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Avant qu’il n’y ait de lois faites, il y avait des rapports de justice possible.
Est-il relativiste ou existe t il pour lui des principes absolus comme le fait que nous sommes
tous nés libres et égaux
B. La question de la normativité
Principe selon lequel la societe n’est pas un tout organique mais le point de l’individu peut
avoir un certain sens et être jusifié.
Il ne nie pas la valeur de la notion d’individu
Il deage le sujet de la sociologie en mettant en parenthèse les individus
Le social existe comme contrainte extérieure aux individus, intériorisé par les individus
La normativité est propre au social, elle émane du social
La socio présentée par Durkheim, doit décrire avant d’interpréter, prétend ne pas porter de
jugement normatif à priori. Une discipline ne mérite le nom de science que si elle a un objet
à étudier.
La socio doit avoir un donné à décrire et interpréter, que les faits sociaux doivent être
considérés comme de vrais choses qu’il faut être en mesure de décrire
Pour Durkheim : Les philosophes pensaient que la politique était le fait de la volonté
humaine sans dire que c’était de véritables choses
Le fait social est reconnaissable comme tel de par son effet de contrainte : ces choses
sociales imposent la société à l’individu. Elles ne dépendent pas de la volotné humaine,
elles existent
Ce que sont les institutions et non pas ce qu’elles devraient être. Aristote et Platon :
découvrir non les lois de vie en commun mais lameilleure fme de société
« Tous n’ont qu’un but, non pas de connaître la réalité mais de la corriger, de la transformer
de font en comble. » Discipline qui ne regarde que l’avenir, ce n’est pas la science mais de
l’art
Une science social est descriptve et interprétative (recherche les causes probables) mais ne
dit pas ce qui doit être
Le despotisme ne peut pas être valorisé puisqu’il écrase les individus, coT petu-il être
envisagé comme un type de societe? Il existe comme mal politique, catégorie du réel
politique. Dérive qui menace toute forme de gouvernement
Louis XIV monarchie despotique
C’est néanmoins une réalité historique possible à laquelle il vaut mieux échapper
C’est pas grave de passer de republique à monarchie, ce qui est grave c’est le despotisme.
Les faits font apparaître une normativité imannte autour de la modération.
Pour Durkheim : il y a des maladies de la société et des causes à ces maladies : l’anomie :
ns vivons à titre d’individus (co si l’économie était devenu un mode de fonctionnement qui
vaut pour soit même) individu perd son sentiment d’appartenance au groupe
Montesquieu : quelle est la marge de maneouvre pour qu’on ne tourne pas au déspotisme et
que la liberté ne soit plus une imperfection de l’homme mais quelque chose qui lui convient
en propre.
La liberté est rattaché à l’incertain puisque nous ne savons pas ce qui est pour nous le plus
convenable.
Durkheim sur la contribution de Montesquieu à la science sociale : l’art est une technique
dans l’urgence qui peut aider à aller. vers la science. Montesquieu est mis du côté de la
sicence (la simple critique est mise dans la catégoriede de l’art). Montesquieu pense la loi
de manière positive
Montesquieu met sur le même plan de la loi tous les trucs desquels on parle. Dire que les
lois sont les lois nécessaires de la nature
Loi rapport, causale et loi impérative
Raisonnement de théologie naturelle, cosmoloique
Ontoloie de montesquieu est d’abord relationnelle, ce n’est pas une règle mais un ensemble
de rapports à la necessité desquels Dieu se trouve lui-même assujetit
Les lois positives sont supplétives aux lois naturelles, au droit naturel; car ns sommes libres
et icnertains et devont prendre en charge les normes qui ns gouvernent
Les lois naturelles serient là avant l’homme mais c’est par la raison qu’on peut les trouver
Ce que défendent les intellectuels chinois c’est la voie conficienne où l’individu n’est pas un
primat comme en occident avec les droits de l’homme et du citoyen, qu’ils croient eux
subjectifs. Ils priment la communauté sur l’individu
Montaigne pense à la différence de Montesquieu que les lois sont l’expression des moeurs
et pas celle de la volonté générale(rousseau) qui est pour lui rien d’autre que la conscience
collective
Durkheim pense la primauté du social ds sa dimension prépolitique
Évolution qui fait passer les sociétés à solidarité mécanique à organique avec la division du
travail
Durkheim sur montesqieu : il y a des causes naturelles qui expliquent les types de
gouvernement politiques, qui ne sont rien d’autres que des types sociaux, explicablespar
des causes naturelles aux communautés sociales
(Et qu’est ce qui résiste à ça chez montesquieu quand meme?) il est constitutionaliste
Etudier ce texte de Durkheim c’est Mettre montesquieu en contexte d’une philosophie des
sciences sociales contemporaines
Mais c’est aussi mettre Durkheim en perspective par rapport à la philosophie politique
La philo politique des lumières est volontariste au sens où elle pense une fondation de l’état
ou de la communauté politique à partir de la volonté (cele du legislateur ou volonté général
ou celle du peuple chez Hobbes, peuple qui légue le pouvoir d’être représenté à une
communauté politique, pour que les droits naturels soient respectés)
Volonté d’être gouverné par des lois qui sont reconnues comme légitimes ou que chaque
citoyen qui est membre du collectif reconnairtait comme une loi qui ferait du bien à lui-même
Le contract social n’a peut-être cela dit jamais éxisté historiquement, mais il y a eu une
fiction destiné à penser l’origine et le fondement de la communauté poltique
La socio s’invente par contre d’une part en disant que l’acte volnotaire est fictif et qu’avant
cet acte volontaire s’il existait il y a eu des sociétés. La société est donc antérieur à la
formation du politique mais la communauté est l’expression des sociétés de leurs moeurs et
de leur histoires
La critique de la philo politique c’est ça
L’individu promut et valorisé ne doit pas être isolé et uniquement intéressé par sa propre
prospérité au détriment de la société. Il faut l’individu moderne avec des représentation
individuelles mais des règles et contraintes qui sociabilise l’individu et le font focntionner
comme un collectif moral
Pour durkheim le droit n’est rien d’autre qu’une expression des moeurs
Les driots de l’homme sont sensé valoir pour toute personne, sur toute la planéte mais c’est
pas forcement aaptable avec les localités
Chacun comme citoyen du monde doit avoir des droits de l’homme
Les lumières font qu’on se référe à son propre collectif politique pour penser la légitimation
d’un courant politique. Le droit qu’a l’homme de réfléchir à la légitimation du politique
Critique politique et social de la part des lumières qui ont critiqué le féodalisme et les
priviléges de naissance par exemple
L’origine des collectifs politique c les sociétés prépolitiques donc où on peut remettreen
cause les droits de l’homme pour des raisons stratégiques ou même intellectues (grece?)
Droit subjectif co forme qui permet pas juste l’individualisme de chacunmais permet la
poursuite d’une vie éthique ds le sens où chacun a sn propre projet éthique, mode de vie qui
est le sien et type de valeurs qui commande notre vie
Communauté juridique
Néolibéral et locke relève de l’individualiste possessif de l’idéologie du proprio qui oublie
que les driots individuels ne découlent que des droits d’une communauté juridique : droits
accordés par le bien vouloir du société, la société rend susceptible qlq un d’être propriétaire
La propriété ce n’est pas simplement des droits mais aussi des devoirs
critique que fait Durkheim de la philo politique (science politique) 17e et 18e qui explique le
social à partir de la nature de l’individu
science social empirique qui a co objet un fait social et ces correspondances éventuels avec
d’autres faits sociaux
l’objet de Montesquieu se sont les sociétés historiques et non pas idéales :
notion de type, typologie des gouvernements (interprétée par Durkheim en types sociaux,
société mécanique et organique, chap3)
Quant à la loi (chap 2 expliqué séance du 26, et chap4) :
Durkheim reconnait à montesquieu ds sa conception de la loi : Montesquieu ne cherche pas
à fonder société à partir de la volonté humaine, il voit ds les causes empiriques qui
expliquent les lois positives les causes qui expliquent la société à partir de la société
elle-même
Durkheim considère co des limites de Montesquieu toute dimension du droit naturel qui
résiste à l’interprétation sociologique
Ds le chap 4 Durkheim met en avant le climat et la densité de la population et de la taille des
états pour montrer co il y a des causes physiques aux institutions
Chez Montesquieu il y a une différence entre loi et mœurs, ce n’est pas une limite co le voit
Durkheim (mais pq? la prof va développer cette thèse)
La cosmologie du chap 1 vise à inscrire le discours politique vers une étude des lois
positives
rapports nécessaires (comme les lois physiques, causalité)
ontologie qui se présente comme relationnelle, la chose même, ici la loi, n’est pas un être
mais un ensemble de rapports auxquels Dieu lui-même se trouve assujetti
il s’inspire de malebranche en dépouillant la loi de toute théologie naturelle
le système des lois de la nature chez malebranche c’est la sagesse divine, qui elle aussi
créé la loi morale comme rapports de perfection instauré par le divin
Univocité de la loi, il n’y a que des corrélations constantes, elle est d’abord nécessité
physique
Rapport des lois avec les principes qui forment les moeurs et les manières d’une nation
Notion d’esprit général : def dans le cours du lundi 13, là on rajoute le contexte
(Livre 1, chap 3 p. 66 : nature et principe du gvnt déterminées par causesphysiques et
morales)
Donc ici climat dans l’esprit général : la manière de sentir d’un collectif qui s’est constitué
historiquement dans un lieu donné
Esprit général comme conséquence d’une disposition des choses
Le législateur s’il veut réformer ou institutionnaliser les lois efficacement, il doit prendre en
compte et esprit général
Un peuple aime plus ses moeurs que ses lois
Passions sociales
La régulation des moeurs par les lois ne doit pas se faire de manière brutale mais doit
s’appuyer sur les principes des gouvernements (passions, coutumes, usaes)
Les lois peuvent devenir ele-mêmes des moeurs
constitution comme permettant la liberté politique
politique de mont : saisir le devenir et la fragilité de toute constitution politique
angleterre et rome comme miroir pour réfléchir ce qui fonde la liberté politique,
penser la légitimité de la liberté politique (ce qui font, légitime : dimension politique)
et l’esprit général, le contexte, la situation, ce qui fait les lois c’est la dimension
sociologique
équilibre des pouvoirs
La régulation par les moeurs, ça vise une fin, le principe même du gouvernement (vertue,
crainte, ou honneur comme fin) elle cherche à transformer les intentions
À l’époque du commerce ce n’est peut-être plus possible car le commerce adoucit les
moeurs (« là où il y a du commerce les moeurs sont douces ») il faut la paix, on cherche
l’intérêt. Le commerce c’est aussi à l’époque les relations (mise en contact avec d’autres
cultures avecqui on commerce)
Punir les crimes et non pas trop corriger les moeurs (montesquieu)
La vertue c’est plus un sentiment qu’une suite de connaissances, elle ne donne pas de
critères précis pour distinguer ce qui est licite ou illicite.