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Listage des bases juridiques

droit adm S3 :
Legende :

= lois

= actes règlementaire ( décret ect )

= arrets + article de la constitution

*quand il y a que le nombres des dizaine dans la date = 19**

Section 3 : Les origines du droit adm :


-Loi du 16 et 24 aout 1790 —> principe de séparations des autorités adm et judiciaires.
-Décret du 16 fructidor an III ( 1795 ) —> réa rmation de ce principe selon lequel les autorités
judiciaires ne peuvent connaitre les litiges adm
-CE, « Cadot », 1889 —>Fin total de la théorie du ministre juge. le CE devient juge commun en se
déclarant compétent pour trancher un litige en 1er resort.
-TC, « Blanco », 1873 —> consécration retranscrites des principes révolutionnaire en actant une
réel autonomie de l’ordre administratif qui disposent de ses propres règles distinct du droit prv.

Chapitre 1 : les acteurs du droit adm :


-Art 20 C—> le gouv dispose de l’administration =la France a une forme d’organisation centralisé
-CE, Quéralt, 50 —> le pvr hiérarchiques de pleins droit ( PGD )

Sections 2 : les autorités administratives :


Les autorités centrale a compétences Générale ( PR + PM ) :

-Art 13 C° —> le PR nomme + signe les décrets et ordo pris en CM


-CE, « meyet », 92 —> tout secret pris en CM doit etre signe par le PR ( revoir )
-Art 20 C°—> le PM dispose de l’adm et de la force armée.
-CE, « libérez les mademoiselle », 2012 —> réa rmation du pvr hiérarchique du PM sur le gouv

Les autorités centrale a compétences spécialisé ( PR + PM ) :

-art 22 C° —> les ministres non pas de pvr réglementaire reconnut constitutionnellement, mais
peuvent contresigner des actes du PM.
-CE, « Jamart » 36—>ils ont un pvr hiérarchique sur les agents de leur départements ministériel.

Les autorités déconcentrés :

-CE, mars 2022 —> valider un régime juridique permettant au préfet de déroger ( si motif d’intérêt
G et localement ) a certaines normes nationales, pour prendre des décisions non règlementaires.

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Les autorités décentralisé :

-Loi du 31 décembre 1982 —> régimes dérogatoires pour les CT : paris, Lyons, Marseille
( créations par ex de leur arrondissement )

Les AAI :

-Rapport du CE, 2001 def des AAI —> des autorités ayant une nature adm, qui ont un pouvoirs
de décision ou d’in uence qu’elles exercent indépendamment du GOUV.
-Décisions CC, « CSA » 89 —> les Ami peuvent avoir un pvr réglementaire mais qui est restreint
a leur spécialité.

III) l’administrée dans ses relations avec l’administration :


-les 3 lois Rolland —> Principe de continuité, Principe d’égalité, Principe de mutabilité.

Le citoyen administratif :

-loi du 12 avril 2000 —> l’appellation de cette loi porte le termes « citoyen administratif »

Le principe de transparence administrative :

-CC, décembre 99 —> la transparence administrative devient un OVC


-loi du 12 avril 2000 —> rupture o ciel de la tradition du secret
-CE, 24 mars 2006 —> PGD du droit de connaitre le droit applicable.

La participation du citoyens au décisions :

-art 72 al 1 ( ? )—> enquêtes publiques, concertation publiques ect


-loi ESOC, 2018 —> reconnaissance du droit a l’erreur pour le citoyen adm

Chapitre 2 : les sources de la légalité en droit administratif :


Le bloc de constitutionnalité :

-CE, ass « Dehaene » 50 —> valeurs constitutionnelle du préambule de 46


-CE, « société eky » 60 —> la DDHC fait partie du bloc de constitutionnalité.
-CE, « amical des annamites de paris » 56—> reconnaissance des PFRLR comme ayant valeur
C° ( la c’était la liberté d’association )
-CC, « liberté d’association » 71 —> le conseil valeurs constitutionnelle du préambule de 46.
-CC, juillet 88 —> conditions pour donner vie a un PFRLR ( voir che )
-CE, ass, « koné » 96 —> les PFRLR peuvent fondé un contrôle de conventionnalité
-CC, 1979 —> principe de continuité est un PVC
-CC, « cedric herrou » 2018 —> principe de fraternité est un PVC
-CC,« union des Industrie de la Protection des plantes »,2020—>protection de l’environnement
OVC + le préambule de la charte de l’environnement est utilisé. Le cc dit que seul les droit et
devoirs proclamer par la charte ont valeurs constitutionnel
-CE, « commune d’Annecy » 2008 —> le CE a rme que seul les droit et devoirs proclamer par la
charte ont valeurs constitutionnel

La porte normative des dispositions constitutionnelles :

Voir che

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L’élargissement de l’invocabilité de la charte de l’environnement :

Voir che

II.L’étendu du contrôle de constitutionnalité du juge administratif :


Le contrôle des actes adm :

-CE, 27 juillet 2005 —> un exemple parmi tant d’autre = hypothèse simple ou le juge peu annuler
un actes adm contraire a une dispositions constitutionnel.

La supériorité de la constitutions sur les conventions internationales :

-CE, ass « Sarran » 98 —> les normes international sont sup au loi en vertu de l’art 55 de la C°
mais pas au normes de valeurs constitutionnel.

Concernant les cas ou il y a impossibilité d’opérer un contrôle de C° :

-CE, ass « fédération national de la pêche en france » 2013 —> dans le cas de loi antérieur a
la C°, le CE se dit ne plus etre compétent pour juger de l’abrogation d’une loi, seul le CC par une
QPC.

De la La théorie de la loi écran a la QPC :

-CE, sect, « Arrighi » 36 —> ( donc avant la QPC ) Le juge et ce en vertu de la séparation des
pvr, refusait de juger la C° des lois qui fonde un acte adm et donc l’acte adm lui meme, car ca
reviendrait a juger de la C° de la loi.
-CE, « Quintin » 91 —> théorie de l’écran transparent = la loi ne fait qu’habiliter le pvr
réglementaire et ne pose donc aucune règles de fond. Ici, le juge adm accepte de contrôler
directement l’acte adm en considérant que la loi ne fait plus écran.

Il y a aussi écran de la loi pour le contrôle de conventionnalité ?

-CE, « Deprez et Baillard » 2005 —> non, l’écran existe seulement dan l’hypothèse du contrôle
de C°. le juge dit qu’il peut faire un contrôle de conventionnalité. procéder très utiliser pour éviter
l’aléa de l’écran législatif

II) le controle a posteriori ( QPC, 2009 ) :


-Art 62 C° —> QPC

Conditions de recevabilité de la QPC :

-CE, « assos ALCALY » 2010 —> on vois bien qu’indirectement, le CE opère un contrôle de
constitutionnalité qui ne porte pas son nom en contrôlant la recevabilité des QPC.

Peut on fonder une QPC sur l’incompétence négative du législateur ?

-CC, « Kimberly Clark », 2010 = oui mais seulement si la carence du législateur a ecte un droit
ou une liberté que la constitution garantie.

Le caractère prioritaire de la QPC :

-CC, « ouverture de la concurrence en jeux d’argent », 2010 —>le CC rappel, dans le cadre
d’une QPC qui soulève 2 moyens ( conventionalite et constitutionnalité ), qu’il est : incompétent
pour opérer un contrôle de compatibilité entre une loi et un texte supranational + incapable au
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moyens d’une QPC, de contrôler la C° de l’exigence de transposition des directives + a rme la
possibilité pour les J de prendre des mesures provisoires en cas d’urgence avant la réponse de la
QPC + rappel que meme si une QPC est soulevé, le juges peuvent tjr saisir la CJUE par une Q.P

Chapitre 3 : les sources internationales et européennes :


-CE, (arret de principe) « Dame Kirkwood » 52 —>le juge va opérée pour la première fois un
contrôle de conventionalite = on acte la soumission de l’Adm au normes internationales.
-art 55 C° —> principe de suprématie des traites sur les lois Nationales + conditions de cette
suprématie.

La portée élargie de cette supériorité des traites sur les lois :

Le juge adm est il en mesure de contrôler la C° d’un acte administratif qui a été pris sur le
fondement d’une loi postérieur a un traite ?

-CC, décision « IVG » 75 —> pour le CC, le juge constitutionnel refuse d’opérer un contrôle de
conventionnalité d’une loi, il dit ne pas etre compétent.
-CE, « Nicolo » 89 —> le juge adm admet la possibilité pour le justiciable de demander
l’annulation de tt actes adm pris en application d’une lois postérieur a un traite duquel elle serait
inconventionelle. ( réa rmation de la superpose des traites sur les lois meme postérieur )

Les normes du droit de l’UE :

-CJCU « a aire Costa c/ Enel » 64 —> le droit européen prime sur toutes normes nationales
contraire ! Peut importe quelle soit postérieur ou antérieur

Des normes spéci ques au fondements autonome :

Droit primaire :

-CC, novembre 2004 —> le cc justi e constitutionnellement le respect du droit de l’UE en se


basant sur les termes de l’art 88-1 de la constitution, il l’interprète en disant que le constituant a
adjoint a l’ordre juridique interne, un ordre juridique communautaire qui lui est pleinement distinct.

PGDUE :

-CE, « syndicat national de l’industrie pharmaceutique » 2001 —> principes non écrits qui ont
la meme valeur que les traites

Le droit dérivé :

Voir cours
Section 2 : les conditions d’applicabilité du droit international :
Sous quelles conditions une normes internationale va pouvoir etre invoquer par un
justiciable ?

-art 55 C° —> pose 3 conditions : ratif ou approbation régulière, publication régulière et


réciprocité d’application ( sans compter la Conditions de l’e et direct )

La régularité de la procédure de rati cation ou approbation :

-CE, « parc d’activité de blotzheim » 98 —> CE utilise l’art 53 pour la première fois et ainsi,
opéré un contrôle de la régularité de l’acte de transpositions ( loi ou règlement ) d’un traite.
-art 53 C° —> le CE se véri e la régularité de la procédure sur la base de cet article.

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La publication :

-CE, « Chevrole » 1999 —> le CE refuse de véri er si l’équivalence du diplôme de médecine,


prévu par un accord entre la france et l’Algérie était respecter par l’Algérie. Le CE se contente de
formuler une question au Ministre des A.E.
-CEDH « chevrole c/ France » 2003 —> la CEDH dit qu’il y a violation du droit a un procès
équitable ( art 6.1 ) psq le juge adm suit la décision du ministre sans qu’il ni est eu de débat
-CE, « benseghir » 2010 —> le JA se dit etre compétent pour contrôler la réciprocités
d’application mais après avoir consulter le ministre des A.E.

Et du cotes de la CEDH ? Elle sanctionnent la non application d’un traite par un EM ?

-CEDH, « confédération nationale des asso catho » —> oui, la CEDH sanctionne.

La condition d’e et direct ( poser par la JP )

-CE, « GITSI », 97 —>CE reconnaît cette conditions d’e et direct pour qu’un particulier puisse se
prévaloir d’un traite. et se déclare compétent pour établir si le traite produit ou non un e et direct.
-CE, « GITSI et FAPIL », 2012 —> le CE nous précise les critère pour caractériser l’e et direct
( les termes du traité + le caractère inconditionnel et précis des stipulation invoqué + le
destinataire de la règle )

Le droit primaire :

-CJUE, « Simmenthal », 78 —> présomption d’e et direct du droit communautaire + le juge doit
faire primé le droit communautaire sur les lois national + quand les disposions sont claires et
précises, meme pas la peine de former une question préjudicielle, le juge adm peut directement
appliquer le droit communautaire ( théorie de l’acte clair ).-

Le droit dérivé :

-CE, « Boisdet », 90 —> primauté des règlements européen et décision sur le droit interne.
l’applicabilité des règlement et des décisions est directe.

Hypothèse d’applicabilité des directives non transposer en droit interne :

-CC décision sur la loi économique et nancière, 2004 —> a rme 2 choses sur la base de
l’article 88-1 : qu’il est constitutionnellement obligatoire de transposer les directives + réa rme en
interpellant ce mm article, la la primauté du droit de l’UE.

Concernant les actes règlementaires :

Que se passe t-il quand une directive n’as pas été transposée dans les délais , ou mal
transposée ?

-CJUE, « Van Duyn » 74 —> pour la CJUE, dans tout les cas, les dispositions d’une directives
claire, précises et inconditionnelles, sont d’e et direct ( est donc invoquable ) pour les
justiciable ( peu importe quelle est été transposer ou pas ).
-CE, « Alitalia » 89 —>l’administration étatique avant l’expiration du délais de transposition, a
obligation d’abroger les disposition réglementaire incompatible ou contraire aux O d’une directe

Concernant les actes individuels ( donc non réglementaire ) :

Est ce que le particulier peut invoquer directement la directive p o u r u n e d é c i s i o n s


individuel ?

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- CE, « Cohn bandit », 78 —> a l’origine, le CE refusait. Il Considère que le juge adm est
incapable d’annuler une décision individuel sur le fondement d’une incompatibilité avec les
objectifs d’une directives
-CE, « Perreux » 2009 —> Le CE renverse sa JP antérieur en posant pour principe l’invocabilité
d’une directives dans un contentieux avc une décision individuelle sous deux conditions : que le
délai de transpo soit expirer + que la directives soit précises et inconditionnelles.

Section 3 : l’étendu du contrôle de conventionnalité par le juge adm :

Le pouvoirs d’interprètes les convention internationales :

-CE, « GITSI », 90 —> le juge adm accepte d’interpréter les conv internationales uniquement
lorsque que les stipulation de la conv ne sont pas claires ( rpl : sauf pour le droit de l’UE )

La CJUE nous donne des conditions pour former une question préjudicielle ?

-CJUE, « CILFIT », 90 —> la question préjudicielle doit etre : pertinente + nouvelles + susceptible
d’imcomprehention ( ne laisse place a aucun doutes raisonnable ).

Le contrôle de conventionnalité in concreto dans le cas d’un réfère :

-CE, ass, « Gonzalez Gomez », 2016 —> le juge accepte d’opérer au contrôle de
conventionnalité d’une loi qu’il juge au cas d’espèce, porter une atteinte disproportionnée a
l’article 8 de la conv euro de sauvegarde des droit de l’H. Il faut comprendre que dans l’absolu, la
loi n’est pas incompatible mais que la de façons purement in concreto, elle l’est.
-Pour la CEDH dans un arret de 2023 —> l’encadrement législatif de l’insémination post
mortem, ne porte pas attention en soit, a l’art 8 de la conv.

la réserve constitutionnelle : la soumission du droit international a la constitution


dans l’orde juridique interne :

( pas le cours )

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