal seront interposés transversalement pour créer une rétention
d’eau, sur laquelle seront placées des pompes pour pomper l’eau
vers le tank réserve pour conserver l’eau, ensuite elle sera amène
par gravite’ dans la laverie.
-le mur en gabion : le broyeur de minerais se trouve pose en
hauteur et pour permettre aux camions qui viennent de la carrière
de verser les minerais dans le broyeur, une rampe en terre a été
faite jusqu'à la hauteur du broyeur. Toute cette masse de terre est
retenue par le mur en gabion constitué des moellons retenue par des
barres de fer. Elle est sur une hauteur de 10m et une base de 6m (la
largeur diminue en montant à une hauteur de 1m au sommet), cette
forme résonne ce principe de statique qui stipule que : plus le
centre de gravité’ est bas, plus la structure est stable.
-les massifs : en béton coulait pour supporter les installations
importent de l’Afrique du sud
 Le grand HEAP 
Apres l’extraction des minerais à KAMATANDA, ils sont
transportés au grand HEAP pour extraire les minerais, par la
lixiviation en tas (mélangé à l’acide), en obtenant le liquide (vert)
est achemine’ à l’usine de SHITURU pour la préparation (on
ajoute certains produits pour avoir une bonne qualité), quand on
se rend compte que le produit n’a pas un bon pourcentage, on sera
obligé de le retourner pour augmenter son pourcentage).
ELEMENT STRUCTURAUX vue en visite (en générales)
 Point de captage à kamatanda ;
 Massif buté au grand heap ;
 Mur en gabion à kamatanta ;
 Boulons d’encrage ;
 Digs

SIXIEME PARTIE : COFFRAGE DES OUVRAGES CIRCULAIRE


Définition : on attend par coffrage élément ou pièces métallique (planche)
destinées à contenir du mortier frais jusqu’à son durcissement.
Ce coffrage comme l’indique le titre permet d’avoir âpres décoffrage un
ouvrage circulaire, Adapter souvent plus souvent pour éviter les déformations
des ouvrages (tank, etc.).
Pour faire le coffrage ; on aura besoin de :
-panneau (planche) : qui sera en contacte directe avec le béton,
placé verticalement
-chevron : pour immobiliser les panneaux, placé obliquement
(incliné)
-calage : placé horizontalement, pour augmenter le coffrage de
n’est pas glisser à la base
-volige : pour séparer les deux planches verticales
Pour la planche, on facilite les choses en prennent un bout de bois,
faire un demi-cercle qui prendra la moitié de l’épaisseur de la planche
On s’assure que le planche est une largeur bien limitée et les
bouts bien faits pour permettre de respecter la circonférence voulue (et avoir un
vrai cercle).
QUELQUES CARACTERISTIQUES D’UN COFFRAGE
On citera entres autres ;
 L’état de surface du bois
 La rigidité et la stabilité
 L’étanchéité du bois
Voici les dimensions exigées :
 Planche : 2x20x450
 Volige : 4x11
 Madrier : 5x15

Voici un exercice qui montre comment on effectuer pour


connaitre le nombre de pièces de bois, qu’on aura à utiliser un cercle creux de :
-Rex : 25m
-Esp. :40cm
La résolution sera faite à la main.
Atelier
Le génie civil comprend : l’atelier des bois [menuiserie ; scierie] ; la salle
de dessin ; etc.…
-scierie :
Dans le temps le pont roulant permettre de déplacer les grumes d’un wagon vers
l’atelier en le plaçant sur un chariot [partie de la scie a grue], a la fourniture des
grumes, les agents doivent effectuer le cubage pour chaque grume (en
connaissant le volume pour voir le prix de la grume et son rendement).
Exemple : du cubage d’un bois : - 4m de longueur
-0.50m de diamètre
Déterminer le volume du bois
Solution : S=3, 14x0, (50)2 /4
=0,196m2
V=0,196x4
V =0,785m3
Il y a les machines suivantes à la scierie :
-scie à grue  : pour coupe la grume et enlever les
écorces et pour permettre quel puisse passer dans la tronçonneuse
-tronçonneuse : pour couper le bois en tronçon [donner les
bouts parfaits] et donner le diamètre voulu.
Pour prendre soin de la lame de la scie a grue la scierie dispose
des machines pour corriger, réparer et limer la lame de la scie a grue comme :
-affuteuse, planeuse, soudeuse, rectifieuse et voyeuse.
-Menuiserie
Une fois sortie de la scierie les bois sont stokes au magasin, la
menuiserie dispose des engins suivants
 Dégauchisseuse : pour débauche le bois ;
 Raboteuse : pour rabote le bois ;
 Mortaise a mèche : pour fore le bois [elle peut être à
chaine] ;
 Tenonnais : pour faire les joints d’assemblage ;
 Toupie : pour faire varier les profils d’un bois ;
 Scie a panneau : pour coupe et tronçonne le bois ;
 Scie à déligne : pour rectifier les côtes du bois ;
 Scie à bras radial : pour faire des rainures sur le bois.
-et d’autres machines utilisent comme
 Pondeuse : pour la fabrication des blocs ciment (les
blocs ciment sont dose à 300kg /m3) ;
 Cisaille : pour découper les armatures à la longueur
voulue ;
 Cintreuse : pour donne des formes aux armatures
(étriers, cadres, épingles, etc.) ; en cas de panne de la
cintreuse on effectue les formes à la main ;
 Des bétonnières pour facilite le mélanger du béton et
mortier ;
 Un compressiomètre : pour effectuer des essais sur le
béton durcis (écraser).
Le génie civil dispose des bétonnières (pour faciliter leur mélange du béton) etc.

 Il y’a aussi l’atelier d’électricité qui allumant toutes les
installations des E.C et l’atelier mécanique pour la réparation des
engins et machines
 Au génie civil il y’a les menuisiers, les constructeurs, les
charpentiers, les aides maçons, les topographes, des chaudronniers
ainsi que d’autres ouvriers.

 Il y’a aussi une salle de dessin qui propose le devis et le croquis


pour le projet avant sa validation.

Fabrication des blocs en béton


En dehors des échantillons de blocs à béton que nous avions trouvé déjà bien
réaliser, nous avions aussi fait un travail remarquable dans la fabrication, dont
une expérience sur notre passage à la GECAMINES EC.
Dont les dimensions d’un bloc 20*20*50.
Ces blocs ont servi à la construction dans différents sites de la GECAMINES.
Conclusion
La croissance intellectuelle des jeunes est un développement de la société
car ce sont eux qui feront de future cadre de la république, suit à l’encadrement
obtenue. L’institution institut supérieur pédagogique et technique est l’une qui
contribue à l’éducation des jeunes venue dans l’étendue de la république pour
accueillir une bonne connaissance en faisant un stage.
Vu l’insuffisance du temps et son impartialité donnée par l’année académique
pour ce stage, connaissant que la science reste universelle, nous avons découvert
des choses très utiles à la connaissance d’un technicien constructeur.
En effet notre stage nous l’avons débuté le 23 décembre 2019 et appris fin le 26
janvier 2020, un mois au sein de la GECAMINES EC : durant le parcourent de
notre stage nous avons eu à connaitre des notions très important dans le domaine
de construction.
Nous pensons que cette expérience nous a offert une bonne préparation à notre
insertion professionnelle car elle fut pour nous une expérience enrichissante et
complète qui conforte notre désire d’exercer notre futur métier
INSTITUT SUPERIEUR PEDAGOGIQUE ET TECHNIQUE
I.S.P.&T / LIKASI
B.P-LIKASI
SECTION SCIENCES EXACTES ET APPLIQUEES
DEPARTEMENT DE CONSTRUCTION.
RPPORT DE DE STAGE EFFECTUE A LA GECAMINES/EC.LIKASI

Présenté par : KALONDA SHABUMBA BARUCK


Encadré par : Mr HENRI MUSOLO
Promotion : G3 CONSTUCTION

ANNEE 2019-2020

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