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Plan
Introduction………………………………………………………..…6
Chapitre I : Présentation de Business Process 212 (BP212)……......7
Section I : Le savoir-faire de BP212………………………………………..…...8
Section II : Pourquoi choisir Bp212………………………………….................8
Section III : la méthodologie Two One Two chez BP212……………...………..8
Section VI : La mission et La vision De Bp212………………………………….9
Section V : Les valeurs Les ressources de BP212……………………………….9
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Section VI : Les risques d’une mauvaise gestion comptable………19
Conclusion……………………………………………………..……32
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Introduction
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Chapitre I : Présentation de Business Process 212
(BP212).
Dans ce chapitre, on a essayé d’introduire la société Business process en précisant
son savoir-faire, ses missions et ses valeurs.
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Section I : Le savoir-faire de BP212.
Business Process 212 se positionne en tant qu’entreprise spécialisée dans la conduite de
projets de mise en place et d’optimisation de solutions de gestion. Il s’agit d’une société
qui sait étudier les procédures de gestion; déployer des solutions viables; sensibiliser et
former les collaborateurs pour plus d’efficacité et d’efficience. C’est dans cette optique
là que cette entreprise propose des solutions viables pour ses clients, et non seulement
de simples projets informatiques, en développant pour eux des méthodologies
innovantes et adaptées d’accompagnement pour un développement sûr et durable ; elle
est consciente que la mise en œuvre d’une solution de gestion est une opération qui ne
consiste pas uniquement à installer un logiciel, mais à réorienter l’organisation de
l’entreprise tout entière vers des pratiques réellement rentables, ce qui implique une
nécessaire prise en compte d’un projet de conduite de changement. BP212 a élaboré une
méthodologie de gestion de ses projets qui implique les hommes et les femmes qui
seront touchés par ces changements organisationnels et d’intégrer la culture, les
habitudes et les normes sociales de l’organisation dans l’élaboration des plans de
déploiement d’outils qui pourront être concrètement efficaces.
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comparée aux méthodologies classiques utilisées par les Société de Service d’Ingénierie
en Informatique (SSII).
2) La vision De Bp212.
La vision de cette société est la mise en place de projets innovants permettant de
propulser des organisations vers un niveau supérieur de résultats, de rationalisation et
de l’optimisation de leur gestion par l’implication de tous les collaborateurs intéressés
par ces projets.
Ses ressources :
Les ressources de la société BP212 sont constituées principalement de :
Un management avec une grande expérience dans la gestion de projets de mise à niveau
et d’évolution d’entreprises ;
-une équipe pluridisciplinaire et hautement compétente ;
-un réseau de consultants de proximité et de grande disponibilité pour ses clients ;
-des outils à la pointe de la technologie et d’une grande efficacité ;
-et beaucoup d’expertises sectorielles concentrées dans ses manuels de procédures.
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Chapitre II : La société de service d’ingénierie
en informatique (SSII).
Ce chapitre va se porter sur l’explication du domaine d’activité de la société BP212,
et alors il va donner une introduction générale sur les sociétés de service d’ingénierie.
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Section I : Définition d’une SSII.
Une société de service et d’ingénierie en informatique est dite SSII. Cette appellation
est reprise de nos jours en termes de société de services informatique (ESN). Cet
acronyme ESN désigne une société experte en informatique et en nouvelles
technologies. Il s’agit de diverses compétences : concevoir, former, conseiller, assurer
la maintenance…Ce savoir-faire est commercialisé aux entreprises qui ont besoin, par
exemple, de créer un site web/un logiciel ou de gérer un parc informatique. Elle fournit
à ses clients des conseils et des solutions de communication. En plus, elle cadre des
systèmes informatiques. Elle se charge, parfois, non seulement de former les utilisateurs
de ses produits mais aussi de les assister. En générale, La SSII est une société experte
dans le domaine des nouvelles technologies et de l’informatique. Elle peut englober
plusieurs métiers (conseil, conception et réalisation d’outils, maintenance ou encore
formation) et a pour objectif principal d’accompagner une société cliente dans la
réalisation d’un projet.
Section II : Historique.
L'appellation SSII a succédé au début des années 1980 à celle de SSCI (Société de
services et de conseils en informatique). Les SSCI ont élargi leur gamme d'activités et
le terme «ingénierie» remplace le terme «conseil» jugé à l'époque comme trop associé
à de petits cabinets. L'ingénierie recouvre en effet les différents métiers du conseil (en
nette diminution), des études, de l'ingénierie de dispositifs, de l'intégration de dispositifs,
de l'assistance technique et des progiciels.
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anciens salariés exigent alors une augmentation de salaire par rapports aux nouveaux
recrus sous menace de quitter l’ESN et à se repositionner sur le marché. De cette façon,
l’ESN se trouve piégée dans un cercle vicieux. D’autant plus que les clients imposent
une baisse de prix de vente puisque ils n’ont que l’embarras du choix.
1) Prestations détaillés :
Au sens le plus large, les SSII tirent leur chiffre d'affaires (C. A) des prestations
suivantes :
le conseil
o Conseil en organisation
o conseil en processus métier
o conseil en conduite du changement
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o conseil technique et R&D externalisé
l'intégration de dispositifs
2) Types de prestation :
Les SSII se distinguent surtout par le degré d'intégration du travail individuel de chaque
employé ou de l'entreprise dans le service qu'elle rend à chacun de ses clients.
Dans le régime de l'assistance technique (AT ou régie), la SSII recrute des personnes
disposant de compétences pour revendre leur travail à la journée, selon un taux
journalier convenu. Un indicateur fréquemment utilisé est le taux journalier moyen
(TJM), c'est-à-dire le ratio F/J où F est le montant facturé par la SSII à son ou ses clients
pendant une période donnée, et J le nombre de jours-hommes apportés à ce ou ces clients
pendant cette même période. La mise en place de ces prestations doit être fortement
encadrée. En effet, le prêt exclusif de main d'œuvre est réservé en principe aux seules
sociétés d'intérim, faute de quoi est commis un prêt illicite de main d'œuvre (voire un
délit de marchandage par conséquent qu'un préjudice existe pour les salariés). On parle
alors de "fausse sous-traitance". Tout employé du prestataire doit disposer d'un ordre de
mission provenant de sa société mère, disposer de locaux identifiés et indépendants dans
le cadre de sa prestation, et son référent reste à tout moment son employeur et non un
chef d'équipe au sein de laquelle il serait positionné. Dans les contrats au forfait, la SSII
vend à son client un service convenu, mesuré par des indicateurs de niveau de service,
en mettant en œuvre des ressources surtout humaines dont elle reste seule maître : c'est
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une prestation à engagement de résultat, et assortie de pénalités en cas de non atteinte
des valeurs cibles des indicateurs. On pourrait comparer ce type de prestation à la
fourniture d'un service clé en main. La quasi-totalité des activités d'infogérance se font
au forfait.
Le centre de service est à mi-chemin entre la régie et le forfait, et est fréquemment
proposé par les grandes SSII du fait de leur organisation. Ce type d'organisation autorise
la SSII d'industrialiser ses prestations en diminuant les coûts (utilisation des ressources
humaines, logicielles, matérielles et des compétences internes à la SSII sur plusieurs
projet) et au client de partager, encadrer, fixer les responsabilités (maîtrise d'œuvre,
maîtrise d'ouvrage…) et les délais pour différents parties selon des accords définis entre
le prestataire et le client. Ce type d'organisation et de délégation plus ou moins complète
d'activités nécessite une implication du client énormément plus importante que dans le
cadre du forfait. La majorité des salariés des centres de services travaillent au sein des
locaux de la SSII. Cependant des collaborateurs peuvent être détachés en assistance
technique chez le client ou être amenés à apporter de manière ponctuelle, des prestations
de conseils et d'expertises chez le client. Les centres de services des SSII sont
fréquemment des structures régionales (voire nationale) et spécialisés dans une
technologie, un domaine d'activité spécifique (Java, Technologies Web, CRM, Banque,
Telecoms…) ou un client pour lequel il assure la sous-traitance de toute ou partie de son
activité informatique. Le caractère industriel de ce genre de structure pourrait être
assimilé à des usines de développement.
La réalisation d'une prestation
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majorité des SSII sont associées à la catégorie Conseil en dispositifs informatiques qui
englobe un vaste univers d'activité allant du développement de logiciel à la demande, à
la fourniture d'ingénieurs en régie.
De nombreuses SSII ont une activité de distribution et sont dans ce cas qualifiées du
terme anglais "VAR" ce qui veut dire Revendeur à valeur ajoutée (Value Added
Reseller). Celles-ci représentent 40 % des SSII et sont plus fréquemment présentes en
province que dans les particulièrement grands centres urbains.
Bien que le nombre de SSII de moins de 100 salariés soit énormément plus important
que celui de 100 salariés et plus, les effectifs des SSII se concentrent surtout dans les
entreprises de plus de 100 salariés.
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Chapitre III : La gestion comptable d’une
entreprise : Un outil de pilotage et de prospective
Ce chapitre entame le concept fondamental sur lequel j’ai recu autant d’informations au
cours de la passation de mn stage, qui est la gestion comptable d’une entreprise, ce chapitre
offre une définition de ce concept, le role de la gestion comptable dans l’entreprise les
enjeux les obligations comptables et les tops 5 outils de la gestion comptable.
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Section I : La gestion comptable d’une entreprise : qu’est-ce que c’est ?
La gestion comptable prend en compte non seulement la comptabilité générale, mais
aussi la réglementation, la fiscalité, la paie, et produit des budgets prévisionnels. Elle a
pour objectif l’aide à la compréhension des documents comptables et la maîtrise des
équilibres financiers. C’est un outil de classement de toutes les transactions, dans
l’optique de produire une image la plus fidèle possible du patrimoine, des ressources,
emplois, de la structure des charges et des produits, à destination du dirigeant, et des
partenaires économiques. La gestion comptable permet enfin de répondre aux questions
suivantes : est-ce que l’entreprise est rentable ? Est-ce qu’elle est performante ? C’est
un outil de pilotage stratégique, une aide à la décision, une analyse dynamique des
données chiffrées.
La gestion comptable d’une entreprise implique la réalisation de la comptabilité générale
de l’entreprise. Cette tâche consiste aussi à gérer la fiabilité des comptes et à créer des
tableaux de bords et des procédures de contrôle et de suivi des comptes. L’activité de
gestion comptable a pour but de fournir l’information comptable au management de
l’entreprise.
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Section III : Les enjeux de la gestion comptable en entreprise.
La gestion comptable est nécessaire et obligatoire pour toute entreprise qui souhaite être
performante. Si l’entreprise n’optimise pas ses processus de gestion comptable et ne les
adapte pas à son organisation, elle peut voir sa performance et sa rentabilité tomber en
décadence.
Il existe une multitude d’outils de gestion comptable, voici une liste des 5 outils les plus
intéressants :
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4. EBP : un logiciel de gestion comptable et paie pour les TPEs et PMEs. Il propose
plusieurs solutions qui s’adaptent à différents domaines : commerce, association,
bâtiment, éducation, etc. Parmi ses fonctionnalités les plus importantes, on
retrouve : la paie, le pilotage business, le CRM, la gestion commerciale, la
fiscalité, la comptabilité et la gestion commerciale;
5. Mooncard : une solution innovante sous forme de carte d’entreprise qui gère les
paiements et les notes de frais. Cette carte permet, grâce à une solution
d’intelligence artificielle, de payer et de gérer les frais professionnels de manière
efficace. La solution permet également d’automatiser l’ensemble du processus
administratif des déclarations de dépenses et de gestion des notes de frais.
Les obligations comptables varient selon la taille de l’entreprise mais il existe des
obligations comptables qui sont communes à toutes les entreprises.
Afin de bien gérer sa trésorerie, il est primordial de connaître le montant de ces liquidités
et les entrées d’argent pour après pouvoir anticiper les risques financiers et calculer la
capacité de paiement de l’entreprise.
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Une trésorerie bien gérée rime avec 0 impayé, mais comment faire pour prévenir les
impayés ?
Ainsi, afin d’assurer l’équilibre financier de son entreprise et de faire face aux impayés,
il est important de s’arrêter sur ces quelques points :
Pour une libération de toutes les formalités administratives et comptable et une meilleure
maîtrise de sa comptabilité d’entreprise, une solution existe.
En effet, faire appel à un prestataire comme Officéo pour bénéficier d’un soutien dans
toutes les tâches qui relèvent de la comptabilité est la meilleure chose à faire pour assurer
la bonne santé financière de votre société.
Une bonne gestion comptable en entreprise est celle qui intègre et qui met en place des
outils d’encadrement des relations commerciales avec les fournisseurs et les clients. Il
est très important d’étudier les délais de paiement imposés par les fournisseurs ainsi que
les délais de paiement des clients, cela afin d’anticiper toute erreur ou retard et avoir une
bonne gestion de trésorerie.
La gestion comptable servira aussi d’évaluation pour les risques financiers et fera en
sorte de les réduire, elle va étudier la gestion des stocks et l’atteinte ou pas des objectifs
commerciaux.
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La gestion comptable est tout simplement au cœur de l’entreprise et croise différents
secteurs de l’entreprise et rassemble toutes les données nécessaires pour produire des
indicateurs au dirigeant de l’entreprise. Sans les données fournies par la gestion
comptable, le dirigeant ne verra pas les failles et les leviers sur lesquels il faudra
appuyer pour améliorer la performance passeront à la trappe.
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Chapitre IV : La Taxe sur la valeur ajoutée
L’impôt sur les sociétés.
Ce chapitre comprend les éléments principaux que soit pour la TVA ou pour l’IS.
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Section I : La Taxe sur la Valeur ajoutée(TVA).
1. Définition.
La TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée) est une contribution visant les différentes
opérations économiques (livraisons de biens et prestations de services) réalisées par des
assujettis. Les redevables peuvent déduire la taxe qui leur a été facturée dans le cadre de
leur activité. Le taux normal de la TVA est fixé à 20% mais il existe également un taux
intermédiaire (10%) et réduit (5,5%). La TVA concerne également les opérations
internationales, soumises à des règles spécifiques en la matière.
D’après l’article 256 du code général des impôts, "sont soumises à la TVA les livraisons
de biens et les prestations de services effectuées à titre onéreux par un assujetti agissant
en tant que tel". L’assujetti exerce une activité économique à titre indépendant.
A contrario, les opérations réalisées par les particuliers (ventes de biens d’occasion par
exemple) ne sont pas imposées, sauf exceptions.
1. Les exonérations.
2. Les déductions.
Les redevables de la TVA peuvent déduire la TVA ayant grevé les livraisons de biens
et les prestations de services supportées dans le cadre de leur activité. La TVA
déductible vient diminuer le montant de la TVA due sur les déclarations mensuelles,
trimestrielles ou annuelles. Dans certains cas, le droit à déduction est exclu par le
législateur : véhicules prévus pour le transport de personnes, dépenses de logement
supportées par les entreprises pour leurs salariés et dirigeants, biens cédés sans
contrepartie…
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Sous-section III : les Taux et la méthode de calcul de la TVA.
2. Le calcul de la TVA.
Le prix TTC est calculé ainsi : prix TTC = prix HT x (1 + taux de TVA)
L’impôt sur les sociétés (I.S) au Maroc est un impôt qui s’applique sur les bénéfices
réalisés par les sociétés (à l’exception des sociétés de personnes qui ont le droit d’opter
pour l’I.R.). Il s’applique notamment aux bénéfices des S.A.R.L (sociétés à
responsabilité limitée) et des S.A. (Sociétés anonymes).
Il s’agit d’un impôt établi sur une base déclarative. Ceci signifie que chaque société doit
déposer chaque année une déclaration de résultat fiscal et payer spontanément l’impôt
sur les sociétés (I.S.)
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Sous-section II : le champ d’application de l’I.S.
1. Territorialité
Tout d’abord en matière de territoires, cet impôt s’applique obligatoirement aux sociétés
dont le siège social est au Maroc. Par ailleurs, il peut s’appliquer à des sociétés qui n’ont
pas leurs sièges au Maroc dans les cas suivants :
Si une société n’a pas son siège au Maroc mais y possède un établissement dit
stable (par exemple, exerce une activité sous forme de succursale) ;
Si une société exerce une activité lucrative au Maroc dont l’imposition est
accordée au Maroc en vertu d’une convention de non double imposition.
En outre, il est à noter qu’en vertu des dispositions de la circulaire 717 (qui porte
interprétation de l’Administration fiscale Marocaine des dispositions du Code Général
des Impôts), sont réputés établissements stables les cas suivants :
2. Personnes imposables
Le code général des impôts (CGI) stipule que l’I.S. s’applique obligatoirement aux
produits, bénéfices et revenus des :
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Sous-section III : la base imposable de l’impôt sur les sociétés (I.S.)
L’I.S. est assis sur le résultat fiscal de l’entreprise qui doit être déterminé selon les règles
comptables en vigueur au Maroc.
En vertu des dispositions de l’article 8-I du C.G.I., le résultat fiscal de chaque exercice
comptable est l’excédent des produits sur les charges de l’exercice.
Sont considérées comme charges déductibles, les charges engagées ou supportées pour
les besoins de l’activité imposable.
En cas d’exercice déficitaire, les pertes fiscales sont reportées sur quatre exercices, à
l’exception de celles relatives aux amortissements qui sont reportables sans limitation
dans le temps.
L’impôt sur les sociétés s’applique à des taux progressifs comme suit : À jour des
dispositions prévues par la loi de finance 2020.
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(*) L’activité industrielle s’entend de toute activité qui consiste à fabriquer ou à
transformer directement des biens meubles corporels moyennant des installations
techniques, matériels et outillages dont le rôle est prépondérant.
Il est à noter aussi que certains taux spécifiques sont prévus dans certains cas :
Toutefois, est fixé à 20% le taux appliqué à la tranche dont le montant du bénéfice net
est supérieur à 1 000 000 de dirhams, pour certaines activités (notamment) :
Le code général prévoit aussi des régimes spécifiques pour certains types de sociétés :
Ces sociétés bénéficient d’une exonération de 5 ans puis d’un taux de 15% au-delà.
Ces sociétés bénéficient de l’exonération pendant une durée de 5 ans puis d’un taux de
20% au-delà.
Cotisation minimale
Ainsi, la cotisation minimale à l’IS est due même en cas d’exercice déficitaire. Par
contre, en cas d’exercice bénéficiaire, elle s’impute sur l’IS. Toutefois, la part de
cotisation minimale excédant l’IS peut être imputée sur le montant d’IS sur les 3
exercices suivants.
En principe, une exonération de la cotisation minimale est applicable durant les trois
exercices suivant la création d’une société. Cependant, cette exonération n’est pas
applicable lorsqu’il s’agit d’une entité concessionnaire de service public (article 144 C
1° du CGI Maroc).
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Sous-section V : Les modalités de paiement de l’I.S.
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Chapitre V : Les difficultés rencontrées par
un comptable.
Au cours de ma période de stage, il était remarqué que le comptable peut rencontrer
certaines difficultés en exerçant son métier et ce chapitre est indiqué spécialement
pour les préciser.
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Section I : Une stratégie et des modes de management repensés.
Une richesse des tâches : L'expertise d'un collaborateur peut s'étendre à tout type
de situation. Tant que son intervention peut créer de la valeur, il faut savoir
solliciter son intervention. En d'autres termes, le management se veut plus
collaboratif.
Une valorisation des compétences : Le succès de toute entreprise repose sur la
réussite individuelle de chacun. Le management autoritaire est obsolète, et ses
résultats plus que jamais limités.
Des opportunités d'évolution : Grâce à l'intelligence artificielle, les possibilités
semblent infinies. Au profit de tâches plus stimulantes, l'ensemble des tâches
chronophages est pris en charge par les technologies d'OCR, d'automatisation et
d'intelligence artificielle.
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Il est difficile de maintenir un décalage entre d’un côté, des entreprises à la pointe de la
technologie immergées au quotidien dans le digital, et d’un autre, des structures et
cabinets comptables dont les méthodes ne sont plus actuelles. Qu'il s'agisse d'un jeune
cabinet gestionnaire de paie ou d'experts comptables reconnus et spécialisés dans la
gestion de grands comptes qui renoncent toujours à adhérer au mouvement de la
transition numérique, il ne sera pas pour l'un, ou plus pour les autres, envisageable de
s'imposer en tant que leader en employant des processus rétrogrades.
Ce n’est évidemment pas qu’un enjeu technologique, c’est aussi un enjeu business; Il
est primordial pour la majorité des acteurs du marché de s'assurer que le niveau de leurs
prestataires de services comptables est aligné avec leur propre maturité.
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Conclusion
Elle sert de base au calcul du résultat et à celui des impôts directs. Elle sert aussi
au calcul des impôts indirects (comme la taxe sur la valeur ajoutée) au profit de
l'État.
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Webographie
https://officeopro.com/services/gestion-administrative-comptable/gestion-
comptable-entreprises/
https://www.upsilon-consulting.com/2020/11/impot-sur-les-societes-au-maroc-
upsilon-consulting/
https://www.lafinancepourtous.com/decryptages/finance-perso/revenus-et-
fiscalite/tva/la-tva-qu-est-ce-que-c-est/
https://bpifrance-creation.fr/encyclopedie/fiscalite-lentreprise/generalites/is-
impot-societes
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