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Présenté par :
KANGOMBE BATUKWA Benjamin
LUTETA LUIMPA KABALA Elie
2022
ii
Epigraphes (1)
Proverbe africain
Epigraphes (2)
“ Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être
compté ne compte pas forcément. ”
Albert EINSTEIN
Dédicace (1)
Dédicace (2)
A toute notre famille, nos très chers parents, nos frères et sœurs ; à
tous ceux qui nous ont soutenu et encouragé ; et à nos amis. A cette
personne très chère à nos yeux, qui est aussi folle, autant que nous le
sommes, de découvertes scientifiques.
A tous ceux et celles qui comme nous, sont amoureux et passionné(e)s
des sciences, curieux de nature, et qui comme nous aiment tout
comprendre, de l’infiniment grand à l’infiniment petit.
A ceux qui viendront après nous pour approfondir notre thématique,
nous souhaitons que ce modeste travail, dont la réalisation a demandé
un temps et une patience inimaginable, sans oublier les nuits
blanches, soit un tremplin pour l’éclosion de la nouvelle élite du peuple
congolais.
A toi, nous disons : sois confiant, n’aies pas peur et fais face
à l’adversité en gardant la tête haute ; et vas toujours de l’avant tout
en conservant tes idéaux scientifiques. Demeure toujours humble.
A toutes ces personnes, nous dédions ce travail.
Remerciements (1)
La réalisation d’un travail scientifique recourt à la contribution
de plusieurs personnes dont chacune joue un rôle bien précis ; seuls,
nous ne pouvions aboutir à rien. C’est pourquoi nous tenons à adresser
quelques mots en termes de remerciements à l’égard de toutes ces
personnes, qui, de près ou de loin, ont apporté leur petite pierre comme
contribution à l’édification de cette œuvre scientifique. Sur ce, nous
remercions le Dieu, notre créateur, Maître des temps et des
circonstances, lui qui nous a offert les capacités intellectuelles et de
l’énergie nécessaires nous ayant servis pour la rédaction de cette
œuvre.
Remerciements (2)
Au Seigneur Jésus-Christ, Lui le Maitre des temps et des
circonstances, l’Auteur de la vie et de toutes bonnes choses, que Son
Saint Nom soit béni éternellement. Si ce n’était son soutien, nous ne
serions pas en vie en ce moment en train d’écrire ces quelques mots.
Nous remercions notre Directeur de mémoire, le Professeur KANIKA
MAYENA Thomas pour son assistance et sa disponibilité.
A toute notre famille, à nos parents et tout particulièrement à notre
très chère mère, à nos frères et sœurs ; et à tous ceux et celles qui nous
ont encouragés quand les chemins devenaient obscurs.
A la grande, joyeuse et aimante famille TSHIYOMBO dont nous
sommes membre, et à nos grands-parents.
A la grande et vieille famille KABALA, au sein de laquelle nous avons
vu le jour.
A toutes les personnes qui nous ont aidés là, dans ce petit village fort
sympathique du Kasaï-Central.
A cette personne qui occupe nos pensées et dont la présence nous est
fort agréable ; et qui comme nous aime The waltz of the flowers de
Tchaikovsky.
A tous ceux et celles qui comme nous aiment le Seigneur Jésus-Christ.
Nous vous adressons nos remerciements.
0. INTRODUCTION
0.2. PROBLEMATIQUE
La République Démocratique du Congo qualifiée de scandale
géologique, présente une potentialité très variée en minerais
économiquement valorisables. De cette panoplie des ressources minérales
identifiées, plusieurs semblent non seulement être mal connues mais aussi
inexploitées dans la plupart des provinces et particulièrement le Kasaï-
Central.
En dehors des gisements aurifères découverts par les géologues belges
dans la partie SE de la RDC, les exploitations mécanisées ont vu le jour. Pour
améliorer l’exploration et l’exploitation, les géologues se sont confrontés à
deux types de problèmes :
Un problème relatif à la classification des connaissances sur
l’environnement géologique, support des minéralisations ;
Et un problème lié aux modèles de mise en place des
minéralisations.
Conscient de cette situation, le Gouvernement congolais à travers
plusieurs initiatives, a tenté au fil du temps, de mener des campagnes de
prospection minière tactique et initier plusieurs réformes dans le secteur
minier afin de résoudre les problèmes liés à la valorisation de son sous-sol.
Pour ces raisons, et dans le cadre de notre travail de fin d’études, nous avons
choisi d’apporter une contribution sur les caractérisations pétrographiques,
géochimiques et minéralographiques des formations de Kabanda-Musefu
dans le Territoire de Luiza, dans le Kasaï Central.
2
CHAPITRE I : GENERALITES
Il est question de présenter en quelques lignes les contextes
géographique et géologique du Kasaï- Central, déjà évoqués par bon nombre
d’auteurs mais tout en nous focalisant sur la géologie locale du Secteur de
Lusanza, plus précisément la localité de Kabanda-Musefu et ses environs,
dans le Territoire de Luiza.
I.1.1. Localisation
complexe de la Lulua, région dont les zones hautes sont à une altitude égale
ou supérieure à celle de la limite entre les deux séries crétaciques.
I.1.3. Climat
I.2.1. Introduction
b. Géologie locale
I.2.4. Minéralisation
L'or dans cette région, se retrouve à l'état natif et, surtout, aussi inclus
dans des pyrites. Il y a lieu de distinguer entre ses gisements primaires et ses
gisements secondaires. Les premiers sont ceux où l'or repose en roche dure.
Les gisements secondaires sont ceux où l'or se retrouve dans des roches
meubles, formées essentiellement par désagrégation et redéposition sous
l'action des eaux courantes (Friedlaender Carl, 1942).
L'or à Kabanda-Musefu est de deux types, l’un est disséminé dans les
roches et l’autre est filonien. L’or filonien est fréquemment visible { l'œil nu,
englobé par le quartz, et sous forme de paillettes, souvent rugueuses, parfois
dans des cavités ou petites fissures colorées par des infiltrations
ferrugineuses.
I.2.5. Végétation
II.1. INTRODUCTION
Ce chapitre présente l’ensemble des travaux effectués lors de notre
campagne d’investigation géologique sur le terrain. Deux difficultés majeures
se sont présentées à nous au cours du lever géologique ; il s’agit de la rareté
d’affleurements dans cette région à couverture du sol très épaisse, et du non
accès à certains secteurs à exploitation artisanale de l’or où nous n’avons pas
été autorisés à mettre pieds.
KM00 7°49'22,30'' 22°42'29,03'' 910 Ce point a été considéré comme point de repère.
Présence d’un sol dans la carrière du Mont Ikinia dont nous n’avons pas eu la
KM01 7°49'00'' 22°40'49,9'' 853 permission d’échantillonner. Le sol surmonte un affleurement de roche de couleur
rougeâtre à grise. Il s’agirait d’un granite.
KM02 7°48'58,7'' 22°40'42,9'' 884 Affleurement d’une roche microgrenue ; { minéraux clairs prédominants
accompagnés des minéraux ferromagnésiens. Il s’agirait d’un granite.
KM05 7°48'47'' 22°40'32'' 883 Présence des niches d’arrachement, sur un affleurement d’une roche de couleur
grisâtre avec majoritairement de minéraux fins à moyens. Il s’agirait d’un granite.
KM08’ 7°48'40'' 22°40'40'' 920 Roche massive de coloration grisâtre avec majoritairement de minéraux
grossiers. Il s’agit probablement d’un granite.
Roche massive qui a les mêmes caractéristiques que le KM10. Observation d’un
repère posé par le belge dans le mont Ikinia, selon les mineurs trouvés sur place,
ce repère signifie la présence d’un filon aurifère, et un peu plus loin ce même
KM10'' 7°48'58'' 22°40'31'' 887 repère est suivi par les exploitants artisanaux produisant des dizaines de
grammes d’or par jour.
KM12 7°49'17,2'' 22°42'25,1'' 900 Présence d’une altérite de couleur rouge (cuirasse ferrugineuse).
KM15 7°49'23,4'' 22°42'58,1'' 920 Observation de la disparition de la cuirasse. Ce qu’on a pu constater, { une
altitude inférieure { 900 m, la cuirasse n’apparait pas.
KM26 7°50'30,4'' 22°42'18'' 830 Roche massive où nous observons la présence d’une schistosité plissée. La roche
est d’aspect gris-vert clair, de granulométrie grossière à fine. Mesure structurale
21
Roche moyennement grenue, à minéraux sombres et clairs dont les minéraux sont
en proportions presque identiques. La roche présente une foliation fruste, les
KM28 7°49'48,9'' 22°42'27,1'' 882 cristaux sont des tailles moyennes à fines. Mesure structurale de la foliation :
N50°E/40°SE. Il s’agit probablement d’un gneiss.
Roche à grain moyen à fin, elle présente une foliation non poussée avec une
alternance des zones claires et sombres. Des couleurs sombre à blanche, certains
minéraux sont rosâtres (feldspath potassique), d’autres sont clairs brillant
KM29 7°49'34,96'' 22°42'12,77'' 910 (quartz) et non brillant. Mesure structurale de la foliation : N45°E/36°SE. Il
s’agirait d’un gneiss.
Affleurement d’un massif d’une dizaine de mètres. Roche à grain moyen à fin, de
couleur noirâtre à blanchâtre avec les zones rougeâtres d’oxyde de fer. Les
minéraux sombres ont tendance à tendre vers la coloration vert sombre. Présence
KM30 7°49'48,1'' 22°39'14,1'' 794 { l’œil nu d’une pyrite porteuse d’une minéralisation aurifère. Mesure structurale
de la foliation : N65°E/52°SE. Il s’agit probablement d’un gneiss.
structurale N118°/34°SW.
Un peu plus loin, nous observons la présence d’une roche à foliation fruste, à
grains grossiers à moyens, avec alternance des bandes à coloration rosâtre à
blanchâtre et des bandes à minéraux sombres. La roche est partiellement altérée,
les cristaux noirâtres développent une structure en forme des yeux suite à leurs
KM32' 7°49'43,4'' 22°39'27,5'' 807 torsions. Mesure structurale de la foliation : N70°E/42°SE. Il s’agit probablement
d’un gneiss.
Roche à grains fins, à prédominance des minéraux sombres, mais contient aussi
des minéraux clairs. La roche présente une foliation fruste, un faciès nouveau tend
à se développer suite à une altération dans sa partie superficielle. Signalons aussi
KM34 7°49'49,2'' 22°40'20,5'' 875 la présence des filons de quartz qui sont parallèles entre eux, et d’orientation
N68°E/50°SE. Il s’agit probablement d’un gneiss.
La roche a les mêmes caractéristiques que le KM34, qui est aussi recoupée par un
KM35 7°49'29'' 22°40'21,3'' 882 filon de quartz de mesure structurale N98°/21°SW. Il s’agirait probablement d’un
gneiss.
Affleurement d’une roche foliée fruste, avec présence d’une schistosité plissée à la
KM36 7°48'55,3'' 22°40'27'' 896 surface de l’affleurement. Mesure structurale de la foliation : N43°E/38°SE. Il
s’agit probablement d’un gneiss.
Roche de couleur grise à rosâtre avec des grains broyés. Présence des cristaux
KM37 7°48'54,2'' 22°40'27,6'' 895 noirs allongés avec développement d’une veine d’oxyde de fer. Observation d’un
micro plissement sur l’affleurement. Il s’agit probablement d’une mylonite.
23
KM38 7°48'46,2'' 22°40'29'' 903 Roche à granulométrie moyenne, et de coloration noirâtre à grisâtre. Il s’agit
probablement d’un granite.
KM39 7°48'47,5'' 22°40'30,5'' 893 Présence d’une roche massive de granulométrie grossière à moyenne, de
coloration blanchâtre à noirâtre. Il s’agit probablement d’un granite.
III.1. INTRODUCTION
Après les travaux de terrain présentés dans le précédant chapitre, nous
avions effectué certains travaux de laboratoire dans le but d’atteindre les
objectifs poursuivis par ce travail.
Ainsi, ce chapitre est principalement axé sur trois aspects qui sont :
l’aspect pétrographique, l’aspect géochimique et l’aspect métallographique.
III.2.3. Echantillon KM 20
A l’œil nu, la roche présente un aspect massif, une coloration rose. Les
composants essentiels paraissent être le feldspath rose, que nous supposons
être l’orthose, et le quartz ; on reconnait également la présence de
plagioclase et d’un minéral foncé (Photo 5).
La section polie KM29, présente une gangue gris clair renfermant des
amas allongés des pyrites de teinte jaunâtre (LRA) et (LRPNA) ainsi que des
cristaux isolés d’hématite de teinte gris clair (LRA) et (LRNA) (Photo 17).
Sur base des résultats des toutes ces analyses, nous avons pu établir
l’esquisse géologique de notre région d’étude (Figure 6), basée aussi sur des
coupes géologiques sectorielles suivant des itinéraires (Figure 3 à 5) ; Une
des coupes géologiques sectorielles étant considérée comme coupe
synthétique, car ayant traversé l’ensemble de lithofaciès de la région (Figure
4).
a. Premier itinéraire
b. Deuxième itinéraire
C. troisième itinéraire
Tableau 2 : Teneurs en éléments majeurs et éléments en trace des échantillons des roches
Echantillons
SiO2 68,96 66,56 68,15 59,81 66,45 66,19 66,30 63,88 44,21 68,45
Al2O3 5,95 5,81 6,77 10,51 14,39 11,91 9,6 9,71 6,61 6,01
Fe2O3 3,72 2,67 1,99 3,23 3,94 1,3 1,86 3,14 1,58 2,13
CaO 1,66 0,57 2,75 2,38 2,37 1,59 2,28 2,88 1,73 2,05
MgO 0,87 0,19 X 0,63 0,15 0,23 0,39 1,04 0,37 0,19
Na2O 0,9 1,18 1,18 1,48 0,88 1,57 1,39 1,41 0,83 0,83
K2O 1,59 2,22 2,67 1,91 3,64 2,96 2,75 0,17 1,36 1,65
P2O5 0,02 0,07 0,07 0,02 0,06 0,05 0,08 0,17 0,06 0,09
Cl 0,01 0,01 0,01 0,01 0,01 0,01 0,01 0,01 0,01 0,02
Ti 0,52 0,13 0,28 0,49 0,51 0,14 0,25 0,56 0,25 0,53
43
Mn 0,03 0,04 0,01 0,02 0,05 0,01 0,02 0,02 0,02 0,01
Zn 0,09 0,07 0,04 0,13 0,02 0,04 0,05 0,08 0,04 0,02
Zr 0,03 0,12 0,02 0,05 0,03 0,01 0,03 0,04 0,02 0,02
ND : Non mesuré ;
60
50
40
30
20
10
0
KM 08’ KM 20 KM 39 KM 10’ KM 18 KM 26 KM 29 KM 32 KM 36 KM 42
0,5
0,4
0,3
0,2
0,1
0
KM 08’ KM 20 KM 39 KM 10’ KM 18 KM 26 KM 29 KM 32 KM 36 KM 42
S Cl Ti V Cr Mn Cu Zn Rb Sr Ba Ce Zr Au
KM 08’ KM 20 KM 39 KM 10’ KM 18
SiO2 Al2O3 Fe2O3 SiO2 Al2O3 Fe2O3 SiO2 Al2O3 Fe2O3 SiO2 Al2O3 Fe2O3 SiO2 Al2O3 Fe2O3
CaO MgO Na2O CaO MgO Na2O CaO MgO Na2O CaO MgO Na2O CaO MgO Na2O
K2O P2O5 K2O P2O5 K2O P2O5 K2O P2O5 K2O P2O5
KM 26 KM 29 KM 32 KM 36 KM 42
SiO2 Al2O3 Fe2O3 SiO2 Al2O3 Fe2O3 SiO2 Al2O3 Fe2O3 SiO2 Al2O3 Fe2O3 SiO2 Al2O3 Fe2O3
CaO MgO Na2O CaO MgO Na2O CaO MgO Na2O CaO MgO Na2O CaO MgO Na2O
K2O P2O5 K2O P2O5 K2O P2O5 K2O P2O5 K2O P2O5
Figure 9 : Diagrammes en aires montrant la distribution des teneurs des éléments majeurs de différents échantillons
48
KM 08’ KM 20 KM 39
Ba Ce Zr Au S Cl S
Au Cl
Rb Sr Cl
Ti
Au
Zn
Cu
Mn Zr
Zr Ce
Cr Ti
V Mn
Ba
Ti Ce Sr
Zn
Ba Rb Zn Cu Mn
KM 10’ KM 18 KM 26
Zr AuS Cl Au S Cl Ce Zr Cl
Sr
Rb Zr
Ba Ba
Zn Sr Ti
Zn
Cu
Mn
Cu
Mn Ti Sr
Ti
Rb
Zn Mn
49
KM 29 KM 32 KM 36
Au S Cl Au S Cl Au S Cl
Zr Ce Zr
Ce Ba Zr
Sr
Rb Ba
Ba
Zn
Ti Sr
Cu Ti
Sr Mn Rb
CrV Ti
Rb Zn
Zn Mn
Mn
KM 42
S Cl
Au
Zr
Ba
Sr
Rb Ti
Zn
Mn
Cr V
Figure 10 : Diagrammes en aires présentant la distribution des éléments en trace des différents échantillons
50
Ce tableau révèle que les échantillons KM18, KM20 et KM29 sont ceux
qui ont l’indice d’altération le plus significatif.
KM 08’ KM 20 KM 39 KM 10’ KM 18 KM 26 KM 29 KM 32 KM 36 KM 42
AI
49 57,9 40,4 39,6 53,8 50,2 46,1 22 40,3 38,9
(%)
Sur base des résultats du tableau 3, nous avons tracé le diagramme ci-
dessous, représentant graphiquement l’évolution de l’altération de nos
différents échantillons (Figure 11).
51
Diagramme AI
70
60
50
40
30
20
10
0
KM 08’ KM 20 KM 39 KM 10’ KM 18 KM 26 KM 29 KM 32 KM 36 KM 42
Le gneiss mylonitique ;
Le granite ;
La migmatite ;
Le granite gneissique.
La région sous étude aurait subit une double action tectonique comme
le témoigne les effets ci-après :
0,8302 pour le K ;
0,7419 pour le Na ;
0,7147 pour le Ca (tableau 4).
56
Elément Echantillons
chimique
KM KM KM KM KM KM KM KM KM KM
08’ 10’ 18 20 26 29 32 36 39 42
K 1,32 1,58 3,02 1,84 2,45 2,28 0,14 1,12 2,21 1,36
Na 0,66 1,09 0,65 0,87 1,16 1,03 1,04 0,61 0,87 0,61
Ca 1,18 1,7 1,69 0,4 1,13 1,62 2,05 1,23 1,69 1,46
Na 18,20 21,66 10,52 24,23 21,17 18,04 27,88 17,87 14,97 15,43
Ca 32,33 33,56 27,29 11.27 20,66 28,51 54,86 35,87 33,62 36,73
57
3 KM 18 Mixte Continental
4 KM 20 Hypogène Continental
5 KM 26 Mixte Continental
6 KM 29 Mixte Continental
7 KM 32 Supergène Continental
8 KM 36 Mixte Continental
9 KM 39 Mixte Continental
10 KM 42 Mixte Continental
Le résultat des différents calculs est présenté dans le tableau 10, qui
donnera les différentes températures de dépôt des échantillons sous forme
d’intervalle.
V. CONCLUSION GENERALE
En guise de conclusion, nous retiendrons que la région de Kabanda-
Musefu présente une potentialité aurifère intéressante, mais elle est
incomplètement investiguée.
Le gneiss mylonitique ;
Le granite ;
La migmatite ;
Le granite gneissique.
BIBLIOGRAPHIE
1. Boillot G., HUCHON P., BOUTLER J., LAGABRIELLE Y. (2020) :
Introduction à la géologie, la dynamique de la lithosphère, 5° Ed. Dunod,
Paris, France, 240 p.
1. Figures
2. Photos
ANNEXE
74
Photo 19 : Végétation caractéristique de KM (2.1 : plante locale Tshikinge ; 2.2 : arbre local
planté par les belges : Mulemba mutoka).
0. INTRODUCTION.................................................................................................................. 1
BIBLIOGRAPHIE................................................................................................................... 65
ANNEXE .................................................................................................................................. 73