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ATARAXIE

S9

CAHIER D'EXAMENS - COURS PAR COURS


ÉDITION 2024
REMERCIEMENTS

Nous tenons à remercier vivement tous


ceux qui de près ou de loin ont participé à
la rédaction de ce document.

ATARAXIE
-Ce document contient toutes les questions d’anciens examens du

-( 2009 -2023 :1ère et 2ème sessions ) - disponibles dans le Cahier d’Exams.


-Les sont réparties cours par cours
-Les sont des questions rédactionnelles qui regroupent les QROC’s aussi

1.Diagnostic et surveillance de la grossesse: ( 21 questions )


1- But / Objectifs de la première consultation prénatale :
A. Dater la grossesse
B. Dépister une hypotrophie fœtale
C. Évaluer cliniquement le bassin
D. établir le diagnostic de grossesse
E. Faire une morphologie complète fœtale
F. Confirmer la grossesse
G. Evaluer les facteurs de risque
H. Prescrire les examens complémentaires
I. Évaluer le score de bishop en vue d'établir un pronostic à l'accouchement
J. faire un examen échographique morphologique détaillé
K. faire un examen détaillé du bassin pour donner un pronostic à l'accouchement
2- parmi les facteurs ci-dessous, quels sont ceux qui constituent un facteur de risque pour la grossesse :
A. Âge inférieur à 18 ans
B. Poids à 65 kg pour une taille de 1,65 m
A. grossesse gémellaire
B. Fausses couches à répétition
C. patiente suivie pour maladie de basedow
3- On proposera lors de la première consultation prénatale :
A. sérologie CMV (cytomégalovirus)
B. sérologie HIV (virus de l'immunodéficience humaine)
C. sérologie herpétique
D. sérologie parvovirus
E. sérologie syphilitique
F. Groupage ABO , Rhésus
G. Sérologie de la rubéole
H. Dépistage VIH
I. Sérologie toxoplasmose
4- Lors de /Au cours de la première consultation prénatale:
A. la demande d'un taux de béta HCG est systématique
B. un frottis cervicovaginal peut être demandé s'il date de plus de 3 ans

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C. une supplémentation par la vitamine B12 est systématique pour prévenir les malformations neurales
D. une échographie dite de datation est prévue entre 11sa -13sa+6j
E. la vaccination anti covid peut être proposée
F. l'examen cytobactériologique urinaire (ECBU) est systématiquement demandé pour rechercher une
bactériurie asymptomatique
G. une échographie réalisée vers 12 SA permet de dater la grossesse
H. un groupage sanguin doit être demandé
I. la sérologie VIH est obligatoirement proposée
J. une numération formule sanguine est demandée obligatoirement
5- parmi les examens ci-dessous, quels sont ceux dont la prescription est obligatoirement proposée au
cours de la première consultation prénatale :
A. la sérologie CMV
B. sérologie de la syphilis
C. dépistage VIH
D. Examen cytobactériologique des urines
E. sérologie toxoplasmose
6- on parle de suivi de la grossesse de type B :
A. quand le suivi régulier est assuré par un gynécologue obstétricien
B. quand le suivi régulier est assuré par un généraliste et que l'avis d'un gynécologue obstétricien et/ou un
autre spécialiste est conseillé
C. quand le suivi régulier est assuré par un généraliste et que l'avis d'un gynécologue obstétricien et/ou un
autre spécialiste est nécessaire
D. l'incompatibilité foeto maternelle en est un exemple
E. la patiente diabétique en est un exemple
7- au cours de la consultation prénatale
A. les RAI sont demandés obligatoirement a 3,6.8 et 9 mois si Rh négatif
B. la sérologie CMV est systématiquement demandée
C. les RAI ne sont jamais demandés chez la femme enceinte Rh positif
D. la sérologie VIH est obligatoirement proposée
E. le prélèvement vaginal es, systématique chez la femme enceinte asymptomatique entre 34 SA et 38SA
8- la mesure de la hauteur utérine :
A. peut se faire au premier trimestre
B. correspond à la distance entre le bord supérieur de la symphyse pubienne et le fond utérin
C. la vessie doit être vide pour plus de précision
D. a 30 SA, la hauteur utérine normale est entre 26cm et 31 cm
E. si elle est diminuée, il faut penser à un oligoamnios, hypotrophie ou erreur de datation
9- parmi les examens ci-dessous quels sont ceux qui doivent être prescrits lors de la surveillance de la
grossesse normale au 6ème mois :
A. les agglutinines irrégulières si la femme est Rh négatif et le mari Ph positif
B. la numération formule sanguine
C. sérologie hépatite B
D. sérologie rubéole
E. Scanopelvimétrie
10- parmi les examens ci-dessous quels sont ceux qui doivent être prescrits lors de la grossesse
normale au 6ème mois
A. le saignement est typiquement Indolore, spontanée
B. l'utérus est tendu, hypertonique dans sa forme typique
C. L'asynchronisme de développement entre le placenta et le segment inférieur explique le mécanisme du
saignement
D. la coagulopathie intravasculaire disséminée et la mort fœtale peuvent compliquer cette situation

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E. l’évacuation utérine est le seul traitement efficace
11- lors des consultations prénatales intermédiaires
A. l’examen inclut un toucher vaginal avec calcul du bishop a chaque consultation
B. la recherche d'une protéinurie positive par bandelette doit être réalisée à chaque consultation
C. le prélèvement vaginal est dentandé à partir de 35 SA à la recherche de streptocoque B meme chez la
femme asymptomatique
D. une échographie morphologique est idéalement réalisée à 28SA
E. la sérologie herpétique est obligatoirement demandée chez la femme non immunisée
12- Il est de bonnes pratiques médicales de réaliser au cours de la grossesse normale .
A. Une échographie mensuelle à partir de 3 mois de grossesse
B. Une échographie de datation entre USA et 13SA+6j
C. Une échographie pour étude morphologique du fœtus vers 30SA
D. Une échographie ciblée a 28 SA pour étude du sexe fœtal
E. Une échographie pour étude de la biométrie, et la localisation placentaire aux alentours de 30-35-SA
13- la consultation du 9ème mois de grossesse ;
A. Permet d'établir un pronostic de l'accouchement
B. Permet d'étudier le bassin grâce au Toucher vaginal
C. L'examen cytobactériologique des urines est systématiquement demandé
D. La palpation des pôles fœtaux et du plan du dos par la méthode de Budin et Léopold permet d'avoir une
idée sur la présentation
E. Sérologie herpétique (HSV) doit être demandée en dehors du travail
14- les bilans à demander au cours de la grossesse :
A. NFS systématique au 6 -ème mois
B. sérologie VIH systématiquement proposée a la fin de la grossesse
C. sérologie herpétique dès le premier trimestre
D. sérologie toxoplasmique mensuelle en cas de négativité jusqu'à 18 SA
E. prélèvement vaginal en fin de grossesse pour recherche de streptocoque B
15- Concernant / au cours de / le suivi de la grossesse :
A. la sérologie toxoplasmique est mensuelle en cas de négativité
B. la sérologie rubéolique est mensuelle en cas de négativité à partir de 18SA
C. NFS est recommandée au 6ème mois
D. sérologie hépatite B est recommandée au 6ème mois
E. RAI est demandée si mère Rhésus positif au 3ème, 6ème, 8ème mois
F. la sérologie de l'hépatite B n’est pas systématiquement proposée
G. 3 échographies obstétricales sont proposées en dehors des situations à risque
H. l’échographie dite morphologique est idéalement proposée entre 20 et 25 SA
I. au moins une NFS doit être demandée systématiquement au 6 ème mois de grossesse
J. en cas de bactériurie asymptomatique détectée par bandelette urinaire, un traitement antibiotique
probabiliste est démarré immédiatement
K. le suivi type A peut se faire par un médecin généraliste
L. la supplémentation en acide folique commence idéalement dès 8 semaines d'aménorrhée
M. le dosage de b HCG quantitatif quand il est demandé peut se positiver avant le retard des règles
N. l'échographie de datation se fait idéalement à 10 SA
O. la mesure de la clarté nucale et de la longueur craniocaudale se fait au cours de l'échographie de
datation
P. Le suivi est dit type B quand le médecin généraliste effectue le suivi, un avis d'un obstétricien est
conseillé
Q. L'échographie de datation doit être réalisée entre 11SA et 13SA+6j
R. Une supplémentation en acide folique est idéalement prescrite à partir de la période préconceptionnelle

Pag 3:Ata e
S. Le prélèvement vaginal ne doit être demandé au troisième trimestre que devant une patiente
symptomatique
T. L'échographie morphologique est réalisée vers 34SA
U. le suivi de type B : lorsque le suivi régulier peut être assuré par un médecin généraliste
V. un minimum de 4 consultations prénatales est de règle
W. la sérologie rubéolique est systématiquement demandée en cas de négativité mensuellement jusqu'à
l'accouchement
X. la sérologie à cytomégalovirus est obligatoirement demandée
Y. une scanopelvimétrie est systématiquement demandée chez la primigeste à partir de 36 SA
QR 1 :
16- Première consultation prénatale citer les objectifs et les examens complémentaires biologiques à
demander
QR 2 :
17- Citer les examens complémentaires à prescrire au cours de la première consultation prénatale
QR 3 :
18- Quels sont les objectifs des consultations prénatales :
18.a-Du premier trimestre
18.b-Du 3eme trimestre
QR 4 :
19- Conduite à tenir devant une femme enceinte présentant une sérologie de l'hépatite B positive
QR 5 :
20- Transmission materno fœtale du virus de l'hépatite B : Prévention
Cas clinique 1:
Mme X, 36 ans, vient consulter pour la première fois chez vous. Elle rapporte une aménorrhée de 11SA (?)
selon une DDR précise, elle est sans ATCD pathologiques particuliers et l’examen que vous avez réalisé
est sans anomalie. Elle a ramené avec elle un compte-rendu détaillé d’une échographie mentionnant une
grossesse monofoetale évolutive. Il s’agit de sa première grossesse.
21- Quel bilan biologique demandez-vous à Mme X?

2.La grossesse extra-utérine: ( 24 questions )


1- Les facteurs de risque de la grossesse extra utérine sont :
A. Les infections sexuellement transmissibles
B. L'endométriose
C. Antécédents de chirurgie pelvienne
D. Tabac
E. Procréation médicalement assistée
2- Parmi les signes cliniques / les signes en faveur de la grossesse extra utérine :
A. Une exagération de signes sympathiques
B. Une aménorrhée
C. Des métrorragies noirâtres sépia
D. Algie pelvienne d'apparition progressive ou brutale voir en coup de poignard
E. Une hauteur utérine augmentée par rapport à l'âge gestationnel
F. Une douleur pelvienne aiguë
G. Des métrorragies de couleur sépia
H. Un pseudo sac gestationnel à l échographie
I. Un sac gestationnel en latéro utérin avec écho embryonnaire et activité cardiaque
J. Une formation blanchâtre à l'hystéroscopie

Pag 4:Ata e
K. Un utérus de taille diminuée par rapport à l'âge gestationnel
L. Un pseudo sac en intra-utérin en échographie
3- Dans la grossesse extra utérine non compliquée, l'examen clinique peut mettre en évidence :
A. Une douleur pelvienne aiguë
B. Des métrorragies type couleur sépia
C. Un utérus de taille augmenté par rapport à l'âge gestationnel
D. Un cri de douglas
E. Un état de choc
4- les signes échographiques de la grossesse extra utérine peuvent :
A. Être directs comme un sac gestationnel avec écho embryonnaire en extra utérin
B. Être indirects tels pseudosac avec image latéro utérine hétérogène échogéne
C. Être absents
D. Nécessite un autre examen en premier un scanner pelvien
E. Être complété par un dosage de bêta HCG
5- Les signes échographiques évocateurs de grossesse extra-utérine :
A. Un pseudosac gestationnel
B. Un sac gestationnel avec écho embryonnaire en intra utérin
C. Une image latéro-utérine hétérogène échogène en faveur d'hématosalpinx sans visualisation de sac en
intra-utérin
D. Un épanchement dans le cul de sac postérieur
E. Présence d'un sac gestationnel extra utérin avec parfois une vésicule ombilicale ou un embryon
F. Un pseudo sac au niveau de l'utérus
G. Un épanchement intra-abdominal
H. Un sac gestationnel intra utérin
I. Des kystes lutéiniques bilatéral :
J. Une image latéro-utérine hétérogène échogène en faveur d'hématosalpinx
6- Le diagnostic de la grossesse extra-utérine tubaire non compliquée se base sur :
A. La clinique seulement
B. La clinique complétée par l'échographie et la biologie
C. La biologie seulement
D. L'échographie seule si présence de signes directs
E. La coelioscopie en cas de doute
7- Le diagnostic de la grossesse extra-utérine :
A. Doit-être évoqué systématiquement devant une femme en période d’activité génitale présentant des
douteurs pelviennes.
B. Est fortement évoquer devant : ______ + Douleurs pelviennes +Métrorragies
C. l'association des trois signes.______ doit toujours être présente pour poser le diagnostic de la GEU
D. Le diagnostic positif est basé sur la présence à l'échographie pelvienne d'un utérus vide et un sac
ovulaire ectopique avec une activité cardiaque positive
E. En cas de doute le dosage plasmatique des taux des BhCG peut aider au diagnostic
8- Le but du traitement de la grossesse extra-utérine (GEU) est:
A. D'arrêter le saignement
B. De faire toujours une salpingectomie bilatérale
C. De préserver la fertilité
D. De faire toujours un traitement chirurgical par laparotomie
E. De conserver la trompe
9- Le traitement de la grossesse extra utérine peut être :
A. Médical
B. Une hystérectomie par cœlioscopie
C. Un curetage aspiratif du contenu utérin

Pag 5:Ata e
D. Une abstention thérapeutique
E. Un traitement conservateur par laparotomie ou cœlioscopie
F. Médical à base d'ocytocique
G. Chirurgical : Hystérectomie
H. Hystéroscopique
I. Une salpingostomie par cœlioscopie
10- L'abstention thérapeutique au cours de la grossesse extra-utérine
A. Nécessite une surveillance médicale rapprochée
B. Est indiquée si forme rompue
C. Peut être indiquée si BHCG< 1000 Ul/I
D. Le dosage répétitif de BHCG est obligatoire
E. Se base sur une injection de méthotrexate
11- Le traitement médical au cours de la grossesse extra-utérine
A. Nécessite une surveillance médicale rapprochée
B. Est indiqué si stabilité hémodynamique
C. Peut être indiqué si beta HCG < 1000 UI/L
D. Nécessite une injection d'ocytociques
E. Se base sur une injection de méthotrexate
12- Le traitement médical de la grossesse extra utérine tubaire :
A. Fait appel au méthotrexate
B. Nécessite une surveillance clinique
C. Nécessite une surveillance biologique
D. Est indiquée si hémopéritoine important
E. Est une poly-chimiothérapie
13- Le traitement cœlioscopique de la grossesse extra-utérine :
A. Doit-être préféré à la laparotomie
B. Est indiqué en cas d'hémopéritoine important
C. Est indiqué en cas d'instabilité hémodynamique
D. Peut faire un traitement conservateur de la trompe
E. A l'avantage d'être moins hémorragique et donner moins d'adhérences pelviennes
14- Le traitement chirurgical de la grossesse extra utérine est indiqué
A. si instabilité hémodynamique
B. se fait aussi bien par laparotomie que par coelioscopie
C. Est toujours indiqué quelques soit l'état de la patiente
D. Est toujours une salpingectomie
E. Se base sur un curetage aspiratif par voie vaginale
15- Le traitement chirurgical de la grossesse extra utérine tubaire :
A. Est indiqué si instabilité hémodynamique
B. Doit se faire impérativement par laparotomie
C. Est indiqué si échec du traitement médical
D. Se base sur une hystérectomie
E. Est toujours une salpingectomie
F. Peut se faire par cœlioscopie
G. Peut se faire par laparotomie
H. Peut être Une salpingectomie
I. Peut être un traitement conservateur par salpingotomie
J. Peut être Fait par curetage aspiratif utérin par voie basse
K. Peut être Une hystérectomie
16- La grossesse extra utérine tubaire :
A. A comme facteur de risque les infections sexuellement transmissibles

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B. Peut être diagnostiquée à l'échographie pelvienne
C. Peut causer un choc hémorragique
D. Peut être traitée médicalement par méthotrexate
E. Peut être diagnostiquée par hystéroscopie
F. Peut être diagnostiquée par une ponction du douglas si hémopéritoine présent
G. Est une cause de l'hémorragie du premier trimestre
H. Le diagnostic nécessite parfois la coelioscopie
I. Le traitement doit être toujours une salpingectomie
17- (Dans) la grossesse extra utérine:
A. Les salpingites sont une cause fréquente
B. La localisation ovarienne est la plus fréquente
C. La malade peut être asymptomatique
D. Le diagnostic est exclusivement clinique
E. L'évolution peut se faire vers le choc hémorragique
F. A comme facteur de risque les infections sexuellement transmissibles
G. Est de diagnostic clinique dans la forme non compliquée
H. Peut mettre en jeu le pronostic vital de la patiente
I. Est souvent de localisation cervicale
J. Est à l’origine des signes sympathiques exagérés
K. a les infection génitales comme facteur de risque
L. Peut entraîner un choc hémorragique si retard de traitement
M. Peut être traitée par coelioscopie
N. Doit être toujours chirurgicale
O. Nécessite une prise en charge rapide pour préserver la fertilité
P. La localisation tubaire est la plus fréquente
Q. L'évolution peut être fatale pour la patiente
R. Le diagnostic se base seulement sur le dosage des BHCG
S. Peut être une cause de mortalité maternelle
T. Le diagnostic peut être posé par échographie pelvienne
U. L'abstention thérapeutique est possible si forme rompue
V. Le traitement médical est possible si pauci-symptomatique
W. Est définie comme une implantation de l'embryon en dehors de la cavité utérine
X. La grossesse abdominale n'est pas considérée comme une grossesse extra-utérine
Y. Les localisations cervicales sont les plus fréquentes des GEU
Z. Est la première cause de mortalité maternelle au premier trimestre de la grossesse
18- (Dans) la grossesse extra utérine (suite ):
A. Peut-être secondaire à une salpingite non ou mal traitée
B. La localisation interstitielle est la plus grave
C. L'évolution peut se faire vers la résorption spontanée
D. l'évolution peut se faire vers une rupture cataclysmique avec une hémorragie interne grave
E. Est en général causée par une salpingite aigue non ou mal traitée
F. Est fortement évoquée devant une femme présentant une aménorrhée, des métrorragies et des
douleurs pelviennes
G. le diagnostic est posé seulement sur une échographie pelvienne
H. Le diagnostic est fortement évoqué devant un utérus vide à L'échographie avec une image latéro utérine
et un taux des b hCG positif
I. La cœlioscopie est à éviter dans un but diagnostic
J. En cas de doute sur le diagnostic, il faut demander un scanner thoraco-abdomino- pelvien

Pag 7:Ata e
QR 1 :
19- Facteurs de risques de la grossesse extra utérine
QR 2 :
20- Quelles sont les données échographiques en cas de grossesse extra utérine ?
QR 3 :
21- Quels sont les signes échographiques directs et indirects de la grossesse extra-utérine?
QR 4 :
22- clinique et paraclinique d'une grossesse extra utérine tubaire non rompue
QR 5 :
23- clinique et paraclinique de la grossesse extra utérine non compliquée.
QR 6 :
24- Les différents moyens et indications du traitement de la grossesse extra utérine.

3.Les avortements: ( 8 questions )


1- la menace d'avortement :
A. Se manifeste par des métrorragies associées à des contractions utérines
B. A l'échographie l'activité cardiaque est négative
C. Le produit de conception est en voie d'expulsion
D. L’orifice interne du col utérin est fermé
E. Le traitement est basé sur le repos au lit associé à des antispasmodiques
2- Un avortement spontané peut se compliquer :
A. d'une hémorragie grave
B. d'une endométrite
C. d'une coagulopathie de consommation
D. d'une salpingite
E. d'une pelvipéritonite
3- Les complications des avortements sont :
A. Hémorragie grave
B. Endométrite
C. Pelvipéritonite
D. Synéchie utérine
E. Coagulopathie de consommation
4- Parmi les étiologies des avortements spontanés / peut être du à :
A. Les abbérations chromosomiques
B. Les malformations utérines
C. Les myomes utérins
D. Les infections
E. Les synéchies utérines
F. une malformation utérine
G. une aberration chromosomique fœtale
H. une béance cervico-isthmique
I. un utérus myomateux
J. une cause indéterminée
5- Parmi les étiologies des avortements :
A. Malformations utérines
B. Les Infections

Pag 8:Ata e
C. Une incompétence cervico-isthmique
D. Aberrations chromosomiques
E. Les myomes utérins
6- L’avortement spontané
A. Peut avoir comme étiologie des aberrations chromosomiques
B. Peut causer un choc hémorragique
C. Peut être traitée médicalement par méthotrexate
D. Peut être traité par cœlioscopie
E. Peut être prévenu par un cerclage si béance cervico-isthmique
QR 1 :
7- Citez les étiologies des avortements spontanés ?
QR 2 :
8- Quelles sont les étiologies des avortements?

4.L’utérus cicatriciel: ( 12 questions )


1- Quelles sont les cicatrices de mauvaise qualité dans un utérus cicatriciel :
A. Une cicatrice corporelle
B. Une cicatrice de myomectomie
C. Une cicatrice segmento-corporelle
D. Une cicatrice segmentaire
E. Une cicatrice après une rupture utérine
2- parmi les signes en faveur de la rupture utérine sur utérus cicatriciel :
A. douleur à la cicatrice
B. anomalie du RCF (rythme du cardiaque fœtal)
au TV ascension de la
C. au toucher vaginal on perçoit une poche des eaux tendue présentation \ ??
D. saignement anormal
E. l’état de choc maternel n’est jamais présent Au contraire
3- Quelles sont les risques spécifiques d’une patiente porteuse d'un utérus cicatriciel avec cicatrice
corporelle :
A. Rupture utérine
B. Placenta accreta
C. Inertie utérine
D. Déhiscence de la cicatrice au 3ème trimestre de grossesse
E. Mort fœtale in utéro par rupture ??
4- Quelles sont les risques spécifiques d'une patiente porteuse d'un utérus cicatriciel avec cicatrice
corporelle au cours du travail :
A. Rupture utérine
B. Dystocie dynamique
C. Inertie utérine À la suite des couche
D. Métrorragies
E. Douleurs à la cicatrice
5- il faut penser à une rupture utérine chez une patiente porteuse d'un utérus cicatriciel :
A. si elle présente une douleur à la cicatrice
B. si le fœtus présente des décélérations à l'enregistrement du rythme cardiaque fœtal
C. si métrorragies au cours du travail
D. si stagnation de la dilatation pas de dilatation aslan
E. si rupture prématurée des membranes ??

Pag 9:Ata e
6- Parmis les facteurs favorisant la déhiscence sur un utérus cicatriciel :
A. Une cicatrice segmento-corporéale
B. Utilisation d’ocytociques
C. Une grossesse prolongée
D. Un antécédent de césarienne faite à 24 semaines d'aménorrhée ça n’a pas de rapport avec le terme ?
E. Une hypotrophie foetale
F. L’utilisation d'ocytocine pour le déclenchement de travail
G. Une grossesse multiple
H. Un antécédent de césarienne faite à 26 semaines d'aménorrhée ??
I. Une macrosomie
J. Une cicatrice corporéale
K. Utilisation de prostaglandines
L. Un dépassement de terme
M. L'utilisation de prostaglandines pour le déclenchement de travail
N. Une disproportion fœto-pelvienne
O. Une cicatrice corporelle
7- sont les complications de l’utérus cicatriciel :
A. Placenta accreta
B. Placenta percreta
C. Isthmocèle
D. Rupture utérine
E. Déhiscence de la cicatrice
8- L'Isthmocèle est une complication de l'utérus cicatriciel :
A. Peut être responsable de métrorragies
B. Peut être responsable de stérilité secondaire
C. Peut-être traiter par cœlioscopie
D. Peut-être traiter par résection hystéroscopie
E. Peut être responsable de grossesse sur cicatrice
9- Quelles sont les éléments qui contre indiquent / les conditions incompatibles à l'accouchement par voie
basse devant un utérus cicatriciel :
A. Une présentation de siège
B. Un bassin limite
C. Une cicatrice corporelle
D. Une grossesse gémellaire
E. Un ATCD de rupture utérine
F. Métrorragies
G. Douleurs à la cicatrice
H. Scanopelvimétrie normale
QR 1 :
10- Quels sont les facteurs favorisant la déhiscence sur un utérus cicatriciel?
QR 2 :
11- Utérus cicatriciels : Indications de la césarienne prophylactique
QR 3 :
12- Conditions de l'épreuve sur la cicatrice chez une parturiente présentant un utérus
cicatriciel

Pag 10:Ata e
5.Le retard de croissance intra-utérine: ( 18 questions )
1- Parmi les causes du retard de croissance intra -utérin RCIU :
A. Les anomalies chromosomiques
B. L'hypertension artérielle les maladies chroniques
C. Les malformations utérines
D. L'insuffisance respiratoire maternelle
E. L'insuffisance cardiaque maternelle
F. L'anémie chronique
G. L'hypercholestérolémie
2- Parmi les facteurs de risque du retard de croissance intra-utérin :
A. Les anomalies chromosomiques
B. L'hypertension artérielle
C. Le tabagisme
D. Le groupage sanguin RH négatif
E. L'obésité.
3- Le bilan étiologique initial d'un retard de croissance intra-utérin (RCIU) doit comporter :
A. Une NFS avec taux de plaquettes.
B. Une protéinurie de 24H C- Un caryotype foetal syndrome
vacsulorenale
C. Un doppler obstétrical
D. Un test à l'ocytocine
4- Quels sont les examens complémentaires qui peuvent être nécessaires pour le diagnostic étiologique /
Le bilan étiologique d'un retard de croissance intra-utérin peut comporter :
A. Amniocentèse biometrie
B. Protéinurie de 24H doppler uterin, ombilicale, cerebral et veineux
C. Doppler des artères utérines
Diagnostic de gravite
D. Cordocentèse -echo doppler obs
E. Echographie obstétricale -ERCF
F. L'IRM fœtale -score de MANNING
G. Enregistrement du rythme cardiaque- fœtal
5- Quels sont les examens complémentaires nécessaire pour l'évaluation du bien être fœtal devant un
retard de croissance intra-utérin :
A. L'échographie obstétricale
B. Le doppler des artères ombilicales de gravite
C. Le doppler de l'artère cérébrale moyenne
D. Le score biophysique de Manning
E. L'enregistrement du rythme cardiaque fœtal
QR 1 :
6- Définition et étiologies du RCIU
QR 2 :
7- Citer 3 étiologies à évoquer devant / les étiologies du retard de croissance intra-utérin.
QR 3 :
8- Comment peut-on prendre en charge un retard de croissance intra-utérin ?
Cas clinique 1:
Patiente âgée de 26 ans chez qui l'échographie obstétricale de 32 SA a révélé que la mesure de la
circonférence abdominale transverse est inférieure au 3ème percentile alors que le reste de la
biométrie est normal, severe
9- Quel est votre diagnostic ? :
A. Retard de croissance intra-utérin harmonieux

Pag 11:Ata e
B. Retard de croissance intra-utérin dysharmonieux
C. Macrosomie fœtale
D. Syndrome poly-malformatif
E. Erreur du terme
10- Quels sont les examens complémentaires qui peuvent être nécessaires pour le diagnostic
étiologique de ce type de retard de croissance intra-utérin : severe
A. Amniocentèse pour le diagnostic antenatal -bilan vasculaire
B. Echographie obstétricale avec doppler artériel -bilan immunologique et de
thrombophilie
C. L'IRM fœtale
D. Sérologies maternelles
E. Protéinurie des 24 heures
Cas clinique 2:
Patiente âgée de 24 ans chez qui l’examen obstétrical à 32SA a révélé une hauteur utérine à 23 cm avec
un col long fermé postérieur et poche des eaux intacts
11- Quels diagnostics évoquez-vous ?
A. Retard de croissance intra-utérin harmonieux
B. Retard de croissance intra-utérin dysharmonieux
C. Macrosomie foetale
D. Anomalie chromosomique
E. Rupture de la poche des eaux
Une échographie obstétricale réalisée le jour même montre une grossesse mono-fœtale avec des
biométries inférieures au 3eme percentile pour 32SA
12- Quels sont les examens complémentaires qui peuvent être nécessaires pour le diagnostic
étiologique :
A. Caryotype fœtal
B. Doppler des artères utérines maternelles
C. L'IRM fœtale
D. Sérologies maternelles
E. Examen cytobactériologique des urines
Cas clinique 3:
Une parturiente de 41 ans, primipare consulte à 29 semaines d’aménorrhée, l’examen clinique trouve une
tension artérielle à 11/7 mmHg avec des bandelettes urinaires négatives, une hauteur utérine à 20cm avec
des bruits cardiaques fœtaux perçus avec un col long fermé postérieur sans notion d’hydrorrhée
13- est votre diagnostic à évoquer ?
A. Retard de croissance intra-utérin harmonieux sur anomalie génétique vu age
B. Retard de croissance intra-utérin dysharmonieux sur prééclampsie sévère
C. Une rupture prématurée des membranes
D. Un oligoamnios sur dépassement de terme
E. Une hypotrophie fœtale
14- sont les examens complémentaires nécessaires pour étiqueter le diagnostic :
A. L'échographie obstétricale
B. Le doppler des artères ombilicales et cérébrales
C. IRM foetale
D. Le score biophysique de manning
E. Une amniocentèse diag antenatal
15- serait votre conduite à tenir :
A. Césarienne en urgence
B. Interruption médicale de la grossesse
C. Suivie de la grossesse

Pag 12:Ata e
D. Déclenchement du travail aux prostaglandines
E. Extraction après administration d'une cure de corticothérapie
Cas clinique 4:
Patiente âgée de 26ans mariée avec notion de consanguinité, primipare, grossesse estime à 36 SA non
suivie, l’examen obstétrical trouve une hauteur utérine à 26 cm, les bruits cardiaques foetaux perçus et
réguliers avec une TA normale et des bandelettes urinaires négatives avec un col fermé pas de saignement
et pas d’hydrorrhée
16- Quel est votre diagnostic à évoquer ?
A. Retard de croissance intra-utérin harmonieux sur anomalie chromosomique
B. Retard de croissance intra-utérin dysharmonieux sur pré éclampsie sévère
C. Rupture prématurée des membranes
D. Erreur de datation
E. Placenta prævia
17- Quels sont les examens complémentaires nécessaire à réaliser :
A. Le score biophysique de Manning
B. L’échographie obstétricale
C. Le doppler des artères utérines
D. L’IRM fœtale
E. L'amniocentèse
F. Une semaine après, la patiente a rompu la poche des eaux avec issue d’un liquide verdâtre
18- Quelle sera votre conduite à tenir devant cette situation :
A. Césarienne en urgence
B. Corticothérapie pendant 48h
C. Déclenchement du travail par ocytocine
D. Tocolyse
E. Surveillance de la grossesse

6.La maladie trophoblastique gestationnelle: ( 28 questions )


1- Les maladies trophoblastiques gestationnelles :
A. Sont classées en lésions bénignes et lésions malignes
B. La mole partielle est considérée comme une lésion maligne
C. La mole invasive est considérée comme une lésion bénigne
D. Le choriocarcinome est la seule tumeur maligne de toutes les maladies trophoblastique gestationnelle.
E. Toutes les maladies trophoblastiques gestationnelles ont un fort pouvoir métastatique
6.1- MOLE HYDATIFORME
2- Dans la môle hydatiforme partielle, on trouve :
A. Un col gravide
B. Des kystes lutéiniques
C. Des bruits cardiaques fœtaux
D. Un pseudo-sac intra-utérin
E. Une évolution possible vers les tumeurs trophoblastiques gestationnelles
3- Les signes en faveur de la mole hydatiforme complète :
A. Des métrorragies rouges d'abondance variable
B. Un utérus augmenté de taille par rapport à l'âge gestationnel
C. Disparition des signes sympathiques
D. Un taux de beta HCG très augmenté
E. Echos diffus en flocons de neige ou en nid d'abeille en intra-utérin à l'échographie pelvienne

Pag 13:Ata e
4- La môle hydatiforme complète se manifeste par :
A. des métrorragies d'abondance variable
B. des douleurs expulsives
C. des vomissements
D. parfois une hypertension artérielle
E. une crise d'épilepsie
5- L'aspiration d'une môle hydatiforme complète, doit-être faite :
A. par un curetage à la curette fenêtrée
B. Par aspiration à la canule d'aspiration
C. Elle doit-être faite sous contrôle échographique
D. Elle doit-être faite sous perfusion d'ocytociques
E. Un contrôle échographique de la cavité utérine est fait une dizaine de jours après l'aspiration.
6- Lors du traitement de la môle hydatiforme par curetage, il faut.
A. Un curetage aspiratif
B. Un curetage échoguidé
C. Le faire sous antibiotiques
D. Le faire sous ocytociques
E. Associer une chimiothérapie
7- Après curetage aspiratif de la môle hydatiforme complète il faut :
A. Une surveillance clinique
B. Une échographie à j 10 pour s'assurer de la vacuité utérine
C. Une surveillance biologique hebdomadaire par les BHCG
D. Administrer le méthotrexate
E. Mettre la patiente sous contraception
8- Le traitement de la mole hydatiforme complète :
A. Doit être réalisé dès le diagnostic
B. Se base sur une abstention thérapeutique car évolution favorable
C. Fait appel à un curetage aspiratif échoguidé
D. Est une hystérectomie de première intention ( / de préférence )
E. Se fait sous cœlioscopie
F. Consiste à une abstention thérapeutique
G. Consiste à un déclenchement par le misoprostol
H. Consiste à une perfusion d'ocytociques couplé au curetage aspiratif
9- Le traitement de la môle hydatiforme :
A. Peut être une surveillance jusqu’à l'avortement spontané
B. Se base sur un curetage aspiratif
C. Est une chimiothérapie d'emblée
D. Est une hystérectomie si gros utérus
E. Nécessite une surveillance clinique, échographique et biologique
10- (Dans) la mole hydatiforme complète :
A. Les métrorragies sont noirâtres type sépia
B. L'utérus est augmenté par rapport à l'âge gestationnel
C. Les signes sympathiques en particulier les vomissements sont exagérés
D. L'échographie met en évidence une image en flocons de neige
E. Le taux BHCG est très augmenté
F. On trouve un pseudo sac intra-utérin
G. On trouve un utérus de taille diminué par rapport à l’âge gestationnel
H. On trouve des signes de grossesse exagérés
I. Se manifeste par des métrorragies abondantes au premier trimestre
J. Peut évoluer vers une tumeur trophoblastique gestationnelle

Pag 14:Ata e
K. A I’examen gynécologique, on trouve un gros utérus et plus volumineux par rapport à l'âge gestationnel.
L. À I échographie, on trouve des images hypoéchogènes, hétérogènes intra-cavitaires avec un embryon.
M. Une fois le diagnostic est posé, son aspiration doit-être faite en urgence
N. A un aspect en grappe de raisin
O. On y trouve des vestiges embryonnaires
P. Est à risque hémorragique
Q. Doit -être aspirée dès le diagnostic est posé
R. A comme signes cliniques métrorragies, vomissements et douleurs expulsives
S. L'échographie pelvienne est fondamentale
T. Le dosage des BHCG plasmatiques permet le diagnostic et la surveillance
U. Est traitée par chimiothérapie
V. Impose un curetage aspiratif écho guidé
11- La mole hydatiforme partielle :
A. Génétiquement est une triploïdie
B. Est moins hémorragique que la mole complète
C. Se présente sous forme d'un tableau d’avortement
D. Peut évoluer vers une Tumeur Trophoblastique Gestationnelle (TTG)
E. Après aspiration elle doit-être surveillée régulièrement par des taux des BhCG
12- La mole hydatiforme
A. Est assez fréquente au Maroc
B. Donne un utérus de taille diminué par rapport à l'âge gestationnel
C. Donne un aspect en nid d'abeille à l’échographie
D. Peut évoluer vers la tumeur trophoblastique gestationnelle aussi bien la partielle que la complète
E. Peut être à l'origine d'un avortement parcellaire et incomplet
F. Peut causer un choc hémorragique
G. donne un utérus de taille augmentée par rapport à l'âge gestationnel
H. peut être diagnostiquée par ponction du douglas
I. l'évolution spontanée se fait vers un avortement incomplet parcellaire
QR 1 :
13- Diagnostic positif de la môle hydatiforme complète
QR 2 :
14- Quelles sont les données du diagnostic clinique, échographique et biologique de la mole
hydatiforme complète?
QR 3 :
15- La Môle Hydatiforme complète : Diagnostic positif et traitement
QR 4 :
16- La Mole hydatiforme complète : Aspects échographiques et prise en charge
QR 5 :
17- hydatiforme complète : évolution spontanée et traitement.
QR 6 :
18- Mode de surveillance postmolaire
QR 7 :
19- Conduite à tenir devant une mole hydatiforme

Pag 15:Ata e
6.2- TUMEURS TROPHOBLASTIQUE GESTATIONNELLES
20- Le diagnostic de tumeur trophoblastique gestationnelle est posé, lors de la surveillance post
molaire, devant :
A. une ascension de bHCG de plus de 10% sur trois dosages hebdomadaires
B. une stagnation de bHCG sur quatre dosages hebdomadaires
C. une stagnation de bHCG sur trois dosages mensuels
D. non négativation de bHCG au-delà de 24 semaines
E. des signes échographiques exclusivement.
21- Lors du suivi d'une mole hydatiforme après curetage aspiratif, le diagnostic de tumeur
trophoblastique gestationnelle est posé si :
A. Ré-ascension du taux de BHCG > ou =10 % à 3 dosages consécutifs j1, j7 et j14.
B. Stagnation sur au moins 4 dosages consécutifs j1, j7, j14 et j21
C. Persistance des taux bêta HCG positif après 10 semaines
D. sur biopsie du myomètre
E. un taux de bêta HCG initial très élevé
22- Les critères diagnostiques d'une tumeur trophoblastique gestationnelle (TTG) sont :
A. Diagnostic histologique d’ un choriocarcinome
B. Présence d’un plateau nr au moins A dosages plasmatiques successifs des taux des b h CG
C. Présence d'un plateau sur au moins 5 dosages plasmatiques successifs des taux des b h CG
D. Présence d'une (décrescence? ) sur au moins 4 dosages plasmatiques successifs des taux des b h CG
E. Présence d'une augmentation sur au moins 3 dosages plasmatiques successifs des taux des b h CG
23- Le diagnostic de tumeur trophoblastique gestationnelle :
A. Est posé Devant une réascension de plus de 10% de beta HCG sur 3 dosages hebdomadaires
consécutifs
B. Est posé Stagnation du taux de beta HCG sur 4 dosages mensuels
C. Est posé Non négativation beta HCG après 24 semaines
D. Est posé Devant le diagnostic histologique de choriocarcinome
E. Est posé Cliniquement sur l'importance du saignement
F. peut être posé parfois sur pièce d'hystérectomie
G. peut être posé devant la stagnation des beta HCG sur 4 dosages hebdomadaires consécutifs
H. est toujours histologique
I. dont le score > 6 est traité par monochimiothérapie
J. peut être posé lors de la surveillance de grossesse molaire partielle
K. Peut être posé lors du suivi post molaire
L. Nécessite un bilan d'extension pour le score
M. Dont le score < ou = 6 est traité par monochimiothérapie
N. Est traité souvent par hystérectomie
O. Est traité par un curetage aspiratif
24- Les tumeurs trophoblastiques sont diagnostiquées
A. Lors de la surveillance post môlaire
B. Lors de l’ascension de bêta HCG sur trois dosages hebdomadaires
C. Lors du diagnostic histologique de choriocarcinome
D. Sur la décroissance de taux de bêta HCG
E. Sur la persistance bêta HCG après 12 semaines
25- Le traitement des tumeurs trophoblastiques gestationnelles:
A. Se base sur la chimiothérapie
B. La monochimiothérapie est indiquée si ie score < 6
C. La polychimiothérapie est indiquée si échec du curetage aspiratif
D. La chirurgie a des indications limitées

Pag 16:Ata e
E. Ne nécessite plus de surveillance par BHCG après négativation
26- Devant une tumeur Trophoblastique Gestationnelle (TTG) :
A. Il faut établir un score pronostic
B. Devant un score de bas risque (< 6), une poly-chimiothérapie est indiquée en premier lieu
C. Un bilan d'extension avec une radiographie du poumon doit être fait
D. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien est indiqué
E. Une surveillance régulière par des taux des (B hCG est indiquée au cours et après la fin du
traitement
QR 8 :
27- Diagnostic des tumeurs trophoblastiques gestationnelle ( TTG)
QR 9 :
28- Les critères biologiques diagnostiques des évolutions perturbées des tumeurs trophoblastiques
gestationnelles.

7.Hémorragies du 3ème trimestre: ( 20 questions )


1- les signes cliniques observés chez une femme enceinte qui saigne au 3 -ème trimestre, quel(s) est
(sont) celui (ceux) en faveur d'un hématome rétro placentaire typique ?
A. saignement rouge indolore
B. saignement noirâtre accompagné de douleur abdominale brutale, intense
C. utérus relâché, mou
D. bruits du cœur fœtaux toujours bien perçus
E. tête haute mobile, ou présentation anormale
2- L’hématome rétroplacentaire typique :
A. l'hémorragie est faite de sang rouge récidivante et indolore
B. l'utérus n'est pas contracturé
C. peut se compliquer de coagulopathie dans le stade II IB de SHER
D. peut se compliquer de mort fœtale in utéro dans le stade III de PAGE
E. le seul traitement efficace est l'évacuation utérine
3- En cas de décollement d'un placenta normalement inséré :
A. la forme typique représente 80% des formes cliniques
B. le diagnostic positif est échographique
C. peut se compliquer chez la mère de trouble de la angulation dans les formes sévères
D. peut se compliquer de mort fœtale in utéro
E. l'évacuation utérine urgente représente le véritable traitement
4- L’hématome rétro placentaire :
A. sa physiopathologie est toujours angiopathique
B. le décollement du placenta se fait au niveau de la plaque choriale
C. peut entraîner des troubles de coagulation maternels
D. peut se compliquer de mort foetale
E. l'hémorragie de la délivrance en est une complication redoutable
F. est une séparation d'un placenta normalement inséré de la plaque basale après 20 SA
G. est toujours symptomatique
H. peut récidiver lors des grossesses ultérieures
I. met en jeu le pronostic fœtal seulement
J. la voie basse peut être acceptée si le diagnostic est posé chez une femme enceinte de 35SA en dehors
du travail
K. Est un décollement d'un placenta normalement inséré de la plaque basale après 20 SA
L. Son diagnostic est souvent échographique

Pag 17:Ata e
M. Le saignement est rouge récidivant dans la forme typique
N. S'accompagne de douleur abdominale brutale intense et de contracture utérine dans sa forme typique
5- le placenta praevia :
A. le seul traitement efficace est l'évacuation utérine immédiate
B. l'échographie a un grand intérêt pour guider le choix d'accouchement
C. la voie haute doit être programmée devant un placenta accreta à partir de 34SA
D. si placenta praevia hémorragique, l'accouchement doit se faire vers 40SA
E. peut se compliquer d'accouchement prématuré
6- Placenta bas inséré :
A. L'hémorragie est typiquement faite de sang noirâtre minime
B. dans sa forme typique, une douleur abdominale en coup de poignard est toujours présente
C. un toucher vaginal doit être toujours réalisé en premier pour apprécier le bishop et la présentation
D. la distance orifice interne du col-bord inférieur du placenta détermine la voie d'accouchement
E. peut se compliquer de rupture prématurée des membranes
F. est défini par une insertion partielle ou totale du placenta sur le col utérin
G. est toujours symptomatique
H. la prééclampsie en est un facteur de risque
I. au cours de la grossesse le saignement est expliqué par L'asynchronisme de développement entre le
segment inférieur et le placenta dans les variétés recouvrantes
J. le saignement est rouge récidivant, accompagné de contracture utérine
K. La forme typique se manifeste par un saignement indolore récidivant et extériorisé
L. la survenue chez une patiente porteuse d'un utérus cicatriciel doit nous faire chercher un placenta
accréta
M. le toucher vaginal est nécessaire pour apprécier l'abondance du saignement
N. L'échographie a un rôle important pour donner un pronostic à l'accouchement
O. la césarienne est le seul traitement indiqué devant cette situation
P. le toucher vaginal est interdit avant de s'assurer du diagnostic par l'échographie
Q. La mesure échographique de la distance bord inférieur du placenta -orifice interne du col intervient dans
la décision de la voie d'accouchement
R. Le saignement est rouge, spontané, récidivant dans sa forme typique
S. une césarienne doit être programmée entre 38 SA et 38 SA+6 jours en cas de placenta recouvrant
asymptomatique
T. la théorie de Schroeder explique le saignement au cours du travail
U. la physiopathologie du saignement est expliquée par I angiopathie et la dysimmunité
V. le saignement est noirâtre, minime, Indolore
W. le toucher vaginal est proscrit avant de s’assurer du diagnostic par l’échographie
X. une césarienne doit être envisagée dès 36SA s' il s'agit d'un placenta hémorragique
Y. le saignement est extériorisé, douloureux, et spontané
7- le placenta accréta :
A. est une insertion partielle ou complète du placenta sur le myomètre
B. l'absence d'un espace clair rétro placentaire a l'échographie est un élément en faveur du diagnostic
C. doit être évoqué devant une parturiente porteuse d'un utérus cicatriciel qui saigne
D. l'accouchement par voie basse peut être accepté
E. une embolisation sélective des artères utérines peut être proposée dans certains cas
F. c'est une insertion placentaire en totalité ou en partie sur le segment inférieur
G. la présence d'espace clair rétro placentaire est un signe échographique en faveur du diagnostic
H. la césarienne programmée doit être réalisée à partir de 34 SA
I. le traitement est toujours conservateur
J. Doit être évoqué devant une patiente enceinte porteuse d'utérus cicatriciel qui saigne

Pag 18:Ata e
8- la rupture utérine
A. survient toujours sur utérus cicatriciel
B. peut être causée par les antispasmodiques
C. peut se compliquer de souffrance fœtale voire de mort fœtale
D. peut se manifester par une douleur à la cicatrice en cas d'utérus cicatriciel
E. son traitement est toujours radical = hystérectomie
F. au toucher vaginal, on trouve une présentation haute et une rétraction du col
A. peut se compliquer d'une péritonite du post partum dans les cas négligés
B. Doit être évoquée devant une douleur à la cicatrice chez une patiente porteuse d’utérus cicatriciel
C. Peut être provoquée par l'utilisation abusive d'ocytocine au cours du travail
D. Peut se voir sur utérus sain
E. Son traitement est toujours l'hystérectomie
F. Négligée elle peut se manifester par une péritonite du post partum
G. elle peut être provoquée par l’utilisation excessive d’antispasmodiques
H. méconnue, elle peut se compliquer de péritonite du post partum
9- l’hématome décidual marginal :
A. peut provoquer une hémorragie au troisième trimestre
B. l'utérus est contracturé
C. le pronostic maternel est souvent mis en jeu
D. le pronostic fœtal est souvent mis en jeu
E. le diagnostic peut être rétrospectif à l'examen du placenta en post partum
10- l’hématome de benckiser :
A. se manifeste lors de la rupture de la poche des eaux par une hémorragie génitale indolore
B. le pronostic maternel est souvent mis en jeu
C. Le pronostic foetal est souvent mis en jeu
D. la présence d'un vaisseau praevia peut en être la cause
E. son diagnostic ne se fait jamais en rétrospectif par l'examen du délivre
11- L’hématome rétro péritonéal :
A. c'est une séparation du placenta normalement inséré de la plaque choriale après 20 SA
B. le tableau clinique est toujours symptomatique
C. il entraîne la mort fœtale et la CIVD (coagulopathie intravasculaire disséminée) dans le grade IIIB de
SHER
D. son diagnostic est souvent échographique
E. la césarienne est le traitement préconisé quand on pose le diagnostic chez une patiente à 36SA avec
grossesse évolutive en dehors du travail
12- les causes de saignement chez une femme enceinte au troisième trimestre
A. placenta praevia
B. rupture utérine
C. décollement du placenta normalement-inséré
D. rupture d'un vaisseau praevia
E. cancer du col méconnu
QR 1 :
13- Tableau clinique de l’hématome rétro-placentaire.
QR 2 :
14- L'Hématome rétro-placentaire : Clinique, Formes cliniques et traitement
QR 3 :
15- Complications de l'hématome rétro placentaire (HRP)

Pag 19:Ata e
QR 4 :
16- Citer les complications materno-foetales de l’hématome rétroplacentaire.
QR 5 :
17- Quelle serait votre conduite à tenir devant un HRP (Hématome rétro-placentaire) à 36
semaines d'aménorrhée. Argumentez votre réponse
QR 6 :
18- Citer les facteurs de risque du placenta praevia.
QR 7 :
19- Diagnostic clinique d’une rupture utérine dans sa forme typique (sur utérus sain).
Cas clinique 1:
Madame X enceinte de 38SA multipare avec antécédent d' accouchement par voie basse asymptomatique
/ vous consulte en dehors du travail, une échographie obstétricale est réalisée parle d'un placenta antérieur
type III de Bessis avec une distance orifice interne -bord inférieur du placenta =8mm la biométrie est
correcte par rapport à l'âge gestationnel,
20- Que proposez-vous ?
A. on attend l'entrée spontanée en travail et on accepte l'accouchement par voie basse
B. une césarienne
C. une embolisation sélective des artères utérines
D. on déclenche le travail par le misoprostol
E. on fait un décollement des membranes en vue de déclencher le travail

8.La menace d’accouchement prématuré: ( 12 questions )


1- Quelle est la définition de la menace d'accouchement prématuré :
A. contractions utérines irrégulières et douloureuses entre 22 et 37 semaines d'aménorrhée.
B. contractions utérines régulières et modifications cervicales avant 39 semaines d'aménorrhée.
C. contractions utérines avec métrorragies.
D. contractions utérines avec rupture prématurée des membranes.
E. modifications cervicales avant 37 semaines d'aménorrhée.
F. aucune des réponses n'est juste.
2- parmi les 5 itemes suivants lesquels sont les deux facteurs de risque les plus importants d'un
accouchement prématuré.
A. milieu défavorisé.
B. multiparité.
C. grossesse gémellaire.
D. antécédents de deux enfants nés prématurés.
E. âge maternel 30 ans.
3- Quelles sont parmi les pathologies ci-dessous les causes utérines d'accouchement prématuré :
A. Les malformations
B. Les fibromes endocervicales
C. Incompétence cervico-isthmique
D. Grossesse gémellaire
E. Hydramnios
4- Parmi les signes cliniques suivants, quels sont ceux à 34 SA qui sont le témoin d'une menace
d'accouchement prématuré :
A. Contractions utérines douloureuses
B. Métrorragies
C. Brûlures mictionnelles

Pag 20:Ata e
D. Modification du col
E. Rupture de la poche des eaux
5- parmi les contre-indications à la tocolyse en cas de menace d'accouchement prématuré
A. la prééclampsie
B. le diabète mal équilibré
C. le RCIU
D. les malformations léthales
E. la chorioamniotite
6- traitement par tocolytiques / La tocolyse en cas d'une menace d'accouchement prématuré:
A. a pour but de prolonger la grossesse jusqu'à terme.
B. sa durée ne doit pas dépasser 48h.
C. son intérêt est d'administrer la corticothérapie.
D. La prééclampsie est une contre-indication.
E. Les BÊTA MIMÉTIQUES sont les plus recommandés actuellement.
F. Effectuer une cure de corticothérapie anténatale
G. Durée de traitement ne doit pas dépasser 5 jours
H. Nécessite une hospitalisation avec surveillance
7- parmi les propositions suivantes concernant le traitement de la menace d'accouchement prématuré :
A. le but de la tocolyse est de prolonger la grossesse jusqu'à terme.
B. le but de la tocolyse est de donner la corticothérapie.
C. la durée ne doit pas dépasser les 48 heures.
D. il n'y a pas de contres indications à la tocolyse
E. les progestatifs sont les plus utilisés.
8- La menace d'accouchement prématuré :
A. Peut se traduire par des contractions utérines douloureuses avec modification cervicale
B. l'échographie endovaginale est l'examen clé pour le diagnostic
C. la tocolyse est toujours la règle
D. la corticothérapie a intérêt de prolonger la grossesse
E. Peut être la conséquence d'une pré éclampsie
QR 1 :
9- Citez les étiologies de la menace d'accouchement prématurée
QR 2 :
10- Facteurs de risque et diagnostic d’une menace d’accouchement prématuré.
QR 3 :
11- Définition et diagnostic de la menace d’accouchement prématuré.
QR 4 :
12- Menace d'accouchement prématurée : Contre-indications de la tocolyse.

9.La rupture prématurée des membranes: ( 11 questions )


1- Parmi les étiologies de la rupture prématurée des membranes / RPM :
A. Infections cervico-vaginales
B. Béance ou incompétence cervico-isthmique
C. Placenta prævia
D. Amniocentèse
E. Présentation siège
F. Les grossesses gémellaires GG
G. La sténose cervicale hernie ??

Pag 21:Ata e
H. Les infections urinaires
I. La béance cervico-isthmique
J. La disproportion foeto-pelvienne pas directe
K. La ponction d'hydramnios
2- Le diagnostic de la rupture prématuré des membranes :
A. Est essentiellement clinique
B. Se base sur l'échographie
C. Doit se faire toujours par la mesure de PH vaginal
D. Impose une amnioinfusion amnioscopie
E. Impose une hospitalisation vue le risque de complications
3- Devant une chorio-amniotite confirmée :
A. Une hospitalisation s'impose
B. Un bilan infectieux fait d'un prélèvement vaginal (PV) et d'un examen cytobactériologique des urines
(ECBU) doit être démarré en urgence.
C. Une antibioprophylaxie par voie orale à base d'amoxicilline doit-être démarrée une fois que les
prélèvements sont faits curative
D. L'antibiothérapie préventive doit être administrée par voie parentérale et doit -être à large spectre
E. Une corticothérapie pour une accélération de la maturation pulmonaire fœtale est indiquée si la grosses
est estimée à 32 SA AVANT 34 SA
4- L'infection intra utérine :
A. Est posée devant la fièvre maternelle associée à deux de ces signes : tachycardie foetale, sensibilité
utérine, ou liquide purulent
B. Peut entraîner une mort foetale et/ ou maternelle
C. Impose une antibiothérapie parentérale à large spectre
D. Impose une extraction foetale si elle a lieu à terme
E. Nécessite un traitement par une amoxicilline par voie orale
F. Est une complication de la rupture prématurée des membranes
G. A comme signe majeur la fièvre chez la mère
H. Indique la tocolyse C’est une CI
I. Peut mettre en jeu le pronostic maternel
J. Une antibiothérapie par voie parentérale s’impose
K. est une complication mortelle aussi bien pour la mère que le fœtus
L. est suspectée devant un liquide purulent
M. parmi ses signes une sensibilité utérine
N. Nécessite une antibiothérapie parentérale curative
O. Peut entraîner une mort foetale in utéro
P. Doit être cherché devant toute rupture prématurée des membranes
Q. Est une indication à la tocolyse avant 32 semaines d’aménorrhée 34sa
Clinique puis prelevement pour examen bact
R. Doit être diagnostiquée sur prélèvement du liquide amniotique pour PEC appropriee
5- les complications de la rupture prématurée des membranes sont / RPM :
A. La prématurité
B. L'infection intra utérine
C. Procidence du cordon
D. Présentation dystocique
E. Infection du post partum chez la mère
F. Endométrite
G. Hypoplasie pulmonaire si elle est survenue après 37 SA avant
H. Prématurité si survenue avant terme
I. Les déformations fœtales par compressions
J. La septicémie

Pag 22:Ata e
K. Un taux élevé de césarienne
L. La chorioamniotite
M. L’hypoplasie pulmonaire
N. Compressions funiculaires acidose plasmatique ??
6- (Dans / Lors de ) la rupture prématurée des membranes:
A. La patiente accuse une perte soudaine d'un liquide eau de roche en dehors du travail
B. Le diagnostic est basé sur l'échographie
C. L'étiologie la plus fréquente est l'infection cervicovaginale et urinaire
A. La tocolyse est obligatoire dans tous les cas
B. Une hospitalisation s'impose quelques soit l'âge gestationnel
C. La surveillance est clinique et biologique et electro-cardiographique
D. Le risque d'infection intra-utérine est nul à terme
E. La tocolyse est indiquée si contractions avant terme et pas de contre-indications
F. L'antibiothérapie préventive n'est pas nécessaire délai de RPM > 12h obligatoire
G. le diagnostic est souvent clinique
H. l'infection cervicovaginale est l'étiologie la plus importante
I. la tocolyse est obligatoire
J. la prématurité est une complication si la rupture des membranes avant terme
K. la prise en charge dépend de l'âge gestationnel
L. L'extraction fœtale s'impose pas toujours ?
M. La prématurité est une complication
N. Les déformations plastiques fœtales sont possibles
O. Est fréquente en consultation prénatale
P. Est de diagnostic échographique
Q. Rarement nécessite des examens para cliniques pour le diagnostic positif
R. Peut entraîner un sepsis maternel
S. La conduite à tenir est la même quel que soit l’âge gestationnel l’hospitalisation est indiquée quelle que soit l’âge
T. Peut se compliquer de chorioamniotite gestationnel
U. Indique une extraction en urgence
V. A comme étiologie les infections cervico-vaginales
W. La tocolyse est toujours indiquée quelque soit l'âge
X. La corticothérapie est indiquée si avant terme en l'absence de contre-indications
Y. Nécessite une antibiothérapie curative si chorioamniotite
Z. Est une rupture de l'amnios et du chorion avant le début du travail
7- (Dans / Lors de ) la rupture prématurée des membranes ( suite ):
A. Se manifeste par une perte soudaine d'un liquide eau de roche, chaud, abondant et continu
B. Les deux risques majeurs de la RPM sont la prématurité et la chorio-amniotite
C. La chorio-amniotite n'est pas en rapport avec la RPM
D. est parfois secondaire à une infection cervico-vaginale
E. se complique de rupture utérine ??
8- La rupture prématurée des membranes
A. Est fréquente en consultation prénatale
B. Est de diagnostic échographique
C. Rarement nécessite des examens para cliniques pour le diagnostic positif
D. Peut entraîner un sepsis maternel
E. La conduite à tenir est la même quel que soit l’âge gestationnel
QR 1 :
9- Quelles sont les conséquences de la rupture prématurée des membranes ?

Pag 23:Ata e
QR 2 :
10- Conduite à tenir chez une femme enceinte à terme qui présente une rupture prématurée des
membranes.
QR 3 :
11- Prise en charge de la rupture des membranes chez une femme enceinte d'une grossesse avant
terme

10.La pré-éclampsie: ( 21 questions )


1- Quels sont les facteurs de risque ci-dessous ceux qui font redouter une hypertension pendant la
grossesse
A. L'obésité
B. Age > 18 ans
C. ATCD toxémie gravidique
D. Grossesse gémellaire
E. Une infection urinaire
2- la physiopathologie pré éclampsie :
A. Le défaut de la placentation est à l'origine des modifications vasculaires
B. Les complications maternelles et fœtales sont dues à l'atteinte de l'endothélium vasculaire
C. La perturbation de l'expression des substances angiogéniques joue un rôle prépondérant
D. Ischémie placentaire est à l'origine d'atteinte seulement fœtale
E. HTA est à l’origine de la prééclampsie
3- Quels sont les dangers encourus par le fœtus en cas de pré éclampsie ?
A. Une naissance prématurée
B. Une malformation
C. Une mort fœtale in utéro
D. Un retard de croissance
E. Un avortement au 1er trimestre
4- les recommandations les plus récentes reconnaissent le diagnostic de la pré éclampsie même sans
protéinurie en cas d'HTA associée à des signes d'insuffisance organique maternelle :
A. Thrombopénie
B. Atteinte rénale ou hépatique
C. OAP
D. Atteinte neurologique
E. Toutes les réponses sont justes
5- La prééclampsie est dite sévère si :
A. la TA supérieure à 16/11.
B. présence des épistaxis.
C. protéinurie est supérieur à 2g /24 h
D. présence des douleurs thoraciques.
E. créatinine est supérieure à 90 pmol/l.
6- Quels sont / Parmi les critères d'extraction fœtale en cas de pré éclampsie sévère :
A. Index de résistance diminué au niveau de l'artère ombilicale
B. Onde A négative au spectre du doppler veineux
C. Index de résistance élevé au niveau des artères utérines
D. Décélérations variables à l'enregistrement du rythme cardiaque fœtal
E. Score de Manning à 8
F. Protéinurie > 5g
G. TA > systolique ≥ 16 et diastolique ≥11

Pag 24:Ata e
H. Une éclampsie
I. Une insuffisance rénale
J. Une RCIU < 28 SA
K. hématome rétroplacentaire.
L. thrombopénie <100.000.
M. douleurs épigastriques.
N. protéinurie >à 5 g /24h
O. HTA non contrôlable
P. HRP
7- le traitement de la prééclampsie repose sur :
A. hospitalisation.
B. antihypertenseurs.
C. diurétiques.
D. anticonvulsivants
E. régime normo sodé.
8- la prise en charge médicale de la prééclampsie consiste à prescrire :
A. les antihypertenseurs type alpha méthyl dopa
B. les anticonvulsivants
C. les diurétiques
D. les mesures hygiéno diététiques
E. les inhibiteurs de l'enzyme de conversion
9- la prise en charge obstétricale de la prééclampsie :
A. une prééclampsie sévère au-delà de 34 semaines d'aménorrhée est une indication à l'arrêt de la
grossesse.
B. la souffrance fœtale chronique est une indication à l'arrêt de la grossesse quelque soit l'âge
gestationnel.
C. HTA supérieur ou égale à 16/11 non contrôlée est une indication à l'arrêt de grossesse.
D. une thrombopénie inférieure à 100.000 est une indication à l'extraction.
E. l'insuffisance rénale est une indication à l'extraction après corticothérapie
F. hellp syndrome est une indication à l'extraction après corticothérapie.
10- Une douleur épigastrique lors d'une pré éclampsie doit faire évoquer :
A. Hématome sous capsulaire du foie
B. Hellp syndrome
C. Hématome Rétro placentaire
D. Pancréatite
E. Menace d'accouchement prématuré
11- La prééclampsie :
A. est une pathologie plus fréquente chez la primipare.
B. se définit par une TA supérieure à 14/9.
C. est une maladie endothéliale liée au placenta.
D. les céphalées sont un signe de sévérité.
E. la protéinurie est toujours présente.
F. Est Une HTA qui apparaît avant 20 SA avec Protéinurie positive
G. Est Une complication d'HTA chronique
H. Est une pathologie à haut risque surtout maternelle
I. Se définit par une HTA > à 16/11
12- Lors d'une prééclampsie sévère :
A. L'extraction fœtale est la règle quelque soit l'état maternel
B. L'attitude est conservatrice avant 34 SA
C. L'arrêt de grossesse dépend surtout du pronostic maternel

Pag 25:Ata e
D. La corticothérapie est systématique quelque soit l'état materno-foetal
E. Le Helpp syndrome évolutif est une indication d‘extraction immédiate
QR 1 :
13- Classification de l'hypertension artérielle et grossesse
QR 2 :
14- Prééclampsie Physiopathologie :
-Expliquez par un texte les différents stades de la physiopathologie.
-Expliquer en détail la physiopathologie de la pré-éclampsie.
-Le mécanisme physiopathologique de la pré éclampsie
-Expliquer la physiopathologie de la pré éclampsie
QR 3 :
15- Citer les signes de gravité de la pré éclampsie.
QR 4 :
16- Critères d’extraction en cas de pré-éclampsie sévère.
QR 5 :
17- Critères d'arrêt de grossesse en cas de pré éclampsie sévère.
Cas clinique 1:
18- Patiente de 40 ans, multipare consulte pour suivi de grossesse à 18 une HTA découverte. A 28 SA
examen biologique a révélé une protéinurie sup >300mg Comment classez-vous cette HTA ?
A. Prééclampsie
B. HTA gravidique transitoire
C. HTA chronique
D. Une prééclampsie surajoutée à une HTA chronique
Cas clinique 2:
Mme FZ âgée de 28 ans primigeste sans ATCD pathologiques particuliers, consulte pour suivie de
grossesse estimée à 32 SA et chez qui l'examen clinique trouve TA=15 systolique/10 diastolique avec aux
BU=2 croix d'albuminurie, le reste de l'examen est sans particularité.
19- Comment peut-on classer cette tension artérielle ?
A. Une HTA gravidique
B. Une pré éclampsie sévère
C. Une pré éclampsie modérée
D. Une pré éclampsie surajoutée à une HTA
E. Une HTA gravidique associée à une infection urinaire
20- Pour étayer le diagnostic la patiente a été hospitalisée pour surveillance et bilan, sa TA est restée
entre 15/10. l'examen clinique a objectivé une douleur épigastrique en barre, réflexes ostéotendineux
vifs, à l'examen biologique une cytolyse et protéinurie de 24h >3g
A. On retient le diagnostic d'une pré éclampsie sévère
B. La surveillance peut se faire en ambulatoire
C. Démarrer un traitement antihypertenseur
D. Prescrire du sulfate de magnésium
E. Faire RCF quotidien
21- Au cours de la surveillance la patiente a présenté des signes neurosensoriels avec une insuffisance
rénale, une thrombopénie à 80000 et l’échographie a objectivé un RCIU avec doppler ombilical dont
l'indexe de résistance est augmenté : Devant ce tableau quelle est votre CAT ?
A. Extraction en urgence
B. Donner corticothérapie, Extraction après 48 heures
C. Refaire bilan 48 heures après

Pag 26:Ata e
D. RCF biquotidien
E. Attendre 34 SA pour extraction

11.La présentation de siège: ( 10 questions )


1- Les facteurs favorisant la présentation du siège :
A. Nulliparité
B. Utérus cicatriciel
C. Fibrome utérin
D. Hydramnios
E. Hypotrophie fœtale
2- Indications absolues de la césarienne au cours de la présentation de siège :
A. macrosomie fœtale
B. utérus multicicatriciel
C. déflexion primitive de la tête
D. anomalie du bassin
E. placenta praevia
3- L'accouchement par voie basse en cas de présentation de siège :
A. il faut rompre les membranes en début de travail
B. l'épisiotomie est presque systématique
C. la manœuvre de LOVSET est pratiquée pour l'extraction des bras
D. la manœuvre de MAURICEAU est pratiquée pour l'extraction de la tête
E. la technique de VERMELIN consiste à une abstention jusqu'à l'apparition des omoplates
4- Quelle(s) est (sont) l’ (les) anomalie (s) de l'accouchement de la présentation siège
A. Relèvement des bras
B. Rotation dos en arrière
C. Rétention de la tête derrière
D. Dystocie dynamique
E. Procidence du cordon
5- La présentation de siège :
A. Est fréquente
B. Est une présentation dystocique
C. Le siège complet est le plus fréquent
D. Le repère est l'anus
E. L'accouchement est toujours par césariennes
F. siège complet représente le 1/3 des cas
G. le repère est le pli interfessier
H. son diagnostic ne peut se faire qu' au cours du travail
I. la version par manœuvre externe est a faire a 32 SA
J. présentation longitudinale
K. présentation eutocique à la limite de la dystocie
L. la césarienne est toujours indiquée
M. la version par manœuvre externe est pratiquée au cours du travail
N. Est une présentation dystocique à la limite de l'eutocie
O. le siège décomplété est l'apanage de la primipare
P. Son repère est la fesse
Q. Son diamètre bitrochontérien mesure 12 cm
R. Le siège complet est un élément de mauvais pronostic pour l'accouchement par voie basse
S. les causes d'origine foetales sont dominées par les malformations
T. c'est une indication absolue de césarienne

Pag 27:Ata e
U. la version par manoeuvre externe doit être pratiquée en début de travail
V. la technique de VERMELIN doit être privilégiée
W. Rotation du dos en avant est gravissime pour le fœtus
X. En cas de rétention de la tête derrière on pratique la manœuvre de MAURICEAU
Y. Pour le dégagement des épaules on pratique la manœuvre de BRACHT
QR 1 :
6- Citez les causes maternelles de la présentation du siège
QR 2 :
7- Citer les étiologies de la présentation de siège.
QR 3 :
8- Apport de l’échographie en cas de présentation de siège.
Cas clinique 1:
Mme F âgée de 18 ans, primigeste grossesse non suivie consulte aux urgences gynéco-obstétriques pour
accouchement d’une grossesse estimée à terme (DDR imprécise) , Examen objective HU=32cm
BCF positifs et réguliers, des contractions utérines présentes 5CU/10min TV : col effacé à 100% dilaté à 2
doigts larges, présentation de siège
9- Qu’allez-vous rechercher à l'examen clinique ?
10- Quel bilan paraclinique vous allez demander ?

12.Présentations défléchies et transverses : ( 20 questions )


12.1-Présentations défléchies
1- Dans la présentation de la face, au toucher vaginal, on sent :
A. le menton
B. les orbites
C. la petite fontanelle
D. la grande fontanelle
E. le nez
2- dans la présentation de la face, le fœtus se présente au détroit supérieur par :
A. le diamètre occipito frontal
B. le diamètre syncipito mentonnier
C. le diamètre sous occipito frontal
D. le diamètre sous mento bregmatique
E. le diamètre sous occipito bregmatique
3- (En cas de) présentation de face:
A. le repère est le nez
B. au toucher vaginal, on ne touche pas la fontanelle antérieure
C. l'accouchement par voie basse est possible dans les variétés postérieures car la tête fœtale se
désolidarise du tronc
D. un bassin maternel rétréci peut en être la cause
E. la césarienne est toujours indiquée en cas de variété antérieure
F. est une déflexion moyenne
G. repère est le bregma
H. au toucher vaginal on perçoit la grande fontanelle, front, nez, et le menton
I. le diamètre est le présternosyncipital dans les variétés postérieures
J. l'accouchement est possible dans les variétés antérieures
K. au toucher vaginal, on ne touche jamais la grande fontanelle

Pag 28:Ata e
L. L'accouchement par voie basse n'est possible que s'il y a une désolidarisation de la tête et du tronc
foetal lors des variétés antérieures
M. le fœtus se présente au détroit supérieur par le diamètre sous mento bregmatique
N. la césarienne est toujours indiquée
O. Les tumeurs cervicales fœtales peuvent en être responsables
P. Dans les variétés postérieures, la césarienne est indiquée
Q. Dans les variétés antérieures, le diamètre principal persistant est le préstérnosyncipital
4- dans la présentation de front :
A. le repère est le front
B. Le diamètre de la présentation est le syncipito mentonnier
C. au toucher vaginal, on ne touche jamais la grande fontanelle
D. la césarienne est toujours indiquée chez une patiente à terme de poids foetal normal
E. méconnue, elle peut évoluer vers la rupture utérine
F. L’accouchement par voie basse est impossible chez une patiente à terme avec un poids fœtal normal
G. Peut se compliquer de souffrance fœtale aiguë si diagnostic tardif au cours du travail
5- Dans la présentation de bregma , au toucher vaginal on sent :
A. le menton
B. le nez
C. la petite fontanelle
D. la grande fontanelle
E. la bouche
6- Dans la présentation du bregma le fœtus se présente au détroit supérieur par :
A. le diamètre occipito frontal
B. le diamètre syncipitomentonnier
C. le diamètre sous mento bregmatique
D. le diamètre sous occipito bregmatique
E. le diamètre présterno syncipital
7- La présentation de bregma :
A. le repère est la petite fontanelle
B. la déflexion est légère 1/3
C. le diamètre de la présentation est I occipito frontal
D. le travail est souvent long
E. le risque est élevé de déchirures périnéales et sphinctériennes
8- (Concernant ) les présentations défléchies :
A. le nez est le repère de la présentation de face
B. au toucher vaginal pratiqué au cours du travail, la présentation de bregma est diagnostiquée si on
touche la petite fontanelle postérieure au centre de présentation
C. la césarienne est Indiquée dans les variétés antérieures de la face
D. la présentation de front est dystocique
E. le diamètre syncipito-mentonnier est le diamètre de la présentation du front
F. Le repère de la présentation de front est le nez
G. La césarienne est indiquée en cas de présentation de front à terme fixée
H. Le repère de la présentation de bregma est le menton
I. En cas de présentation de bregma fixée, on perçoit le nez et la petite fontanelle
QR 1 :
9- Quelles sont les repères des présentations suivantes : Sommet, Face, Bregma et Front
QR 2 :
10- Quels sont les repères et diamètres des présentations suivantes : Sommet, Face, Bregma et Front

Pag 29:Ata e
QR 3 :
11- Quels sont les éléments de la tête fœtale qu'on ne doit pas toucher dans la présentation bregma.
QR 4 :
12- Quelles sont les indications de la césarienne dans les présentations défléchies
Cas clinique 1:
13- Mme Y multipare est admise à la salle d'accouchement en phase active du travail au toucher
vaginal vous percevez : le front, les arcades orbitaires, le nez, la bouche le menton en iliaque gauche
postérieure, la présentation étant fixée :
De quelle présentation s'agit-il ? De quelle variété? Acceptez-vous l'accouchement par voie basse si tous
les paramètres obstétricaux sont normaux ? argumentez

12.2-Présentations transverses :
14- l'épaule méconnue .
A. la version par manœuvre interne doit être pratiquée
B. les membranes sont intactes
C. succède à l'épaule négligée
D. le fœtus est vivant
E. peut se compliquer de rupture utérine en cas de retard de prise en charge
15- En cas de / Dans l’épaule négligée:
A. elle succède à l'épaule méconnue
B. le foetus a négativé
C. il existe une infection ovulaire
D. la poche des eaux est toujours intacte
E. L'accouchement par voie basse est possible
F. la version par manœuvre interne doit être pratiquée
G. les membranes sont Intactes
H. le fœtus est vivant
I. peut se compliquer de rupture utérine en cas de retard de prise en charge
J. peut évoluer vers l'épaule méconnue
K. peut évoluer vers la rupture utérine
L. peut se compliquer d'une Inertie utérine
M. La femme est en travail
N. La césarienne est indiquée
O. L'utérus est toujours mou
P. la parturiente peut être en dehors du travail
16- la version par manoeuvre externe est contre indiqué en cas :
A. Bassin rétréci
B. utérus quadruplement cicatriciel
C. grossesse gémellaire
D. refus de la patiente
E. placenta totalement recouvrant
17- la version par manœuvre interne est indiquée :
A. idéalement sur présentation transverse du 2ème jumeau
B. B .les membranes doivent être intactes
C. lorsque la dilatation est à 3 cm
D. lorsqu' il y a une forte suspicion de macrosomie
E. chez une patiente porteuse de bassin rétréci pour éviter la césarienne

Pag 30:Ata e
18- la version par manœuvre interne :
A. l'indication idéale de sa réalisation est le deuxième jumeau en présentation transverse
B. les membranes doivent être rompues
C. la dilatation doit être complète
D. son but est de transformer la présentation transverse en siège suivie d'une grande extraction
E. peut se faire quand le poids fœtal estimé à terme est normal et que le bassin est rétréci
19- la présentation transverse:
A. la hauteur utérine est inférieure à l'âge gestationnel présumé
B. au toucher vaginal, l'excavation est vide et la présentation est haute
C. la version par manœuvre interne peut être pratiquée chez la multipare en début de travail
D. est rarement dystocique
E. la version par manœuvre externe est contre-indiquée en cas de bassin rétréci
F. le repère est la main
G. à l'examen clinique ,la hauteur utérine est inférieure à l'âge gestationnel présumé (pour un poids et
liquide amniotique normaux par rapport à l'âge gestationnel)
H. méconnue au cours du travail chez une patiente à terme, peut se compliquer de rupture utérine
I. la version par manoeuvre interne est une option chez une patiente en début du travail avec membranes
rompues
J. est eutocique
K. son repère est l'acromion
L. à l'examen clinique, l'utérus est étalé transversalement
M. la version par manoeuvre externe peut être une solution si le bassin est rétréci
N. la seule indication raisonnable de la version par manoeuvre interne reste la présentation transverse sur
2ème jumeau
O. l’examen clinique objective une hauteur utérine inférieure à l’âge gestationnel et une excavation vide
P. dans l'épaule négligée, le fœtus est toujours vivant
Q. la rupture utérine est la principale complication si on accepte l'accouchement par voie basse chez une
femme enceinte à terme
R. le repère de la présentation est L'acromion
S. La hauteur utérine est inférieure à l'âge gestationnel présumé en dehors d'un hydramnios ou de
macrosomie
T. A l'inspection, l'utérus est étalé longitudinalement
U. Le pôle mou est palpé dans le pelvis
V. Le dos du fœtus est à droite
Cas clinique 2:
Madame I se présente dans la maternité (niveau 3) ou vous travaillez : elle est G5P4 , tous les
accouchements se sont déroulés par voie basse , sa grossesse actuelle est bien suivie elle est enceinte de
39 SA , la HU = 29 cm, présentation transverse dos en haut a membranes intactes avec une dilatation
complète. Poids estimé à I échographie a 2900 grammes .
20- Que proposez vous
A. une césarienne
B. une version par manœuvre interne
C. une version par manœuvre externe
D. un accouchement par voie basse
E. une extraction instrumentale

Pag 31:Ata e
13.La délivrance normale et pathologique: ( 22 questions )
1- La délivrance :
A. Doit être dirigée de préférence chez toute accouchée
B. Nécessite une surveillance rigoureuse
C. Doit être artificielle si absence de délivrance au bout de 10mn
D. Compliquée d'hémorragie, nécessite une laparotomie de première intention
E. Nécessite l'expression utérine avec traction sur le cordon juste après l'expulsion du foetus de préférence
F. Nécessite une surveillance clinique stricte
G. Peut être spontanée
H. Nécessite une traction sur le cordon ombilical
I. Doit être de préférence dirigée
J. Doit être artificielle si elle n’a pas eu lieu au bout de 15mn
K. Est une étape très importante du travail
L. Est toujours artificielle
M. Ne nécessite aucune surveillance
N. La délivrance artificielle doit être systématique
O. La délivrance dirigée consiste à injecter 5UI de synthocyno en intramusculaire à dilatation complète
avec présentation fixée
P. En l'absence de décollement placentaire rapide il faut faire une traction sur le cordon
Q. La révision utérine est contre indiquée en cas utérus cicatriciel
R. La découverte d'un placenta décoronné impose une révision utérine
2- Au cours de la délivrance :
A. La phase de repos physiologique correspond à la phase de «rémission clinique
B. L'enchatonnement du placenta donnera un hématome rétro-placentaire pathologique
C. L'expulsion du placenta selon le mode de Duncan (Expulsion du placenta en premier par la face
maternelle) signifie que le placenta était bas inséré (Placenta, prævia).
D. La ligature vivante des artères spiralées nécessite l'existence d'une bonne contraction utérine avec un
globe de sécurité.
E. Le risque en cas d'absence du globe de sécurité est l'hémorragie du post partum .
F. La délivrance spontanée ne nécessite aucune intervention de la part de l'accoucheur
G. La délivrance naturelle est préférée à la délivrance spontanée
H. Avant de faire une délivrance naturelle, il faut s'assurer que le placenta est décollé
I. Si le placenta n'est pas décollé il faut tirer sur le cordon ombilical jusqu'à décollement complet du
placenta.
J. Si le placenta n'est pas décollé, il faut faire une délivrance artificielle.
13.1- La délivrance normale :
3- Au cours de la délivrance physiologique, il faut :
A. respecter la phase de rémission
B. faire des expressions utérines dès l’expulsion du fœtus
C. surveiller le saignement
D. faire une traction sur le cordon au cours de la phase de rémission
E. privilégier la délivrance dirigée
4- Lors de la délivrance spontanée
A. Il ne faut pas tirer sur le cordon ombilical
B. Il faut faire des expressions sur le fond utérin
C. Aucune intervention n’est réalisée
D. L'expulsion du délivre est plus lente que la naturelle
E. Nécessite une injection d’ocytociques.
F. Il faut tirer sur le cordon ombilical

Pag 32:Ata e
G. Expulsion du délivre est lente
H. Est préférée chez tout accouchée:
5- La délivrance naturelle :
A. Ne nécessite aucune intervention de la part de l’accoucheur
B. Elle est lente et à risque hémorragique
C. Elle est préférable à la délivrance spontanée .
D. Elle nécessite une expression sur le fond utérin et une traction sur le cordon ombilical
E. elle nécessite une injection de 5 Ui d’ocytocine dès le dégagement de l'épaule antérieure du fœtus.
6- La délivrance normale naturelle :
A. Est préférée à la délivrance spontanée
B. Nécessite une expression lors de la phase de l’émission
C. L’examinateur doit vérifier s’il y a eu décollement placentaire
D. Nécessite une injection de syntocinon au dégagement de 1 épaule antérieur du nouveau né
E. Nécessite une surveillance du saignement après 1 expulsion du délivre
7- La délivrance dirigée :
A. renforce les contractions utérines dès l'expulsion foetale
B. Diminue le risque de l'hémorragie de la délivrance
C. Est une prescription de tocolytiques
D. Nécessite une traction forcée du cordon ombilical
E. Est préféré chez toute accouchée
F. permet de raccourcir la délivrance
G. est une injection d'ocytocine dés l'engagement de la tête
H. augmente le risque d'hémorragie
I. Prévient l'hémorragie du post-partum par inertie
J. Se base sur la prescription d'inhibiteur calcique
K. Se fait manuellement
L. Se fait par injection intramusculaire d'ocytocine.
8- Lors de la délivrance dirigée
A. il ne faut pas tirer sur le cordon ombilical
B. il faut faire des expressions sur le fond utérin avant décollement
C. elle se fait avant l'engagement du fœtus
D. nécessite une injection d'ocytociques.
E. Elle est préférée chez toute accouchée
9- Lors de la délivrance, ce qu’il ne faut pas faire :
A. Tirer sur le cordon
B. Respecter la physiologie
C. Négliger les membranes
D. Abandonner la femme
E. Privilégier la délivrance dirigée
QR 1 :
10- Physiologie de la délivrance normale.
QR 2 :
11- Décrire les différentes modalités de la délivrance.
QR 3 :
12- Délivrance dirigée: intérêt ,modalités et indications. bénéfices

Pag 33:Ata e
13.2- La délivrance pathologique :
13- l'inertie utérine :
A. Se manifeste cliniquement par une hémorragie du post-partum avec absence de globe de
sécurité
B. L'absence de globe de sécurité n’est pas en rapport avec l'inertie utérine
C. Peut-être favorisée par une hauteur utérine excessive à 36 cm au cours de la grossesse
D. Sa prise en charge passe par une perfusion de l'ocytocine après avoir fait une révision utérine
E. En cas d'échec au traitement médical les ligatures vasculaires peuvent-être indiquées
14- Les étiologies d’une délivrance pathologique
A. Rétention placentaire partielle
B. Inversion utérine
C. Placenta accreta
D. Les coagulopathies
E. Si le diagnostic et la prise en charge se font rapidement, le pronostic est bon
15- Parmi les étiologies de l'hémorragie du post partum :
A. Inertie utérine
B. Rétention placentaire
C. Déhiscence de la cicatrice de césarienne
D. Placenta accreta
E. Délivrance dirigée
F. L’atonie utérine
G. Rétention complète du placenta
H. Inversion utérine
I. Un cotylédon aberrant
J. la rétention placentaire partielle
K. les déchirures cervico-vaginales
L. placenta praevia
M. La rupture utérine
16- Si le diagnostic d'une hémorragie du post partum est posé, il faut
A. évaluer les fonctions vitales
B. opérer immédiatement la patiente
C. une révision utérine
D. un examen sous valves
E. traiter la cause de cette hémorragie
F. Examen du délivre et révision utérine
G. Traiter par utérotoniques si inertie utérine
H. Opérer la patiente si le diagnostic est posé
17- En cas d’hémorragie du post partum il faut :
A. Évaluer les fonctions vitales
B. Révision utérine si placenta déjà expulsé
C. Examen sous valves
D. Tocolytiques si inertie utérine
E. Faire une hystérectomie d'hémostase
18- La prise en charge de l’hémorragie du post partum :
A. Nécessite Une révision utérine
B. Nécessite Un examen sous valves
C. Nécessite Une chirurgie d’emblée
D. Nécessite Une perfusion de tocolytiques
E. Nécessite Des utérotoniques si atonie utérine

Pag 34:Ata e
F. Nécessite Une évaluation des fonctions vitales
G. Nécessite Une perfusion utérotoniques si inertie utérine
H. Nécessite Une hystérectomie systématique
I. Est multidisciplinaire
J. Nécessite un examen sous valves et une révision utérine
K. Une laparotomie s'impose
L. Nécessite l'utilisation des tocolytiques si atonie utérine
M. Si le diagnostic et la prise en charge sont rapides, le pronostic est bon
N. Nécessite une perfusion des utérotoniques si atonie utérine
O. Nécessite une laparotomie d'emblée
P. Nécessite une surveillance rigoureuse
19- En cas d’ / Une hémorragie du post-partum :
A. Est la première cause de mortalité maternelle au Maroc
B. Peut-être favorisée par un traitement anticoagulant
C. Une délivrance dirigée (Délivrance assistée) est l'une des causes de l'hémorragie du post-partum
D. Peut-être causée par un cotylédon aberrant après la délivrance
E. Le placenta prævia peut donner une hémorragie du post-partum après une délivrance dirigée et malgré
l'existence d’un bon globe de sécurité
F. Peut-être secondaire à des anomalies placentaires
G. L'inertie utérine est une cause fréquente de l’HPP
H. Peut-être prévenue par une délivrance dirigée
I. Est une urgence obstétricale
J. Une révision utérine s'impose si placenta déjà expulsé
K. Un examen du col sous valves est nécessaire
L. Une perfusion de tocolytiques est démarrée dès le diagnostic
M. Une laparotomie s'impose en cas de rupture utérine
N. Les utérotoniques trouvent leur indication si inertie utérine
O. Nécessite une prise en charge rapide et efficace
P. Nécessite une révision utérine et un examen sous valves
Q. Est traitée par hystérectomie si hémorragie plus de 1 litre
R. Est traitée par les ocytociques si atonie utérine
S. Se traite en premier lieu par une ligature des artères hypogastriques
T. Est une complication mortelle
U. Nécessite une prise en charge médico chirurgicale
V. A comme étiologie la plus fréquente « inertie utérine »
W. Est traitée essentiellement par hystérectomie d'hémostase
X. Est prévenue par la délivrance spontanée
QR 1 :
20- Définition de l'hémorragie de la délivrance
QR 2 :
21- Les facteurs favorisants d'une hémorragie de la délivrance
QR 3 :
22- Hémorragie du post partum : Définition et facteurs favorisants

13.L’accouchement normal: ( 13 questions )


1- quel (s) est (sont) le(s) diamètre(s) qui délimite (ent) le détroit supérieur ?
A. Diamètre bisciatique
B. Diamètre promonto rétro pubien

Pag 35:Ata e
C. Diamètre transverse médiane
D. Diamètre transverse
E. Diamètre bi ischiatique
2- L'accouchement se fait grâce aux contractions utérines, celles-ci sont :
A. Involontaires
B. Rythmées
C. D'intensité variable
D. Douleurs au cours du travail
E. Responsables de la formation poche des eaux
3- le rôle de la contraction utérine :
A. poussée du fœtus vers la région segmento cervicale
B. effacement et dilatation du col utérin
C. ampliation de la poche des eaux
D. ampliation du segment inférieur
E. aucune proposition n'est juste
4- les contractions du travail :
A. sont irrégulières
B. leur intensité est stable
C. le siège de la douleur est le dos et l'abdomen
D. l'intervalle entre les contractions est long
E. entraînent l'effacement et la dilatation du col
5- L'engagement de la tête fœtale :
A. Est le franchissement du détroit supérieur par le plus grand diamètre de la tête fœtale
B. Au toucher VAGINAL la tête est amorcée
C. Le figue de FARABEUF est positif
D. Est précédé par flexion de la tête fœtale
E. Impossible sur un bassin rétrécit
6- on dit qu'une présentation est engagée lorsque son plus grand diamètre :
A. Est en dessus du détroit supérieur
B. A franchi le détroit supérieur
C. A franchi le détroit moyen
D. A franchi le détroit inférieur
E. A franchi la vulve
7- En cas de présentation de sommet le repère est :
A. Le nez
B. La bouche
C. Le front
D. La petite fontanelle
8- la présentation de sommet :
A. présentation fréquente en variété postérieure
B. son repère est la grande fontanelle
C. l'accouchement par voie basse est toujours possible
D. dans sa variété antérieure la tête est bien fléchie
E. son engagement est précédé par des éléments d amoindrissement
F. Le toucher vaginal perçoit la grande fontanelle et la scissure médiane
G. Le toucher vaginal perçoit la petite fontanelle et la scissure médiane
H. Le toucher vaginal perçoit la racine du nez
I. Le toucher vaginal perçoit le nez, la bouche et le menton
J. Le toucher vaginal perçoit les fesses ou les pieds

Pag 36:Ata e
QR 1 :
9- Définir l'engagement de la présentation.
QR 2 :
10- Citer les étapes de l'accouchement normal.
QR 3 :
11- Les étapes de l'accouchement normal en présentation du sommet
QR 4 :
12- Quelle est la variété la plus fréquente dans la présentation de sommet ?
QR 5 :
13- Expliquer les phénomènes d’amoindrissement dans la présentation de sommet.

14.La souffrance fœtale aiguë: ( 5 questions )


1- La souffrance fœtale aigue / SFA :
A. est une perturbation grave de l'oxygénation foetale survenant au cours de la grossesse
B. son diagnostic de confirmation est une tachycardie de >160bmn soit tachycardie soit bradycardie inf a 110 bpm
C. peut être due à une dystocie mécanique au dela de 10 min soit deceleration
=ralentissement
D. se traduit par une acidose fœtale Sang sur scalp
E. à la naissance, le score d’ APGAR est pathologique inf 7-5 mn
F. Est diagnostiquée par un PH du Scalp
G. Peut être secondaire à une malformation fœtale
H. Peut se manifester par une tachycardie
I. Nécessite toujours une césarienne la voie la plus rapide \ vrai CO une autre fausse …
J. Peut se compliquer de séquelles neurologiques
K. Se définit par Apgar < 7 à la naissance
L. Son étiologie est le plus souvent infectieuse
QR 1 :
2- Souffrance fœtale aiguë : définition et étiologies
QR 2 :
3- Citer les étiologies de la souffrance fœtale aigue
QR 3 :
4- Traitement de la souffrance fœtale aiguë.
QR 4 :
5- Quelle est votre conduite à tenir devant une souffrance fœtale aiguë à dilatation complète ?
VOIE BASSE AVEC EXTRACTION INSTRUMENTALE

15.Infections urinaires et grossesse: ( 22 questions )


1- La pyélonéphrite au cours de la grossesse se caractérise par :
A. Une douleur lombaire
B. Une fièvre à 39°c
C. Une dysurie
D. Une CRP élevée
E. Une hyperleucocytose
2- L'infection urinaire basse et grossesse :
A. Se manifeste par une dysurie et hématurie
B. Se manifeste par une fièvre à 40°

Pag 37:Ata e
C. Une hyperleucocytose est constante
D. Une CRP est élevée
E. Nécessite un traitement par une amoxicilline en première intention
3- Parmi ces signes cliniques quel sont ceux pouvant différencier une infection urinaire haute d'une
infection urinaire basse chez la femme enceinte ?
A. La dysurie
B. La pollakiurie
C. La douleur lombaire
D. Les frissons
E. L'hématurie
F. La fièvre
G. Les cystalgies
H. Les lombalgies
I. Les brûlures mictionnelles
4- L'infection urinaire est plus fréquente chez la femme enceinte du fait :
A. De la compression urétérale
B. De l'hyperprogestéronémie
C. De la stase urinaire
D. De la glycosurie
E. D'un taux élevé de lithiase urinaire
5- Les infections de l'arbre urinaire survenant au cours de la grossesse :
A. Est favorisée par une hypotonie physiologique de l'arbre urinaire
B. Le germe le plus fréquemment en cause est l'E. Coli
C. L'ECBU doit être réalisé systématiquement
D. La pyélonéphrite représente l'infection et l’inflammation de la vessie
E. La pyélonéphrite est la forme la plus grave de ces infections urinaires
QR 1 :
6- Quel est le germe le plus fréquemment responsable de la pyélonéphrite aiguë gravidique?
QR 2 :
7- La pyélonéphrite associée à la grossesse :
7.a-décrire le tableau clinique
7.b-quels sont les examens para cliniques ?
7.c-quel est le traitement ?
QR 3 :
8- La pyélonéphrite aiguë gravidique: Diagnostic positif et traitement
QR 4 :
9- Quelles sont les complications de I’infection urinaire chez la femme enceinte et comment les traiter.
Cas clinique 1:
Patiente âgée de 32ans, primipare, enceinte de 32 semaines d’aménorrhée qui se présente aux urgences
obstétricales avec des brûlures mictionnelles, une pollakiurie et une température à 38,5°
10- Quel est votre diagnostic à évoquer :
A. Une bactériurie asymptomatique
B. Une cystite aiguë gravidique
C. Une pyélonéphrite aiguë gravidique
D. Un abcès rénal
E. Une pyonéphrose
11- Quelle sera votre conduite à tenir :
A. ECBU

Pag 38:Ata e
B. Antibiothérapie
C. Antalgiques
D. Corticoïdes
E. Drainage urinaire
Cas clinique 2:
Patiente âgée de 32 ans enceinte de 30SA qui consulte pour une douleur lombaire bilatérale associée à
une fièvre à 38.8° accompagnée de frissons. La bandelette urinaire met en évidence une leucocyturie
massive et des nitrites positifs
12- Quel est votre diagnostic ?
A. Pyélonéphrite aiguë
B. Cystite
C. Salpingite
D. Cholécystite aiguë
E. Chorioamniotite
13- Quels traitements mettez-vous en œuvre :
A. Hospitalisation
B. Antibiothérapie à base de Fluoroquinolones en première intention
C. Hydratation abondante
D. Traitement antipyrétique
E. Néphrostomie percutanée
Cas clinique 3:
Patiente âgée de 33 ans, primipare, enceinte 26 semaines d'aménorrhée qui se présente aux urgences
obstétricales avec des brûlures mictionnelles, une hématurie et une température à 38,5° :
14- Quel est votre diagnostic à évoquer :
A. Une bactérie asymptomatique
B. Une cystite aiguë gravidique
C. Une pyélonéphrite aiguë gravidique
D. Une appendicite aiguë
E. Une cholécystite aiguë
15- Quelle sera votre conduite à tenir :
A. ECBU
B. Antibiothérapie
C. NFS, CRP
D. Antispasmodiques
E. Scanner Abdomino-pelvien
Cas clinique 4:
Patiente âgée de 22 ans enceinte de 29SA qui consulte pour une douleur lombaire droite intense associée
à une fièvre à 38,8° accompagnée de frissons avec douleurs à la palpation de la fosse lombaire.
16- Quel est votre diagnostic ? :
A. Pyélonéphrite aiguë
B. Cystite
C. Appendicite
D. Cholécystite aiguë
E. Sigmoïdite
17- Devant ce tableau clinique, quels examens complémentaires prescrivez vous:
A. Examen cytobactériologique des urines
B. Hémocultures
C. Numération formule sanguine

Pag 39:Ata e
D. Echographie rénale
E. Protéine C réactive
Cas clinique 5:
Une primipare enceinte de 29 semaines d’aménorrhée consulte pour un syndrome fébrile associé à des
brûlures mictionnelles, une hématurie et une douleur lombaire droite
18- En faveur d’une infection urinaire haute :
A. L' âge gestationnel de 29SA
B. Le syndrome fébrile
C. Les brûlures mictionnelles
D. L’hématurie
E. La douleur lombaire
19- Une échographie rénale est réalisée objectivant une dilatation pyélocalicielle droite avec image
évoquant un abcès rénal. Quelle serait votre conduite à tenir :
A. Drainage de l'abcès rénal
B. Césarienne en urgence
C. Scanner abdominal
D. Déclenchement du travail par les prostaglandines
E. Antibiothérapie à base de céphalosporines 3ème génération
Cas clinique 6:
Une primipare enceinte de 26SA consulte pour un syndrome fébrile associé à des brûlures mictionnelles,
une hématurie et une douleur lombaire : (Rq : Dans un autre meme cas clinique : 24SA )
20- En faveur de l'infection urinaire :
A. L'âge gestationnel de 26SA
B. Le syndrome fébrile
C. Les brûlures mictionnelles
D. L'hématurie
E. La douleur lombaire
F. L’âge gestationnel de 24SA
21- En faveur de l'infection urinaire haute :
A. La fièvre
B. L'hématurie
C. La douleur lombaire
D. L'absence de pyurie
E. La primiparité
22- Dans ce cas, l’antibiothérapie à prescrire / à prescrire de 1ère intention :
A. L'amoxicilline
B. L'association amoxicilline - acide clavulanique
C. Les fluoroquinolones
D. Les sulfamides
E. Les céphalosporines
F. Les céphalosporines 3ème génération

16.Streptocoque B et grossesse: ( 4 questions )


1- L’infection au streptocoque B au cours de la grossesse peut être responsable :
A. Accouchement prématuré
B. Endométrite du post-partum
C. Infection néonatale
D. Rupture prématurée des membranes cause

Pag 40:Ata e
E. Malformations congénitales
2- prévention de la transmission materno-foetale du streptocoque B :
A. Nécessite un dépistage du portage du streptocoque B
B. Se fait par administration de la pénicilline G en per partum amoxicilline ± pénicilline G
C. Permet d’éviter une infection néonatale mortelle
D. Est indiquée si antécédent d'infection néonatale par le streptocoque B
E. Est indiquée si bactériurie au streptocoque B au cours de la grossesse
QR 1 :
3- dépistage du portage du streptocoque B et prévention de la transmission maternofoetale
QR 2 :
4- Femme enceinte porteuse chronique du streptocoque B : Comment éviter la transmission au
nouveau-né au cours du travail ?

17.Rubéole et grossesse: ( 7 questions )


1- Dans une infection rubéoleuse ancienne, le statut des immunoglobulines peut être :
A. IgM positifs et IgG négatifs
B. IgM positifs et IgG positifs avec avidité aux IgG faible
C. IgM négatifs et IgG positifs avec avidité aux IgG forte réinfection
D. IgM négatifs et IgG négatifs
E. IgM négatifs et IgG positifs IgM - au bout de 6sem
F. IgM positifs et IgG positifs avec avidité aux IgG forte
G. Ig A négatifs et Ig G négatifs
H. Ig M négatifs et Ig A positifs
2- La rubéole au cours de la grossesse :
A. Est une infection virale
B. Le risque d'atteinte est surtout embryonnaire si séroconversion
C. Peut être à l'origine d'atteinte oculaire nécrose non inf des yeux, coeur, cerveau, oreille
D. Peut être asymptomatique chez la femme enceinte
E. Dont la prévention est basée sur la vaccination
3- La rubéole :
A. Donne une éruption qui apparaît en même temps que la production des anticorps
B. Est d’autant plus grave qu’elle est contractée près du terme
C. Est toujours symptomatique
D. Peut être responsable des phénomènes auto-immuns tardifs
E. Le risque d’infection fœtale augmente avec l’âge de la grossesse
Cas clinique 1:
Patiente âgée de 23 ans G1PO qui est enceinte de 8 semaines d'aménorrhée et qui travaille dans une
crèche, chez qui, au cours du suivie de sa grossesse, vous objectivez un taux de contrôle de la sérologie
de la Rubéole IgG à 300 Ul/ml alors qu'en début de grossesse ce taux était négatif
4- Vous êtes devant ?
A. Une séroconversion à la Rubéole
B. Une infection fœtale
C. Une femme contagieuse
D. Une cécité fœtale
E. Une surdité congénitale
5- Quelle sera votre conduite à tenir : ???
A. Interruption thérapeutique de grossesse en urgence
B. Surveillance de la grossesse par doppler obstétrical

Pag 41:Ata e
C. Amniocentèse
D. Cordocentèse
E. Vacciner la parturiente au cours de la grossesse
Cas clinique 2:
6- Chez une patiente enceinte de 11SA qui a une sérologie rubéolique négative et ayant été au contact, il y
a plus de 15 jours, avec un enfant qui a présenté quelques jours plus tard une éruption rubéolique, vous
devez demander .
A. Une sérologie maternelle IgM
B. Une sérologie maternelle IgG
C. Une vaccination maternelle
D. Une interruption médicale de grossesse
E. Une recherche spécifique du virus de la rubéole par PCR
Cas clinique 3:
7- Patiente âgée de 36 ans primipare enceinte de 10SA qui se présente avec une sérologie Rubéolique
IgG à 50 UI/ml que ferriez vous :
A. Refaire sérologie IgG dans 3 semaines
B. Surveiller la patiente cliniquement
C. Chercher un contact avec enfant atteint
D. Demander les IgM Si taux croissant des IgG
E. Faire une cordocentèse

18. Toxoplasmose et grossesse: ( 14 questions )


1- Une séroconversion de la toxoplasmose après 32SA :
A. Est responsable de malformations fœtales sévères
B. Nécessite un traitement par spiramycine
C. Nécessite une interruption médicale de grossesse
D. Nécessite une cordocentèse amniocentèse
E. Nécessite un traitement par sulfadiazine+pyriméthamine si passage trans-placentaire
2- Chez une femme enceinte dont la sérologie de la toxoplasmose est négative, vous devez conseiller de :
A. Faire une sérologie de la toxoplasmose une foie par mois
B. Bien cuire la viande
C. Bien cuire les poissons
D. Bien laver les fruits et les légumes
E. Éviter le contact avec les chats
3- Concernant la toxoplasmose au cours de la grossesse :
A. Le risque de transmission materno-fœtale est important en début de grossesse minime mais grave vrai CO
B. Est plus grave en fin de grossesse
C. Est responsable d’un retard de croissance intra-utérin
D. Est responsable d’une atteinte oculaire chez le foetus
E. Est traitée par les céphalosporines 3ème génération
F. Est une infection parasitaire
G. Le risque d'atteinte foetale est possible si séroconversion
H. Peut être à l'origine d'une hydrocéphalie par anasarque ??
I. Est asymptomatique chez la femme enceinte
J. Dont la prévention est basée sur la vaccination
K. Le risque de transmission materno-fœtale est faible en début de grossesse
L. Peut être transmise au foetus par voie ascendante placentaire
M. Est responsable d'une placentite

Pag 42:Ata e
N. Est traitée par les quinolones
O. Est une infection virale
P. Est toujours symptomatique chez la femme enceinte
QR 1 :
4- Conduite à tenir en cas de suspicion d'une séroconversion toxoplasmique chez une femme enceinte.
QR 2 :
5- Énumérer les 4 précautions à prendre chez une femme enceinte ayant une sérologie de la
toxoplasmose négative.
Cas clinique 1:
6- Patiente âgée de 30 ans primipare enceinte de 10SA qui se présente avec une sérologie toxoplasmose
IgG à 400 UI/ml, Quel sera votre conduite à tenir :
A. Refaire sérologie IgG dans 6 semaines
B. Surveiller la patiente par échographie obstétricale
C. Donner un traitement à base de Sulfadiazine 3g/j Spiramycine
D. Demander les IgM
E. Éviter le contacte a avec les chats
Cas clinique 2:
7- Chez une patiente enceinte de 18 SA présentant une séroconversion toxoplasmique confirmée par 2
sérologies réalisées à 3 semaines d'intervalle vous devez :
A. Mettre la patiente sous Spiramycine
B. Faire une amniocentèse
C. Mettre la patiente sous parasiticide parasitostatique
D. Faire une interruption médicale de grossesse
E. Faire une surveillance échographique mensuelle
Cas clinique 3:
8- Patiente âgée de 32 ans primipare enceinte de 9SA qui se présente avec une sérologie toxoplasmose
IgG à 200 UI/ml que feriez-vous :
A. Refaire sérologie IgG dans 3 semaines
B. Surveiller la patiente cliniquement echo
C. Donner un traitement à base de Spiramycine
D. Demander les IgM
E. Donner un traitement curatif si PCR positif
9- Quelles sont les indications pour demander le test d'avidité IgG :
A. IgG positifs IgM positifs
B. IgG positifs IgM négatifs
C. IgG négatifs IgM positifs
D. Amniocentèse négatif recherche du génome virale par PCR ?= PCR -???
E. Cordocentèse positif recherche IgM foetale dans le sang du cordon ombilical
Cas clinique 4:
Patiente âgée de 30 ans G2P1 enceinte de 9 semaines d’aménorrhée chez qui, au cours du suivie de la
grossesse, vous objectivez un taux de contrôle d'IgG à 60 lU/ml alors qu' en début de grossesse ce taux
était négatif
10- Vous êtes devant ?
A. Une séroconversion à la toxoplasmose
B. Une infection fœtale à la toxoplasmose
C. Une situation à risque de malformations fœtales
D. Une situation à risque de malformations maternelles

Pag 43:Ata e
E. Une situation nécessitant la réalisation du test d'avidité des IgG
11- Quelle sera votre conduite à tenir :
A. Interruption thérapeutique de grossesse
B. Surveillance de la grossesse par échographie obstétricale
C. Amniocentèse à 22 semaines d'aménorrhée 19SA-20SA et 6semaines après la séroconversion maternelle
D. Cordocentèse Amniocentèse
E. Recherche d'ig M fœtales, au niveau du sang du cordon recherche du PCR foetal via amniocentèse
12- Quels sont les conseils que devrait suivre cette patiente pour éviter cette situation :
A. Faire le jardinage avec port de gants
B. Bien cuire la viande
C. Bien cuire le poisson
D. Bien laver les fruits et les légumes
E. Éviter le contacte avec les chats
Cas clinique 5:
Chez une patiente enceinte de 10SA présentant une séroconversion toxoplasmique confirmée par 2
sérologies réalisées à 3 semaines d'intervalle
13- Que devriez-vous faire :
A. Mettre la patiente sous Spiramycine : 3 millions d'unités X 3/ j
B. Faire une amniocentèse 1 semaine après la date de la séroconversion 6 semaines
C. Faire une surveillance sérologique mensuelle echographique
D. Faire une interruption médicale de grossesse
E. Faire une IRM fœtale
14- Quelles sont à ce terme les risques fœtaux de cette infection :
A. Avortements spontanés
B. Mort fœtale in utéro
C. Atteinte ophtalmologique congénitale
D. Anasarque fœtale
E. Microcéphalie

19. Diabète et grossesse: ( 20 questions )


1- Le diabète gestationnel est un trouble métabolique
A. dû à la grossesse qui est un état diabétogène.
B. dû à une augmentation de l'insulino résistance.
C. dû à une diminution de l'insulino sécrétion.
D. du une diminution de l'insulino résistance.
E. du une augmentation de l'insulino sécrétion.
2- Le dépistage du diabète gestationnel se fait :
A. Par glycémie à jeun à la consultation du 1er trimestre pour toutes les femmes enceintes
B. Par HGPO à 75g entre 24-28 SA pour les patientes à risque
C. Par Test d'ossulivan à 50 g au 1er trimestre
D. Par une hémoglobine glyquée quelque soit l'âge de grossesse
E. Il faut le faire au 2ème trimestre si le test au 1er trimestre est normal chez la patiente à risque
F. lors de la première consultation chez toute femme enceinte
G. Entre 24 et 28 SA chez les femmes à risque
H. Par une HGPO à 100g glucose
I. En cas ATCD HTA
J. Lors de la découverte d’une macrosomie à l'échographie
K. est d'Osullivan à 50g

Pag 44:Ata e
L. est d'osullivan à 75g
M. Une HGPO à 75g
N. Une glycémie à jeun
3- facteurs de risque pour un dépistage ciblé du diabète gestationnel sont :
A. Age maternel > 30 ans
B. ATCD diabète chez les apparents du 1er degré
C. ATCD personnels de MFIU
D. Apparition de macrosomie du hydramnios à l'écho T3
E. Présence d'une prééclampsie
4- FZ âgée de 25 ans est enceinte pour la 4ème fois, indiquez parmi les ATCD ci-dessous ceux qui
doivent faire dépister un diabète :
A. Le 1er enfant pesait 4000g
B. A sa 2èmc grossesse elle a une fausse couche spontanée à 10 SA
C. Elle est obèse son IMC est supérieur à 25kg/m
D. Son 2èmr enfant a eu une cardiopathie
E. A sa 3éme grossesse elle a eu une pyélonéphrite
5- Les facteurs de risque du Diabète gestationnel :
A. Obésité maternelle
B. ATCD de macrosomie
C. ATCD de malformation foetale
D. Age > 30 ans
E. ATCD personnels de DG
6- Concernant le dépistage du diabète gestationnel, quelles sont les affirmations vraies :
A. Le dépistage est systématique entre 24 et 28 semaines.
B. Le dépistage est systématique au premier trimestre par glycémie à jeun si facteurs de risque.
C. HGPO à 75g est le test de dépistage le plus recommandé.
D. le diagnostic du diabète gestationnel est retenu si le dépistage à l' HGPO à 75g trouve au moins deux
valeurs positives
E. hémoglobine glyquée est le test de dépistage recommandé au premier trimestre
F. Le dépistage est systématique entre 24 et 28 semaines si facteurs de risque.
G. le dépistage est systématique si antécédents de pré éclampsie.
H. L ' HGPO à 100 grammes est le test de dépistage le plus recommandé.
I. Le diagnostic du diabète gestationnel est retenu si le dépistage à I’HGPO à 75g trouve au moins une
valeur positive.
7- Les risques maternels au cours du diabète gestationnel CO
A. l'hypoglycémie au premier trimestre.
B. pré éclampsie.
C. I hyperthyroïdie.
D. acidocétose.
E. aggravation d'une rétinopathie.
F. infection urinaire.
G. hémorragie de la délivrance.
8- le nouveau né de mère diabétique est particulièrement exposé à des complications:
A. un retard de croissance intra-utérin.
B. souffrance foetale aigue..
C. des malformations.
D. l'hypoglycémie par hyperinsulinisme fatale.
E. une mort foetale in utero.
F. hydramnios.
G. malformations cardiaques.

Pag 45:Ata e
H. hyperglycémie.
I. détresse respiratoire. Accouchement premature
9- les complications fœtales du diabète gestationnel:
A. RCIU
B. MFIU
C. malformations fœtales
D. souffrance fœtale aigue
E. troubles métaboliques néonataux
10- la macrosomie fœtale chez une mère diabétique :
A. elle est asymétrique.
B. le nouveau-né présente un risque d' hyperglycémie.
C. le risque de dystocie des épaules est grand.
D. se définit par un poids de naissance>4250 grammes
E. la césarienne prophylactique est indiquée si poids>4500 grammes
11- les complications de l'hyperinsulinisme fœtale au cours du diabète gestationnel sont :
A. des complications fœtales et néonatales
B. Seulement néonatales
C. La macrosomie est la complication la plus redoutée
D. la détresse respiratoire due à la maladie des membranes hyalines
E. Hypoglycémie néonatale
12- conséquences du diabète gestationnel sont :
A. Mort fœtale in-utéro ( MFIU )
B. Macrosomie foetale
C. Retard de croissance intra utérin ( RCIU )
D. Oligoamnios
E. Souffrance fœtale chronique
F. Pré éclampsie
13- le traitement du diabète gestationnel peut se faire par:
A. antidiabétiques oraux
B. régime diététique seul
C. toujours par insulinothérapie
D. régime alimentaire et insulinothérapie
E. toutes les réponses sont justes
14- le suivi obstétrical d'une patiente diabétique :
A. Se fait en préconceptionnel pour les patientes connues diabétiques
B. Une consultation CPN trimestrielle
C. Une échographie mensuelle jusqu'à l'accouchement
D. Consultation mensuelle jusqu’à 32 SA puis chaque 15 jours en cas de suivi renforce
E. Une échographie chaque trimestre plus une à 36 SA
QR 1 :
15- Le diabète gestationnel :
15.a- Facteurs de risque
15.b- Dépistage
15.c- Diagnostic
QR 2 :
16- Expliquer la physiopathologie du diabète et état gravido-puerpéral.
QR 3 :
17- Quelles sont les complications materno-fœtales du diabète gestationnel.

Pag 46:Ata e
QR 4 :
18- Complications du diabète gestationnel.
QR 5 :
19- Comment dépister et diagnostiquer un diabète gestationnel
Cas clinique 1:
20- Vous avez fait faire à Mme FZ enceinte de 24 SA un test à 75g de glucose pour dépistage du
Diabète gestationnel.la glycémie est à 1.60g/l après 2 heures. Que dites vous à la patiente ?
A. De faire un régime
B. C'est normal
C. Il s'agit d'un diabète gestationnel
D. Il s'agit d'un diabète, il faut faire une insulinothérapie immédiatement
E. Il faut refaire le test dans 10 jours

20. Les allo-immunisations foeto-maternelles : Rhésus: ( 13 questions )


1- Parmi les mécanismes physiopathologiques suivants ,lequel (lesquels) est (sont) à l'origine de
I’isoimmunisation foetomaternelle dans le système rhésus :
A. passage de leucocytes fœtaux dans la circulation maternelle.
B. passage des hématies maternelles dans la circulation fœtale.
C. passage des hématies fœtales dans la circulation maternelle.
D. passage d'anticorps maternels dans la circulation fœtale.
E. passage de la bilirubine dans la circulation maternelle.
2- Le passage d'hématies fœtales dans la circulation maternelle est possible lors
A. D'un accouchement
B. D'une fausse couche spontanée
C. Amniocentèse
D. Échographie
E. Grossesse extra utérine
3- Le dépistage d’une iso immunisation fœto-maternelle se fait par :
A. Demande groupage sanguin ABO phénotype Rh
B. RAI
C. Groupage sanguin fœtal dans ADN maternelle
D. Phénotype du père Si Rhésus -
E. Typage des AC et quantification des AC
4- la prescription des RAI au cours de la grossesse se fait :
A. au 3ème et 9ème mois pour une femme Rh négatif
B. au 3ème et 9 ème mois pour une femme Rh positif
C. au 3, 6, 9 ème mois pour une femme Rh négatif
D. au 3, 6, 8, 9èrne mois pour une femme Rh négatif
E. toutes les réponses sont fausses
5- la prévention d'iso immunisation par sérum / injection anti D :
A. peut être systématique chez toute femme à 28 semaines d aménorrhée. chez les femmes non-immunisée
B. doit être prescrite chez une femme rhésus négatif non immunisée après chaque circonstance
favorisante
C. doit être prescrite chez une femme rhésus négatif immunisée 72 h après I’accouchement.
D. La dose injectée dépendra du test du klehauer au 2ème, 3ème trimestre et du post partum.
E. On peut s'abstenir si le groupe du père est rhésus négatif. ??
F. Est systématique chez toutes les femmes Rhésus négatifs avec RAI + positives

Pag 47:Ata e
G. Se fait de préférence 72 h après chaque situation immunisante
H. Le test de kleauher est inutile au cours du 1er trimestre
I. Peut être systématique à 28SA pour femme RH- négatif, RAI-négatives
J. On peut s'abstenir si nouveau né est Rhésus + positif
K. Est systématique chez toute femme enceinte
L. Se fait uniquement si RAI sont positifs
M. l'injection se fait 72h après chaque accouchement ??
N. le test de Kleihauer est inutile après accouchement d'une mort foetale in-utéro
O. On peut s'abstenir si le nouveau né est Rhésus négatif
P. Se fait uniquement si RAI sont négatives
Q. Après chaque métrorragie au cours de la grossesse
R. Elle est systématique à 28 SA
S. De préférence un mois après l'accouchement
T. Le test de Klehauer est systématique avant l'injection ??
6- La prévention par les gammaglobulines chez une femme RH- est inutile pour prévenir les allo
immunisations foeto-maternelles lorsque :
A. RAI sont positifs
B. L'enfant est RH- +<3semaines après Ig Rh
C. Le test de Kleauher est négatif
D. La grossesse est arrêtée avant 3 mois
E. La femme a une placenta preavia qui saigne
7- la prévention de l'allo immunisation foeto maternelle Rh chez une femme de groupe Rh négatif :
A. est l'injection d'une dose d'anti D après une amniocentèse
B. est l'injection systématique d'une dose d'anti D à 12SA 28 SA ??
C. est l'injection d'une dose d'anti D après cerclage du col utérin
D. est l'injection d'une dose d'anti D 5 jours après l'accouchement de préférence
E. dépend du test de kleihauer à partir du deuxième trimestre
8- prévention de l'iso immunisation foeto-maternelle :
A. doit se faire 72 heures après chaque circonstance immunisante chez toute femme rhésus négatif.
B. est systématique à 28 SA chez toute femme rhésus négatif avec RAI positifs. RAI -
C. le test de kleauher est systématique quel que soit l'âge gestationnel. inutil au premier trimestre
D. est efficace pour tous types rhésus.
E. on peut s'abstenir si le groupe du mari est rhésus négatif.
F. Se fait seulement pour l'iso immunisation anti D ??
G. Elle peut être systématique à 28 SA
H. Se base sur injection de gammaglobulines anti D dans 72h après un événement à risque
I. La dose des gammaglobulines dépend toujours du test Kleihauer
J. On peut s'abstenir après accouchement si le test de Kleihauer est négatif test de Kleihauer est fait 6h après le
K. est systématique chez toute femme rhésus négatif avec RAI négatifs.
L. peut être prescrit durant le mois du post partum.
M. le test de klehauer est toujours demandé avant l'injection de l'anti-D.
N. la recherche des agglutinines irrégulières est systématique avant toute injection. ??
O. on peut s'abstenir si le groupe du fœtus est rhésus négatif.
9- L'allo immunisation fœto-maternelle en l'absence de prévention peut se voir à la suite
A. D'un accouchement normal quelque soit la voie
B. D'un décollement placentaire
C. Fausse couche spontanée du 1er trimestre
D. Grossesse extra-utérine
E. Une amniocentèse

Pag 48:Ata e
10- L'iso immunisation est une grossesse :
A. A haut risque materno-foetale
B. Survient chez une femme RH+et mari RH-
C. Peut se compliquer RCIU
D. Le risque est l'anémie fœtale
E. Secondaire au passage des hématies foetals dans la circulation maternelle
QR 1 :
11- Expliquer la physiopathologie de l'iso immunisation foetomaternelle
QR 2 :
12- Iso immunisation rhésus : Dépistage et prévention
QR 3 :
13- Comment prévenir / Prévention d’une iso immunisation Rhésus foeto maternelle ?

21. La grossesse gémellaires: ( 14 questions )


1- A quel type de chorionicité peut correspondre une grossesse gémellaire monozygote :
A. Grossesse bichoriale biamniotique. soit dizygotique soit monozygotique
B. grossesse monochoriale monoamniotique. toujours monozygotique
C. Grossesse monochoriale biamniotique.
D. Elle est toujours bichoriale biamniotique
E. Toutes les réponses sont justes.
2- La chorionicité au cours de la grossesse gémellaire :
A. doit être diagnostiquée avant 14 semaines d'aménorrhée
B. la monochoriale biamniotique est de mauvais pronostic.
C. la bichoriale biamniotique est toujours dizygotique.
D. le signe de lumbda est pathognomonique d'une monochoriale biamniotique.
E. definit le type de surveillance.
F. doit être diagnostiquée avant 22 semaines d'aménorrhée.
G. la monochoriale biamniotique est de meilleur pronostic.
H. le signe de lymbda est pathognomonique d'une bichoriale biamniotique.
3- Une MFIU au cours d'une GG
A. Peut être due à une malformation foetale
B. Elle est spécifique d'une grossesse monochoriale
C. Le risque de séquelles neurologiques pour le 2eme jumeau existe toujours
D. Le déclenchement doit se faire une fois maturité fœtale acquise
E. Peut être secondaire à RCIU
4- Les complications spécifiques de la grossesse gémellaire monochoriale biamniotique:
A. jumeau acardique.
B. RCIU sélectif
C. syndrome transfuseur transfusé.
D. pré éclampsie.
E. prématurité.
F. jumeaux conjoint. jumeaux siamois
5- les critères majeurs nécessaires et obligatoires pour le diagnostic de STT : STT =syndrome transfuseur-transfusé
A. discordance de biométries facultatif
B. GG monochoriale
C. discordance des tailles des vessies +grande citerne
D. différence des diamètres des cordons facultatif
E. discordance du liquide amniotique

Pag 49:Ata e
6- concernant le syndrome transfuseur transfusé de la grossesse gémellaire.
A. est une complication de la grossesse monochoriale biamniotique.
B. les jumeaux peuvent être de sexe différent.
C. il s'accompagne d'un RCIU chez le transfuse et hydramnios chez le
D. transfuseur.
E. la discordance taille vésicale des deux jumeaux est un signe obligatoire.
F. son traitement est une extraction en urgence.
7- Parmis les complications spécifiques de la grossesse gémellaire le STT :
A. Est une complication de la Bichoriale Biamniotique
B. Est une complication de la monochoriale biamniotique
C. Est une complication monochoriale mono amniotique
D. La discordance entre les volumes du liquide amniotique et la discordance de croissance biométrique
sont des critères obligatoires pour le diagnostic
E. Le traitement actuel est l'extraction fœtal quelque soit l'âge gestationnel
F. La quantité du liquide amniotique et la taille vésicale sont des critères obligatoires pour le diagnostic
G. Son traitement est une urgence obstétricale
8- Les complications fœtales de la grossesse gémellaire :
A. Dépendent de la choriocité
B. Les malformations foetales sont des complications spécifiques
C. Le syndrome transfusé transfuseur est une complication spécifique de la bichoriale bi amniotique
D. La MFIU peut se voir dans les deux types de la grossesse gémellaire
E. Prématurité est fréquente
9- Les complications de la grossesse gémellaire :
A. Dépendent de la chorionicité
B. La bichoriale-Bi amniotique est la plus pourvoyeuse des complications
C. Menace d'accouchement prématuré est fréquente
D. Le syndrome transfuseur transfusé est une complication spécifique de la monochoriale bi amniotique
E. La pré éclampsie est une complication spécifique de la bi choriale bi amniotique
10- cours d'accouchement d'une grossesse gémellaire :
A. L'activation du travail par les ocytociques est toujours recommandée
B. Les présentations dystociques sont rares
C. Le risque d'inertie utérine est important
D. La version par manœuvre interne est toujours indiquée
E. La dystocie dynamique est plus fréquente
11- Au cours /Lors de / En cas de / concernant les grossesses gémellaires :
A. L'échographie précoce est capitale pour le Diagnostic de la chorionicité
B. La monochoriale a un pronostic meilleur que la bichoriale
C. La bichoriale biamniotique est toujours dizygotique
D. Le signe de lymbda à l’écho du 1er trimestre est pathognomonique de GG bichoriale biamniotique
E. Dans la grossesse monozygotique la placentation est toujours monochoriale monoamniotique
F. la surveillance dépend du type de la chorionicité
G. le signe de lambda à l'échographie du premier trimestre est pathognomonique de la GG monochoriale
biamniotique
H. le STT est une complication de la GG monochoriale biamniotique
I. la prééclampsie est la complication maternelle la plus fréquente
J. les présentations dystociques sont fréquentes
K. le diagnostic de la chorionicité se fait mieux au 2ème trimestre
L. la grossesse gémellaire monochoriale est de bon pronostic
M. la surveillance est la même qu'une grossesse monofoetale

Pag 50:Ata e
N. Le syndrome transfuseur-transfusé est une complication d'une grossesse gémellaire monochoriale bi
amniotique
O. La prééclampsie est une complication spécifique
P. On trouve trois types de placentation
Q. Taux de mortalité augmente en fonction du type placentation
R. Le sexe fœtal peut nous renseigner sur le type de zygotie
S. Doit être diagnostiquée au 1er trimestre
T. La surveillance est la même quelque soit le type de la chorionicité
U. Toute grossesse gémellaire peut se compliquer d'un syndrome transfuseur/transfusé
V. L'accouchement est souvent eutocique
W. Le risque d'inertie utérine est important
QR 1 :
12- Citer les complications d’une grossesse gémellaire monochoriale.
QR 2 :
13- Citer les complications de la grossesse gémellaire.
QR 3 :
14- Quels sont les critères obligatoires échographiques du Sd transfuseur-transfusé ?

22. Les suites de couches normales et pathologiques: ( 20 questions )


1- En post partum
A. L'utérus est normalement à mi-chemin entre la symphyse pubienne et l'ombilic à J6 du post partum
B. l'utérus retrouve sa taille pré-gravide à 1 mois de l'accouchement
C. l'involution utérine est plus lente en cas de césarienne
D. l'orifice interne du col reste ouvert jusqu'au 30ème j du post-partum
E. la montée laiteuse se produit 48h après l'accouchement
2- Les gestes qui peuvent être réalisés durant le premier jour des suites de couches sont :
A. Le démarrage de la contraception orale
B. Le blocage de la montée laiteuse par la bromocriptine
C. Le traitement des tranchées
D. Le traitement de la poussée hémorroïdaire aiguë
E. La prévention de l'incompatibilité foeto-maternelle dans le système Rhésus
F. La prise d’une contraception orale œstro-progestative
G. Le démarrage de l’allaitement maternel
H. Le traitement anticoagulant en cas d'accouchement par voie haute
I. La prévention de l'incompatibilité fœto-maternelle en cas de patiente RH+
3- Parmi les éléments de surveillance d'une parturiente durant les premières heures du post
partum :
A. L'examen des mollets
B. L'examen des seins
C. La prise de la tension artérielle
D. L'appréciation de l’hémorragie extériorisée
E. Le dosage du taux de la prolactinémie
4- Durant les premiers jours des suites de couches vous préconisez :
A. La mise en place d'un dispositif intra-utérin
B. La prise de la bromocriptine pour arrêter la montée laiteuse
C. Le traitement anticoagulant en cas d'accouchement par voie haute
D. La prise d'une contraception œstro-progestative
E. La prévention de l’incompatibilité fœto-maternelle en cas de patiente RH + et de père RH-

Pag 51:Ata e
5- Dans les suites de couches d'une parturiente qui vient d'accoucher par voie haute, quelles sont les
paramètres à examiner :
A. Le globe de sécurité
B. Les mollets
C. La température
D. La tension artérielle
E. Les lochies
6- La contraception dans le post-partum immédiat peut se baser / se base essentiellement sur :
A. Dispositif intra-utérin
B. Micro-progestatifs
C. Oestro-progestatifs
D. Moyens mécaniques
E. Allaitement
7- Parmis les propositions relatives aux suites de couches normales, quelles sont celles qui sont vraies :
A. Le retour des couches se fait 3 semaines après l’accouchement
B. La fermeture de l’orifice interne du.col utérin se fait au 15eme jour du post-partum
C. L’effondrement de la sécrétion des oestrogènes immédiatement après l’accouchement
D. L’utérus reprend sa taille initiale 1 mois après l’accouchement
E. Le premier cycle est anovulatoire
8- Parmi les complications des suites de couches :
A. Les complications infectieuses
B. Les complications hémorragiques
C. Les complications cardiaques
D. Les complications de l'allaitement
E. Les complications psychiatriques
9- L'endométrite du post-partum se manifeste par :
A. Une fièvre à 40°
B. Un ventre en bois
C. Une accélération du pouls
D. Des lochies fétides
E. Une utérus gros mou et douloureux à la mobilisation par le toucher vaginal
F. Une fièvre à 38,5°
G. Une défense pelvienne
10- L'Endométrite du post-partum :
A. Peut survenir suite à une rupture prématurée des membranes
B. Se manifeste par des lochies purulentes
C. Se manifeste par des douleurs pelviennes
D. Peut survenir après une révision utérine
E. Une anémie hypochrome est constante
11- La thrombophlébite du post-partum :
A. Se manifeste par des douleurs à la dorsi-flexion du membre inférieur
B. Se manifeste par un gonflement du membre inférieur
C. Est prévenue par l'Héparine à bas poids moléculaire
D. Est prévenue par le levé précoce
E. L'obésité est un facteur favorisant
12- L'abcès du sein dans le post-partum se manifeste par :
A. Une douleur mammaire
B. Une température élevée
C. Une masse fluctuante a la palpation
D. Un écoulement de lait mélangé au pus

Pag 52:Ata e
E. Une rougeur localisée
13- L'abcès du sein en post-partum :
A. Peut survenir suite à des crevasses
B. L'examen du sein est douloureux
C. Une antibiothérapie est suffisante pour le traitement
D. Un drainage de l'abcès est nécessaire
E. L'allaitement est autorisé
14- Devant une fièvre du post-partum il faut faire .
A. Une numération formule sanguine
B. Un examen cytobactériologique des urines
C. Un examen des seins
D. Un frottis cervico-vaginal
E. Un écho doppler veineux du membre inferieur
15- Les suites de couches pathologiques se manifestent par :
A. Des lochies fétides
B. Une galactophorites
C. Une thrombose veineuse profonde
D. Une montée laiteuse positive
E. Des troubles psychiatriques
QR 1 :
16- Quels sont les 4 signes à rechercher devant une endométrite du post-partum?
QR 2 :
17- Diagnostic positif de l'endométrite
QR 3 :
18- Endométrite du post-partum : Étiologie, signes cliniques et traitement
QR 4 :
19- Endométrite du post partum : diagnostic et prise en change
QR 5 :
20- Diagnostic positif et traitement de l'endométrite du post-partum

23. Abord du couple infertile:

24. Questions générales et Autres en Obstétrique : ( 4 questions )


1- Les contre indications de la grossesse :
A. diabète avec atteinte coronarienne
B. antécédent de prééclampsie
C. antécédent d utérus tricicatriciel
D. cancer du sein en cours de traitement
E. maladie de Marfan avec dilatation aortique importante
2- Parmi les étiologies des métrorragies / de l'hémorragie du premier trimestre de la grossesse:
A. la grossesse extra utérine
B. la mole hydatiforme
C. un avortement en cours
D. un placenta praevia

Pag 53:Ata e
E. un hématome rétroplacentaire sur pré éclampsie
F. Un hématome rétro placentaire
3- L'herpès génitale au cours de la grossesse :
A. Est due souvent à I’ Herpès simplex virus type 2
B. Peut être responsable de retard de croissance intra-utérin
C. La Césarienne est recommandée en cas de lésions actives au moment de l’accouchement
D. L’allaitement maternel est contre indiqué en cas de primoinfection herpétique
E. Le traitement néonatal antiviral est systématique
4- Concernant l’infection au virus Herpès simplex virus :
A. L'infection génitale est surtout due à l'HSV type 2
B. Risque d’Herpès néonatale en cas de primo infection avec rupture prématuré de membrane proche du
terme
C. Responsable de retard de croissance intra utérin
D. Responsable d’infection congénitale herpétique
E. Césarienne est recommandé si primo infection proche du terme avec poche des eaux intacte

25. Cas cliniques obstétriques : ( 40 questions )


Cas clinique 1:
Patiente âgée de 40ans G2P1 porteuse d'un utérus cicatriciel. La grossesse actuelle estimée à 36SA selon
une échographie du premier trimestre, qui se présente aux urgences pour un saignement. l'examen
obstétrical trouve une HU à 26cm, une tension artérielle a 10/6 et des bandelettes urinaires négatives
1- Quelles sont les 2 diagnostics les plus probables:
A. Un placenta percreta
B. Un placenta praevia
C. Une pré éclampsie sévère
D. Un retard de croissance intra-utérin
E. Une tumeur cervicale
2- Quels sont les examens complémentaires nécessaires pour confirmer ces 2 diagnostics :
A. La mesure de la biométrie fœtale
B. Une IRM abdomino-pélvienne
C. Le scanner abdomino-pélvien
D. Le doppler de l'artère utérine
E. Une radiographie du contenu utérin
3- Quels sont les examens complémentaires permettant d'évaluer le bien être fœtale:
A. Le doppler placentaire
B. Le doppler des artères cérébrales
C. L'amniocentèse
D. L'enregistrement du rythme cardiaque foetal
E. Le doppler veineux du Ductus venosus
4- Quelle sera votre conduite à tenir devant cette patiente:
A. Surveillance clinique
B. Corticothérapie pendant 48H
C. Extraction foetale par césarienne en urgence
D. Déclenchement du travail par les prostaglandines
E. Groupage ABO-RH et Numération formule sanguine

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Cas clinique 2:
Patiente de 29 ans G2p1 ayant une grossesse estimée à 38 SA selon l'échographie du premier trimestre,
qui se présente aux urgences pour diminution des mouvements actifs fœtaux, l'examen obstétrical trouve
une HU à 29cm, une Tension artérielle à 12/7 absence de saignement et bandelette urinaire négative
5- Quel est le diagnostic le plus probable :
A. Une erreur de datation
B. Un dépassement de terme
C. Une Pré éclampsie sévère
D. Un Retard de croissance intra-utérin
E. Une hypotrophie foetale
6- Quels sont les examens complémentaires nécessaire pour confirmer le diagnostic :
A. La mesure de la biométrie fœtale
B. Un doppler obstétrical
C. Un enregistrement du rythme cardiaque fœtale
D. Le doppler de l'artère ombilicale
E. Une échographie obstétricale avec recherche de malformations fœtales
7- Quels sont les examens complémentaires pour évaluer le bien être fœtale :
A. L'écho-doppler du Ductus venosus
B. Le doppler des artères utérines
C. Le score biophysique de Manning
D. L'enregistrement du rythme cardiaque fœtale
E. La mesure de la quantité du liquide amniotique
8- Quels sont les critères d'extraction en cas de sévérité :
A. Index de résistance élevé au niveau de l'artère ombilicale
B. Onde A négative au spectre du doppler veineux
C. Index de résistance élevé au niveau des artères utérines
D. Décélérations variables à l'enregistrement du rythme cardiaque fœtale
E. Score de Manning à 3
Cas clinique 3:
Patiente de 35 ans G3p2 ayant une grossesse estimée à37SA selon l'échographie du premier trimestre,
suivie pour une insuffisance respiratoire chronique qui se présente aux urgences avec des contractions
utérines , l'examen obstétrical trouve une UE à 27 cm, une Tension artérielle à 11/06 avec absence de
saignement et l'examen aux bandelettes urinaires est négatif
9- Quel est le diagnostic le plus probable :
A. Une rupture prématurée de membrane
B. Une menace d'accouchement prématurée
C. Une Pré éclampsie
D. Un Retard de croissance intra-utérin
E. Une hypotrophie foetale
10- Quels sont les examens complémentaires nécessaire pour confirmer le diagnostic :
A. La mesure de la biométrie foetale
B. Le doppler des artères utérines
C. Un enregistrement du rythme cardiaque foetale
D. Le doppler de l'artère ombilicale
E. Une radiographie pulmonaire maternelle
11- Quels sont les examens complémentaires pour évaluer le bien être foetale :
A. L'écho-doppler du Ductus venosus
B. Un scanner thoracique maternel
C. Le score biophysique de Manning

Pag 55:Ata e
D. L'enregistrement du rythme cardiaque foetale
E. Mesure de la saturation maternelle en oxygène
12- Au toucher vaginal, le col est dilaté à 8 cm, vous allez :
A. Accepter la voie basse
B. Faire une césarienne en urgence
C. Tocolyser par les Inhibiteurs calciques
D. Donner une corticothérapie
E. Activer le travail
Cas clinique 4:
Patiente âgée de 32 ans, primipare, grossesse estimée à 30SA qui consulte aux urgences obstétricales
pour des douleurs lombaires du côté droit et une fièvre à 39°
13- Quel est votre premier diagnostic à évoquer :
A. Pyélonéphrite gravidique
B. Cystite aiguë
C. Kyste hydatique du foie
D. Hépatite aiguë
E. Abcès rénal
14- Que demanderiez vous pour poser le diagnostic :
A. ECBU
B. Echographie abdominale
C. NFS, CRP
D. Prélèvement vaginal
E. Scanner abdominal
15- La contraception du post partum est basée essentiellement sur :
A. Les micro-progestatifs
B. La pose de DIU dans la première semaine du post-partum
C. L’allaitement maternel
D. Les moyens mécaniques
E. La ligature tubaire
16- Quelle sera votre attitude :
A. Interruption de grossesse
B. Refaire dosage des IgG 3 semaines après
C. Faire dosage des IgM
D. Demander un test d'avidité des IgG
E. Faire une amniocentèse
Cas clinique 5:
Patiente de 35 ans, porteuse d'un utérus cicatriciel ayant un antécédent de pré éclampsie sévère césarisée
à 26SA qui consulte à 37SA pour diminution des mouvements actifs fœtaux et métrorragies . L'examen
clinique trouve une patiente ayant une TA à 8/5 avec un pouls filant et des conjonctives décolorées
17- Quel est le diagnostic le plus probable devant cette situation :
A. Placenta totalement recouvrant
B. Hématome rétro-placentaire
C. Déhiscence de la cicatrice utérine
D. Tumeur du col utérin
E. Décollement placentaire
18- Quels sont les premiers gestes à faire :
A. Un toucher vaginal
B. Une demande de sang phénotypé
C. Une échographie obstétricale

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D. Un examen au spéculum
E. Prise d'une voie veineuse
19- Quel sera votre conduite à tenir :
A. Césarienne en urgence
B. Corticothérapie
C. Surveillance clinique
D. Déclenchement du travail par ocytocines
E. Tocolyse
Cas clinique 6:
Patiente âgée de 38 ans, primipare grossesse estimée à 37 semaines d'aménorrhée selon échographie
précoce, qui se présente aux urgences obstétricales pour une diminution des mouvements actifs fœtaux
chez qui l'examen clinique trouve une hauteur utérine à 27 cm avec une tension artérielle normale, les
bandelettes urinaires négatives et absence de saignement
20- Vous êtes devant :
A. Un retard de croissance intra-utérin
B. Une erreur de datation
C. Une macrosomie
D. Un bébé de petit poids par rapport à l'âge gestationnel
E. Une grossesse à haut risque fœtal
21- Devant cette situation, vous devez réaliser :
A. Une échographie obstétricale
B. Un Doppler obstétrical veineux
C. Le score biophysique de Manning
D. Un enregistrement du rythme cardiaque fœtal
E. Une surveillance clinique
22- Quelle sera votre conduite à tenir sachant que la patiente vient de rompre la poche des eaux avec
issue de liquide amniotique teinté et col fermé
A. Césarienne en urgence
B. Déclenchement du travail par prostaglandines
C. Déclenchement du travail par ocytociques
D. Surveillance des bruits cardiaques fœtaux
E. Corticothérapie
Cas clinique 7:
Une parturiente de 39 ans, 4ème pare , consulte à 36 semaines d'aménorrhée pour diminution des
mouvements actifs fœtaux et brouillard visuel, l'examen clinique trouve une tension artérielle à 16/11
mmHg avec des bandelettes urinaires positives à 3 croix, une hauteur utérine à 26cm avec des bruits
cardiaques fœtaux perçus mais irréguliers et un col long fermé postérieur et pas de saignement
23- Quel est votre diagnostic à évoquer ?
A. Retard de croissance intra-utérin harmonieux sur anomalie génétique
B. Retard de croissance intra-utérin dysharmonieux sur pré-éclampsie sévère
C. Hématome rétro-placentaire
D. Grossesse multiple
E. Erreur de datation
24- Quels sont les examens complémentaires nécessaires à réaliser :
A. L'échographie obstétricale
B. Le doppler veineux
C. L'IRM fœtale
D. Le score biophysique de manning
E. L'enregistrement du rythme cardiaque fœtal

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25- Quelle serait votre conduite à tenir :
A. Césarienne en urgence pour souffrance fœtale
B. Hospitalisation en service de réanimation pour équilibrer ses chiffres tensionnels
C. Surveillance de la grossesse
D. Déclenchement du travail aux prostaglandines
E. Extraction après administration d'une cure de corticothérapie pendant
Cas clinique 8:
Une parturiente de 37 ans, primipare consulte à 36 semaines d’aménorrhée, l'examen clinique trouve une
tension artérielle à 16/10 avec des bandelettes urinaires à 3X, une hauteur utérine à 25cm avec des bruits
cardiaques fœtaux perçus et irréguliers avec un col long fermé postérieur sans notion d’hydrorrhée
26- Quels sont vos diagnostics à évoquer ?
A. Retard de croissance intra-utérin harmonieux sur HTA chronique
B. Retard de croissance intra-utérin dysharmonieux sur prééclampsie sévère
C. Une rupture prématurée des membranes sur HTA gravidique
D. Un oligoamnios sur dépassement de terme
E. Une hypotrophie fœtale
27- Quels sont les examens complémentaires nécessaires pour étiqueter le diagnostic :
A. L'échographie obstétricale
B. Le doppler des artères ombilicales et cérébrales
C. L’amniocentèse
D. Le score biophysique de manning
E. L’enregistrement du rythme cardiaque fœtal
28- Quelle serait votre conduite à tenir :
A. Césarienne en urgence
B. Déclenchement du travail aux ocytociques
C. Expectative
D. Déclenchement du travail aux prostaglandines
E. Extraction après administration d'une cure de corticothérapie
Cas clinique 9:
-Mme K est âgée de 25 ans, primigeste , elle consulte chez vous pour la première fois pour aménorrhée de
09 semaines, elle est sans antécédents particuliers, elle ramène avec elle un compte rendu échographique
mentionnant une grossesse évolutive de 09SA.L’interrogatoire est sans particularité à part des signes
sympathiques de grossesse bien tolérés
29- Détaillez l'examen clinique dont doit bénéficier Mme K lors de cette consultation
30- Prescrivez sur une ordonnance les examens complémentaires que vous jugez nécessaires à cet
âge gestationnel
31- En dehors de tout risque, a quelles semaines d’aménorrhées vous prévoyez de faire des
échographies et dans quel but ?
-Le suivi de Mme K était sans particularité jusqu'à 39 SA ou elle consulte en travail à la salle
d’accouchement : Examen TA 12/06, bandelette urinaire = nitrites -, leucocytes -, albuminurie -, Hauteur
utérine =31 cm, bruits du cœur fœtaux = réguliers à 140 battements /minute, CU =3/10 minutes
Au toucher vaginal = col dilaté a 3 cm, vous touchez le nez, globes oculaires, arcades sourcilières, front et
la grande fontanelle au niveau iliaque gauche, la présentation étant fixée
32- De quelle présentation s'agit-il ? Quelle variété? Quel est son repère ? Quel est son diamètre ?
33- Quelle est votre conduite à tenir vis-à-vis de l'acceptation ou non de l'accouchement par voie basse

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Cas clinique 10:
Mme L est âgée de 28 ans, enceinte de 34 SA, sa grossesse est non suivie elle se présente aux urgences
pour métrorragies minimes, examen = TA 9/4 , pouls 100 b/, OMI œdèmes des membres inférieurs
albuminurie a 3 croix aux bandelettes urinaires , une contracture utérine avec absence de bruits
du cœur fœtaux, TV = col long fermé postérieur, présentation haute mobile et bassin cliniquement normal
, l’échographie confirme la négativité de l’activité cardiaque avec un placenta fundique
34- Quel est votre diagnostic argumentez ?
35- Quelle est votre conduite à tenir ?
Cas clinique 11:
Patiente âgée de 36 ans, grande multipare, se présentant aux urgences obstétricales pour métrorragies sur
grossesse de 37 semaines d'aménorrhée :
36- Quels sont les diagnostics à évoquer ?
La tension artérielle de la patiente était à 18/11 et sa protéinurie était positive à la bandelette
37- Quel diagnostic allez-vous retenir ?
38- Quel serait votre conduite à tenir ?
Cas clinique 12:
Mme X âgée de 28 ans multipare, grossesse non suivie estimée à 28SA consulte en dehors du travail aux
urgences pour métrorragies, à l'examen TA 9/6 pouls filant, contracture utérine BCF non perçus,
39- quel est votre diagnostic ?
40- quelle est votre conduite à tenir?

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1. Les Infections génitales: ( 33 questions )
1.1-Infections génitales : Questions générales :
1- La flore vaginale / vaginale normale / microbienne normale :
A. Est le principal moyen de défense local du vagin
B. Est différente d’une tranche d’âge à une autre
C. Est modifiée au cours du cycle indépendamment des secrétions hormonales (œstrogènes et
progestérone) chez la femme
D. Est perturbée chez les femmes ayant une activité sexuelle élevée
E. Est perturbée chez la femme ayant des partenaires sexuels multiples
F. Est un moyen de défense local du vagin
G. Est due à la présence en grande quantité de bacilles de Doderleine
H. Les bacilles de Doderleine rendent le pH vaginal basique
I. Elle peut-être modifiée par l'imprégnation hormonale
J. Son déséquilibre est la cause principale des vulvo-vaginites.
K. Est constitué de Bacilles de Doderlines
L. Est un moyen de défense contre les infections génitales
M. Peut être détruite par une antibiothérapie à large spectre
N. Peut-être restaurer par les probiotiques
O. Peut-être altérée par la douche vaginale
2- Les leucorrhées physiologiques :
A. Sont des pertes sanglantes non hormono-dépendantes provenant des voies génitales de la femme
B. Sont des pertes no sanglantes non hormono-dépendantes provenant des voies génitales de la femme
C. Proviennent de la desquamation excessive des cellules épithéliales du vagin
D. Sont exagérées lors d'un traitement hormonal progestatif
E. Sont exagérées lors d'un traitement hormonal œstrogénique
3- Les leucorrhées pathologiques :
A. Sont des pertes non sanglantes, nauséabondes provenant des voies génitales de la femme
B. Sont des pertes non sanglantes, provenant des voies génitales de la s'accompagnent d'une
inflammation vaginale et/ou d'un prurit vulvaire
C. Elles sont fréquentes chez les femmes diabétiques et enceintes
D. Elles se manifestent lors d'un déséquilibre de la flore vaginale
E. Elles sont favorisées par les douches vaginales
F. Sont des pertes Abondantes
A. Sont des pertes Malodorantes
B. Sont des pertes De couleur anormale
C. Sont des pertes Qui peuvent s'accompagner de douleur
D. Sont des pertes Qui peuvent s'accompagner d'inflammation vulvo-vaginale
4- Une leucorrhée pathologique peut-être secondaire à :
A. Une infection vulvo-vaginale
B. Une glaire cervicale abondante
C. Un déséquilibre de la flore vaginaie
D. Une hypo-oestrogenie de la période de post-ménopause
E. Desquamation de cellules épithéliales vaginales
5- La leucorrhée :
A. Elle est pathologique si elle provient de la sécrétion exagérée de la glaire cervicale

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B. Elle est pathologique si elle est luisante, translucide
C. Elle est pathologique si elle s’accompagne d'une odeur de poisson pourri
D. Elle est pathologique si elle a un aspect verdâtre
E. Elle est physiologique si elle s’accompagne d'une dyspareunie
6- Infections génitales chez la femme
A. Les infections génitales chez la femme sont définies comme des infections du tractus génital
B. Les infections du tractus génital bas sont plus fréquentes et plus grave que les infections du tractus
génital haut
C. La principale manifestation clinique des infections génitales basses est la leucorrhée pathologique
D. Les principaux germes en cause des cervicites gonocoque et le chlamydiae
E. L’évolution des cervicites non traitées se fait vers les grossesses extra-utérines et l'infertilité
1.2-Infection génitales Basses :
7- Les vulvo-vaginites mycosiques se manifestent cliniquement par :
A. Un prurit vulvaire intense
B. Une inflammation vulvo-vaginale
C. Une dyspareunie
D. Des leucorrhées blanchâtres caillebottées
E. Des leucorrhées verdâtres
8- Le traitement des vulvo-vaginites mycosiques :
A. Se fait par un antifongique par voie orale
B. Se fait par un antifongique par voie vaginale
C. Une association d’une crème antifongique de la région vulvaire doit-être indiquée en cas de prescription
d’un traitement antifongique par voie vaginale.
D. La voie orale (par Fluconazole) est contre-indiquée chez la femme enceinte.
E. La prescription d'un antifongique par voie vaginale est contre-indiqué chez la femme enceinte.
F. Est basé sur Un antimycosique par voie oral
G. Est basé sur Un antimycosique par voie vaginale (par des ovules) et vulvaire (par une crème)
H. Est basé sur Un antimycosique par voie vaginale (par des ovules) seul sans association d'un traitement
vulvaire (par une crème).
I. Est basé sur Un traitement imidazolé par voie orale
J. Le traitement antimycosique par voie orale est contre-indiqué chez la femme enceinte.
9- La candidose vulvo-vaginale :
A. Se manifeste par un prurit vulvaire
B. Se manifeste par des leucorrhées blanchâtres caillebottées
C. Se traite par les antifongiques par voie locale
D. Chez la femme enceinte les antifongiques par voie orale sont contre indiqués
E. Est plus fréquente chez la femme diabétique
10- Les vulvo-vaginites mycosiques :
A. Sont des infections vulvo-vaginales au candida albicans.
B. Sont fréquentes chez la femme enceinte.
C. Sont fréquentes chez la femme diabétique.
D. Se manifestent cliniquement par un prurit vulvaire avec des leucorrhées blanchâtres.
E. Un prélèvement vaginal pour une culture et fongigramme est obligatoire vu la fréquence élevée des
souches résistantes aux antifongiques.
F. Sont des infections mycosiques qui touchent le vagin et la vulve
G. Sont favorisées par l'hypoestrogénie
H. Favorisées par un Ph vaginal acide
I. Leur diagnostic passe obligatoirement par un prélèvement vaginal
J. Surviennent sur un pH vaginal basique

Pag 61:Ata e
K. Se manifestent cliniquement par un prurit vulvaire intense
L. Se manifestent par des leucorrhées grisâtres nauséabondes
M. A l'examen direct, on trouve un protozoaire flagellé
N. Fréquente chez les femmes
O. S'accompagnent de leucorrhées abondantes,spumeuses, nauséabondes
P. Sa transmission est principalement sexuelle
Q. Son traitement est basé sur le métronidazole 500 mg en deux prises par jour pendant une semaine.
R. Se manifestent lors d’une perturbation de l'écosystème vaginale avec un Ph basique
11- La vulvo-vaginite à trichomonas :
A. Est une infection de transmission sexuelle
B. Au spéculum; le col est rouge framboise
C. Les leucorrhées sont blanchâtres et caillebottées
D. Les leucorrhées sont nauséabondes (odeur de poisson pourri)
E. Le traitement se base sur les cyclines ou les macrolides
12- Le traitement des infections génitales à trichomonas vaginalis est basé sur :
A. Le métronidazole 500 mg (1 comprimé 2 fois par jour pendant 7 jours)
B. Ceftriaxone 500 mg en une injection IM
C. Le traitement du partenaire qui doit-être systématique
D. Le métronidazole 2 g en 1 prise
E. L'abstinence sexuelle pendant le traitement
13- Une vulvo-vaginite:
A. Peut-être secondaire à une antibiothérapie à large spectre mal adaptée
B. Peut-être favorisée par les menstruations
C. N'est pas en relation avec l'activité sexuelle de la femme
D. Fréquente chez la femme ayant une flore vaginale riche en bacilles de Doderleine
E. Est secondaire à une exploration vaginale par un matériel non stérile
14- Les / La vaginose bactérienne :
A. Est une vaginite à Gardnerella vaginalis
B. Se manifeste par un prurit vulvaire
C. Se manifeste par des leucorrhées blanchâtres caillebottées
D. Se manifeste par une odeur de poisson pourri
E. Est traitée par Métronidazole
F. Se manifestent lors d’une perturbation de l'écosystème vaginale avec un Ph basique
G. La transmission est sexuelle
H. Le germe en cause est le Trichomonas vaginalis
I. Cliniquement, elles se manifestent par un prurit vulvaire intense avec des leucorrhées spumeuses
J. Son traitement est basé sur le Métronidazole par voie orale et/ou locale
K. Sont des vulvo-vaginites à Trichomonas vaginalis
L. Sont des vulvo-vaginites à Gardnerella vaginalis
M. Le principal signe clinique est le prurit vulvaire intense
N. Donnent des leucorrhées verdâtres et spumeuses
O. Se manifestent sur un ph vaginal acide
P. donnent une malodeur vaginale (Odeur de poisson pourri)
Q. La malodeur est exacerbée par les rapports sexuels.
R. Leurs principales complications se manifestent chez la femme enceinte (Avortement, prématurité).
S. Leur recherche est systématique au premier trimètre chez une femme enceinte ayant un antécédent
d'accouchement prématuré.
T. Est Une infection génitale haute
U. Est le résultat d'un déséquilibre majeur de la flore vaginale
V. peut-être la cause des accouchements prématurée chez la femme enceinte

Pag 62:Ata e
W. Son traitement est basé sur les antimycosiques par voie orale et par voie locale
15- Le traitement de la vaginose bactérienne est basé sur :
A. Un antifongique par voie orale et/ou local
B. Le traitement du (ou des) partenaire (s) est systématique
C. Métronidazole par voie orale et/ou locale pendant une semaine
D. Doxycycline par voie orale : 100 mg X 2/j pendant 7 jours
E. Ceftriaxone (rocephine) : 500 mg IM en une seule prise.
16- L'infection à Chlamydiae Trachomatis :
A. Est une IST
B. Peut causer une stérilité
C. Peut être responsable du Sd Fitz-hugh-Curtis
D. Peut se compliquer d'un pyosalpinx
E. Peut être responsable de GEU
F. Peut être responsable d'une stérilité ovarienne
G. Peut être traiter par l'Azithromycine
H. Peut se compliquer d'un hydrosalpinx
I. Peut être éviter en utilisant les méthodes barrières
17- Devant une cervicite à gonocoque :
A. L'examen bactériologique est un antibiogramme sont obligatoire
B. Il faut chercher à coté de la cervicite une urétrite chez la femme ; refaire
C. Rechercher une autre IST
D. Associer un traitement anti-chlamydiae
E. Sont traitées par un antimycosique.
18- L'infection génitale à Papilloma Virus Humain (HPV):
A. Est l'infection virale sexuellement transmise la plus fréquente dans le monde
B. Touche préférentiellement la femme jeune sexuellement active
C. Dans plus de 80 % la femme fera spontanément la clearance (=Élimination de l'infection)
D. Dont les types à haut risque seront responsables des lésions intra-épithéliales du col utérin
E. Dont les types à bas risque seront responsables des condylomes génitaux
F. Son incidence augmente avec le nombre des partenaires sexuels
G. Le risque pour les types à bas risque est l'évolution peut se faire vers un cancer du col utérin
H. Les types d'HPV à bas risque sont responsables des verrues génitales
I. La majorité des infections à HPV disparaissent spontanément
J. Est l'infection virale sexuellement transmissible dans le monde
K. Risque d'évoluer vers un carcinome in situ
L. Son dépistage se fait par le FCV (Frottis Cervico-Vaginal)
M. En cas de FCV anormal, une colposcopie s'impose
N. L'évolution vers un cancer invasif du col utérin peut-être prévenue par la vaccination
O. Évolue rapidement vers un cancer invasif du col utérin
P. Elle donne des lésions intra -épithéliales du col utérin
Q. Les lésions intra épithéliales sont dépistées par un FCV (Frottis cervico-vaginal)
R. Sa fréquence peut être limitée par la vaccination des jeunes filles contre le virus
S. Est une infection sexuellement transmissible
T. Entraîne la présence de Koilocyte au Frottis cervico-vaginal
U. Peut être responsable du cancer du col utérin
V. Peut être responsable de condylomes vulvo-vaginaux
W. Peut-être prévenue par une vaccination à bas âge
X. Est une infection fréquente
Y. Le type a haut risque est responsable des condylomes vulvo-vaginaux
Z. Peut être prévenue par une vaccination après le mariage

Pag 63:Ata e
19- L'infection génitale à Papilloma Virus Humain (HPV) (suite):
A. Le risque est de créer des lésions intra-épithéliales du col utérin qui risquent d'évoluer vers un cancer
invasif pour les HPV à bas risque.
B. Le risque est de donner des végétations vénériennes pour les HPV à haut risque.
C. Son traitement est basé sur le Tinidazole . 500 mg en une prise.
D. La prévention de l'infection à HPV et des lésions intra-épithéliales est basée sur la vaccination anti-HPV.
E. Est l'infection sexuellement la plus fréquente qui touche surtout la femme jeune
F. Le risque est l'évolution vers un cancer du col.
G. Son dépistage passe par un FCV (frottis cervico-vaginal)
H. Peuvent-être prévenues par une vaccination chez les jeunes filles
I. Sont traitée par le métronidazole
20- La cervicite :
A. Est une infection du col utérin
B. Est une IST
C. Les germes les plus fréquemment en cause sont le chlamydiae trachomatis et le gonocoque.
D. Est une cause fréquente de stérilité et de grossesse extra-utérine
E. Se manifeste par des leucorrhées blanchâtres abondantes
21- Traitement des infections génitale chez La femme :
A. Le traitement des vulve-vaginites mycosiques est basé sur les antimycosiques par voie vaginale et/ou
par la voie orale
B. Le traitement des vulvo-vaginites à trichomonas est basé sur le métronidazole 2 g en une prise
C. Le traitement des vulvo-vaginites à trichomonas est basé sur le métronidazole 2 g par jour pendant 7
jours
D. Le traitement de la vaginose est basé sur le métronidazole : 500 mg/jour pendant une semaine
E. Le traitement de la cervicite à chlamydiae est basé sur l'Azithromycine : 1 g/ jours pendant une semaine
22- Les / Une infection génitale basse chez la femme :
A. Est une infection Qui touche le vagin
B. Est une infection Qui touche le col utérin
C. Est plus fréquente que l'infection génitale haute
D. Est plus grave que l'infection génitale haute
E. Peut-être responsable d'infertilité
F. Peut évoluer vers une stérilité définitive
G. Est secondaire à une perturbation de la flore génitale
H. Très fréquente avant l'âge de la puberté
I. Se manifeste surtout par des métrorragies noirâtres
J. Se manifeste par des leucorrhées physiologiques
K. Sont des infections qui touchent le vagin et les trompes.
L. Elles sont plus fréquentes que les infections génitales hautes et plus graves.
M. Peuvent se manifester par des vulvo-vaginites
N. Peuvent se manifester par des cervicites
O. Leur diagnostic est basé essentiellement sur les symptômes rapportés par la femme et l’examen
gynécologique au spéculum.
QR 1 :
23- Quels sont les signes cliniques d'une vulvo-vaginite mycosique?
QR 2 :
24- traitement d'une vulvo-vaginite mycosique.
QR 3 :
25- Vulvo-vaginites à trichomonas vaginalis : Diagnostic clinique et traitement

Pag 64:Ata e
QR 4 :
26- VULVO VAGINITE à trichomonas vaginalis :
26.a-Comment poser le diagnostic positif ?
26.b-Quel est le traitement ?
QR 5 :
27- Clinique et paraclinique des vulvovaginites.
QR 6 :
28- Signes cliniques et traitement des vaginites à gardnerella vaginalis
QR 7 :
29- Quels sont les différences sur le plan clinique entre les cervicites à gonocoque et les cervicites à
chlamydiae

1.3-Infections génitales hautes :


30- L'Endométrite :
A. Peut survenir en post-abortum
B. Se manifeste par des leucorrhées purulentes
C. Se manifeste par des douleurs pelviennes
D. Peut survenir après un geste endo-utérin
E. Une hyperleucocytose est constante
31- Les / La salpingite aiguë:
A. Est une infection tubaire dont les germes en cause sont principalement : le Chlamydiae trachomatis et le
gonocoque
B. Touche préférentiellement les femmes jeunes sexuellement actives
C. Se manifeste cliniquement par des douleurs pelviennes
D. Les critères majeurs qui évoquent la salpingite aiguë au TV sont : les douleurs pelviennes et la douleur
annexielle à la mobilisation de l'utérus
E. Devant une suspicion d'une salpingite aiguë,une coelioscopie doit être faite obligatoirement et en
urgence
F. Est une infection génitale des voies basses.
G. Fait suite en général à une cervicite à chlamydiae trachomatis ou au gonocoque.
H. Non ou mal traitée, elle peut évoluer vers la stérilité et/ou les grossesse extra utérine.
I. Son diagnostic clinique est fortement évoqué devant des douleurs pelviennes bilatérales et des douleurs
à la mobilisation de l'utérus au TV (Toucher vaginal).
J. Une coelioscopie est fortement recommandée dans le but de faire un diagnostic positif.
K. Sont des infections aiguës des trompes.
L. Font suite à une cervicite à gonocoque non ou mal traitée.
M. Pour poser un diagnostic positif et avant de démarrer un traitement médical ; il faut obligatoirement faire
une cœlioscopie à visée diagnostic.
N. Son traitement est basé sur l'azithromycine (1 g en une seule prise) associé à la ceftriaxone (1g en une
seule prise).
32- Le traitement d'une salpingite aiguë non compliquée :
A. Doit-être débuté et en urgence dès sa suspicion
B. Si retard au traitement de la salpingite aiguë, la patiente sera exposée à des complications (Infertilité,
grossesse extra-utérine, Douleurs pelviennes chronique...etc.)
C. Doit-être instauré en hospitalisation et par voie générale
D. Est prescrit en ambulatoire
E. Le plus testé et le plus efficace est basé sur la cephoxitine associée à la doxycycline

Pag 65:Ata e
QR 8 :
33- la salpingite aiguë :
33.a-donner le tableau clinique typique
33.b-quels sont les examens para cliniques

2. Les dysplasies cervicales: ( 6 questions )


1- parmi les propositions suivantes concernant les facteurs de risque des dysplasies du col utérin ,laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s) :
A. rapports sexuels précoces
B. contraception hormonale
C. dispositif intra-utérin
D. alcool
E. multiparité
2- le frottis cervico vaginal :
A. Est indiqué chez une femme ayant une activité sexuelle à partir de 35 ans
B. S’il est normal il doit être refait à 1 an d’intervalle puis tous les 03 ans jusqu’aux 65 ans .
C. Son taux de faux négatif est nul
D. Le début de grossesse constitue une opportunité pour le prescrire
3- Mme F, âgée de 27 ans, a bénéficié d'un frottis cervico-vaginal ayant objectivé un ASCUS. Vous
complétez par :
A. Test HPV
B. Colposcopie
C. Conisation
D. Double immunomarquage : P16/Ki67
E. Contrôle cytologique dans 3 ans
F. double immunomarquage p15/KI67
G. IVA inspection visuelle a l'acide acétique
4- Quelle(s) attitude(s) proposer en cas de FCV montrant une lésion bas grade chez une patiente de 35
ans ?
A. Surveillance cytologique
B. Typage viral
C. Colposcopie immédiate
D. Traitement destructif immédiat
E. Hystérectomie
5- Les / La dysplasie cervicale / du col utérin :
A. C'est un trouble de différenciation et de maturation des cellules du col utérin
B. C'est une pathologie de la femme âgée
C. Évolue toujours vers un cancer du col utérin
D. Est en rapport avec une infection par l'HPV
E. La membrane basale est toujours respectée
F. Est une lésion viro induite (HSV)
G. Naît au niveau de jonction pavimento-cylindrique
H. Est fréquente avant 30 ans
I. Évolue vers un cancer du col en 12 mois
J. La régression des lésions est possible
K. localisation préférentielle endocervicale
L. correspond à un trouble de la maturation cellulaire et prolifération des cellules atypiques

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M. évolue toujours vers un carcinome épidermoïde infiltrant du col utérin
N. peut régresser
O. principal facteur étiologique =infection par herpès simplex virus
P. Se manifestent souvent par des métrorragies provoquées
Q. Le virus HPV 16 18 sont incriminés dans la genèse des dysplasies cervicales
R. La majorité des CIN 1 évolue vers la cancer du col
S. la surveillance par frottis cervico-vaginal est indispensable chez les femmes vaccinées
T. La dysplasie est définie par des anomalies cyto-nucléaires et architecturales occupant le 1/3 de
l’épithélium malpighien
U. peut se manifester par des métrorragies provoquées
QR 1 :
6- Quelle est la place de la colposcopie devant un FCV en faveur d'une dysplasie

3. Le cancer du col utérin: ( 19 questions )


1- les propositions suivantes concernant l'épidémiologie du cancer du col utérin, laquelle (lesquelles)
est (sont) exacte (s)
A. Il s'agit du 1er cancer de la femme en fréquence
B. C'est un cancer lymphophile
C. Il est radiosensible
D. Il est souvent de bon pronostic
E. Il touche essentiellement la femme ménopausée
2- Les facteurs de risque du cancer du col utérin :
A. Rapports précoces
B. Bas niveau socio-économique
C. Tabac
D. Multiparité
E. Immunodépression
3- La « cause nécessaire » au développement du cancer du col de l'utérus est :
A. Une infection au VIH
B. Une infection persistante à l'HPV de haut risque
C. Le mariage à un âge précoce
D. Les naissances multiples
E. La non prise d'un contraceptif oral
4- Les types 16/18 de l'HPV sont responsables de :
A. 30-40% des cancers du col
B. 60-80% des cancers du col
C. 90-100% des cancers du col
D. Végétations vénériennes
5- Le cancer du col a pour diagnostics différentiels:
A. Tuberculose du col
B. Chancre syphilitique
C. Fibrome du col
D. Endométriose
E. Gros oeuf de Naboth
F. l'endométriose cervicale
6- les facteurs de mauvais pronostic du cancer du col utérin :
A. âge supérieur à 55 ans
B. Infection due à I HPV 16

Pag 67:Ata e
C. stade FIGO IB -IA
D. type histologique : carcinome épidermoïde infiltrant bien différencié
E. atteinte ganglionnaire iliaque
F. âge >35 ans
G. infection HPV 18
H. taille tumorale ≤ 2 cm
I. adénocarcinome
J. atteinte ganglionnaire lomboaortique
7- Quel(s) est (sont) le (s) facteur(s) pronostique (s) du cancer du col ?
A. Le stade de la FIGO
B. L'âge de la patiente
C. Le volume tumoral
D. L'envahissement ganglionnaire
E. Type histologique
8- Le Vaccin HPV :
A. Est un vaccin prophylactique
B. Est un vaccin thérapeutique
C. Les jeunes filles vaccinées devront faire des frottis de dépistage
D. On vaccine les filles de 9 à 14 ans
9- Parmi ces propositions concernant les carcinomes in situ du col lesquelles sont exactes :
A. Il est du à la prolifération de cellules épithéliales présentant des atypies nucléaires
B. est responsable d'une désorganisation architecturale de l'épithélium malpighien
C. Est dépisté par un frottis cervico vaginal
D. Doit être confirmé par une échographie endovaginale
E. s'accompagne de métastase ganglionnaire
F. Il est dû à la prolifération des cellules épithéliales présentant des types nucléaires
G. Doit être confirmé par une biopsie du col
10- le carcinome épidermoïde du col :
A. Peut se manifester par des métrorragies provoquées dans sa forme invasive
B. Se prête au diagnostic précoce et à la prévention
C. Est radio résistant
D. l'IRM pelvienne est l'examen de référence dans l'évaluation pré-thérapeutique
E. Le CA 125 est un marqueur spécifique
11- le cancer du col :
A. Est le premier cancer gynécologique au Maroc
B. L'âge moyen de survenue est 45 ans
C. Est un cancer radiosensible
D. Le type 'adénocarcinome' est le plus fréquent
E. Son extension se fait le plus souvent par contiguïté
F. deuxième cancer gynécologique
G. l'extension se fait exclusivement par voie hématogène
H. le traitement est toujours chirurgical
I. E stade II : cancer strictement limite au col utérin
J. prévention primaire se base sur le dépistage
K. age moyen =65 ans
L. métrorragies abondantes sont en faveur d'un stade avancé
M. PET SCANNER est systématique pour les stades ≥IB2
N. est lymphophile
O. n‘est pas sensible à la radiothérapie
P. le carcinome épidermoïde est le plus fréquent

Pag 68:Ata e
Q. Cancer viro induit (HPV)
R. La multiparité est parmi les facteurs de risque
S. Prend naissance au niveau de la jonction pavimento-cylindrique
T. Est une maladie qui reste longtemps locorégionale
U. L’infection par HPV est considérée comme facteur causal
V. la mutation du gène BRCA 1 est un facteur de risque
W. Ils ont un développement locorégional
X. Ils sont hormonodépendants
QR 1 :
12- Citer les facteurs de risque du cancer du col utérin.
QR 2 :
13- Histoire naturelle du cancer du col.
QR 3 :
14- Circonstances découverte d'un cancer du col utérin
QR 4 :
15- Classification FIGO du cancer du col de l'utérus
QR 5 :
16- L'intérêt de l'UlV chez une patiente présentant un cancer du col utérin.
QR 6 :
17- Apport d’IRM dans le cancer du col
QR 7 :
18- Les facteurs pronostic du cancer du col.
Cas clinique 1:
19- Un FCV est réalisé chez une patiente de 32 ans sous pilule, la cytologie répond carcinome du col
utérin, que proposez-vous
A. Faire colposcopie
B. Faire une biopsie du col
C. Conisation du col
D. Traitement radio chirurgical
E. Arrêter la pilule et refaire le frottis

4. Le cancer de l’endomètre: ( 11 questions )


1- les propositions suivantes concernant l'épidémiologie du cancer de l’endomètre, laquelle (lesquelles) est
(sont) exacte (s) ?
A. Il s’agit du 1er cancer de la femme en fréquence
B. Il touche essentiellement la femme ménopausée
C. Il et souvent de bon pronostic
D. Il survient sur un terrain d'hyper ostéogénie
E. On retrouve toujours un continuum évolutif allant de l'hyperplasie simple à I hyperplasie complexe et un
cancer
2- Les facteurs de risque du cancer de l'endomètre:
A. HTA et diabète
B. l'obésité
C. les patientes avec un syndrome des ovaires polykystiques
D. antécédent d'irradiation pelvienne
E. le traitement par tamoxifène

Pag 69:Ata e
F. Tabagisme
G. Multiparité
H. contraception orale
I. Syndrome de lynch
3- Le risque de survenue de l'adénocarcinome de l’endomètre est majoré par
A. L'obésité
B. l'HTA
C. L’adénomyose
D. Le syndrome des ovaires micro-polykystiques
E. Le diabète
4- pour la prévention du cancer de l'endomètre , il faut :
A. traiter les polypes et les hyperplasies de l'endomètre
B. mettre les patientes sous tamoxifène
C. vacciner les jeunes filles
D. prescrire les oestrogènes à faible dose
E. faire une hystérectomie préventive pour les femmes porteuses de mutation BCRA1- BCRA2
5- le cancer de l'endomètre :
A. type histologique :cancer papillaire séreux est plus fréquent 80%
B. il est le plus souvent symptomatique
C. à l'examen : l'utérus est toujours augmenté de taille
D. à l'échographie endovaginale , l'épaisseur de l'endomètre doit être ≥ 10mm
E. le frottis cervico vaginal confirme le diagnostic
F. Est un cancer de la femme ménopausée
G. Est un cancer hormono-dépendant
H. L'HTA et le diabète sont des facteurs de risque
I. Le tamoxifène protège contre le cancer de l'endomètre
J. Le traitement est exclusivement chirurgical
K. une maladie des pays pauvres
L. son pic de prévalence =40 ans
M. toujours asymptomatique
N. Adénocarcinome endométrioïde est le type histologique le plus fréquent
O. IRM pelvienne permet de confirmer le diagnostic
P. Le pronostic est meilleur chez la femme jeune
Q. C'est un cancer de la femme jeune
R. Peut se manifester par des leucorrhées post ménopausiques
S. Est un cancer qui se prête au dépistage par le frottis cervico-vaginal
T. Est toujours révélée par une augmentation de la taille utérine à l'examen clinique
U. Est confirmé par biopsie de l’endomètre
V. Son pronostic est conditionné par l'envahissement tumoral du myomètre
QR 1 :
6- Les facteurs de risque du cancer de l'endomètre.
QR 2 :
7- Quels sont les moyens paracliniques pour le diagnostic du cancer de l'endomètre ?
QR 3 :
8- Apport de l’imagerie par résonnance magnétique dans le cancer de l'endomètre
QR 4 :
9- Diagnostic différentiel cancer de l’endomètre
QR 5 :

Pag 70:Ata e
10- Facteurs pronostiques du cancer de l'endomètre
QR 6 :
11- Traitement préventif du cancer de l’endomètre

5. Les fibromes utérins: ( 18 questions )


1- Parmi les facteurs de risque du fibrome utérin ) Quels sont les facteurs de risque du myome utérin :
A. La multiparité
B. Tabagisme
C. Obésité
D. Péri-ménopause
E. DIU en cuivre
F. DIU au lévonorgestrel
2- facteurs protecteurs des myomes utérins :
A. multiparité
B. post ménopause
C. DIU au cuivre
D. obésité
E. périménopause
3- Le fibrome de type 0 :
A. Est un fibrome dont moins de 50% est intra cavitaire
B. Peut être responsable d'une hypofertilité
C. Il faut toujours demander IRM pour confirmer le diagnostic
D. Le traitement est exclusivement chirurgical
E. Il peut être asymptomatique
4- Un fibrome interstitiel de grande taille peut se compliquer de :
A. Nécrobiose aseptique
B. Torsion
C. Rupture
D. Hémorragie intra tumorale
E. Expulsion à travers le col
5- Le fibrome sous séreux type 7 peut se compliquer de :
A. Métrorragies
B. Ménorragies
C. Dégénérescence maligne
D. Torsion
E. Compression urétérale
6- Les complications / les complications possibles des fibromes :
A. Les complications hémorragiques
B. La torsion en cas de fibrome sous séreux pédiculé
C. L'évolution vers une endométriose interne
D. La dégénérescence œdémateuse
E. Anémie
F. Nécrobiose aseptique
G. Cancer de l'endomètre
H. Infection
I. Ménorragies
7- quel(s)est (sont) le (s) traitement (s)possible(s)des fibromes utérins:
A. myomectomie

Pag 71:Ata e
B. colpohystérectomie élargie
C. Embolisation
D. les progestatifs du 16 -ème au 25 -ème jour du cycle
E. les antifibrinolytiques
8- traitement par progestatif du fibrome utérin a pour but en première intention de :
A. Diminuer la taille du fibrome
B. Faire disparaître le fibrome
C. Traiter l'hyperplasie endométriale souvent associée
D. Diminuer la vascularisation du fibrome
9- les myomes utérins à opérer :
A. myome cervical
B. myome type 6
C. myome type 0
D. myome type 3 avec des ménorragies
E. myome en nécrobiose
10- Parmi les propositions suivantes indiquez celle(s)qui s'applique(ent) au fibrome utérin intra cavitaire
A. Ils peuvent coexister avec un utérus de taille normale
B. ils s'associent fréquemment à des ménorragies»
C. A un risque de dégénérescence quasi nul
D. Peut être traité par l'hystéroscopie chirurgicale
E. Parfois visible à l'ASP
11- le fibrome utérin:
A. Est une tumeur à la limite de la malignité
B. Est plus fréquent après 50 ans
C. Est toujours asymptomatique
D. Son traitement est toujours médical
E. Est une tumeur hormono-dépendante
F. pathologie fréquente chez la femme en perimenopause
G. le plus souvent asymptomatique
H. régresse après la ménopause
I. traitement est exclusivement médical
J. Il augmente de volume sous l’effet des œstrogènes
K. La nécrobiose aseptique est une complication spécifique de la grossesse
L. les fibromes type 0 et type 1 traitement est chirurgicale
M. La dégénérescence maligne est fréquente
N. L'abstention thérapeutique est possible
O. tumeur bénigne développée à partir du tissu fibreux du corps utérin
P. pathologie fréquente chez la femme ménopausée
Q. le traitement est exclusivement chirurgical
QR 1 :
12- Citez les facteurs prédisposant au fibromyomes utérins
QR 2 :
13- Expliquer le mécanisme du saignement d'un utérus myomateux.
QR 3 :
14- Les formes compliquées des fibromyomes utérins
QR 4 :
15- Les examens complémentaires à demander devant un fibrome utérin et justifier leurs intérêts.
QR 5 :

Pag 72:Ata e
16- Intérêt de l'échographie pelvienne dans le diagnostic du fibrome utérin
QR 6 :
17- Les complications des fibromes utérins.
Cas clinique 1:
18- Mme Y, vous consulte pour suivi de ménométrorragies sur utérus fibromyomateux, parmi les
propositions suivantes, quelle(s) est (sont) celle (s) qui appartient(nent) au bilan pour définir votre prise
en charge ?
A. Examen clinique pour évaluer le volume utérin
B. Echographie pelvienne
C. FCV
D. Numération formule sanguine
E. Dosage du CA.125

6. Les tumeurs de l’ovaire: ( 19 questions )


1- Parmi les facteurs du risque des cancers épithéliaux de l'ovaire :
A. l'âge avancé
B. Infection par l’HPV (Papilloma virus Humain)
C. Infection par l’Herpes Simplex Virus de type 2
D. Le blocage de l’ovulation
E. L’induction de l’ovulation
2- La dissémination des cellules malignes de l'ovaire :
A. Se fait par voie péritonéale vers le péritoine pelvien
B. Se fait par voie péritonéale vers la capsule hépatique
C. Se fait par voie lymphatique vers les chaînes lombo-aortiques
D. Se fait par voie lymphatique vers les chaînes iliaques externes
E. Se fait par voie sanguine vers le poumon
3- La dissémination des cancers épithéliaux de l’ovaire se fait / le mode de dissémination :
A. Par voie lymphatique vers les ganglions iliaques et lombo-aortiques
B. Par voie lymphatique vers les ganglions iliaques et axillaires
C. Par voie péritonéale
D. Par voie digestive
E. Par voie sanguine
F. Peut se faire vers le grand épiploon
G. Peut se faire vers le péritoine viscéral
H. Peut se faire vers le péritoine pariétal
I. Peut se faire vers les ganglions iliaques bilatéraux
4- L'extension des tumeurs malignes épithéliales de l'ovaire est :
A. Péritonéale vers le grand épiploon
B. Péritonéal vers le péritoine pariétal
C. Ganglionnaire vers les ganglions iliaques droits et gauches
D. Ganglionnaire vers les ganglions lombo-aortiques
E. Ganglionnaire vers les ganglions iliaques droits et gauches et lombo-aortiques
5- La symptomatologie clinique des tumeurs malignes de l’ovaire :
A. Est spécifiques de ces tumeurs
B. Peut être très varié
C. Peut se manifester par une ascite de grande abondance
D. Peut se manifester par des signes d’hyper-androgénie
E. Peut se manifester par une altération de l'état général

Pag 73:Ata e
6- Les signes d'organicité échographiques d'un kyste de l’ovaire
A. Image complètement anéchogène à paroi fine
B. Présence de végétations
C. Caractère multiloculaire
D. Diamètre du kyste de 3 cm
E. Paroi épaisse du kyste
7- les critères échographiques de malignité d'une tumeur de l'ovaire / en faveur de cancer de l'ovaire :
A. Présence de végétations à la surface de la tumeur
B. Une image anéchogène à paroi fine
C. Image échogène hétérogène avec des cloisons épaisses
D. Présence d'une masse tumorale de l'ovaire associée à une ascite
E. Une image kystique avec une vascularisation anarchique de la paroi du kyste au doppler
F. Absence de végétations intra-kystiques
G. Contenu échogène hétérogène à prédominance solide.
8- Image hétérogène à double composante
A. Végétations endo ou exo kystique
B. La présence d'une ascite
C. Cloisons épaisses vascularisées
D. Une image de 7cm complètement anéchogène à paroi fine
E. La présence d’une image anéchogène avec des cloisons épaisses et irrégulières.
F. La présence d’une image anéchogène, homogène et à paroi fine.
G. La présence d'une image hétérogène de grande taille
H. La présence d’une image ovarienne associée à une ascite.
I. Une image hétérogène à double composante tissulaire et liquidienne
J. Une image complètement anéchogène à paroi fine
K. Une image complètement anéchogène comportant des végétations endo-kystiques
L. Une image présentant une paroi épaisse, irrégulière et vascularisée au Doppler couleur
M. Une image anéchogène de grande taille et multiloculaire
N. Une image kystique à paroi fine
O. Une image kystique sans végétations exo-kystiques ou endo-kystiques
P. Une image kystique avec des végétations endo-kystiques
Q. Une image kystique avec une vascularisation périphérique sur la paroi du kyste
R. Double composante liquidienne et tissulaire
S. Contenu du kyste complètement anéchogène et homogène
T. La paroi du kyste, et les cloisons sont épaisses et vascularisées au Doppler couleur
U. Une taille de la tumeur augmentée dépassant 10 cm.
V. Présence de végétations endo et exokystiques.
W. Présence d'une paroi de la tumeur et des cloisons épaisses et vascularisées au Doppler.
9- l’échographie pelvienne :
A. Est l'examen clé pour l'exploration des tumeurs de l'ovaire
B. Elle est faite par voie sus-pubienne ou par voie vaginale
C. A l'échographie pelvienne, l'existence d'une image purement anéchogène à paroi fine, de petite taille et
non vascularisé au doppler évoque la malignité
D. A l'échographie pelvienne, l'existence d'une image purement anéchogène à paroi fine, de petite taille et
non vascularisé au doppler évoque un kyste fonctionnel
E. A l'échographie pelvienne, l'existence d'une image échogène multiloculaire et dont la taille dépasse 8
cm évoque un kyste organique
10- une tumeur épithéliale de l'ovaire :
A. L'IRM doit-être réalisée systématiquement et en première intention
B. L'IRM doit préciser l'origine exacte de la tumeur

Pag 74:Ata e
C. L'IRM a pour objectif de différencier entre une tumeur de nature bénigne et une tumeur suspecte de
malignité
D. Le dosage de l'Ag CA 125 est capital pour le diagnostic de la malignité de la tumeur
E. Le dosage de l'Ag CA125 a un intérêt dans le suivi post-traitement
11- Une tumeur de l’ovaire est classée I a:
A. Si la tumeur limitée à un ovaire, avec capsule ovarienne intacte sans végétations et cytologie
péritonéale négative.
B. Si la tumeur touche les deux ovaires avec capsule ovarienne intacte sans végétations et cytologie
péritonéale négative.
C. Un traitement conservateur est indiqué chez une femme jeune désireuse de grossesse.
D. Un traitement conservateur est indiqué chez une femme jeune ne désirant pas de grossesse.
E. Le curage iliaque et lombo-aortique doivent-être réalisés systématiquement devant une tumeur de
l’ovaire classée I a
F. La tumeur touche un ovaire avec une capsule rompue, sans végétations exo-kystiques et sans ascite
G. La tumeur touche un ovaire avec une capsule intacte, sans végétations edo-kystiques avec des
végétations exo-kystiques et sans ascite
H. La tumeur touche un ovaire avec une capsule intacte, sans végétations exo-kystiques avec des
végétations endo-kystiques et sans ascite
I. La tumeur touche un ovaire avec une capsule intacte, sans végétations exo-kystiques et sans ascite
J. La tumeur touche un ovaire avec une capsule rompue accidentellement en peropératoire, sans
végétations exo-kystiques et sans ascite
12- Les moyens thérapeutiques d'une tumeur maligne de l'ovaire :
A. Hystérectomie totale associée à une annexectomie bilatérale
B. Annexectomie unilatérale
C. Curage iliaque bilatérale associé à une curage lombo-aortique
D. Réduction tumorale
E. Chimiothérapie
13- Le traitement des cancers épithéliaux de l’ovaire :
A. Le traitement chirurgical de base est une hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale, une
omentectomie et un curage iliaque bilatérale
B. et lombo-aortique
C. Le traitement chirurgical de base est une hystérectomie subtotale avec annexectomie bilatérale, une
omentectomie et un curage iliaque bilatérale et lombo-aortique
D. Le traitement conservateur peut-être indiqué chez une patiente jeune au stade Ib
E. Le traitement conservateur peut-être indiqué chez une jeune stade la
F. Le traitement conservateur peut-être indiqué chez une femme ménopausée stade la
14- facteurs pronostics du cancer épithélial de l'ovaire sont :
A. L'ovulation
B. L'anovulation
C. Les inducteurs de l'ovulation
D. La contraception
E. L'âge avancé
15- Les tumeurs épithéliales de l'ovaire :
A. Se développent à partir de l'épithélium ovarien
B. Se développent à partir du stroma ovarien
C. Sont plus fréquentes chez les femmes âgées plus de 65 ans
D. Sont plus fréquentes chez les femmes jeunes de moins de 25 ans
E. Peuvent-être bénignes, malignes ou borderline (à la limite de la malignité)
16- Les tumeurs malignes épithéliales de l’ovaire :
A. Sont les tumeurs ovariennes malignes les plus fréquentes.

Pag 75:Ata e
B. Sont favorisées par les traitements de l’infertilité (inducteurs de l'ovulation).
C. Dont l’âge avancé (plus de 70 ans) serait un facteur de risque.
D. Dont le principal mode de dissémination est la dissémination péritonéale.
E. Dont la dissémination lymphatique se fait vers les ganglions lombo-aortiques et les ganglions iliaques.
F. Sont plus fréquentes chez les femmes jeunes âgées entre 30 -35 ans
G. Dont le facteur de risque principal serait les inducteurs de l'ovulation
H. La contraception oestro-progestative serait un facteur protecteur
I. La mutation des gènes BRCA1 et BRCA2 augmente la probabilité de développer ces tumeurs
J. Sont plus fréquentes dans les pays du tiers monde en comparaissant avec les pays développés
K. Sont plus fréquent dans la tranche d'âge 25 - 30 ans
L. Est plus fréquent que les tumeurs de la granulosa
M. Peuvent se manifester cliniquement par une ascite
N. Peuvent-être complètement asymptomatiques aux stades précoces
O. Dont I échographie pelvienne est le premier examen para clinique à demander
17- Les cancers épithéliaux de l'ovaire :
A. Les ménarches précoces et la ménopause tardive seraient des facteurs de risque
B. Le blocage de l'ovulation serait un facteur protecteur
C. Sont plus fréquents à un âge avancé (Plus de 65 ans)
D. Se développent à partir des cellules épithéliales de l’ovaire
E. Les cancers épithéliaux de l'ovaire (cystadéno carcinomes) sont les plus fréquents par rapports aux
autres cancers de l'ovaire
F. La dissémination est péritonéale vers le péritoine pelvien et viscéral ganglions
G. La dissémination est lymphatique vers les ganglions iliaques
H. La dissémination est lymphatique vers les ganglions lombo-aortiques
I. Le geste chirurgical doit-être précédé par une exploration très large de toute la cavité
péritonéale abdomino-pelvienne
J. Le traitement chirurgical de base est l'hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale +
omentectomie + curage iliaque bilatéral et lomboaortique et appendicectomie en cas de tumeur
mucineuse
18- (En cas de) cancer de l'ovaire :
A. Le diagnostic est souvent tardif
B. Les symptômes sont non spécifiques
C. Les tumeurs épithéliales sont les plus fréquentes
D. La dissémination peut être péritonéale
E. La chirurgie n'a pas de place
F. Les cancers épithéliaux sont les plus fréquents
G. Les tumeurs du mésenchyme et du cordon sexuel peuvent s'accompagner d'une sécrétion des
œstrogènes.
H. Les tumeurs du mésenchyme et du cordon sexuel peuvent s'accompagner d'une sécrétion des
androgènes.
I. L'âge jeune est un facteur du risque du cancer de l'ovaire.
J. Les cystadénocarcinomes séreux de l'ovaire s'accompagnent d’une — mucineuse.
19- Les tumeurs malignes de l'ovaire :
A. Sont plus fréquentes chez les femmes jeunes
B. Leurs incidences sont plus élevées dans les pays les plus développés
C. L'anovulation serait un facteur protecteur
D. Les inducteurs de l'ovulation augmentent le risque du cancer de l' ovaire
E. Les tumeurs sécrétantes de l'ovaire peuvent être féminisantes ou masculinisantes
F. L'existence de végétations intra-kystiques et des cloisons épaisses vascularisées a doppler seront
des critères de malignité

Pag 76:Ata e
G. L'IRM pelvienne est plus performante que l'échographie pour I exploration des tumeurs
H. de l'ovaire
I. La classification clinique des tumeurs malignes de l'ovaire est chirurgicale et se fait en
per-opératoire
J. L'intervention de base des tumeurs de l'ovaire consiste à faire : une hystérectomie total avec
annexectomie bilatérale, curage iliaque bilatérale, curage lombo-aortique omentectomie et
appendicectomie en cas de tumeurs mucineuses
K. Un traitement conservateur (- Ovariectomie homolatérale) peut-être indiqué chez Ia femme jeune
au stade I a

7. Le cancer de la vulve: ( 6 questions )


1- Les lésions précancéreuses de la vulve sont :
A. Lichen plan
B. Condylome vulvaire
C. Papulose bowenoide
D. Lichen scléro-atrophique
E. VIN II
2- Les néoplasies intra-vulvaires (VIN) :
A. Si elles ne sont pas prises en charge, elles évoluent vers un cancer invasif de la vulve
B. Les VIN classiques sont viro-induites (à HPV)
C. Les VIN différenciés sont non viro-indultes
D. Les VIN différenciées touchent les femmes ménopausées
E. Devant une VIN classique (= Viro-induites) la recherche des lésions cervicales et vaginales s’impose
3- une tumeur maligne de la vulve est évoquée cliniquement.
A. Devant une patiente de 75 ans qui se présente pour un prurit vulvaire
B. Devant une patiente ménopausée qui présente des métrorragies provenant du vagin
C. Devant une patiente présentant une tumeur bourgeonnante et saignant au contact du clitoris
D. Devant une patiente présentant une tumeur ulcéro-bourgeonnante de la fourchette vulvaire et saignant
au contact
E. devant une patiente présentant une tumeur dure sensible de la petite lèvre
4- Le traitement du cancer de la vulve se base sur :
A. Une Vulvectomie et curage ganglionnaire pelvien
B. Une vulvectomie et curage ganglionnaire lombo-aortique
C. Une vulvectomie et curage ganglionnaire inguinale
D. Une radiothérapie
E. Une hormonothérapie
5- Tumeurs malignes de la vulve :
A. Le diagnostic positif est basé sur une biopsie de la tumeur sous anesthésie locale pour une étude
anatomo-pathologique
B. Dont le pronostic est mauvais si l'envahissement du stroma sous jacent à l'étude anatomo-pathologique
de la pièce opératoire est de 5 mm
C. Dont le traitement de base est la chimiothérapie
D. Dont le traitement de base est la chirurgie
E. Dont le traitement chirurgical est toujours radical à base de vulvectomie totale bilatérale et
lymphadénectomie bilatérale
6- Le cancer de la vulve : .
A. Touche la femme .jeune (vers 40 - 50 ans) s'il est viro-induit par l’HPV
B. Les lésions précancéreuses de type lichen scléreux sont non viro- induites
C. Les lésions précancéreuses de type maladies de Bowen sont viro induites

Pag 77:Ata e
D. Le traitement de base des cancers de la vulve est la chirurgie
E. Touche les femmes âgées (Plus de 65 ans) s’il n’est pas viro-induit
F. Est un cancer viro-induit
G. Peut-être non viro-induit
H. Le lichen scléro-atrophique de la vulve est un facteur de risque
I. La manifestation principale du cancer de la vulve est le prurit vulvaire
J. Le traitement chirurgical radical de base est la vulvectomie bilatérale associée à un curage inguinal
bilatérale
K. Se manifeste cliniquement par une tumeur exophytique
L. Se manifeste cliniquement par un prurit vulvaire
M. Il faut apprécier à l'examen l'extension aux organes de voisinage (urètre et sphincter externe)
N. Il faut apprécier l’extension ganglionnaire de la chaîne inguinale

8. Les cancers du sein: ( 38 questions )


1- Parmi / Les facteurs de risque du cancer du sein :
A. Ménarche précoce
B. Ménopause tardive
C. Première grossesse au-delà de 35 ans
D. Obésité
E. L’âge avancé est un facteur du risque
F. Les ménarches précoces et la ménopause tardive sont des facteurs protecteurs
G. L’obésité chez la femme ménopausée protège contre le cancer du sein
H. La multiparité et l'allaitement seraient des facteurs protecteurs contre le cancer du sein
I. A la mammographie, les seins denses seraient des facteurs de risque
J. L'âge jeune de la femme serait facteur de risque
K. L'obésité serait un facteur protecteur du cancer du sein
L. La multiparité serait un facteur protecteur du cancer du sein
M. L'allaitement au sein serait un facteur du risque du cancer du sein
N. La ménopause tardive protégerait contre le cancer du sein
2- L'adénocarcinome invasif du sein :
A. Se différencie de l'adénocarcinome in situ par l’envahissement de la membrane basale
B. Représente le type histologique le plus fréquent
C. Se développe au dépend des canaux galactophoriques
D. Son diagnostic est histologique
E. Son extension peut se faire par voie sanguine
3- Le cancer du sein Anatomie pathologie :
A. Dans le carcinome lobulaire in situ, la membrane basale est rompue
B. Le carcinome lobulaire in situ se développe à partir des canaux galactophoriques et pas des acinis
lobulaires
C. Les carcinomes in situ ont un bon pronostic par rapport aux carcinomes invasifs
D. Les adénocarcinomes infiltrants sont plus fréquents que les sarcomes du sein
E. L'extension lymphatique se fait vers les chaînes mammaires internes et externes
F. L'extension lymphatique se fait vers les ganglions lombo-aortiques
G. L'adénocarcinome est le type histologique le plus fréquent
H. Le carcinome in situ est caractérisée histologiquement par I’envahissement de la membrane basale
I. Le carcinome lobulaire infiltrant se développe au niveau des canaux galactophoriques
J. Le carcinome canalaire infiltrant se développe au niveau de L'unité ductulo- lobulaire terminale (UTDL).
K. Le carcinome in-situ est de plus mauvais pronostic par rapport au carcinome invasif.
L. Le carcinome canalaire in situ est caractérisé par une membrane basale intacte

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M. Sur le plan histologique l'adénocarcinome infiltrant est le plus fréquent
N. Les sarcomes du sein sont des tumeurs qui se développent à partir des canaux galactophoriques
O. Il est très méchant s’il s’agit d’un carcinome in situ
4- Le mode d'extension du cancer du sein
A. Est de proche en proche intra-galactophorique
B. Est hématogène
C. Est lymphatique
D. Est péritonéal
E. se fait vers les ganglions de la chaîne mammaire interne
5- L'autopalpation du sein :
A. Est un examen du sein qui doit être fait par le médecin
B. Est un examen du sein qui doit-être fait par la patiente elle même
C. Est à faire une fois par mois lors d'une douche
D. L'examen doit concerner tous les quadrants des deux seins et des deux creux axillaires
E. La détection d'un nodule du sein à l'autopalpation doit imposer une consultation médicale.
F. Est un examen qui se fait par la patiente elle même
G. Est un examen qui se fait par un médecin
H. Se fait devant un miroir bras levés
I. Se fait en position couchée
J. Son intérêt est pour le diagnostic des petits nodules mammaires
6- Lors de l’examen des seins :
A. Une lésion est évocatrice de malignité s’il y a une rétraction du mamelon
B. Une lésion est évocatrice de malignité s’il y a un aspect d'eczéma du mamelon
C. Une lésion est évocatrice de malignité si elle est associée à un écoulement mamelonnaire unipore
verdâtre à la pression du mamelon
D. Une lésion est évocatrice de malignité si elle mobile par rapport à la peau et fixée au muscle grand
pectoral
E. Une lésion est évocatrice de malignité si elle est associée à un œdème des deux membres inférieurs
F. Une rétraction cutanée serait en faveur d'une tumeur maligne
G. Un écoulement mamelonnaire des deux seins évoque une tumeur maligne des deux seins
H. Un écoulement mamelonnaire unilatéral, unipore évoque une lésion maligne
I. La taille de la tumeur doit-être mesurée
J. La palpation des aires ganglionnaires axillaires est importante
7- Un écoulement mamelonnaire est suspect de malignité s'il est :
A. Lactescent et bilatéral au niveau des deux seins
B. Verdâtre, unilatéral et unipore
C. Sanglant, unilatéral, unipore
D. S'il est suspect de malignité, il impose une exploration radiologique des deux seins.
E. S'il est suspect de malignité, une chirurgie de type Patcy s'impose en première intention
8- Le diagnostic clinique du cancer du sein :
A. Débute par l'interrogatoire à la recherche des facteurs du risque du cancer du sein.
B. Au cours de l'inspection, une modification (comme une rétraction de la peau) est évocatrice de la
malignité.
C. A l'inspection des deux seins, un écoulement mamelonnaire d'aspect lactescent bilatéral (des deux
seins) est évocateur de la malignité.
D. A la palpation des deux seins, l'existence d'un nodule dure, fixé au muscle grand pectoral est en faveur
de la bénignité.
E. A la palpation, la recherche des adénopathies axillaires bilatérales est obligatoire.
9- Parmi les signes très évocateurs du cancer du sein :
A. Une tumeur du sein mal limitée

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B. Une lésion radiologique ACR2
C. Une lésion radiologique ACR5
D. Un nodule du sein bien limité mobile par rapport aux deux plans
E. Présence d'adénopathies axillaires homolatérales
10- L'exploration radiologique mammaire devant un nodule du sein :
A. Est basée sur le couple Mammographie - Échographie.
B. La Mammographie explore très bien les seins denses.
C. L'échographie mammaire est contre-indiquée chez la femme allaitante.
D. La mammographie est contre-indiquée chez la femme enceinte.
E. Lors de l'exploration mammographique,il faut réaliser deux incidences pour chaque sein (face et
oblique).
11- Une / La mammographie :
A. Est le premier examen à demander en cas de nodule du sein chez la femme allaitante
B. Elle explore parfaitement les seins denses
C. Doit-être faite en association à l'échographie mammaire
D. Par rapport à l'échographie, la mammographie explore mieux les micro-calcifications
E. Est un examen recommandé pour le dépistage du cancer du sein
F. En dehors des contre-indications est le premier examen à demander en cas d'un nodule du sein
diagnostiqué cliniquement.
G. Elle permet de mieux explorer les micro-calcifications
H. La classification ACR mammographique permet d'orienter la conduite à tenir diagnostique.
I. Une lésion ACR 2 à la mammographie impose de faire une biopsie
J. Une lésion ACR 5 à la mammographie impose de faire une intervention chirurgicale de type Patey.
K. La mammographie est un examen complémentaire nécessaire pour l'exploration des seins
L. La mammographie explore très bien les seins chez la femme allaitante
M. La mammographie est à éviter chez la femme enceinte
N. La mammographie permet de rechercher et classer les micro-calcifications
12- Devant une classification Bi-Rads de l'ACR (American College Of Radiology)
A. Devant une classification ACR 3 à l'échographie mammaire, il faut faire une microbiopsie du nodule.
B. Devant une classification ACR 3 à la mammographie, une surveillance à court terme (3 à 6 mois) est
conseillée.
C. Devant une classification ACR 4 à la mammographie, il faut faire une micro biopsie du nodule.
D. Devant une classification ACR 5 à la mammographie, il faut faire une micro biopsie du nodule.
E. Devant une classification ACR 5 à l'échographie mammaire, il faut faire un examen extemporané.
13- Les signes échographiques de malignité d’une lésion mammaire sont .
A. Image hypo-echogène homogène
B. Image hypo-echogène hétérogène
C. De contours irréguliers
D. Grand axe de la lésion est perpendiculaire à la peau
E. Image présentant un renforcement des échos en postérieur
14- En cas de palpation à l’examen d’un nodule du sein :
A. La mammographie est le premier examen para-clinique à demander chez une femme allaitante
B. Pour limiter l’irradiation, la mammographie est faite seulement sur le sein présentant le nodule si la
femme est enceinte
C. L’échographie mammaire est un bon examen si les seins sont denses
D. L’échographie mammaire ne permet pas d’explorer aisément les micro-calcifications
E. La mammographie explore mieux les micro-calcifications que l'échographie
15- La microbiopsie d'une lésion mammaire :
A. Permet de confirmer le type histologique
B. De chercher les récepteurs hormonaux si cancer

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C. De doser CA15-3
D. D'étudier l'expression HER2 si cancer
E. De déterminer le nombre de ganglions envahis
16- De l’étude anatomopathologique d’une micro- biopsie d’une tumeur du sein ; l’anatomo-pathologiste
doit:
A. Préciser le type histologique de la lésion.
B. Préciser le grade histologique de la lésion.
C. Préciser le nombre de ganglions envahis.
D. Rechercher l'expression des récepteurs hormonaux.
E. Rechercher l’expression de l’HER2.
17- La microbiopsie d'un nodule du sein :
A. Est faite par une palpation devant un nodule infra-clinique.
B. Est faite directement par un tru-cut devant nodule palpable de 5 cm grand axe.
C. Est faite sous repérage échographique devant un nodule infra-clinique.
D. Est préférée par rapport à l'examen extemporané.
E. Est préférée à la biopsie chirurgicale.
18- Le diagnostic histologique d'un nodule mammaire :
A. Se fait après une micro-biopsie directement sur une tumeur palpable
B. Se fait après une micro-biopsie sous contrôle échographique devant une lésion infra-clinique
C. Se fait après une exérèse chirurgicale après repérage stéréotaxique devant une lésion infra-clinique
D. Se fait après une exérèse chirurgicale après repérage stéréotaxique devant une lésion palpable
E. Donne le type histologique de la lésion
19- Le cancer du sein Exploration :
A. L’exploration des seins est basée sur le couple mammographie - échographie mammaire
B. L'échographie explore parfaitement les microcalcifications mammaires ; alors que la mammographie
explore parfaitement les seins denses
C. Pour une bonne exploration mammaire, il faut faire 4 clichés pour chaque sein
D. A l'échographie mammaire ; on doit obligatoirement explorer les ganglions du creux axillaire
E. Si on trouve une lésion classée ACR 4 ; à la mammographie ou à l’échographie : une micro biopsie de la
lésion doit-être indiquée
20- Le diagnostic du cancer du sein chez une femme de 50 ans fait appel :
A. Au couple mammographie échographie mammaire
B. IRM essentiellement
C. Une cytoponction mammaire systématique
D. Une microbiopsie si lésion palpable
E. Une macrobiopsie si micro calcifications
21- En cas de suspicion clinique de cancer du sein chez une patiente de 50 ans, il faut demander :
A. Une mammographie
B. Une échographie mammaire
C. Une IRM mammaire
D. Une cytoponction
E. Une exérèse chirurgicale en première intention
22- Devant un nodule du sein chez une patiente de 45 ans :
A. La mammographie est un examen clé dans l'exploration des seins
B. La mammographie explore mieux les micro-calcifications que l'échographie mammaire
C. L'échographie mammaire doit-être demandée en complément à la mammographie
D. Le grand axe de la lésion à l'échographie mammaire parallèle à l'axe de la peau évoque la malignité
E. Une atténuation des faisceaux en postérieur à l'échographie évoquent la bénignité

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23- Une tumeur du sein gauche mesurant 2 cm associée à une rétraction cutanée en regard
sans adénopathies axillaires palpables et sans métastases à distance est classée :
A. Tla, NO, MO
B. T4 b ; NO ; MO
C. T2; NI; MO
D. T3 ; NO ; MO
E. T4d, NO; MO
24- Le cancer du sein Facteurs pronostic :
A. Une tumeur du sein classée initialement T3 est de mauvais pronostic par rapport à une tumeur classée
initialement T1
B. L' absence d' emboles lymphatique lors d'une étude anatomopathologique est un facteur de bon
pronostic
C. Un cancer du sein diagnostiqué chez une femme jeune moins de 30 ans est de bon pronostic
D. L'expression des récepteurs aux estrogènes au niveau de la tumeur est un facteur pronostic
E. Le cancer du sein de type Luminal A a un bon pronostic par rapport au type triple négatif
25- Parmi les modalités du traitement du cancer du sein :
A. La chirurgie conservatrice ou radicale
B. La radiothérapie
C. La chimiothérapie
D. Le traitement par l'antiHER2 si HER2 positif
E. L'hormonothérapie si récepteurs hormonaux positifs
26- Le cancer du sein Traitement :
A. Le traitement chirurgical radical de base est l'intervention de type Patey
B. L'intervention de type Patey consiste à une mastectomie radicale associée à un Curage axillaire
homolatéral
C. L’intervention de type Patey consiste à une mastectomie radicale sans Curage axillaire homolatéral
D. Le traitement conservateur consiste en une tumorectomie large sans curage axillaire
E. La chirurgie du ganglion sentinelle vise à détecter le premier relais ganglionnaire
F. L'intervention chirurgicale de type Patey est l'intervention de base
G. Le traitement conservateur pour un cancer du sein est fait d'une tumorectomie large sans curage
axillaire homolatéral
H. Le traitement conservateur pour un cancer du sein est fait d'une tumorectomie large avec
curage axillaire homolatéral
I. Le traitement conservateur est indiqué pour les petites tumeurs
J. Une radiothérapie est un traitement complémentaire qui peut-être indiqué en pos opératoire
27- ( Dans ) le cancer du sein
A. Est le premier cancer de la femme dans le monde
B. L'exposition aux œstrogènes endogènes est le principal facteur de risque
C. La ménopause précoce serait un facteur de risque
D. La grossesse et l'allaitement seraient un facteur protecteur
E. Les hyperplasies atypiques des seins augmentent le risque de développer un cancer du sein
28- Est le premier cancer gynécologique au Maroc
A. Dont l'incidence est plus élevée dans les pays développés par rapport aux pays sous-développés
B. Son extension lymphatique se fait vers les ganglions axillaires homolatéraux
C. Son extension lymphatique se fait vers les ganglions de la chaîne mammaire homolatérale
D. Son diagnostic radiologique passe obligatoirement par la réalisation d'une IRM mammaire
29- Le risque augmente à partir de 40 ans et maximum entre 50 et 70 ans
A. Le type histologique le plus fréquent est l'adénocarcinome
B. L'extension peut être locale, lymphatique et hématogène
C. Est toujours symptomatique (présence de signes cliniques)

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D. Le pronostic est lié à plusieurs facteurs : statut ganglionnaire,histologiques, récepteurs hormonaux …
E. La découverte de la tumeur est faite par une auto-palpation
F. Les modifications des contours du sein, la rétraction cutanée et l'ombilication du mamelon sont des
signes cliniques en faveur de la malignité
G. L'examen des aires ganglionnaires et sus claviculaires bilatéraux est obligatoire
H. Le diagnostic positif du cancer du sein se fait par l'histologie
I. La micro-biopsie doit-être préférée à la biopsie chirurgicale
J. Un repérage mammographique est indiqué pour les lésions infra-cliniques
K. Une biopsie sous échographie est indiquée pour les lésions infra-clinique
L. Une étude histologique est demandée dans un intérêt diagnostic et pronostic
QR 1 :
30- Cancer du sein : Quels sont les facteurs de risque et les facteurs pronostic
QR 2 :
31- Quels sont les signes échographiques typiques d’une tumeur maligne du sein ?
QR 3 :
32- Quels sont les signes échographiques typiques de malignité d'un nodule du sein ?
QR 4 :
33- Décrire les signes radiologiques du cancer du sein.
QR 5 :
34- Diagnostic positif du cancer du sein (clinique. radiologique et histologique).
QR 6 :
35- Facteurs pronostic du cancer du sein
Cas clinique 1:
36- Une patiente de 50 ans qui consulte pour un nodule du sein gauche palpable mesurant 4 cm:
A. L’exploration mammaire par mammographie et échographie doit être proposée à la patiente.
B. Un contrôle par échographie dans les 6 mois ; sera proposé à la patiente si on trouve une image
échographique classée ACR4.
C. Une micro-biopsie systématique de la lésion doit-être indiquée, si on trouve à la mammographie une
opacité classée ACR 3.
D. Une micro-biopsie sous échographie sera indiquée on trouve une lésion classée ACR5 à la
mammographie et à l’échographie.
E. Une micro-biopsie directe par palpation de la lésion sera indiquée on trouve une lésion classée ACR5 à
la mammographie et à l’échographie.
Cas clinique 2:
Mme BF âgée de 50 ans consulte pour une tumeur du quadrant supérieur du sein droit faisant 4cm.
37- Quels sont les signes cliniques en faveur de la malignité ?
38- Quels sont les signes mammographiques en faveur de la malignité ?

9.Questions générales et Autres en Gynécologie : ( 3 questions )


1- Parmi les contre-indications d'une pose de stérilet:
A. Polype endo-cavitaire
B. Grossesse intra-utérine
C. Myome sous-séreux
D. Utérus cicatriciel
E. Post-partum immédiat

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QR 1 :
1- Les diagnostics à évoquer devant des métrorragies péri et post ménopausiques
QR 2 :
2- Quelle est la conduite à tenir devant des métrorragies post-ménopausique.

10.Cas cliniques Gynécologie : ( 13 questions )


Cas clinique 1:
1- Mme F, 70 ans, consulte pour des métrorragies post ménopausique, quels sont les diagnostics à
évoquer ?
A. Cancer de l'endomètre
B. Atrophie de l'endomètre
C. Hyperplasie de l'endomètre
D. Polype endométrial
E. Cancer du col utérin
2- La même patiente a bénéficié d'une échographie endovaginale ayant objectivé un endomètre épaissi
(12mm). Quel bilan paraclinique vous réalisez en premier? :
A. Hystérosonographie
B. Hystéroscopie
C. Biopsie de l'endomètre par une pipette de cornier
D. IRM
E. Frottis cervico vaginal
Cas clinique 2:
3- Mme K âgée de 75 ans , vous consulte pour des métrorragies post ménopausiques. Quel(s)est (sont)le
(s)diagnostic(s) que vous devez suspecter :
A. cancer du col utérin
B. cancer de l'endomètre
C. fibrome sous muqueux
D. cystadénome séreux de l'ovaire
E. atrophie de l'endomètre
4- une échographie endovaginale a été faite pour Mme K ayant objectivé un épaississement de
l'endomètre à 9 mm quels examens complémentaires allez vous pratiquer ?
A. biopsie de l'endomètre par la pipelle de Cornier
B. hystéroscopie
C. IRM pelvienne
D. dosage des marqueurs tumoraux
E. TDM pelvienne
Cas clinique 3:
5- Mme F âgée de 45 ans,consulte pour des métrorragies provoquées , l'examen objective une lésion du
col utérin faisant 2 cm qui saigne , quelle serait votre conduite à tenir ?
A. faire un frottis cervico vaginal
B. faire un test HPV
C. faire un test IVA
D. faire une biopsie du col
E. faire une colposcopie

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Cas clinique 4:
Patiente de 56 ans, en aménorrhée depuis 05 ans présentant depuis une année des métrorragies chez qui
l'examen gynécologique est sans particularité.
6- Quel examen complémentaire demandez-vous en 1er intention ?
A. Hystéroscopie
B. Echo endovaginale
C. Echo sus pubienne
D. IRM pelvienne
E. Hystérographie
Cas clinique 5:
Mme A.F âgée de 68 ans nulligeste ménopausée depuis l'âge de 53 ans, sans antécédents consulte pour
des métrorragies minimes intermittentes et capricieuses depuis quelques mois, son IMC :35kg/m2.
7- quel est le premier diagnostic que vous devez suspecter dans ce cas précis :
A. Cancer du col utérin
B. Fibrome sous muqueux
C. Atrophie endomètre
D. Cancer de l’endomètre
E. Cancer de l'ovaire
8- Au moyen de quels examens complémentaires allez-vous essayer de le confirmer ?
A. Echographie endovaginale
B. Biopsie de l’endomètre sous hystéroscopie
C. Frottis cervico-utérin
D. Biopsie de l'endomètre par pipelle de cornier
E. Dosage des marqueurs tumoraux
Cas clinique 6:
Mme F âgée de 69 ans ménopausée depuis 15 ans, consulte pour des métrorragies de faible abondance
évoluant depuis 4 mois avec des leucorrhées purulentes
9- Quelles sont les étiologies à évoquer ?
10- Qu’allez-vous rechercher à l’interrogatoire et à l'examen clinique ?
11- Quel examen de première intention allez-vous demander ?
12- Comment confirmer votre diagnostic ?
13- Quel bilan pré thérapeutique proposez-vous ?

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-Ce document contient toutes les questions d’anciens examens du Module médecine sociale
- santé publique - économie de santé
-( 2015-2023 :1ère et 2ème sessions ) - disponibles dans le Cahier d’Exams.
-Les 339 questions sont réparties cours par cours

1- La santé peut être définie comme :


A. un état de bien être physique. mental et social et ne consiste pas uniquement en l'absence de maladie
et d'infirmité
B. Une science
C. l'équilibre et l'harmonie de toutes les possibilités de la personne humaine (biologique. psychologique et
sociale)
D. la science et l'art d'organiser la réponse aux besoins de santé de la population
2- Les déterminants de la santé sont :
A. L'environnement physique et social
B. Les styles de vie
C. Les services de santé
D. Les facteurs biologiques
3- Les déterminants de la santé sur lesquels on peut agir sont :
A. L'environnement physique et social
B. Les styles de vie
C. Les services de santé
D. Les facteurs biologiques
4- Parmi les déterminants de la santé, il y a des facteurs modifiables qui peuvent faire l'objet de
programmes de prévention. Parmi ces facteurs :
A. Les comportements à risque comme le tabagisme
B. La génétique
C. Le système de soins
D. L'environnement
5- Les principales activités de la santé publique sont :
A. l'organisation du système de santé
B. L'organisation du système de santé prie
C. la prévention des maladies
D. le monitorage de l'état de santé de la population
E. La surveillance épidémiologique des maladies émergentes uniquement
6- L'approche traditionnelle clinique en santé consiste à :
A. s'intéresser seulement aux personnes malades
B. S'intéresser aux malades et aussi aux non malade
C. Prendre en charge les sujets seulement au moment de la consultation
D. Prendre en charge les sujets jusqu'au contrôle du problème

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7- Dans l'approche de santé publique :
A. Toute la population est concernée, malades et non malades
B. Les individus sont pris en charge uniquement au moment de la consultation
C. La responsabilité des individus se limite exécution des prescriptions médicales
D. La prise en charge des individus se fait jusqu' au contrôle du problème
E. Le prix lié à la gestion des ressources ne compte pas
8- Dans le cadre de l'approche systémique d'un système de santé proposée par l'OMS, les
éléments constitutifs du système sont :
A. La protection contre les risques sociaux et financiers
B. La gouvernance
C. La réactivité
D. Les vaccins
9- Dans le cadre de l'approche systémique d'un système de santé proposée par l’OMS, les éléments du
résultat (outcome) sont :
A. Les prestations de service
B. La gouvernance
C. La réactivité
D. Les vaccins
10- Dans le cadre de la même approche (approche systémique d'un système de santé proposée par
l’OMS), les éléments qui permettent aux ressources d'atteindre les résultats sont :
A. L'engagement du citoyen
B. Les médicaments
C. La qualité
D. Le sécurité
11- La définition du Système de santé selon l'organisation mondiale de la santé :
A. Toutes les activités officielles ou non qui portent sur les services de santé mis à la disposition d'une
population et sur l'utilisation de ces services
B. l'équilibre et harmonie de toutes les possibilités de la personne humaine
C. Les déterminants environnementaux de la santé
D. la science et l'art d'organiser la réponse aux besoins de santé de la population
12- Une intervention en santé publique :
A. Est un ensemble d'actions organisées pour produire des biens ou des services dans le but de
diagnostiquer une situation problématique
B. Est Système organisé d'actions visant dans un environnement donné à estimer le fardeau d'un problème
de santé
C. Peut faire partie d'un programme de prévention primaire
D. Peut faire partie d'un programme de prévention secondaire
E. Aucune proposition n'est juste
13- Les interventions en santé sont en lien étroit avec la démarche d'aide à la décision. Le cycle d'une
intervention se compose des éléments suivants :
A. Le contexte qui constitue le changement attendu ;
B. La prise de décision qui constitue l'effet ;
C. L'objectif qui constitue le changement ;
D. La prise de décision à l'issue du résultat
14- Un programme de santé est :
A. Un ensemble d'activités coordonnées
B. Un ensemble de processus
C. Une organisation coordonnée de pratiques dans la perspective d'un objectif
D. Un ensemble d'actions organisées pour produire des biens ou des services dans le but de diagnostiquer
une situation problématique

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E. Efficient s'il permet de réaliser les résultats prévu par ses objectifs
F. Efficace s'il permet de réaliser des résultats important avec un coût minime
G. Efficient s'il permet de réaliser des résultats importants avec un coût minime
H. Efficace s'il permet de réaliser les résultats prévus par ses objectifs
15- L'une des composantes d'un programme de santé consiste à véhiculer un message préventif de
lutte contre la sédentarité chez les adolescents à travers les enseignants des collèges. Ces derniers
constituent :
A. Un objectif de l'intervention
B. Des canaux de communication
C. Une structure
D. Un processus
16- Les principales fonctions d'un système de santé sont :
A. Mettre à disposition uniquement les services de santé, diagnostiques et curatifs nécessaires
B. Créer les ressources nécessaires
C. Gérer les problèmes de santé
D. Récolter les fonds
E. Organiser le financement
F. Mettre à disposition les services de santé nécessaires
G. Assurer la réactivité du système de santé
17- Le système d'information sur la santé :
A. Est l'une des composantes essentielle d'un système de santé
B. Est essentiel pour recueillir et analyser les données de la santé
C. Constitue un fardeau pour le système de santé
D. Fournit des preuves pour la prise de décisions fondées
E. Ne contribue pas à la gestion des activités de la santé
18- Le système de santé Bysmakien est caractérisé par :
A. La disponibilité et la gratuité des soins pour toute la population sans exception
B. Le financement exclusif par les impôts
C. La cotisation est proportionnelle au risque
D. La participation de l'usager par un ticket modérateur
E. La couverture médicale de la population active
F. Le financement exclusif par l'état
19- une action de santé a consisté à la vaccination des enfants d'une province, concernant la chaîne
des résultats de cette action :
A. La disponibilité des vaccins au niveau des centres de santé est un impact
B. L'adhésion de la population à cette action est un outcome
C. La diminution de la mortalité infanto juvénile et l'amélioration de l'état de santé des jeunes constituent
l'output
D. Aucune proposition n'est juste

1- Parmi les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) des Nations Unies qui sont liés à la
santé :
A. Réduire le fardeau sanitaire des maladies non transmissibles diabète l'incidence des cancers
B. Combattre le SIDA et le paludisme;
C. Réduire l'extrême pauvreté
D. Réduire la mortalité infantile
E. Réduire la fréquence de l'obésité

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2- Les objectifs du développement du millénaire (ODM) ont été établis en 2000 pour mettre un terme à la
pauvreté dans 15 années. Parmi ces objectifs, les suivants sont liés à la santé :
A. Réduire la mortalité infantile de deux tiers ;
B. Réduire la mortalité maternelle de trois quarts ;
C. Promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes ;
D. Veiller à ce que tous les garçons et les filles achèvent l'école primaire
3- La loi cadre 06/22 relative au système de santé nationale a été publiée en Décembre 2022. Les
principaux piliers de la réforme stipulée par cette loi sont :
A. La gouvernance
B. La lutte contre les maladies non transmissibles
C. La mise à niveau de l'offre sanitaire:
D. La réduction de la mortalité maternelle
4- L'offre de soins en mode fixe dans le secteur public est composé de :
A. Réseau des établissements des soins de santé primaire
B. Réseau Intégré des soins d'urgence médicale
C. Les visites à domicile
D. Les directions régionales de santé
5- Le Ministère de la Santé
A. est chargé d'élaborer et de mettre en œuvre la politique gouvernementale en matière de santé de la
population
B. suit la politique sanitaire internationale à laquelle le Maroc contribue
C. est chargé d'élaborer la politique nationale en matière de médicaments et de produits pharmaceutiques
D. n'est pas chargée de la mise en œuvre la politique nationale en matière de médicaments et de produits
pharmaceutiques
E. assure le contrôle de l'exercice des professions médicales, paramédicales et pharmaceutiques
6- Le centre National de Transfusion sanguine et d'hématologie
A. Organise la collecte et le groupage
B. Participe au dépistage de la syphilis, la tuberculose et le virus du SIDA
C. Participe à la Production de Produits Biologiques
D. Approvisionne les hôpitaux en sang et en dérivés de sang
E. Permet la maîtrise de la connaissance de l'état épidémiologique
7- L'offre de soins est organisée au niveau périphérique
A. Par des territoires de santé
B. Des préfectures et provinces sanitaires au niveau des régions
C. Des régions sanitaires au niveau des provinces
D. Des préfectures et provinces sanitaires au niveau des provinces
E. Aucune proposition n' est juste
8- Les Directions Régionales de la Santé
A. Ont pour mission la redéfinition de l'organisation et des attributions des services déconcentrés du
Ministère de la Santé
B. Sont implantées au chef lieu de chaque région administrative
C. Sont Gérées par un Directeur régional nommé par le Ministre
D. Coordonnent les activités des secteurs publique et privé
E. Ce niveau est la base d'exécution des programmes de santé
9- Le Ministère de la santé est représenté au niveau périphérique par les instances suivantes :
A. Les délégations au niveau des régions
B. Les délégations au niveau des provinces et préfectures
C. Les directions régionales au niveau des régions
D. Les directions régionales au niveau des provinces

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10- Le Service du réseau d'infrastructure et d'actions ambulatoires provincial ou préfectoral (SIAAP) est:
A. un service qui fait partie de l'organigramme d'une délégation du Ministère de la santé au niveau
provincial et préfectoral
B. dirigé par un médecin
C. dirigé par un paramédical
D. chargé d'élaborer les plans d'action des établissements des soins de santé de buse
11- Les établissements faisant partie du reseau de soins de santé de base (SIAAP) sont:
A. L'hôpital provincial
B. Le centre de santé
C. Le dispensaire rural
D. Le centre de santé urbain avec module d'accouchement
12- L’offre de soins en mode fixe dans le secteur publique se compose des réseaux d’établissements
suivants
A. Les établissements de soins de santé de base
B. Les établissements de soins de santé primaire
C. Le réseau hospitalier
D. Les équipes mobiles
E. Aucune proposition n’est juste
13- Les territoires de santé sont constitués de :
A. Circonscriptions sanitaires
B. Préfectures et provinces sanitaires
C. Structures de soins de santé privées
D. Régions sanitaires
E. Territoires de santé inter-régionaux
14- Le réseau de soins de santé de base :
A. Se distingue par un mode d'action exclusivement mobile en milieu rural
B. Constitue le premier contact entre la population et le système de santé
C. un rôle essentiellement curatif
D. Est la base d'exécution des programmes nationaux de santé
15- Le réseau de soins de santé primaire :
A. Se distingue par un mode d'action exclusivement mobile en milieu rural
B. Constitue le premier contact entre la population et le système de santé
C. A un rôle essentiellement curatif
D. Est la base d'exécution des programmes nationaux de santé
16- Le réseau des établissements de soins de santé primaire comprend :
A. Les centres de santé urbains et ruraux du premier niveau
B. Les centres de santé urbains et ruraux du deuxième niveau
C. Les hôpitaux de proximité
D. Les délégations provinciales du Ministère de la santé
17- Le réseau de soins de santé primaires est constitué des établissements suivants :
A. Les structures hospitalières
B. Les centres de santé
C. Les dispensaires
D. Les cabinets médicaux
E. Les structures spécialisées d'appui aux centres de santé et dispensaires
18- Le centre de santé rural de premier niveau :
A. Est placé sous la responsabilité d'un infirmier major
B. Est placé sous la responsabilité d'un médecin généraliste
C. Offre des prestations de santé préventives, curatives et promotionnelles
D. Est doté d'un module d'accouchement de 4 à 8 lits

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E. Offre des consultations de santé mentale
19- Les critères de création des établissements de soins de santé primaires sont :
A. Épidémiologiques;
B. Démographique;
C. Économiques;
D. Indépendants du milieu (urbain ou rural);
20- Le Centre de Diagnostic de la Tuberculose et des Maladies Respiratoires :
A. Ne peut pas prescrire l'hospitalisation des malades
B. Tient un registre pour uniquement les cas graves de la tuberculose
C. Établit/confirme le diagnostic de la tuberculose et des Maladies Respiratoire
D. Provoque des enquêtes de dépistage autour des cas
E. Indique le traitement ambulatoire des malades sortant de l'hôpital
21- Concernant le réseau hospitalier :
A. Le CHU est un établissement hospitalier du troisième niveau
B. Le centre hospitalier régional est un hôpital du premier niveau
C. Le centre hospitalier provincial est un hôpital du premier niveau
D. Le centre hospitalier régional est un établissement hospitalier du troisième niveau
22- La filière de soins :
A. Est un établissement de soin
B. Est ensemble d'acteur ou structures organisés autour d'une pathologie
C. Permet une meilleure organisation de la prise en charge d'une pathologie
D. Facilite la mise en place des protocoles de prise en charge
E. Est une organisation horizontal de la prise en charge des patients
F. Est une organisation verticale hiérarchisée de la prise en charge des patients
G. Propose que le premier contact d'accès aux soins soit représenté par le Médecin spécialiste
H. Fixe des niveaux de recours aux soins organisés selon le choix du patient
I. Est un programme de santé
23- Dans la filière des soins prévue dans la réforme de l'organisation de l'offre de soins :
A. L'organisation la prise en charge des patients est organisée indépendamment du territoire ;
B. Le médecin spécialiste du secteur privé est le premier contact d'accès aux soins ;
C. Les établissements des soins de santé primaire est le premier contact d'accès aux soins dans le secteur
public
D. Les niveaux de recours aux soins sont organisés selon la nature de la morbidité et les protocoles
thérapeutiques

1- L’analyse coût-efficacité :
A. Permet de mesurer l’état de santé d’une population
B. Est une technique d’aide à la décision reliant les coût d’une stratégie à ses conséquences, exprimées en
unités physiques (ex : nombre de vie sauvées, nombres de malades évités )
C. Est une mesure de prévention secondaire
D. A comme objectif de mesurer le degré d'atteinte des objectifs d'une stratégie
E. Aucune proposition n'est juste
2- L'analyse coût utilité :
A. Se base sur la mesure de la qualité de vie comme critère de résultat d'une intervention de santé. Ce
dernier est mesuré par les QALYS
B. Est une technique d'aide à la décision reliant les coûts d'une stratégie à ses conséquences exprimées
en unités physiques d'efficacité (ex : nombre d'années de vie sauvées, nombre de malades évités)
C. Est une méthode d'aide à la décision

Pag 229:Ata e
D. Fait partie des méthodes de prévention primaire
E. Aucune proposition n'est juste
3- L'évaluation médico-économique :
A. Est une structure de soins de santé de base
B. Est un outil d'aide à la décision des stratégies des financements
C. Permet de maximiser les résultats de santé obtenus compte tenu des ressources limitées
D. Consiste à comparer l'intérêt médical d'un acte de santé et son coût
4- l’efficience d'un programme de santé est
A. Le rapport entre le résultat et l'objectif
B. Le rapport entre le résultat et le coul
C. Un indicateur d'aide à la décision pour la gestion de ressources financière
D. Ne prend pas en compte le coût
5- Les coûts d'une intervention de santé :
A. Représentent la valeur de l'ensemble des ressources consommées pour la mise en oeuvre d'un
programme ou d'une intervention therapeutique
B. Dépendent de la perspective retenue pour l'étude c’est à dire la perspectives
C. Ne prennent pas en comptent l'horizon temporel d'une étude
D. Font partie des éléments à prendre en compte lors d'une analyse médico-économique
E. Sont estimés selon la perspective retenue pour l'étude
F. Sont pris en compte lors de toutes les types d'analyses médico-économiques
6- Le coût direct médical d'une intervention de santé comporte :
A. Le coût d'opportunité
B. Les coûts liés à l'utilisation de ressources du système de soins
C. Ils concernent les soins délivrés par les professionnels de santé
D. La valeur de la perte de production liée au temps de travail perdu par le malade
7- Les coûts indirects d'une action de santé correspondent :
A. à la valeur de la perte de production liée au temps de travail perdu
B. au coût d'opportunité du temps de soins de malades (qui aurait pu être utilisé ailleurs)
C. aux prix d’achat des médicaments
D. aux coûts sociaux
E. Aucune proposition n’est juste
8- Lors d'une analyse médico-économique de type coût efficacité le ratio coût efficacité différentiel :
A. Exprime le rapport entre le coût d'une intervention de santé et ses résultats
B. Exprime le surcoût engendré par la stratégie innovante par rapport à la stratégie de référence
C. Exprime le surcoût d'une unité supplémentaire d'efficacité gagnée par une Stratégie innovante par
rapport à une stratégie de référence
D. Exprime le résultat en terme de bénéfice pour la santé d'une stratégie innovante
E. Aucune proposition n'est juste.
9- Lors d'une analyse médico-économique les résultats outcome mesurent l'amélioration de l'état de santé,
ils peuvent être exprimés en :
A. Bénéfice économique pour des études coût-efficacité
B. QALYS lors des études coût-utilité
C. Unités physiques comme le nombre de cas guéris pour les études coût-bénéfice:
D. Unités physiques comme le nombre de cas guéris pour les études coût-utilité
E. Aucune proposition n'est juste.
10- Lors d'une analyse coût efficacité, une stratégie est dominée si :
A. Elle donne la même efficacité avec un coût supérieur
B. Elle donne moins d'efficacité avec le même coût
C. Elle donne moins d'efficacité avec un coût supérieur
D. Elle donne plus d'efficacité avec le même coût

Pag 230:Ata e
E. Elle donne la même efficacité avec un coût inférieur
F. Elle donne plus d'efficacité avec plus de coût
11- Une étude a été réalisée au Maroc pour comparer les différentes stratégies de prévention du cancer
du col de l'utérus. Les résultats ont montré que l'adoption du vaccin anti HPV (par rapport à la stratégie
actuelle) chez les adolescentes avec un taux de couverture de 70% permet de réduire la mortalité liée
au cancer du col avec un coût de 1150 US& par année de vie sauvée. Il s'agit d'une étude:
A. Coût-bénéfice
B. Coût-efficacité
C. Coût-utilité
D. Etude de cohorte
12- Une enquête nationale a été réalisée sur la gestion de la leishmaniose viscérale infantile au Maroc
a montré que le coût direct médical de la prise en charge était de 520 US&/cas². Dans le cadre de la
réduction du fardeau de cette maladie, les recommandations du comité d'expert spécifique de l'OMS à
recommandé
A. La prise en charge hospitalière des patients;
B. L'utilisation des test diagnostiques rapides;
C. La prise en charge ambulatoire aux établissements de soins de santé primaire;
D. La poursuite des recherches médico-économiques
E. L'amélioration de la lutte anti vectorielle;
Exercice 1 :
Lors d'une analyse médico-économique, on a comparé trois stratégies thérapeutiques. le tableau suivant
montre les outs et les résultats de chacune des stratégies

QALYs moyens par


Coût moyen par patient
patient

Stratégie A 40 000 € 4

Stratégie B 70 000 € 5

Stratégie C 60 000 € 4,5

13- De quel type d'études s'agit-il ?


A. coût efficacité
B. coût utilité
C. coût bénéfices
D. analyse de décision
14- Le ratio coût efficacité différentiel de la stratégie
A. 20000 E par QALY supplémentaire
B. 40000 E par QALY supplémentaire
C. 70000 E par QALY supplémentaire
D. Aucune réponse n'est juste
Exercice 2 :
15- Une étude évaluant l'ajout de bevacizumab (anticorps monoclonal) à la chimiothérapie standard
dans le traitement du cancer colorectal métastatique (*1) a estimé le coût d'un QALY supplémentaire à
28449 US Dollars. Quel est le schéma de cette étude ?
a. Méta Analyse
b. cohorte
c. Coût-utilité
d. Coût-efficacité

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Exercice 3 :
Lors d'une analyse médico-économique, on a comparé deux stratégies de lutte contre le tabac, la première
se base sur l'éducation pour la santé et la seconde se base sur l'application de la loi anti-tabac. La
campagne d'éducation (stratégie A) coûte 600 000 MAD et convaincra 1500 fumeurs d'arrêter de fumer,
alors que le faite de faire respecter la loi (stratégie B) coûtera 1 000 000 MAD et aura comme effet de
réduire le nombre de fumeurs de 2000
16- De quel type d'études s'agit-il ?
A. coût efficacité
B. coût utilité
C. coût bénéfices
D. analyse de décision
17- Le ratio coût efficacité de la stratégie A est :
A. 600
B. 600 MAD par fumeur en moins
C. 400 MAD par fumeur en moins
D. Aucune proposition
18- Le ratio coût efficacité différentiel de la stratégie B par rapport à la strategic A est :
A. 400000 MAD
B. 800 MAD
C. 800 MAD par fumeur en moins supplémentaire par rapport à A
D. 80 MAD par fumeur en moins
19- La stratégie B par rapport à la stratégie A est :
A. dominée
B. plus efficiente
C. moins efficace
D. plus coûteuse
20- Le choix entre les stratégies A et B dépend de :
A. La valeur sociétale d'un fumeur en moins
B. La disponibilité de la société à payer pour lutter contre le tabagisme
C. La fréquence du tabagisme
D. Les dépenses tabagiques

1- Dans la surveillance épidémiologique passive :


A. Les informations sont acheminées sans intervention de la part des services responsables de
surveillance
B. Elle est, le plus souvent, gérée par des textes de loi, circulaires institutionnelles etc.
C. Elle concerne seulement les maladies soumises au règlement sanitaire international (Peste, Choléra,
Fièvre jaune).
D. Elle est utilisée pour les maladies locales (dans le pays) les plus importantes
2- Dans la surveillance épidémiologique active :
A. Les informations sont acheminées sans intervention de la part des services responsables de
surveillance
B. Les professionnels de santé sont sollicités pour rapporter l'information sur une maladie donnée
C. Elle est plutôt utilisée pour des problèmes spécifiques comme les épidémies ou les maladies nouvelles.
D. Elle vise l'obtention d'une Information complète et en temps opportun
3- Comparé à la surveillance épidémiologique passive, la surveillance épidémiologique active est plus :
A. Simple
B. Réactive

Pag 232:Ata e
C. Représentative
D. Coûteuse
4- Comparé à la surveillance épidémiologique sentinelle, la surveillance épidémiologique exhaustive est
plus :
A. Simple
B. Réactive
C. Représentative
D. Coûteuse
5- Une endémie est :
A. La survenue d'un problème de santé avec une fréquence plus élevée qu'attendu
B. Est limité dans l'espace et dans le temps
C. Est limité dans l'espace et non limité dans le temps
D. Est limité dans le temps et non limité dans l'espace
6- Dans le cadre des définitions des attributs choisis pour l'évaluation du système de surveillance (CDC) :
A. La flexibilité d'un système est la facilité de la compréhension de son fonctionnement et d'application de
ses procédures;
B. La réactivité est mesurée par l'adhésion des acteurs au dispositif de surveillance;
C. La valeur prédictive est sa capacité de s'adapter aux changement de la définition des cas ou de sources
d'information;
D. La sensibilité est sa capacité à identifier tous les cas.
7- Lors de l'investigation d'un épisode épidémique:
A. La première phase est descriptive
B. La deuxième phase est descriptive
C. L'allure de la courbe épidémique est la conséquence du mode de transmission
D. La deuxième phase est analytique

1- La triade épidémiologique
A. Permet de comprendre la genèse des épidémies des maladies transmissibles
B. Décrit le mécanisme de transmission des maladies transmissibles
C. Fournit les éléments de base pour élaborer un programme de maladies transmissible
D. Est composée par l'agent pathogène, l'hôte et l'environnement
E. Est une mesure de santé publique
F. Est une représentation schématique
G. Est indispensable à connaître pour programmer la lutte contre les maladies chroniques
H. Permet de comprendre la progression des maladies transmissibles.
I. Permet de comprendre la genèse des épidémies des maladies transmissibles
J. Décrit le mécanisme de transmission des maladies transmissibles
K. Fournit les éléments de base pour élaborer un programme de prévention des maladies non
transmissibles
2- La contagiosité d'un agent pathogène est :
A. l'aptitude d'un germe à passer d'un individu à un autre.
B. Mesures dans la population par le taux d'attaque
C. Son aptitude à compliquer une maladie
D. mesurée dans une population par la prévalence
E. Aucune proposition n'est juste
3- Lors de la transmission épidémiologique :
A. La connaissance seulement des facteurs de risques modifiables permet de mieux comprendre la charge
globale de morbidité

Pag 233:Ata e
B. L'étude des fractions attribuables des différents facteurs des risques est utile pour la priorisation des
actions;
C. L'estimation des fractions attribuables différents facteurs de risques comportementaux et peu utiles pour
estimer l'impact des mesures de lutte.
D. L'estimation des fractions attribuables des différents facteurs de risques comportementaux visent
l'orientation des actions d'éducation pour la santé.
4- la transmission indirecte d'une maladie infectieuse :
A. se fait à par l'intermédiaire d'un vecteur qui véhicule le germe (la transmission vectorielle)
B. se fait directement du réservoir du germe à l'hôte récepteur
C. le vecteur de transmission peut être animal
D. le support de transmission peut être un ailment
5- Les données de la surveillance épidémiologique des maladies transmissible :
A. Constituent la source exclusive pour produire des données probante en santé
B. Permettent de détecter les épidémies quel que soit le rythme de la surveillance
C. Ne sont pas indispensable pour le ratio épidémiologique
D. Sont fournies par les registres de morbidité
6- La courbe épidémique est une représentation descriptive d'un épisode épidémique qui permet de :
A. Identifier la nature du germe responsable de l'épidémie
B. Estimer la durée moyenne d'Incubation
C. Identifier la nature de la source de contamination
D. Aucune proposition n'est Juste
7- Lors de la gestion d'un épisode épidémique:
A. Il faut agir sur le coefficient de reproduction et le faire baisser à 0 pour arrêter l'épisode
B. Il faut agir sur le coefficient de reproduction et le faire baisser à I pour arrêter l'épisode:
C. L'action sur le coefficient de reproduction impacte toutes les composantes de la triade épidémiologique
D. L'instauration des mesures barrières améliore l'immunité collective.
8- Lors d'un épisode épidémique de la grippe, le coefficient de reproduction de base :
A. Est un indicateur de la gravité;
B. Mesure le nombre de personnes saines que peut contaminer une personne atteinte;
C. Est un indicateur de l'ampleur l'épisode
D. Mesure le nombre de décès imputable à l'épisode épidémique
9- La fraction attribuable à :
A. Est une notion épidémiologique
B. Est une mesure de fréquence d'une maladie ;
C. Utile pour orienter la prévention tertiaire ;
D. Est estimée exclusivement dans épidémiologie des cancers.

1- Un facteur de risque d'une maladie :


A. Est une condition qui influe l'évolution de la maladie et qui survient après son diagnostic;
B. Sa connaissance permet de planifier des mesures de prévention secondaire;
C. Sa connaissance est particulièrement utile pour d'agir sur l'évolution de la maladie après son diagnostic:
D. Sa connaissance permet de réduire l'incidence de la maladie ;
2- Un facteur pronostique d'une maladie :
A. Est une condition qui augmente le risque de survenue d'une maladie.
B. Sa connaissance permet d'agir sur l'évolution de la maladie après son diagnostic
C. Sa connaissance particulièrement utile pour orienter la prévention primaire
D. Diminue le risque de survenue d'une maladie.

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3- Le Maroc dispose d'un programme national d'immunisation (PNI), le tétanos représente l'une des
maladies cible de ce programme de vaccination. Choisissez parmi les propositions suivantes les bonnes
réponses :
A. Il s'agit d'une mesure de prévention primaire
B. Il s'agit d'une mesure de prévention secondaire
C. Ce programme vise à réduire la prévalence du tétanos
D. Ce programme vise à réduire l'incidence du tétanos
4- La consommation excessive d'alcool est un facteur de risque établi modifiable des cancers digestifs.
Une action de santé consiste à mettre en place une hospitalisation dans le service d'addictologie dédiée
au sevrage alcoolique. Le contexte de cette Intervention est :
La diminution de la prévalence de la consommation d'alcool
La diminution de l'incidence des cancers digestifs
L'augmentation de la fréquence de la consommation d'alcool et des cancers digestifs
L'amélioration de la survie des patients atteints des cancers digestifs.
L'une des composantes d'un programme de lutte contre l'obésité consiste à promouvoir l'activité physique
auprès des adolescents scolarisés. Le message de promotion de l'activité physique est transmis par les
enseignants. Ces derniers constituent :
Un objectif de l'intervention
Une action
Des canaux de communication
Un processus
Exercice 1 :
Exercice Test ELISA et infection par le VIH
On applique à une population de 10 000 sujets un test ELISA pour déterminer si les sujets sont infectés par
le Virus de l'Immunodéficience Humaine (VIH), et on étudie les qualités de ce test et ses performances
prédictives par rapport aux résultats obtenus avec un test de référence (considérés comme représentant la
réalité).
Dans cette population de 10 000 sujets, la prévalence de la maladie est de 7,5%. Parmi les malades, le test
ELISA est positif dans 96,9% des cas. Il est négatif chez 99,8% des non malades.
5- La sensibilité du test ELISA dans cette première population est population :
A. La sensibilité du test est 0,2%
B. La sensibilité du test est de 96,9%
C. La sensibilité du test est de 99,8%
D. On ne peut pas la calculer dans cette situation
6- La spécificité du test ELISA dans cette première population est population :
A. La spécificité du test est 0,2%
B. La spécificité du test est de 96,9%
C. La spécificité du test est de 99,8%
D. On ne peut pas la calculer dans cette situation
7- La valeur prédictive positive du test ELISA dans cette première population est population:
A. La valeur prédictive positive du test est 13,0%
B. La valeur prédictive positive du test est 97,6%
C. La valeur prédictive positive du test est 99,8%
D. On ne peut pas la calculer dans cette situation
8- La valeur prédictive négative du test ELISA dans cette première population est population :
A. La valeur prédictive négative du test est 95,5%
B. La valeur prédictive négative du test est 99,8%
C. La valeur prédictive négative du test est 100,0%
D. On ne peut pas la calculer dans cette situation

Pag 235:Ata e
Exercice 2 :
Le tableau ci-dessous résume les caractéristiques intrinsèques d'un test T1 et ses performances
prédictives lorsqu'on l'applique dans une population XX.
Le résultat du test : positif-malade. Négatif=Non malade
Caractéristiques intrinsèques et valeurs prédictives positive (VPP) et négative (VPN) du test T1 appliqué
dans la population XX (exemple fictif).

Sensibilité (%) Spécificité (%) VPP (%) VPN (%)


Test T1 90 70 25 98

9- Pour la sensibilité du test T1=90%, choisissez parmi les propositions suivantes la(s) bonne(s)
réponse(s)
A. 90% des sujets réellement malades ont un test T1 positif
B. 10% des sujets réellement non malades ont un test T1 positif
C. 90% des sujets réellement non malades ont un test T1 négatif
D. 10% des sujets réellement malades ont un test T1 négatif
10- Pour la spécificité du test T1=70%, choisissez parmi les propositions suivantes la(s) bonne(s)
réponse(s)
A. 70% des sujets réellement non malades ont un test T1 négatif
B. 30% des sujets réellement malades ont un test T1 négatif
C. 30% des sujets réellement non malades ont un test T1 positif
D. 70% des sujets réellement malades ont un test T1 positif
11- Pour la VPP du test T1=25%, choisissez parmi les propositions suivantes la(s) bonne(s) réponse(s):
A. Une personne avec un test T1 positif à 25% de chance d'être réellement malade
B. Une personne avec un test T1 positif à 25% de chance d'être réellement non malade
C. Une personne avec un test T1 positif à 75% de chance d'être malade
D. Une personne avec un test T1 positif à 75% de chance d'être non malade
12- Pour la VPN du test T1-98%, choisissez parmi les propositions suivantes la(s) bonne(s) réponse(s)
A. Une personne avec un test T1 négatif à 98% de chance d'être réellement malade
B. Une personne avec un test T1 négatif à 98% de chance d'être réellement non malade
C. Une personne avec un test T1 négatif à 2% de chance d'être malade
D. Une personne avec un test T1 négatif à 2% de chance d'être non malade
Exercice 3 :
On applique à une population de 10 000 sujets un test T1 pour déterminer si les sujets sont infectés par le
Virus de l'hépatite virale C, et on étudie les qualités de ce test et ses performances prédictives par rapport
aux résultats obtenus avec un test de référence (considérés comme représentant la réalité).

Dans cette population de 10 000 sujets, la prévalence de la maladie est de 8%.


Parmi les malades, le test T1 est positif dans 95% des cas. Il est négatif chez 99% des non malades.
13- La sensibilité du test T1 dans cette population est :
A. La sensibilité du test est 0,2%
B. La sensibilité du test est de 95%
C. La sensibilité du test est de 99%
D. On ne peut pas la calculer dans cette situation
14- La spécificité du test T1 dans cette population est :
A. La spécificité du test est 0,2%
B. La spécificité du test est de 95%
C. La spécificité du test est de 99%
D. On ne peut pas la calculer dans cette situation

Pag 236:Ata e
15- La valeur prédictive positive du test T1 dans cette première population est :
A. La valeur prédictive positive du test est 13,0%
B. La valeur prédictive positive du test est 97,6%
C. La valeur prédictive positive du test est 99,7%
D. On ne peut pas la calculer dans cette situation
16- La valeur prédictive négative du test T1 dans cette première population est :
A. La valeur prédictive négative du test est 95,5%
B. La valeur prédictive négative du test est 83,2%
C. La valeur prédictive négative du test est 100,0%
D. On ne peut pas la calculer dans cette situation
Exercice 4 :
Le tableau ci-dessous résume les caractéristiques intrinsèques d'un test T2 et ses performances
prédictives lorsqu'on l'applique dans une population XX.
Le résultat du test : positif=malade. Négatif=Non malade
Caractéristiques intrinsèques et valeurs prédictives positive (VPP) et négative (VPN) du test T2 appliqué
dans la population XX (exemple fictif)

Sensibilité (%) Spécificité (%) VPP (%) VPN (%)


Test T2 95 99 25 98

17- Pour la sensibilité du test T2, choisissez parmi les propositions suivantes la(s) bonne(s) réponse(s)
A. 95% des sujets réellement malades ont un test T2 positif
B. 05% des sujets réellement non malades ont un test T2 positif
C. 95% des sujets réellement non malades ont un test T2 négatif
D. 05% des sujets réellement malades ont un test T2 négatif
18- Pour la spécificité du test T2, choisissez parmi les propositions suivantes la(s) bonne(s) réponse(s)
A. 99% des sujets réellement non malades ont un test T2 négatif
B. 01% des sujets réellement malades ont un test T2 négatif
C. 01% des sujets réellement non malades ont un test T2 positif
D. 99% des sujets réellement malades ont un test T2 positif
E.

1- Les facteurs de risque modifiables des maladies sont :


A. La générique
B. Les comportements à risque comme le tabagisme
C. Le sexe
D. L'environnement
E. Aucune proposition n'est juste
2- La transition épidémiologique :
A. processus continu de transformation de l'état de santé des populations
B. Est caractérisée par le changement de la répartition de la charge globale de morbidité
C. Est le résultat du changement des facteurs qui influence la santé
D. A comme impact la régression du fardeau des maladies non transmissible
E. Est une série de changements dans la distribution des maladies qui interviennent dans la population
humaine durant de courtes périodes de temps:
F. Est l'un des résultats des transformations économiques. sociales et démographiques de la société.
G. S'exprime par le changement de la structure de la charge globale de la morbidité
H. Ne modifie pas la structure de la charge globale de la mortalité.

Pag 237:Ata e
3- Quelle est la ou les propositions justes concernant la transition épidémiologique :
A. Elle se caractérise par trois phases 3 phases
B. La phase pestilence est la première phase de la transition épidémique
C. La phase des maladies dégénératives est caractérisée par une réduction des pics de mortalité dus aux
épidémies
D. La transition épidémiologique dans pays en développement est caractérisé par un modèle retardé
E. Aucune information n'est juste.
4- Lors de la transition épidémiologique :
A. L'identification des facteurs de risque modifiable permet de mieux comprendre la structure de la charge
globale de morbidité,
B. L'estimation de la fréquence des facteurs de risque modifiable permet de mieux comprendre la structure
de la charge globale de morbidité et son évolution
C. L'étude des fractions attribuable des différents facteurs de risque est utile pour la priorisation des actions
D. L'estimation des fractions attribuables des différents facteurs de risque comportementaux est peu utile
pour estimer l'impact des mesures de lutte
5- La transition épidémiologique au Maroc :
A. Est de type prolongés caractérisée par la présence simultanée de plusieurs types de pathologies:
B. A été impactée par des facteurs environnementaux
C. Est traduite par l'extension des maladies non transmissibles et chroniques
D. Est traduite par le double fardeau de la morbidité
E. Est accélérée par la persistance des maladies transmissibles
F. Est ralentie par l'augmentation de la fréquence des maladies non transmissibles
G. Est ralentie par les nouveau facteurs de risque comportementaux comme la sédentarité
H. A influencé l'équilibre financier du système d'assurance maladie
6- Le Maroc connaît une transition épidémiologique caractérisée par :
A. La réduction de la part des maladies non transmissibles dans le profil de morbidité.
B. La réduction de la part des maladies transmissibles dans le profil de morbidité.
C. L'augmentation de la prévalence des maladies chroniques
D. La coexistence d'un double fardeau de morbidité lié aux maladies transmissibles et non transmissibles
7- Au Maroc, la transition épidémiologique :
A. Est caractérisée par le double fardeau des maladies transmissible transmissible
B. Est ralenti par l'augmentation de l'espérance de vie
C. Pose le défi de la prise en charge des maladies chroniques
D. N'a pas changé la répartition de la charge globale de morbidité
8- Parmi les propositions suivantes, lesquelles ont contribués à la transition épidémiologique au Maroc :
A. Allongement de l'espérance de vie
B. Augmentation de la natalité
C. Emergence de nouveaux facteurs de risque et de nouveaux comportements à risque
D. L'urbanisation accélérée

1- Un registre de morbidité :
A. Est une structure de soins
B. Est une structure de qui a un objectif exclusivement descriptif
C. Réalise l'enregistrement continu et exhaustif des cas d'une pathologie donné
D. Permet d'orienter la décision de la prise en charge de la pathologie concernée

Pag 238:Ata e
2- Les études préparatoires pour le lancement d’un programme de lutte contre les maladies non
transmissibles :
A. Sont réalisées au fur et à mesure que la mise en oeuvre du programme concerné;
B. N’ont pas comme objectif de décrire la fréquence des facteurs de risque des maladies cible de
programme
C. Peuvent estimer la part d’imputabilité des certains facteurs de risque comportementaux.
D. Permettent la priorisation des actions qui composent ce programme ;
3- Les études préparatoires pour le lancement de la stratégie nationale multisectorielle de lutte contre les
maladies non transmissible 2020-2029 :
A. Sont réalisées au fur et à mesure que la mise en œuvre du programme concerné
B. Ont parmi les objectifs de décrire la fréquence des facteurs de risque des maladies cible du programme
C. Permettent la priorisation des actions qui composent ce programme
D. Permettent la mesure de l'efficience du programme;
4- Les facteurs individuels et populationnels contribuant à la charge mondiale des maladies non
transmissibles sont :
A. Amélioration des systèmes sanitaire et de la nutrition
B. Urbanisation
C. Manque d'activité physique
D. Vieillissement de la population.
E. Développement de vaccins et drogues
5- Un patient hypertendu suivi dans un centre de santé primaire est référé à au centre de
référence pour les maladies non transmissibles. Cette référence fait partie du :
A. Objectifs de la prise en charge
B. La prévention des MNT
C. L'organisation de la filière de soins
D. Structure de pris en charge
6- Un patient diabétique suivi dans un centre de santé primaire est référé au centre de référence pour les
maladies non transmissibles. Cette référence fait partie du :
A. Objectifs de la prise en charge
B. La prévention des MNT
C. Processus de pris en charge
D. Structure de pris en charge
7- Un patient diabétique suivi dans un centre du réseau des établissements de soins de santé primaire. Il
est référé à au centre de référence pour les maladies non transmissibles, cette référence :
A. Fait partie des objectifs de la prise en charge
B. Est un Processus de pris en charge
C. Est une structure de pris en charge
D. Est une composante du programme de prise en charge des maladies non transmissibles
8- La prise en charge des maladies non transmissibles au Maroc
A. Se fait exclusivement par des programmes verticaux
B. Se fait par un programme horizontal
C. Se fait au niveau des établissements de soins de santé primaire dans le cadre d'une approche intégrée
D. N'inclut pas un volet relatif à la surveillance
E. Se fait au niveau des établissements de soins de santé primaire dans le cadre d'une approche intégrée
9- L'important fardeau des maladies non transmissible au Maroc est dû essentiellement aux facteurs
suivants:
A. La transition démographique:
B. La transition épidémiologique;
C. L'importante fréquences des comportements à risque;
D. Les connaissances et attitudes de la populations vis-à-vis certains facteurs de risque

Pag 239:Ata e
Exercice 1 :
Les maladies non transmissibles constituent une part importante de la charge globale de morbidité et
mortalité au Maroc et sont responsables de 80% de la mortalité. Leur prise en charge se fait à travers la
stratégie nationale multisectorielle 2029 - 2029.
10- Le fardeau de ces maladies au niveau national est mesuré et décrit par :
A. Les connaissances de la population Marocaine vis-à-vis de ces maladies ;
B. Leurs incidences et prévalences ; ,
C. La mortalité qui leur est attribuable ;
D. L’adhésion de la population aux programmes de lutte
11- L’important fardeau de ces maladies est dû essentiellement aux facteurs suivants ;
A. La transition démographique ;
B. La transition épidémiologique ;
C. L’importante fréquences des comportements à risque ;
D. Certains facteurs génétiques
12- Les études préparatoires pour le lancement de cette stratégie :
A. Avaient comme objectif la description de la fréquence des facteurs de risque des maladies non
transmissibles ;
B. Ont eu lieu au fur et à mesure de l’implémentation de la stratégie ;
C. Avaient comme objectif la priorisation des programme et actions ;
D. Aucune proposition n’est juste
13- Dans le cadre de cette stratégie, un patient diabétique suivi dans un centre de santé primaire est
référé à au centre de référence pour les maladies non transmissibles pour un avis néphrologique. Cette
référence fait partie de :
A. Objectifs de la prise en charge
B. La prévention des MNT
C. L’organisation de la filière de soins
D. Structure de pris en charge

1- Concernant l'épidémiologie du cancer au Maroc


A. Son incidence est estimée à près de 35000 nouveaux cas par an
B. Le cancer du sein occupe la première localisation chez la lemme
C. Le cancer du col de l'utérus représente la deuxième localisation chez la femme
D. Le cancer de l'estomac représente la première localisation chez les femmes
2- Le plan National de Prévention et de Contrôle du Cancer se base sur les stratégies de
A. prévention
B. détection précoce
C. diagnostic et traitement
D. soins palliatifs
3- Les axes du Plan National de Prévention et de Contrôle du Cancer sont :
A. Prévention des maladies infectieuses
B. Détection précoce du cancer pulmonaire
C. Prise en charge diagnostique et therapeutique des cancers
D. Soins palliatifs
E. Lutte contre le tabagisme
4- Concernant le plan national de prévention et de contrôle de cancer 2010-2019
A. La stratégie de prévention priorise le cancer du sein et du col de l'utérus
B. La stratégie de détection précoce priorise le cancer du côlon
C. La lutte contre les IST et les hépatites fait partie des axes de la stratégie de détection précoce
D. La lutte contre le tabac est un axe de prévention

Pag 240:Ata e
5- Lors de l'établissement du plan national de prévention et de contrôle des cancers, 2020- 2029.
A. Les cancers cible de la stratégie de détection précoce, ont été retenus en se basant exclusivement sur
l'épidémiologie (leurs fréquences)
B. L'histoire naturelle de la maladie n'a pas été prise en compte pour la sélection des localisations cibles de
la détection précoce.
C. L'estimation de la part d'imputabilité des facteurs de risque comportementaux a été utile pour retenir les
concepts cibles de la stratégie prévention (primaire)
D. La fréquence des facteurs de risque a été très utile pour l'élaboration du plan, mais pas pour la
priorisation des actions.
6- La stratégie de dépistage des cancers au Maroc concerne les localisations suivantes :
A. Le col de l'utérus
B. Le sein
C. Le larynx
D. L'estomac
7- La stratégie de détection précoce au plan nationale de prévention et du contrôle des cancers a cible :
A. Le tabac comme principal facteur de nsque du cancer du poumon
B. Le cancer du côlon.
C. Le cancer de l'estomac.
D. Le cancer de la prostate.
E. Aucune proposition n'est juste
8- Concernant la stratégie de détection précoce des cancers au Maroc :
A. Le dépistage se fait au niveau des CHU
B. Le dépistage se fait au niveau des établissements de soins
C. Le diagnostic se fait au niveau des centres de référence de santé de base
D. Le traitement se fait au niveau des CHU et centre régionaux d'oncologie
E. Le dépistage se fait au niveau des établissements de soins de santé de base
F. Le diagnostic se fait au niveau des centres de référence
9- Dans le cadre du plan national de prévention et de contrôle du cancer, le Maroc a mis en place un
programme de détection précoce du cancer du col. Choisissez parmi les propositions suivantes les
bonnes réponses :
A. La détection précoce du cancer du col est une mesure de prévention primaire
B. La détection précoce du cancer du col est une mesure de prévention secondaire
C. Ce programme vise à réduire la prévalence du cancer du col
D. Ce programme vise à réduire l'incidence du cancer du col
10- Dans le cadre du plan national de prévention et de contrôle du cancer, le Maroc a mis en place un
programme de détection précoce du cancer du sein. Choisissez parmi les propositions suivantes les
bonnes réponses :
A. La détection précoce du cancer du sein est une mesure de prévention primaire
B. La détection précoce du cancer du sein est une mesure de prévention secondaire
C. Ce programme vise à réduire la prévalence du cancer du sein
D. Ce programme vise à réduire l'incidence du cancer du sein

1- L'épidémiologie de la tuberculose au Maroc est caractérisée par :


A. Une tendance à la diminution de sa fréquence jusqu'en 2015:
B. Une stabilisation de son taux d'incidence jusqu'en 2015:
C. Un faible taux d'incidence chez les personnes âgées entre 15 et 44 ans pur rapport aux autres classes
d'âge
D. Un très faible taux (<5%) d'abandon thérapeutique

Pag 241:Ata e
E. Aucune proposition n'est juste.
2- Programme National de lutte antituberculeuse au Maroc :
A. Adopte la stratégie DOTS
B. Vise à moyen terme la diminution de l'incidence de la maladie
C. Vise l'élimination de la tuberculose en tant que problème de santé d'ici 2050
D. Est organisé par des structures de lutte au niveau régional
3- La stratégie DOTS :
A. Est une stratégie adoptée par l'organisation mondiale de la santé pour la lutte contre la tuberculose
B. une stratégie de lutte contre la leishmaniose
C. vise la détection des cas (au moins 70% des M+)
D. vise le traitement standardisé supervisé des M+ (au moins 85 %)
4- Le Maroc dispose d'un programme national d'immunisation (PNI), la tuberculose représente l'une des
maladies cible de ce programme de vaccination. Choisissez parmi les propositions suivantes les bonnes
réponses :
A. Il s'agit d'une mesure de prévention primaire
B. Il s'agit d'une mesure de prévention secondaire
C. Ce programme vise à réduire la prévalence de la tuberculose
D. Ce programme vise à réduire l'incidence de la tuberculose

1- Calcul du ratio épidémiologique de la méningite :


A. Se base sur les données recueillies à l'issue d'enquête épidémiologique
B. Se base sur les données de surveillance
C. Utilise les données de déclaration annuelles
D. Utilise les données de déclaration journalière
E. Aucune proposition n'est juste

1- Parmi les recommandations de l'OMS en matière de prise en charge de la Leishmaniose :


A. La poursuite des recherches
B. La prise en conscience de la charge de morbidité par des analyses médico économiques
C. L'usage des tests de diagnostic rapide et non invasif
D. L'estimation du taux d'attaque

1- les dépenses globales de la santé au Maroc :


A. sont largement au-dessus du seuil recommandé par l'OMS
B. sont dominées par la part de la couverture sociale qui représente plus de la moitié
C. constituent environ 6% du produit intérieur brut
D. sont caractérisées par la très faible participation des ménages
2- Les dépenses totales de santé (DTS) au Maroc en 2018 avaient atteints 60.8 Milliard de MAD :
A. Les DTS représentent 10% du PIB au Maroc
B. Les DTS par rapport au PIB au Maroc est supérieure à la moyenne mondiale de cet indicateur
(pourcentage du PIB alloué aux DTS)
C. La part des ménages dans les DTS représente près de la moitié
D. Les DTS représentent 10% du PIB conformément aux recommandations de l'OMS;

Pag 242:Ata e
3- L'agence nationale de l'assurance maladie (ANAM) est :
A. Un régime d'assurance maladie pour les fonctionnaires de l'état
B. L'organisme chargé de la régulation du système de l'Assurance Obligatoire (AMO);
C. Un régime d'assurance maladie pour les employés du secteur privé
D. Un organisme financeur de l'assurance maladie.
E. Aucune proposition n'est juste.
4- L'assurance maladie obligatoire est un système :
A. Régi par une loi
B. Facultatif
C. Géré par la CNOPS pour les travailleurs du secteur privé
D. Qui se base sur le principe contributif et de mutualisation des risques
E. Géré par la CNSS pour les fonctionnaires
F. Couvre les personnes n'ayant aucun revenu
G. Couvre les fonctionnaires et agents de l'Etat
H. Ne couvre pas les ayants droit
I. Couvre les personnes assujetties au régime de sécurité sociale au secteur privé
5- La situation financière de l'assurance maladie obligatoire pour l'année 2018 est caractérisée par :
A. Une stagnation depuis 2013 ;
B. La moitié des dépenses allouées aux affections de longue durée ;
C. La moitié des dépenses allouées aux médicaments ;
D. Aucune réponse n'est juste
6- La situation financière du système d'assurance maladie obligatoire (AMO) au Maroc (2015) est :
A. Caractérisée par des dépenses nettement plus importantes que les recettes
B. Très peu impactée par la transition épidémiologique
C. Caractérisée par la part Importante des dépenses liée aux affection de longues durées (près de la
moitié)
D. Implique l'importance de la prévention des maladies non transmissible
7- Le RAMED est un système d' assurance maladie est un système :
A. fondé sur le principe de l'assistance sociale et de la solidarité au profit de la population démunie
B. gratuit pour les pauvres
C. Destiné aux fonctionnaires de l'etat
D. Obligatoire pour les travailleurs du secteur privé
8- Le panier de soins pour les bénéficiaires du RAMED comporte :
A. Les soins d'orthodonties exclusives
B. Les prestations de chirurgie plastique
C. Les prestations curatives dans les établissements de soins du secteur privé
D. Les prestations curatives dans les établissements hospitaliers du secteur public

1- La distribution des toxiques:


A. Est un phénomène toxicocinétique
B. Se définit par l'ensemble des phénomènes qui permettent aux toxiques de traverser les différentes
membranes
C. Est quantifiée par la biodisponibilité
D. Elle se fait dans des compartiments cellulaires, plasmatique el extracellulaire
2- Le lavage gastrique dans le traitement des intoxications
A. Peut être réalisé en ambulatoire
B. Est indiqué dans les toxiques non adsorbé par le charbon activé
C. est indiqué en cas d'ingestion des hydrocarbures et des produits pétroliers

Pag 243:Ata e
D. Doit être effectué dans un délai entre le début de l'intoxication et la prise en charge ≤1 h.
3- Un toxique lésionnel est caractérisé par
A. L'installation des lésions au niveau des organes et des cellules
B. La présence de corrélation entre les concentrations plasmatiques et l'évolution des symptômes
C. Son effet toxique est dose dépendant
D. L'interprétation des concentrations plasmatiques qui doit tenir compte du délai suivant l'ingestion
E. l'absence de corrélation entre les concentrations plasmatiques et l'évolution des symptômes
F. L'interprétation des concentrations plasmatiques qui doit tenir compte du délai suivant l'ingestion
l'évolution qui est en règle générale favorable
4- Le syndrome vipérin se manifeste par:
A. A une coagulopathie de consommation
B. des troubles de la déglutition et de la phonation
C. un ptosis pathognomonique
D. un œdème dépassant la racine du membre mordu dans l'envenimation sévère
E. un syndrome hémorragique
F. un codėme
G. des paresthésies
5- Le grade 3 du Syndrome vipérin lors d'une envenimation ophidienne se caractérise :
A. Par des paresthésies du membre mordu
B. Par une coagulopathie
C. Par un ptosis bilatéral
D. Par un oedème dépassant la racine du membre mordu
6- La sérothérapie anti-vipérine est :
A. Actuellement disponible au Maroc
B. Indiquée uniquement dans le grade 3
C. Contre indiquée chez la femme enceinte
D. Indiquée dans le grade 1 chez l'enfant de moins de 25 Kg
E. Le traitement unique de l'envenimation vipérine
F. Indiquée dans le grade 2
G. Indiquée dans le grade 1 en présence de lésions potentiellement hémorragiques
7- L'intoxication par les antidépresseurs se caractérise par :
A. la présence d'un syndrome cholinergique
B. une agitation paradoxale chez l'enfant
C. des complications cardio-vasculaires
D. l'indication des sels de sodium molaire dans les formes graves
E. un syndrome anticholinergique
F. un syndrome d'effet stabilisant de membrane
G. Le lavage gastrique est indiqué sous surveillance hémodynamique et électrocardiographique stricte
H. L'antidote est disponible
I. L'administration du sodium molaire améliore le pronostic des patients intoxiqués
J. Le sulfate de magnésium n'est pas efficace pour prévenir les troubles du rythme ventriculaire
8- Les toxiques fonctionnels sont caractérisés par :
A. Un effet toxique dose dépendant
B. L'absence de corrélation entre les concentrations plasmatiques et l'évolution des symptômes
C. L'interprétation des concentrations plasmatiques qui doit tenir compte du délai suivant l'ingestion
D. L'évolution qui est en règle générale favorable
9- Le syndrome cobraïque se caractérise cliniquement par :
A. Un syndrome hémorragique
B. Un ptosis pathognomonique
C. Un œdème

Pag 244:Ata e
D. Des signes locaux discrets
E. Une coagulopathie
F. Des troubles de la déglutition et de la phonation
G. Une paralysie ascendante
H. Un œdème dépassant la racine du membre mordu
10- Le phosphure d'aluminium:
A. Est un gaz toxique
B. A un effet paradoxal sur le système nerveux
C. Se caractérise par atteinte lésionnelle multi viscérale
D. Est identifié par la technique de Fujiwara-Ross
11- Les méthodes chromatographiques dans l'analyse toxicologique :
A. Sont des techniques rapides
B. Nécessitent une phase mobile et une phase stationnaire
C. Permettent une analyse qualitative et quantitative
D. Sont des techniques sensibles et spécifiques
E. Ne sont pas fiables
F. Permettent la séparation ou la purification d'un échantillon
G. Nécessitent une préparation de l'échantillon
H. Permettent une analyse quantitative
12- Les méthodes colorimétriques en analyse toxicologique :
A. Sont coûteuses
B. Nécessitent une compétence particulière
C. Permettent l'identification d'une classe toxique
D. Sont très sensibles et très spécifiques
13- Les méthodes immunochimiques en toxicologie :
A. sont rapides
B. permettent une détection visible des résultats
C. permettent une analyse quantitative
D. nécessite une préparation de l'échantillon
14- Les tests immunochromatographiques :
A. ne sont pas fiables
B. se caractérise par une détection visible
C. permettent la recherche des drogues
D. permettent une analyse quanexative
E. Aucune proposition n' est juste
15- Le saturnisme se caractérise par :
A. une oligospermie
B. une anémie normochrome normocytaire
C. un retard staturo-pondéral chez l'enfant
D. la présence d'un chélateur efficace
E. Aucune proposition n'est juste.
16- L'intoxication par un rodenticide anticoagulant :
A. Donne une pénurie de facteurs de coagulation II, VII, IX et X
B. Se caractérise par un syndrome hémorragique de gravité variable
C. Est confirmée par la chromatographie sur couche mince
D. Est traitée par l'atropine
17- L'intoxication par la strychnine se caractérise par :
A. L'inhibition de la réponse motrice au niveau de la moelle
B. Des troubles sensoriels à type de vision colorée verte
C. Des accès de contractures musculaires

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D. Une salivation caractéristique
18- L'intoxication par les benzodiazépines se caractérise par :
A. Un syndrome hémorragique
B. Une agitation paradoxale chez l'enfant
C. La présence d'un antidote spécifique (Anexate)
D. L'efficacité de l'épuration extra-rénale lors d'intoxication grave
19- L'intoxication par l'alphachloralose est caractérisée par la présence de :
A. syndrome hémorragique
B. hypersalivation caractéristique
C. convulsions généralisées
D. coloration rose ou rouge cerise à la réaction de Fujiwara-Ross
E. myoclonies
F. syndrome hémorragique
G. hypersalivation caractéristique
H. Effets périphériques nicotiniques
20- L'alphachloralose :
A. Appartient à la famille des convulsivants
B. Est commercialisé au Maroc sous forme d'un comprimé de 3 g gris noirâtre
C. Agit par inhibition de la phosphorylation oxydative
D. Se manifeste lors d'intoxication par un coma myoclonique et des convulsions
E. est un anticoagulant
F. a un effet paradoxal sur le système nerveux
G. se caractérise par une hypersalivation caractéristique lors d'intoxication
H. est identifie par la technique de Fujiwara-Ross
21- Un enfant âgé de 08 ans, habitant en milieu rural qui a ingéré une plante dont la racine a un goût
sucré et admis aux urgences dans un tableau de coma convulsif précédé par un tableau de
gastroentérite aiguë le bilan biologique a montré une augmentation des transaminases, une
hypoglycémie et un TP diminué. Quel serait votre diagnostic?
A. Intoxication par l'Atractylis gummifera
B. Intoxication par l'Atropa belladona
C. Intoxication par le Datura stramonium
D. Intoxication par le Papaver somniferum
22- Patient âgé de 18 ans, victime d'une morsure de serpent au niveau du pied droit se présente aux
urgences avec une douleur, oedème dépassant le genou des phlyctènes et un saignement au niveau de
la morsure. Quel serait votre conduite à tenir
A. Administration de corticoïdes et d'antihistaminiques
B. Vérification du statut vaccinal antitétanique
C. Administration du traitement spécifique (sérothérapie si disponible)
D. Aponévrotomie systématique
23- Enfant âgé de 12 ans, victime d'une morsure de serpent au niveau de la main droite et qui se
présente aux urgences avec une douleur localisée et un ptosis bilatéral. Quel serait votre conduite à
tenir :
A. Administration de corticoïdes et d'antihistaminiques
B. Administration d'antibioprophylaxie selon l'aspect de la morsure
C. Administration du traitement spécifique (sérothérapie si disponible)
D. Administration de la néostigmine et d'atropine titrée

Pag 246:Ata e
Exercice 1 :
La figure suivante montre l'évolution de la pandémie SARS COVID 19 au niveau du Royaume du Maroc
entre le 02 Mars et le 02 Septembre 2020.

1- Cette représentation schématique :


A. Est la courbe épidémique qui décrit de la prévalence de la maladie ,
B. Permet des hypothèses sur le mode de transmission ;
C. Aide à déterminer la nature de la source de la contamination ;
D. Renseigne la dynamique de l'évolution de l’épidémie .
2- Concernant cette épidémie (SARS COV 19), la triade épidémiologique :
A. Est composé par le Coronavirus, le sujet réceptif et la situation épidémiologique ;
B. Détermine (par ses composantes) du déclenchement des épisodes épidémiques ,
C. Comporte les éléments qui déterminent les indicateurs de gravité ;
D. N'est pas indispensable pour établir et valider les protocoles thérapeutiques.
3- Une action de santé a consisté à mettre à la disposition des élèves d'un lycée, des bavettes et de
solutions hydro alcooliques dans le cadre des mesures de lutte contre la pandémie SARS 2 COVID 19 à
la rentrée scolaire, Concernant la chaîne des résultats de cette action :
A. La disponibilité des bavettes et solutions dans les lycées est un outcome ;
B. L'adhésion et l'adoption par le lycéen des ces mesures barrières constituent un output
C. La diminution de l'incidence de l'infection SARS 2 auprès des lycéens, leurs enseignants et leurs
familles constitue l'impact.
D. Aucune des propositions n'est juste
Exercice 2 :
4- Dans le cadre du Plan national de veille et de riposte à l'infection par le Coronavirus 2019, les
différentes actions menées concernent toutes les composantes de la triade épidémique concernées.
Ainsi,
A. Les protocoles thérapeutiques agissent l'hôte récepteur ;
B. Les mesures barrières agissent sur l'environnement ;
C. La vaccination agit sur l'agent pathogène ;
D. Aucune proposition n'est juste

Pag 247:Ata e
5- La campagne nationale de vaccination anti- SARS-CoV-2 est une composante du plan national de veille
et de riposte à l'infection par le Coronavirus 201. Concernant cette campagne :
A. La disponibilité des vaccins au niveau des centres de santé est un impact ;
B. L'adhésion de la population à cette action est un outcome ;
C. La diminution du coût direct médical et indirect de la pandémie SARS COV 2 au niveau national
constituent l'output ;
D. L'impact pourrait être mesuré par la diminution de la mortalité et le retentissement positif sur la
productivité l'économie
Exercice 3 :
Le tabac constitue un fardeau de santé et un obstacle au développement durable au niveau mondial. Un
programme de lutte contre le tabac cible Ie sevrage tabagique ct comporte deux composantes : la mise en
place d'une ligne téléphonique gratuite au profit des fumeurs qui souhaite arrêter et l'inscription des
thérapies de remplacement de la nicotine sur la liste des médicaments remboursables par l'assurance
maladie
6- Les éléments de la structure de cette action sont :
A. L' utilisation de la ligne téléphonique ;
B. La loi permettant le remboursement des thérapies de remplacement de la nicotine ;
C. La diminution de la fréquence de la consommation du tabac ;
D. L’adhésion de la population aux composantes de cette action.
7- La deuxième composante de la chaîne des résultats de cette action constitue son outcome et comporte :
A. La diminution du fardeau sanitaire lié nu tabac ;
B. L'utilisation la ligne téléphonique par les fumeurs désirant arrêter de fumer;
C. L’opérateur téléphonique impliqué dans cette action ;
D. L’achat des thérapies de remplacement de la nicotine et leur remboursement ;
8- La troisième composante de la chaîne des résultats et qui constitue son impact comporte :
A. La diminution de la morbidité liée au tabac dans le futur ;
B. La mise à la disposition des fumeurs des thérapies de remplacement de la nicotine ;
C. La diminution de la mortalité liée au tabac dans le futur ;
D. L’adhésion des fumeurs à cette action.
Exercice 4 :
9- Le tabac est un facteur de risque établi modifiable de l’échec du traitement anti bacillaire. Une action de
santé auprès des patients tuberculeux fumeurs consiste à former des médecins pour mettre en place
une consultation de l’aide au sevrage tabagique :
A. Les consultations constituent l’outcome de cette action ;
B. L’utilisation de la consultation par les patients en constitue l’impact ;
C. La diminution de la fréquence de la consommation tabagique chez les patients en constitue l’impact
D. La diminution du taux d’échec thérapeutique chez les patients tuberculeux en constitue l’impact
10- La chaîne de résultats d'une action de santé est composée par
A. L'input, l’outpout et l’outcome ;
B. L’output, l’outcome et l’impact ;
C. L’impact et l’input ;
D. L’input et l’output ;
Exercice 5 :
11- Le tabagisme augmente le risque de l'échec du traitement anti bacillaire (RR-2.3) selon une cohorte
réalisée au Maroc entre 2004 et 2009. Une action de santé consiste à mettre en place une consultation
de sevrage tabagique auprès des patient tuberculeux. Quel est le contexte précédent cette action?
A. L'amélioration des indicateurs de performances du programme national de lutte contre la tuberculose
B. L'importante prévalence du tabagisme au Maroc et l'important taux d'échec thérapeutique
C. Le personnel médical et paramédical mobilisé pour cette action;

Pag 248:Ata e
D. Les médicaments anti bacillaires.
12- Les études préparatoires pour le lancement de la stratégie nationale multisectorielle de lutte contre
les maladies non transmissibles 2020-2029 ont permis d'identifier et de mesurer des facteurs de risque
modifiables comme le tabac. La connaissance de ces facteurs :
A. N'est pas intéressante pour le décideur;
B. Permet de mesurer la part attribuable à ces facteurs dans la morbidité;
C. Permet la priorisation des actions du programme et l'orientation de la prévention
D. Aucune proposition n'est juste
13- Dans le cadre de cette stratégie, un patient diabétique équilibré et suivi dans un centre de santé
primaire est référé périodiquement au centre de référence pour les maladies non transmissibles pour un
avis ophtalmologique. Cette référence:
A. Est une mesure de prévention primaire
B. Est une mesure de prévention secondaire
C. Est une mesure de prévention tertiaire
D. Fait partie de la filière de soins du programme

1- Au niveau du centre de régulation de la prise en charge des traumatismes graves. la réponse aux
appels urgents est assurée par :
A. Un infirmier
B. Un médecin régulateur
C. Un aide soignant
D. Un administrateur
2- l'objectif de l'appel au centre de la régulation est :
A. De documenter les caracteristiques sociodemographiques du maladie
B. Estimer le degré de gravité
C. Décrire le profil épidémiologique des traumatismes graves.
D. Orienter et ordonner le transferts vers la structure hospitaliers appropriés
3- Le taux de mortalité infantile est :
A. une mesure de la morbidité d'une population
B. Un reflet du niveau de performance d'un système de santé
C. Un indicateur démographique et pas un Indicateur de santé
D. Le nombre de décès de nouveau nés âgés entre un mois et un an rapporté sur le nombre de naissance
vivante pendant une période donnée
4- L'indice synthétique de fécondité :
A. Est une expression de la transition épidémiologique
B. Un indicateur démographique
C. A augmenté considérablement au Maroc depuis l'indépendance
D. Aucune proposition n'est juste

Pag 249:Ata e
1- L'épidémiologie descriptive sert essentiellement à :
A. Prioriser les actions de santé
B. Mettre en évidence la relation entre un facteur de risque et une maladie
C. Mesurer le degré d'atteinte des objectifs d'un programme de santé
D. Décrire le profil épidémiologique d'une population
2- L'épidémiologie analytique sert à :
A. Décrire le profil épidémiologique d'une population,
B. Prioriser les actions de santé à programmer;
C. Mettre en évidence l'efficacité d'un nouveau protocole thérapeutique par rapport à une prise en charge
standard
D. Programmer les actions de prévention primaire en mettant en évidence les facteurs de risque des
maladies
3- L'épidémiologie évaluative sert à :
A. Prioriser les actions de santé
B. Mettre en évidence la relation entre un facteur de risque et une maladie
C. Mesurer le degré d'atteinte des objectifs d'un programme de santé
D. Prioriser les actions de santé à préparer
E. Décrire le profil épidémiologique d'une population
F. Prioriser les actions de santé à programmer
G. Mettre en évidence l'efficacité d'un nouveau protocole thérapeutique par rapport à une prise en charge
standard
H. Programmer les actions de prévention primaire en mettant en évidence les facteurs de risque des
maladies
4- Le ratio épidémiologique
A. Est un indicateur de fréquence qui permet d'affirmer la réalité d'un épisode épidémiologique:
B. Est un taux d'attaque:
C. Est estimé à partir des données de la surveillance
D. Est estimé à partir des données des enquêtes épidémiologiques
E. Aucune proposition n'est juste
5- Lors de l'investigation d'une épidémie d'oreillon dans une école primaire à Salé en 2013, le taux
d'attaque était de 2.89% au niveau de l'établissement, ce taux est:
A. un indicateur de la virulence de l'agent infectieux
B. une prévalence
C. une densité d'incidence
D. un indicateur de la contagiosité
6- La mesure de l'état de santé d'une population :
A. Se fait par des enquêtes épidémiologiques
B. Se fait par exclusivement par le recueil des statistiques sur les maladies
C. Ne concerne pas le recueil des indicateurs de la démographie
D. Se fait par la mesure de la morbidité objectivée
E. Se fait par la mesure de la morbidité ressentie

Pag 250:Ata e
1- Selon le degré d'intervention de l'investigateur, on distingue les types d'étude suivants (une seule
réponse juste):
A. Les études expérimentales et les études observationnelles
B. Les études écologiques et les études corrélationnelles
C. Les investigations d'épisode épidémiques
D. Aucune proposition n'est juste.
2- Lors de la sélection des sujets pour les inclure dans une étude épidémiologique expérimentale, le tirage
au sort :
A. Est une procédure d'affectation des sujet au facteur étudié
B. N'est pas sous le contrôle de l'investigateur ;
C. Permet aux sujets inclus de choisir leur affectation eux même ;
D. Est une procédure indispensable pour conclure à une relation de causalité

1- L'Organisation mondiale de la santé (OMS) définit l'environnement comme un ensemble de facteurs qui
agissent sur la personne. Ces facteurs sont?
A. Exogènes à la personne
B. Intrinsèques à la personne
C. Environnementaux
D. Physiques, chimiques, biologiques et psychosociaux
2- Laquelle de ces définitions définit le mieux le terme polluant ?
A. tout ce que les humains ajoutent à l'atmosphère et aux océans.
B. toute substance nocive pour l'environnement
C. toute substance qui est un déchet de l'industrie.
D. une substance qui ne se décompose pas avec le temps
3- Selon l'OMS, la mortalité mondiale lié à l'environnement est de:
A. 23%
B. 50%
C. 70%
D. 10%
4- L'organisation mondiale de la santé a publié un rapport estimant les proportions de décès attribuées à
des facteurs environnementaux dans les 52 pays européens membres de l'OMS. Cette proportion est
environ de :
A. 10%
B. 15-19%
C. 25%
D. 33%
5- Pourquoi les enfants sont-ils plus vulnérables aux polluants environnementaux que les adultes ?
A. Étant en pleine croissance, ils absorbent dans une plus grande proportion, ce qu ils mangent, boivent et
respirent.
B. Ils sont plus proches du sol où se trouvent de nombreux polluants
C. Leurs corps ont plus de mal à éliminer les substances toxiques que les adultes
D. Ils passent plus de temps à l'intérieur

6- Parmi les affirmations suivantes: lesquelles sont exactes ?


A. L’intoxication par le plomb appelée saturnisme
B. En cas d'intoxication par le plomb on administre des chélateurs du type EDTA calcique
C. L’intoxication chronique au plomb se manifeste uniquement par un tableau de gastro-entérite

Pag 251:Ata e
D. l'effet le plus préoccupant de l'intoxication par le plomb chez renfant est la diminution des performances
cognitives et sensorimotrices
7- La maladie de Minamata est une maladie liée à la pollution résultant de:
A. Déversements d'hydrocarbures dans la mer
B. Accumulation d'arsenic dans l'atmosphère
C. Rejet de déchets industriels de mercure dans les eaux de pêche
D. Rejeter des déchets organiques humains dans l'eau potable
8- Les symptômes d'une intoxication aiguë à l'arsenic se manifestent par :
A. vomissements, douleurs abdominales et diarrhée
B. engourdissement et fourmillements dans les extrémités
C. atteinte rénale
D. déminéralisation osseuse
9- L'arsenic est un métal hautement toxique sous forme inorganique. Une exposition prolongée par
ingestion d'eau contaminée est à l'origine principalement de :
A. Cancer de la peau
B. Déminéralisation osseuse
C. Atteinte rénale et cancer de la vessie
D. Troubles auditifs et conjonctivites
10- Concernant la pollution à l'arsenic, cocher la ou les affirmations correctes
A. L'arsenic peut être naturellement présent à des concentrations élevées dans les eaux souterraines
B. L'arsenic sous forme inorganique est très toxique
C. L'ingestion d'eau ou d'aliments contaminés est la principale voie d'exposition pour la population générale
D. le tabac peut contenir de l'arsenic inorganique naturel car les plants absorbent cet élément quand il est
présent dans les sols
11- Les sous-produits de la chloration de l'eau sont des :
A. Substances chimiques qui se forment lorsqu'on ajoute des produits chlorés à l'eau
B. Substances chimiques qu'on ajoute dans l'eau pour leur action antimicrobienne
C. Substances chimiques qui proviennent de la réaction entre les produits désinfectants et les matières
organiques présentes naturellement dans l'eau
D. Ne sont jamais cancérigènes
12- L'exposition à un produit chimique peut avoir un impact sanitaire, lesquels des contaminants
suivants peuvent se manifester au niveau de la peau :
A. Amiante
B. Arsenic
C. Nitrate
D. Aucune réponse
13- Les Polluants Organiques Persistants sont des molécules complexes définies en fonction de quatre
propriétés qui sont :
A. La toxicité
B. la dégradation dans l'environnement
C. la bioaccumulation et la bioamplification
D. le transport longue distance.
14- Les Phtalates sont :
A. Groupe de composés chimiques présent entre autres, dans de nombreux dispositifs médicaux en
plastique
B. Groupe de composés chimiques qui forment un lien chimique avec les produits en plastique
C. Groupe de composés chimiques qui ne forment pas de lien chimique avec les produits en plastique
D. Groupe de composés chimiques qui peuvent agir comme des perturbateurs endocriniens

Pag 252:Ata e
15- Les Hydrocarbures aromatiques polycycliques:
A. Ne sont jamais cancérigène
B. Proviennent de la combustion incomplète de matières organiques
C. Sont considérés aussi comme des perturbateurs endocriniens
D. Caractérisés par leur propriété de bioaccumulation et de bioamplification
16- Un nombre élevé de coliformes thermo-tolérants dans l'eau est un indicateur de
A. Pollution industrielle
B. Contamination par des eaux usées
C. Dureté de l'eau
D. Pollution par les hydrocarbures
17- Les pathologies liées à la pollution de l'eau d'origine chimique peuvent être des :
A. Intoxications ponctuelles
B. Troubles de la reproduction
C. Troubles psychologiques
D. Localisations cancéreuses
18- Une eau d'alimentation humaine correspond à une :
A. Eau d'adduction publique
B. Eau embouteillée ou eau minérale
C. Eau qui doit être stérile
D. Eau qui doit satisfaire aux exigences de qualité spécifiées dans une norme
19- Les normes de potabilité de l'eau sont réparties en cinq groupes, parmi lesquelles on distingue :
A. Paramètres bactériologiques
B. Paramètres organoleptiques
C. Paramètres parasitologiques
D. Paramètres physico-chimiques
20- Un risque microbiologique lié à la pollution de l'eau :
A. Représente un risque à long terme
B. Entraîne une maladie à transport hydrique
C. Se manifeste toujours par une symptomatologie gastro-intestinale
D. S'exprime souvent par une symptomatologie neurologique
QR 1 :
21- La prévention et le contrôle de la pollution de l'eau passe à travers 2 composantes principales.
Expliquez
QR 2 :
22- Selon l'OMS, 10 produits chimiques posent un problème majeur de santé publique, donner 2
exemples et préciser leurs impacts sanitaires directs

23- La pollution de l'air est un problème majeur de santé environnementale, elle comprend :
A. La pollution de l'air intérieur des habitations
B. La Pollution atmosphérique
C. L'air dans les usines uniquement
D. L'alr intérieur et extérieur
24- Les particules fines sont des matières microscopiques en suspension dans l'air. Considérez-vous
ces affirmations correctes?
A. Les PM 0,1 μm génèrent le plus d'inquiétudes sur le plan sanitaire
B. Les PM 0,1μm ou <0,1 μm peuvent contenir des métaux toxiques comme de l'arsenic, du mercure ou du
nickel
C. Les PM 0,1μm ou <0,1μm pénètrent dans les ramifications les plus profondes des voies respiratoires et
même dans le sang

Pag 253:Ata e
D. L'Inhalation des particules fines implique un risque de maladies respiratoires d'asthme et d'allergies
E. Les PM10 pénètrent dans les ramifications les plus profondes des voies respiratoires, mais aussi dans
le sang
F. Les PM10 proviennent surtout des processus mécaniques comme les activités de construction
G. Les particules ultrafine<0,1 microns peuvent contenir des métaux toxiques comme de l'arsenic, du
mercure ou du nickel
H. Les particules en suspension entraînent l'aggravation de l'état de santé des personnes atteintes de
maladies cardiaques et respiratoire
25- Les oxydes d'azote et principalement le dioxyde d'azote est un gaz irritant qui engendre:
A. Hyperréactivité bronchique.
B. Troubles hépatiques
C. Cancer
D. Augmente la fréquence et l'intensité des crises d'asthme
26- Les principales conséquences de la Pollution de l'air sont:
A. Maladies cardio-vasculaires
B. Asthme
C. Antibio-résistance
D. Troubles de la reproduction
E. Résistance des bactéries aux antibiotiques
27- Quel est l'impact sur la santé des particules fines (PM10) présents dans l'air?
A. Asthme
B. Allergies
C. Maladies gastro-intestinales
D. Troubles de la reproduction
28- L'OMS soutient que la réduction des PM10 à elle seule pourrait réduire de 15% le nombre de décès
dans les villes fortement polluées. Quel est l'impact de ces particules fines sur la santé ?
A. Asthme
B. Allergies
C. Maladies gastro-intestinales
D. Troubles de la reproduction
29- Quel est le principal effet de la pollution de l'air sur la santé humaine
A. Maladies respiratoires
B. Maladies cardio-vasculaires
C. Différents types de cancer
D. Maladies rénales
30- Lequel des polluants atmosphériques suivants peut affecter la circulation sanguine entraînant la
mort ?
A. Cadmium
B. Poussière d'amiante
C. Monoxyde de carbone
D. Plomb
31- Des niveaux élevés de polluants atmosphériques peuvent entre autres :
A. Déclencher des poussées d'asthme et de BPCO
B. Augmenter le risque de cancer du poumon
C. Donner lieu à des TIAC
D. Augmenter le nombre de cas de tuberculoses
32- Lesquelles de ces substances polluantes de l'air font l'objet d'une surveillance obligatoire :
A. Dioxyde de soufre (SO2)
B. Dioxyde de carbone (CO2)
C. Particules en suspension (PM10)

Pag 254:Ata e
D. Oxygène (02)
QR 3 :
33- L'OMS fait état de six principaux polluants atmosphériques. Préciser lesquelles

34- Des mesures d'hygiène élémentaire permettent de prévenir la contamination des aliments. On cite :
A. Mains propres sur un plan de travail nettoyé
B. Travailler ensemble des aliments cuits et crus
C. Utiliser une eau minérale pour nettoyer les aliments
D. Conserver la nourriture à une bonne température
35- Le terme TIAC signifie :
A. Toxine Infectieuse Altérant les Composants
B. Toxi-Infection Alimentaire Collective
C. Toxi-Infection à Campylobacter
D. Toxi-Inflammation Alimentaire Collective
36- On parle de TIAC lorsque :
A. Au moins 2 personnes ont les mêmes symptômes
B. Une personne est malade
C. Au moins 10 personnes ont les mêmes symptômes
D. Au moins 50 personnes ont les mêmes symptômes

Exercice 1 :

On se demande si un médicament E, jusqu'à présent non contre indiqué pour une grossesse et d'utilisation
courante (environ 3 femmes sur 4 l'utilisent au moins une fois au cours de leur grossesse) augmente le
risque de malformation embryonnaire. Pour cela, on a conduit une étude incluant 50 femmes ayant eu un
enfant malformé et 50 femmes ayant eu un enfant normal. Les résultats de cette enquête étaient comme
suit :

Femmes ayant eu un enfant


Prise médicamenteuse Femmes ayant eu un enfant normal
malformé

Jamais 9 13

au moins une fois au cours de la


41 37
grossesse

Total 50 50

1- Donnez une estimation de la fréquence de l'exposition (prise médicamenteuse population générale :


A. 37/50 = 0.74
B. 41/50
C. 78/100
D. On ne peut pas estimer cette fréquence
2- De quel type d'étude s'agit-il ?
A. Enquête Cas témoin
B. Enquête de cohorte
C. Enquête transversale
D. Enquête expérimentale

Pag 255:Ata e
3- Calculez la mesure d'association adaptée à ce type d'étude
A. L'OR = 1,60
B. Le RR=0,78
C. On ne peut pas calculer la mesure de l'association avec les données fournies
D. Aucune réponse n'est juste
4- Que concluez-vous sur le rôle du médicament dans la survenue de malformation ?
A. Les femmes ayant consommé au moins une fois au cours de leur grossesse le médicament E, ont un
risque plus élevé d'avoir un enfant malformé que celles qui n'en ont pas consommé
B. Les femmes ayant consommé au moins une fois au cours de leur grossesse le médicament E, ont un
risque réduit d'avoir un enfant malformé que celles qui n'en ont pas consommé
C. Bien que le risque est élevé, nous avons besoin de l'intervalle de confiance pour conclure
D. Bien que le risque est réduit, nous avons besoin de l'intervalle de confiance pour conclure
Exercice 2 :
Dans un service d'urologie d'un hôpital provincial, tous les sujets qui ont eu un cancer de la vessie quelle
que soit la date du diagnostic et qui sont toujours suivis dans le service en 1990 sont inclus dans une
étude. On étudie les facteurs de risque de ce cancer liés à la consommation de tabac et aux expositions
toxiques pendant l'activité professionnelle. Les sujets atteints de cancer sont interrogés sur ces facteurs au
moyen d'un questionnaire ainsi que d'autres patients du même hôpital atteints d'une maladie non
cancéreuse
5- De quel type d'étude s'agit-il ?
A. Enquête cas témoin
B. Enquête de cohorte
C. Enquête transversale
D. Enquête expérimentale
6- Quel est le mode d'inclusion des sujets dans l'enquête.
A. Prévalent et incident
B. Prévalent
C. Incident
D. Aucune réponse n'est juste
7- Le recueil des informations est il
A. Prospectif
B. Rétrospectif
C. Prospectif et rétrospectif
D. Aucune réponse n'est juste
8- Parmi les critères de causalité cités dans les propositions suivantes, quels sont ceux qui pourront être
évalués dans cette étude:
A. Relation dose effet quelle que soit la nature des données recueillies
B. Séquence dans le temps entre l'exposition au facteur et la maladie quelle que soit la nature des
données recueillies
C. L'effet de la suppression ou de la diminution de l'exposition quelle que soit la nature des données
recueillies
D. Tous les critères de causalité cités ci-dessus à condition que les données soient correctement relevées.
Exercice 3 :
Une enquête sur les facteurs sociaux de mortalité chez les personnes âgées a été réalisée sur un
échantillon de 1054 sujets représentatifs de la population des personnes âgées de plus de 70 ans qui ont
été suivis pendant 2 ans.
9- De quel type d'enquête s'agit-il ?
A. Enquête Cas témoin
B. Enquête de cohorte

Pag 256:Ata e
C. Enquête transversale.
D. Enquête écologique
10- Au cours du suivi, 108 sujets ont été perdus de vue. Le type de biais que l'on peut craindre est :
A. A Biais d'information B. Bien de confusion
B. Biais de classement D Biais de sélection
C. Parmi les facteurs relevés figurait l'obésité appréciée à partir de l'indice de corpulence Poids/Taille. On
s'est rendu compte après l'enquête qu'un des enquêteurs n'avait pas pensé à demander que les sujets
enlèvent leurs chaussures avant de les mesurer.
11- Le type de biais que l'on peut craindre est :
A. Biais d'information
B. Bien de confusion
C. Biais de classement
D. biais de sélection
Les tableaux suivants vous donnent l'association entre la survie et la sensation de bien-être (déclarés au
début de l'enquête) selon que le sujet vivait dans sa propre maison ou en institution au début de l'enquête :

Décédé Vivant

Vivant en Sensation de bien Oui 13 205


institution être
Non 60 330

Vivait dans sa Sensation de bien Oui 14 351


propre maison être
Non 6 75
12- Y a-t-il une association entre le risque de décès et la sensation de bien-être ?
Oui parce que le RR = 0,33
Oui parce que l'OR = 0,30
Oui, mais il faudrait plus de données pour estimer l'intervalle de confiance
On ne peut pas calculer la mesure d'associations par manque de données
13- Le lieu de vie est-il un facteur de confusion pour l'association entre la sensation de bien-être et la
survie?
A. Oui parce que le RR calculé dans la Strate «Vivait en institution» est égale au RR calculé dans la
Strate« Vivait dans sa propre maison»
B. ui parce que l'OR calculé dans la Strate «Vivait en institution» est égale au OR calculé dans la Strate
«Vivait dans sa propre maison»
C. Non parce que le RR calculé dans la Strato «Vivait en institution» est différent du RR calculé dans la
Strate« Vivait dans sa propre maison »
D. on parce que l'OR calculé dans la Strate «Vivait en institution» est différent de l'OR calculé dans la
Strate «Vivait dans sa propre maison»
Exercice 4 :
Une enquête ponctuelle sur les facteurs sociaux de mortalité chez les personnes âgées de 70 ans et plus a
été réalisée sur un échantillon de 1054 sujets représentatifs de la population adulte veillant sur ces
personnes âgées de plus de 70 ans et résidant dans une région défavorisée d'un pays.
14- De quel type d'enquête s'agit-il ?
A. Enquête Cas témoin
B. Enquête de cohorte
C. Enquête transversale
D. Enquête écologique

Pag 257:Ata e
15- Au cours de cette enquête, 108 sujets ont été refusé d'y participer. Le type de biais que l'on peut
craindre est :
A. Biais d'information
B. Bien de confusion
C. Biais de classement
D. Biais de sélection
Parmi les facteurs relevés figurait l'obésité appréciée à partir de l'indice de corpulence Poids/Taille. On s'est
rendu compte après l'enquête qu'un des enquêteurs n'avait pas pensé à demander que les sujets enlèvent
leurs chaussures avant de les mesurer.
16- Le type de biais que l'on peut craindre est :
A. Biais d'information
B. Bien de confusion
C. Biais de classement
D. Biais de sélection
Les tableaux suivants vous donnent l'association entre la survie et la sensation de bien-être (déclarés par
le participant au début de l'enquête) selon que le sujet vivait en milieu rural ou en milieu urbain:

Décédé Vivant

Vivait en milieu Sensation de bien Oui 13 205


urbain être
Non 60 330

Vivait en milieu Sensation de bien Oui 14 351


rural être
Non 6 75

17- Quelle mesure d'association peut-on calculer dans cette étude :


A. L'OR
B. Le RR
C. Les deux peuvent être calculés
D. Aucune mesure ne peut être calculée
18- Y a-t-il une association entre le risque de décès et la sensation de bien-être ?
A. Oui parce que le RR=0,33
B. Oui parce que l'OR=0,30
C. Oui, mais il faudrait plus de données pour estimer l'intervalle de confiance
D. On ne peut pas calculer la mesure d'associations par manque de données
19- Une personne autonome :
A. est capable de s'autodéterminer, de prendre des décisions, d'agir et d'évaluer en toute indépendance
B. ne participe pas à la décision thérapeutique de son médecin traitant
C. a besoin de mesures spéciales, quand elle est vulnérable, pour garantir son autonomie
D. N'est pas responsable de sa décision thérapeutique
Exercice 5 :
Pour étudier la relation entre la consommation de graisse alimentaire et le risque du cancer du sein, on
étudie la mortalité par cancer du sein en 1965 d'une quarantaine de pays dans les cinq continents en
fonction du niveau de consommation de graisse par habitant la même année. Celle-ci est estimée à partir
des bilans alimentaires de la FAO (Food and Agriculture Organisation) qui donnent les chiffres de vente par
catégories d'aliments dans chaque pays. Les résultats sont donnés dans le graphique ci-dessous :

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20- De quel type d'enquête s'agit-il ?
A. Enquête Cas témoin
B. Enquête de cohorte
C. Enquête transversale
D. Enquête écologique
21- Parmi les éléments suivants, quels sont ceux qui ont été étudiés ici ?
A. Existence d'une relation dose effet
B. Prise en compte d'un tierce facteur ou facteur de confusion
C. Prise en compte du temps de latence
D. La relation causale
Exercice 6 :
Facteurs de risque du cancer du col de l'utérus chez la femme dans un pays africain

Contexte
Le cancer du col de l'utérus est le deuxième cancer féminin au monde.
Son diagnostic est basé sur une preuve histologique (présence de lésions cancéreuses à l'examen
anatomopathologique sur biopsie de la tumeur).
L'infection à papillomavirus humain (HPV) est le principal facteur de risque de la survenue du cancer du col
de l'utérus. Il existe plusieurs génotypes d'HPV. On distingue les HPV à bas risque, responsables de
lésions bénignes sans risque oncogène telles que les condylomes ano- génitaux, et les HPV à haut risque,
associés à un risque de développer des lésions précancéreuses et cancéreuses.
Bien qu'il soit maintenant admis que l'infection à HPV soit nécessaire pour le développement du cancer du
col de l'utérus, ce n'est pas une cause suffisante de la maladie. En effet, plusieurs autres facteurs
paraissent jouer un rôle important dans l'acquisition de l'HPV et/ou dans l'évolution de l'infection à HPV et
des lésions précancéreuses au niveau du col de l'utérus, comme les comportements sexuels de la femme
et du(des) partenaire(s), les facteurs socioéconomiques, les infections sexuellement transmissibles, etc. Il
est possible d'agir sur beaucoup de ces facteurs, ce qui représente une base de développement des
programmes de prévention primaire et secondaire.
De nombreuses études ont été réalisées pour rechercher les facteurs de risque du cancer du col de l'utérus
chez la femme dans différents pays. Mais le profil microbiologique des infections à HPV diffère d'une
population à l'autre, et les autres facteurs de risque sont très liés au contexte culturel et leur distribution

Pag 259:Ata e
change d'une population à l'autre. La connaissance des facteurs de risque du cancer du col de l'utérus
dans une population donnée permet d'identifier les groupes les plus exposés, et par conséquent, de mieux
orienter la politique préventive dans ce domaine.
L'équipe du laboratoire d'Epidémiologie de la Faculté de Médecine, Médecine Dentaire et de Pharmacie de
Fès, a réalisé une étude dont l'objectif principal était d'identifier les principaux facteurs de risque du cancer
du col de l'utérus chez la femme au Maroc.
Méthodes
L'étude s'est déroulée de 2010 à 2012, et a inclus deux groupes :
- groupe 1 : ont été incluses toutes les femmes adultes vues dans les centres d'oncologie de trois grandes
villes, chez qui un cancer du col de l'utérus avait été nouvellement diagnostiqué, avec preuve histologique
sur biopsie, et pas encore traité ;
- groupe 2 : des femmes non atteintes de cancer du col de l'utérus ont également été recrutées dans les
centres de santé du réseau de soins de santé de base (réseau de soins ambulatoires) des mêmes villes.
L'absence du cancer du col de l'utérus était confirmée par un frottis cervico-vaginal (FCV) normal.
Pour chaque femme atteinte de cancer du col de l'utérus, deux femmes non atteintes de cancer du col de
l'utérus ont été appariées sur l'âge et le milieu de résidence.
Le recueil des informations s'est appuyé sur un questionnaire, un examen gynécologique et des
prélèvements biologiques. Le recrutement et l'administration des questionnaires ont été réalisés par des
enquêtrices, infirmières et sages-femmes formées à cet effet. L'examen gynécologique et les prélèvements
biologiques ont été réalisés par les oncologues et les gynécologues des différents services de recrutement.
22- Quel est l'événement d'intérêt étudié ?
A. L'infection HP
B. Cancer du col de l'utérus.
C. Les comportements sexuels de la femme,
D. Les infections sexuellement transmissibles
23- Quel est le schéma d'étude ?
A. Etude observationnelle.
B. Etude cas-témoins.
C. Etude cohorte.
D. Etude transversale.

Résultats
Au total, 144 femmes et 288 femmes ont été incluses dans le groupe 1 et le groupe 2
respectivement. Les principaux résultats sont présentés dans les tableaux 1 et 2.

Tableau 1 : Distribution de l'infection à HPV (tous génotypes confondus) selon le groupe étudié.
Pays africain, 2010-2015.
Groupe 1 Groupe 1
Effectif (%) Effectif (%)
Infection à HPV < 10-3
présente 123 92,5 39 13,9
absente 10 7,5 242 86,1
HPV : Papillomavirus humain.

Tableau 2 : Facteurs associés au cancer du col chez la femme Pays africain, 2012-2015. Analyse
multivariée
Groupe 1 Groupe 2 Mesures
d’association*
Effectif % Effectif % (IC95%)
Niveau d’étude
Scolarisée 21 15,7 118 43,2 1
Non scolarisée 113 84,3 155 56,8 4,6 (1,8;11,6)

Pag 260:Ata e
Nombre de grossesses
≤3 40 28,4 119 43,1 1
>3 101 71,6 157 56,9 1,7 (1,1;4,3)
Milieu de résidence
Urbain 85 59,4 251 92,6 1
Rural 58 40,6 20 7,4 8,7 (2,8;27,0)
Rapports sexuels au cours de la
menstruation
Non 99 71,7 256 91,4 1
Oui 39 28,3 24 8,6 9,9(2,8;35,6)
Antécédents d'IST
Non 15 10,9 8 3,0 1
Oui 123 89,1 262 97,0 11,1 (1,7;71,5)
Nombre de partenaires sexuelles chez le
conjoint
1 67 51,9 210 78,1 1
2 et plus 62 48,1 59 21,9 2,9 (1,3;6,7)
IST : infection sexuellement transmissible ; IC95% : intervalle de confiance à 95 %
*Ajustement sur les variables présentes dans le tableau, ainsi que sur le statut vis-à-vis de l'infection
à papillomavirus (HPV).

24- Concernant les biais de confusion, quel(s) est(sont) le(s) moyen(s) utilisé(s) dans cette étude afin
de les limiter ?
A. L'appariement
B. La sélection de deux groupes,
C. L'ajustement sur les facteurs de confusion,
D. L'analyse multivariée,
25- Concernant la mesure d'association entre l'infection à HPV et le cancer du col de l'utérus, quelle est
celle adaptée à cette étude ?
A. Différence de risque
B. Rapport de prévalence
C. Risque relatif
D. Rapport de cote
26- A partir des données du tableau 1, calculer la mesure d'association entre l'infection HPV et
l'évènement d'intérêt. La valeur de la mesure d'association est :
A. 0,013
B. 0,054
C. 18,45
D. 76,32
27- A partir des résultats du tableau 2, parmi les propositions suivantes, quelles sont les interprétations
justes :
A. Les rapports sexuels au cours de la menstruation représentent un facteur de risque du cancer du col
B. Le nombre de partenaires sexuelles chez le conjoint n'est associé au cancer du col
C. Le milieu de résidence rural est un facteur protecteur vis-à-vis du cancer du col
D. Les antécédents d'IST représentent un facteur de risque du cancer du col

Pag 261:Ata e
Exercice 7 :
Utilisation de contraceptif oral et risque de maladie thromboembolique veineuse.

Contexte
Dans les pays développés, environ 18 % des femmes en âge de procréer utilisent des contraceptifs oraux.
Ce pourcentage s'élève à 28 % au Royaume-Uni.
Bien que les contraceptifs oraux soient efficaces pour empêcher une grossesse, ils ont des effets
secondaires mesurables tels la maladie thromboembolique veineuse (MTEV).
La MTEV se caractérise par l'apparition d'un caillot sanguin dans une veine qui altère la circulation
sanguine. On distingue deux formes principales de MTEV : la phlébite (ou thrombose veineuse profonde),
qui affecte surtout les membres inférieurs, et l'embolie pulmonaire qui touche les poumons. La MTEV est
une pathologie multifactorielle et différents facteurs de risque génétiques ou environnementaux peuvent
être impliqués dans sa survenue. Parmi les principaux, on compte l’âge, le cancer, la chirurgie,
l’immobilisation, les troubles de la coagulation, l’obésité et la grossesse. Pathologie fréquente et
récidivante, elle présente une mortalité et une morbidité importantes.
Des études antérieures ont montré qu’il existait un risque de MTEV associé à la prise de contraceptifs
oraux, mais ces études ont été effectuées il y a quelques années alors que de nouveaux contraceptifs
oraux ont été utilisés depuis, et certaines études n'ont pas pris en compte tous les facteurs de confusion
potentiels.
L’objectif de cette étude était d'estimer les associations entre l'utilisation de contraceptifs oraux et le risque
de MTEV.

Méthodes
Cette étude utilise les données enregistrées dans la base de données QResearch (QResearch Database).
QResearch est une base de données qui centralise les données anonymisées de patients à partir d'un
réseau de cabinets de médecins généralistes à travers le Royaume-Uni. Les données de soins primaires
sont liées à une série d'autres données relatives à la santé (consommation de soins, médicaments,
hospitalisations et décès) afin de fournir un ensemble de données longitudinales et représentatives sur la
santé de la population britannique. La version utilisée ici est la Version 38 comprenant les données
enregistrées par 722 médecins généralistes.
Toutes les patientes âgées de 15 à 49 ans ayant eu un premier diagnostic de MTEV entre 2001 et 2013
étaient incluses. Chaque patiente présentant un diagnostic de MTEV a été appariée avec cinq patientes
d'âge similaire sans diagnostic de MTEV, qui consultaient le même médecin au même moment que la
patiente avec un diagnostic de MTEV.
Le diagnostic de MTEV était basé sur le même codage international de la maladie, que l'enregistrement
soit fait par le médecin généraliste, en hospitalisation, ou selon le registre de mortalité. Seul le classement
fait par le médecin généraliste ne prenait pas en compte les résultats d'examens d'imagerie permettant de
faire le diagnostic de MTEV, disponible pour les deux autres sources. Les patientes avec une
contre-indication médicale à l'utilisation d'un contraceptif oral ont été exclues.
L'identification de l'utilisation de contraception hormonale est basée sur la prescription médicale de chaque
patiente l'année précédant son inclusion, définie comme la date de premier diagnostic de MTEV. Les
patientes sans MTEV incluses dans l'étude avaient comme date d'inclusion la date de premier diagnostic
de MTEV de la patiente à laquelle elles étaient appariées.
De nombreuses données incluant maladies chroniques et cardiovasculaires, cancer, indice de masse
corporelle, consommation de tabac, d'alcool, groupe ethnique, facteurs sociodémographiques et
traitements ont été récupérées.
Résultats
Durant la période d’étude, un total de 5 500 patientes présentant une MTEV et 22 396 patientes
ne présentant pas de MTEV ont été incluses.
30 % des patientes ayant eu une MTEV et 16 % des patientes sans MTEV avaient eu au moins une
prescription de contraceptif oral dans l'année précédente.
Les principaux résultats de l'analyse ajustée sur l'indice de masse corporelle, la consommation de tabac et
d'alcool, le groupe ethnique, la présence de maladies chroniques et l'utilisation d'une autre forme de
contraception hormonale sont présentés dans le tableau 1 ci-dessous.

Pag 262:Ata e
Tableau 1.
Mesure d'association ajustée*
[IC95%]
Utilisation de contraceptif oral
Non 1 <0,001
Oui 2,52 [2,24-2,84]
IC95% : intervalle de confiance à 95%
• Les mesures d'association présentées sont des mesures ajustées sur l'indice de masse corporelle, la
consommation de tabac et d'alcool, le groupe ethnique, la présence de maladies chroniques et l’utilisation d'une autre
forme de contraception hormonale. Ces mesures ajustées sont estimées grâce â une analyse « multivariable »,
c'est-à-dire tenant compte (grâce à un ajustement) de plusieurs variables en même temps. Dans cette analyse
multivariable, pour une catégorie donnée, la mesure d’association est ajustée sur les autres variables présentes dans
le modèle, et s'interprète comme la mesure d'association pour cette catégorie de la variable considérée « en tenant
compte des autres variables » ou « toute chose étant égale par ailleurs » ou « après ajustement sur les autres
variables »

28- Quel est l'événement d'intérêt étudié ?


A. Consommation de tabac,
B. Maladie thromboembolique veineuse,
C. L'utilisation de la contraception par voie orale,
D. L'indice de masse corporelle.
29- Quel est l'exposition principale étudiée ?
A. Consommation de tabac,
B. Maladie thromboembolique veineuse,
C. L'utilisation de la contraception par voie orale,
D. L’ indice de masse corporelle
30- Quel est le schéma d’étude ?
A. Etude observationnelle.
B. Etude cas-témoins.
C. Etude cohorte.
D. Etude transversale.
31- Concernant les biais de confusion, quel(s) est(sont) le(s) moyen(s) utilisé(s) dans cette étude afin
de les limiter ?
A. L'appariement
B. La sélection de deux groupes,
C. L'ajustement sur les facteurs de confusion,
D. L'analyse multivariée.
32- Concernant la mesure d’association entre la contraception par voie orale et la MTEV, quelle est
celle adaptée à cette étude ?
A. Différence de risque
B. Rapport de prévalence
C. Risque relatif
D. Rapport de cote
33- A partir des données du tableau 1, quelle (sont) est (sont) votre(vos) interprétation(s) concemant la
mesure d'association :
A. II n'y a pas d'association entre la consommation des contraceptifs par voie orale et la MTEV.
B. Il y a une association statistiquement significative entre la consommation des contraceptifs par voie
orale et la MTEV.
C. La consommation des contraceptives par voie orale est un facteur de risque de la MTEV
D. La consommation des contraceptifs par voie orale augmente le risque de la MTEV.

Pag 263:Ata e
Exercice 8 :
Exercice : Malnutrition et infection palustre :
Cette partie est composée de 12 QCM. Lisez bien les questions et sur la feuille de réponse cocher, pour
chaque question, la(es) bonne(s) réponses sans commentaires.
Contexte
Depuis plusieurs années, on observe un recul de l'endémie palustre (c'est-à-dire de la zone de présence
habituelle du paludisme, dû au parasite Plasmodium), explicable par la mise en place de différentes
stratégies préventives, dont l'augmentation de l'utilisation de moustiquaires imprégnées d'insecticide (MII).
Cependant, le paludisme reste encore une importante cause de morbidité, particulièrement en Afrique
sub-saharienne. De plus, 78% des décès dus au paludisme surviennent chez des enfants africains de
moins de cinq ans. Depuis plusieurs décennies, un lien entre la malnutrition protéino-énergétique (MPE) et
le paludisme est discuté. En effet, la malnutrition chronique est fréquente chez les enfants âgés de moins
de cinq ans en Afrique sub-saharienne (26 % en 2008) et la question d'une relation entre malnutrition et
paludisme se pose. Cependant, jusqu'à ce jour, les résultats des nombreuses études menées en milieu
hospitalier ou en milieu communautaire n'ont pas permis de parvenir à un consensus. Dans le but de
contribuer à la compréhension de cette relation entre la malnutrition et la morbidité liée au paludisme, une
étude a été réalisée, chez des enfants de 6 à 59 mois en communauté dans un pays d'Afrique
sub-saharienne. Méthodes
Population et schéma d'étude Cette étude concernait les enfants âgés de 6 à 47 mois à l'inclusion, vivant
dans un district de santé au Niger. A partir d'une liste des enfants de ce district, des enfants ont été
sélectionnés par un échantillonnage aléatoire simple en mars 2011 (visite d'inclusion) et ont eu une
première visite de suivi en avril 2011. Il était ensuite proposé à ces enfants une visite mensuelle jusqu'en
mars 2012 (ils avaient ainsi 59 mois au plus à la fin du suivi). Après l'obtention des autorisations des chefs
locaux, les objectifs de l'étude ainsi que les activités ont été expliqués aux parents afin d'obtenir leur
consentement libre et éclairé. Recueil des données Les personnes recueillant les informations de santé
étaient recrutées parmi un personnel expérimenté d'un centre de recherche en santé à proximité. Les
données ont été recueillies à chaque visite grâce à des questionnaires standards préalablement testés.
Chaque enfant bénéficiait des soins gratuits dans un centre de santé proche de son lieu de résidence. Les
mesures du poids et de la taille de l'enfant, ainsi que la recherche des oedèmes étaient réalisées au cours
de chaque visite, de manière standard suivant les recommandations internationales. Les indices Taille Pour
Âge (TPA) et Poids Pour Taille (PPT) ont été exprimés en écart type, Z-score (25), par rapport à la médiane
de la population de référence définie par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en 2006, permettant
de définir la malnutrition (Tableau 1). La température axillaire était mesurée à l'aide d'un thermomètre
digital (hyperthermie définie par une température axillaire ≥ 37,5 C). Une prise de sang capillaire (au bout
du doigt) était effectuée à chaque visite, permettant de déterminer la présence de parasite Plasmodium
dans le sang, selon les méthodes standards de l'OMS. En fonction des connaissances sur la transmission
du paludisme, deux saisons ont été définies: la saison basse d'avril 2011 à septembre 2011 et la saison
haute d'octobre 2011 à mars 2012.

Tableau 1 : définition des indicateurs


Indicateur Définition
Malnutrition aiguë Indicateur : Poid Pour Taille (PPT)
Malnutrition aiguë ZS < -2
Malnutrition aiguë sévère ZS < -3 et/ou présence d’oedèmes nutritionnels
Malnutrition chronique Indicateur : Taille Pour Âge (TPA)
Malnutrition chronique ZS < -2

Malnutrition chronique sévère ZS < -3

Pag 264:Ata e
Résultats
parmi les 900 enfants sélectionnés, les parents de 90 enfants ont refusé toute participation, ceux
de quatre enfants avaient changé d'adresse et quatre enfants sont décédés entre l’identification et la
première visite. Lors de la première visite, 12 enfants avaient une infection palustre et n'ont
finalement pas été indus dans l’étude.
34- Quel(s) est(sont) l'(les)événement(s) d'intérêt ?
A. Infection palustre
B. Malnutrition aiguë
C. Malnutrition aiguë sévère
D. Malnutrition chronique
35- Quelle(s) est(sont) l'(les)et l'exposition principale étudiés ?
A. Infection palustre
B. Malnutrition
C. Température axillaire
D. Poids
36- Quel est le schéma d'étude ?
A. Etude cas-témoins
B. Etude cohorte prospective
C. Etude cohorte rétrospective
D. Etude transversale
37- Concernant la méthode d' inclusion dans cette étude, quelles sont les propositions justes
A. Les enfants sont inclus sur la base du volontariat.
B. Les enfants sont indus par tirage au sort d’un échantillon aléatoire, on peut penser que l'échantillon est
représentatif a priori.
C. On a un bon taux de participation.
D. Étude menée dans un seul district expose à un risque potentiel de biais de sélection.
38- Concernant le recueil des données dans cette étude, quelles sont les propositions justes
A. Le recueil repose sur des questionnaires standards préalablement testés ce qui limite une erreur de
classement vis-à-vis de l'exposition (biais de mesure).
B. Le personnel est expérimenté et formé.
C. Ces mesures sont effectuées suivant les recommandations internationales.
D. Les définitions utilisées sont des définitions propres à l'étude.
Résultats (suite)
A la première visite. 472 enfants souffraient de malnutrition chronique. Les effectifs des enfants selon le
suivi sont indiqués dans le tableau 2. tors du suivi, 344 enfants ont eu au moins une infection palustre. dont
215 chez des enfants souffrant de malnutrition chronique.
Tableau 2 : Nombre de visites mensuelles par enfant
Effectifs
Pas de malnutrition Malnutrition
Nombre de visites
chronique à chronique à Effectif total
de suivi*
l’inclusion l’inclusion
4 0 1 1
6 3 5 8
7 7 15 22
8 17 14 31
9 15 37 52
10 35 77 112
11 70 111 181
12 171 212 383
Total 318 472 790

Pag 265:Ata e
* Les visites étaient consécutives. En cas d’absence à une visite, une autre visite était programmée dans le
même mois sauf en cas d'arrêt de la participation.

39- Quelle mesure de fréquence peut-on calculer pour la malnutrition chronique dans cette population,
lors de la visite d'inclusion?
A. On peut calculer l'incidence de la malnutrition chronique.
B. On peut calculer la densité d'incidence de la malnutrition chronique.
C. On peut calculer l'incidence cumulée de la malnutrition chronique
D. On peut calculer la prévalence de la malnutrition chronique.
40- Calculez la mesure de fréquence de la malnutrition chronique dans cette population, lors de la visite
d'inclusion, la valeur est de :
A. 0,272
B. 0,424
C. 0,435
D. 0,597
41- Quelle mesure de fréquence peut-on calculer concernant l'infection palustre ?
A. L’incidence cumulée
B. La densité d'incidence.
C. On peut calculer la prévalence de la malnutrition chronique.
D. Le risque relatif
42- Calculez la mesure de fréquence concernant l'infection palustre, la valeur est de :
A. 4 infections palustres pour 100 enfant-mois.
B. 4 infections palustres pour 100 enfants.
C. 2 infections palustres pour 100 enfants-mois.
D. 2 infections palustres pour 100 enfants.
43- Quelle mesure d'association peut-on utiliser, dans cette étude. pour mesurer l'association entre la
malnutrition chronique et l'infection palustre.
A. Rapport de prévalence
B. Rapport de cote
C. Risque relatif
D. Odds Ratio
44- La mesure d'association calculé dans cette étude est = à 1,14 ; Quelle est votre interprétation :
A. Il n'y a pas d'association significative entre malnutrition chronique et infection palustre.
B. On est dans la Situation d'un facteur de risque.
C. Il a une association significative entre malnutrition chronique et infection palustre.
D. On ne peut pas conclure.

Résultats (suite)
Les résultats des 3 principales analyses ajustées sur l'âge et la saison sont présentés dans le tableau 3
ci-dessous.

Pag 266:Ata e
Tableau 3. Trois analyses ajustées pour l’association entre malnutrition et infection palustre.
Pays d'Afrique subsaharienne. 2011-2012 (N=790).
Mesure
Exposition étudié dans l’analyse d’association
ajustée* [IC95%]
Z-score PPT 0,99
≥ -2 1
< -2 0,99 [0,58-1,74]
Malnutrition aiguë sévère 0,17
Non 1
Oui 1,46 [0,84-2,53]
Z-score TPA 0,66
≥ -2 1
≥ -3 et < -2 1,24 |0,76-2,06]
< -3 1,21 [0,76-1,92]
IC95%; intervalle de confiance à 95%

* Dans cette analyse multivariée, pour une catégorie donnée, la mesure d'association est ajustée sur l'âge
et la saison et s'interprète comme la mesure d'association pour cette catégorie de la variable considérée
“en tenant compte de l'âge et de la saison “ou” toute chose étant égale par ailleurs” ou après ajustement
sur l'âge et la saison”
45- Dans le tableau 3, pourquoi avoir calculé des mesures ajustées ?
A. Pour limiter les biais de confusion
B. Pour limiter un biais de sélection
C. Pour limiter un biais d'information différentiel
D. Pour limiter un biais d'information non différentiel

Exercice 9 :
Contexte
Le cancer du col est le deuxième cancer féminin au Maroc. Beaucoup de déterminants du cancer du col
chez la femme sont modifiables et représentent ainsi une base de développement des programmes de
prévention primaires et secondaire permettant le changement de l'histoire naturelle de ce cancer et la
réduction de son incidence.

Méthode
En 2009, l'équipe du laboratoire d'épidémiologie de la Faculté de Médecine de Fès, a mis en place une
étude pour déterminer les facteurs liés à la survenu du cancer du col chez la femme marocaine.
L'étude s 'est déroulée de novembre 2009 à avril 2012. Les femmes atteintes de cancer du col ont été
recrutées dans les centres d'oncologie de Rabat et de Casablanca. Les femmes non atteintes de cancer du
col ont été recrutées dans les centres de santé du réseau de soins de santé de base.
L'information recueillies était composée d’un questionnaire, d'un ensemble d'examens gynécologiques et
de prélèvements biologiques destinés au frottis cervico-vaginal et au génotypage d’HPV (Human Papilloma
Virus).

Résultats
Durant la période de l'étude, 144 femmes avec cancer du col de l'utérus ont été inclus, et 288 femmes sans
cancer du col.

46- Quel est le type d'étude ?


A. Etude observationnelle
B. Etude expérimentale
C. Etude cas-témoins
D. Etude cohorte

Pag 267:Ata e
47- Quelle est l'incidence du cancer du col dans cette population d'étude
A. 50%
B. 25%
C. Pour calculer cette incidence on a besoin de la population au départ et à la fin de l’étude
D. On ne peut pas calculer d'incidence dans cette étude
E. L'infection HPV était présente chez 132 femmes avec cancer du col et chez 39 femmes sans
cancer du COI.
48- Quelle(s) est (sont) Ia(es) mesure d'association qui permet de mesurer l'association entre le cancer
du col et l'infection HPV
A. Le rapport de cote
B. Le risque relatif
C. Le rapport de prévalence
D. Le test de la loi normale centrée réduite
49- Quelle est la valeur de cette mesure d'association
A. 6,6
B. 19,1
C. 39,3
D. 76,3
50- Quelle(s) est (sont) l(es)'interprétation de ce résultat
A. Il n'y a pas d'association entre l’Infection HPV et le cancer du col
B. Il va une association significative entre l'infection HPV et le cancer du col
C. L'infection à HPV est un facteur de risque du cancer du col
D. La mesure d'association seule ne permet pas de conclure
51- Dans la discussion de leurs résultats, les investigateurs soulèvent que les femmes atteintes de
cancer du col ont été recrutées dans l’Institut national d'oncologie de Rabat et le centre d'oncologie du
CHU de Casablanca. En effet ces deux centres représentent des centres de référence du niveau 3 de
notre système de santé et la possibilité d'un biais est possible. Quel(s) est(sont) le(s) type(s) de biais
potentiel(s) soulevé par les investigateurs dans ce cas :
A. Biais d'information différentiel
B. Biais d'information non différentiel
C. Biais de confusion
D. Biais de sélection
52- Dans la discussion de leurs résultats, les investigateurs soulèvent que l'infection à HPV est liée à
l'activité et aux comportements sexuels des femmes. Et si une association est observée entre l'infection
à HPV et le cancer du col, cette association serait plutôt le résultat de l’activité et des comportements
sexuels des femmes. Dans cette discussion, de quel type de biais s'agit-il ? :
A. Biais d'information différentiel
B. Biais d'information non différentiel
C. Biais de confusion
D. Biais de sélection
53- Dans le cadre de ce travail, le génotypage de l’infection HPV a été fait par la méthode « Nested
PCR ». Cette méthode de recherche du virus est caractérisée par une sensibilité de 96% et une
spécificité de 95%. Ce manque de spécificité et de sensibilité peut entraîner quel(s) type(s) de biais ? :
A. Biais d'information différentiel
B. Biais d'information non différentiel
C. Biais de confusion
D. Biais de sélection

Pag 268:Ata e
Exercice 10 :
Contexte
L'hypertension artérielle (HTA) s'observe au cours de la grossesse avec une prévalence de 5 à 15 % Cette
pathologie constitue une des premières causes de morbidité et de mortalité materno-foetale en Afrique,
pouvant être évitable, avec une responsabilité dans 30 % des décès maternels et 20 % de la mortalité
fœtale et néonatale.
Méthodes
Cette étude a été réalisée dans un hôpital urbain de référence de Dakar au Sénégal, qui effectue en
moyenne 1 200 accouchements par an. Toutes les femmes enceintes hospitalisées en service de matemité
ou de cardiologie avec un diagnostic d'HTA en début de grossesse ont été incluses dans l'étude sur une
période de deux ans, entre octobre 1998 et octobre 2000.
Par ailleurs, un groupe de femmes enceintes non hypertendues, comparable au groupe de femmes
enceintes hypertendues en termes d'âge et de parité (nombre ont été incluses sur la même période lors de
la première consultation de grossesse. Le suivi de la grossesse a été effectué dans les deux groupes selon
le suivi habituel en fonction des antécédents et complications éventuelles.
Les modalités de l'accouchement (césarienne ou non) ont été appréciées, de même que les complications
au cours de la grossesse et les décès maternels.
Résultats

Quatre-vingt -quatorze femmes enceintes hypertendues étaient incluses. Treize cas d'insuffisance rénale
sévère fonctionnelle sont survenus durant la grossesse.
L'accouchement a été réalisé par césarienne pour 35 femmes.

Quarante-sept femmes ont été incluses. Un seul accouchement a été réalisé par césarienne.

54- Quel est le type d'étude


A. Etude observationnelle
B. Etude expérimentale
C. Etude cas-témoins
D. Etude cohorte prospective
55- Calculer la mesure de fréquence pour décrire les cas d'insuffisance rénale sévère fonctionnelle
observés chez les femmes hypertendues ? Quelle est la valeur de cette fréquence ?
A. 1,53%
B. 9,21%
C. 13,8%
D. 14,8%
56- Selon les données de cette étude, calculer la mesure d'association entre l’hypertension artérielle en
début de grossesse et l'accouchement par césarienne. Quelle est la valeur de cette mesure
d'association ?
A. 8,7
B. 13,6
C. 17,5
D. 27,3
Exercice 11 :

Contexte
Les fentes labiopalatines sont des malformations congénitales associant une fente latérale de la lèvre
supérieure (fente labiale) et une fente du palais (fente palatine). Ce sont les malformations congénitales les
plus fréquentes, et leur prévalence est particulièrement importante au Canada (2,2 cas pour 1000
naissances vivantes). Leur présence rend indispensable une ou plusieurs interventions chirurgicales dans
les premières semaines de vie du nourrisson.

Pag 269:Ata e
L'âge maternel avancé et certains facteurs environnementaux dont le tabagisme, la consommation d'alcool
et l'absence de supplémentation en acide folique durant la grossesse, sont associés à une incidence plus
élevée de fente labiopalatine. Les expérimentations menées chez l'animal suggèrent que des doses
élevées de caféine durant la gestation pourraient causer la survenue de fentes labiopalatines et d'autres
malformations congénitales. De plus, plusieurs études épidémiologiques récentes ont conclu à une légère
augmentation non significative du risque de fente labiopalatine chez l'enfant en cas de consommation
maternelle de café durant la grossesse. La consommation de café (boisson riche en caféine) est
particulièrement élevée au Canada (près d'un demi-litre par jour par personne d'après la dernière enquête
nationale). et notamment chez les femmes enceintes.
Méthodes
Tous les enfants nés avec une fente labiopalatine au Canada sont opérés dans les hôpitaux universitaires
de deux grandes villes. L'ensemble des enfants nés vivants de 2000 à 2005 et pris en charge dans ces
deux hôpitaux pour chirurgie ont été identifiés pour cette étude.
Chaque enfant né avec une fente labiopalatine a été apparié à un enfant né sans fente labiopalatine,
identifié par tirage au sort dans le registre national naissances (recueil exhaustif des naissances dans le
pays), selon l'âge maternel à la naissance.
Les mères des deux groupes d'enfants étaient ensuite contactées pour remplir un auto-questionnaire
standardisé recueillant des informations sociodémographiques, sur leur vie reproductive (nombre de
grossesses, nombre d'enfants), et sur certaines expositions durant la grossesse (tabac, alcool, café,
médicaments. produits chimiques à la maison et au travail). La consommation de boissons caféinées (café,
thé, sodas) durant le premier trimestre de grossesse était recueillie en nombre de tasses par jour, semaine.
mois ou année. Trois catégories de consommation ont ensuite été créées pour chaque boisson : 0 tasse
par jour, entre 1 et 2 tasses par jour, ou 3 tasses et plus par jour.
L'étude a été soumise à l'approbation du comité d'éthique national, et l’ensemble des mères participantes à
l'étude ont signé un consentement éclairé.
Résultats
Durant la période d'étude, 573 mères dont l'enfant avait été ou devait être opéré d'une fente labiopalatine
ont accepté de participer, ainsi que 573 mères d'enfants nés sans fente labiopalatine,identifiés par un tirage
au sort. Par rapport aux mères d'enfants sans fente labiopalatine, Les mères d'enfants porteurs de fente
labio-palatine déclaraient plus fréquemment une consommation de café durant le premier trimestre de
grossesse (321L573 soit 56% contre 264/573 soit 46%).
57- Quel est l'événement d'intérêt étudié ?
A. consommation de boissons caféinées durant le premier trimestre de grossesse.
B. Nombre de grossesses.
C. Nombre d'enfants.
D. Présence d'une fente labiopalatine à la naissance.
58- Quelle est l'exposition principale étudiée ?
A. Consommation d’alcool
B. consommation de boissons caféinées durant le premier trimestre de grossesse.
C. Consommation de tabac.
D. Nombre de grossesses.
59- La méthode de recueillie de l'exposition principale, dans cette étude, peut être une source
potentielle de biais dans ce travail. De quel type de biais s'agit-il ?
A. Biais de confusion.
B. Biais d'information.
C. Biais de sélection.
D. Facteur modificateur de l'effet.
60- Quel est le schéma d'étude ?
A. Etude cas-témoins.
B. Etude cohorte.

Pag 270:Ata e
C. Etude observationnelle.
D. Etude transversale.
61- II est dit dans l'énoncé : “Chaque enfant né avec une fente labiopalatine a été apparié à un enfant
né sans fente labiopalatine [...] selon l'âge maternel à la naissance”. Pourquoi les enfants sans fente
labiopalatine ont-ils été appariés aux enfants avec fente labiopalatine selon l'âge maternel ?
A. Cela permet d'éviter un biais d'information.
B. Cela permet d'éviter un biais de sélection.
C. Cela permet de limiter le biais de confusion.
D. Pour équilibrer la distribution de l'âge maternel entre les deux groupes.
Vous souhaitez savoir s'il y a une association entre la consommation maternelle de café et la fente
labiopalatine chez l’enfant. Pour cela, vous disposez des informations présentées dans la partie résultats.
dans l'énoncé.
62- Quelle mesure d'association utilisez-vous ?
A. Différence de risque
B. Rapport de cote
C. Rapport de prévalence
D. Risque relatif
63- Calculez cette mesure d'association. La valeur est :
A. 0,33
B. 1,22
C. 1,55
D. On ne peut pas la calculer à partir des informations dans l'énoncé.
64- Quelle est votre interprétation ?
A. La consommation de café pendant le premier trimestre de la grossesse augmenterait le risque de la
fente labiopalatine chez l'enfant.
B. La consommation de café pendant le premier trimestre de la grossesse est un facteur de risque de la
fente labiopalatine chez l'enfant.
C. La consommation du café pendant le premier trimestre de la grossesse est un facteur protecteur de la
fente labiopalatine chez l'enfant.
D. On ne peut pas interpréter cette mesure d'association.
65- A partir des données de l'énoncé, quel est le facteur de confusion potentiel qui n'a pas été pris en
compte dans l'estimation de l'association entre consommation de caféine et fente labiopalatine.
A. Consommation d'alcool.
B. Consommation de tabac.
C. Exposition aux produits chimiques à la maison et au travail.
D. Supplémentation en acide folique durant la grossesse.
Exercice 12 :

Contexte
Le cancer du col est le deuxième cancer féminin au Maroc. Beaucoup de déterminants du cancer du col
chez la femme sont modifiables et représentent ainsi une base de développement des programmes de
prévention primaires et secondaire permettant le changement de l'histoire naturelle de ce cancer et la
réduction de son incidence.
Méthode
En 2009, l'équipe du laboratoire d'épidémiologie de la Faculté de Médecine de Fès, a mis en place une
étude pour déterminer les facteurs liés à la survenu du cancer du col chez la femme marocaine.
L'étude s'est déroulée de novembre 2009 avril 2012. Les femmes atteintes de cancer du col ont été
recrutées dans les centres d'oncologie de Rabat et de Casablanca. Les femmes non atteintes de cancer du
col ont été recrutées dans les centres de santé du réseau de soins de santé de base.

Pag 271:Ata e
L'information recueillies était composée d'un questionnaire, d'un ensemble d'examens gynécologiques et
de prélèvements biologiques destinés au frottis cervico-vaginal et au génotypage d'HPV (Human Papilloma
Virus).
Résultats
Durant la période de l'étude, 144 femmes avec cancer du col de l'utérus et 288 femmes sans cancer du col
ont été inclus.
66- Quel est le type d'étude ?
A. Etude expérimentale
B. Etude transversale
C. Etude cas-témoins
D. Etude cohorte
67- Quelle est l'incidence du cancer du col dans cette population d'études ?
A. 50%
B. 25
C. 12.5%
D. On ne peut pas calculer d'incidence dans cette étude
68- L'infection HPV était présente chez 132 femmes avec cancer du col et chez 39 femmes sans cancer
du col. Quelle(s) est (sont) la(es) mesure d'association qui permet de mesurer l'association entre le
cancer du col et l'infection HPV ?
A. le de prévalence
B. Le risque relatif
C. Le rapport de cote
D. Le test de la loi normale centrée réduite
69- Quelle est la valeur de cette mesure d'association ?
A. 76,3
B. 20,1
C. 39,3
D. 19,1
70- Quelle(s) est (sont) I(es)'interprétation(s) de ce résultat ?
A. Il ya une association significative entre l'infection HPV et le cancer du col
B. La mesure d'association seule ne permet pas de conclure
C. L'infection à HPV est un facteur de risque du cancer du col
D. L'infection à HPV est la cause du cancer du col
71- Dans la discussion de leurs résultats, les investigateurs soulèvent que les femmes atteintes de
cancer du col ont été recrutées dans l'Institut national d'oncologie de Rabat et le centre d'oncologie du
CHU de Casablanca. En effet ces deux centres représentent des centres de référence du niveau 3 de
notre système de santé et la possibilité d'un biais est possible. Quel(s) est(sont) le(s) type(s) de biais
potentiel(s) soulevé par les investigateurs dans ce cas ?
A. Biais de sélection
B. Biais de confusion
C. Biais d'information différentiel
D. Blais d'information non différentiel
72- Dans la discussion de leurs résultats, les investigateurs soulèvent que l'infection à HPV est liée à
l'activité et aux comportements sexuels des femmes. Et si une association est observée entre l'infection
à HPV et le cancer du col, cette association serait plutôt le résultat de l'activité et des comportements
sexuels des femmes. Dans cette discussion, de quel type de biais s'agit-il ?
A. Biais de sélection
B. Biais de confusion
C. Blais d'information différentiel
D. Blais d'information non différentiel

Pag 272:Ata e
73- Dans le cadre de ce travail le génotypage de l'infection HPV a été fait par la méthode « Nested PCR
». Cette méthode de recherche du virus est caractérisée par une sensibilité de 96% et une spécificité de
95%. Ce manque de spécificité et de sensibilité peut entraîner quel(s) type(s) de biais?
A. Biais de sélection
B. Biais de confusion
C. Biais d'information différentiel
D. Biais d'information non différentiel
Exercice 13 :
Vie en zone urbaine et risque de cancer du sein en France
Contexte
Le cancer du sein est le cancer de la femme le plus fréquent à travers le monde. Son incidence a
augmenté dans les dernières décennies et est plus élevée dans les pays développés.
L'incidence du cancer du sein est généralement plus élevée dans les zones urbaines que dans les zones
rurales, l'une des hypothèses étant que la vie en zone urbaine expose à des niveaux de pollution aérienne
plus importants. La majorité des études épidémiologiques menées sur le sujet ont observé un risque
augmenté de cancer du sein chez les femmes vivant en zone urbaine, comparativement aux femmes vivant
en zone rurale. Cependant, bien que certains facteurs de risque connus de cancer du sein comme le mode
de vie ou l'histoire reproductive (âge aux premières règles et de la ménopause, prise de contraception
orale, allaitement. grossesses, etc.) varient entre les populations urbaines et rurales, aucun n'a été pris en
compte dans ces études. Une nouvelle étude a été menée à cette fin Méthodes
Les femmes incluses dans l'étude faisaient partie de la cohorte E3N, initiée en 1990 Cette cohorte
prospective a inclus les femmes françaises affiliées à la Mutuelle Générale de l'Éducation Nationale
(MGEN, régime national de sécurité sociale et complémentaire santé des enseignants). Les participantes
ont fourni leur consentement écrit lors de l'inclusion et les facteurs de risque connus de cancer du sein ont
été recueillis par auto-questionnaire tous les deux ans. La cohorte E3N avait reçu l'accord d'un comité
d'éthique et des autorités compétentes.
Les critères de non inclusion dans la présente étude étaient les suivants : femmes avec un cancer à
l'inclusion, absence de visite de suivi, date inconnue de diagnostic de cancer du sein, femmes nées hors
de France métropolitaine, absence d'informations précises sur le lieu de naissance.
La survenue d'un cancer était recueillie à travers les auto-questionnaires. Le diagnostic de cancer du sein
était confirmé par les résultats d'analyses anatomopathologiques. Le lieu de naissance a été fourni par les
participantes et le lieu de résidence lors de l'inclusion en 1990 a été fourni par la MGEN. Une zone urbaine
a été définie comme une commune ou
regroupement de communes de plus de 2 000 habitants les autres zones étant considérées
comme rurales. Les populations de référence utilisées pour la classification en zone urbaine ou rurale
étaient extraites des données nationales de recensement de l'année de naissance
de la participante.
Résultats
Parmi les 75 889 femmes incluses dans l'étude, 5 145 cas incidents de cancer du sein invasif ont été
diagnostiqués durant un suivi de 1 176 902 personnes-années. Dans l'ensemble de l'échantillon, 60% des
femmes étaient nées en zone urbaine et 67% vivaient en zone urbaine en 1990.

Tableau 1 - Association entre le lieu de naissance et le risque de cancer du sein, chez les femmes
de la cohorte E3N, France, de 1990 à 2008 (N=75 889).
Cancer du sein
Lieu de naissance
Personne-années Cas incidents
Zone urbaine 807 543 3 544
Zone rurale 369 359 1 601

Pag 273:Ata e
74- Il s'agit d'une étude ?
A. Observationnelle
B. Expérimentale
C. Analytique
D. Descriptive
E. Evaluative
75- Il s'agit d'une étude ?
A. Cas-témoins
B. Transversale
C. Cohorte prospective
D. Cohorte rétrospective
E. Essai clinique randomisé
76- Quelle est la principale exposition étudiée ?
A. le lieu de naissance: en zone urbaine / en zone rurale ;
B. le statut tabagique,
C. la réalisation d'un examen mammographique dans les deux ans précédents,
D. l'utilisation d'un traitement hormonal substitutif de la ménopause,
E. les antécédents familiaux de cancer du sein.
77- Quel est l'événement expliqué ?
A. survenue d'un cancer du sein,
B. la consommation quotidienne d'alcool,
C. le statut tabagique,
D. la réalisation d'un examen mammographique dans les deux ans précédents,
E. l'utilisation d'un traitement hormonal substitutif de la ménopause,
78- Quelle est la mesure de fréquence de l'événement adaptée pour l'étude?
A. Incidence cumulée
B. Densité d'incidence
C. Prévalence
D. Rapport de cote
E. Cote d'exposition
79- Calculer la mesure de fréquence de l'événement adaptée pour l'étude, la valeur est :
A. 0,437 cas pour 100
B. 4,37 cas pour 1000
C. 0,437 cas pour 100 personne-mois
D. 4,37 cas pour 1000 personne-années
E. 4,37 cas pour 1000 personne
80- Quelle mesure d'association entre lieu de naissance et risque de cancer du sein doit-on utiliser dans
cette étude ?
A. Rapport de cotes
B. Odds ratio
C. Risque relatif
D. Rapport de prévalences
E. Incidence cumulée

81- En considérant le milieu de naissance urbain comme classe exposée et le milieu de naissance rural
comme classe de référence, à partir des données du tableau 1, calculer la mesure d'association entre
lieu de naissance et le risque de cancer du sein, la valeur est :
A. 1,01
B. 10,1
C. 0,101

Pag 274:Ata e
D. 0,99
E. 9,9
82- L'intervalle de confiance à 95% de la mesure d'association est: IC95%= [0,95 - 1,07]. Interpréter le
résultat de la mesure d'association :
A. Le lieu de naissance urbain est un facteur de risque de la survenue du cancer du sein,
B. Le lieu de naissance urbain est un facteur protecteur de la survenue du cancer du sein,
C. Il existe une association positive entre le lieu de naissance et la probabilité de survenue de cancer du
sein,
D. Il n'y a pas d'association entre le lieu de naissance et la probabilité de survenue de cancer du sein,
E. On ne peut pas conclure avec ces seuls résultats,
Exercice 14 :
Consommation de thé brûlant et cancer de l'œsophage en Iran.
Contexte
C'est dans la province du Golestan, au Nord de l'Iran, que l'on observe l'une des incidences les plus
élevées au monde de cancer de l'œsophage
Cette incidence est connue car, depuis plusieurs décennies, a été mise en place une structure recensant
tous les cas de cancer (registre de cancers). Ainsi, du 1er janvier 2004 au 31 décembre 2008, ce registre a
recensé 622 nouveaux cas de cancer de l'œsophage chez des sujets masculins dans la province du
Golestan, pour une population masculine moyenne de 827 127 sujets dans cette région au cours de cette
période.
Le cancer de l'œsophage a pour principaux facteurs de risque la consommation d'alcool et
celle de tabac, rares dans cette région. De plus, contrairement à ce qui est observé dans les
autres régions du monde où l'incidence de ce cancer est plus importante chez les hommes, dans la
province du Golestan, son incidence est quasiment similaire entre les deux sexes. L'une des hypothèses
pour expliquer l'incidence élevée de ce cancer dans cette région est la consommation de thé brûlant. les
Iraniens étant de grands consommateurs de thé.
Méthodes
Pour tester cette hypothèse, des chercheurs ont mené une étude épidémiologique dans la région, de
décembre 2003 à mars 2007
Ils ont proposé de participer à l'étude à tous les sujets pour lesquels un cancer de l'œsophage venait d'être
diagnostiqué grâce à l'examen histologique de la tumeur, pris en charge dans la seule clinique de la région
traitant ce type de pathologie. Aucun sujet n'a refusé d'y participer. Par ailleurs, ces chercheurs ont recruté,
pour chacun de ces sujets présentant un cancer de l'œsophage, deux sujets indemnes de cette pathologie,
de même âge (à plus ou moins deux ans d'écart), de même sexe, et résidant dans la même commune. Ces
sujets étaient identifiés à partir des données du recensement, mises à jour annuellement.
A partir d'un questionnaire standardisé, des enquêteurs spécifiquement formés ont recueilli auprès de
chaque sujet les informations suivantes : caractéristiques sociodémographiques, consommation d'alcool et
de tabac, et habitudes de consommation de thé (température de consommation, et délai de consommation
permettant également d'apprécier la température de consommation, le thé étant d'autant plus chaud qu'il
est consommé rapidement après avoir été servi), ainsi que de nombreuses autres informations. Pour les
sujets présentant un cancer de l'œsophage, seules étaient prises en compte les informations concernant la
période avant le diagnostic de cancer. Les enquêteurs n'étaient pas informés de l'hypothèse de l'étude.
Résultats
Au total, 300 sujets présentant un cancer de l'œsophage et 571 sujets indemnes de cancer de l'œsophage
ont été inclus dans l'étude. Les principaux résultats concernant la consommation de thé sont présentés
dans le tableau 2.

Pag 275:Ata e
Tableau 2. Consommation de thé en fonction du statut vis-à-vis du cancer de l'œsophage.
Province du Golestan, Iran, 2003-2007
Cancer de
Analyse de l’association
l’oesophage
Oui Non Mesure
IC95%
(n=300) (n=571) d’association
Température du thé
Brûlante 63 19 XXXX
5,78-9,36
Tiède ou chaude 237 552 -
Délai entre le moment où le thé est
servi et celui où il est consommé
(minutes)
<2 56 35
2,09-4,85
≥2 244 536 -

83- Quel est le schéma d'étude ?


A. Transversale
B. Cas-témoins
C. Cohorte prospective
D. Cohorte rétrospective
E. Essai clinique randomisé
84- Quelle mesure d'association entre la température du thé et le risque de cancer de l'œsophage
doit-on utiliser dans cette étude ?
A. Densité d'incidence
B. Risque relatif
C. Rapport de prévalences
D. Incidence cumulée
E. Rapport de cotes
85- A partir des données présentées dans le tableau 2 calculer la mesure d'association manquante en
ce qui concerne la température du thé. La classe « Tiède ou chaude » est la classe de référence et la
classe «Brûlante» est la classe de risque. le résultat est :
A. 7,72
B. 0,13
C. 0,4
D. 2,5
E. 4,2
86- Interpréter le résultat de la mesure d'association entre la température du thé et le cancer de
l'œsophage :
A. il n'y a pas d'association significative entre la consommation de thé brûlant et le cancer de l'oesophage,
B. La consommation de thé brûlant est un facteur protecteur du cancer de l'œsophage,
C. Il existe une association significative-entre la consommation de thé brûlant et le cancer de l'œsophage,
D. La consommation de thé brûlant est un facteur de risque du cancer de l'œsophage.
D. On ne peut pas conclure avec ces seuls résultats,
87- Interprétez le résultat présenté dans le tableau 2 concernant l'association entre le délai entre le
moment où le thé est servi et celui où il est consommé et le cancer de l'œsophage.
A. A il n'y a pas d'association significative entre le délai de consommation de thé et le cancer de
l'œsophage,
B. il existe une association significative entre le délai de consommation de thé et le cancer de l'œsophage,
C. Un délai de consommation de thé <2 min est un facteur de risque du cancer de l'œsophage
D. Un délai de consommation de thé <2 min est un facteur protecteur du cancer de l'œsophage
E. E On ne peut pas conclure avec ces seuls résultats,

Pag 276:Ata e
Exercice 15 :
Les méningites bactériennes (MB) constituent un problème de santé publique par leur taux de létalité,
surtout chez l'enfant. Pour étudier les caractéristiques cliniques, le profil épidémiologique des MB et
identifier les facteurs associés à la létalité par MB, une étude a été réalisée à l'hôpital d'enfant du CHU de
Rabat. Cette étude a inclus les enfants âgés de cinq ans et moins hospitalisés pour MB entre 2009 et 2013.
L'étude a été menée en 2014
88- De quel type d'étude s'agit-t-il ?
A. Ca-témoins ;
B. Transversale ;
C. longitudinale ;
D. Cohorte rétrospective ;
89- Ce type de schémas d'étude est caractérisé par :
A. L'importance des biais de prévarication ;
B. Des données très fiables vu leur recueil qui tient compte de l'objectif de l'étude ;
C. Leur utilité importante dans l'étude de la fréquence d'un phénomène de santé ;
D. Le manque de données du fait que le recueil ne se fait pas auprès du patient.

Parmi les 235 patients inclus dans l'étude, 100 étaient de sexe féminin, 192 étaient d'origine urbaine et 45
ont évolué vers le décès.

90- Comment peut-on décrire les caractéristiques sociodémographiques?


A. Le taux d'incidence du sexe masculin = 100/235 ;
B. La prévalence du sexe féminin = 135/235 ;
C. Le taux d'incidence de l'origine urbaine 192/235 ;
D. Aucune proposition n'est juste.
91- La description de l'évolution de la maladie peut se faire par les inducteurs suivants ;
A. La prévalence de la mortalité = 45/235 ;
B. L'incidence de la mortalité = 190/235 ;
C. La fréquence de la létalité = 45/190 ;
D. Le taux de mortalité parmi la population d'étude = 45/235.

Le tableau suivant décrit les caractéristiques des enfants de 5 ans et moins hospitalisés pour méningites
bactériennes selon l'issue de la maladie (survivants et décédés),

Tableau 1- Caractéristiques des enfants de 5 ans et moins hospitalisés pour méningites


bactériennes selon l'issue de la maladie (survivants et décédés),
Variables Survivant Décédé
Distance entre le domicile du patient et le CHU
≥20 46 21
<20 139 24
La convulsion
Oui 37 18
Non 151 27

92- Quel type de mesure d'association peut-on estimer ?


A. L'odds ratio ;
B. Le rapport de prévalence;
C. Le risque relatif ;
D. Le risque attribuable ;

Pag 277:Ata e
93- Quelle est sa valeur pour le lien entre la mortalité et la distance?
A. 1,0
B. 2,13
C. 2,64
D. 5,11
94- Quelle est sa valeur pour le lien entre la mortalité et la convulsion?
A. 1.0
B. 3,37
C. 4,01
D. 2,16
95- Si on souhaite mesurer la part d'imputabilité de la distance entre le domicile et le décès
indépendamment de la convulsion. Que faudrait-il effectuer comme analyse:
A. L'analyse de survie ;
B. La stratification ;
C. L'estimation d'une mesure d'association brute ;
D. L'estimation d'une mesure d'association ajustée ;
96- En suivant la stratégie adéquate, la convulsion pourrait être :
A. Un facteur modificateur d'effet;
B. Un facteur de confusion;
C. Un biais lié à l'enquêteur:
D. Un biais d'inclusion
Exercice 16 :
Une enquête épidémiologique a été menée auprès du personnel de l'hôpital Mohammed V de Meknès afin
d'étudier les facteurs de risque cardiovasculaire. Le risque cardiovasculaire (RCV) a été estimé par la
méthode développée par le National Health and Nutrition Examination Survey. Selon cette méthode, le
niveau du risque cardiovasculaire est classé supérieur lorsqu'il dépasse 20%.

Pour la recherche des facteurs liés à l'augmentation du RCV, les 512 personnes incluses, 45 avaient un
risque cardiovasculaire élevé contre 476 qui n'en avaient pas. La fréquence d'exposition à certains facteurs
de risque comme: l'âge, le statut tabagique et le diabète a été recherchée dans les antécédents.

97- De quel type d'étude s'agit-t-il ?


A. Ca-témoins,
B. Essai clinique,
C. Cohorte
D. écologique.
98- Ce type de schémas d'étude est caractérisé par :
A. L'importance des biais de prévarication ;
B. La fiabilité importante des données sur l'exposition vu leur recueil qui tient compte de l'objectif de
l'étude;
C. Leur utilité importante dans l'étude de la fréquence d'un phénomène de santé ;
D. Leur utilité dans l'épidémiologie analytique.

Parmi les 512 personnes incluses dans l'étude, 246 étaient de sexe féminin,
99- Comment peut-on décrire les caractéristiques sociodémographiques?
A. Le taux d'incidence du sexe masculin = 246/512 ;
B. La prévalence du sexe féminin = 246/512 ;
C. Le sexe ratio H/F=1,08 ;
D. Aucune proposition n'est juste.

Pag 278:Ata e
On s'est intéressé aux facteurs de risque cardiovasculaires suivant: le sexe et le tabagisme et on a
obtenu les résultats suivants

Tableau 1- Caractéristiques des sujets Inclus dans l'étude selon le statut vis-a-vis de
l'augmentation du RCV
Variables Risque CV>20% Risque CV≤20%
Sexe
Homme 40 226
Femme 6 240
Consommation du tabac
Oui 32 109
Non 14 357
100- Quel type de mesure d'association peut-on estimer?
A. L'odds ratio ;
B. Le rapport de prévalence ;
C. Le risque relatif ;
D. Le risque attribuable.
101- Quelle est sa valeur pour le lien entre le sexe et le risque CV?
A. 1,0
B. 7,08
C. 6,16
D. 5,11
102- Quelle est sa valeur pour le lien entre le tabagisme et le risque CV?
A. 1.0
B. 7.5
C. 4,01
D. 6,01
103- Si on souhaite mesurer la part d'imputabilité de du tabac dans l'augmentation du risque CV
indépendamment du sexe. Que faudrait-il effectuer comme analyse :
A. L'analyse de survie
B. La stratification.
C. L'estimation d'une mesure d'association brute;
D. L'estimation d'une mesure d'association ajustée;
104- En suivant la stratégie adéquate, la convulsion pourrait être
A. Un facteur modificateur d'effet
B. Un facteur de confusion
C. Un biais lié à l'enquêteur
D. Un biais d'inclusion
Exercice 17 :
Fréquence de l'hépatite B dans le monde
Voici les principaux faits présentés sur le site de ('Organisation Mondiale de la Santé (OMS) concernant
l'hépatite B dans le monde en janvier 2020 :
● Point 1 : L'hépatite B est une infection virale qui s'attaque au foie et peut entraîner une affection
aiguë comme une affection chronique de cet organe,
● Point 2 : Le virus responsable est le plus souvent transmis par la mère à l'enfant lors de la
naissance et de l'accouchement, ou par contact avec du sang ou d'autres liquides corporels.
● Point 3 : En 2015, l'OMS estimait que 257 millions de personnes vivaient avec une hépatite B
chronique (définie comme une affection positive pour l'antigène de surface de l'hépatite B).

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● Point 4 : Cette même année, l'hépatite B avait provoqué, selon les estimations, 887 000 décès,
principalement par cirrhose ou par carcinome hépatocellulaire (c'est-à-dire par un cancer primaire
du foie).
● Point 5 : En 2017, 1,1 million de personnes ont été nouvellement infectées par le virus de l'hépatite
B.
● Point 6 : En 2016, 27 millions d'individus (10,5% de la population totale estimée de personnes
vivant avec l'hépatite B) avaient connaissance de leur infection, tandis que 4,5 millions (16,7%) des
personnes diagnostiquées étaient sous traitement.
● Point 7 : On dispose cependant de vaccins sûrs et efficaces pour prévenir l'hépatite B.
105- Le résultat présenté au 3eme point (257 millions) représente :
A. L'incidence.
B. La prévalence.
C. Le nombre de cas incidents.
D. Le nombre de cas prévalents.
106- Concernant le résultat présenté au 4ème point (887 000), si on voulait estimer la part de mortalité
liée à l'hépatite B par rapport à la mortalité brute cette même année pour la population mondiale, il
faudrait connaître pour 2015 :
A. L'effectif de la population mondiale.
B. Le nombre de décès toutes causes confondues dans le monde.
C. Le nombre de cas incidents d'hépatite B dans le monde.
D. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
107- La densité d'incidence de l'hépatite B en 2017 est :
A. 1,1 million.
B. 887 000.
C. 257 millions.
D. On ne peut pas la calculer avec les données de l'énoncé.

Exercice 18 :
Fréquence l'hépatite C dans le monde.
Voici les principaux faits présentés sur le site de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) concernant
l'hépatite C dans le monde en janvier 2020 :
● Point 1 : L'hépatite C est une inflammation du foie causée par un virus, le VHC. Le virus peut être à
l'origine d'une hépatite aiguë et chronique, allant d'une forme bénigne à sévère, et peut provoquer
des maladies à vie telles qu'une cirrhose et le cancer du foie.
● Point 2 : Le virus de l'hépatite C est transmis par le sang et la plupart des infections ont lieu par
l'exposition à celui-ci lors de pratiques d'injection à risque, de soins de santé à risque, de la
transfusion de sang et de produits sanguins n'ayant pas fait l'objet d'un dépistage, de la
consommation de drogues injectables ou de pratiques sexuelles entraînant une exposition au sang.
● Point 3 : À l'échelle mondiale, on estime que 58 millions d'individus sont porteurs chroniques de
l'hépatite C.
● Point 4 : L'OMS estime qu'en 2019, environ 290 000 personnes sont mortes d'une hépatite C, le
plus souvent des suites d'une cirrhose ou d'un carcinome hépatocellulaire (cancer primitif du foie).
● Point 5 : Selon l'OMS, en 2019, le monde a enregistré 1,5 million nouvelles infections par l'hépatite
C.
● Point 6 : Des médicaments antiviraux permettent de guérir plus de 95 % des personnes infectées
par le virus de l'hépatite C, mais l'accès au diagnostic et au traitement est limité.
● Point 7 : Actuellement, il n'existe pas de vaccin efficace contre l'hépatite C.
108- Le résultat présenté au 3èmc point (58 millions) représente :
A. L'incidence.
B. La prévalence.
C. Le nombre de cas incidents.
D. Le nombre de cas prévalents.

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109- Concernant le résultat présenté au 4ème point (290 000), si on voulait estimer la part de mortalité
liée à l'hépatite C par rapport à la mortalité brute cette même année pour la population mondiale, Il
faudrait connaître pour 2019 :
A. L'effectif de la population mondiale.
B. Le nombre de décès toutes causes confondues dans le monde.
C. Le nombre de cas incidents d'hépatite C dans le monde.
D. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.
110- Le résultat présenté au 5ème point (1,5 million) représente :
A. L'incidence.
B. La prévalence.
C. Le nombre de cas incidents.
D. Le nombre de cas prévalents.
111- La densité d'incidence de l'hépatite C en 2019 est :
A. 1,5 million.
B. 290 000.
C. 58 millions.
D. On ne peut pas la calculer avec les données de l'énoncé.
Exercice 19 :
Fréquence de l'hépatite B dans le monde.
Voici les principaux faits présentés sur te site de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) concernant
l'hépatite B dans le monde :
● Point 1: L'hépatite B est une infection virale qui s'attaque au foie et peut entraîner une affection
aiguë comme une affection chronique de cet organe.
● Point 2: Le virus responsable est le plus souvent transmis par la mère à l'enfant lors de la naissance
et de l'accouchement, ou par contact avec du sang ou d'autres liquides corporels.
● Point 3 : En 2015, l'OMS estimait que 257 millions de personnes vivaient avec une hépatite B
chronique (définie comme une affection positive pour l'antigène de surface de l'hépatite B).
● Point 4: Cette même année, l'hépatite B avait provoqué, selon les estimations, 887 000 décès,
principalement par cirrhose ou par carcinome hépatocellulaire (c'est-à-dire par un cancer primaire
du foie).
● Point 5 : En 2017, 1,1 million de personnes ont été nouvellement infectées par le virus de l'hépatite
B.
● Point 6: En 2016, 27 millions d'individus (10,5% de la population totale estimée de personnes vivant
avec l'hépatite B) avaient connaissance de leur infection, tandis que 4,5 millions (16,7%) des
personnes diagnostiquées étaient sous traitement.
● Point 7 : On dispose cependant de vaccins sûrs et efficaces pour prévenir l'hépatite B.

112- Le résultat présenté au 3ème point (257 millions) représente :


A. L'incidence.
B. La prévalence.
C. Le nombre de cas incidents.
D. Le nombre de cas prévalent.
113- Concernant le résultat présenté au 4ème point (887 000), si on voulait estimer la part de mortalité
liée à l'hépatite B par rapport à la mortalité brute cette même année pour la population mondiale, il
faudrait connaître pour 2015 :
A. L'effectif de la population mondiale.
B. Le nombre de décès toutes causes confondues dans le monde.
C. Le nombre de cas incidents d'hépatite B dans le monde.
D. Aucune des propositions précédentes n'est exacte.

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114- La densité d'incidence de l'hépatite B en 2017 est :
A. 1,1 million.
B. 887 000.
C. 257 millions.
D. On ne peut pas la calculer avec les données de l'énoncé.

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