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DROIT CIVIL DES OBLIGATIONS

Cas pratique: examen

Juriste : Qualifier une situation juridiquement, traduire, articuler


Fait
PB : important
Règle de droit : S’approprier le texte et expliquer les termes et les définir. Pas de paraphrase.
En l’espèce : le plus important. Est ce que condition est réunie, pourquoi ? On envisage toutes lmes
hypothèses.
CCLS : On dit si la condition semble remplie.

PB juridique : 7 points
Appliquer le régime adéquat : on peut aller jusque 15. Il ft argumenter et prendre positions.
On explique objectivement le droit et on oriente subjectivement la question.

Lire les arrêts, c’est important car pourrait avoir les solutions.

Pas de bibliographie : Manuel complet comme précis Dalloz ou LJDJ Couverture verte, assez concis.

PARTIE I: INTRODUCTION

I- Les obligations

A- La notion d’obligation

Définition de l’obligation : C’est un lien de droit entre 2 ou plusieurs personnes destiné a créer des effets
juridiques. Activement l’obligation crée un droit dans le patrimoine du créancier et passivement elle créer
une dette dans le patrimoine du débiteur C’est lien de droit par lequel une personne appelé créancier peut
exiger d’une autre personne appelée débiteur qu’elle accomplisse une prestation ou qu’elle respecte une
abstention. Obligation crée activement droit ds pat du créancier et passivement crée dette ds pat du débiteur.

Plusieurs éléments découlent :

➢ -distinction entre devoir moral et obligation juridique.

Obligation Morales : Ne peuvent créer des effets de droit dans la situation des personnes que obligations de
nature juridiques. Celles consacrées par droit ou les contrats.
St donc exclu du champ du droit des obligations les obligations morales. Il peut y avoir préceptes religieux ,
règles de courtoisie. Le lien parfois ténu.
Il existe plusieurs exemples mais UN important : Obligation naturelle : C un devoir de conscience qui pt se
transformer en obligation civiles en cas de paiement ou de promesse de paiement. Ce st obligations non
consacrées juridiquement mais qui par une manifestation de volonté de leur auteur peuvent recouvrer une
force juridique.
Avant cette manifestation de volonté, avant quelle se transforme en obligation civile , obligation naturelle
ne rentre pas ds champ juridique. Donc, insuceptible d’exécution forcée. En revanche, Quand elle se
transforme en obligation civile, elle rentre ds champ juridique. Par conséquence, le créancier de cette
obligation est en droit d’en obtenir l’exécution. C art 1100 anc 1235 CC. Par exemple il n’y a pas
d’obligation de subvenir au besoin de l’enfant de la concubine= on ne peut pas demander le remboursement
âpres la rupture. Si on a ft une promesse de don, cet enfant peut demander l’exécution forcée.

➢ 2 catégories d’obligations naturelles:


L’obligation juridique donne prise à la contrainte étatique : si le débiteur n’exécute pas volontairement, il
peut y être contraint par la force. A cet égard, le devoir moral s’oppose à l’obligation juridique : il lui
manque précisément la contrainte étatique. Entre ces deux notions, il existe une catégorie intermédiaire,
celle des obligations dites « naturelles », par opposition aux obligations dites « civiles » . L’obligation
naturelle n’est pas susceptible d’exécution forcée ; en cela, elle ressemble au devoir moral. Mais, si le
débiteur de l’obligation naturelle l’exécute volontairement et en connaissance de cause, il est censé exécuter
une obligation reconnue par le droit positif. Alors le seuil du juridique est atteint. L’obligation naturelle est
une obligation juridique

• Obligation civiles avortées ou dégénérées: C’est des obligations dont il manque une condition de
validité ou d’efficacité à leur naissance juridique.
2 exemples :
- leg avec charge (=quand la gratification est conditionné a une obligation assumé par bénéficiaire) on peut
bénéficier du leg a condition qu’on fasse tel ou telle chose. Par exemple on a un comme immeuble comme
héritage mais on nous met a notre charge les frais de déménagement.
CONDITIONS:
S’il n’y a pas d’écrits, le lègue n’est pas valable. Il est nulle pour vice de forme MAIS la jurisprudence
considère que si l’héritier exécute la charge malgré tout, le juge peut considérer qu’il s’agissait d’une
obligation naturelle que l’héritier a transformé en obligation civile.

-l’obligation état par prescription. On n’a pas a payer une dette prescrite. Si on paye une dette prescrite elle
ne doit pas être restituée. En effet, le fait de payer malgré prescription démontre qu’on veut transformer
obligation naturelle en obligations civile.

• Les devoirs de conscience: devoir moraux impérieux relatif aux liens familiaux, humains ou à
l’honneur.
Par exemple: Pas d’obligations légales pour un concubins de subvenir aux besoins alimentaires de enfant de
sa concubine. Pourtant s’il subvient a de tels besoins, ne pourra pas en réclamer le remboursement car il
existe une devoir de conscience qui se transforme en obligation civile s’il est exécuté.
Idem pr attribution d’un logement au gosse de sa concubine. Il ny a aucune obligation legale. Ms s’il rédige
un acte par lequel il promet de lui mettre gratuitement a disposition le logement jusqu’à la fin de ses études
et qu’il revient sur sa parole, l’enfant pourra en demander réparation devant le juge, ici en promesse de prêt.

B- Le régime juridique de obligation naturelle :

- Toute obligation naturelle non transformée en obligation civile est in susceptible d’exécution forcée,
- L’exécution volontaire d’une obligation naturelle ne peut être remise en cause par son auteur. Il s’agit ici
d’une manifestation unilatérale de volonté ( acte juridique unilatéral).

Sa entraîne des conséquences : L’auteur doit avoir conscience de situation. Donc si assume obligation civile
par erreur, l’annulation serait concevable. D’autre part, l’auteur doit être juridiquement capable d’émettre
cette volonté. La capacité ces l’aptitude a être titulaire de droits subjectifs et de les exercer. Enfin, le
consentement doit être libre. S’il a été donné sous menace, l’acte pourrait être annulé.
Tout cela vaut pr promesse d’exécution. La promesse matérialise la volonté de passer dune obligation
naturelle en obligation civile Cette dernière engage son auteur.

Dernière chose a savoir : s’agissant dune manifestation unilatérale de volonté créatrice d’obligations,
l’entendue de l’obligation concernant son montant et sa duree est celle qui a été fixée par son auteur. ( La
durée). EX : Si concubin donne 500 euros, le fils de concubine ne peut aller devant le juge.
De cette definition, découlent les sources de l’obligation ( important).
Les sources de l’obligation

Art 1100 alinéa 1 du Code civil : les obligations naissent d’actes juridique, de fait juridique ou de l’autorité
seule de la loi.

Il y a donc des obligation contractuelles qui découlent des actes juridiques et obligation extra contractuelles
qui découlent des faits juridiques.

- Faits juridiques : ce sont des événements qui crée des effets juridiques qui ne sont pas voulues
directement par les parties art 1100-2.

Cette catégorie comprend deux corpus :

➔ la responsabilité civile extra contractuelle : 1240 du code civil L’auteur du préjudice a peut être
blessé la victime mais veut pas l’indemniser. L’obligation qui en découlent n’a pas été voulu.

➔ Les quasi contrat: 1303 du code civil: situation est voulue par l’auteur ( prendre soin de animal du
voisin injoignable), on s’en occupe mais peut être que voisin en question ne veut pas les effets. C
comme si y’a un contrat entre voisin et nous. La personne ne veut pas s’occuper de l’animal tout le
temps ( elle ne veut pas les effets) Pourtant elle doit aller jusqu’au bout. Une telle situation aura des
effets non voulu sur bénéficiaire de l’acte. Quand le voisin reviendra, devra ns indemniser alors que
il ne le voudra pas. C’est un faits juridique. A chaque fois que pas de rencontre juridique. Sa peut être
un quasi contrat ou on impose au propriétaire du chat une responsabilité civil.

Acte juridique : Manifestation de volontés créant des effets juridiques consenties par celui( 1100-2) ou ceux
(1100-1)qui les assume. Contrat aux faits juridiques, les effets qui en découlent st librement voulues par
parties.

L’obligation emmène a distinguer droit réels ( ce qui accorde a une personne un pouvoir direct sur une
chose) et droit personnel ou droit de créance ( permet a son titulaire qui est créancier d’obtenir du débiteur la
réalisation d’une prestation).

Il y a 3 différences entre droit réels et droit personnels :

• Droit réel est absolu et l droit personnel est relatif : le premier peut être invoquée a l’égard de tous
comme le droit de propriété et le second ne peut être invoqué envers celui qui est engagé ( on va pas
voir la mère du débiteur).

• Le droit réel est accompagné d’un droit de suite qui permet a son titulaire de revendiquer le bien
dans n’importe quelle main où il se trouve. Tel n’est pas le cas du droit perso ( si notre voiture se ft
voler, on peut la récupérer même si y’a un acte de vente. Propriété ne peut pas passer de main en
main). Tel n’est pas le cas du droit personnel.
• Droit réel est accompagné d’un droit de préférence permettant a son titulaire d’être préféré a l’égard
des autres prétendant. C un droit n’existant pas sur le droit personnel.

B- La classification de l’obligation

1- Classification selon objet

S’agit de rechercher l’objet de l’obligation, ce qui consiste a savoir ce a quoi le débiteur s’engage. Avant la
reforme, le code civil distinguait 3 sortes d’obligation selon leur objet :
- obligation de faire: impose au débiteur d’accomplir prestation ( réaliser ouvrage, réparer préjudice)
- obligation de ne pas faire impose au débiteur de s’abstenir:( obligation de non concurrence qui interdisent
d’avoir la même activité a notre nom a coté d’une autre entreprise. Ou On ns impose une abstention ou
obligation de ne pas construire un ouvrage)
- obligation de donner : impose au débiteur de transférer un droit réel au créancier comme propriétaire
d’une voiture dans le cadre d’un contrat de vente.
- obligation de prestarer qui impose au créancier de mettre une chose a disposition de l’autre( locataire qui
met le bien a disposition de l’autre = le bailleur s’engage a une obligations de prestarer)

2-Classification selon leur intensité

Reforme pas repris cette dichotomie ms tjr a l’œuvre ds raisonnement d’un juriste
DOC propose dichotomie pr mieux saisir obligations contractuelles et qui est fixée sur degrés d’intensité de
celle ci.
Pas ds texte .

Il y a deux types d’obligations ;

Obligation de résultats : Impose au débiteur de parvenir au résultat fixé. Le simple ft de ne pas y être
parvenu permet de démontrer la défaillance du débiteur et d’engager sa responsabilité contractuelle.
Créancier doit simplement démontrer que but n’a pas été atteint . A charge pr le débiteur de s’exonérer en
démontrant existence d’une cause étrangère. La charge probatoire est assez simple
Obligation de moyens : Celles par lequel le débiteur doit déployer ses effort pour parvenir au résultat
projeté. Ne pas y parvenir n’engage pas sa responsabilité contractuelle. Créancier doit démontrer l’existence
d’une faute du débiteur. En l’absence de cette démonstration, le débiteur est libéré. Charge probatoire est
plus difficile pour le créancier.

Il y a des degrés variable entre ses deux catégories :


- au plus haut degré, il y a obligation de garantit ( va au delà obligation de résultat car doit indemniser
créancier même en présence de cause étrangère) . Mémé en cas de force majeur, on doit indemniser. Par
exemple:
C pas une obligation de résultat si on prend le cas de vice caché . On doit pas prouver que chose fonctionne
pas mais surtout démontrer existence d’un défaut. Si la réalité du défaut est démontré on peut pas s’exonérer
de la force majeure.
C pas obligation de moyen car on a pas a prouver existence d’une faute ( ne pas avoir mis tout les moyen).

- Il y a également obligation de moyen renforcé ou de résultat atténués :entre obligation de résultat et de


moyen. Il s’agit de celle qui impose une présomption de faute a l’égard du débiteur. Plus forte que obligation
de moyen car créancier a pas a démontrer existence d’une faute car est dors et déjà caractérisée. Ms s’agit
pas non plus d’une obligation de résultat car débiteur pt toujours démontrer qu’il n’a pas commis de faute en
apportant éléments d’ordre comportemental.

- En deçà de obligation de moyen standard, il y a obligation de moyen allégée : celle par laquelle le
créancier doit apporter preuve d’une faute grave du débiteur et non pas une faute simple. Elle est allégée
pour le débiteur.

Le raisonnement pour choisir en cas de cas pratique:


1. est ce qu’il existe un txt impératif qui règle la question ( c txt auquel parties ne peuvent déroger).
S’il en existe, on l’applique.
2. Si pas de texte impératif, est ce que y’a stipulation contractuelle qui apporte quelque chose ?
Contrat pt dire « ceci est obligation de moyen ».
3. Si contrat ne prévoit rien et pas de texte impératif, ft rechercher existence d’un texte supplétif ( qui
s’applique a défaut de volonté contraire). Comme 1732 en mat de bail. Présomption de faute qui
pèse sur locataire. Il pt avoir volonté contraire, si non, on applique ce texte .
4. Si pas de txt supplétif, se référer a la JP. Pls critères que les juges adopte :
- D’une part ; rôle actif ou passif du créancier : si créancier doit participer a réalisation de prestation, normal
que débiteur st tenu a obligation de moyen car maîtrise pas tout processus d’exécution de obligation.
Inversement, si créancier na que une attitude passive, on pt imposer au débiteur obligation de résultat
- D’autre part, l’incertitude ds exécution de obligation. Qd il y a aléas. On peut admettre que débiteur st tenu
d’une obligation de moyen : si Chirurgien respecte geste chirurgical pas oblig de reussir et sauver son
patient. IDEM pr avocat.

- gratuité ou oneroité du contrat : si gratuit, c oblig de moyen, ms plus sévère pour contrat onéreux car on est
payé pour presta. Il pt arriver que obligation st de résultat. Juge plus sévère.

II- Le contrat

A – Retour de la réforme du droit des contrats

1- La genèse de la réforme

Il y a eu l’appel du 11 mars 2004 : Il y avait velléité de reforme en 1904 mais en 2004, l’engouement pour
ladite reforme s’est accru. 11 mars 2004 : colloque sur bicentenaire du Code civ. Président de république
( Jacques Chirac) a prononcé des mots forts en faveur de la reforme.
- Cet appel pas demeure vain car 22 sept 2005 est proposé avant projet de reforme dirigé par P Catala.
-Et un second en 2008 dirigé par Francois terré.
Il y a eu projet de reforme du 25 février 2015,qui a conduit a la reforme du 11 février 2016. Le projet est
soumis a consultation publique et qui a permis au gouvernement de récolter de nombreuses contributions
pour faire évoluer les textes. Ceci a donné a l’ordonnance de 11 février 2016.
-Loi de ratification du 20 avril 2018.= ordonnance qui

2- Objectifs de la reforme

Plusieurs objectifs :

D’abord, renforcer attractivité du droit français des contrats. Pr envoyer signal fort aux opérateurs
économiques français étrangers, notamment paris qui demeurent place forte. Sa passe par suppression
formelle de certaines notions qui étaient considérer comme complexe ( exemple = la clause) et également
accentuation de l’unilatéralisme en droit des contrats( consacrer la fixation unilatérale du prix dans les
contrats cadre) et sa passe par introduction comme fixation unilatérale du prix dans contrat cadre et ds
contrats de prestations de services. On peut anéantir au cours d’exécution, et action en diminution du prix
qui procède d’un comportement unilatéral du créancier. Par exemple= On reçoit marchandise partiel, on peut
réduire montant de la facture.

Passe par prise en compte de l’intérêt du débiteur défaillant. Théorie de la réparation adéquate= Le juge va
pouvoir choisir le mode de réparation le moins coûteux pour le débiteur. Si on veut un remboursement alors
que moins coûteux c réparer, juge pt imposer réparation.
Définition plus souple de la force majeure. On peut pas être fourni a cause d’un cas de force majeur.

- 2eme objectif: renforcer intelligibilité du droit commun des contrats :


➢ Sur la forme, le législateur a modernisé le style du Code civil mais également d’avantage de
définition. Le plan du Code est devenu plus pédagogique et plus didactique .
➢ Sur fond, codification a droit constant. Il s’agit d’entériner dans la lois des acquis jurisprudentiels.
Dans certains cas on brise des acquis jurisprudentiels

- Dernier objectif: c’est d’aller vers plus de justice contractuel. Protection de partie faible du contrat.
Il y a la parti intrinsèquement faible ( introduction de abus de dépendance de nature physiologique ,
physique). Il y a également la défense de la partie économiquement faible.
Le Législateur a étendu unilatéralisme des contrats mais il a pose garde fou .

EX : règle de interprétation contrat profarentem ( contre celui qui stipule la clause). C’est une règle en
faveur de celui a qui on impose la clause. Ou encore contrôle de abus du prix dans contrat cadre ( C un garde
fou) . Il y a compromis entre liberilation et protection de la partie faible.

3- Son application dans le temps ( de la réforme)

Nécessite de revenir sur règles de conflit de droit dans le temps.

En l’absence de dispositions transitoire, il faut faire application de l’art 2 du Code civil. La loi ne dispose
que pour avenir, elle n’a pas d’effet rétroactif.
De manière général, les situations déjà constituées seront régis par la loi en vigueur au moment de leur
constitution. En déclinant le principe a matière contractuelle, cela signifie qu’il faut appliquer loi en vigueur
au moment de la conclusion du contrat même si reforme est apparue entre temps.
C’est ce qu’on appelle le principe de survie de la loi ancienne.

Il y a 3 exceptions qui conduisent à faire application immédiate de la loi nouvelle:


➢ Loi de procédure s’appliquent immédiatement
➢ disposition d’ordre publique impérieux :règles très importante sociaux économique
➢ Effet légaux : les effets qui découlent de la loi et non de la volonté des parties. Exemple une loi qui
organise une procédure de connotation particulière.

Ms pour reforme de 2016, c’est le législateur qui prévoit les disposition transitoires. Dc, on les applique. C
le drt transitoires qui s’applique
celons ART 9 de l’ordonnance 2016 « les disposition de la reformes entre en vigueur a compter du 1er
octobre 2016 » ( les règles ont ete promulguer le 11 février 2016 mais entre en application que le 1 er
octobre ) donc on applique le droit transitoire pendant toute cette période sauf pour action interrogatoires
qui sont d’application immédiate.

Selon art 16 de la ratification du 20 avril 2018, la solution s’applique également aux effets légaux du contrat.
Comme L de 2018 modifie certain texte, c posé question de loi d’application. La loi dit quelle rentre en
vigueur a compter du 1er octobre 2018 sauf pour disposition interprétatives qui sont d’application immédiate
( certaines dispositions modifiés ou le législateur apporte juste précision, c dispositions interprétatives donc
on ft application immédiate même entre contrat entre 2016 et 2018.

On a un droit d’obligation 3 strates du droits des contrats


- avant le 1er octobre 2016
- entre le 1 er octobre 2016 et le 1 er octobre 2018
- âpres le 1er octobre 2018

On parle de ca ds cas pratique que si question se pose.


B- Autour du contrat

1- Notion de contrats

Définition : Accord de volonté entre deux ou plusieurs personnes destinées a créer, modifier, transmettre ou
e*éteindre des obligations.

Element central est accord de volonté. Sans cet accord, pas de contrat. Av, on faisait allusion a la convention.
Mtn on ft ref exclusivement a la notion de contrat.
Cet accord de volonté doit intervenir enytre deux ou plusieurs personnes. Ce qui distingue le contrat, c’est
pluralité.
Parties peuvent contracter directement ou passer par intermediaires chargées de les representer mais ds tt
cas, le contreats ne produit effets que à l’égard de ceux qui ont consenti.

2- Définition centrée sur effet

Legis integre ttes operations sur obligation. S’agit de créer des obligations, de les modifier car une foi crée,
une obligation peut etre modifiée au cours d’execution du contrat et l’étendue de la modification pt etre telle
qu’elle conduit à une obligation nouvelle. C’est la novation. Cette operation pt avoir conséquence sur le sort
d’autresz closes du contrat. Est ce que clauses du contrat survivent à cette novation ?

Autre effet de accord de volonté c’est transmettre des obligations. Possible de transmettre une ou plusieurs
obligations d’un acte déjà crée par un contrat conclu à cet effet. Il s’agit des cessions de créances, de dette
ou de contrat. On cède une dette à une autre personne.

Ces opérations se distinguent par leur effet translatif. Obligation subsiste ms positions des parties change.
On transfert ainsi la position de créancier , de débiteur ( cession de dette) ou la position de contractant
( contrat).

On a vu crée, modifier et mtn, eteindre


3eme effet : éteindre : mettre fin a une ou plusieurs obligations. Certains contrats permettent exclusivement
une obligation comme la remise de dette par laquelle créancier consens une extinction totale ou partielle de
l’obligation assumée par le débiteur.

Se pose de acte unilatéral de volonté : art 1100 -1 Du Code Civ. Résulte de la manifestation d’une volonté
unique de produire des effets de droit de son auteur ( le meme qi emet cette volonté. On s’oblige soi meme
sans accord dune autre partie. C acte jjuK , il obeit dc aux regles de droit commun des contrats. Comporte 4
elements caracteristiques :
- Acte volontaire : Ft vérifier intégrité du consentement emit pas son auteur
- effet juK s’impose à son auteur
- La volonté dt avoir été émise dans le but de produire effet juK recherché
- L’acte juK n’émane que d’une seule volonté ;
Ex : le testament, le préavis, la renonciation à un droit. La renonciation ne se présume pas, dt etre claire et
non équivoque, la confirmation d’une nullité ( qd on a acte nullité, on passe outre) ou ratification d’un
mandat, rupture unilatérale d’un contrat, reconnaissance de dette, promesse d’executer une obligation
naturelle, la mise en demeure.

Ft distinguer acte unilatéral du contrat unilatéral ou l’autre partie pr beneficierde la presta dt avoir donné
sonn accord . Comme contrat uni ( contrat d’usage).
3- Classification des contrats

Peuvent etre classé selon mode de confusion, contenu ou structure du contrat ( c), selon droit applicable (d).

A- Classification selon mode de conclusion du contrats

distinction selon contrat consensuels, solennels et réels ( 1109)

Consensuels : contrat se forme par échange de consentements peu importe le mode d’expression. Simple
echange de volonté suffit à former le contrat qd bien même aucun écrit a été rédigé. Ex : si prof me vend son
ordi à 100 euros. Ecrit pas une condition de validité du contrat. Il est exigé à titre de preuve. C’est un ecrit
ad probatiomem.

Solennel : contrat se forme lorsque sa validité est subordonnée à des fomes determinées par la loi : L’écrit
devient une condition de validité du contrat. On dit qu’il est exigé ad validitatem. Formalités st diverses et
peuvent consister en acte notarié, en un acte sous seing privé, en un enregistrement ou exiger des mentions
obligatoires. Fondement varié », ecriyt pt etre exigé pr proteger la personne comme ds une donnation ou
assurer l’information du contractant comme ds le cautionnement ( personne qui garantit dette d’autrui, dt
avoir conscience qu’il engage son pat). Sa pt etre egalement pr informer les tiers comme ds promesse
unilaterale de vente immobbilière qui dt etre effectuée par acte notarié et ceux pr informer l’administration
fiscale. C pk on impose un acte notarié.

Réel : celui dt formation est subordonné a la remise d’une chose . C ce quon apelle la tradition. Cat se reduit
au fur et a mes du temps : contrat de prêt à usage ( se forme a partir de la remise de la chose. Si chose pas
remise par pretteur, l’autre partie ne pt rien en exiger car contrat pas formé sauf si ya eu promesse de prêt),
contrat de prêt de consommation ( celui qui porte sur chose consomptible, qui se detruit par usage qui oblige
a redonner quelque chose par de la meme espece, qualité), contrat de depot ( se forme par remise de la chose
par deposant comme contrat garde mmeuble) et enfin le don manuel ( se forme par la remise materielle de la
chose a titre definitif et sans contre partie. La cat des contrat réel est limitée pr proteger celui qui se desaisie
de la chose. On accorde le benefice du preteur pr se desaisir. Se reduit d’avantege. En effet, le contrat de
prend contrat de pret d’argent. Ce contrat se forme par remise de chose . Banq apres avoir accorde sur pcp
d’un prêt pt revenir sur sa deciison avant de verser materielment la somme . C dramatique pr consommateur
pr consommateur ou pro qui financent leur projet. C pk JP a operé un revirement en considerant que les prêt
d’argent accordé par professionnel du credit tant au conso qu’un professionnel sont des contrats
consensuels , cad qui se forme par seul echange des volontés. Pr consomateur : Civ 1ere 27 mai 1998 pr
consomateur et professionnel : CIV 1ere 28 Mars 2000.

Pk ce revirement, jUGE considere que la personne a proteger c’est pas preteur mais consomateur.

Distinction entre contrats de gré à gré ou contrat d’adhésion : 1110 CC

Gré à gré : celui dt stipulations sont négociables entre les parties : conforme a theorie classique du contrat
qui postule que partie st libres et contractent sur un meme pied d’égalité de sorte que contenu contractuel est
le fruit de la commune volonté des parties. Cette conception ne resiste pas la realité ecoK des contrats qui
souvent postulent plutot une inegalité structurelle entre contractant où l’une des parties est en inferiorité
écoK et n’est pas en mesure de négocier le contrat. C pk reforme introduit a coté du contrat de g a g , la def
contrats d’adhésion. Mtn, dychotomie fonfamentale du nouv drt des contrats. A coté des contrats
structurelemnt equilibré ( contrat de g a g) est reconnu existance de contrat structurelement désequilibrés
( contrat d’adhésion

contrat d’adhésion : ya eu 2 def :


- Version actuelle : contrat qui comporte ensemble de clauses non négociables et determiné a l’avance par
l’une des parties. Ms cette version du texte applicable à compter du 1er oct 2018 . Entre 1er Oct 2016 et 2018,
ft appliqiuer version anterieure qui donnait chose suivante :!

C celui dt consitions generales soustraites a la negociation st determinée a l’avance par l’une des parties.
Pls differences st a relevées :
- avant été appréhendées conditions generales alors que mtn, ft identifier un ensemble de clauses. En
l’absence de condition generales on pouvait se demander si ya contrat d’adhésion, qu’en était il des
stipulation particulières ? Ens des clauses est une expression englobant plus grand nombre de situations.
- Avant, ete ft ref a absence de negociation et desormais on ft ref a absence de negociabilité . Av, c’était plus
large car absence de negociation implique resultat objectif : on remarque que pas de nego dc contrat
d’adhesion. AlORS QUE MTN si clause avait pu etre negocié mais ne la pas été , contrat d’adhésion. Si
cause pouvait etre negociée et qu’elle ne l’a pas été, il ne s’agira pâs d’un contrat d’adhésion. Se pose
egalment question de chgarge de preuve : Qui dt demontrer absence de negociabilité ? En pcp c adherant ( a
qui on impose le contrat) a charge ensuite pr le stipulant ( d edémontrer quer la clause a été négocier ou
aurait pu etre négociée.

Est necessaire de bien les distinguer ( de g a g et adhesion car régime différent s’applique, plus protecteur
des contrat d’adhesion que de g a g.

Ya regle d’interpretation en faveur de adhérant art 1190 Code civ : ds doute, le contrat s’interprete contre
celui qui l’a proposé. Autrement dit, sinterprete contre le stipulant car tient plume du contrat. Doute profite à
adhérant

pr contrat de g à g, en cas de doute, il s’interprètre contre créancier et en faveur du débiteur.


2eme regle : regle du desequilibre significatifs pr contrat d’adhesion seulement . Art 1171 . Si contrat
dadhesion, on regarde l’équilibre contractuelle . Pr l’autre pas besoin car le contenu voulu par les parties

B- Selon le contenu ou structure du contrats

Contrat intuitu personae : Contrat conclu en raison de la qualité ou de identité de la personne. Cette
consideration dt etre d’une paryticulière importance pr etre qualifié d’intuitu personae : contrat de travail ,
contrat de franchise, contrat de mandat. L’intuitus pt concernet une des parties seulement ou les deux à la
fois ( contrat de travail il vaut que pr l’employeur à l’égard de l’employé). Va dans les deux sens pr contrat
de franchise.
Intuitus pt concernet formation du contrat ou juste formation du contrat et son execution. Essentiel en cas de
transmission de acte entre vifs ou a cause de mort. Si concerne que formation on pt ceder mais pas formation
et execution.
Certain contrat st int per par nature comme le conytrat de maandat tandis que d’autre ne le sont pas par
nature comme celui de vente ( on s’en fou de l’acheteur). Ms si on vt en introduire un institu personae , il ft
le préciser ds contrat. Enfin, l’int per conduit à plusieurs effets sur le contrat :
- sur la formation du contrat, si ya int per, le contractant sera element essentiel du contrat et dc nullité pourra
etre demandée en cas d’erreur sur la personne.
- sur l’execution, prestation devra etre réalisée par le contractant personnelement. On pt pas avoir de sous
contrat, on pt pas sous traiter
- Sur l’ éxtinction du contrat, la disparitoion du contractant entraine anéantissement du contrat.

C- D’après contenu ou structure du contrats

Code civ riche d’enseignement


Contrat synnalgmatique et unilatéraux ( pas d’acte mais contrat§§) : 1106 Cod civ ; Contrat syn ( contrat de
vente) celui par lequel les parties s’obligent reciproquement les unes aux autres tandis que unilatéral est
celui par lequel une seule des parties s’oblige envers l’autre ( unilaterale on a donnation où le donnataire dt
certes consentir ms seule le donnateur s’engage a transferer prop de la chose ), le contrat de prêt à usage
( que l’empreinteur qui s’engage a restituer la chose en fin d’usage).

Pr etre synalgmatique, ft que les obligations soient interdépendantes. Des fois pas de contrat
synalagmatiques meme si ya oblig de part et d’autre. PK car elles ne seront pas interdépendante . C’est
critères . EX donation avec charge ( qd donnataire dt assumer obligation pr etre gratifié de la chose comme
assumer frais de demenagement. C pas synalagmatique car obligation accessoires assumés par donnataire dc
celui qui recoit, n’est pas reciproque avec obligation de donner qui incompe au donnateur)

Contrat a titre onéreux et gratuit : onéreux quand chacune des parties recoit de l’autre un avantage en
contrepartie de celui qu’elle procure. C onereux quand contractant a quelq chose en echange de son
engagement. Ex : Contrat de vente.
A titre gratuit : qd une des parties procure un ajutre un avantage sans recevoir ni recevoir de l’autre une
contrepartie. S’agit de engagement d’une personne qui attend rien de autre partie en echange de obligation
qu’elle assume , not parce qu’elle est animée de l’intention libérale. Ce qu’il ft avoir a esprit c que regime
des contrat onereux est plus sévère que celui des contrats gratuits. Ex : contrat de vente : acheteur beneficie
d’un certains nombres de garantit ( de conformité, des vices cachés) car a payé un prix . Ms c choses
n’existent pas pr contrat de prêt à usage car c un contrat purement gratuit. Ft dc pas alourdir obligations du
preteur. MS , existe contrat en appparance gratuit mais qui st en réalité c gratuité d’affaire. concessionaire de
voiture qui ft essayer un vehicule à un client susceptible de l’acheter par la suite. S’agit d’un prêt. Le pro
n’est tenu en pcp que des vices qu’il conaissait, ceux quil ne connaissait pas, il n’a auccune resp . Dc si
freins defectueux et que clients de blesse, ce dernier devra prouver que professionnel avait conaissance du
défaut. Ms professionnel ne met pas son vehicule a disposition par bonterd’ame mais pr impulser
acted’achat dc régime de garantit sera plus sévère. Sera tenue des vices de la chose ,meme de ceux qu’il ne
conaissait pas . C un contrat de prêt intéréssé.

- Contrat commutatif et aléatoire :

1108 : Commutatif qd chacvune des parties s’engagent à procurer à l’autre un avantage regardé comme
equivalent de celui qu’elle recoit, sa se vaut. Le prix que je paie est commutatif car prestation se vaux. Il est
commu qd avantages consenties par chaque partie st fixés avec certitude dès conclusion du contrat.
Contractans savent déjà ce qu’elle vont obtenir. Ex contrat de vente : je paie pas un prix pr produit mystère,
je sais ds quoi je m’engage. Ds certaines situations, peut y avoir lésion dès la conclusion du contrat. L’une
des parties ne recoit pas avantage équivalent par rapport a celui qu’elle consent. ( Ya pcp d’indifférence de la
lesions art 1168) qui ft que juge a pas a verifier si prestations sont équivalentes entre elles sauf cas
exeptionnels listés par legislateur. Ex : si j’achète un porte clés de 4000 euros.

Aléatoire : lorsque parties acceptent de faire dépendre effets du contrat qt aux avantages et aux pertes qui en
resulteront d’un event incertain. Il ft que aléa soit rentré ds champ contractuel dès la ccls du contrat : Ex :
contrat d’assurance . Selon la survenance ou non de event garanti par assureur, assuré obtiendra ou non
équivalent du prix qu’il verse chaque mois. C raison pr laquelle la lésion jamais prise en compte. L’aléa
chasse la lésion. On ne pt jamais remettre en cause le contrat en pretextant n’avoir tiré aucun avantage de
opération.

Contrat cadre et application : 1111 : Contrat cadre : accord par lequel des parties conviennent des
caracteristiques generales de leurs relations contractuelles futur
Contrat d’application precisent modalité d’execution du contrat cadre ( qd ft livrer, la quantité)

- Pas de lien de dependance entre contrat cadre et application de sorte que si contrat cadre est anéanti,
contrat d’aplication subsiste. Aneantissement du contrat d’application n’atteint pas contrat cadre.
- Ft que deux parties consentent a la fois au contrat cadre et aux contrat d’application. Contrat cadre pas une
promesse de contrat car ds celle ci, le promettant est dores et déjà engagé. Ft autant de consentement qu’il
n’y a d’acte. Le contrat cadre est pas un contrat de consentement successive. Contrat cadre : L ancienne et
contrat d’application : L nouvelle. Dscontrat cadre, le prix pt etre fixé unilatéralement par l’une des parties (
1165) pr fluidifier vie des affaires et répondre à des contraintes qui pèsent sur opérateurs écoK. Ms, le
stipulant engage sa resp pu risque resiliation du contrat en cas d’abus dsla fixation du prix

Contrat à execution instantanée et successives : 1111-1 C civ : instantanée : celui dt obligations peuyvent
s’executer en une prestation unique. Suffit de prendre exemple du contrat de vente . Obligation des parties
s’épuisent en un seul trait de temps

a execution successives : celui dtobligations d’au moins une partie s’executent en une seule presta
échelonnées ds le temps comme le contrat de » bail. Preneur s’engage a verser loyer durant tte la durée de
jouissance d’un bien. MM si prestation s’execute ds le temps, s’agit d’un seul et meme contrat. Meme si une
loi nouvelle entre en vigueur duranrt execution du contrat, on lui applique le régime de la loi ancienne. Ms
attentin a une varieté de contrat instantané qui se confondent avec ceux a exevcution successives : contrat a
execution echelonée ds le temps. C une seule et une meme presta fournie par tranche : VEFA. Contrat de
vente conclu ms ft du temps pr que la maison se construise. Idem pr les journaux quon recoi tt les mois. Ft
bien comprendre car a conséquences sur régime applicable.

Ds contrat a execution successive : inexecution pt donner lieu en pcp a résiliation du contrat, dc


aneantissement du contrat pr l’avenir. On ne remet pas en cause ce quib a déjà été executé ( on pt resilier
abonement telephonique).

Ds conbtrat a execution instan : inexecution pt donner lieu en pcp a aneantissement retroactif du contrat.

Classification d’après le droit applicable

Contrat nommé/innomé : 1105

Nommé : ceux qui ont denomination légale comme cotrat de vente. Innomée : ceux forgés par pratique ou Jp
ont pas de definition légale comme contratde coffre coffre. Pas de qualification legale ms sus generis.
Certains contrats inomés ont ete consacrés par la loi comme contrat de crédit bail. Pas de der au debut mais a
été codifié par Code monétaire et financier. Ya des contrats nommés, def a disparu des textes et st devenus
contrat inomés ( contrat de cooperation comerciale).

Ds tt cas , peu importe leur denomoination. C contrats repondent aux regles de drt commun en plusbde celles
qui s’appliquent spécialement specialmeent pr ces dernier :
Con De vente : applique regles du drt commun des contart et egalement drt speciale de vente pr certaines
questions telles que garantis. Certaines relations vt obeir a d’autres corpus de règles en plus de celles issus
du Code civ. EX : Relation de consommation entre consommateur et pro. St rehgis par Code de conso meme
si règles du droit commun des contrat auront voocation à s’apliquer. Idem pr relation entre pro régis par des
professionnels en plus de régles de droit commun. Se pose dc une necessaire question d’articulation entre
règles generales et spéciales. On pt appliquer un adage : le spécial l’emporte sur le général.

La question des contrat inter : Pas ca ds Cas pratique

C contrats comportant un element d’extraneité . St que contractant resident ds diff pays ou que lieux de ccls
et dexecution des contrat soient diff. C contrats inter vt potentielement conduire a deux type de conflits : -
celui de la juridic° compétente et du conflit de loi « quelle loi va etre applqiuée au contrat ? ». En drt inter,
certaines disposi° générales apportent des solutions art 3 , 14 et 15 Code civ. Il existent neanmoins des
reglements, convention qui harmonisent conflit de L ds espace entre E signataires. En drt du UE ya
Reglement Rome 1 sur L applicable aux obligayion contractuelles après contrats conclus après 17 nov 2009.
Plusieurs critères st prit :
- Volonté des parties
- a defaut de cette volonté, ya critères de rattachement liés a la nature du contrat
- Pr conytrat non visé par critère de ratachement , est désigné le lieu de residence du debiteur decideur de
obligation caractéristique. A défaut, c la loi avec le pays duquel le contrat pprésente les liens les plus étroits.

Ce reglement s’applique a defaut d’autre convention inter plus specifique comme convention de vienne sur
vente inter de mlarchandise .

4 – Les pcp du Drt des contrats

A- Pcp de autonomie de volontés

Autonomie de volonté : ds conception stricte, aut de volonté vt dire que volonté a en elle meme force de L,
voir, serait sup celle posée par le,legis. Cette therie part d’u triple postulat :
- que ho naissent libres
- qu’ils st rationnels ds leurs choix
- respectent la parole donné
decoulent de ces postulat deux pcp corollaires : la lib contractuelle et force obligatoire du contrat/

Le pcp de lib contratctuel : 1102 : la lib contract consacre la possibilité de se contraindre soi meme. C lib de
réduire sa liberté. Ce pcp a valeur constitutionelle. Cons Cons 19 dec 2000 ms legis pt y porte atteinte dès
lors que cette atteinte est legitime et proportionnné au but poursuivi. Conxs cons 13 juin 2013. Il se decline
en 4 element :
- lib de conttraacter ou de ne pas contracter
- lib de choisir son co-contractant. Ms pose qs° du refus de vente qui est en pcp interdit sauf en cas de motif
légitime (écoulement des stocks). Ms ds relation d’affgaire ; refus accepté sauf en cas de discrimination
illlicite. Où le refus l’ouverture d’un comp^te ou crédit c’est autorisé
- lib de choisir le contenu contractuel. Ya tempérament : legis pt imposer clauses ou conrat types.Aussi, juge
pt supp clauses qui manifestent abus de lib contracctuelles comme celle qui enytraine desequilibre
significatif . Juge pt reputer clause non écrite. 1171.
- Lib de choisir forme de son contrat. Decoule pcp du consensualisme qui postule que les parties peuvent se
lier sans avoir à respecter des formalités précises, de sorte que contrat pt etre verbal simplement. Ms des
fois, la forme pt etre imposés ( a titre de validité ou de preuve).
Lib contractuel connaît une limite incompressible, c respect de ordre pub : 1162, 6 Du code civ.

- Pour force oblig du contrat : les contrats legalement formés tiennent lieu de loi a ceux qui les ont ft. Pls
conséquences : Conventions doivent etre respectées pacta sunt servanta . Une fois formé, parties doivent
aller jusqu’au bout de accord et execter conformement aux attentes convenus. En cas d’inexecution, la L
aqsure son soutient pr que contractant lésé obtienne satisfaction COMME titre executoire, reparation du
préjudice. Ya autre consequences : ceux que parties ont ft, seules les parties peuvent le défaire , c le mutuus
dissencus. Ya un parallelisme d’effort.

B- Pcp correcteur de bonne foie

pas def de bonne foie. C un critère d’interprétation à l’intention du juge et également une norme
comportementale à l’intention des parties. Ne pas se comporter de mauvaise foie pt entrainer
condamnation…
Positivement cce comporter d’une facon conforme au droit. Permettra au juge d’imposer obligation
supplémentaire à égard des parties. C le forcage contractuelle ( oblig de formation, de collabration, de
sécurité).
La portée du pcp de bonne foie s’applique lors de formation, de conception et formation. Dc a ttes etapes de
vie contractuel
le et meme post contrat ( clauses de non concurrence). Certains arret considere que pt avoir anéantissement
du contrat ( sanction) mais surtt la resp civile car c une norme comportementale. Ne pas la respecter engage
notre resp civile.

Le cours aura voccation a suivre étapes de la vie contractuelles

Gestation du contrat jusqu’a son eclosion. Ensuite on suivra déroulement la vie de contrat et sa mort, son
extinction. Enfin, ce qui en reste après sa mort.

Partie I- La formation du contrat

Étude de formation consiste a envisager la gestation de acte . C’est période de pré-contractuelle jusqu’à la
naissance de l’acte. Bien qu’étant né, contrat doit etre viable. De sorte que si il lui manque des organes
vitaux, il peut y avoir sanction pour contrat non valable.

Chapitre I- Période pré-contractuelle

Tout élements qui entourent ccls du contrat seront pris en compte pour décider de sa vitalité.
Si contrat a été proposé en bloc, sans même avoir été proposé à la negociation, il s’agira d’un contrat
d’adhésion. Les conséquences : adhérant pourrait remettre en cause validité de certaines obligations qui en
découlent.
- En cas de négociation, si l’un des contractants a donné son consentement sur certains elements du futur
contrat de manière précipité, ne pourra plus se dénier.
- Si l’un des contractans commet sciemment ou parnéligence d’attirer attention de l’autre partie sur un
elements détérminant de son consentement, le contrat risque d’etre re:mis en cause par la suite.

- Si l’un des contractants force ccls du contrat ou ne s’enquiert pas de attitude de autre partie à contracter,
contrat risque d’etre annéanti. C’est une étape importante . On dt faiure une étape précontractuelle.

Pour l’heure, ft savoir que parties peuvent vouloir discuter avant de conclure . C’est négociations
précontractuelles.
Ms négociations ou pas, parties doivent respecter obligations précontactuelles pr éviter que contrat soit
remis en cause ou que leur responsabilité civile engagée ( Section 2)

Section 1- Les négociations pré-contractuelle

1- Les négociations libre ou pourparler

Avant, aucun texte ne parlait de cette période. Code civ débute dans formation su contrat. Réforme reprend
les solu° jpielle à droit constant – ART 1112 Code civ. Ressort que négociations libres obéissent à plusieurs
principes qui en cas de non respect engage la responsabilité du fautif

A- Les principes qui gouvernent les poursparlers

Principe essentielle c’est la liberté. Émanation de liberté contractuelle qui offre le choix de contracter ou
non. C’est une étape qui a vocation a s’appliquer ds toute étapes des pourparlers.
S’applique dans l’initiative : permis d’engager négociations ou simplement de ne pas les mener. Ex : En
matière de distribution sélective, certains candidats ont voulu engager la responsabilité civile du chef de
réseau pour ne pas avoir entamer des négociations. En substance, Cour cass préserve liberté du chef
d’organiser son réseau comme il l’entendait, ce qui implique qu’il puisse choisir avec qui il rentre en
négociation ou pas.

Ce principe s’appliqe pour le déroulement des poursparlers. Parties libres de négocier autant de temps quil le
faut, de mener plusieurs négociations de manière parallèle et d’en révéler l’existence.

En matière de rupture des pourparlers, les parties sont libres de rompre pourparler quand elles le souhaitent
sauf brutalité dans l’exercice de cette rupture. La rupture est toujours libre mais que c’est la brutalité dans la
rupture qui est condamnée.

La bonne foie est un principe qui fait office de limité. Tout est possible à condition d’adopter comportement
adéquat. Pas définition de bonne foie, notion protéiforme mais au regard de la JP on peut en discerner les
contours.
A ce titre, bonne foie exige pls exigences :
- loyauté : négociations loyales, agir de façon conforme à la morale contractuelle. Ex de comportement
dé »loyal : négociation afin d’obtenir des informations sensibles dans le cadres d’autres négociations.
- l’information : transmettre a autre partie toutes informations utiles et nécessaires à la négociations
- le sérieux : commencerrsuivre négociations dont on sait qu’elles n’aboutiront jamais est inadéquat.
- Ne pas tromper la croyance légitime de l’autre parti : ne pas faire croire que l’on va conclure un contrat
alors que non. Cette ID permet de justifier sanction de la brutalité de la rupture.

B- La faute dans les pourparlers : un fait générateur de la responsabilité civile

Il faut se poser la question de la nature de la respon,sabilité civile. La faute commise durant les négociations
précontractuelles est de nature contractuellement ou delictuelle car il s’agit de la violation d’une norme et la
faute survient à un moment où le contrat n’a pas été conclu. On sanctionne ici un fait juridique. Le
fondement c’est article 1240 et 1241 du Code civil.

Auteur de la faute peut être les parties à la négociation, leurs représentants ( négociateurs), ou le tiers
complice ( s’il est animé de intention de nuir) .

Degrés : une faute simple suffit, sa veut dire qu’il n’y a pas de présomption de faute ni d’obligation pour la
victime d’apporter existence d’une faute qualifiée comme intention de nuir. Hzeureusement qu’on ne doit
pas prouver intention de nuire. Une faute simple suffit.

Moment de la faute : elle peut survenir à toutes les étapes de la négociations précontractuelle. Du moment de
initiative à celui la rupture. Dans le contentieux, c’est le moment de la ru^pture qui cristallise le plus de
contentieux.

Plusieurs critères pour caractériser la faute :

- Etat d’avancement des pourparler : plus ceux-ci seront longs, plus la faute risque d’etre retenu : si on
negocie longtemps, et que l’on rompts brutalement on peut engaer notre responsabilité.
Idem pour les rupture tardive : peut etre source de responsabilité civile

- La croyance légitime de l’autre partie : mot important c’est légitime ( si a été negliget, naif, on s’en fou)
mais si frais ont été engagé là oui.

- L’absence de motif legitime peut être prix en considération par le juge.


Rupture non fautive où on peut rompre JP :

- Rupture d’une négociation en germe ou embryonnaire : viennes à peine de commencer, donc la faute n’est
pas consolider.
- Rupture d’une négociation bloquée : quand il y a divergence, instabilité, le ft de rester camper sur nos
position . Heureusement qu’on peut arrêter
- Existence d’un aléa sur viabilité d’un projet. Peut viser projet lié à conjoncture écoK instable
- Rupture pour considérations purement économiques : EX : audit qui révèle fragilité financière d’une
entreprise.

Pour ces ruptures non fautives, il peut y avoir indemnisations :


- La répartition des frais engagées
- Indemnité d’occupation quand un immeuble mis à disposition de autre partie d ans le but de mener la
négociation, idem pour restitution.
- Cas marginal : indemnisation pour enrichissement injustifiée quand négociations a profité à l’une des
parties

Nature du préjudice :

Article énonce préjudice non réparables :

- du manque à gagner : la victime ne peut recevoir les bénéfice escompté en cas de conclusion du contrat car
cela a reviendrait à donner effet à un contrat non conclu. C’est impossible. Manque à gagner non
indemnisable

- La perte de chance d’obtenir un avantage du contrat : enseignement arret Manouqueux : 7 janvier 2009. On
indemnise pas perte de chance d’obtenir avantage du contrat. Cette précision n’apparaît pas dans
ordonnance. Le législateur l’a donc ajouté dans la loi de ratification de 2018. C’est ajout interprétatif.
L’ancienne version devra être interprétée à la lumière de la nouvelle version meme si contrat conclu entre
2016 et 2018. Pas de lien de causalité entre ce préjudice et faute commise par auteur. Chance pas
suffisamment sérieuse pour que le lien de causalité soit suffisamment certain.

Mais également réparables :

- La perte subie : heureusement que les frais inutilement exposés pour le bon déroulement des
né »négociations : travaux de mise en conformité dans contrats de distribution, aménagement de espace
commercial, devis ou études préliminaires, frais de voyages, de publicité. Ms la victime ne doit pas avoir un
comportement de précipitation ou de négligence sinon l’auteur pourra lui opposer sa faute où une faute qui
pourra réduire totalement ou partiellement le montant de réparation.

- La perte de chance de contracter avec autrui : l’article n’exclut pas que perte de chance xe conclure donc
un contrat avec d’autres personnes. On parle de perte de chance , ft apporter une preuve suffisante qu’il
aurait été possible de contracter avec un tiers.

- Atteinte à image : not en matière commercial. Conséquences d’une négociations avortées peut ternir image
de la victime auprès de ces partenaires commerciaux.
- préjudice de concurrence déloyale : chaque fois que auteur se sera servi d’elements obtenu lors des
négociations comme le savoir faire pour avoir avantage concurrentiels injustifiées ou ternir image de la
victime.
- Cette faute est constitutive d’une pratique anti-concurrentiel : quand auteur est en position ndominnate,
quand pratiqueéviction des négociations conduit à eviction d’un concurrent.

II- La négociation organisée par contrat

Par rapport aux négociations libres, celles organisées par contrats, on rédiger contrat spécifique à la
négociation.
Plusieurs techniques pr organiser négo par contrats :

- clauses des 4 points ou clauses d’intégralité : clause qui stipule qie les doc écha,gées pendant les
négociations n’auront pas de valeurs contractuelles. On discute sur objet du contrat et un mom on se dit ya
echa,nge de mail . Tt ce qui a été dit ds passé n’a pas valeur contractuel. La seule clause prise en compte est
celle du contrat définitif contenant ensemble des conditions convenues pour accord sans considération des
documents antérieures. Utilité de cette clause c’est éviter accord accidentel sur certains elements du contrats.

- La lettre d’intention ou d’intérêt : Celle par laquelle l’une ou autre des parties déclare leur intention de
vouloir entrer en négociation. Sa valeur contraignante dépend de la rédaction de celle-ci. Peut s’agir d’une
simple intention dénuée de force juridique à une obligation de résultat d’entrée en négociation. Il y a ensuite
le protocole d’accord

- Protocole accord : acte par lequel parties expose leur projet. En drt des société, parties peuvent déclarer
leur intention de s’associer en renvoyant également aux nego pr ce qui est des regles régissant leurs accord.
C lettre d’intérêt en plus organisé.

- Accord de principe : s’agit e acte par lequel parties s’engagent à entamer ou poursuivre les négiciations.
Aucuun accord de volonté sur accords esssentiels du contrat car sinon ya contrat définitif. Dans cette acte
yas pas d’accord sur les elements accessoires du contrat. Sinon c’est un accord partiel. Y’a une premiere
obliga° de résultat, celle d’entamer les négociations ou les poursuivre durant une durée suffisante. Y’a une
seconde obligation mais de moyen, celle de faire tout les efforts pour parvenir au contrat définitif. ID c’est
être de bonne foie.

- Accord partiel : acte par lequel le ou les parties valident un ou pls elements du futur contrat. Le contrat
définitif se forme par étape successives. Ft faire attention à ne pas tomber directement d’accord sur les
elements essentiels du contrat. Il faut distinguer les elemnts objectivement et subjectivement essentielles des
elements accessoire ou secondaires. Si parties st d’accord que sur elements essentiels, a charge pr les parties
de déterminer elements accessoires mais le contrat sera formé.
- Closing : certains contrats complexe, processus de négociation peut se faire au moins en deux étapes. 1Ere
étape c’est celle de signer ( parties formalisent accord et conditions à remplir comme avoir autorisation
administratives, obtenir prets, garantis . C’est le signing et l’étape du closing : parties versifient si les
conditions de accord definitivze ont été remplie, si oui, accord définitif sera parfait, si c’est non, accord
définitif sera considérée comme caduque. C’est des obligations sous conditions suspensives. C’est quand
fomation du contrat est suspendu a la réalisation d’un event futur et incertains.

La sanction pour les actes pré-cités :

On est ds des avants contrats, donc la sanction est de nature contractuelle : c’est la responsabilité
contractuelle qui sera enggagée en cas d’inexecution : les dommages interets ne peuvent pas compenser le
manque à gagner du fait de la non réalisation de accord définitive et ne peuvent pas réparer la perte de
chance de conclure un tel contrat.
- Il n’y a pas d’execution forcée possible car sa revient à forcer conclusion du contrat définitif.

Section 2 – Obligation pré-contractuelle

Reforme se focus sur deux d’entre elles.

I- Obligation pré contractuelle d’information

A- Les différentes obligations actuelles portant sur information

-Obligation de renseignements : donner une information sans avoir à se préoccuper de son impact comme les
caractéristiques d’un véhicule ou taux effectif global pour crédit à la consommation.

- Obligation de mise en garde : donner une information en attirant autre partie sur un point particulier au
regard des conséquences que celui-ci pt avoir sur sa situation. S’agit d’etre sur que les parties soient sur du
problème : devoir de mise en garde du banquier à égard de emprunteur. Afin de avertir sur risques de
opérations quant à sa situation personnel et sur les elements négatifs liés au crédit.
- devoir de conseil : plus fort, orienter décision de autre partie au regard des besoins qu’il a exprimé. le plus
adapté à usage que acheteur veut en faire

- obligation d’information : extra contractuelle ou contractuelle. On va envisager celle extra, quand est du
avant ccls du contrat. Vise à éclairer un contractant pour que celui-ci donne consentement au contrat en toute
connaissance de cause. Information peut etre également du en cours d’execution du contrat. Dans ce cas là,
obligation contractuelle d’obligation. Sanction : responsabilité contractuelle.

B- Obligation précontractuelle d’information au sens de art 1112-1

nouveauté de reforme qui comble lacune du droit antérieur qui n’avait consacré aucun texte de ce genre
malgré importance pratique de cette obligation. La Jp était foisonnante et les juges étaient divers. Chaque
fois que y’avaisune asymétrie d’information entre un prestataire professionnel et client profane, juges
avaient tendance à decouvrir existence d’une obligation pré-contractuelle d’information. Il y avait
consécrations légales mais dans les textes spéciaux, comme Code de conso L112-1 et Code de Commerce .
Drt des contrat depuis la reforme prend en comptre cette assymetrie d’information da,ns les relations
contractuelles. Elle a donc introduit un article qui impose cette obligation : 1112-1. L’alinéa 1 doit etre
rapproché de al 3.

MS sa pose question de qualité des parties : qui est debiteur de l’obligation d’info. Le débiteur , ici y’a pas
de précision de sorte que n’importe quel contractant peut etre débiteur. Y’a une première limitéds ce texte
sur le débiteur, c ‘est qu’il n’a pas à rechercher une info au profit de autre partie, pas d’obligation de
s’informer pr informer mais dt donner les infos st il dispose.

Ce texte permet d’identifier créancier de info , c’est le consommateur . VC ds les texte spéciaix mais pas le
cas dans droit commun. N’importe quel contractant peut etre créancier de cette obligation d’information.
Ont une importance déterminante les inf
os qui ont un lien directes et necessaire avec le contenu du contrat. Il s’agit des elements objectivement et
subjectivement essentielles du contrat.

La seconde limite c’est que on nous dit que dès lors que le crean,cier de cette oblihgation legitimement ft
condianceà ce contractant. Pr que info soit due à ce créancier, ft que son ignorance soit légitime. Le juge
prendr en compte la qualité des parties pr apprécier l’ignorance légitime. C’est une appréciation in-concreto.
Induit également qu’une information qu’il est possible d’obtenir facilement ne pourra etre invoqué contre le
débiteur de obligation. On ns dit aussi que n’est pas sanctionné l’omission qui porte sur la valeur de la
chose. C’est generalisation de Arret bardus 3 mai 2000. L’acheteur n’a pas a informer levendeur de la valeur
réelle de la chose. Ds les fts, acheteur a ft brocante et a vendu un tableau de valeur à 10 balles. C’est une
solution conforme au pcp d’indifférence de la lésion. Y’a un tempérament dans les relations commerciales.
C’est que dans certaines, est necessaire d’informer sur la rentabilité de l’information économique projetée.
Rentabilité écoK ft partie de la substance meme du contrat.

Lze texte ns parle du régime de la preuve : al 4 de art 1112. Cet alinéa reprend acquis Jpcielle de droit
commun civ 1ere 26 février 1997 :
1ère étape : autre partie dt démontrer qu’il est fréancier d’une obligation contractuelle d’information
2 : debiteur de obligation dt prouver avoirt transmit information litigieuse.

Forme de preuve est libre.


Alinéa 5 : les parties ne peuvent ni limiter ni exclure ce devoir. C’est un texte d’ordre publique. Cette
obligation nepeut faire objet d’aucune limitation contractuelle.

Enfin, se pose la question de la sanction : Sanction réside ds la responsabilité civile du débiteur. C une resp
civile extra cont qui est engagée. Si cette inexécution du texte entraîne vice du consentement, il y aura
annulation du contrat.

II- L’obligation de confidentialité

Nouveauté de la réforme : Même si elle existait dans certains secteurs spécifiques, il faut avoir a esprit que
cette obligation dépasse le strict cadre de la période précontractuelle. S’agit d’une période délicate où un
certain nombre d’information sensibles sont transmises et risquent d’être divulguées.
Cette obligation peut être de nature légale ou être prévue par contrat.

Quant au Domaine, à défaut de clause, y’a un effort d’interprétation de la part du juge. Tout dépend de la
nature de la relation et du contexte. Dans tous les cas, sont exclues les informations tombées dans le
domaine publique.

La sanction de la violation, s’agira de responsabilité civile car texte dis « engage sa responsabilité dans les
conditions de droit commun ». Si découle d’une obligation légale : extracontractuelle.
Si découle d’une clause, la responsabilité sera contractuelle.

Nature du préjudice : économique ou moral.

Montant du préjudice : doit correspondre au principe de réparation intégral : on ne répare ni plus ni moins du
préjudice effectivement subi ;
Si c’est domaine contractuel on répare le préjudice prévisible. L’obligation s’impose a celui qui est en
pouvoir de la divulguer cette information (avocat, négociateur, professionnel) ou même d’un tiers qui a eu
connaissance de cette information.

Chapitre 2 : Le processus de rencontre des volontés

Avant réforme, pas de schéma spécifique consacré au mécanisme de rencontre des volontés. Code civil
lacunaire et création prétorienne (JP) pas toujours stable ou fixé. PK cette lacune ? Car processus imaginé de
manière instantanée, alors qu’il est long et complexe.

Le contrat est résultat du processus de la rencontre des volontés dans laquelle une offre, la pollicitation
rencontre une acceptation : 1113 Cciv.

Section I- offre de contracter


1- Notion d’offre

Offre : manifestation unilatérale de volonté par laquelle une personne propose à une autre la conclusion d’un
contrat dans des conditions telles que l’acceptation de cette personne suffise à former l’accord 1113 et 14
Code civ.

Est-ce que cette simple manifestation est un fait ou acte unilatérale de volonté ? Depuis réforme, il s’agit
d’une simple manifestation, donc un fait juridique en tant que tel ?

L’auteur de l’offre : Il peut s’agir du pollicitant e tant que tel ou de son représentant. Dès l’instant où son
représentant peut, a pvr de former contrat en son nom et pour son compte

Forme : par écrit (journal, annonce) ou proposition orale ou d’un simple comportement. L’offre peut être
stipulée avec ou sans délai. L’offre peut être fait au public (offre d’embauche) ou à une ou des personnes
déterminées.

Caractères de offres (être précis dans cas pratique) : offre doit revêtir certains caractères pour être
considérée comme telle :
- Doit être ferme. C’est fermeté d’offre. Doit montrer intention de son auteur d’être liée par la simple
acceptation 1113. Sont donc exclues les offres avec réserves. A ce titre, y’a réserves objectives et
subjectives :
- objectives : quand acceptation est triée selon critères objectifs (selon stocks dispo)
- subjectives : ce st surtout celles-ci qui porte atteinte a fermeté (permettant a offrant de faire un tri parmi
acceptation qu’il a reçu) comme offre embauche.

- Précision d’offre : offre doit être précise. Doit contenir éléments objectivement et subjectivement essentiel
du futur contrat.

On identifie nature juridique pour déterminer éléments essentiels, rechercher si les éléments objectivement
essentiels sont dans l’offre, faut vérifier si y’a pas d’élément subjectivement essentiels (accessoires,
essentialisé par offrant comme la couleur d’une voiture). Enfin, offre doit être non équivoque (dernière
caractère), ne doit pas comprendre propositions contradictoires ou s’insérer dans une série de proposition
inconciliable. En gros on ne sait pas si on veut vendre ou louer le bien.

2- Durée de l’offre :

Enjeu : survie de l’offre en cas de décès du pollicitant. De manière générale, les solu° retenues par la
réforme milite en faveur d’une simple manif unilatérale de volonté de l’offre et non en faveur d ‘un acte
juridique unilatérale, ce qui permet de distinguer la simple offre de la promesse unilatérale.

A- La fin naturelle de l’offre

C’est la fin de l’offre après écoulement du temps. Celui-ci influe sur offre et ce de différente manière. Si
délai a été expressément prévu, l’offre doit être maintenue durant toute la durée du délai et la rétractation de
l’offre avant le terme prévu est constitutive d’une faute. L’Offre prend fin à expiration du délai et la rend
caduque : 1117 Code civ.

Ou si aucun délai n’est prévu, deux solu° :


- Faut vérifier si le délai ne peut pas se déduire de la nature du contrat ou de son objet. Si tel n’est pas le cas,
l’offre prend fin après écoulement d’un délai raisonnable. (appréciation du juge en fonction de l’affaire)
B- Les fins accidentelles de l’offre

3 hypothèses :

-1ère hypothèse : Perte d’une condition de validité : Offre devient caduque lorsque le consentement qu’il
exprime perd une condition de validité. Ex : le Pollicitant qui devient incapable - Qd objet du contrat
disparaît : Chose qui fait objet du contrat est détruite - Lorsque opération devient illicite : Offre de vente
d’un produit qui devient interdit.

- 2ème hypothèse : Le décès de l’offrant : Depuis la réforme, l’offre étant une manifestation unilatérale de
volonté, décès du pollicitant met fin à l’offre par caducité : 1117 Code civ

- Dernière hypothèse : Décès du destinataire de l’offre


Avant réforme, JP considérait que l’offre pouvait être transmise aux héritiers en cas de décès de son
destinataire sauf si offre était teinté d’un intuitu personæ. Depuis Loi de ratification 01 octobre 2018, Décès
du destinataire de l’offre met fin à celle-ci par caducité : 1117 Code civ.

C- La fin volontaire de l’offre : la rétractation

Selon que la rétractation intervient avant ou après la connaissance d’offre par le destinataire :

-Avant connaissance d’offre par destinataire : avant que l’offre ne parvienne à son destinataire, peut être
librement rétracter sans qu’aucun préjudice ne soit subi par ce dernier : 1115 Code civ : Envoi d’un courrier
qui contient offre puis rétractation par mail avant que le courrier ne soit reçu. Dans cette situation, la
rétractation est valable. Acceptation 1118 al2

- Après la connaissance d’offre : plus possible de se rétracter librement : 1116 Code Civ. Si un délai est
expressément prévu, l’offre doit être maintenue durant toute la période indiquée. Si aucun délai n’a été
prévu, soit, il s’agit du délai qui découle de la nature des choses ou l’offre doit être maintenue pendant un
délai raisonnable.

Si rétractation de l’offre intervient après connaissance du destinataire, la rétractation est source de


responsabilité extracontractuelle.

Plusieurs situations possibles : d’une part, si offre à un délai, la simple démonstration d’une rétractation
avant son terme suffit à prouver la faute. Si l’offre, en revanche ne contient aucun délai, faut que le
destinataire apporte la preuve que la rétractation est prématurée.

D’autre part, l’indemnisation ne comprend pas indemnisation du manque à gagner. On ne compense pas les
effets attendus du contrats (le contrat n’a pas été conclu). Aussi, il n’y a pas d’exécution forcée possible.
Dernière précision, certains régimes spéciaux ne suivent pas le droit commun et oblige l’auteur de l’offre à
maintenir son offre en partie : Exemple : offre de contrat de crédit à la consommation, l’offre de reprise
d’une entreprise en cas de procédure collective, l’offre doit être maintenue.

Section II- Acceptation

Acceptation : Manifestation unilatérale de volonté par laquelle le bénéficiaire de l’offre donne son
consentement au contrat proposé par l’offrant : 1218 Code Civ.

Les caractères d’acceptation :


- Acceptation doit être manifesté en période d’efficacité de l’offre : On doit donner acceptation dans le
délai imparti.
- Doit être concordante avec offre : Faire attention quand s’agit d’une offre multiple ou complexe
(plusieurs offres en une), faut voir si offre est divisible ou indivisible (auquel cas, acceptation en bloc). En
cas de non-concordance, si l’offre est faite à personne indéterminée, elle se maintient (si l’acceptation ne
coïncide pas, offre demeure). Mais si offre est faite à personne déterminée, l’offre devient caduque.

-L’acceptation s’analyse en une contre-proposition, qui doit respecter les caractères de l’offre (ferme,
précise et non équivoque). Cette idée transparaît par un arrêt date du 25 nov 2009. Si tel n’est pas le cas,
c’est une invitation à entrer en Pourparlers.

Si s’agit d’une contre-proposition, les rôles sont inversés (acceptant devient offrant). Offre de vente
devient une offre d’achat et la contre-proposition contient une clause différente de l’offre initiale.

La forme de l’acceptation : variable, peut être tacite ou express. Si est tacite, c’est lorsque comportement
témoigne d’une acceptation (notamment de se serrer la main) 1113 al 2 Code civ.
Il y a également le silence : en principe ne vaut pas acceptation, sauf dans quelques cas particuliers comme
en cas de loi contraire, en présence d’usage, dans les relations d’affaire, ou en cas de circonstances
particulières (quand prestation est réalisée dans intérêt exclusif du destinataire) – 1120 Code civ.

Section III : Situations particulières

1- contrat par correspondant, ou contrat entre absents

Arrive que les contrats soient conclus entre personnes pas présentes physiquement au même endroit. C’est la
problématique des contrats par correspondance. Ex : Contrat entre conclu entre quelqu’un de St Quentin et
Versailles par Mail ou courrier.
Faut savoir à partie de quand rencontre des volontés est figée et à quelle endroit le contrat est conclu.
Plusieurs théories existent :
- Théorie de la déclaration : contrat se forme au moment où la volonté d’accepter est manifestée
-Théorie d’expédition : contrat se forme au moment où on se dessaisi de son acceptation : Ex : Jour où je
poste ma lettre contenant mon acceptation.
-Théorie de la réception : Contrat se forme au moment où acceptation arrive à destination : quand la lettre
arrive au siège social de Saint Quentin.
-Théorie de l’information : Contrat se forme au moment où acceptation est constatée effectivement :
Exemple : quand lettre est lue par un personnel d’entreprise.
Avant réforme, JP hésite entre théorie d’expédition et celle de réception

C’est la théorie de la réception qui l’emporte, tant pour la date de la formation du contrat et de son lieu
de conclusion : 1121 Code civ. Possible de se rétracter quand la rétractation parvient au destinataire avant
l’acceptation.

Raisonnement dans une relation contractuelle :


- Si on a un texte qui régit déjà la question : textes spéciaux tendent à se multiplier. (Exemple : art 18-2 de la
convention de Vienne pour la vente)
- Si pas de textes spéciaux, chercher volonté de l’offrant : car celui-ci peut délimiter la manière dont l’offre
doit être acceptée, que ce soit dans la durée ou dans les modalités de l’acceptation.
Plusieurs types de clauses possibles :
1)- Cachet de la poste faisant foi : par cette clause l’offrant indique qu’il faut privilégier théorie de
l’expédition.
2)- Les réponses devront parvenir avant tel date : offrant indique privilégier la théorie de la réception.
- En absence de texte spécial ou de volonté de l’offrant, il faut appliquer droit supplétif : article 1121

2- Contrat électronique
Forme libre mais sont de plus en plus formé » par voie électronique. Sous l’impulsion de l’UE, directive 8
juin 2000, le législateur français a introduit des dispositions relatives à la formation du contrat sous forme
électronique et ce afin de protéger le consentement de l’acceptant : 1125 à 1127-4 Du Code civil. Le contrat
est un contrat d’adhésion en principe.
!! La formation du contrat par mail est assimilée à un contrat par correspondance et non électronique.

Processus : est plus long que le contrat consensuel classique.


Concernant offre : doit contenir tous les éléments essentiels de cette dernière. Offre peut être faite à toute
personne déterminée ou indéterminée et être assortie d’une durée. L’offrant reste engagé tant que l’offre
reste accessible au public. L’offrant professionnel doit mettre stipulation applicable à destination de l’autre
partie, de telle manière qu’elle puisse être reproduite ou conservé comme un lien qui revoie aux conditions
générales.
Sur ce que doit contenir offre par voie électronique, doit fournir mode d’emploi permettant à acceptant de
corriger les erreurs de saisies. Offre doit indiquer langues proposées par la conclusion du contrat. Indiquer
les modalités d’archivage et comment y accéder. On doit indiquer règles professionnelles auxquelles
l’offrant se soumet.

Concernant acceptation :
Première étape : acceptant doit manifester son consentement en choisissant la prestation ou marchandises
qu’il veut recevoir.
2ème étape : acceptant doit être en mesure de corriger les erreurs commises.
3ème étape : acceptant doit confirmer son acceptation définitive.
4ème étape : offrant doit accuser réception de cette confirmation sans délai de cette confirmation. ( c’est une
obligation d’information)

Dans les relations professionnelles, possibilité de déroger à ces règles

3- Formation par condition générales interposée


Conditions générales des contractants sont contradictoires : 1119 Code Civ
Plusieurs principes à respecter dans ce cas-là. Pour analyser une clause, 3 étapes à respecter :

Opposabilité : est-ce que clause a été porté à la connaissance de l’autre partie. Si oui, est opposable, produit
effet et si non, est inopposable donc ne produit pas d’effet.

La validité de la clause : Est ce qu’elle respecte condi° de validité de droit commun. On vérifie si elle est
efficace. A-t-elle été mise en œuvre de bonne foi ?
Si opposable et valable, on vérifie si elle est efficace, est ce que s mise en œuvre est respectueuse des condi°
contractuelles ou mise en œuvre de bonne foi ?
Les condi° générales doivent être porté à la connaissance de l’autre partie pour être opposable. Si pas été
porté à la connaissance, la sanction est inopposabilité.
S’il y ‘a contradiction entre conditions générales, elles sont neutralisées, inefficaces. 1119 Code civil.
NB : On peut mettre Clause de prévalences de ses propres conditions ou exclusions des conditions générales
adverses qui seraient contradictoires. On fait valoir ces clauses. Mais attention si la même clause se retrouve
chez sa vis à vis.

En cas de discordances entre condi° générales et particulières, ce sont les conditions particulières qui
l’emportent car sont plus spécifique. Le spécial l’emporte sur le général. Les conditions particulières
l’emportent sur les conditions générales.

Section IV – Rencontre des volontés organisées par contrat

Article 1122 : La loi ou le contrat peuvent prévoir un délai de réflexion qui est définit comme le délai avant
expiration duquel le destinataire de l’offre ne peut manifester son acceptation. Pas permit de consentir
pendant un certain laps de temps. Ce délai de réflexion peut être prévu par le contrat.
Cette clause de réflexion a pour fonction de permettre au destinataire d’étudier les conditions de l’offre et de
donner son consentement de manière éclairée.
Art 1122 précise que la loi ou contrat peuvent prévoir délai de rétractation, qui est le délai avant expiration
duquel, son bénéficiaire peut rétracter son consentement. Ce délai de rétractation peut être de nature légale
ou conventionnel.

Par le délai de rétractation : en matière légale ou conventionnelle. Clause permettant au contractant de


renoncer unilatéralement à un contrat déjà conclu pendant une certaine durée. Difficile de la distinguer de la
clause de dédie.

I- Les clauses qui organisent la formation du contrat

De nombreuses clauses existent : On se focalise sur 2 d’entre elles :

A-L ’obligation sous conditions suspensives

La condition est une modalité d’obligation : obligation est pure et simple en principe. Les prestations sont
dues réciproquement et instantanément entre un seul débiteur et un seul créancier. Parfois, les opérations
sont plus complexes. Obligation n’est plus pure et simple mais deviennent modales. Elles sont affectées par
certaines caractéristiques qui modifient ou aménagent les effets de cette obligation. L’une de ces modalités
est la condition.

La condition : Modalité qui fait dépendre obligation d’un événement futur et incertain. « Je m’engage si tel
event survient ». Deux conditions : futur et incertain.
3 exigences :
- Exigence doit être licite : « je m’engage que si tu tue quelqu’un ».
- Doit être possible : acquérir une licorne.
- La condition ne doit pas dépendre de la seule volonté de celui qui s’engage.
La condition peut être résolutoire ou suspensives

La condition suspensive : C’est la modalité qui affecte la naissance d’obligation. Formation du contrat
n’est qu’embryonnaire. La naissance du contrat est suspendue à la réalisation d’un event futur et incertain.
EX : Vente d’un bien n’est formé tant qu’on n’a pas de prêt.

Le sort de la condi° : Dépend si elle s’accomplit, alors, le contrat sera formé. Mais si elle a défailli alors, le
contrat est considéré comme caduque.

Sanction : Si on provoque volontairement la défaillance (on ne fait aucune démarche pour obtenir le prêt) :
Le contrat sera réputé accompli. On sanctionne la mauvaise foi.

B- Clause de porte-fort d’engagement

1203 Code Civil : On ne peut s’engager que par soi-même : On ne peut donc pas forcer autrui à contracter.
Mais dans cadre de négociations, une des parties peut s’engager à obtenir l’engagement d’autrui. C’est le cas
de la promesse de Porte-fort. Se porte-fort d’engagement d’autrui veut dire qu’on s’oblige auprès de son co-
contractant qu’un tiers accepte de s’engager contractuellement.

Première variante : Quand il s’agit d’obtenir le consentement d’autrui à un contrat pas encore conclu :
Clause de porte fort de conclusion.
Seconde variante : obtenir le consentement d’autrui à un contrat déjà conclu : Clause de porte fort de
ratification. Déjà conclu mais il faut consentement d’autrui. Dans cette variante, l’engagement d’autrui est
rétroactif en principe. La clause prend effet au jour où le porte fort a été souscrit par le promettant.
La clause de porte fort d’engagement ne doit pas être confondue avec clause de porte fort d’exécution.
Celle-ci consiste à obtenir du tiers qu’il exécute sa propre exécution.

Le régime : Le promettant est tenu d’une obligation de résultat. Si la clause laisse penser à une obligation de
moyen, ce ne sera pas une promesse de porte fort mais de bon office, cad, faire de son mieux pour obtenir
l’engagement d’autrui.
Si le promettant obtient le consentement du tiers, le contrat entre le tiers et le bénéficiaire sera formé et le
promettant aura rempli son obligation, donc sera libéré.
Si le promettant n’obtient pas consentement du tiers, le contrat ne sera jamais formé et le promettant sera
condamné à des dommages intérêts de nature contractuelle.

II- Les clauses qui organisent dissolution d’engagement contractuel

A- Obligation sous conditions résolutoires


Conditions résolutoires : celle dont accomplissement entraîne anéantissement d’obligation. Si tel évent
survient, le contrat est anéanti. Obligation doit être exécutée comme si elle était pure et simple. La résolution
de événement aura pour effet de remettre en cause le contrat. En principe, anéantissement du contrat est
rétroactif. Le cas échéant, il en découle des restitutions.
Anéantissement pourra être suivi de restitution entre les parties.
Si débiteur provoque l’accomplissement de la condition, celle-ci sera réputée défailli. Fictivement,
l’évènement n’a jamais eu lieu pour donner lieu au contrat. On déjoue la ruse du débiteur.
On donne effet inverse pour sanctionner la mauvaise foi du débiteur.
B- Clause de dédit ( stade de formation du contrat) :
Celle par laquelle les parties d’un contrat formé définitivement aménage au profit de l’une ou d’ensemble
d’entre elle, une faculté de rétractation unilatérale qui peut s’exercer dans un délai déterminé. A ne pas
confondre avec une clause pénale.

Des conflits de qualification peuvent naître avec d’autres stipulation surtout quand la clause de dédit est à
titre onéreux.
Pas une clause pénale. Celle-ci fixe à avance et de manière forfaitaire une somme d’argent à titre de
dommages-intérêts. La fonction de cette clause est de sanctionner et dissuader une inexécution contractuelle.
Fonc° de la clause de dédit est d’accorder au bénéficiaire le droit de se retirer du contrat.

Pour la clause pénale, on est dans le stade d’exécution du contrat et pour la clause de dédit, on est au stade
de la formation du contrat. Cette distinction importante car concernant la clause pénale, le juge peut réviser
le montant quand s’avère excessif, ce qui n’est pas le cas pour la clause de dédit. Aussi excessive qu’elle
puisse être, elle ne sera pas modifiée.

Ce n’est pas une indemnité d’immobilisation, cette dernière est le prix d’exclusivité accordé au bénéficiaire
d’une promesse unilatérale, durée pendant laquelle il lui est loisible de lever ou non l’option. Pas le cas de
la clause de dédit : il s’agit de la contrepartie du droit accordé au contractant de remettre en cause son
engagement.

Régime de la clause : Peut être mise en œuvre discrétionnairement. Bénéficiaire n’a pas à se justifier. Peut-
être stipulée à titre onéreux et peut être accordée à l’une ou l’autre des parties ou aux parties dans leur
ensemble.
Quand accordé a ensemble des parties on peut parler de clause d’arrhes. Le montant du dédit peut-être
librement fixé.
Au titre de la validité de la clause, il faut faire attention au déséquilibre significatif. Si le montant
manifestement disproportionné, on peut évoquer déséquilibre significatif. Autre indice est absence de
réciprocité ou atteinte excessive à la liberté de commerce et d’industrie.
Dernier point : devrait prévoir comment doivent s’organiser les restitutions s’il y a eu échange de
prestations.
CHAPITRE 3- LA VALIDITÉ DU CONTRAT

Une fois l’offre et acceptation se rencontrent, le contrat est formé mais est ce que celui-ci reste viable ?
C’est possible que l’un des contractant se soit trompé sur la substance même du contrat ou qu’il ait été induit
en erreur. Il se peut aussi que le contractant a été forcé à conclure ou qu’il n’était pas apte à donner son
consentement, il se peut encore que contenu du contrat manque de consistance (objet n’existe pas, le contrat
ne repose sur rien). Il se peut encore que le but poursuivi ne soit pas licite.
Enfin, il se peut qu’il y ait un écart tellement important entre les droits et obligations des parties que l’une
d’entre elle n’a pas intérêt à s’engager.
Conduit à vérifier le consentement (Section I) et validité du contenu contractuel (section II)

Section I : Validité du consentement

Vérifier validité du consentement consiste à examiner 3 choses :


- Si celui-ci est éclairée (I)
- Si celui-ci est libre (II)
- Si celui-ci est lucide (III)

I- Consentement éclairée

Dans chapitre 1, est étudié le consentement a priori du consentement à travers obligation précontractuelle
d’information. Renvoi à protection a posteriori du consentement qui consiste à protéger le contractant qui
aurait commis une erreur spontanée (A) ou une erreur provoquée par autrui : le dol.
On doit vérifier si le consentement a été donné à partir d’’une représentation exacte de la réalité.

A- L’erreur spontanée

1- La notion d’erreur

L’erreur : Croyance en une fausse représentation de la réalité. Autrement dit, la croyance intellectuelle du
contractant n’est pas en concordance avec la réalité du contrat. De ce fait, à conditions que les caractères
d’erreur soit remplie, le contractant pourra remettre en cause le contrat.

EX : Agri qui reçoit par courrier une offre de vente de graines de navets mais qui reçoit en réalité une graine
de navette. Offre contenait une faute de frappe et on voit que représentation du contrat projetée par
agriculteur est fausse par rapport à la réalité d’acte. Par conséquent, pourra annuler la vente pour erreur.

Dans certaines situations, le cas de réalité incertaine : Quand on achète une chose soit est en bois ou en
argent, sa peut être incertains. Dans les œuvres d’arts, c’est plus compliqué.
La plupart du temps, le raisonnement est binaire. Soit il y a concordance ou discordance entre la croyance du
contractant et réalité du contrat.
Dans certains domaines, il y a une autre voie : réalité incertaine. Dès conclusion du contrat, il y a un doute
sur substance même de la chose. Pour œuvres d’arts, peut avoir croyance erronée surtout si le progrès
scientifique et techniques permettent d’attribuer avec certitudes l’attribution d’œuvre.

C’est la SAGA Poussin qui a permis de dégager les principaux enseignements en la matière. L’un des
enseignements, c’est que dans cette situation, sera possible de prendre en compte des éléments postérieurs à
la clause du contrat pour établir la véracité d’œuvre. Le délai doit être assez court.

- Second enseignement : que décider qu’en réalité est incertaine dès la conclusion du contrat. Il faut établir
une comparaison entre la croyance intellectuelle et- la réalité du contrat.
La réalité est incertaine – 3 situations possibles :
- Si contractant pense qu’œuvre pas attribuée à l’artiste : discordance. Réalité incertaine, donc erreur.
- Si contractant pense qu’œuvre est attribué à l’artiste : pense avoir une œuvre authentique, il y a erreur.
- Si contractant doute de l’attribution dès la conclusion du contrat : il sait que réalité est incertaine et elle
l’est, il y a concordance. Alors 3 situations possibles :
- Soit fausseté est établie dès conclusion du contrat : erreur
- Soit l’attribution avérée dès la conclusion du contrat : erreur : je doute d’attribution mais œuvre est
authentique
- Existe un doute dès la conclusion du contrat : aléa rentre dans le champ contractuel. C’est un contrat
aléatoire. Plus possible d’invoquer erreur : 1133 al 3 Cod civ. Conforme à l’adage « l’aléa chasse
l’erreur ».

Appréciation de l’erreur :
L’erreur s’apprécie au moment de la conclusion du contrat. C’est à ce moment que nous devons vérifier
concordance ou discordance.
Dans des cas particuliers comme celui de l’art, la fausseté ou authenticité peuvent être caractérisés par
éléments postérieurs à la conclusion du contrat lorsque la réalité est incertaine et que les progrès techniques
permettent d’établir dans un cours laps de temps d’établir origine avec certitude

2- L’objet de l’erreur :

Erreur doit porter sur qql chose. Pour être juridiquement admise, erreur doit porter sur un objet admis
comme tel par la L et la JP.
De manière générale, erreur peut porter sur la substance : on parle d’erreur sur les qualités essentielles de la
chose, ce qui est plus large mais, peut également porter sur la personne : Depuis la réforme sur les qualités
essentielles de la personne.

A- Erreur sur la qualité essentielle de la prestation

- Notion de qualité essentielle de la prestation

1133 Code civ : Dans ce texte, il y a les qualités objectivement essentielles et subjectivement :

Objectivement : celles vue comme essentielles comme tout contractant moyen qui conclut le contrat en
question : EX : Une antiquité doit être ancienne. N’importe quel contractant a le droit de s’attendre à
quelques choses d’ancien.

Subjectivement : les parties ont une emprise sur les qualités essentielles : Parties peuvent essentialiser un
élément accessoire ou secondaire de la prestation, en d’autres termes, faire d’un motif du contrat un élément
déterminant du consentement. EX : Achat d’une maison motivé par le fait qu’elle ait appartenu à un célèbre
auteur. Si tel n’est pas le cas, consentement vicié quand bien même, les éléments objectivement essentiels
du contrat étaient présents. Le motif doit faire partie du champ contractuel, sinon c’est un mobile alors pas
de nullité.

- Typologie des erreurs sur substances :


Erreur sur prestation fournie (celle que l’on reçoit) ou sur sa propre prestation.
Erreur peut porter sur presta° fournie par co-contractant ou sur celle qui est due. C’est enseignement de
l’affaire Poussin dans laquelle le vendeur se trompe sur sa propre prestation. C’est une erreur de fait.

- Autre typologie : erreur de fait ou erreur de droit. 1132 Code Civil


Comme l’explique un arrêt 17 nov. 1930 Chambre civ, il y a erreur sur la substance, quand le consentement
de l’une des parties a été déterminé par l’idée fausse que cette partie avait de la nature des droits dont elle
croyait se dépouiller ou qu’elle croyait acquérir par l’effet du contrat.

Erreur de droit. Cette dernière est une fausse croyance sur la nature de ses droits. On peut évoquer la nullité.
Autre ex : agriculteur illettré pensant qu’un cautionnement est un pur engagement moral. Ils commettent dès
lors une erreur sur la nature de leur engagement car caution est engagement juridique on engage même notre
patrimoine.
Erreur de droit n’est pas prise en compte quand le contractant se trompe sur les conséquences juridiques
d’un acte. Ex : de croyance erronée au fait que bail donne un droit automatique au renouvellement.
Aussi, l’erreur sur l’interprétation JP. une autre exception car sinon c’est porte ouverte à insécurité
juridique :

On n’admet pas erreur de droit dans un aveu judiciaire et en matière de transaction (cette dernière est contrat
par lequel les parties éteignant litige né ou à naitre en se faisant concessions réciproques).
Dans la transaction, l’erreur de fait uniquement est admise. On ne peut pas dire que on c trompé sur porté de
nos droits pour remettre en cause transaction.

- Erreur-obstacle : no° doctrinale : porte sur la nature même du contrat ou objet de la prestation :
Contractant croit conclure une vente alors qu’opération projetée est une location. Il n’y a rigoureusement pas
de consentement. C’est une cause inexistante du contrat.

- Erreur sur les motifs : 1135 Code civil : Motif est un élément accessoire ou secondaire du contrat, CAD,
étranger aux éléments essentiels de l’acte. De ce fait, erreur sur un tel élément ne permet pas de remettre en
cause le contrat.
Ils sont pris en compte dans ces motifs les mobiles qui ont poussé les contractants à s’engager et qui peuvent
être divers et variés. EX : Location d’un appartement à Paris dont le balcon donne une vue imprenable sur
le défilé du 14 Juillet : Si s’avère erroné, le contractant ne pourra pas en principe exiger la nullité du
contrat. Il faut que ce motif ait été essentiel. CAD que le contractant en a fait un élément subjectivement
essentiel. C’est la première exception
2ème exception : en matière de Libéralité (acte de disposition à titre gratuit au profit d’une autre personne).
C’est acte grave qui est motivé par un mobile précis. Dans ce cas-là, art 1135, considère que le motif qui a
déterminé auteur à disposer de la chose peut être source d’erreur cause de nullité de l’acte. EX :
Gratification d’une personne qui s’avère ne pas être le fils biologique d’auteur.

Erreur sur la valeur 1135 Code civil : Mauvaise appréciation économique de la valeur d’une prestation à
partir de donner exacte : une voiture achetée trop chère par rapport à sa cote de marché.
Cette erreur n’est pas une cause de nullité du contrat car existe un principe d’indifférence de la lésion (1168
Code Civ). Ms, exception :
Erreur sur valeur redevient cause de nullité lorsque la mauvaise appréciation économique est la conséquence
d’une erreur sur la qualité essentielle. Ce n’est pas erreur sur la valeur qui est sanctionnée en tant que telle
mais en ce qu’elle découle d’une erreur sur les qualités essentielles de la prestation.
EX : En matière de contrat de distribution ou plus précisément en matière de contrat de franchise : Erreur
sur la rentabilité économique est une cause de nullité du contrat car fait partie de la substance. On ne s’affilie
pas avec une personne si on ne veut pas tirer un avantage économique : 10 juin 2020 Chambre commerciale.

B - Erreur sur les qualités essentielles de la personne

Il faut qu’il s’agisse d’un contrat conclu en considération de sa personne. C’est enseignement du nouvel art
1134 qui reprend une solution JP constante. C’est un type d’erreur qui concerne les contrat intuitu
personnae.

3- Les caractères de l’erreur


Objet d’erreur ayant été identifié, il faut réunit plusieurs caractères afin que ce vice soit juridiquement
admis. Il faut(que erreur soit déterminante du consentement de celui qui l’invoque, ensuite, etre connu des
deux partis au moment de la conclusion du contrat , ca veut dire que element doit etre rentré dans champ
contractuel et erreur doit etre excusable.

Pour ces caractères , se posent une question de preuve qui incombe au demandeur en principe. La difficukté
probatoire varie selon qu’il s’agit d’un élément objectif ou subjectif.
1- L’erreur doit être déterminante du consentement : si contractant avait conscience de cette erreur, il
n’aurait pas contracté ou aurait contracté avec des conditions différentes.
Preuve du caractère sera différente selon que la qualité sur laquelle porte erreur est objectivement ou
subjectivement essentielle.
Si qualité objectivement essentielle : cette qualité étant la meme pour tous les contractants, il suffira de
démontrer qu’elle n’était pas présente dans acte en question pr que le caractère déterminant soit démontré
Si qualité subjectivement essentielle : cette qualité étant propre au contractant, il devra démontrer qu’elle est
entrée dans le champ contractuel avant la conclusion du contrat et qu’elle était connu de autre partie

2- Une qualité connue des deux parties : Signifie que la qualité sur laquelle porte erreur doit etre connue
de la part des deux partis afin que le vice soit admis. Tout dépend de savoir si la qualité est objectivement ou
subjectibvement essenytielle.

Objectivement : conaissance sera présumée en raison de la nature d’acte.


Subjectivement essentielle : celui qui invoque erreur doit démontrer avoir porter a la connaissance de autre
le caratère déterminant de la qualité en question et ce, avant la conclusion du contrat.

3- erreur excusable Pour préserver sécurité Juridique, erreur ne doit pas être imputable à une imprudence
voire une faute de celui qui l’invoque. Pour analyser ce caractère, les juges font une appréciation In
concreto. Ils apprécient ce caractère d’erreur en fonction des qualités du contractants. Juge se pose question
de si contractant est débutant ou expérimentée, est ce que c’est un particulier ou pro ? Est-il du meme
domaine de spécialité que le co-contractant. Tout ça permet de savoir si on peut excuser erreur.

Ex d’erreur inexcusable : acheteur du tableau qui prétend avoir confondu signer courbé et attribué accourbé
alors qu’il s’agit d’un amateur d’art. Erreur est donc inexcusable.

B- Erreur provoquée : Le dol

Le dol consiste à obtenir la conclusion du contrat en provoquant erreur du co-contractant par usage de
manœuvre résultant soit du contractant lui même ou d’un tiers.
Notion hybride consistant d’un délit civil source d’une responsabilité civil extracontractuelle et constitutive
d’une cause de nullité en ce qu’il vicie le consentement de la victime.
1- La notion de manœuvre
Le dol résulte nécessairement de manœuvre lmise en œuvre pour pousser autre partie à contracter. Pour
caractériser une manœuvre, il faut réunir élement matériel et moral

A- élèment matériel de la manœuvre

- Il y a manœuvre constitué par des actes positifs : 1137 al1 . Actes destinés à tromper autre partie. Peut
s’agir de mise en scène : EX : vente d’une voiture d’occasion en mauvaise état en maquillant traces de
rouille mais également le mensonge ex : certifier que la voiture est de première main alors qu’elle a déjà été
utilisé.
- Acte résultant du silence encore appelé résistance dolosive : manœuvre plus subtile lorsque l’auteur
s’abstient d’apporter information importante à autre partie : 1137 al 2. Dissimulation d’existence d’un
recours contre autorisation administrative de poursuive exploitation commerciale.

B- Element moral

La manœuvre doit avoir été mise en œuvre sciemment par son auteur. Auteur doit avoir été de mauvaise foi,
avoir commis acte ou s’être abstenu de manière intentionnelle.
Pour acte positif : preuve facile
Pour le silence preuve plus difficile. 2 éléments sont à rechercher : Si auteur avait connaissance
d’information et auteur doit avoir connaissance du caractère déterminant de l’information pour le
contractant. En absence de cette connaissance, il ne peut y avoir de manœuvre.
2- Objet de erreur provoquée par le dol

Objet de erreur résultant d’acte positif : Dans ce cas, erreur provoqué par le dol peut porter sur une qualité
essentielle mais également sur les valeurs et les motifs art 1139.
Objet de erreur pour le dol par réticence : contrairement au dol qui résulte d’acte positif, erreur sur la valeur
n’est pas une cause de nullité en cas de dol par réticence : Art 1137 al 3. Cette disposition a été rajouté par L
de ratification de 2018 mais sans avoir de caractère interprétatif. CAD que cette disposition n’est applicable
que a partir du 1er octobre 2018. Se pose donc une question d’application de la Loi dans le temps. La
question qui peut se poser est celle de savoir si les juges vt appliquer la version de 2016 à la lumière de la
version de 2018. Dans le cas contraire, application schizophrénique du texte.
Autre question se pose : Survie de la JP antérieure qui considérait en matière de cession de parts sociales que
le silence du cessionnaire ( celui qui acquiert les parts) sur la valeur des parts qu’il recoit peut etre
constitutive d’un dol. CH com 27 fev 1996 : vilgrain.

3- Les caractères du dol

Erreur découlant du dol, doit être déterminante.CAD que sans les manœuvres, la victime n’aurait jamais
contracté 1130.
Dans le droit antérieur, il était question de dol principal, le seul qui pouvait entraîner la nullité du contrat. Si
le caractère n’était pas déterminant, cad que sans le dol, la victime aurait contracté mais dans des condi°
différentes, alors il s’agissait dans ce cas d’un dol incident qui ne pouvait causer la nullité du contrat et qui
était seulement source de responsabilité civile extra-contractuel.
Sur ce point, la Jp diverge et la réforme est difficile à interpréter. A la lecture de l’article 1130 du Code civ,
il est difficile de savoir si le dol incident est une cause de nullité du contrat ou pas .

- 2ème caractère : le Dol doit provoquer une erreur ( celle qui en découle) excusable.
Pour acte positif, acte sera toujours excusable.
Pour la réticence dolosive, solu° auparavant discutée. JP décide que erreur qui découle d’un dol est toujours
excusable : Civ 3ème 21 février 2001 et ce que dis la réforme. Peu importe type de dol, erreur est excusable.
Mais il faut tempérer propos. Dans le cadre d’une vente, exagération du vendeur est permise . C’est le bonus
dolus ( bon dol). IDEM en matière publicitaire sauf a ce que acte soit constitutif d’un acte trompeur.

- 3ème caractères : erreur doit être provoqué par le contractant ou un tiers. Il va de soit que auteur du
dol peut en premier lieu être le contractant mais peut également s’agir d’autre personne. Généralement, il
s’agit de tiers qui ont un lien avec le contractant. Peut-être le représentant, le gérant d’affaire, le préposé
( salarié de entreprise) ou le porte fort du contractant.
Peut s’agir tiers de connivence ( un complice du contractant). EX : un faux client payé par le vendeur pour
donner des indications mensongères sur le produit et le convaincre d’acheter.

II- Le consentement libre


Pas possible de donner effet à un contrat que l’une des parties n’a pas souhaité conclure. Soit en raison de
cause intraséque ou en raison de cause extrinsèque (menace).Ca renvoi à aptitude à contracter
A- Aptitude à contracter

Être capable de contracter signifie avoir toutes ces facultés mentales à consentir. Mais aussi, quand le contrat
est conclu par autrui, à consentir

1- la capacité à contracter

Exercice du droit est retirer par la loi à son titulaire est parfois confier dans son intérêt à un tiers mais va
s’avérer que le titulaire du droit ne va pas respecter cette interdiction. Pose le problème des incapacités. La
capacité c’est avoir aptitude a avoir des droits et les conserver. C’est condi° de validité du contrat : 1145.
Pr vérifier la capacité à contracter, faut voir quelle est la nature de acte et son effet.
Plusieurs classifications à avoir à esprit :
- incapacité générale et spéciale.

Incapacité est dite générale quand elle concerne tout les actes juridiques sauf exception . C’est le cas de la
minorité, la tutelle.
L’incapacité spéciale concerne un acte expressément mentionné, ce qui veut dire que tout les autres actes
sont autorisés. EX : 903 qui interdit au mineurs de moins de 16 ans de faire testament. C incapacité spéciale.

- Incapacité absolue et relative : absolue si elle vaut pour tout les contractans : majeures sous tutelle ne peut
contracter avec personne.
Relative : incapacité qui empeche une personne de contracetr avec seulement une ou plusieurs personnes de
contracter : 1109 Code civ.

- Incapacité de jouissance et d’exercice. :


Incapacité de jouissance empêche incapable d’être titulaire d’un droit. Ne peut l’exercer lui meme ou par
intermédiaire d’un représentant. Incapacité de jouissance est toujours spéciale.
Incapacité d’exercice empeche incapable d’exercer les droits dont il est titulaire mais peuvent etre exercé par
représentant légal ( tuteur).

Protéger les individus d’actes qui peuvent leur être néfaste.

La sanction

Il faut avoir finalité, cad, protéger les personnes intrinsèquement faible et les empêcher de conclure des actes
néfastes. Il faut rechercher quel est l’effet de acte en question.

Il faut faire application des art 1146, 1148 et 1150 du Code civ.
Il faut distinguer selon qu’il s’agit d’un majeure ou d’un mineur. 3 types d’actes :
- acte pouvant etre accomplit par le majeur seul : il y a ressisition pour lésion. On peut réduire le montant de
acte pour lésion .
- acte nécessitant une assistance : nullité de acte a condition que nullité de acte cause un préjudice à la
personne peotégée. Art 465 du Code civ.
- acte nécéssitant une représentation : comme dans la tutelle, la nullité est de droit : art 465 Code civ.

Pour les mineurs, faut combiner les articles 1146 et 1149 Du Code civ . La nullité encourue est relative,
ensuite, les actes courants peuvent être annulées pour simple lésion sauf dans ce cas là, si la lésion procède
d’un événement imprévisible.

2- Le pouvoir de contracter, la représentation

Notion de représentation : selon les cas, le contrat n’est pas directement conclu par un intéressé mais par un
intermédiaire chargé de la représenter. De manière générale, la représentation, est aptitude par le
représentant soit de créer des effets juridique dans le patrimoine de la personne représentée ou de gérer les
affaires de cette dernière. Ex : la tutelle. C’est représentation legale destiné à gérer.
Il y a désormais un régime de droit commun : 1153 à 1161. C’est une innovation de » la réforme.

La nature de cette représentation

1153 du Code civil. Ex : personne morale représentée par leurs dirigeants sociaux.
Représentation peut être judiciaire : tutelle des majeurs protégées.
La représentation peut etre conventionnels ( du contrat) ou judiciaire.
Une limite commune a touts ces types de représentation. Cette représentation doit être effectuée dans la
limite des pouvoirs conférés.

La catégorie de la représentation
2 Types :
Parfaite : Celle qui fait naitre des effets juK dans le patrimoine du représenté qui est totalement engagé car
acte est conclu en son nom et pour son compte ( contrat de mandat) .

Imparfaites : 1154 al 2 : Tte les fois ou le contrat est conclu, certes pour le compte d’autrui mais en son nom
personnel. EX : contrat de commission : vente de marchandise pour le compte du commétant mais au nom
de celui qui vend ( commissionnaire). s

La délimitation du pouvoir

Le représentant ne peut agir que dans la limite du pouvoir qui lui a été conféré : EX : Si representant a que le
pouvoir de négocier, si il conclu la vente, il y aura dépassement de pouvoir.
1155 : deux situa° :

- Si pvr du représentant est défini en termes généraux : le pouvoir ne couvre que les actes conservatoires et
d’administration.
- Si pouvoir est spécialement déterminé, le représentant ne peut accomplir que les actes pr lesquels il est
habilité à agir et ce qui en sont accessoire. L’accessoire est interprété de manière stricte ( mandat de vendre.
Le représentant doit vendre mais aussi tout lles actes comme changement d’adresse).
Il faut analyser les termes de acte de représentation ppr connaître pr2cisement le pvr conferé au représentant.

Les sanctions applicables : 1156 et 1157 : distinction entre sanction du dépassemenet de pvr ( 1156) et celle
du détournement de pouvoir ( 1157). C art mettent fin à une JP fluctuante.

En ce qu concerne le dépassement : il vise le cas où le représentant va au-delà du pvr qui;lui a été conféré.
La sanction du dépassement varie en fonction du représenté ou du tiers contractant. Pr le représenté, c’est
innoposabilité de acte. Cette sanction se comprend car la representation vise a produire effets juridiK
directement dans le patrimoine du représenté. Logiquement, la sanxctin doit etre celle de rendre l’acte
innéficace.
Mais y’a exception : Théorie du mandat apparant : ass plen 13 dec 1962 : lorsque le tiers a pu legitimement
penser que le représentant agissait dans les limites de ses pouvoirs. Dans ce cas là, il sera excusé de ne pas
avoir verifié la portée de son mandat. L’appréciation se fait in concreto et le juge prend en compte un certain
nombre de ^paramètres comme la qualité des parties. ( pro ou pas, la caractère habituelle ou non de la
relation).

Il existe action interrogatoire qui permet au tiers de poser la q eustion au representé. L’exeption est a
interprété strictement. Les juges ne sont pas souples.

En ce qui concerne le tiers contractant : pourra demander lla nullité relative. Tiers contractant est parti à
acte. Cet acte es de nature a faire naitre une obligation à sa charge. Il y a une condi° à respecter. C’rst que le
tiers contractant doit ignorer que acte a été accompli en depasssement des pvr. S’il le savait et qu’il a conclu,
il a ratification.

La sanction pour le représentant : il risque d’etre tenu de acte.

Sanction du détournement de pouvoir : vise la cas où le représentant agit dans les limites de son pvr Mais
qu’il en détourne les finalités dans un but contraires aux interets du représenté.
La sanction est plutot la nullité relative. Mais deux conditions doivent etre réunies pour invoquer la nullité :
- détournement doit causer un préjudice au représentée
- la conaissance ou ignorance inexcusable d tier contractant.
La ratification de acte : 1156 : meme mécanisme que la confirmation des nullités relatives. Ratification
permet de passer outre le vice de acte et, Pr le représenté, de repre,dre acte a son compte. C’est une
validation a posteriori de acte. Est ce que cette ratification est rétroactive ?

Deux situations :
- soit on fait analogie avec porte fort ratification : auquel cas, il y a retroactivité le jour où l’acte a été
appliqué.
- analogie avec confirmation d’un acte nul : 1182 : validation sera non rétroactive pour ne pas remettre en
cause le droit des tiers.

Ratificatin peu etre express ou tacite. Tacite veut dire deduite du comportement du representé. Ratification
peut etre discrétioinnaire ( le représenté n’a pas besoin de se justifier).

Action interrogatoire : tiers qui doute des pvr du représentant, a tjr possibilité d’interroger le représenter sur
l’étendu des pouvoirs.

Condition :
1- Est ce que le doute est une condition du texte ? Faut-il douter pr mettre action interrogatoire : si tel est le
cas, faut faire valoir des elements objectif qui permettent de démontrer le doute.
2- Cette action est limité à la representation de nature conventonelle.
3- L’action ne vaut quer p^r les actes a conclure. Si acte est déjà conclu, il faut esperer une ratification.
4- Objet de action doit etre clair. Dans ecxrit, on doit préciser que interrogation porte sur l’étendu des pvr du
reptésentant.
5- Faut fixer délai raisonnable pr la réponse.

Effets :
Si le représenté ne répond pas ; il sera tenu de acte et ,e pourra plus invoquer inopposabilité ni la nullité.
C’est violent. Il fauxdrait admettre des excuses legitimes au silence au regard des conséquences qu’une telle
action peut produire sur le patrimoine du représentant.
Autre situa° : Le représenté répond que le représentant n’est pas habilité : représenté ne sera pas tenu d »e
acte s’il est conclu sauf ratification ultérieure.
Autre situation : s’il répond que le représentant est habilité, l’acte sera théoriquement conclu entre le
représenté et le tiers. Dernière situation : Si réponse est obscure : on ne peut penser que le representé est tenu

B- La violence

Violence : contrainte illégitime ayant déterminé une personne a donner son consentement à un acte
juridique : 1140. Le contractant est lucide, ne commet pas erreur sur le contrat. Est contraint de s’engager.

- On doit d’abord identifier la victime. Cette dernière peut être le contractant lui même ou du mandataire
( porte le consentement du mandant)
Peut également s’agit d’un tiers comme un proche ou membre de la famille du contractant.
- On doit identiier auteur de la violence : peut être le co-contractant ou un tiers
- On doit rechercher origine et la nature de la violence. Origine importe peu et pourrait s’agir de violence
physique, menace verbales, violences psychologiques ou de contraintes matérielles.

Dans l’origine de la violence, le cas des utilisations des circonstances : Violence est toujours illégitime mais
quand il s’agit d’utiliser des circonstanvces en notre faveur, pas de violences, sa peut etre profiter de la
naiveté d’autrui. Il y aura violence que si auteur lui même abuse de la situation qui joue en sa faveur.

Pour détecter abus, art 1143 : 3 conditions :


- démontrer que la victime était dans un état de dépendance à égard du co-contractant : cas où victime est en
position de grande faiblesse par rapport a autre partie et PAS par rapport a quelqu’un d’autre. Cette Précision
a été ajouté par la L de ratification de 2018 mais avec une portée rétroactive. Cette précision s’applique pr
contrats conclus a partir du 1er nov 2016.
La nature de cette dépendance peut être mentale, économique, physique : Civ 1ere 3 avril 2002
état de dépendance peut etre continu ou ponctuel : péril en mer nécessitant un sauvetage. S’il veut négocier
les conditions, c‘est un cas de dépendance ponctuelle.

- Démontrer que le co-contractant abuse de la situation.


- Démontrer un résultat : obtention d’un avantage manifestement excessif. Il faut qu’il y ait disproportion.

Caractères d la violences :

- Doit être déterminante : sans elle, la victime n’aurait jamais contracté. Une simple assistance ne suffit pas.
Pr savoir si elle est déterminante, le juge opère une appréciation in-concreto. Il prend en compte les éléments
liés à la personne. L’ancien article 1112 indiquait de prendre ne compte age, le sexe et conditions des
personnes.
- Doit être illégitime : Condition sera remplie quand la violence sera physique. Pr le reste, le caractère peut
ne pas toujours être rempli.
Concernant la menace d’utiliser une voie de droit, elle ne constitue pas une violence sauf s’i elle est
détournée de sa finalité. La menace proféré afin d’avoir avantage auquel l’auteur n’avait pas droit ou qu’il
n’a aucun rapport avec action autorisée. Vise aussi le cas où auteur obtient un avantage manifestement
excessif.

Sanction de la violence
Au regard de sa nature , peut être pénales ou civil ( quand on parle de vice). On peut avoir dommages et
intérêts sur fondement de art 1240 ainsi que la nullité du contrat.

III- Consentement lucide

414-1 Code civ : Faut être sain d’esprit pour consentir valablement à un contrat. Son régime répond à la
validité du contrat.
Il faut distinguer action exercée du vivant du requérant (A) et par les héritiers (B).

A-Action exercée du vivant

Art 414 Du code civil. 2 conditions :


- Prouver existence d’un trouble mental et condition est appréciée souverainement par les juges du fond. Le
texte vise insanité qui est rouble grave tel qu’une maladie psychiatrique ou la perte de conscience dû à un
trouble somatique. Ça ne vise pas alcoolisme ou état dépressif. Les juges sont souples lors de démission de
salariés donné sur le coup d’un émotion vive. Ils acceptent de qualifier trouble alors que pas d’insanité
d’esprit.

- Prouver que trouble se produit au moment de l’émission du consentement. La preuve incombe à celui qui
invoque le trouble. Contractant lui-même ou son représentant légal. Comme c’est un fait juridique, la preuve
se fait par tout moyen.

Néanmoins, il faut savoir que les juges sont plus conciliant quand la personne est dans état habituelle de
trouble. Dans ce cas là, les juges pourront admettre que c’est à l’autre partie d’admettre qu’il était lucide au
moment de acte. Il y a une présomption d’insanité. L’autre partie devra démontrer intervalle de lucidité, dc
que au moment de la ccls de contrat a retrouve sa lucidité.

B- Action exercée après décès


Faut appliquer conditions de article 414-2 Du Code civil.

- En cas du décès du contractant, preuve est bcp plus stricte. Sera interprétation de testament. Acte doit
comporter en lui meme la preuve du trouble mentale ( preuve extrinsèque) mais dans certaines situations,
possible de ^prendre en compte d’autres éléments de preuve ( preuve extrinsèque). CAD que preuve
redevient libre et ce, dans deux situations. D’une part, lorsque la personne est placée sous sauvegarde de
justice et que avant le décès, allait s’ouvrir une mesure renforcée telle que la curatelle ou tutelle.
Ici on accepte d’autres modes de preuve est pa vue comme suspecte car le dé cujus montrait déjà des signes
de faiblesse permettant de douter de la validité& de acte.

- Pr donation et testament, c’est cate grave pr patrimoine du dé cujus et assiette de la succession alors que pr
le bénéficiaire, il s’agit d’un manque à gagner.

Section II- Le contenu contractuelle

Pas que consentement qui doit être valable. 1162 à 1171 du Code civil. Son contenu doit être certain, licite et
équilibré

I- Un contenu certain

On parle d’objet. Ce qui pose la notion d’objet et les condition de objet

A- La notion de objet$
Objet renvoi a ce sur quoi porte l’engagement.
Il y a d’abord objet du contrat : Dans son acception la plus large. Ensemble des stipulations contractuelles.
C’est son contenu. Aux sens strictes, il s’agit d’un instrument de qualification contractuelle. Pour qualifier
un contrat, objet du contrat est synonyme d’obligation caractéristique cad, celles qui épuise utilité
économique du contrat et lui permet de lui attribuer sa nature.

Objet d’obligation :
1135 Code civil. Permet de déterminer engagement du débiteur. Ce qu’il a promis et ce qui en découle :
Obligation de faire ou de ne pas faire CF intro.
Objet de la prestation
Ce sur quoi porte notre obligation de faire : peut-être une chose ou une personne. Dans un contrat de vente,
objet de prestation, sera une voiture. C’est la personne qui subit la prestation.

B- Les conditions de objet


Ces conditions sont au nombre de 4.
Dans un premier temps, objet doit être licite. Ça veut dire plusieurs choses :
- Objet ne doit pas porter atteinte à OP. C’est le respecte des règles fondamentales d’organisation sociale
d’un pays et de ces règles juridiques. OP peut entré de plusieurs natures : OP économique, sociale,
environnementale.
Dans OP économique, on a OP de direction : organisation écoK telle que dirigée par état et OP éco de
protection qui est protection des interets écoK d’une catégorie de contractant. EX : protection des
consommateurs. On inclus dans OP le respecte des droits et libertés fondamentaux. EX : Clauses d’un bail
d’habitation ne peuvent avoir pr effet de priver le preneur de la possibilité d’héberger ses proches. C’est
contraire a art 8 de CEDH. Peut être atteinte à une liberté fondamentale comme clauses de célibat sauf
circonstances exceptionnelles sont illicites car porte à la liberté fondamentale.
Ne pas porter a l’OP est ne pas porter atteinte aux bonnes mœurs : art 6 . C’est une notion désuète qui se
focalise sur la morale sexuelle.
- La chose ne doit pas être hors de commerce : 1598 du Code civil. Des choses qui NE vent faire objet de
convention anc art 1128 et nouv 1162. Elles ne peuvent pas faire objet de convention en fraison de leur
caractère sacré comme sepulture ou extra-patrimonial ou ces choses ont une valeur social particulière.
Lr=aliénation du corps ou d’un produit du corps, GPA.

Attention à ne pas apprécier de manière absolue. Il faut retenir qu’objet d’une obligation n’est jamais hors
du commerce de façon autonome. Faut combiner objet d’obligation. Tuer n’est pas interdit en soi . Tout
dépend n quel est objet de la prestation. Si on tue un animal pr boucher licite mais si c’est une personne c’est
illicite.

Parenthèse sur cession de clientèle :


De bas, on ne peut céder une clientèle. Mais sa a été admis en matière commerciale. Clientèle est essence
même du fond de commerce . Mais a été autorisée en matière liberale. A été autorisé en matière liberale à
consdition que la liberté du choix du client a été preservé.

Pour existence de objet : faut se placer au momlent de la ccls du contrat. On parle d’existence de objet : vise
les choses pr&ésentes et les choses futures. Les choses futures sont les choses dont existance bien que
postérieures a la ccls du contrat est certaine au molent de celle-ci. EX : VEFA.

Peut également viser les choses eventuelles.

La possibilité de objet : obligatoit doit porter sur une prestation possible au moment de la ccls du contrat. Si
la chose devient impossible, on est dans une question relative à la charge des risques.
Il ne s’agit pas de impossibilité liés a incompétence du contractant. Si prestataire pas compétent pr couler le
ciment, il ne pourra pas inviquer impossibilité de la tache pr mettre fin au contrat. Il peut sous traiter la
tache.

- Objet doit etre déterminée et determinable. Vise la précision la nature de objet et de son étendue. On
connaît parfaitement les contours mais également de son étendu.
Objet déterminable vise objet déterminé quant à sa nature mais dont l’étendu n’est pas définitivement fixé.
Lorsque objet est determinable, art 1163 apporte une grille d’analyse. D’abord c’est rechercher si parties ont
eu une relation antérieure. Dans ce cas, on présume que détermination de objet sera celle que les parties ont
habituellement admises.
On peut se référer aux usages : il convient de se référer aux usages et habitudes communément admise.

- Il faut sinon distinguer entre prestations monétaire et en nature.


Presta° en nature : faut se poser 3 questions : comment déterminer la nature de la prestat ? Comment
determiner étendue de obligation ? Comment on détermine la qualité de obligation ?

1 détermination de la nat de la prestation : faut rechercher sic’est prestation de service ou contrat translatif.
Si c presta de service, faut rechercher de quelle service il s’agit. S’agit-il de représenter, de réparer, de
conseiller ? EX : s’engager a faire un geste n’est pas une prestation de service suffisament determinable. CH
com 28 fev 1983.

S’il s’agit de contrat translatif : ft distinguer si il s’agit d’un corps certain ou d’une chose de genre. S’il
s’agit d’un corps certain : acte devra contenir elemnt suddisant pour permettre son identification. Pr une
voiture c’est n° d’ilmatriculation qui permet de faire un corps certaineS’il s’agit d’une chose de genre,
faudra definir ces caractéristiques générales qui permetteront de determiner la famille de objet de la
prestation : comme charbon, avoine.

Se pose aussi étendue de l’obligation. Faut distinguer selon que c prestation en nature ou contrat translatif.
Pr presta° en nature : 1163. CAD que en pcp, le prestataire n’a pas a fixer avec une totale précision l’étendue
de la tache qu’il réalise.
En revanche, les contrats translatif : contrat valable si la quantité acheté est déduite du contrat ou meme si la
quantité acheté dépend de l’acheteur. EX : Vente d’avoine nécessaire pr la nourriture d’un cheval pdt un
mois. Il faut que la determination de étendu de la prestation se fasse par des critères objectifs independament
des parties. Si une partie pt ficer unilateralement ce a quoi elle s’oblige, le contrat et nul.

Pour laqualité de obligation : peu importe la nature de prestation, s’il n’y a aucune specification
contractuelle, la déterminabilité se fera en fonction des attentes légitimes des parties, a la fois en fonctions
des attentes du créancier et du débiteur. Il faut privilegier attente du créancier sur le debiteur.
St pris en compte la nature de la prestation, les usages, le montant de la contre-partie. Avant la réforme, le
determinabilité se faisait en fonction de la qualité moyenne ( ni trop basse ni trop haute). C’étatit ancien art
1246 .

Pr prestation monétaire, ft rechercher nature du contrat pr savoir le degrés de précision du prix qui est
attendu. S’il s’agit d’un contrat de vente, le peix devra etre determiné avec precision au moment de la
conclusion du contrat. 1591 et 1592.
Exeptionelemnt, le peix pourra etre determinable mais a la condition de ficer des critères objectifs. Il pourra
s’agir d’une clause d’indexation ( fixe le peix en focntion d’un INDICE choisi par les parties). D’une part
qui leur est exterieur et d’autre part qui est en lien avec objet du contrat.

Peut s’agir d’une clause par dire d(‘expert : prix sera ficé par un tiers independant du contrat. A inverse, il y
a regime du contrat d’entreprise.
Le régime est p;us souple. Le prix a silplement besoin d’etre determinable lors de la ccls du contrat.
Ampleur de la tache ne peut pas egtre connu avrc precision au moment de la ccls du contrat. La solution est
generalisée pr tte les prestation de services, par art 1155 Code civ. En droit francais, les contrat de bails et de
depot de sont pas des contrats de prestations de services. Il est possible d’exiger une plus grande précisons
du prix.

S’il s’agit d’un contrat cadre, là aussi, le peiux peut n’etre que determinable au moemnt de la ccls du contrat
cadre, a charge d’etre préciser par les contrats d’application par la suite. Cette solution na pas tjr ete celle ci.
Art 1164 est qu’une reprise de cette solution . On peut préciser c’est que le prix peut etre fixer
unilatéralement par le créancier. S’il s’agit d’une prestation de servoice, peut etre fixée par une des parties.
S’il s’agit d’un contrat cadre, par le fournisseur.

L’abus de fixation du prix est plus sanctionné au titre de la validité du contrat mais de inexecution. Ce n’esyt
pas nullité qui est encourue lmais les dommages et interrets et resolution du contrat.
II- Le contenu licite

Doit avoir objet licite et un but licite. Mm si objet du contrat lcite, le but poursuivi doit aussi l’etre. 1162 qui
reprend enseignement des anc art 1131. On parlait avant de cause illicite. Permet au juge d’aller plis loin
quer les apparences pr vérifier les motifs lointains des contractants. Vente d’un immeuble par ex . S’agit de
protéger intérêt général. C pr ca que le but n’a pas besoin d’Être connu de autre partie. On annule acte. Cette
conditions vaut pr tt les contrats et même pr les actes unilatéraux. IDEM si contrat st synnallagmatiques ou
unilateraux, gratuits ou onéreux.
La Jp a consideré que l’on peut gratifier une concubine pr relation adulterines. : ASS plzn 29 octobre 2004.

Preuve d’illicieté incombe par celui qui invoque et par tt moyen.


III- Equilibre contractuel

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