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Au terme de cette analyse, nous pouvons relever que la GAR est une affaire de

tous, politiciens, gestionnaires, les citoyens, c'est un modèle qui repose sur une
démarche participative.
En outre, la réussite de son implémentation nécessite une mise en place
multidimensionnelle et graduelle accompagnée de réformes structurelles et
institutionnels, à cela s'ajoute deux facteurs essentiels de succès à savoir
l'élaboration d'une Vision stratégique de développement déclinée en plans
sectoriels et la mise en place d'un dispositif juridique et institutionnel clair.
Il est important de noter que la GAR n'est pas seulement un ensemble d'outils ou
d'instructions, ni une fin en soi, c'est une façon de penser les projets et les
programmes qui permet d'améliorer les pratiques de gestion, d'améliorer
l'efficacité organisationnelle et d'obtenir les meilleurs résultats en matière de
développement.
Et pour conclure et en mode de récapitulation la gestion axée sur les résultats
sert à, définir des résultats escomptés réalistes, fondés sur des analyses
appropriées, déterminer clairement les bénéfices des programmes et concevoir
des programmes qui répondent à leurs besoins, ainsi faire le suivi des progrès
en fonction des résultats et des ressources utilisées, déterminer et gérer les
risques, accroitre les connaissances en tirant des leçons de l’expérience et en
les intégrants au processus décisionnel, et enfin présenter des rapports sur les
résultats obtenus et les ressources utilisées.

La Gestion Axée sur les Résultats (GAR) est une approche de gestion
focalisée sur l’obtention de résultats, par opposition aux approches traditionnelles
centrées sur le suivi des activités ou encore des ressources.
La GAR se base ainsi sur une série de principes et logiques qui guident la
planification, la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation des interventions, dans un cycle
où à chaque étape correspondent des méthodes et des outils spécifiques.
Il faudrait également retenir qu’avec le modèle de la GAR, le but, l’objectif et les
réalisations ne changent pas, mais il faudra modifier les activités et les produits. Si
l’activité ne produit pas de résultats, elle doit être modifiée (FIDA, 2002).

Le MAR est la planification et la programmation d’un programme/projet et mise en


œuvre des ressources nécessaire en vue d’atteindre les objectifs préalablement fixés
(ce que l’on veut), à travers des résultats obtenus (ce que l’on peut concrètement), dans
le cadre d’une stratégie déterminée.

Le MAR est un outil d’amélioration de la performance de projets publiques.

Alors, le MAR est en somme, une stratégie de gestion centrée sur l’obtention effective de
résultat avec un niveau de performance optimal .

Selon Mazouz (2012), «la gestion par résultat place la notion de performance au centre de

l’action managériale et organisationnelle ».

Le modèle du management axée sur résultats, s’inscrit dans la perspective générale de Bonne
Gouvernance publique et se veut un cadre conceptuel qui soutient la gestion de la
performance désormais devenue salutaire pour tout l’appareil public. Si des résultats sont
attendus, encore faut-il savoir de quels résultats il s’agit. Disons qu’ils devront être en nombre
et en valeur à la
mesure des attentes des citoyens qui en font les frais d’abord et qui en bénéficient ensuite.

le MAR et la gestion de risque

Aujourd’hui, les entreprises ne veulent rien laisser au hasard pour déveloper leur activité.
Quand on veut produire de la qualité, il faut developer plusieurs stratégies.

Le secteur public est exposé à des risques conséquents mettant en peril des activités critiques et
compromettre ainsi la durabilité du modèle économique des entreprises publiques.

Le risque est un évenement qui est incertain, mais en cas de matérialisation,


pourra engendrer des dommages aux personnes physiques ou morales ainsi

qu’aux bien matériels ou immatériels. aL e risque est un é


le management de risque C’est une partie du processus du management
stratégique qui se définit par l’administration d’une entité, et ce, en tenant
considération de l’importance des apports et de l’influence de l’environnement.
La gestion des risques est un processus continu d’amélioration qui commence avec la définition
de la stratégie et se poursuit avec l’exécution de celle-ci.
Elle devrait traiter systématiquement tous les risques qui entourent les activités de
l’organisation, que celles-ci soient passées, présentes et futures.

eC’est l’ensemble des politiques, des stratégies, dispositifs de maîtrise, de


contrôle et de suivi et des moyens humains, financiers et matériels mis en œuvre
par une organisation pour identifier, limiter et maîtriser les risques liés directement

ou indirectement à ses activités. Ti

La gestion des risques aide les organisations issues en particulier du secteur public à
intégrer la gestion des risques dans leurs processus opérationnels et stratégiques.
Elle permet aux organisations publiques de prendre des risques pour pouvoir créer
de la valeur et de développer des réponses afin d’atténuer les risques d’une
manière appropriée.
La gestion de risques publics est une fonction générale qui porte sur
l’évaluation et le traitement des risques et des incertitudes dans le respect
d’un ensemble d’intentions, de desseins et d’objectifs généraux
Ddepuis plusieurs année, les institutions publiques
doivent faire face à des nouveaux défis pour améliorer
leurs services tout en portant une attention croissante à
leurs dépenses et à leurs efficacité. Les responsables
politiques, les citoyens et les usagers exigent en effet
un service public de grande qualité.
Par conséquent, l’attention ne doit plus uniquement se
porter sur la légalité et la régularité de la dépense
publique, mais aussi sur son efficacité et son efficience.

la gestion de risques sociaux


• Les moyens par lesquels les sociétés gèrent les risques publique de manière
générale
La gestion des risques communautaires
• Les moyens par lesquels des communautés spécifiques gèrent les risques
publics qui impactent leur environnement
La gestion des risques des organisations
• Les moyens par lesquels les organismes publics gèrent les risques qui leur
sont spécifiques

Le secteur des Entreprises et Établissement public au Maroc joue un rôle crucial


dans le développement socio-économique du pays, d’où apparait inéluctablement
l’importance d’une gouvernance éclairée qui s’appuie principalement sur une
gestion des risques maîtrisée sous ses différentes composantes.

la gestion des risques prend désormais une place stratégique au niveau des
organisations publiques en aspirant à une gouvernance éclairée et un pilotage
stratégique et globale de l’action publique

les pays émergent


La question des pays émergents ou des économies émergentes dans le monde est
devenue l’un des thèmes les plus débattus par les chercheurs,Son importance se
justifiepour indiquer des exemples en matière de performance économique réalisée
par, de plus en plus, des pays en voie de développement.

Pays ante-émergents: ISEME < 0,350


Pays pré-émergents: 0,250 < ISEME < 0, 500
Pays émergents: 0,500 < ISEME < 0,650
Pays post-émergents : 0,650 < ISEME

les principes critére d'une pays émergents:


une croissance économique potentiel: Supérieure à 5 % sur le long terme.
La démographie: La population doit être jeune et éduquée et avec une croissance
démographique notable
une économie diversifié: L’économie ne doit pas être dépendante des exportations de
matières première.
La stabilité politique: Les institutions politiques doivent être stables.
Les caractéristique d'une pays émergents:
Une situation initiale favorable au développement.
Une insertion rapide dans le commerce international.
L'augmentation de la demande intérieure.
Une croissance sur fond d'inégalités internes.

Le management axé sur les résultats et la e-gouvernance

Ensemble des actions et moyens adoptés par la société pour promouvoir l’action
collective et fournir des solutions collectives afin de poursuivre des objectifs communs.

De nombreuses pressions Poussent les gouvernements à utiliser


les TIC alors Introduction du concepte E-gouvernance
l’e-gouvernance comme étant l’application des moyens électroniques pour :
• Faciliter l’interaction entre le gouvernement et les citoyens et entre le gouvernement et les
entreprises.
• Mettre à jour le fonctionnement interne du gouvernement envue de simplifier et d’améliorer les
aspects démocratique, gouvernemental et économique de la gouvernance.
l’e-gouvernance est l’utilisation par le secteur public des technologies de l’information et de
communication dans le but d’améliorer la livraison de l’information et le service,
d’encourager la participation de citoyen au processus de décision et de rendre le

gouvernement plus responsable, transparent et efficace.

Les objectif de l'e-gouvernance

LA TRANSPARENCE - L’EFFICIENCE ET L’EFFICACITÉ - LA CONNAISSANCE

L’INCLUSION ET LA PARTICIPATION - LA COMPÉTITIVITÉ ÉCONOMIQUE


LA CONFORMITÉ

Si le gouvernement veut mettre en place un projet d'e-gouvernance il faut qu'il prépare trois
conditions favorables pour en tirer les meilleures conclusions surtout ce qui a trait aux
nouvelles formes de bonne gouvernance, ces 3 conditions sont : l'inclusion – la
transparence – l'universalité
La gestion axée sur les résultats est institutionnalisée dans le milieu public à travers les agences
internationales et les organes de développement qui ont assuré sa diffusion dans les États.
La diffusion des TIC par le biais du déploiement de système de la e-gouvernance contribue à la
réalisation de la bonne gouvernance.
Tenant compte de l’importance de la gouvernance au sein des organisations et l’introduction des
TIC, l’apparition de la notion e-gouvernance est devenue donc incontournable.
Depuis 2005, le Maroc s’est inscrit dans une dynamique vertueuse à travers un ensemble de
stratégies, en commençant par l’élaboration et le lancement de la CYBER-STRATÉGIE

nationale e-Maroc 2010.

de fait, l’utilisation des nouvelles technologies contribue à faciliter l’accès, dans les plus brefs
délais, du citoyen aux prestations, sans qu’il soit nécessaire de se déplacer souvent à
l’administration et de s’y frotter, car c’est la cause principale de l’extension du phénomène de
corruption et du trafic d’influence.

Les pays développés

Les pays développés à économie de marché PDEM) sont des pays où la majorité de
la population accède à tous ses besoins vitaux, c'est-à-dire l'accès à un logement décent, à l'eau
potable, à la santé, à l'éducation et à la nourriture.

Les pays développés, également appelés « pays du Nord », sont ceux qui affichent des
performances économiques dans des secteurs d’activités variés et offrent une qualité de
vie à leurs habitants. Leur indice de développement humain (IDH), qui prend en compte
la richesse par habitant, l’espérance de vie et l’accès à l’éducation, est très élevé. En
2011, l’ONU recensait 46 pays développés, la Norvège, l’Australie et les Pays-Bas
occupant les 3 premiers rangs. La plupart des pays développés ont adopté une
économie de marché (d’où l’appellation courante de pays développés à économie de

marché, PDEM) et des institutions démocratiques.


Niveau de vie moyen plus élevé que les pays en développement et donc une bonne économie de
marché
Niveau de productivité et le taux d'investissement élevé
Bonne qualité des recette tirées de l'exportation
Import et export fortement solicité
Croissance agricoles du a un accroissement démographique élevé
pour mettre en oeuvre efficacement la GAR les grands principes suivants sont trés importants:
partenariant mutuelle: la GAR devrait etre basé sur un partenariat mutuellement bénéfique
basé sur la confiance entre tous les participants
Responsabilité : la responsabilité partagée est présente lorsqu'il existe des partenariats
solides entre les acteurs
Transparence : elle implique une identification claire des résultats attendus afin que ces
résultats puissent étre mesuré
Simplicités : la mise en oeuvre des méthodes de la GAR doit etre adapté pour garantir une
application simple et efficace et une compréhension simple et facile à comprendre
Apprentissage organisationnel: la GAR doit etre affinée en fonction de ce que l'organisation
a appris de éxperience
Les organisations de développement ont tendance à adopter des plans d'action de gestion
axée sur les résultats qui ont des éléments communs. En fait, ils cherchent à orienter de
manière plus décisive leurs outils, leurs motivations et leurs systèmes de rapports sur
l'atteinte des résultats.

Les Objectifs de la réforme de la GRH dans la fonction publique


Développer le professionnalisme de la Fonction Publique
Mieux répondre aux besoins des services publics, aux aspirations des fonctionnaires et
agents et aux attentes des citoyens
Bâtir une administration efficace, dotée des ressources répondant à ses besoins réels, à
l'écoute constante de son environnement
Gérer par les compétences afin de prévenir les risques d’inadaptation
Assurer l’employabilité des salariés
Permettre une meilleure gestion des carrières
Garantir une meilleure efficience de la formation
Limiter la perte des connaissances dans l’organisation Généraliser
Le REC permet de définir de manière méthodique et systématique le contenu et la nature du
travail dans un contexte institutionnel déterminé, ainsi que les exigences requises des
personnels appelés à réaliser ce travail.
Le REC permet de fonder un modèle de régulation cohérent intégrant le triptyque
homme/emploi/activité et un système d'information efficace et efficient en matière de GRH.
Cartographie des postes (CaP)
Définir, recenser, décrire et organiser, au sein des structures organisationnelles, les
situations concrètes de travail
Déterminer et décrire l’organisation du travail dans un espace administratif contextualisé
et structuré
Assurer une classification des activités au sein des emplois
Assurer une division équitable de la charge de travail
Définir les résultats attendus de chacun au niveau de son poste
La cartographie est un moyen pour quantifier les effectifs nécessaires afin d’assurer les
charges de travail au niveau d’un département et servir ainsi de base pour une
estimation prévisionnelle et efficiente de l’évolution des effectifs dans une période donnée

la gestion axée sur les résultats dans le secteur public


La gestion axée sur les résultats est une nouvelle approche de gestion qui marque le passage
d’une logique de gestion basée sur les moyens à une autre basée sur les résultats.
➔ La gestion axée sur les résultats (GAR) oriente les ressources financières et humaines vers
l’atteinte des résultats escomptés, c’est la raison pour laquelle les pays développés et même
ceux en voie de développement ont adopté cette démarche.

MAR et le secteur public

Le terme "secteur public" renvoie à des organismes et activités gérées par des structures
publiques
Le secteur public peut assurer des fonctions qui ne relèvent pas du service public (ex :
production d'explosifs, etc.)

En période de ralentissement de l’activité économique mondiale, les gouvernements recherchent de


plus en plus activement des moyens de garantir une utilisation efficace de leurs ressources. La
gestion axée sur les résultats en matière de développement (GRD) est devenue l’une des clés de
voûte des efforts déployés à l’échelle mondiale pour améliorer l’efficacité des ressources publiques et
réaliser les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD). La GRD offre aux pouvoirs publics
une philosophie et une stratégie de la gestion ainsi qu’un ensemble d’outils destinés à améliorer leur
performance et à renforcer l’obligation de rendre des comptes.
La GAR n'est plus une simple option mais un véritable choix de performance. De meilleurs résultats
doivent être atteints par les projets à travers le renforcement des capacités et des instruments
existants, sur la base des bonnes pratiques en matière de gestion des projets dont l'efficacité a été
prouvée.

Pour le cas d’Afrique, Des institutions fortes et efficaces sont le fondement de la réalisation de
résultats durables du développement. Par conséquent, les membres de la Communauté africaine de
pratique sur la Gestion axée sur les résultats en matière de développement (GRD) s’efforcent
d’orienter davantage leurs organisations sur la performance. Ces trois dernières années, la
Communauté africaine de pratiques a mobilisé plus de 1 000 professionnels axés sur les résultats qui
ont partagé des idées, des défis et des solutions de gestion en vue d’obtenir des résultats en matière
de développement, et ont exprimé leur volonté d’apporter des changements au sein des
gouvernements africains et parmi les parties prenantes du développement. Grâce aux activités de
partage des connaissances de la communauté, certains concepts ont pu être largement diffusés et
vulgarisés. Cette publication emmène maintenant les professionnels plus loin en démontrant
différentes façons de mettre au point des stratégies efficaces au niveau national.

1. Les spécificités de l’Afrique

De nombreuses économies africaines connaissent actuellement une croissance plus rapide que
durant les trois dernières décennies. Ce dynamisme résulte pour une part des prix élevés des
exportations de matières premières, mais reflète aussi des changements plus profonds. La dernière
fois que l’Afrique a connu un boum des matières premières, c’était au milieu des années 1970 : une
décennie de désastre économique sans précédent a suivi. Il est essentiel que les chances de
croissance actuelles de l’Afrique ne soient pas gaspillées de la même manière. En moyenne, sur la
période 1960-2000, la croissance annuelle du PIB par habitant de l’Afrique, pondérée par sa
population, n’a atteint que 0,1 %. Dans les faits, elle a stagné pendant que d’autres parties du monde
connaissaient une croissance accélérée. En effet, entre 1980 et 2000, le taux annuel de divergence
atteignait un incroyable 5 %. Pour comprendre pourquoi ce phénomène s’est produit et peut se
reproduire, il est essentiel d’adopter une perspective géographique. La géographie de l’Afrique a
modelé ses opportunités économiques. L’Afrique se distingue à la fois par sa géographie physique et
par sa géographie humaine. La deuxième section est consacrée aux implications de la particularité de
l’Afrique en termes de géographie physique. Ce particularisme explique, en partie, la lenteur de la
croissance continentale et suggère de quelle manière les stratégies vont devoir se mettre en place, en
se distinguant selon les pays africains. Dans la section suivante, j’analyse les caractéristiques de sa
géographie humaine et les problèmes politiques qui en découlent. La majeure partie de ces
problèmes a récemment été surmontée. La géographie humaine de ce continent peut être à l’origine
d’un retard de croissance sans être pour autant un facteur de stagnation persistante. Enfin, dans la
dernière section, je considère deux interactions entre géographie physique et géographie humaine,
lesquelles génèrent de difficiles problèmes pouvant nécessiter une assistance internationale. Le
tableau 1 présente les principales caractéristiques géophysiques et humaines pour chacun des pays
africains.

le lien entre les pays émergents avec le concepte développement


je pense que les pays émergents sont des pays en voie de développement c'est a dire se sont des
pays qui commence à s'intégrer à l'économie globalisé et au capitalisme mondiale donc ces pays
sont en voie de développement et ces pays sont des pays intérmédiaire entre les pays en sous
développement et les pays développé et de l'OCDE donc ces pays elle connaissent un croissance
économique rapide soutenue mm si ne sont pas au niveau des autres pays développée mais elle
fournit des efforts ( au niveau des exportation et importation cad le niveau de commerce
internationnal donc en peut dire que l'émergence est une état indispensable et crucial pour
gramper vers les niveaux des pays développer ou vers le développements sur le long terme
mais il ya des conditions à remplir en terme de croissance, PIB, PIB par habitant, réduction de
la pauvrauté, exportation importation, respect de 17 objectif cad le développement durable, la
pratique de la e-gouvernance, le respect des droits de l'homme, l'approche genre, surtout
investir en terme d'education, santé...
Donc la GAR est un outil indispensable qui va permettre a ces pays émergents de réaliser un
certaines nombre de projet et de programme relative au développements économique et social et
en terme des ressources naturelle humaines financiére de ces pays reste toujours limité et aussi
en peut dire que le systéme politique démocratique et militaire peut étre considéré comme un
obstacle pour ces pays.
E-gouvernance et la gestion des risque
La gouvernance électronique est un phénomène d’ampleur internationale
qui concerne toutes les autorités publiques – centrales, régionales et locales.
Etant donné que les changements induits par la mise en œuvre de la
gouvernance électronique (si l’on considère le rôle de soutien, de gestion, de
régulation et de prestation de services au secteur commercial que jouent les
autorités publiques) influenceront la prospérité économique aux échelons
national et international, ce domaine revêt un intérêt de première
importance pour les organisations commerciales également. Et comme la
mise en œuvre de la gouvernance électronique est notamment censée
améliorer les modes de fonctionnement de la société civile, la vie associative
est aussi concernée.
L’e-gouvernement a eu une incidence considérable sur l’administration
publique en modifiant l’environnement dans lequel le service public agit, en
introduisant de nouveaux concepts et de nouvelles méthodes dans ses
opérations et en modifiant l’importance relative de même que les relations entre
les éléments établis de l’administration publique. Comme pour le gouvernement
dans son ensemble, les changements sont en cours et il est difficile de prévoir
leur évolution. Dans cette communication, nous nous concentrons toutefois sur
quatre domaines sur lesquels ils ont eu des conséquences manifestes et
durables.
Face à la propagation du COVID-19, le Maroc a mis en place une série de mesures
d’urgence afin de faire face à cette pandémie L'objectif ici dd'aller vers un service publique
efficace et efficience qui offre au entreprise ou au gouvernement lui mm un produits ou
biens un service non marchands dématérialiser notamment et décentralisé il doit etre
disponible

tout temps n'import sur qu'il appareil vous avez le pouvoir de l'effetuer bien sur tout ca en
se basant sur la nouvelle technologie d'information et de communication qui va aider la
gouvernement marocaine a lutter contre la coruption donc afin de minimiser les effets
négative de cette pandémie qui existe dans le monde entier et non soulement dans le
maroc donc on peut citer certain exemple :
premiere exemple relative a un guichet électronique de command d'extrait il savait juste
de remplir le formulaire concernée et suivre en ligne l'état de la demande et par la suite de
recevoire une notification une fois l'extrait sera pret: service judiciaire
dans le seconde exemple qui est lié au sevice sanitaire publique l'état commancé a faire
un site web relative à la prise des rendez-vous au hopitaux qui a pour objectif de simlifié la
tache au citoyen mais malheureusement en réalité c'est le contraire
le troisieme exemple sera destiné au entreprise cette plateforme permet au propriétaire
des entreprise de demander en ligne la publication des annoces légales et aussi de régler
en ligne les frais de publication
quatrieme exemple plate forme de la direction géneral des impots qui ce considiré
comme l'une des réalisation des programme de l'e-gouvernance pour payer les impots
fiscaux a titre d'exemple l'IS l'IR la taxe professionnel il existe plusieurs réalisation au
différents secteur publique

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