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Cellules chlorophylliennes
(tissu palissadique)
Cellules chlorophylliennes
(tissu lacuneux)
Cellule de garde
Face supérieure (chlorophyllienne) Ostiole
Cuticule
EPIDERME
Cellules chlorophylliennes
(tissu palissadique)
Cellules chlorophylliennes
H2O (tissu lacuneux)
O2
STOMATE
CYTOPLASME
Hyaloplasme
Noyau
Cellule
épidermique (non
chlorophyllienne)
STOMATE
(chlorophyllienne)
Ostiole
Cellule
épidermique (non
chlorophyllienne)
Cellule de garde
Face supérieure (chlorophyllienne) Ostiole
Cuticule
EPIDERME
Cellules chlorophylliennes
(tissu palissadique)
Cellules chlorophylliennes
H2O (tissu lacuneux)
O2
Matière
organique
Tige
Feuille
Air
Sol
Racine
Moléc
organiques
Vaisseaux du xylème
→ Sève brute (eau,
Feuille sels minéraux)
Vaisseaux du phloème →
Sève élaborée (produits
de la photosynthèse)
Tige
Air
Sol
Poil absorbant
Organe de
réserve
Mycélium
Eau et ions
Racine
THÈME 2 : ENJEUX PLANÉTAIRE CONTEMPORAINS
PARTIE A : DE LA PLANTE SAUVAGE A LA PLANTE DOMESTIQUEE
Chapitre 1 : L’organisation fonctionnelle des plantes à fleurs
Introduction
I. L’organisation fonctionnelle de la plante en lien avec sa
nutrition
A.Des surfaces d’échange adaptées à la vie fixée.
1. Les racines à l’interface plante/sol
2. Les feuilles à l’interface plante/atmosphère
B. Des systèmes conducteurs entre les différents
organes
C. Des adaptations aux conditions environnementales
P 162
Doc 1-2 p 164
THÈME 2 : ENJEUX PLANÉTAIRE CONTEMPORAINS
PARTIE A : DE LA PLANTE SAUVAGE A LA PLANTE DOMESTIQUEE
Chapitre 1 : L’organisation fonctionnelle des plantes à fleurs
Introduction
I. L’organisation fonctionnelle de la plante en lien avec sa
nutrition
A.Des surfaces d’échange adaptées à la vie fixée.
B. Des systèmes conducteurs entre les différents
organes
C. Des adaptations aux conditions environnementales
II. Le développement des plantes à fleurs
A.Les mécanismes de croissance des plantes à fleurs
→ Voir Activité 1: Les mécanismes de croissance
chez les végétaux
Activité 1 : Les mécanismes de croissance chez les végétaux
Par une étude rigoureuse des documents, déterminez les mécanismes à l’origine de
la croissance des racines et des tiges puis expliquez comment de nouveaux organes
peuvent être mis en place.
En fonction des conditions du milieu et de l’âge de la plante, les bourgeons peuvent mettre en place différents organes (tige,
feuille, fleur).
MAC : Méristème Apical caulinaire → "méristème au bout de la tige"
MA : Méristème Axillaire → "méristème à l’aisselle d’une feuille"
MF : Méristème Floral → méristème qui donnera une fleur (ou un groupe de fleur)
S : Sépale ; P : Pétale ; St : Etamine → Différentes parties de la fleur
Méristème : tissu cellulaire spécialisé dans la croissance, les cellules n’y sont pas différenciées et se divisent par mitose. Il existe
des méristèmes racinaires, caulinaires ou floraux.
Activité 1 : Les mécanismes de croissance chez les végétaux
Document 4 - Développement de deux types de bourgeons observés au microscope
optique, en coupe longitudinale.
L’observation de clones d’une même plante montre des différences de mise en place des
organes. Cela suggère un contrôle de leur développement via différents facteurs.
Ces facteurs ont été découverts au cours de l’histoire des sciences grâce aux travaux de
plusieurs scientifiques.
Par une exploitation rigoureuse des documents, déterminez les facteurs de contrôle du
développement des plantes
Pour cela, il retire l’extrémité (ou apex) du coléoptile puis le replace mais en intercalant
différents blocs, plus ou moins perméables à différents type de substances ou à l’électricité.
Témoin négatif : Témoin positif :
Expérience :
apex non replacé apex replacé sans rien intercaler
Résultats :
Activité 2 : Le contrôle du développement des végétaux
Résultats :
Activité 2 : Le contrôle du développement des végétaux
Document 3 : L’expérience historique de Went (1928).
Söding finit par isolée une substance responsable de la croissance des apex : l’auxine.
Went propose alors une autre expérience : Un cube de gélose imprégné de cette substance
est posé sur le coléoptile décapité avec un léger décalage.
Cette expérience est réalisée plusieurs fois, en changeant la concentration en auxine et en
mesurant l’angle du coléoptile après croissance.