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PROCEDES CRYOGENIQUE

Présenté par Mr : BENSAFI Boumediéne


INTRODUCTION GENERALE
INTRODUCTION

Depuis plus d’un siècle, les applications du froid ont pris un développement important et sont actuellement
fort nombreuses. Elles peuvent être rencontrées dans plusieurs domaines, nous citerons à titre d’exemple:
- l’industrie pharmaceutique et le domaine médical,
- l’industrie alimentaire,
- l’industrie chimique et pétrochimique,
- le conditionnement des locaux industriels ou d’habitation,
- la liquéfaction des gaz pour le transport, etc.
On distingue dans le domaine du froid deux branches distinctes :
- La Réfrigération, qui est l’art de produire ou de maintenir dans un milieu une température plus basse que
la température ambiante ;
- La cryogénie, qui se rapporte plus particulièrement à l’étude des propriétés de la matière aux très basses
températures.
LIQUIDE CRYOGÉNIQUES
Les liquides cryogéniques sont des gaz liquéfiés conservés à l'état
liquide à basse température. Le terme « cryogénique » signifie
« produisant du froid » ou « en rapport avec les basses
températures »; tous les liquides cryogéniques sont extrêmement
froids. Les points d'ébullition des liquides cryogéniques sont
inférieurs à -150 °C (- 238 °F) (le gaz carbonique et l'oxyde nitreux,
qui ont cependant des points d'ébullition légèrement plus élevés,
sont parfois classés dans cette catégorie). Tous les liquides
cryogéniques sont des gaz aux températures et pressions
normales. Il faut les refroidir sous la température ambiante avant de
pouvoir les liquéfier par compression. Les divers gaz cryogéniques
se liquéfient dans différentes conditions de température et de
pression, mais tous ont les deux propriétés suivantes : ils sont
extrêmement froids et de petites quantités de liquide peuvent
occuper de très grands volumes en passant à l'état gazeux.
LIQUIDE CRYOGÉNIQUES

De plus, les vapeurs et les gaz produits par les liquides cryogéniques restent très froids. Ils
condensent souvent l'humidité de l'air en formant un brouillard très visible. Dans les contenants
mal isolés, il arrive que certains liquides cryogéniques liquéfient l'air environnant et
forment un mélange avec cet air liquéfié.
On peut trouver des précisions sur ces critères dans le Règlement sur les produits
contrôlés.

Toute personne qui travaille avec des liquides cryogéniques doit connaître leurs dangers et des
méthodes de travail sécuritaires pour leur utilisation.
DIFFÉRENTS TYPES DE LIQUIDES CRYOGÉNIQUES
Chacun des liquides cryogéniques est caractérisé par des propriétés
spécifiques, mais on peut classer la plupart d'entre eux dans l'une des trois
catégories ci-dessous :
•Gaz inertes : Ces gaz ne réagissent pas chimiquement de façon appréciable,
et ils n'entretiennent pas non plus la combustion. Exemples : l'azote, l'hélium,
le néon, l'argon et le krypton.

•Gaz inflammable : Certains liquides cryogéniques libèrent un gaz qui peut brûler dans
l'air, comme l'hydrogène, le méthane et le gaz naturel liquides.

•Oxygène : De nombreuses matières considérées comme non combustibles


peuvent brûler en présence d'oxygène liquide; par exemple, il peut y avoir une
réaction explosive entre ce dernier et des matières organiques. Il faut
examiner séparément les dangers de la manipulation de l'oxygène liquide et
les précautions à prendre.
DANGERS DES LIQUIDES CRYOGÉNIQUES

Il y a trois catégories de dangers pour la santé associés aux liquides cyrogéniques : le froid extrême,
l'asphyxie et la toxicité.

Froid extrême
Les liquides cryogéniques, ainsi que les vapeurs et les gaz froids qui leur sont associés,
peuvent produire sur la peau des effets semblables à une brûlure thermique. De brèves
expositions à ceux-ci sans effet sur la peau du visage ou des mains peuvent altérer des tissus
fragiles comme ceux des yeux. Une exposition prolongée de la peau ou le contact avec des
surfaces froides peut causer des gelures. La peau a alors une couleur jaunâtre et cireuse.
L'absence de douleur initiale est suivie par des douleurs intenses lors du dégel des tissus.
La peau non protégée peut adhérer à une surface métallique refroidie par un liquide
cryogénique et se déchirer si on tente de l'en retirer. Même le contact des surfaces non
métalliques est dangereux aux basses températures. De plus, l'inhalation d'air extrêmement
froid peut causer des lésions pulmonaires.
DANGERS DES LIQUIDES CRYOGÉNIQUES
Asphyxie
Lorsque des liquides cryogéniques libèrent des gaz, ces derniers
sont très froids et habituellement plus lourds que l'air. Ces gaz lourds
et froids se dispersent mal et peuvent s'accumuler au ras du sol.
Même non toxiques, ces gaz déplacent l'air, ce qui crée une carence
en air ou en oxygène et, par conséquent, un danger d'asphyxie
pouvant être mortel. Dans les espaces clos ou confinés, les carences
en oxygène sont très dangereuses.
De petites quantités de liquide qui s'évaporent peuvent former de
grands volumes de gaz. Par exemple, un litre d'azote liquide vaporisé
Toxicité donne 695 litres d'azote gazeux à la température ambiante (21 °C).
Chaque gaz peut avoir des effets particuliers sur la
santé. Par exemple, le monoxyde de carbone liquide
peut libérer de grandes quantités de monoxyde de
carbone gazeux, qui peuvent causer la mort presque
immédiatement.
HELIUM LIQUIDE
HELIUM LIQUIDE
HELIUM LIQUIDE

L’hélium 4 peut être liquéfié à pression ambiante sous une température d'environ
−269 °C, soit 4,21 K ou encore -452,2 °F. Son isotope, l'hélium 3, se liquéfie
à pression ambiante sous une température d'environ 3,19 K. L'hélium est le seul
élément qui ne peut être solidifié à pression ambiante. L'hélium solide peut être
obtenu seulement lorsqu'une très grande pression y est appliquée.
La température requise pour produire de l'hélium liquide est très basse à cause
de la faiblesse de la force de van der Waals attractive entre les atomes d'hélium.
Leur faiblesse est due au fait que l'hélium est un gaz noble ainsi qu'à des effets
quantiques: l'hélium étant très léger (environ 4 fois l'unité de masse atomique unifiée),
l'énergie de point zéro de l'hélium liquide est plus faible si les atomes qui le composent sont plus éloignés les uns
des autres car les atomes légers bougent plus que des atomes plus lourds.
HELIUM LIQUIDE

Cette faiblesse des interactions inter-atomiques explique le fait que l'hélium reste liquide à pression ambiante
jusqu'au zéro absolu. Il faut appliquer une pression de l'ordre d'au moins 25 fois la pression atmosphérique pour
arriver à le solidifier.
Les deux isotopes de l'hélium ne sont pas complètement miscibles à des températures inférieures à −272,25 °C à
leur pression de vapeur saturante. Sous cette température, un mélange de ces
deux isotopes subit une séparation de phase où un fluide normal (riche en
hélium 3) flotte sur une phase superfluide plus dense (riche en hélium 4). À très
basses températures, la phase superfluide peut contenir jusqu'à 6 % d'hélium 3
en solution, ce qui permet de créer un réfrigérateur à dilution capable d'atteindre
des températures de l'ordre de 2 mK.
HELIUM LIQUIDE

Applications
L'hélium liquide peut être utilisé dans le refroidissement de
câbles ou de bobines supraconductrices. Les bobines
supraconductrices servent dans le contexte médical avec
l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRM), la
résonance magnétique nucléaire (RMN).
L'hélium liquide est aussi essentiel à une très grande majorité
des expériences en physique, la plupart d'entre elles étant
faites à très basses températures. Par ailleurs, les
accélérateurs de particules, tels que le Large Hadron Collider
(LHC) au CERN à Genève qui dispose de la plus grande
usine de production d'hélium liquide au monde, se reposent
entièrement sur l'hélium liquide pour refroidir les
supraconducteurs permettant de créer des champs
magnétiques intenses pour guider précisément les particules.
AZOTE LIQUIDE
AZOTE LIQUIDE
L'azote liquide correspond au gaz diazote refroidi en dessous
de son point d'ébullition à 77,36 K (−195,79 °C). Il a
l'apparence d'un liquide limpide, d'où s'échappent des

« vapeurs » blanches.

L'azote liquide, condensé pour la première fois sous la forme


d'un brouillard par le chimiste et physicien français Louis
Cailletet en 1877, puis quelques jours après par le physicien
suisse Raoul Pictet, fut obtenu de façon plus stable en 1883
par les scientifiques polonais Karol Olszewski et Zygmunt
Wróblewski à l‘Université de Cracovie. C’est un liquide
cryogénique très courant, tant dans le domaine de la
recherche scientifique que dans l'industrie, en particulier en
raison de son faible coût.
AZOTE LIQUIDE
Il est utilisé par exemple en sciences biologiques pour stocker
ou pour broyer du matériel biologique à une température très
froide où l'action des enzymes est fortement inhibée.

On le stocke dans des bonbonnes isothermes réservées à cet


usage. Le vase de Dewar est communément utilisé dans les
laboratoires pour stocker l'azote liquide. L'excellente isolation
de ce vase se traduit par une très lente « ébullition », ce qui
permet une longue conservation de l'azote liquide, et évite un
coûteux équipement de réfrigération.

On utilise l'azote liquide dans le domaine médical pour le


traitement de verrues, de tumeurs (bénignes ou malignes :
cancer de la peau), la conservation de tissus, d'ovules,
d'embryons, de sperme ou de moelle osseuse. Chaque type
de cellules doit être congelé avec une vitesse de
refroidissement particulière.
HYDROGENE LIQUIDE
HYDROGENE LIQUIDE

L'hydrogène liquide est le dihydrogène refroidi


en dessous de son point de condensation, soit
20,28 K (−252,87 °C) à pression
atmosphérique (101 325 Pa). Il a alors une
masse volumique de 70,973 kg/m3.

Il est généralement désigné par l'acronyme LH2


pour les applications astronautiques. C'est en effet
l'un des combustibles liquides les plus utilisés
au décollage, par exemple par les lanceurs tels que la navette spatiale.
Liquéfaction de dihydrogène
Le chimiste et physicien écossais James Dewar fut le premier à
parvenir, en 1899, à liquéfier l'hydrogène, en combinant le
refroidissement mécanique du gaz avec une détente
adiabatique. Son procédé fut amélioré par un autre chimiste et
physicien, le Français Georges Claude, pour donner ce qu'on
appelle depuis le cycle de Claude :

cycle à l'azote : refroidissement à 80 K avec de l'azote liquide ;

cycle à l'hydrogène : compressions et détentes successives pour


refroidir le gaz, dont une partie est recyclée comme réfrigérant
pour alimenter le cycle ; détente isenthalpique de Joule-
Thomson pour liquéfier l'hydrogène à 20 K.
HYDROGENE LIQUIDE

Liquéfaction de dihydrogène

Un autre procédé, le cycle de Brayton, utilise l'hélium liquide (le seul gaz à se liquéfier à une température
inférieure à celle du dihydrogène) mélangé à l'argon (pour augmenter son poids moléculaire moyen afin de le
rendre thermodynamiquement plus efficace dans les phases de refroidissement par compression).

L'énergie de liquéfaction théorique du dihydrogène (fonctionnement idéal) est d'environ 14 MJ/kg depuis la
pression atmosphérique, c'est-à-dire seize fois plus que pour liquéfier une masse équivalente de diazote.

La masse volumique de l'hydrogène liquide est assez faible de sorte que le nombre d'atomes d'hydrogène
contenu dans un volume donné d'hydrogène liquide est moins élevé que dans le cas de certains hydrocarbures
liquides. La chaleur de combustion d'un volume donné d'hydrogène liquide est inférieure à celle du même volume
de ces hydrocarbures.
HYDROGÈNE AUTOMOBILE PILES À COMBUSTIBLE
OXYGENE LIQUIDE
OXYGENE LIQUIDE

On désigne par oxygène liquide le dioxygène refroidi au-dessous de son point de condensation, soit 90,188 K
(−182,96 °C) sous la pression atmosphérique(101 325 Pa). Sa masse volumique est alors de 1141 kg·m-3, et il
gèle à 50,5 K (−222,65 °C). On l'obtient par distillation fractionnée à partir de l'air. Il est souvent désigné par
l'acronyme LOX, notamment pour ses applications astronautiques.

En 1845, Michael Faraday est capable de liquéfier les gaz les plus connus alors, comme le protoxyde d'azote, le
cyanogène, le dichlore, l'ammoniac. Cependant, six d'entre eux résistent, ils sont désignés à l'époque « gaz
permanents » : dioxygène, dihydrogène, diazote, monoxyde de carbone, méthane, monoxyde d'azote.

En décembre 1877, Louis Paul Cailletet en France et Raoul Pictet en Suisse réussissent à produire, par deux
procédés différents et indépendamment l'un de l'autre, les premières gouttes d'oxygène liquide.

La première quantité mesurable d'oxygène liquide est produite par le Polonais Karol Olszewski et Zygmunt
Wroblewski(université jagellonne de Cracovie), le 5 avril 1883.
OXYGENE LIQUIDE

Propriétés
C'est un liquide cryogénique qu'on l'utilise dans certains avions militaires et commerciaux comme source
d'oxygène respiratoire. Il rend les matériaux très cassants à son contact en raison même de sa température très
basse. C'est un agent oxydant très puissant, au contact duquel les matières organiques brûlent rapidement de
façon énergétique, ou peuvent exploser de façon imprévisible lorsqu'elles sont simplement imprégnées d'oxygène
liquide : c'est notamment le cas des composés pétrochimiques.

Cela peut poser problème lorsqu'on manipule à l'air libre de l'azote liquide car, à pression atmosphérique, ce
dernier a une température inférieure au point de condensation du dioxygène de l'air, lequel peut donc se
condenser à la surface du N2 liquide, formant un mélange enrichi en O2 liquide aux propriétés oxydantes
inattendues pour ce qu'on pense être au départ de l'azote liquide ; finalement, on peut n'avoir plus que de
l'oxygène liquide une fois tout l'azote évaporé.
UTILISATION DE L’OXYGENE LIQUIDE
L'oxygène liquide était utilisé dès les années 1940 par les Allemands sous le nom de A-Stoff avec
l'éthanol C2H5OH (appelé B-Stoff pour cet usage) comme combustible pour former un propergol
liquide destiné aux fusées V-2.

Son usage s'est développé pendant la guerre froide pour propulser des missiles balistiques
intercontinentaux, tels que le PGM-11 Redstone américain (descendant direct du V-2 allemand,
utilisant le même propergol LOX / éthanol) et le R-7 Semiorka soviétique (alias SS-6 Sapwood, dont
dérive l'actuel lanceur Soyouz-FG) dès 1959, premier vrai missile balistique intercontinental qui
utilisait comme combustible un kérosène spécialement raffiné similaire au RP-1 américain.
DANGERS DE L’OXYGÈNE LIQUIDE
RÉFRIGÉRATION ET SYSTÈMES DE PRODUCTION
DU FROID
PROCÉDÉS DE PRODUCTION DU FROID

D’une façon générale, toute transformation physique réversible, qui s’effectue avec absorption de
travail est capable de produire du froid ; il en est de même de certaines transformations irréversibles.
Parmi les divers procédés possibles, nous citons :
- la détente adiabatique d’un gaz quelconque ;
- la vaporisation d’un liquide ;
- la détente isenthalpique d’un gaz non parfait ;
- la dissolution de certains sels ou gaz ;
- le passage d’un courant électrique à travers la soudure de deux métaux différents.

En fait, on n’utilise guère dans la pratique courante que les trois premiers procédés, seuls ou
combinés, encore que plusieurs des autres aient déjà reçu dans certains domaines des applications
très intéressantes.
PROCÉDÉS DE PRODUCTION DU FROID

Nous distinguons dans les systèmes de production du froid deux types d’installations :
- les installations frigorifiques en circuit fermé ;
- les installations de liquéfaction des gaz.

Dans la première catégorie, l’agent réfrigérant (fluide frigorigène) est utilisé en circuit fermé : son
rôle est de prélever de la chaleur au milieu à refroidir pour la transporter à un autre milieu qui
l’absorbe, ce transport s’effectuant par une circulation continue.

Selon la façon dont s’effectue la circulation du fluide, on distingue les installations à compression,
utilisant un compresseur, et les installations à absorption, dans lesquelles la circulation s’effectue
sans compresseur, par absorption du réfrigérant dans un liquide d’où il est ensuite régénéré par la
chaleur dans une autre partie du circuit.
CHOIX DES RÉFRIGÉRANTS

Pour une application particulière, le choix du réfrigérant dépend souvent des


propriétés qui ne sont pas directement liées à la capacité de retirer de la chaleur d’un
milieu à réfrigérer.

Les facteurs tels que l’inflammabilité, la toxicité, la viscosité et d’autres sont aussi
important. Comme règle générale, la sélection d’un réfrigérant repose sur un
compromis entre l’ensemble des propriétés désirées. Autrement dit, le choix du fluide
frigorigène est dicté par un ensemble de contraintes thermodynamiques et
technologiques, dont on va discuter les principales :
CHOIX DES RÉFRIGÉRANTS

- Le fluide doit être tel que la température de la source


froide TF et la température de la source chaude TC
soient comprises entre le point triple et le point
critique.
- Le point triple représente le point où les trois états
de la matière sont possibles simultanément. Pour
l’eau, il se situe à 0,006 atm et 0,01°C.
- Il arrive un moment où à force de chauffer et
d’augmenter la pression, la densité du liquide (qui
baisse) et la densité du gaz (qui monte) s’égalisent :
on a alors atteint le point critique. Pour l’eau, ce
point est à 374°C et à 218 atmosphères (221 bar).
CHOIX DES RÉFRIGÉRANTS

- La pression d’évaporation devrait être aussi élevée que possible et en même temps, la pression au
condenseur la plus faible possible pour assurer le degré de température de refroidissement voulu ;
- Toutefois, il est souhaitable d’avoir un rapport de compression (pCond /pEvap) aussi faible que
possible, d’une part pour des raisons de coût du compresseur, et d’autre part pour limiter la
température T2 en fin de compression, qui doit être compatible avec la stabilité thermique et
chimique du fluide ;
- De plus, il est souhaitable que la pression au condenseur soit supérieure à la pression
atmosphérique pour éviter des rentrées d’air dans le système ;
- La tension superficielle ainsi que la viscosité doivent être assez faibles même si dans ce cas le
transfert de chaleur est affecté négativement ;
- Une capacité de réfrigération élevée pour une consommation d’énergie faible (il est évidemment
avantageux d’avoir une efficacité frigorifique aussi élevée que possible) ;

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