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a) Fusion par voie de création d'une société nouvelle qui absorbe deux ou plusieurs
sociétés anciennes ;
b) Fusion par l’absorption d’une ou plusieurs sociétés préexistantes par une société
préexistante accompagnée ou non d'une augmentation de capital.
Dans le premier cas, l'opération se traduit par une création de société, alors que dans le
deuxième cas, il s'agit d'une augmentation de capital.
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La fusion entraîne la dissolution, sans liquidation, des sociétés fusionnées.
La fusion simplifiée consiste à absorber une ou plusieurs filiales détenues à 100%
AVANT APRES
SOCIETE « A »
SOCIETE « C »
SOCIETE « B »
La société C est constituée par les apports en nature en provenance des deux sociétés A
et B.
En contrepartie de leurs apports, les actionnaires reçoivent des titres de la nouvelle
société C.
La dissolution des deux sociétés A et B devient effective, sans liquidation.
SOCIETE « A »
SOCIETE « B »
SOCIETE « B »
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Les apports en nature réalisés par les associés de la société « A » augmentent le
capital de la société « B ».
En contrepartie de leurs apports, les actionnaires de « A » reçoivent des titres de la
nouvelle société « B ».
La dissolution de la société « A » devient effective, sans liquidation.
֍ Par des sociétés liées (avec prise de participation)
Le plus souvent, la société absorbante détient des titres dans la société absorbée
dans le cadre d’une prise de participation. Il est aussi possible de rencontrer :
Une participation de la société absorbée dans la société absorbante,
Des participations croisées entre société absorbée et société absorbante.
SOCIETE « A » SOCIETE « B »
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Aucun ne reçoit des quiddités. Ils ont enfin d’opération des droits sur une société constituée
par deux sociétés précédentes. Le sens de la fusion étant sans effet sur cette situation, le
résultat aurait été exactement le même si « B » absorbe « A », ou l’inverse ou encore « A » et
« B » se réunissent au profit de « C ».
Le partage de synergies issues d’un rapprochement n’est pas le même dans le cas d’une
cession. Dans cette dernière, il est négocié, et le plus souvent le vendeur ne prend pas le risque
de l’opération. En revanche, en cas de fusion, le risque sera partagé par les deux collèges
d’actionnaires.
Rapprochement des compétences complémentaires :
La fusion permet de rapprocher des compétences complémentaires : par exemple,
exploration / production/ distribution/ dans l’industrie pétrolière ; contenu/diffuseur dans
l’industrie des médias ; banque de détail/ banque d’investissement pour des établissements
financiers.
Réalisation des économies d’échelle :
La fusion permet également des économies d’échelle, car dans de nombreux secteurs les couts
décroissent avec la taille et notamment les couts d’acquisition de matières premières ou de
marchandises, les frais de recherche et développement, les couts de production…. En outre, le
développement de la concurrence rend nécessaire la baisse des couts de production.
1.4. Les effets de fusion :
Contrairement à la simple prise de contrôle d'une société par rachat des parts sociales : Ces
opérations entraînent :
La dissolution de la ou des sociétés absorbées ou scindées
La transmission universelle du patrimoine de ces sociétés
Et l'acquisition, par les associés des sociétés absorbées (ou scindées) de la qualité -
d'associés dans la société absorbante. Ils reçoivent, en effet, des titres nouveaux en
échange des anciens.
Dissolution sans liquidation de la société absorbée : La fusion entraîne
automatiquement la dissolution de la société absorbée. Celle-ci s'accompagne
simultanément de la transmission de son patrimoine à la société absorbante. Cette
conséquence est automatique.
Transmission universelle du patrimoine (TUP) de l'entreprise absorbée : La totalité
(actif et passif) du patrimoine de l’entreprise absorbée est transférée. Cette
transmission de patrimoine se traduit par une augmentation du capital de la société
absorbante.
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Capital avant fusion Capital après fusion
Echange de titres : Les opérations de fusion entraînent l’échange de titres pour les
actionnaires des sociétés dissoutes contre des titres de la nouvelle société constituée.
Pour réaliser cet échange de titres il est nécessaire de déterminer au préalable le
rapport ou parité d’échange. Elle doit respecter un principe d’équité entre les
actionnaires des deux sociétés. Deux méthodes peuvent être utilisées :
Parité égale au rapport des valeurs mathématiques des titres.
Perspectives de rentabilité financière des sociétés.
La soulte : En plus de cet échange de droits sociaux, le traité de fusion peut prévoir le
versement en espèce d'une somme d'argent appelée "soulte" au profit des associés de
la société absorbée. Le montant de cette soulte ne peut dépasser 10 % de la valeur
nominale des parts ou des actions attribuées.
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II- Les aspects juridiques et fiscaux des opérations de fusion –
absorption
2.1 Les aspects juridiques de la fusion –absorption :
La réglementation des opérations de fusion au Maroc date de 1996 avec la publication de la
loi
17-95 relative à la société anonyme. Cette dernière a fait l’objet d’amendements en 2008 dans
le cadre de la loi 20-05 dont la conception et la publication relèvent du processus de réforme
du droit des affaires entrepris par le pays dans les années 90. Un cadre juridique des
opérations de fusion (inspiré de la réglementation française) a été ainsi mis en place. Les
opérations de fusion y sont définies par l’article 222 qui stipule que « une société peut être
absorbée par une autre société, ou participer à la constitution d'une société nouvelle par voie
de fusion ». De même, les fusions continuent à être régies par des différents principes
généraux consacrés par la pratique, notamment la transmission universelle du patrimoine.
Cette transmission sousentend que la société absorbante ne fait que continuer l’activité de la
société absorbée qui disparaît. L’absorbante devient alors, selon le cas, créancière ou débitrice,
en lieu et place, de l’absorbée. Les actifs sont transmis dans l’état où ils se trouvent à la date
de réalisation définitive de l’opération. Le passif y compris le passif non enregistré, est pris en
charge par l’absorbante qui reprend à son compte les différents engagements pris par
l’absorbée. Par ailleurs, en plus de la définition des concepts, la loi 17-95 a également clarifié
le processus de réalisation de ce type d’opérations tout en précisant le rôle dévolu à chaque
intervenant (commissaires aux comptes, commissaires aux apports, conseil d’administration,
etc.). Cependant, la loi n’impose pas de règles précises quant à l’évaluation et la fixation de la
parité d’échange hormis le contrôle de cette dernière par les commissaires aux comptes des
sociétés participantes dans le cas de la fusion réalisée entre des sociétés anonymes. Un projet
d’amendement de ladite loi est en cours et prévoit la généralisation du contrôle de la parité
d’échange par un professionnel indépendant dans le cadre des fusions impliquant les autres
formes de sociétés commerciales (prévues par la loi 5-96 relative à la SARL et les autres
sociétés).
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2.2 Les aspects fiscaux de la fusion :
Le traitement du régime fiscal de la fusion s’inscrit dans le prolongement de l’étude des
aspects juridiques de cette opération. La fusion a naturellement un coût fiscal qu’il convient
de considérer au niveau de chaque société faisant partie de l’opération, d’autant plus que leur
structure du bilan peut receler des impositions latentes qui seront mises à jour à l’occasion de
la fusion.
Le législateur marocain a néanmoins prévu des dispositions fiscales spécifiques à la fusion en
vue d’alléger son coût né de la fiscalité, et de favoriser ainsi le regroupement et la
concentration des entreprises.
Ces dispositions concernent naturellement l’impôt sur les sociétés (IS), la taxe sur la valeur
ajoutée (TVA) ainsi que les droits d’enregistrement (DE).
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Concernant les droits d’enregistrement, ils sont payés sur les apports avec un taux de 1% et
sur la dissolution de l’absorbée avec un montant de 200 dirhams. Les droits de mutation
relatifs à la prise en charge du passif bénéficient, en effet, d’une carotte fiscale.
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La parité est égale au rapport des valeurs d’échange des titres :
Exemple :
La société B absorbe la société A. Les renseignements concernant les deux sociétés sont les
suivants :
Société A : capital : 600 000 DH (6 000 actions) ; montant de l’actif net apporté à la
société B : 1 800 000 DH ;
Société B : capital : 2 000 000 DH (10 000 actions) ; montant de l’actif net : 6 000 000
DH.
Calculer la valeur mathématique des titres des sociétés A et B et leur parité d'échange.
Valeur mathématique de la société A = 1 800 000 /6 000 = 300 DH
Valeur mathématique de la société B = 6000 000 / 10 000 = 600 DH
Parité d’échange = Valeur mathématique A / Valeur mathématique B = 300 / 600 = 1/2 Donc
une action B contre deux actions A.
Les 6 000 actions A seront échangées contre : 6 000 x 1/2 = 3 000 actions B.
La fusion n’est pas possible si la valeur réelle des actions de l’absorbante est inférieure à la
valeur nominale. La société absorbante ne peut pas émettre des actions nouvelles au-dessous
de leur valeur nominale.
Boni / Mali de fusion : Lorsque l'absorbante détient une participation dans l'absorbée, la
plusvalue dégagée sur celle-ci (boni de fusion) constitue pour partie la prime de fusion
Boni de fusion : écart positif entre l’actif net reçu par la société absorbante à hauteur de
sa participation dans la société absorbée et la valeur comptable de cette participation.
S'il s'agit d'une moins-value, elle est qualifiée de mali de fusion :
Mali de fusion : écart négatif entre l’actif net reçu (ou sa valeur retenue) par la société
absorbante pour sa participation dans la société absorbée et la valeur nette comptable
des titres de la société absorbée. Dans ce cas, il convient de différencier :
Mali technique (Fusion en valeur comptable ou réelle) :
• Il correspond à la plus-value latente sur éléments d’actifs comptabilisés ou non dans les
comptes de l’absorbée, déduction faite des passifs non comptabilisés (provisions
retraites,…) à hauteur de la participation antérieure détenue par l’absorbante.
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• La valeur nette des titres de la société absorbée figurant à l’actif de la société
absorbante est supérieure à l’actif net comptable apporté.
Au-delà du mali technique (Fusion en valeur comptable) :
Le solde de la mali qui peut être représentatif d’un complément de dépréciation de la
participation détenu dans la société absorbée (correspond à un défaut de provision à constater
en charges financières).
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3.2. Cas des sociétés indépendantes :
Les sociétés sont indépendantes lorsqu'il n'existe pas de lien financier (participations au
capital) entre elles.
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Chez la Société absorbée :
Sur le plan comptable, la fusion se traduit par :
Le transfert à la société absorbante de l’ensemble des actifs et passifs ; cette
comptabilisation conduit éventuellement à enregistrer dans le compte « RESULTAT
DE FUSION » les plus-values ou moins-values constatées, lorsque la valeur d’apport
des éléments transmis est différente de leurs valeurs comptables.
La rémunération, sous forme de titres, reçue de la société absorbante.
La détermination des droits des associés et le transfert en leur faveur des capitaux
propres de la société dissoute.
L’attribution aux associés des titres reçus de la société absorbante. Chez la Société
absorbante :
Sur le plan comptable, la fusion se traduit par :
• L’enregistrement des actifs et passifs reçus pour la valeur figurant dans le traité
d’apport. Il s’agit soit de la valeur comptable soit de la valeur réelle, selon les
caractéristiques de l’opération.
• Une augmentation du capital avec éventuellement une prime de fusion.
Modalités 1 et 2 :
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Biens et dettes comptabilisés à leur valeur comptable (1) ou à leur valeur réelle (2)
La prime de fusion peut se calculer de deux façons :
Valeur des apports absorbée - Valeur nominale des titres émis par la société
absorbante. Compléments :
1) Les évolutions doctrinales conduisent à privilégier la détermination de la valeur réelle
des entités en présence, avec un rapport d'échange aussi proche que possible de ces
valeurs réelles, ce qui revient à appliquer la modalité n° 2 envisagée ci-dessus.
2) Les incidences fiscales de l'opération, non traitées ici, peuvent entraîner
l'enregistrement d'écritures comptables spécifiques.
3) Lorsque le rapport d'échange découle strictement des valeurs de titres, s'il ne conduit
pas à l'obtention d'un nombre entier de titres, il est possible de l'arrondir et de verser
aux associés de l'absorbée une somme en numéraire dénommée « soulte ».
Application :
Société A
Société B
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Immobilisation 1000 000 Capital (3000 actions) 600 000
Autres actifs 300 000 Réserves 550 000
Fournisseurs 150 000
Total 1 300 000 Total 1 300 000
Société A Société B
Capital 1 000 000 Capital 600 000
Réserves 1 050 000 Réserves 550 000
Plus-value sur Plus-value sur
Immobilisations 450 000 Immobilisations 350 000
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34... Société A 1 800 000
4411 Fournisseurs 150 000
Immobilisations
2… 1 000 000
Autres actifs
3… Résultat de fusion 300 000
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2.… Immobilisations 1 350 000
2230 Fonds commercial 300 000
Autres actifs 300 000
3…..
Fournisseurs de B
4411 150 000
Société B –Compte d’apport
44.... 1 800 000
44.… 1111 Société B –Compte d’apport 1 800 000
1122 Capital social 720 000
Prime de fusion
1 080 000
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3.3. Cas de sociétés liées :
Avant la fusion, les sociétés sont liées par des participations au capital. Trois situations sont
possibles :
Conditions financières
Evaluation des sociétés : si l'on retient les valeurs économiques, évaluer d'abord la société
absorbée, puis la société absorbante (avec plus ou moins-value éventuelle sur les titres de la
première).
Analyse comptable
Société absorbée : la valeur des titres reçus (compte 25xx) est inférieure à la valeur des
apports (compte 34xx). Le compte 34xx est soldé lors de la mise en évidence des droits des
associés sur les capitaux propres.
Exemple : La société A détient 20% des actions de la société B et absorbe cette dernière
Société A
Actif Montant Passif Montant
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Immobilisations 3 200 000 Capital (15000 actions) 3 000 000
Titres B (2000actions) 240 000 Réserves 690 000
Marchandises 300 000 Fournisseurs 310 000
Clients 200 000
Banque 60 000
Total Actif 4 000 000 Total Passif 4 000 000
Société B
Actif Montant Passif Montant
Société A Global
Réserves 690.000
Total 3.750.000
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Nombre de titres 15.000
Valeur de l’action 250
Les actions détenues par A dans B ont été acquises a 120= 240.000/2.000
Il y a lieu de rémunérer les 8 000 actions B (hors celles détenues par A) par l’émission de
4.800 actions A 3/5 x 8 000 = 4800
Prime de fusion : Les nouvelles actions sont créées avec une valeur nominale de 200
Elle se décompose en :
Prime de fusion proprement dite (250-200) *4800 =240.000
Plus-value de fusion (30*2000) =60000
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2- Rémunération de l’apport de B par remise des titres de A
25... Titres société A 1 200 000
34... Société A 1 200 000
2- Augmentation du capital
Conditions financières
Evaluation des sociétés : si l'on retient une valeur économique, évaluer d'abord la
société absorbante, puis la société absorbée (avec plus ou moins-value éventuelle
sur les titres de la première).
Nombre de titres à créer : en général, pour des raisons fiscales, la société absorbée
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apporte l'intégralité de ses actifs, y compris les titres de la société absorbante qu'elle
détient.
Annulation des titres de l'absorbée détenus par l'absorbante : la société absorbante,
recevant de ses propres titres, les annule en procédant à une réduction de son capital ; à cette
occasion, la plus eu moins-value sur les titres annulés est mise en évidence.
Analyse comptable
Société absorbée : pas de particularité.
Société absorbante : lors de la réalisation des apports, le compte 2588 – Titres divers est
débité de la valeur des titres de la société absorbante figurant dans l'apport.
Société B Global
Capital social 4.200.000
Réserves 1.600.000
Plus-value (F.C) 200.000
Plus-value sur titre A (3000*700) -1.800.000 300.000
Total 6.300.000
Nombre de titres 21.000
Valeur de l’action 300
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3/7 x 21 000 = 9 000
Prime de fusion : Les nouvelles actions sont créées avec une valeur
nominale de 500.la valeur de l’apport étant supérieure à l’augmentation
du capital, il en résulte alors une réserve appelée prime de fusion :
2- Rémunération de l’apport de B
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1111 Capital social 4 200 000
11… Réserves 1 600 000
1…. Résultat de fusion 500 000
6 300 000
Actionnaires
4- Désintéressement des actionnaires
2- Augmentation du capital
3- Réduction du capital
Les conditions financières résultent d'une combinaison des deux situations précédentes.
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Analyse comptable
L'analyse comptable s'effectue en combinant les solutions présentées dans les deux situations
précédentes.
Exemple :
Bilan de la société A
Actif Montant Passif Montant
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Bilan de la société B
Actif Montant Passif Montant
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En simplifiant, on obtient : A = 180 et B = 225
Parité d’échange
Évaluation de l’apport de B :
Annulation des actions = 100 000 (pour leur Augmentation de capital= 1 187 500
valeur comptable)
Réduction du capital :
L’entreprise absorbante doit réduire son capital afin qu’elle ne reste pas détentrice de ses
propres actions.
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2/3… Actifs divers 2 600 000
Actifs propres 180 000
2/3…
4…. Dettes 530 000
Société B 2 250 000
4….
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Conclusion
Le paysage économique actuel pousse les entreprises à se regrouper, privilégiant la
concentration comme moyen stratégique pour affronter une concurrence tant nationale
qu'internationale. La fusion, parmi les diverses formes de concentration, émerge comme un
moyen crucial pour créer des entités robustes et résilientes, capables de mener à bien des
opérations de grande envergure. Les objectifs économiques, juridiques et parfois fiscaux des
fusions visent à renforcer l'emploi, la crédibilité, la position concurrentielle, et la capacité
d'exportation des entreprises. Au-delà des avantages financiers, les fusions permettent de
restructurer, simplifier, voire réaliser des économies d'impôts au sein d'un groupe.
Cependant, cette démarche n'est pas dénuée de défis, avec des aspects juridiques complexes
touchant les droits des associés et des tiers, des considérations fiscales subtiles dues aux
situations d'assujettissement des sociétés fusionnantes, et des aspects comptables exigeant
une évaluation minutieuse des apports et la détermination des parités d'échange. La fusion,
qu'elle prenne la forme de la création d'une nouvelle entité ou de l'absorption par une entité
existante, représente une opération complexe aux multiples facettes, impliquant des relations
préalables entre les sociétés concernées. Cet exposé explore ainsi les mécanismes et les défis
inhérents à la comptabilité des sociétés dans le contexte spécifique de la fusion absorption.
Bibliographie
BEATRICE et FRANCIS GRANDGUILLOT “les zooms la comptabilité des sociétés”.
Edition 2014 2015.
ISSAM EL MAGUIRI “la gestion du résultat comptable dans les Operations de fusions
absorption au Maroc”.
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JILALI BENDRISS “comptabilité de sociétés”.édition 2017.
Webographie
https://doers.ma/fusion-societes-droit-marocain/ http://www.acden.co.ma/doc/Traitement
%20comptable%20fusions.pdf https://www.droitetentreprise.com/19416/
https://www.compta-online.com/prime-de-fusion-ao6807 https://www.compta-
facile.com/comptabilisation-des-operations-de-fusion-societeabsorbee-absorbante/
Tables de matières
Sommaire .......................................................................................................... 2
Introduction ...................................................................................................... 3
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2.2.1. Dispositions fiscales en matière d’IS : .............................................................................. 12
2.2.2. En matière de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) : .......................................................... 12
2.2.3. En matière de droits d’enregistrement (DE) : ................................................................... 12
Conclusion ...................................................................................................... 36
Bibliographie .................................................................................................. 37
Webographie .................................................................................................. 37
Tables de matières .......................................................................................... 38
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