Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
droit adm S3 :
Legende :
= lois
-art 22 C° —> les ministres non pas de pvr réglementaire reconnut constitutionnellement, mais
peuvent contresigner des actes du PM.
-CE, « Jamart » 36—>ils ont un pvr hiérarchique sur les agents de leur départements ministériel.
-CE, mars 2022 —> valider un régime juridique permettant au préfet de déroger ( si motif d’intérêt
G et localement ) a certaines normes nationales, pour prendre des décisions non règlementaires.
Page 1 sur 6
ffi
ffi
Les autorités décentralisé :
-Loi du 31 décembre 1982 —> régimes dérogatoires pour les CT : paris, Lyons, Marseille
( créations par ex de leur arrondissement )
Les AAI :
-Rapport du CE, 2001 def des AAI —> des autorités ayant une nature adm, qui ont un pouvoirs
de décision ou d’in uence qu’elles exercent indépendamment du GOUV.
-Décisions CC, « CSA » 89 —> les Ami peuvent avoir un pvr réglementaire mais qui est restreint
a leur spécialité.
Le citoyen administratif :
-loi du 12 avril 2000 —> l’appellation de cette loi porte le termes « citoyen administratif »
Voir che
Page 2 sur 6
fi
fl
ffi
ffi
fi
L’élargissement de l’invocabilité de la charte de l’environnement :
Voir che
-CE, 27 juillet 2005 —> un exemple parmi tant d’autre = hypothèse simple ou le juge peu annuler
un actes adm contraire a une dispositions constitutionnel.
-CE, ass « Sarran » 98 —> les normes international sont sup au loi en vertu de l’art 55 de la C°
mais pas au normes de valeurs constitutionnel.
-CE, ass « fédération national de la pêche en france » 2013 —> dans le cas de loi antérieur a
la C°, le CE se dit ne plus etre compétent pour juger de l’abrogation d’une loi, seul le CC par une
QPC.
-CE, sect, « Arrighi » 36 —> ( donc avant la QPC ) Le juge et ce en vertu de la séparation des
pvr, refusait de juger la C° des lois qui fonde un acte adm et donc l’acte adm lui meme, car ca
reviendrait a juger de la C° de la loi.
-CE, « Quintin » 91 —> théorie de l’écran transparent = la loi ne fait qu’habiliter le pvr
réglementaire et ne pose donc aucune règles de fond. Ici, le juge adm accepte de contrôler
directement l’acte adm en considérant que la loi ne fait plus écran.
-CE, « Deprez et Baillard » 2005 —> non, l’écran existe seulement dan l’hypothèse du contrôle
de C°. le juge dit qu’il peut faire un contrôle de conventionnalité. procéder très utiliser pour éviter
l’aléa de l’écran législatif
-CE, « assos ALCALY » 2010 —> on vois bien qu’indirectement, le CE opère un contrôle de
constitutionnalité qui ne porte pas son nom en contrôlant la recevabilité des QPC.
-CC, « Kimberly Clark », 2010 = oui mais seulement si la carence du législateur a ecte un droit
ou une liberté que la constitution garantie.
-CC, « ouverture de la concurrence en jeux d’argent », 2010 —>le CC rappel, dans le cadre
d’une QPC qui soulève 2 moyens ( conventionalite et constitutionnalité ), qu’il est : incompétent
pour opérer un contrôle de compatibilité entre une loi et un texte supranational + incapable au
Page 3 sur 6
fi
ff
moyens d’une QPC, de contrôler la C° de l’exigence de transposition des directives + a rme la
possibilité pour les J de prendre des mesures provisoires en cas d’urgence avant la réponse de la
QPC + rappel que meme si une QPC est soulevé, le juges peuvent tjr saisir la CJUE par une Q.P
Le juge adm est il en mesure de contrôler la C° d’un acte administratif qui a été pris sur le
fondement d’une loi postérieur a un traite ?
-CC, décision « IVG » 75 —> pour le CC, le juge constitutionnel refuse d’opérer un contrôle de
conventionnalité d’une loi, il dit ne pas etre compétent.
-CE, « Nicolo » 89 —> le juge adm admet la possibilité pour le justiciable de demander
l’annulation de tt actes adm pris en application d’une lois postérieur a un traite duquel elle serait
inconventionelle. ( réa rmation de la superpose des traites sur les lois meme postérieur )
-CJCU « a aire Costa c/ Enel » 64 —> le droit européen prime sur toutes normes nationales
contraire ! Peut importe quelle soit postérieur ou antérieur
Droit primaire :
PGDUE :
-CE, « syndicat national de l’industrie pharmaceutique » 2001 —> principes non écrits qui ont
la meme valeur que les traites
Le droit dérivé :
Voir cours
Section 2 : les conditions d’applicabilité du droit international :
Sous quelles conditions une normes internationale va pouvoir etre invoquer par un
justiciable ?
-CE, « parc d’activité de blotzheim » 98 —> CE utilise l’art 53 pour la première fois et ainsi,
opéré un contrôle de la régularité de l’acte de transpositions ( loi ou règlement ) d’un traite.
-art 53 C° —> le CE se véri e la régularité de la procédure sur la base de cet article.
Page 4 sur 6
ff
fi
ffi
fi
fi
fi
ff
ffi
La publication :
-CEDH, « confédération nationale des asso catho » —> oui, la CEDH sanctionne.
-CE, « GITSI », 97 —>CE reconnaît cette conditions d’e et direct pour qu’un particulier puisse se
prévaloir d’un traite. et se déclare compétent pour établir si le traite produit ou non un e et direct.
-CE, « GITSI et FAPIL », 2012 —> le CE nous précise les critère pour caractériser l’e et direct
( les termes du traité + le caractère inconditionnel et précis des stipulation invoqué + le
destinataire de la règle )
Le droit primaire :
-CJUE, « Simmenthal », 78 —> présomption d’e et direct du droit communautaire + le juge doit
faire primé le droit communautaire sur les lois national + quand les disposions sont claires et
précises, meme pas la peine de former une question préjudicielle, le juge adm peut directement
appliquer le droit communautaire ( théorie de l’acte clair ).-
Le droit dérivé :
-CE, « Boisdet », 90 —> primauté des règlements européen et décision sur le droit interne.
l’applicabilité des règlement et des décisions est directe.
-CC décision sur la loi économique et nancière, 2004 —> a rme 2 choses sur la base de
l’article 88-1 : qu’il est constitutionnellement obligatoire de transposer les directives + réa rme en
interpellant ce mm article, la la primauté du droit de l’UE.
Que se passe t-il quand une directive n’as pas été transposée dans les délais , ou mal
transposée ?
-CJUE, « Van Duyn » 74 —> pour la CJUE, dans tout les cas, les dispositions d’une directives
claire, précises et inconditionnelles, sont d’e et direct ( est donc invoquable ) pour les
justiciable ( peu importe quelle est été transposer ou pas ).
-CE, « Alitalia » 89 —>l’administration étatique avant l’expiration du délais de transposition, a
obligation d’abroger les disposition réglementaire incompatible ou contraire aux O d’une directe
Page 5 sur 6
ff
fi
ff
ff
fi
ff
ffi
ff
ff
ffi
- CE, « Cohn bandit », 78 —> a l’origine, le CE refusait. Il Considère que le juge adm est
incapable d’annuler une décision individuel sur le fondement d’une incompatibilité avec les
objectifs d’une directives
-CE, « Perreux » 2009 —> Le CE renverse sa JP antérieur en posant pour principe l’invocabilité
d’une directives dans un contentieux avc une décision individuelle sous deux conditions : que le
délai de transpo soit expirer + que la directives soit précises et inconditionnelles.
-CE, « GITSI », 90 —> le juge adm accepte d’interpréter les conv internationales uniquement
lorsque que les stipulation de la conv ne sont pas claires ( rpl : sauf pour le droit de l’UE )
La CJUE nous donne des conditions pour former une question préjudicielle ?
-CJUE, « CILFIT », 90 —> la question préjudicielle doit etre : pertinente + nouvelles + susceptible
d’imcomprehention ( ne laisse place a aucun doutes raisonnable ).
-CE, ass, « Gonzalez Gomez », 2016 —> le juge accepte d’opérer au contrôle de
conventionnalité d’une loi qu’il juge au cas d’espèce, porter une atteinte disproportionnée a
l’article 8 de la conv euro de sauvegarde des droit de l’H. Il faut comprendre que dans l’absolu, la
loi n’est pas incompatible mais que la de façons purement in concreto, elle l’est.
-Pour la CEDH dans un arret de 2023 —> l’encadrement législatif de l’insémination post
mortem, ne porte pas attention en soit, a l’art 8 de la conv.
( pas le cours )
Page 6 sur 6