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Institutions internationales et européennes

Introduction
Le droit international connaît un développement exponentiel, il ne cesse de trouver de nouveau
objet et espace et génère la création de nouvelle normes juridiques. Par son caractère transversale à
plusieurs niveaux, à la croisé de plusieurs disciplines et l'étude des ses institutions internationales et
européennes sont devenu fondamentale et omniprésente dans le cadre d'un parcours universitaire
en droit.

Deux raison à cela :

Une raison objective : à savoir l'importance croissante de la matière, la multiplication des


organisations internationales est l'un des traits marquant de l'évolution de la société international.
Le nombre d'organisation internationales actuellement dépasse largement le nombre d’États dans le
monde. Il y a plus 270 organisations intergouvernementales alors qu'en 1909 n’était comptabilisé
seulement 37 organisations.

Deuxième raison : davantage scientifique qui tient à la conjoncture actuelle il est devenu impératif
de penser l'importance du tissu international qui vise à contribuer à l'effectivité de certaine valeurs
fondamentales tels que la préservation de la paix , la restauration de la santé environnementale
planétaire ou encore la recherche de la justice transnationale. Se sont des objectifs qui dépasse la
capacité et la force de l’État nationale. Ces institutions internationales sont perçut comme un
correctif à l'incapacité d'action de certains États. C'est un moyen de régler certains problèmes que les
États ne parviennent pas à gérer seul.

Qu'est ce que le droit interne et le droit international ?

Le droit c'est un corps de règle que se donne un groupement humain ou une entité pour régir
leurs rapports. En fonction de l'évolution de ces rapports ,le contenu de ce droit est appelé à
évoluer, à varier. On peut classer ses règles en catégorie. On distingue droit interne et droit
international.

Par droit interne il faut entendre l'ensemble des règles qui régissent les rapports entre des
individus, entre des personnes morales , des groupes et des entités entre eux à l’intérieur d'un
État. Le droit interne c'est le droit créer et appliqué à l’intérieur d'un État.

Le droit international est constitué par un corps de normes écrites ou non destinées à discipliner
les rapports internationaux. Le droit international réglemente les relations entre les entités
souveraines c’est à dire les États. Le droit international évolue bien plus que le droit interne. Et cela
tient au faite que le droit international est postérieure à la création des États. On peut dire qu'il a du
droit à rattraper avec le droit interne qui est plus élaboré.

Qu'est ce qu'une institution ?

On trouve deux sens au mot institution, d'abord un sens organique l'institution organique se sont
les organismes dont le statut et le fonctionnement sont régit par le droit. Par exemple le parlement
est une institution , le conseil d’État est une institution

Les institutions mécanismes les institutions se sont aussi des faisceaux de règles qui régissent un
organe ou une situation juridique donné. Par exemple la rupture d'un contrat elle répond à toute
une série de règle.

Que sont les institutions internationales et européennes ?

Les institutions sont dites international dès lors qu'elles dépasses les limites du cadre national. Ses
institutions sont la résultats de relations internationales qui peuvent être vu comme l'ensemble des
interactions entre acteurs internationaux. Le développement de ses relations conduit à créer des
règles juridiques qui permettent d'encadrer ses relations, ses interactions entre acteur.

En somme les institutions internationales sont à la fois des organismes comme les États ou les
organisations internationales qui compose la société internationale mais les institutions
internationales sont aussi l'ensemble des règles juridiques qui régissent les rapports entre ses
acteurs. Beaucoup de ses organismes ont une vocation universelle. Il y a des organisations qui se
cantonne à un niveau régionale ou continentale comme les institutions internationales.

Partie 1 : Les institutions internationales

Introduction historique :

Les institutions internationales naissent avec l'apparition d'une société internationale. Pour
comprendre cette évolution nous allons examiner les fondements historiques des institutions
internationales puis le développement croissant, leurs universalisations et présentation de la société
international actuelle.

Section 1 : Les bases de la société internationale

Les relations internationales sont lié a l’évolution des États et à leur interactions. Ses relations entre
États sont essentiellement marqué par des conflits,les bases historiques et conceptuel des institutions
internationales sont ainsi le fruit de relation désordonné et de nature diverse.

PARAGRAPHE 1 : DES RELATIONS ETATIQUE DESORDONNE ET DE NATURE DIVERSES

A- L'ANTIQUITE

Il est très difficile de dater les premières interactions internationales, on trouve les prémices de ses
relations dans les accords qui sont passer sous l'antiquité. Ses accords avaient essentiellement pour
objet de délimité les frontières ou de fixer les termes de la paix. Le plus anciens serait celui
conclut en 3010 avant Jésus Christ entre les villes sumériennes de Lagash et Umma. D'autre situe les
accords internationaux dans la conclusion d'un pacte de non agression signé par le pharaon Rames
II et le roi des Hittites en 1296 avant Jésus Christ. Certaines institutions de la Grèce antique ont été
assimilé à des institutions internationales elle géraient les relations entre cité. On y trouve les
prémices des relations consulaires et première institution de défense collective. Les sociétés à cette
époque développaient peu d'interaction juridiques, la production normative visait à structurer le
territoire.

B- LE MOYEN AGE

On trouve les prémisses de la société internationale dans la chute de l'empire romain qui fut divisé
en 395 en deux empires l’empire byzantin et l’empire d'occident. Cette division va fragiliser l'empire.
L’empire d'occident succombe des invasions barbares et l’empire byzantin doit faire face à des
divisons internes. Les croisades achève de diviser l’empire jusqu'à la prise de Constantinople en 1453.
Sans suit une étape de reconstitution des empires. L'empire romain d'occident parvient à renaître
sous le royaume de Charlemagne mais progressivement la guerre finit par restreindre ce territoire
qui alors découpé en 350 portions territoriales. La féodalité avec les seigneurs apparaît alors, le
territoire étant découpé des moyens pour crée des liens entre ses territoires sont envisagé.

Durant toute cette période la guerre et les querelles furent le principale objet d'inquiétude
justifiant de trouver les moyens ,les instruments pour assurer la pérennité et la stabilité entre ses
ensembles, entre les ensembles territoriaux.

C- Les 15e et 16e siècle

Cette période va permettre l'émergence des relations internationales, c'est une période qui est
marqué par la conquête de nouveau territoire. C'est l'époque des grandes monarchies
française,espagnol, autrichien. Dans ses grandes monarchies le pouvoir est détenu par la couronne
c'est le monarque qui est titulaire de la souveraineté en tant que chef de l’État. Un événement
majeur va favoriser l’essor de ses relations internationales la découverte de l’Amérique et
l'expansion colonial qui est essentiellement du fait de l’Espagne et du Portugal. A partir de ce
moment des accords conclus entre États d'une part car ses monarchies qui conquièrent tente de fixer
par le droit des règles qui s'appliqueront à ses colonies et d'autre part par la voie des traités c'est
empire coloniaux fixe des règles en matière d'acquisition des territoires. L'une des plus connu est
appelée le principe du territoire sans mètre la règle veut que ce qui découvre le territoire et qui
l'occupe à le droit de le posséder. D'autre règle à l'avantage de géré les conflits la bulle du pape
Alexandre 6 en 1493 vise à partager le nouveau monde entre l'Espagne et le Portugal. L'objectif est
de géré les relations entre les États à travers un instrument juridique formel et officiel. Une bulle
c'est un acte officiel qui est authentifié par le pape lui même grâce à un sceau .

A cette époque le droit international est surtout un droit de domination de certains territoires ,un
droit de rivalité coloniale qui contribue à l'édification de règle.

PARAGRAPHE 2 : L'EMERGENCE DE STRUCTURE DEFINI ET ORGANISER JURIDIQUEMENT

L'église va joué un rôle dans la structure de ses règles

A- L'ACTION NOTABLE DE L’EGLISE

L’église va employé de nombreux mécanisme pour tempérer les effets des conflits territoriaux. Le
rôle des assemblées d’évêques et d’ecclésiastique qu'on appelle des conciles va favoriser
considérablement l'essor de règle juridique. Autour des 12 et 13e siècle certains accords
internationaux vont progressivement incorporé des moyens pour régler les conflits entre les parties.
C'est notamment le cas de l'arbitrage qui fait sont apparition. L'arbitrage dans un conflit il a pour
objet de confier à un tiers (une personne qui n'est pas partie au conflit) le soins de régler le
différend (le conflit). Dans l'ensemble romano germanique c'est le pape qui fera d'office d'arbitre.
Parfois lorsqu'il est difficile ou impossible de réglé le différend un cadre juridique va être crée pour
fixer des périodes de guerre. Il y aura des règles fixer par les conciles on trouve la paix de Dieu qui
interdit de s'attaquer au biens c'est à dire tant au biens sacré de l'église mais aussi aux biens
économiquement utiles comme par exemple les instruments agricoles au récolte et aux animaux qui
permettent de labourer les champs. Il y a une obligation de respecter les personnes pacifiques
comme les gens d'église, les enfants, les femmes , les hommes sans armes tous devant être
considéré comme placé hors du conflit. Ce qui fut appelé la trêve de Dieu qui est aussi fixer par les
conciles visaient à suspendre toute activité belliqueuse du mercredi soir au lundi matin ainsi que
pendant les périodes du calendrier liturgique comme noël ou le carême. Seront progressivement
proscrite certaines pratiques de guerre et toute absence de respect à ses règles entraîne
l'excommunication. Derrière ses règles on trouve l’émergence d'un droit humanitaire qui
aujourd'hui est consacré dans la convention de Genève de 1949.

B- La formalisation de règle lié aux conflits armées et aux activités maritimes

On trouve des domaines dans lesquelles les règles vont être particulièrement nombreuses dans le
domaine maritimes , des règles qui prennent la forme d'usage c'est le cas notamment de la trêve qui
va s'orienter comme un usage consensuel pour tout conflit armée et qui a pour effet d'interrompre
momentanément une guerre. C'est le cas de l'armistice c'est un accord conduisant à la suspension
des hostilités. Le traité de paix devient courant c’est un acte juridique passer entre les parties en
conflit visant à constater la victoire de l'une des partie sur l'autre partie.

Enfin la règle de réciprocité dans le traitement des prisonniers cette règle impose que le
traitement réservé au prisonnier dans un État soit identique à celui pratiquer dans l'autre État
en guerre. Tout ses usages favorise la construction d’accord entre les États ce qui constitue l'essor
des relations internationales. Parallèlement sous l'effet de l’expansion coloniale qui va crée du
commerce internationale le droit de la mer se développe. C'est de là qu’apparaît la notion de mer
territorial mais aussi toute une série de règle sur les conflits maritimes tel que la piraterie.

Sous ses effets combiné le droit écrit sous la forme de traité internationaux devient de plus en plus
courant.

Section 2 : Le développement croissant en Europe des institutions internationales

Les mouvements d’indépendances dans les colonies et la recherche de la paix ont accentués la
consécration d’institutions internationales.

PARAGRAPHE 1 : L’INFLUENCE DE LA DELIQUESCENCE DE L'IMPERIALISME COLONIAL

A- La société internationale et européenne dépossédé de l'Amérique

En Europe les États revendique de plus en plus le respect de la souveraineté. Cette revendication
aboutie à la création d'une société internationale composé de plusieurs États basé sur ce seul
continent. Cette société signe un accord Westphalie du 24 octobre 1648 qui met fin à la guerre de
30 ans et permet de déclarer l'indépendance des 350 États allemands qui composaient le saint
empire et qui bouleverse la géographique européenne.

De l'autre coté de l’atlantique, l'Amérique entame une décolonisation. L'indépendance des États-Unis
d’Amérique est adopté le 4 juillet 1776 par les représentants des 13 colonies. Suit peu après les
guerres d'indépendance en Amérique latine inspiré par l'esprit des lumières et de la révolution
française ce qui génère l’éclatement des empires espagnol et portugais.

Les États-Unis nouvellement indépendant vont tenter de passer un accord avec les anciens empires
européens pour que ses derniers ne tentent pas à nouveau de coloniser le continent américain. En
échange les États-Unis s’engage à ne pas intervenir dans les affaires européennes. Cette doctrine a
été posé par le président Jean Monroe lors de sa déclaration du 10 novembre 1823 est relative au
non interventionniste des États-Unis en Europe en l'échange de l'absence de tout ingérence
européenne en Amérique et cette doctrine sera progressivement détourner puisque les États-Unis y
verront le droit d'avoir la main mise sur l’ensemble des états latino américain.

B- La société internationale étendu à d'autre contient

Les États européens vont tenter de conquérir de nouveau territoire cherchant toujours à accroître
leur expansion économique, militaire et sois disant civilisatrice. Certains états européens vont ce
lancer dans une quête de colonisation de l'Afrique et de l'Océanie et rapidement des rivalités entre
puissances européennes s'installe. Sur le plan des institutions internationales il faut retenir que ses
mouvements coloniaux s'accompagne de la création de conférence diplomatique qui on pour
mission de fixer les limites de leur concurrence et les moyens de contrôle auxquelles ils sont
soumis. A titre d'illustration la conférence de Berlin en 1884-1885 qui conduira à opérer le partage
de l’Afrique entre les grandes puissances mais la décolonisation se poursuit parfois pour des raisons
économique les colonies on un coût important et ceci justifie le développement de règle juridique
d’association qui permettent d’alléger ce coût autrement dit l'empire accorde une certaine
autonomie aux territoires colonisés voire dans certains cas ses territoires obtienne leur indépendance
mais reste lié par des accords d'associations on le voit aujourd'hui avec les États du Commonwealth
et ils demeure unie à la couronne britannique le roi d’Angleterre.

Ses accords d'associations donne plus de liberté à ses territoires et au fur et à mesure vont
provoquer un détachement concret avec les empires coloniaux.

PARAGRAPHE 2 : LA RECHERCHE D'UN AFFERMISSEMENT DE LA PAIX

Les États vont veillé de plus en plus souvent à ce concerté et à développé des mécanismes
d'anticipation des conflits pour affermir la paix.

A- L’accroissement des concertations

Les concertations sont les ancêtres des organisations internationales intergouvernementales.


L'apport essentielle de ses concertations tient à ce qu'elle permette de fier des accords non pas entre
deux États en conflit mais entre plusieurs États à la fois. Se sont les basses du multilatéralisme qui
diffère du bilatéralisme. Le congrès de Vienne en 1815 en marque les débuts puisqu'à la suite de la
défaite napoléonienne ce congrès réuni l'Autriche , la Prusse , la Grande Bretagne et La Russie , la
France s'associe également avec Talleyrand et ses États se partage l’Europe en abolissant
l'absolutisme. A cette occasion certains principes vont être adopter en matière de navigation ou
encore en matière de diplomatie. Parallèlement la saint alliance qui rassemble la Russie l'Autriche et
la Prusse restaure certains acquis religieux comme les règles de justice de charité et de paix entre
États. Ses trois États par la voie de leur monarque se promettent assistance aide et secours. C'est
ainsi que naît l'idée de sécurité collective. On retrouvera cette idée collective au sein des alliances
militaires par exemple au sein de l'organisation du traité de l’atlantique nord l'OTAN ou encore
au sein de l'union Europe occidental.

L'objectif de ses accords est d’empêcher le retour de Napoléon. Et les États s’accorde le droit
d'intervenir par la force dans les affaires des autres États c'est une forme de légitimation de
l’ingérence. Cette union , alliance s’agrandit elle intègre l’Angleterre pour former la quadruple
alliance. Puis en 1818 au congrès d'ex la chapelle la France est associé au traité précédent c'est
l’avènement de la Pentarchie. Ses États membres organise des réunions periodique sous forme de
congrès que l'on appelle le directoire européen.

Une autre structure qui se développe c'est le concert européen il réunie les mêmes États que à
Pentarchie ainsi que l'Asardene et l'Italie et elle organise des conférences diplomatiques. Mais elle ne
s'autorise pas à intervenir dans les affaires intérieurs d'un autre État.

B- L'anticipation des conflits

Ses structures mettent en place des règlements pacifiques des conflits pour évité le passage à l’État
de guerre. Par exemple la méthode des bons offices et elle consiste à faire intervenir un tiers
généralement ce tiers une personnalité accepter par tous les partis, elle doit faire asseoir à la même
table les partis politiques et on les fait négocier. Vont se développer des procédures juridictionnelles
de règlement des conflits ce qui signifie une intervention d'une juridiction ayant la capacité de
rendre des décisions obligatoire en cas de conflit. La conférence de la Haye de 1907 va aller plus
loin puisqu'elle crée une juridiction permanente qui entérine ce mode de résolution des conflits et
cette juridiction c'est la cour permanente d'arbitrage. Ses différends marque une volonté
d'affermissement de la paix qui rencontrons des difficultés elles auront du mal à ce concrétiser
puisque se sont les guerres mondiales qui provoqueront une modification substantiel des institutions
internationales.

Section 3 : Universalisation des relations internationales sous l'effet des guerres


mondiales

PARAGRAPHE 1: LA PREMIERE GUERRE MONDIALE ET LE DESIR DE PAIX

A) Les conséquences de la guerre

La société internationale va se transformer, les empires coloniaux dépérissent en atteste


l'indépendance de l’Irak en 1931 et du Liban en 1943 qui était sous mandat britannique. De nouvelles
puissances apparaissent qui interviennent à l’échelle mondiale. Il y a d'un coté les États-Unis et de
l'autre coté l'URSS l'union des républiques socialiste soviétique issus de la révolution de 1917.
Ses puissances elles s’accordent d'intervenir à l’échelle planétaire. Les États-Unis ne sont pas censé
intervenir en Europe du fait de la doctrine de 1823 du président Moneroe, la première guerre
mondiales va bouleversé cette ordre des choses puisqu'elle entraîne les États-Unis dans le conflit en
avril 1917 auprès des alliés alors même que son territoire n'est pas concerné par cette première
guerre. De la même manière l'URSS s'engage dans la guerre contre l’Allemagne. Elle connaît sa
propre révolution interne puisque Lénine arrive au pouvoir en novembre 1917. Ce qui conduit à la
proclamation quelque année plus tard de l'URSS. De nouveaux principes juridiques apparaissent
durant cette période dont le droit des peuples à disposer d'eux même qu'on appelle le droit à
l’autodétermination c'est un droit qui va permettre la création de nouveau État. Et donc dans le
contexte de l'époque cela a été durement admis par les pays colonisateurs qui craigne cette
revendication des colonies. Ce principe est devenu une coutume international. Deuxième principe
le règlement pacifiques des conflits internationaux qui est une réponse au besoins d'assurer la
sécurité collective des États tout en envisageant la possibilité d'une action coercitive de la
communauté internationale. Ce principe c'est parce que la paix est un impératif juridique. Enfin le
principe d'égalité des États quelque soit leur taille et ce principe qui se fait beaucoup plus présent
et directement lié à un autre concepts la souveraineté des États. Les États sont égaux quelque soit
leur taille. On peut estimé que ce principe n'est pas toujours effectif.

B) L'organisation par la paix

Pour éviter une nouvelle guerre les États entre en concertation ils créent une organisation
internationale qu'on appelle la société des nations c'est la première grande organisation
intergouvernementales à compétence générale et à vocation universelle. En somme elle vise à
réunir tous les nations du monde. L'idée c’est que tous les États adoptent des règles communes
pour éviter la guerre. Elle est le résultat d'une initiative des États-Unis du président Wilson dans son
message du 8 janvier 1917. L'acte constitutif c'est le pacte de la SDN qui est signé le 28 avril 1919 à
Genève en Suisse.

Tout d'abord le respect du droit international, des traités de paix et le maintien de la paix par
assistance mutuel entre États membres en cas d'agression extérieur mais sans automatisme prévu
et enfin la collaboration économique sociale et humanitaire entre États membres. La compétence
générale des sociétés des nations lui assure des pouvoirs dans de nombreuses matières et sa
vocation universelle implique qu'elle ouvre ses portes à tous les États intéresser. Pour la première fois
nous avons une grande organisation international qui voit le jour. Son acte constitutif prévoit la
création de plusieurs organes avec des règles de fonctionnement propre et les États vainqueurs de la
guerre se trouve à la tête de l'organisation.

Elle comprend plusieurs organes il y a d'abord l'assemblée qui est composé des représentants de
tous les États membres siégeant une fois par an. Puis on trouve le conseil qui est un organe
restreint qui siège fréquemment et qui est composé de membre permanent désigné à savoir les
puissances alliés que son les États-Unis, la grande Bretagne , la France , l'Italie et le Japon mais aussi
des membres non permanent élu par l'assemblée chacun disposant d'une voix pour répondre au
principe d'égalité des États. On trouve le secrétariat permanent qui est chargé des fonctions
administratives et enfin une juridiction la cour permanente de justice internationale. On va
retrouver ses organes au sein de l'ONU car la SDN va être un échec elle révèle une impuissance
politique puisque beaucoup d’États refuserons d'en faire partie ou bien partirons ce qui fait perdre
toute son influence à cette organisation.

Les États-Unis qui en était à l'origine refuse d'y rentrer , l'URSS est admise en 1934 mais en ai exclue
en 1939 pur agression contre la Finlande. L'Allemagne est admise en 1925 et elle en sort dix ans plus
tard. Tout ceci entraîne la chute de cette organisation. Face à un fort constat d’échec les États vont
tenter de crées d'autre forme de réglementation internationale dont le protocole de Genève de
1924 sur le règlement pacifique des différends internationaux , le pacte de Locarno de 1925 qui
tente à garantir le statut quo sur le Rhin par la France, l'Allemagne, l'Italie, la Belgique et le Royaume-
Uni. Enfin on peut citer le pacte de Paris de 1928 qui interdit la guerre considérer comme hors la
loi. Ce pacte pose le principe de renonciation à la guerre sa signifie qu'il ne peut être reconnu
quand cas de légitime défense et contre tout État qui viole le pacte de la SDN. Le principale conflit
c'est qu'aucune sanction n'est envisagé par le traité.

PARAGRAPHE 2 : LA SECONDE GUERRE MONDIALE ET LA RECONSTRUCTION DE LA PAIX

A) Le développement du droit

Cette seconde guerre mondiale va entraîner l’émergence de deux phénomènes notable, on trouve
d'une part des règles coutumière c'est à dire des règles non écrites désormais sont écrits dans
les traités. Il y a trois conventions de Vienne, la convention de Vienne sur les relations diplomatiques
de 1931 , convention de Vienne sur les relations consulaires de 1933 et convention de Vienene sur le
droit des traités de 1969, la convention de Montego Bay sur le droit de la mer, coutume qui reprend
quatre conventions de 1958 qui portaient sur les espaces maritimes. C'est une convention qui font
l’objet d'une protection sur les grands fonds marins à la catégorie patrimoine commun de
l'humanité. Cette période est marqué par de nouveau convention lié aux progrès scientifiques et à
leurs conséquences. C'est le cas de la convention de 1972 sur la prévention de la pollution maritime
résultant de l’immersion des déchets, c'est aussi le cas du traité de Moscou de 1933 relative à
l'interdiction des essais nucléaire dans l'atmosphère, sur l'espace et sous l'eau. C'est une période qui
relève une construction.

B) Le développement des organisations internationales

On constate que les organisations internationales intergouvernementales se développent et on


trouve des organisations régionales qui réunissent les États d'une région. On peut citer trois
organisations régionales par exemple la ligue des États arabes en 1925, le conseil de l’Europe en
1949 et la ligue de l'unité africaine en 1963. En parallèle se développe des organisations spécifiques
l'ONU l'Organisation des Nations Unis en 1945 qui remplace la SDN et qui va être accompagné de
15 institutions spécialisés. Ces divers constructions vont avoir un fort impacte sur la société
internationale.

Section 4 : L'évolution de la société internationale

Le phénomène de reconstruction de l'Europe d'après guerre s'est accompagné d'une structure de


société internationale qui est devenue universelle.

PARAGRAPHE 1 : LES RIVALITES AMERICANO-SOVIETIQUE ET LES CONSEQUENCES AU PLAN


INTERNATIONAL

A) Dans le domaine économique et financier

La société internationale va se retrouver confronter à l'opposition entre le bloc de l'est et de l'ouest


et comme protagonistes principaux les États-Unis et l'URSS. Des deux cotés cette rivalité va faire
naître des organisations internationales et des structures, à l'ouest est crée le plan Marshall c'est un
plan d'aide économique initié par les États-Unis destiné à la reconstruction des États d'après guerre
et qui fut proposé à tous les États d’Europe. Et pour assurer la mise en œuvre du plan marshall est
organisé l'organisation européenne de coopération économique (l'OECE). Sous la pression de
l’URSS ce plan fut repoussé par les États de l'est de l’Europe. A l'est l'union soviétique met en place
une structure qu'on appelle le comecon et qui réuni les pays de l’Europe de l'est mais également
Cuba et le Vietnam. Ce comecon c'est un conseil d'assistance économique mutuelle qui a pour
principe la solidarité des pays de l'est, la libre circulation des marchandises et la conclusion
d'accord financier et monétaire. Ces structures disparaîtront sous l’effondrement du bloc
communisme.

B) Dans le domaine militaires

La rivalité s'exprime également dans le domaine militaire. Deux périodes vont se succédé dans un
premier temps cette rivalité ce concrétise avec la création de l'OTAN organisation de l'atlantique
nord et d'autre part du pacte de Varsovie qui vise à prêter un secours mutuel en cas d'agression
d'un des États signataire. Ce pacte finira par s’éteindre avec l'effondrement du bloc
communisme en 1991. Six de ses anciens membres vont rejoindre l'OTAN. Ces deux puissances
vont s'opposer pas directement mais via des conflits interposer comme par exemple la guerre de
Corée entre 1950 et 1953 ou encore la guerre du Vietnam entre 1964 et 1973. Dans un deuxième
temps cette rivalité va connaître une phase de coexistence pacifiques marqué par trois événements
historiques d'abord la mort de Staline en 1953 le second c'est l'entré des deux Allemagne à l'ONU
dès 1973 et enfin la fin de la guerre du Vietnam. Il en résulte de ces éventements que les deux
puissances vont marqué un déclin dans l'armement nucléaire autrement dit elle vont passer une
multitude d'accords pour limiter la prolifération de l'arsenal nucléaire et même à en détruire certain
pans. L'éclatement du bloc communisme va changer la donne désormais on souhaite que les
objectifs fixé par les traités s'impose à tous les États dans un but universelle. Mais en 2008 et en
raison de désaccord avec les pays de l'OTAN et du programme antimissile américains, la Russie
décide de suspendre l'application des traités sur l'armement nucléaire.

C) Du cas des pays en développement

Ces pays en développement vont aussi développaient de nombreux traités pour permettre en
commun leur objectifs et améliorer leur relation. On peut citer le mouvement des non-alignés qui
compte 118 États en 2009 et qui cherche à ce distinguer des deux blocs rivaux. On trouve le groupe
des 77 qui se crée en 1964 à l’occasion de la première conférence des nations Unis pour le
commerce et le développement. L'objectif est de s'attaquer au problème du sous-développement
d'adopter une position commune face au pays industrialisé. En 2011 ses structures rassemble 131
pays mais cette union s'est progressivement délité du fait du développement économique de
certains États industriel comme Singapour, le Brésil , le Vietnam.

PARAGRAPHE 2 : L'EFFONDREMENT DU BLOC SOVIÉTIQUE

La disparition brutale de l'URSS a été qualifié par Vladimir Poutine « de la plus grande catastrophe du
20ème siècle » auxquelles s'ajoute l'intervention des États-Unis en Irak.

A cette époque de l'effondrement du bloc communisme de nombreux changement s'opère on se


trouve face à un processus de reconstruction. Parallèlement le mur de Berlin s'effondre en 1989 et
l'Europe fait face à l'apparition de nouveau États souverains. Les questions juridiques tourne autour
de la délimitation des frontières ou encore la propriété des armements et ses questions elles seront
traités au cas par cas. La fédération de Russie crée la communauté des États indépendants en 1991
qui ce veut une organisation de coopération qui tente de sauvegarder des liens notamment
économique entre les États de l'ex URSS. Mais comme elle joue un rôle peu efficace, en 2000 ce crée
une nouvelle communauté l'Eurasec (communauté économique) et en 2002 se crée le traité de
sécurité collective. L'opposition est-ouest semble disparaître en théorie et c'est l'opposition nord-
sud qui ce renforce. Le critère c'est un critère économique donc c'est le niveau de développement
économique qui fera la différence.

PARAGRAPHE 3 : LA CONTESTATION DE L'ORDRE ECONOMIQUE

A) Une volonté de changement à la succession des crises

La fin des années des 60 va généré une crise de l'ordre international et qui touche le système
monétaire international. Ce qu'on appelle le volet financier qui avait été accordé par les accords
internationaux s'effondre sous l'effet de la crise. Le dollars américains et la livre Sterling étaient des
monnaies internationales. Le FMI est mis en place pour répondre aux problème du taux de change.
Dans le même sens de nouvelle mesure sont pensé le GAT c'est l'accord général douanier sur le
commerce crée en 1947. Ses mesures elles ont pour spécificité unilatéral et protectionniste contraire
au libre échange. On trouve l'OMC organisation mondiale du commerce elle prend la relève en
institutionnalisant ses conférences en 1994. En 2008 cette organisation compte 163 États membres.
Cette ordre économique se renforce davantage sous l'effet de deux nouvelles crises, crise
énergétique provoquer par deux chocs pétrolier et qui bouleverse l'ordre économique. Les crises
économiques et énergétiques conduise les États à considérer que la coopération entre tous les États
ce révèle indispensable.

B) La recherche d'un dialogue

On entre dans une phase de dialogue multilatérale entre tous les États au sein des organisations
internationales. C'est ainsi que ce développe les G7, G8, G20 réunion sur la scène internationale des
chefs d'états des plus puissants qui tentent de s'entendre sur les questions mondiales économiques
monétaires, les questions de terrorisme , de nouvelle technologique. Des réunions qui sont
institutionnalisé et médiatisé et qui crée parfois l'illusion que les règles politiques et juridiques offre
les moyens propices à la quasi-totalité des conflits internationaux. Le droit reste un instrument et
l'ordre mondiale la paix, l'équilibre, nécessite avant tout la bonne volonté des acteurs.

Partie 1 : Les institutions internationales

Chapitre 1 : La diversité des institutions internationales

On peut distinguer deux catégories d'acteurs de la société internationale d'un coté on trouve les
sujets de plein exercice ou à statut international complet que sont les États et les organisations
internationales intergouvernementales. On trouve de l'autre coté les sujets à capacité réduite ou
à statut international incomplet c'est le cas des personnes morales, des ONG organisations non
gouvernementale, des firmes multinationale et des personnes physiques. Jusqu’à la l’État avait le
monopole de la qualité de sujet de droit international public car se sont les États qui crée les
organisations internationales mais les organisations internationales intergouvernementales prennent
une place chaque fois plus important sur la scène international. Même si les organisations
internationales sont plus nombreuses que les États ses derniers restes les acteurs principaux de la
société internationale.
Section 1 : L’État

Historiquement l’État est le premier sujet de la société internationale , le nombre d’État depuis la fin
de la seconde guerre mondiale n'a cesser de croître. La nécessité de certains peuple de trouver une
indépendance qui leur permette de ce regrouper au sein d'un État c'est fait croissant. On le voit
encore aujourd'hui tels que les dirigeants de l’Écosse ou encore les catalans qui souhaitent leur
indépendance. Certains considère que l’État est en déclin et que sur certains sujets il n'est pas ou il
n'est plus un acteur pertinent notamment pour la préservation de l’environnement.

L’État dispose de deux aspects juridiques il a un statut nationale qui lui permet d'agir au sein de
l'ordre juridique interne et il a un statut international qui lui permet d'agir au niveau mondiale. Au
niveau interne l’État crée du droit il l'applique et même ce contraint à l’appliquer via la justice ce
qu'on appelle l’État de droit. Au niveau international l’État peut crée du droit mais pas tout seul en
crée avec d'autre acteur. Pour bénéficier de ces deux aspects juridiques , il faut que l’État soit
constitué.

PARAGRAPHE 1 : LES ELEMENTS CONSTITUTIF DE L'ETAT

En droit interne comme en droit international un État comprend deux éléments substantiels le
territoire et la population auxquelles s'ajoute un élément organique, un gouvernement effectif
auxquelles le droit international est indifférent.

A) Le territoire

L’État a besoin d'un espace géographique et juridique , le territoire est un élément essentielle , il
n'est pas uniforme on dénombre trois espaces distinct l'espace terrestre, l'espace aérien et espace
maritime.

1) Le territoire terrestre

Le territoire est un élément constitutif d'un État quelque soit sa superficie. C'est essentiel même
pour les micro États tels que Nauru qui s’étend sur 20km², le Vatican ou pour les immense États le
Canada, les États-Unis. La superficie n'a pas d'importance, l'importance c'est avoir un territoire
terrestre. Ce territoire peut être continu ou discontinu c'est à dire il peut être diviser ou fraction en
plusieurs parties distinct. La perte d'une parte du territoire par session , par échange , par annexion
ne met pas fin à l'existence de l’État tant qu'il en conserve une partie, l’État ne disparaît pas. Le
territoire terrestre est parfois préciser par l'ordre juridique nationale il arrive que certain état juge
opportun de consacré dans la constitution quel est le territoire constitutif de l’État. Le territoire d'un
État nécessite qu'il soit délimité par des frontières.

2) Les frontières

Une frontière est la ligne légal qui marque la limite du territoire et le sépare soit d'un État soit
d'un espace international. Il arrive souvent que ses frontières soit naturelle une montagne, un
fleuve, par exemple ou encore artificiel. La fixation de la frontière est une opération juridique. On
délimite par accords entre les États concernés la démarcation du terrain avec la signature d'un traité.
Le traité lui même fera l'objet d'une ratification par les États signataires. C'est la compétence de la
cour international de justice de régler les conflits entre États sur la question des frontières. Les
conflits frontalier reste nombreux dans le meilleur des cas ils sont résolue par voie juridictionnelle
dans le pire des cas il font l'objet d'un affrontement armée. En 2012 la France et la principauté
d’Andorre en conclu un accord de leur délimitation de leur frontière. Il peut arrivé que la
modification naturelle du territoire et des lignes de frontières provoque des conflits entre États
concerné c'est notamment le cas de l'ex union soviétique et la Chine lorsque l'un des fleuves
séparant les deux États à changer sa destination et a générer un conflit entre les deux États.

3) Le territoire aérien et le territoire maritime

Le territoire maritime est constitué de l'ensemble des espaces maritimes sur lequel s'exerce la
compétence exclusive de l’État côtier. La convention de Montego Bey signé en 1982 sur le droit de
la mer précise la largeur de la mer territoriale est de 12000 marins suivant le tracé des cotes. C'est
une prolongation terrestre de l’État. Sur cette espace on considère un droit de passage des navires
étranger à condition qu'il n'y ai pas d'activité qui porte atteinte à la paix , au bon ordre et à la
sécurité de l’État côtier. Des zones maritimes sur laquelle l’État peut avoir des droits et des pouvoirs
particulier. C'est le cas des zones contiguë qui complète la mer territoriale. Cette zone elle s'étend
de 12 jusqu'à 24 000 marins et l’État est en droit de contrôler ou de réprimer sur cette zone toute
infraction en matière douanière, fiscale, sanitaire ou d’immigration.

On trouve une zone économique exclusive qui va jusqu'à 200 000 marins depuis la cote c’est une
zone dans laquelle l’État peut exploiter à titre exclusive les ressources économique, la pèche et le
sous-sol. C'est une zone où l’État n'a pas tous les pouvoirs mais il ne possède pas l'entièreté de sa
souveraineté sur cette zone économique exclusive. Au delà des 200 000 marins on peut trouver la
plate-forme continentale ou palot-continental se sont les fond marins et des sous sol qui constitue le
prolongement naturel terrestre de l’État quand les eaux atteigne moins de 200 000 mètre de
profondeur. Conformément à l'article 76 de la convention de Montego Bey sur le droit de la mer
l’État conserve sur cette zone le droit d'exploiter le fond marin, les ressources et le sous-sol. Au delà
de ce plateau-continental il y a eaux international on est dans le cas du droit international.

Territoire aérien

Contrairement au droit de la mer, le droit aérien est né tardivement puisqu'il a été reconnu qu'au
début du 20e siècle. Cette espace il intègre l'espace atmosphérique qui surplombe l'espace
terrestre et la mer territoriale. En revanche il n'intègre pas extra atmosphérique qui relève du
droit international. Su ce territoire aérien l’État exerce sa pleine et entière souveraineté, il peut en
réglemente l'accès et il peut en interdire le sur vol. Il y a plusieurs convention qui réglemente la
convention de Chicago de 1964 elle règlement l'utilisation commercial de l'espace aérien et elle
crée l'organisation de l'aviation civile international. De manière général lorsque les transporteurs de
l'espace aérien, le sur-vol de cette zone est autorisé de manière systématique. Un État peut interdire
le sur-vol pour des raisons militaires, pour des raisons stratégiques, pour des raisons lié à la situation
international. Dans ce cas il y a pleine exercice de la souveraineté de l’État qui peut décidé de
manière discrétionnaire d'interdire le sur-vol pour tous les appareilles provenant d'un État avec
lequel il est en conflit. L'espace extra-atmosphérique n'est pas compris dans la zone territoriale de
l’État. C'est le droit de l'espace s'applique les règles posé valent pour le cosmos et pour les corps
céleste, on le retrouve patrimoine commun de l'humanité. C'est une Zone essentiellement
réglementer par le traité spatial de 1967 rédiger dans le cadre de l'ONU. Dans ce traité on y aborde
les télécommunication par satellite, la circulation des engins spatiaux comme les fusée, l'observation
militaire géographique et météorologique mais aussi l’exploration du système solaire comme les
atterrissage sur la lune et les règles relative à l’organisation spatial international. Ses règles vise à
assurer que l'exploration de l'espace s'effectue à des fins pacifique et scientifique. Ses règles rappel
l'impossibilité d'exercer une quelconque souveraineté dans cette espace.

B- La population

Il n'y a pas d’État sur un territoire sans population et une règle de droit ne peut s'appliquer sans sujet
de droit. Peu importe le nombre de la population l’État vise à institutionnalisé le pouvoir qui s'exerce
sur la population qu'on divise en deux catégories de personnes les nationaux et les étrangers
sachant que les deux catégories sont soumise a l’autorité étatique. Sur les nationaux l’État exerce une
compétence personnelle, l’État protège ces nationaux ou qu'il se trouve y compris lorsqu'il se trouve
à l'étranger. En cas de conflit à l'étranger la protection diplomatique permet aux nationaux de
regagner le territoire nationale. Par ailleurs les citoyens nationaux participent directement ou par
l’intermédiaire de leur représentants des règles de droits nationale .

Pour les étrangers il ne sont pas membre de la communauté politique nationale et en ce sens il ne
participe pas à l'exercice de la souveraineté nationale. En revanche ils disposent d'un statut
généralement garantis par la constitution nationale et ils auraient un certains nombre de droit
fondamentaux y compris des droits politiques. D'ailleurs dans beaucoup d’État s'est développé une
citoyenneté local qui est accordé aux étrangers résidant sur le territoire, ils peuvent voter à certaine
élections locales.

Cette distinction entre nationaux et étranger fait référence au droit de la nationalité laquelle présente
deux aspects, un aspect interne et un aspect international. Du point de vue interne et cela relève
de la souveraineté, l’État détermine librement les conditions d'acquisitions d’attribution de la
nationalité. Il existe deux grands systèmes d'attribution originaire de la nationalité, le premier c'est
celui de la filiation et la deuxième c'est le lieu de naissance (lorsqu'on né sur le territoire nationale)
le lieu de naissance détermine la nationalité. Généralement les deux systèmes se combine, il est rare
qu'un État pratique l'un des deux. A cela s'ajoute d'autre règle d'acquisition de nationalité car celle ci
peu s’acquérir par naturalisation, par adoption ou mariage. Elle peut aussi ce perdre c'est ce qu'on
appelle la déchéance de nationalité mais aussi sa peut être le fait d’acquisition d'une autre
nationalité dans ce cas l’attribution de cette nationalité peut faire perdre la première. Pour éviter la
perte de la nationalité la déclaration universelle des droits de l'homme dans son article 15
proclame que : «nul ne peut être privé arbitrairement de sa nationalité ». Ses règles relative à la perte
de la nationalité génère parfois ce qu'on appelle un conflit négative entre États qui ce relève lorsque
une personne ne possède aucune nationalité c'est ce qu'on appelle un apatride. Et qui se retrouve
dans une situation de fragilité car il ne sont protégé par aucun État. En général les États vont
conclure des conventions bilatéraux pour pallier ce problème. La convention de New-York vise à
réduire les cas d’apatridie.

C- Le gouvernement effectif

C'est une condition essentiel à l'existence de l’État, il n'y a pas d’État sans autorité juridique sur la
collectivité. Le gouvernement constitue la forme juridique du pouvoir politique et en ce sens le
gouvernement comprend l’organe gouvernementale au sens stricte mais aussi toute les structures
administratives auxquelles s'ajoute l'ordre juridique. Au regard du droit international deux conditions
doivent être remplie l'autorité doit être exclusive et effective. Exclusive il y a qu'un seul
gouvernement de l’État c'est à dire que le gouvernement de l’État doit être réellement apte à exercer
les compétences nationales. Ce gouvernement doit avoir la maîtrise du droit sur son territoire. De
la même manière l'interprétation officiel des règles juridiques doit être assurer par les instances de
l’État et enfin l’État doit avoir l’exclusivité de la contrainte pour imposer le respect du droit.

L'autorité doit être effective un État doit pouvoir assurer l'indépendance de son territoire. Son
autorité est effective dans le sens que l’État ne se trouve pas dans la domination d'un autre État. Le
droit international reconnaît son existence, le droit international est satisfait. La chose qui intéresse le
droit international c'est de constater qu'il y a bien un gouvernement avec une autorité exclusive et
effective. Le droit international est indifférent aux forme de l’État c'est le principe de l'autonomie
constitutionnelle qui a été rappeler par la cour international de justice dans un avis de 1971 :
«Aucune règle de droit international n'exige que l’État est une structure déterminé ».

PARAGRAPHE 2 : LA RECONNAISSANCE DE L'ETAT

Les conditions énuméré doivent être satisfait pour qu'un État soit reconnue. La reconnaissance de
l’État viennent s'ajouter à ses critères mais cette reconnaissance n'est pas une condition d'existence
de l’État.

A- Un acte discrétionnaire

La reconnaissance d’État est un acte unilatéral discrétionnaire est essentiellement politique.


Autrement dit même si les éléments constitutifs de la formation de l’État sont réunie et même si
l’État existe les autres États sont libres de le reconnaître ou non. Il y a aucune obligation de
reconnaissance d'un État. Par ailleurs il n'existe pas de procédure spécifique pour reconnaître un État.
Généralement c'est un acte individuel autrement dit chaque État reconnaît seul l'existence d'un
autre État. Toutefois les organisations international puissent intervenir pour que la reconnaissance ce
produise de manière simultané. Autrement sa reste un acte individuel. L'ONU et la cour international
de justice ont toute les deux estimé que la reconnaissance n'a pas lieu d’être lorsque l'acquisition
territorial est obtenue par l'emploi de la force.

B-Les caractères de la reconnaissance

La reconnaissance d'un État à une porté purement déclarative l’État existe même si il n'est pas
reconnue,la reconnaissance n'est pas une condition de son existence. Cela étant l’État à besoin d’être
reconnue pour nouer des relations au sein de la société internationale. Cette reconnaissance elle
peut être express dans ce cas là elle repend l'aspect d'un acte solennel quel qu'en soit la forme sa
peut être un acte tacite ou implicite autrement dit l'État agis comme si l'avait officiellement
reconnu l'autre État par exemple en établissant des relations commerciales ou diplomatiques.

PARAGRAPHE 3 : LA SOUVERAINETE DE L'ETAT

A- Les caractères de la souveraineté

La souveraineté c'est le principe selon laquelle l’État n'est soumis à aucune autorité supérieur.
Traditionnellement cette souveraineté à deux facette une souveraineté interne qui s'exerce sur le
territoire nationale et sur la population de ce territoire et une souveraineté externe qui se manifeste
par la capacité d'agir exclusivement au nom de l’État au niveau international et la capacité de réagir
en cas d'agression extérieur ou en cas d'imposition d'une volonté externe qui provient d'un État tiers
ou d'une organisation internationale. De manière synthétique on considère que la souveraineté est
un pouvoir de droit, originaire puisqu'il né de la création d'un État il provient de la création même
d'un État et c'est un pouvoir suprême.

B- Les conséquences de la souveraineté

La plénitude de compétence, l’État à la compétence de sa compétence donc il décide de l'étendue


de ses prérogatives sur son territoire et des limites qu'il va y accepter.

L’autonomie de la compétence, les autorités de l’État ne peuvent pas être soumise à directives ou à
des ordres qui proviennent d’autorité extérieur. Si l’État accepte ses directives ou ses ordres c'est un
acte de souveraineté il y consente. Cette autonomie est lié au principe d'égalité des États qui est
rappelé dans la charte des nations unis dans son article 2 paragraphe 1. Les États-Unis ce trouve
au même pied d'égalité que le Vatican. Le corollaire de ce principe est celui de la non intervention
dans les affaires intérieur d'un autre État qu'on appelle aussi le principe de non ingérence consacré à
article 2 paragraphe 7 de la charte des nations Unis.

L'exclusivité de la compétence seul les autorités nationales peuvent engager l’État pour exercer au
plan international les compétences qui lui sont reconnue. L’État à sur son territoire le monopole de la
législation, de la contrainte et de la juridiction. Il dispose de ce qu'on appelle un domaine réserver,
un domaine dans lequel les organisations international ou les autres États ne peuvent pas s’immiscer.
C'est un domaine consacré à l'article 2 paragraphe 7 de la charte des Nations Unis.

Comment comprendre que l’État soit soumis à des obligations juridique ?


Comment comprendre que l’État soit condamner pour ne pas avoir respecter certaine règles
juridiques ?

Juridiquement l’État est seul compétent pour accepter les limitations de sa souveraineté. Ses
limites découle de la conclusion volontaire par l’État de traité internationaux c'est un acte de
limitation de la souveraineté nationale. L’État reste une personne morale qui peut renoncer librement
à certaine de ses compétences souveraine. Par exemple les États de l'union européenne membre de
la zone euro on longtemps disposer d'une politique monétaire et de la capacité de battre monnaie
(de crée une monnaie). En France le monnaie était le franc, en Allemagne le deucht marc. Par le traité
de Maastricht de 1992 les États on librement renoncer à ce pouvoir, ils ont transféré l’exercice de
cette compétence au institutions de la zone euro. Si un État se voit imposer une règle externe c'est
une violation de la souveraineté sauf si il y consente.

Section 2 : Les organisations internationales

Les États sont certes à l’origine des institutions internationales mais depuis le 19e siècle ils sont
concurrencé par les organisations intergouvernementales. Le nombre d'organisation internationale
est supérieur au nombre d’état dans le monde. Ce qu'on appelle les organisations
intergouvernementales (OIG) c'est une association de plusieurs États constitué par un traité
international doté de règles de fonctionnement interne, organe commun et qui possède une
personnalité juridique distinct de celle des États membres.
PARAGRAPHE 1 : UNE ORGANISATION A VOCATION UNIVERSELLE : L'ONU

L'ONU elle a été crée en 1945 et elle tire les leçons de l’échec de la société des nations qui est une
organisation non universelle dépourvu de moyen de contrainte. Ses créateurs, ses fondateurs lui ont
alloués des objectifs parfaitement ambitieux à savoir la paix et la sécurité internationale. Le
problème réside sur le faite qu'il est difficile d'attendre les objectifs fixé lorsqu'on appelle les moyens
de ses ambitieux c'est à dire lorsque attendre l'objectif ne repose que sur la volonté des États.

A- Les objectifs de son action

L'ONU l'organisation des nations unis a été dès son origine conçut comme une entité à vocation
universelle. L'objectif est que chaque État ratifie le traité fondateur. Elle a été crée au lendemain de
la seconde guerre mondiale par les grandes puissances victorieuse et elle est régis par la charte de
1955 des 50 États. L'ONU est chargé d'abord d'organisé la collaboration entre les États à travers la
création de conventions internationales et à travers l'adoption de résolution (qui sont des actes
juridiques) destiné à nourrir le droit international.

L'ONU est chargé d'agir dans différent domaines d'actions qui concerne notamment le maintien
de la paix, la sécurité internationale, le désarmement, la préservation de l’environnement, la défense
des droits de l'homme, l'aide au développement etc. Pendant longtemps l'ONU après les
décolonisations a cherché un rôle de médiateur international en particulier dans le cadre de conflits
régionaux. Et en dépit des échecs avéré et d'une forme d'impuissance politique cette organisation à
impulsé de très nombreuses enjeux diplomatique au profit de la paix dans le monde, de la
démocratisation et d'un cadre institutionnelle stable. Ce sont surtout des questions tel que cela
qu'elle fait face aux enjeux géopolitiques l'ONU pourrait affirmer une position forte si elle parvenait à
consolider sa gouvernance interne. Il faut noter que les moyens économiques de l'ONU reste limiter,
elle dispose d'un budget biennal (deux ans), de plusieurs milliards de dollars financé très
majoritairement par quelque États dont les États-Unis, le Japon, l'Allemagne, la France, le Royaume-
Uni, l'Italie, le Canada mais aussi l'union européenne mais elle fait face à un budget chronique qui est
dû à certains États contributeurs (État qui s’était engagé à financer l'ONU) cumule des arriérés et
c'est notamment le cas des États-Unis.

B- Organe et fonction

1) Les organes intergouvernementaux

A) l'assemblée général

Tous les États membres de l'ONU siègent à l’assemblée général et de ce fait participe à la prise de
décision suivant le principe un État égal une voix. Chaque État détient une souveraineté donc
suivant ce plan tous les États sont égaux et donc chaque État détient une voix. Cette assemblée elle
se réuni en session ordinaire de Septembre à décembre et éventuellement en session
extraordinaire. Comme dans tout assemblée le travail effective est réalisé en commission qui
prépare en amont le projet, la résolution qui sera transmise à cette assemblée plénière afin qu'elle
soit débattue, voté et adopté. En général l'adoption de la résolution cherche à être adopté par
consensus. Il arrive parfois que le consensus ne parvienne pas à être trouvé sur les questions
secondaire l'assemblée devra opéré par vote et c'est la majorité simple des membres présent qui est
recherché majorité qualifié ou renforcé des deux tiers des membres présent pour des questions
important comme l’admission d'un nouvelle État, l’élection du secrétaire générale de l'ONU ou
encore sur les questions de maintient de la paix. Les décisions interne notamment budgétaire vont
lié les États puisqu'elle font partie de la fondation alors que les décisions à porté général n’ont pas
de force obligatoire.

b) Le conseil de sécurité

Quel est sa composition ?

Le conseil de sécurité est composé de 15 membres dont 5 permanents. Il y a eu une révision de la


charte pour réviser le nombre de membre en 1963 il ne comprenait que 6 membres non permanents
alors qu'aujourd'hui il y a 10 membres non permanents et 5 permanents. Les 10 membres non
permanents ils sont élus par l'assemblée général pour 2 ans renouvelé chaque année par moitié et
ils sont choisis d'abord en fonction de leur contribution pour la paix et de la sécurité
internationale ainsi qu'en fonction des autres objectifs de l'ONU. Ils sont choisi en fonction d'un
critère celui de la répartition géographique équitable sa signifie qu'on souhaite maintenir un
équilibre des divers zones géographiques à savoir l’Afrique, l'Asie, l'Europe oriental, l’Amérique latine
et les caraïbes et enfin l'Europe occidental et autres États.

Les 5 membres permanents sont désigné par la charte. Ces 5 membres sont doté d'un droit de veto
il s'agit de la France, le Royaume unis, les États-Unis, la Chine et enfin la Russie. La présidence
de ce conseil de sécurité est assuré par chacun des membres qu'il soit permanent, non permanents à
tour de rôle pendant 1 mois. Ce qui permet d'éviter que le conseil ne soit victime de l'influence d'une
puissance particulière.

Quel est son rôle ?

C'est un organe permanent, sa signifie tel qu'il est inscrit dans l’article 28 de la charte ce conseil est
organisé de manière à pouvoir exercer ses fonctions en permanence. Le conseil à vocation à géré les
crises internationales et c'est pour la raison pour laquelle il doit être en mesure de siégé chaque fois
que la paix est menacé d’où sa permanence. Chaque État membre du conseil doit disposer d'un
représentant permanent au siège de l'organisation à New York. Le conseil de sécurité c'est le seul
organe des Nations Unis à avoir un caractère permanent. Il est l'organe exécutif des Nation Unis, la
particularité de cette organe il peut adopté des décisions qu'on appelle résolution et qui sont des
textes qui ont valeur juridique contraignante contrairement au résolution adopté par l'assemblée
général de l'ONU.

C'est le seul organe des Nations Unis qui prennent des décisions obligatoire pour tous les membres
de l'organisation. En cas de conflit entre deux États ce conseil de sécurité peut recommander des
modes de solutions pacifiques qui sont visé par le chapitre 6 de la charte. Si le conflit est plus
important le conseil de sécurité peut prendre des sanctions économique et mettre en œuvre des
solutions militaire en vertu du chapitre 7. Ce conseil est saisis par un État membre mais aussi par un
État non membre de l'ONU.

En cas de menace contre la paix ou en cas d'agression avéré, il a une fonction de police international,
il peut prendre des mesures non militaire en vertu de l'article 41 sous la forme complète ou partiel
des relations économiques avec l’État en cause, des communications ferroviaires, maritimes,
aérienne, postale, télégraphique, radio électrique et tout autre moyen de communication ainsi que la
rupture des relations diplomatiques. Si la mise en œuvre de l'article 41 n'est pas suffisant c'est
l'article 42 qui sera opérant dans ce cas le conseil de sécurité peut entreprendre par le moyens de
force aérienne, navale ou terrestre il peut prendre tout action qu'il juge nécessaire au maintient ou
au rétablissement de la paix et de la sécurité internationale.

Le conseil va élaborer avec l'aide du comité d’État major les plans pour l'emploi de la force armée.
Cela signifie que la force armée des États membre de l'ONU doit être rendu possible et exploitable
par la mise à disposition des contingents nationaux et aussi d'accorder un droit de passage au force
militaire commandé par le conseil de sécurité. Il y a eu plusieurs résolutions qui ont été voté depuis
sa création, l'efficacité de ses sanctions est parfois discutable se sont pour la plupart des résolutions
d’asphyxie économique, d’embargo, restrictions dans la livraison d'armes à l'encontre d'un État jugé
défaillants.

Comment est adopté une résolution ?

Pour la prise de décision, il faut distinguer deux situations : pour les résolutions qui porte sur des
questions de procédure c'est la majorité affirmative des 9/15.
Deuxième situation les décisions majeurs, elles sont prises par un vote toujours d'un vote de 9/15
sauf que la résolution ne peut être adopté si elle ne parvient pas à recueillir l'accord de tous les
membres permanents du conseil de sécurité. Même si la résolution obtient 9 voix favorables mais
qu'un membre permanent du conseil vote contre la résolution ne peut pas être adopté. Dans cette
hypothèse un membre permanents s'oppose donc il pose son veto.

En septembre 2022, le conseil de sécurité a dû se prononcer sur l'adoption d'une résolution qui
condamne l'annexion de 4 régions d'Ukraine par la Russie, cette résolution condamne ses
référendums qui ont été jugé illégaux. Cette résolution a recueilli 10 voix sur 15, 4 pays se sont
abstenu la chine ,l'Inde, le Brésil et le Gabon. Et la Russie a posé son veto pour empêcher cette
résolution. Cette résolution n'a pas été adopté, le texte est envoyé à l'assemblée général de l'ONU où
tous les membres de l'ONU donc 193 États on une voix ils doivent se prononcer, l'impact est
différent puisque les résolutions adopté par l'assemblée général n'ont pas de valeur contraignante.
Le but est d'évaluer le degrés de soutient ou d’isolement de la Russie, le vote à un poids
diplomatique que juridique. Durant cette période il y a 3 résolutions , la première a eu lieu le 2 mars
vote qualifié d’historique puisque 141 pays condamne l'invasion de l’Ukraine 5 États en faveur de la
Russie c'est la Russie , la Syrie, la Biélorussie , l’Érythrée, la Corée du Nord et 35 abstentions.
Deuxième vote de résolution l'assemblée général se prononce pour un accès humanitaire sans
entrave et la protection des civiles et on a les mêmes majorité 141 pays pour, 5 contre et 38
abstentions. Troisième résolution le 7 avril le sujet portait sur la suspension de la Russie du conseil
des droits de l’homme de l'ONU, 93 pays soutiennent la résolution, 24 s'y oppose et 58 s'abstienne.

Les critiques contre le fonctionnement de ce conseil de sécurité

D'abord la primauté reconnu au membre permanent, cette primauté va à l'encontre du principe de


l'égalité des États qui est consacré par la charte. Les auteurs de la Charte préféraient l'inaction de
l'organisation ou la non responsabilité dans une crise, à une action qui sera susceptible de mettre
l'ONU en conflit avec l'un des 5 membres permanents. En 1994 un groupe de travail a été chargé par
l'assemblée général d'étudier la représentation équitable au conseil de sécurité. Ce groupe de travail
dans son rapport a relevé qu'une opposition très répandu suivant laquelle le droit de veto est perçut
comme anti-démocratique il doit être soit limité à des sujets particuliers soit subordonné par sa
validité à deux voix négatives.

Le conseil de sécurité est contesté par les nouvelles puissance qui désir modifié la composition du
conseil et qui on proposé des projets de réforme l’idée serait d'élargir ce conseil de sécurité à 24 voir
à 25 États avec des membres permanents ou semie permanent le groupe des 4 à savoir le Brésil,
l'Allemagne, l'Inde et le Japon qui ont pris une initiative en ce sens, comme il s'agit de la question de
la composition qui est une question majeur elle requière l'accord unanime des 5 membres
permanents du conseil de sécurité qui ne sont pas favorable de partager leurs privilèges avec
d'autres États. Et ce conseil est critiqué pour son manque d'équité notamment pour des différences
de traitement à des situations similaires. Le manque d'efficacité ou d'une impuissance de cette
structure est dû à un désintérêt de ses membres les plus imminents.

2) Les organes intégré de l'ONU

La charte de l'ONU à installer différent organes

a) Le secrétaire général

En vertu de la charte le secrétaire général dirige le secrétariat de l'ONU, il est nommé sous
proposition du conseil de sécurité approuvé par un vote de l'assemblée général. Les membres
permanents peuvent utiliser leur droit de veto pour empêcher la nomination d'un candidat. La durée
de son mandat est de 5 ans renouvelable, la charte n'a pas indiqué de limite au nombre de
renouvellement. Tous les secrétaires généraux on fait de 2 mandats c'est à dire 10 ans. Le secrétaire
général doit être indépendant est c'est pour la raison pour laquelle suivant la pratique la nationalité
du secrétaire général ne peut être celle d'un des États membre permanent au conseil de sécurité. Il
rempli des fonctions de représentation, politique et diplomatique et en ce sens il doit mettre en
œuvre les moyens pour empêcher l'apparition ou l’aggravation d'un conflit menaçant la paix ou
le respect du droit international. Enfin ce secrétaire général met en œuvre les décisions de l'ONU
et il dispose d'un pouvoir d'initiative personnelle dans le cadre de la fixation de l'ordre du jour
médiation et aussi interprétation de la charte.

b) La cour international de justice

Cette cour c'est l’organe judiciaire principal des Nations Unis, son siège est au Pays-Bas à la Haye.
Cette cour est composé de 15 juges élus conjointement par l'assemblée général et par le conseil
de sécurité. Pour être élu un candidat doit obtenir la majorité absolue (50% + une voix) dans ces
deux organes. Les juges sont renouvelés par tiers pour assurer une continuité de la jurisprudence.
Ces juges sont élus selon certains critère d'abord un critère de compétence se sont des juges qui on
une expérience notable dans leur domaine c'est à dire qu'ils ont été juge dans leur État respective ,
ils on exercer une compétence politique comme ministre de la justice, parler plusieurs langue ou
encore juge dans d'autre structure international. Critère de représentation des courants juridiques
sa signifie que toute les formes d'idéologie juridique doivent être représenter dans cette cour
international de justice. Enfin le critère de représentation géographique sa signifie que nous avons
3 juges originaire d’Afrique, deux d’Amérique latine, 5 d’Europe occidental et d’Amérique du nord,
deux d’Europe oriental et trois d'Asie. La cour ne peut intégré un juge issus d'un même État. En
revanche une partie peut choisir exceptionnellement un juge supplémentaire un juge ad Hoc quand
l'autre à l'affaire compte un juge de sa nationalité au sein de la cour pour garantir les équilibre dans
les prises de décision.

Cette cour remplie une double fonctions, une fonction contentieuse et une fonction consultative.
La fonction consultative elle consiste pour la cour international de justice à dire le sens du droit
dans une situation spécifique, le sens de certain article de la charte dans une situation spécifique. Elle
répond à cette fonction consultative sur saisine (saisis) des organes intergouvernementaux de
l'ONU et des institutions spécialisés. Elle permet d’éclairer le sens de la charte.

La fonction contentieuse consiste à trancher les litiges donc à rendre des arrêts sur la base du droit
international. Autrement dit de sanctionner un comportement étatique commandable. La cour
international de justice est compétent pour traiter les litiges entre États contrairement à la cour
pénal international. Et les États sont les seuls qui sont habiliter à ce présenter devant elle pour juger
un contentieux. Un État peut contester une action d'un autre État qui va à l'encontre du droit
international. La cour international de justice est souvent qualifier de cour mondiale. En raison de la
souveraineté des États, la compétence de la cour international de justice est strictement limiter par le
consentement des parties (des États) à ce que le litige soit trancher par elle. Donc la cour ne peut
juger les États que si ils ont accepter sa juridiction ce qu'on appelle d'une clauses facultatives de
compétence. Si il accepte sa juridiction les arrêts de la cour auront force obligatoire. Sa signifie que
l’arrêt rendu par la cour bénéfice de l'autorité de la chose jugé on ne peut pas revenir en arrière. En
revanche si un État condamné par la cour refuse d’exécuter l’arrêt, la cour ne dispose pas
d’instrument de contrainte.

Le 26 février dernier l'Ukraine a introduit une instance contre la Russie devant la cour international de
justice et à cette occasion la cour a pris des mesures conservatoire pour éviter un préjudice
irréparable le temps que la cour se prononce sur le fond de l'affaire. Le but d'une mesure
conservatoire pour le juge dans le cadre d'une procédure juridictionnelle, le juge va préserver le droit
des parties face au risque d'un dommage imminent et irréparable et ceci pour garder l'effet utile de
la décision judiciaire qui devra intervenir plus tard. Ni la Russie ni l'Ukraine n’a reconnu la
compétence de la cour international de justice. Malgré tout, la cour peut se prononcer puisque
l'Ukraine a choisi sur le terrain de ce qu'on appelle des clauses compromissoire c'est une clause
prévu dans un traité qui permet le recours à un règlement judiciaire pour les litiges qui concerne
l'interprétation ou l'application du traité, il se trouve compromissoire elle figure dans plusieurs traité
invoqué par l’Ukraine. Ce traité c'est la convention des Nation Unis contre le génocide. Sur le
fondement de cette base juridique le 16 mars la cour international de justice a ordonné à la Russie
l’arrêt de l'invasion de la Russie en Ukraine. La Russie réfute la compétence de la cour sur ce litige en
affirmant que celui-ci ne relève pas du champs d'application de la convention sur le génocide.
c) La cour pénal international

C'est une juridiction pénal à vocation universelle crée en 1998 et dont le siège se trouve à la Haye
au Pays-Bas. La cour est composé de juge est d'un procureur qui sont élus par les États qui ont ratifié
sont statut. La durée du mandat est de 9 ans non renouvelable et les juges sont choisi parmi des
personnalités jouissant d'une haute considération morale connu pour leur impartialité et leur
intégrité et réunissant les conditions requis dans leur État respective pour l'exercice des plus hautes
fonctions judiciaires. Chaque État va déterminer les critères pour nommer un juge à la cour pénal
international. Se sont des magistrats de carrières professeur de droit, avocat juge et parfois une
expérience professionnel dans une structure international.

Cette cour est chargé de jugé les personnes accusé de génocide, de crime contre l'humanité, de
crime d'agression et de crime de guerre et se sont les personnes physiques qui sont jugés. Il y a 32
États dont la Russie et les États-Unis qui ont signé le statut de Rome mais ne l'ont pas ratifié.
D'autre comme la Chine et l'Inde n'ont même pas signé le statut. Si le statut n'est pas ratifié il n'est
pas compétent. Chaque État doit en principe soumettre à cette juridiction les responsables des
crimes internationaux justiciable devant la cour. Lorsqu'on parle de ses responsables on fait référence
autant à ses auteurs de ses crimes qu'aux complices de ses crimes et aux incitateurs de ses crimes. La
cour exerce sa compétence d'abord si la personne accusé est un national d'un État membre ensuite
si le crime supposer est commis sur le territoire d'un État membre, si l'affaire est transmise par le
conseil de sécurité des Nations Unis. La cour à une compétence subsidiaire ce qui signifie qu'elle ne
peut exercer sa compétence que lorsque les juridictions nationales n'ont pas la volonté ou la
capacité pour juger des crimes internationaux. Autrement dit la cour n'intervient qu'en ultime recours
lorsque les systèmes interne ce révèle défaillants donc compétence subsidiaire.

Le procureur de la cour peut décider de lui même d'ouvrir une enquête et de mener des
investigations. Dans la situation actuelle ni la Russie ni l'Ukraine ne sont opposé au statut de Rome.
Un État tiers (un autre État) sur le fondement de l'article 12 du statut peut consentir à ce que la cour
exerce sa compétence dans une situation qui le concerne. Le bureau du procureur de la cour pénal
international décide des charges qu'il compte poursuivre ce qui sont visé par des actes d'accusation.

3) Des institutions spécialisé et des organes subsidiaires

Ils sont crée pour certains avant l'ONU et ses institutions ont vocation à faciliter les relations
interétatique. On en compte 16 elles sont établis par le traité et elles sont autonomes tout en étant
lié à l'ONU par le biais d'une convention bilatéral. On peut citer l'UNESCO, l'OMS, le FMI et l'OMC.
L'assemblée général et le conseil de sécurité parfois le conseil économique et sociale ont institué des
organes subsidiaires dont l’UNICEF.

C) Le rôle de ses structures dans les relations internationales


Le rôle de l'ONU a été source de controverse, la question est de savoir si cette organisation dispose
des moyens d'intervention suffisant et efficace.

Quel est la capacité de l'ONU sur le plan de la diplomatie international ?

En dépit des critiques l'ONU a participer aux débats qui touches aux grandes questions planétaire
contemporaine, c'est une structure qui crée du droit notamment à travers ces organes, elle prend
position et elle fait émerger le point de vue de la communauté international. Les critiques autour de
l'ONU depuis les années 90 elle tente de trouver d'autre moyen d'action et tente de réformer sont
fonctionnement institutionnelle. Plusieurs pistes ont été envisagé, l'élargissement du conseil de
sécurité et la disparition du veto des membres permanents. Autres pistes la réécriture de charte
fondatrice pour permettre d'introduire de nouveau objectifs qui pourrait faire écho aux nouvelles
préoccupations mondiales. A l'heure actuelle ses tentatives n'ont pas aboutie mais pour autant l'ONU
demeure une organisation incontournable.

On trouve aussi des organisations internationales sectorielle

PARAGRAPHE 2 : DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES SECTORIELLE

A) Le fond monétaire international

Le FMI est une structure international qui est crée en 1945. Dès l'origine l'objectif de cette
organisation c'est consolider le système monétaire international en particulier en assurant la
convertibilité des monnaies. Ce fond international il est crée après la seconde guerre mondiale pour
faire écho aux règles de Bretonwon l'idée est d'aider les États à respecter un régime de change fixe
et à surmonter les potentiels déséquilibre de la balance des paiements. Dans les année 70 ce qu'on
appelle le système des parités fixe est interrompu du fait de la mondialisation et de l’éclatement du
bloc soviétique. La dernière crise économique à donner lieu à des aides et à affirmer sa position par
le biais de ses deux organes à savoir le conseil des gouverneurs et le conseil d'administration
restreint. Le conseil des gouverneurs permet à chaque État membre d’être représenter. Le conseil
d'administration restreint vise à assurer la gestion de l'institution et il est composé d'une vingtaine
de membre dirigé par un directeur général. Le directeur général est désigné par le conseil
d'administration pour une durée de 5 ans. C'est le responsable du fond monétaire international. Le
système du FMI est classique puisque la plupart des décisions sont prise à l'unanimité sauf que les
voix des membres sont pondérés (elle n’ont pas le même poids) au regard de la cote part de la
capital souscrit par chacun d'entre eux. Donc le poids de chaque État diffère en fonction de son
poids au capital. Ce FMI il reçoit des apports de la part des États membres auxquelles s’ajoute des
empreints qui sont contracté auprès des États et c'est ce qui permet d'accorder des prêts aux pays
demandeur à travers des taux d’intérêt faible et des délais de remboursement long.
Ces prêts sont conditionnés il y a des clauses conditionnels pour protégé aussi ce qui contribue au
fonctionnement du FMI et aussi protégé le système monétaire international et ses conditions elle
prennent la forme d'indication, de suggestion, de proposition à l’État emprunteur pour qu'elle
s'engage dans des réformes économiques conforme aux besoins du pays. Dans la géopolitique et
l’économie mondiale au cours des dernières années son rôle a été considéré comme essentiel il doit
faire face à d'autre organes internationaux concurrents et à l'opposition de certains États membres.

B) L'organisation mondiale du commerce

L’OMC est né en 1994 dans le prolongement des accords du GATT c'est une organisation mondiale
autonome. Elle compte plus de 150 membres et elle comprend trois organes. Le premier la
conférence ministérielle qui rassemble tous les États membres puis il y a le conseil générale et
enfin des conseils spécifiques qui porte sur des sujet spécifiques des accords particuliers. L'OMC
exerce deux missions essentielles d'abord assurer la bonne marche des relations commerciales en
concluant des accords internationaux. Animer les procédures de contentieux sur les affaires
commerciales. A noter ses mission elle tente à évoluer notamment suite a la conférence de Doah qui
a lieu en 2001 et qui a proposer que l'OMC devienne également un outil de contrôle des accès de la
mondialisation. Le but étant de tenir compte des nouveaux enjeux internationaux et notamment
d'un développement mondiale durable et équilibre.

PARAGRAPHE 3 : DES ORGANISATIONS MONDIALE MULTIPLE

On va s'intéresser à l'OTAN

Chaque région du monde au fil de l'histoire s'est doter d'organisation internationale régionale à la
différence des organisations internationales les organisations régionales n'accepte parmi leur
membre que les États qui font partie d'une région déterminer. On peut citer l'aleana l'accord de
libre-échange nord-américain c'est le libre échange entre les États, on trouve l'union africaine qui
postule à être une union africaine fédérale, on a la ligue des États arabes, et enfin l'OTAN.

1) L'Organisation du traité de l'Atlantique Nord

A) L'objet

L'OTAN est une organisation internationale politico-militaire mise en place par le traité de
l'atlantique nord. Elle est crée au lendemain de la seconde guerre mondiale. A l’origine le but de
cette organisation était de lutter contre la menace que représentait pour les signataire de ce traité
l'union soviétique. C'est pour la raison pour laquelle une douzaine de pays d’Europe signe le traité de
Washington ils s’engagent à respecter la démocratie, l’État de droit et des rapports pacifiques. C'est
une alliance territoriale et militaire défensive contre toute attaque armé contre l'un de ses
membres. L'objectif est de maintenir la paix et d'assurer une défense commune par la
diplomatie et par la collaboration politique mais le cas échéant si ses moyens ne sont pas
suffisant l'OTAN possède des capacités militaires qui lui permet de conduire des interventions armée.

B) Les membres actuelle de l'OTAN

30 États sont membres de l'OTAN, 28 États européens auxquelles s'ajoute les États-Unis et le
Canada. Tout candidat à l'adhésion doit partager les valeurs essentielle de l'organisation et
également s'engager dans la sécurité dans l’alliance euro-atlantique. L'article 10 du traité organise
l'entrée possible de nouveau États mais uniquement par accord unanime des États membres sa
signifie que chaque États dispose d'un droit de veto.

C) La structure institutionnelle

Sa structure est relativement complexe mais il y a deux organes qui se démarque, le premier c'est le
conseil de l'atlantique nord. C'est l'organe politique de cette organisation au sein de cette organe
siège les membres permanents. Les membres permanents sont les représentants des États
membres qui ici on le rang d’ambassadeur. Ils se réunissent une fois par semaine sous la présidence
du secrétaire général de l'OTAN. Ce conseil il peut réunir les ministres des affaires étrangère et de la
défense des États membres. Ils se réunissent sur cette formation deux fois par ans. Enfin ce conseil
réunie les chefs d’États des États membres qui se réunissent en sommet environ tous les deux ans.
Lorsqu'il se réunissent en sommet avec les ministres ou des chefs d’états, les décisions de ce conseil
atlantique nord on le même statut et le même degrés d'importance. Ses décisions elles sont prises
par consensus c'est à dire à l'unanimité. Autrement dit chaque membre à un droit de veto. Il y a un
débat pour un consensus, il suffit qu'un État s’oppose et la décision n'est pas prise.

L'assemblée parlementaire

Elle représente les parlements nationaux elle est composer des législateurs des parlements
nationaux des 30 membres de l'alliance. Cette assemblée elle a un rôle d'influence, elle offre une
tribune supplémentaire qui permet au parlement d'influer sur la prise de décisions dans les domaines
de compétence de l'organisation.

D) La capacité d'action de l'OTAN

Parmi les articles connue de ce traité, on trouve l'article 4 qui a été invoqué à plusieurs reprise depuis
la création de l'OTAN. Cette article consiste en une consultation des membres de l'OTAN
autrement dit un État membre peut porter à l'attention du conseil de l’atlantique nord toute
question qui concerne en particulier la sécurité d'un pays membre. Les partie (les États) se consulte
chaque fois que de l'avis de l'une d'elle, l'intégrité territoriale, l'indépendance politique où la sécurité
est menacé et c'est pour la raison pour laquelle le 24 février 2022 après l'invasion de l’Ukraine par la
Russie l'article 4 a été invoqué par la Bulgarie, l'Estonie, la Lettonie,la Lituanie, la Pologne, la
république Tchèque, la Roumanie et la Slovaquie. Article 5 du traité de Washington il pose le principe
d'assistance mutuel ou défense collective. L'OTAN adhère à ce principe c'est à dire que l'attaque
contre l'un ou plusieurs de ses membres est considéré comme une attaque dirigé contre tous. Si un
des États membre se voit attaqué il bénéficie de facto de l'aide militaire de tout les autres États
membres. C'est une clause de sécurité collective.

A l'heure actuelle cette règle n'a été appliqué qu'à une seul reprise et c'était au lendemain des
attentats du 11 septembre 2001 au États-Unis où l'OTAN à participe aux actions en Afghanistan.
Dans ce cadre la puissance de l'OTAN est important il s'agit de la première alliance militaire mondiale
en cumulant les effectives du personnel actif de toutes les armées nationales qui compose l'alliance.
A cela s'ajoute la force de réaction propre à l'OTAN il y a des troupes qui sont mis à disposition par
les États membres qui sont près à intervenir à tout moment. C'est une armée qui se compose
d'environ 40 000 soldats et s'ajoute un armement très important. Il y a trois États membres qui
dispose de l'arme nucléaire à savoir la France le Royaume unis et les États-Unis. En 2014 chaque États
membre s'est engagé a ce que son budget ne soit pas inférieur à 2% de son PIB et plusieurs États
n'ont pas respecter cette engagement.

L'OTAN a décidé de fournir aide et soutien à l'Ukraine toute les effectives ont été envoyé autour de
l'Ukraine pour assurer la sécurité des membres de l'OTAN.

Section 3 : Les personnes morales et les personnes physiques, acteur secondaire de la société
internationale

A coté des États et des organisations internationales on trouve d’autres acteurs.

PARAGRAPHE 1 : LES ORGANISATIONS NON GOUVERNEMENTALES

A) Définition et ampleur du phénomène

Il n'y a pas de définition absolue pour qualifier les organisations non gouvernementales mais on
trouve certaines caractéristiques principale des organisations non gouvernementales.
L'ONG est une association de personne morale ou privé de différente nationalité
internationale par sa structure, ses fonctions et son action dépourvu de tout but lucratif. Les
ONG doivent respecter le droit nationale de l’État où est établie leur siège. Il s'est amplifié au cours
du 20e siècle on dénombre 38 000 ONG répartie sur l'ensemble des contients même si la localisation
européenne demeure dominante. En plus d’être nombreuse ses ONG intervienne dans des domaines
variés en 4 catégories principale : il y a les organisations corporatives qui sont accès sur la
défense des intérêts de leur membres comme l'OMS organisation mondiale de la santé, deuxième
catégorie les organisations techniques comme la commission internationale de la radiologie,
troisième catégorie les organisations sociales et humanitaires se sont les plus connue on peut
citer Amnesty internationale, la croix rouge, médecin sans frontières, médecin du monde, Grinpeace,
enfin dernière catégorie les organisations savantes qui porte sur certains domaine scientifique
comme l'institut de droit international.

B) Statut et fonction

Les ONG les plus représentatif bénéficie d'une reconnaissance de la part des organisations
intergouvernementales qui peuvent leur accorder une consultation avant la prise de décision d'une
organisation intergouvernementales. On trouve plus de 2000 de ses ONG consulté à l'ONU. Les ONG
organise avec le soutient des organisations intergouvernementales des réunions au même moments
que les grandes conférences des Nations Unis qui porte sur des problème de société tels que la
démographie, l’environnement pour tenter d'influencer les décisions des acteurs des organisations
intergouvernementales. Parfois elles sont associé au processus normatif. Elle peuvent participer de
façon implicite ou explicite à l'élaboration d'une règle de droit. Ce qu'on appelle une expertise. Ses
ONG elle surveille l'application effective par les États de leur obligations conventionnelle, elles
peuvent signaler un État par exemple pour la non application d'une règle qu'il s'était fixé. Il existe des
ONG qui sont crée par des gouvernements nationaux pour défendre leurs intérêts. Les États et les
organisations intergouvernementales ne sont pas les seules acteurs de la société internationale.

PARAGRAPHE 2 : LES SOCIETES MULTINATIONALES

Dans le contexte de la mondialisation les sociétés internationales sont des acteurs essentielles. Le
capitale de ses entreprises sont parfois supérieur à celui des États c'est dire à quel point leur échange
commerciaux est fondamentale dans la société internationale.

A) Leur statut

Tout comme les ONG les statuts de ses multinationales dépend du droit interne des États où sont
implanter les sièges sociaux et ses filiales. Les instances internationales tentent régulièrement de
définir un code de bonne conduite pour ses sociétés multinationales notamment à travers l'OMC.
Leur statut n’est pas véritablement internationale d'autant que ses sociétés n'ont pas la personnalité
juridique.

B) Leur rapport avec les États

Ses rapports sont ambivalents, ils sont parfois conflictuelle globalement ses sociétés on besoin des
États pour développer leur activité dans des conditions favorables. Elles ont intérêt à s'installer dans
des pays qui seront favorable à leur développement de leur activité. Les États cherchent à attirer ses
sociétés multinationales via des politiques attractive parce que l'implantation de ses sociétés sur leur
territoire favorise les investissements économiques et la création d'emploi. Les rapports entre les
États et les sociétés sont parfois déséquilibré puisque ses sociétés peuvent être amener à mener ses
actions de lobby auprès des États des gouvernements pour influencer l'entrée en vigueur ou le rejet
d'une législation particulière. L'ONU tente d'instaurer avec les multinationales des formes de
coopération afin que celle-ci respecte plus scrupuleusement le droit international.

A) Les individus et les peuples

Les individus exerce depuis quelque année une influence sur le processus de décision des États. Il
faut envisagé l'individu regroupé, rassemblée autour d'une même idée. Depuis peu ils ont ainsi
démontré qu'ils pouvaient avoir une influence fondamentale dans les décisions tant par les
organisations internationales qu'entre États souverain. Certains individus pris isolement une influence
notable certains experts économique, certains milliardaires en passant par les prix Nobel de la paix
qui à travers leur discours peuvent sensibiliser les opinions publiques face à des situations ou à des
conflits inacceptable ou tout simplement dans l'optique d'un affermissement de la paix.

B) Les peuples

Les peuples avaient été délaisser par la société internationale, tout le monde disait que leur rôle s’est
achevé après cette phase de décolonisation. Le principe de droit international qui fessait référence
au peuple à savoir le droit des peuple à disposer d'eux même, l’accession de ses peuple à
l'indépendance et au statut étatique. Une fois que le peuple devenue un État on considéraient que
cette question n’était plus d'actualité. On constate que ce principe continue parfois à être invoqué
suivant de nouvelle conception, il est perçut comme un droit identitaire qui se matérialise par une
revendication d’auto-détermination ou la reconnaissance de droit ancestraux c'est notamment le
cas des peuples autochtones qui invoque un droit des peuples à disposer d'eux même. Les peuples
dans la société internationale reste un acteur concret qui se heurte néanmoins au principe de la
souveraineté des États qui souhaitent éviter la sécession ou leur dénombrement de leur territoire.

Chapitre 2 : Les instruments des relations entre institutions internationales

Section 1 : Les instruments juridiques

Ses instruments juridiques sont énumérés à l'article 38 de la convention de Vienne qui identifie les
traités, la coutume, les principes généraux de droit et la jurisprudence et la doctrine. Les actes
unilatéraux tout comme les décisions des organisations internationales ne figure pas à l'article 38
alors qu'elle occupe une place importante.

PARAGRAPHE 1 : LES TRAITES

A) La conclusion des traités

La conclusion d'un traité suit tout une série d'étape successive la négociation, l'adoption, l’expression
du consentement par l’État à être lié.

1) L'élaboration du traité

Première étape la négociation, se sont les représentants des États qui négocie. Ses représentants
sont mandaté par les États, chaque États détermine qui sera compétent pour négocier. Article 52 de
la constitution de 1958 précise que «le président de la république négocie et ratifie les traités ».

Avec la multiplication des organisations internationales ses négociations se déroule le plus souvent à
l'occasion de ses rencontres, de ses sommets internationaux que se produisent ses négociations.
Lorsque les parties arrive à un accord le texte peut être adopté.

2) L'adoption

Deux formules l'adoption c'est la signature du traité elle peut être définitive dans ce cas là on parle
d'un accords en forme simplifier, si cette accord est donner sous réserve de ratification on parle de
traité solennel. Comme ce n'est pas la dernière étape la signature du traité ne suffit pas pour faire
de l’État signataire un membre ou une partie au traité. La signature d'un traité à une porté juridique
et politique importante.

3) L'expression par l’État de son consentement par l’État à être lié

Si on suit la convention de Vienne on peut estimer que les accords en forme solennel nécessite une
ratification pour attester la volonté de l’État à être lié au traité. Pour les accords en forme simplifier
si le droit nationale de l’État le permet la signature du traité suffit à démontrer que l’État souhaite
définitivement être lié. La plupart des accords sont des accords en forme simplifier.

La ratification c'est l'acte par lequel l'autorité étatique constitutionnellement compétente pour
conclure les traités confirme la volonté de l’État de se lié par le traité et s'engage à l’exécuter.

Cette ratification elle est exclusivement réglé par le droit interne de chaque État.
Sa reste un acte discrétionnaire, un État n'est jamais obligé de le ratifié un traité. Il arrive souvent
que le dépôt des ratifications par les États conditionne l'entré en vigueur du traité, sa signifie que
parfois un nombre minimum de ratification est nécessaire pour que le traité puisse entrée en
vigueur.

L'adhésion, un traité qui est déjà entrée en vigueur et déjà ratifié par un certains nombre d’État il se
peut qu'un État tiers souhaite adhérer au traité, d’associé aux autres États. La procédure d’adhésion
permet lors de son adoption d'exprimer en une seul fois son engagement. L'adhésion à la même
porté qu'une signature suivie d'une ratification.

Les réserves un État peut estimer au cours d'une procédure que certaines disposition du traité ne lui
convienne pas on dit que cette état formule des reverses. Ses réserves elle ne sont autorisé que si le
traité lui même le permet. Autrement dit un État ne peut pas formuler des réserves à toute les
dispositions ou au traité.

4) L'entré en vigueur

Tout dépend des États contractant, en pratique pour les traités bilatéraux l'entrée en vigueur se
produit lors de l'échange des instruments de ratification. Pour les traités multilatéraux les
conditions peuvent être diverses, le plus souvent l'entré en vigueur ne se réalise lorsqu'un nombre
suffisamment représentative d’État à ratifier le traité.

B) La validité des traités

Un traité c'est un contrat et pour produire ses effets le traité doit satisfaire certaine conditions. Ses
conditions elle vise à réguler le consentement des États et la légalité de l'objet du traité. Le cas
échéant les dispositions seront frapper de nullité et elles sont censé ne jamais exister.

1) Les vises du consentement

A) L'erreur

Un État peut invoquer une erreur comme vice du consentement seulement si l'erreur porte sur un
fait ou une situation que cette état supposait exister au moment où le traité a été conclue, et
qui constitué une base essentiel de son consentement. Pour pouvoir invoqué l'erreur l’État ne doit
pas être fautif. En droit international les cas d'erreur sont rare en pratique des erreurs de carte dans
les traités de délimitation de frontières.

B) Le dol

Sa signifie que le consentement est faussé puisque l’État est cru vrai ce qui ne l’était pas, on l'a
trompé. L’État doit démontrer qu'il y a volonté de l'induire en erreur.

C) La contrainte

Elle sera contracter sur l’État ou sur son représentant, l'article 52 de la convention de Vienne «est nul
toute traité dont la conclusion a été obtenu par la menace ou l'emploi de la force en violation
des principes du droit international». Tout consentement obtenu par la contrainte sera dépourvu
de toute effet juridique.

D) L'irrégularité du consentement au regard du droit interne

Il est rare que l’État utilise cette argument pour justifier son retrait ou son absence de respect du
traité. Ce vise de consentement ne peut être invoqué que si la violation du droit interne est
manifeste autrement dit elle est objectivement évidente et puis surtout elle concerne une règle
hiérarchiquement supérieur comme la constitution.

L’illégalité de l'objet du traité

Règle consacré à la convention de vienne qui dispose que «est nul tout traité au moment de sa
conclusion est en conflit avec une norme comparatif de norme international générale ».

Si l’objet est illicite les dispositions d'un traité nul n’ont pas de force juridique. La nullité signifie que
le traité est considéré comme ayant jamais exister il est nul depuis le jour où il a été conclu et non
depuis le moment de la constatation de sa nullité.

1) Les effets des traités à l'égard des parties

La règle c'est «pacta sunt servanda» du droit international sa signifie que tout traité en vigueur lie les
parties et doit être exécuter pareil de bonne foi. Le traité est conclu, le traité doit être respecter. Les
parties doivent respecter la lettre du traité mais aussi l'esprit , l'objective du traité. Sa signifie que les
États doivent s’abstenir d’adopter des mesures contraire au but du traité à défaut l’État pourra voir sa
responsabilité international mise en œuvre.

2) Les effets à l'égard des tiers

Pour ceux qui n’ont ni signé ni ratifié le traité ne crée aucune obligation et n’accorde aucun droit à
ceux qui n'y on pas consentie c'est ce qu'on appelle l'effet relatif des traités.Ce principe a été
consacré à l'article 34 de la convention de vienne. Parfois certains traités dit objectif prenne des
effets et s'impose à ceux qu'ils ne les on pas conclus c'est le cas des traités qui fixe des frontières, des
traités qui crée des organisations internationales ou les traités qui fixe des voies de communication
internationale.

D) L'extinction du traité

Certain traité sont conclu pour une période de temps limité et de ce fait le traité s’éteigne quand
arrive cette date fixé dans le traité lui même. De la même manière certain traité sont conclu pour
atteindre un objectif et lorsque l'objectif est atteint le traité s’éteint. L'objectif constituait la raison
d’être de cette accord. Dans d'autre cas c'est la survenance d'un événement extérieur qui entraîne
l'extinction d'un traité. Conclure un nouveau traité par les même États parties, le nouveau traité
supplante l'ancien traité, il élimine l'ancien traité. Dans le cas d'une exécution impossible du traité il
devra s’éteindre par exemple un traité sur la construction d'un barrage sur un fleuve qui s'est
asséché. Ce qu'on appelle la dénonciation unilatéral d'un traité est illicite. Le faite pour un seul
État, de refuser d'appliquer un traité, sa ne peut mettre fin à l'existence du traité.

PARAGRAPHE 2 : La coutume et les principes généraux de droit

La coutume est défini comme une pratique juridique générale accepté comme étant du droit
qui résulte d'un comportement répété, constant durable et claire. Cette coutume lorsqu'elle est
caractérisé comme tel possède une valeur identique à celle des traités autrement dit la force
juridique est similaire à celle des traités. La coutume reste du droit primaire. Cela étant pour assurer
la sécurité juridique, la société internationale procède à un travail de codification de la coutume c'est
à dire qu'elle consacre dans le droit écrit ses règles coutumière issus de la pratique. A coté de la
coutume on trouve les principes généraux de droit qui sont souvent dégagé par les juges via leur
pouvoir d'interprétation, en droit international ils sont dégagé parce que le juge identifie un
principe commun à toute les systèmes juridiques des États démocratiques. Ses principes ne sont
pas en général écrit et c'est pour cela que le juge va les élever au rang de principe généraux de droit.
Il sont sont partie intégrante du droit positif et ils sont pour la plupart relatif à l'administration de la
justice. On peut citer l'égalité entre les partie, autorité de la chose etc. C'est une source supplétif du
droit international.

PARAGRAPHE 3 : LES INSTRUMENTS COMPLEMENTAIRES

A) L'équité

Le statut de la cour international de justice autorise avec l'accord des parties à statuer en équité ce
qui permet de réduire les effets pénalisant des effets stricte du droit international. L'équité peut
combler les lacunes du droit par contre il ne peut pas être employer pour contredire les règles
consacré.

B) La jurisprudence

C'est un moyen auxiliaire de la règle de droit, elle réuni l'ensemble des décisions juridictionnelles
et arbitrales à porté universelle ou régionale. Cette jurisprudence a une force interprétative et elle
favorise l’émergence de norme juridique coutumière ou écrite.

C) La doctrine

La doctrine c'est un moyen auxiliaire de participation à la formation du droit international. Elle a


une valeur incitative, elle peut influencer certaines décisions que ce soit des décisions d'ordre
internationale ou des décisions de tribunaux internationaux. Ces tribunaux internationaux ne se
réfère pas explicitement à la doctrine mais il est largement démontré que la doctrine participe à la
construction du droit et de la jurisprudence en identifiant certaine problème juridique et en
proposant des solutions.

D- Les actes unilatéraux

Ces actes émane des États et des organisations internationales. Ils constituent le produit de la
volonté de ses acteurs internationaux, d'adopté des normes qui produisent des effets juridiques.
Parmi les actes adopté par les États on peut citer la procédure de reconnaissance d'un nouveau État,
la protestation diplomatique ou encore la renonciation de l’exercice d'une action. Et les actes
unilatéraux adopté par les organisations internationales dans ce cas là les actes prennent la forme de
résolution, de décision ou de recommandation ce qu'on appelle le droit dérivé c'est le droit créer
par ses institutions internationales.

E- Le JUS Cogens

Introduit par l'article 53 de la convention de Vienne, c'est une norme impérative de droit
international, accepté et reconnue par la communauté internationale dans son ensemble. En tant
que norme à laquelle aucune dérogation n'est permise et qui ne peut être modifié que par une
nouvelle norme de droit international général ayant le même caractère. Cette norme elle est au
sommet de la hiérarchie du droit international, il n'y a pas de norme qui lui soit supérieur et elle
s'impose à tous les États. La violation de cette norme c'est une cause de nullité d'ordre international
puisque il s'agit de principe fondamentaux pour la société internationale. Par exemple l'interdiction
du génocide, de la torture, la prohibition de l'esclavage.

Section 2 : Les règles diplomatiques et consulaires régissant les relations


internationales

PARAGRAPHE 1 : LES RELATIONS DIPLOMATIQUES

La diplomatie c'est l'ensemble des moyens par lesquelles les États établissent et maintiennent
des relations mutuelles au sein de la société internationale. C'est un instrument essentiel de
coopération et permettre de favoriser une meilleure compréhension mutuelle et permettre de
résoudre des conflits des divergences par des moyens pacifiques. C'est un canal permanent de
relation entre les États et c'est l'ONU qui est à l'origine des relations diplomatiques par une
convention de 1964 qui associe aujourd'hui la quasi totalité des États.

A-L’établissement et la rupture des relations diplomatique

Le droit international reconnaît au État un droit de légation c'est un droit qui peut être actif ou
passif. Actif il signifie pour un État accréditant à envoyer des représentants auprès d'un autre État
l'autre État accréditaire. Passif sa consiste a recevoir sur son territoire les représentants de l’État
accréditant. Il faut que les deux États soit d'accord par consentement mutuel. La décision d'établir
des relations diplomatique c'est un pouvoir discrétionnaire. De la même manière la rupture des
relations diplomatique est aussi un acte discrétionnaire de l’État. En général c'est la détérioration des
relations diplomatique qui conduit à cette rupture diplomatique et ce qui arrive en cas de guerre un
État peut fermer sa mission diplomatique et en vertu du principe de réciprocité l’État accréditant fera
de même. C'est ce qui arrive en ce moment en Ukraine.

B- La mission diplomatique

C'est l'ensemble du personnelle qui est nommé par l’État accréditant pour exercé sous
l'autorité d'un chef de mission des fonctions de caractères diplomatique sur le territoire de
l’État acréditaire. Le corps diplomatique est constitué de l'ensemble des agents diplomatique de
toute les missions accrédité dans un État. C'est l'ambassadeur qui est à la tète de la mission
diplomatique. Le chef de mission ne peut entré en mission qu'avec l'accord, l'agrément de l’État
acréditiare. Pour la nomination des autres membre du corps diplomatique elle se fait par notification.
Quels sont les fonctions de la mission diplomatique ?

On a une liste qui n'est pas limitative, il s'agit d'abord de représenté l’État accréditant, protéger les
intérêt de l’État et protéger ses ressortissants qui se trouve sur le territoire de l’État acréditaire
c’est la protection diplomatique, négocier avec l’État acréditaire, informer l’État accréditant de la
situation de l’État acréditaire et enfin entretenir et développé les relations entre les deux États.

D- Les immunités diplomatiques

Le but c'est de permettre d'exercer ses fonctions en toute indépendance et ceci suppose que soit
respecter le liberté de communication, l'inviolabilité du personnelle diplomatique il ne peut ni être
arrêté ni détenu ( et aussi leur famille), inviolabilité des locaux diplomatiques et enfin l'immunité
juridictionnelle aucune action en justice n’est possible contre un agent diplomatique ou sa famille
devant les tribunaux de l’État acréditaire, il y a aussi des immunité fiscale. L'inviolabilité elle s’exerce
qu'elle que soit la situation c'est à dire l'agent soit ou non dans le cadre de ses fonctions et à sa
famille. La seul possibilité c'est pour l’État accréditant d'accepter de lever l'immunité diplomatique.
Les agents diplomatique doivent respecter, les règles, les lois dans lesquelles ils sont envoyer. Dans
le cas contraire les agents diplomatique peuvent être déclarer « persona non grata» dans ce cas là ils
doivent quitter le territoire.

PARAGRAPHE 2 : Les relations consulaires

Elles sont né au 13e siècle, elles étaient lié au commerce internationale, elle sont plus développé
aujourd'hui.

A- L’établissement et la rupture des relations consulaires

Les relations consulaires sont soumis à la règle du consentement mutuel entre les États et elles ne
dépend pas de l'existence de relations diplomatiques. La rupture des relations diplomatique
n’entraîne pas obligatoirement la rupture des relations consulaires. Les relations consulaires elle sont
dirigé par un chef de poste consulaire qui dispose d'une compétence territoriale définit dans l’État de
résidence la circonscription consulaire.

B- Le personnel

Il existe deux catégories de consuls : le consul général qui est un fonctionnaire il détient la nationalité
de l’État d’envoi et deuxième catégorie le consul honoraire qui est un ressortissant de l’État de
résidence où il exerce parfois une activité professionnelle.

L’État d'envoi envoie le consul par une lettre de provision et si l’État de résidence l'autorise à exercer
ses fonctions se consul pourra mener sa mission. L'autorisation donné par l’État de résidence ce
nomme l'exequatur.

C- Les fonctions

Les fonctions des consuls sont purement administrative et non pas politique, il s'agit de protéger
les intérêts de l’État d'envoi et de ses ressortissants notamment à travers l'assistance judiciaire
délivrant des passeports et des visas, favoriser les relations entre les deux États puis de contrôler et
porté assistance au navire et au aéronef de l’État d'envoi et à leurs équipages.

D- Les immunités consulaires

Contrairement au immunité diplomatique ses immunités consulaires elles ne porte que sur les actes
accomplis dans l'exercice des fonctions. Les inviolabilités qui porte sur les bâtiments et sur les
communications sont limités au nécessité de la fonction.

Partie 2 : Les institutions européennes


On va étudier les institutions de l'union européenne et le conseil de l’Europe qu'il ne faut pas
confondre. Deux structures différentes, à travers l'histoire on a une histoire commune, le contexte
historique de la construction de l'union européenne est fortement lié à la création du conseil de
l’Europe. D’ailleurs tous les États membres de l'union européenne sont membre du conseil de
l’Europe. La perspective d'adhésion de l'union européenne au système de la convention
européenne des droits de l'homme permet de mettre sur le devant de la scène la question du lien
entre les deux projets qui ne peuvent pas être isolé l'un de l'autre.

Chapitre 1 : Les institutions de l'union européenne

Section 1 : Approche historique de la construction de l'union européenne

La création de l'union européenne est intervenu dans un contexte historique propice à la


construction d'institutions commune.

PARAGRAPHE 1 : L'ORIGINE DE LA CONSTRUCTION

C'est à la fin de la seconde guerre mondiale qu’apparaît le désir de s'unir, l'Europe est ruiné, divisé.
Les pertes humaines sont très importante et l'union entre les États apparaissent comme le moyen de
relevé le contient et de se prémunir pour l'avenir de nouvelle guerre. La construction communautaire
résulte de la volonté des États de mettre leur union au service de la paix et du droit. Il apparaît
nécessaire de reconstruire le continent et de réaffirmé après la défaite de l’Allemagne nazi, les
valeurs démocratiques commune et le renforcement de la solidarité militaires. En 1948 le
congrès de la Haye réuni des hommes politiques, des industriels, des syndicalistes, des intellectuels
des différents états européens. Ses différents personnes adresse un message européen pour crée
une union librement consentie par les États est fondé sur le modèle classique de la coopération
intergouvernementale. Dans les premier mois de l’année 1947 les autorités américaines prennent
conscience des difficultés auxquelles les États européens font face, notamment des difficultés
économique. Et le général Marshall qui était secrétaire d’état au États-Unis prononce le 5 juin 1947 le
discours de l'université de Harvard et où il affirme le désir des États-Unis d'accorder une aide
financière au États européens à la condition que ses États s'organise pour distribué cette aide
financière.

PARAGRAPHE 2 : LES PREMIERS TRAIT ET LA CREATION DES COMMUNAUTES

A- Organisation européenne de coopération économique

Cette première structure elle est fondé par 16 États européens en 1948. Ce n'est plus une structure
européenne puisque en 1962 elle s'est élargie à d'autre états à savoir le Japon, le Canada et les États-
Unis elle est devenu en 1962 une organisation de coopération et de développement
économique. A l'origine cette OECE elle avait pour mission de répartir le plan Marshall cette aide
économique qui vient des États-Unis. Très rapidement cette organisation va faire naître des
ambitions plus importants. Les États souhaitent favoriser la relation franco-allemande ce qui va
conduire les États à trouver des mécanismes d'alliance. L'idée principale réside dans le faite que les
pères fondateurs qui vont crée cette union européenne, construire une organisation politique
suppose d'abord d'associer les États sur des sujets techniques. L'idée politique, l'objectif ultime sera
de garantir la paix et la démocratie en Europe.

B- Le discours de l'horloge de Robert Schumann du 9 mai 1950 et de CECA

Ce discours qu'on appelle aussi le plan Schumann a été rédigé avec la participation de plusieurs
hommes politiques tels que Jean Monet. Ce plan Schumann rappelle quel sont les objectifs de cette
construction la paix et les réconciliation franco-allemande. Dans ce discours il propose de s’organiser
à se structurer à partir de secteur limiter, à partir d’intérêt économique pour créer ce qu'il l'appelle
des solidarités de faite. Par la suite il faudra amplifier la mise en commun de ses secteurs de manière
par un effet d’entraînement l’Europe débouche sur une union d'ordre économique général. Ce qu'on
appelle du néo fonctionnalisme. Il dit que «l’Europe ne se fera pas d'un coup ni dans une
construction d'ensemble , elle se fera secteur par secteur». Ce plan Schumann va générer des
discussions et débouche sur un premier traité qui établie la communauté européenne du charbon
et de l’acier la CECA. Le traité est signé à Paris en 1951 par la France, l'Allemagne, la Belgique, le
Luxembourg, les Pays-Bas et l'Italie. Le Royaume Unis reste à l’écart. Le but c'est de se focaliser sur
un secteur le charbon et l'acier, c'est un secteur stratégique et anéanti par la seconde guerre
mondiale. Si on unie les matériaux à l'armement on ne peut plus se faire la guerre. La CECA sera la
première organisation d'intégration sa signifie que dans un secteur déterminer les États acceptent de
transférer l'exercice de leur compétence nationale à des institutions communes qui ont pour mission
de proposer une politique en la matière.

C- L’échec de la CED la communauté européenne de défense

Sur le modèle de la CECA les mêmes États signe un traité instituant la communauté européenne de
défense. C'est un projet d'initiative française l'objectif est crée une armé commune avec un
commandement intégré. Le but est de se dégager de l'OTAN et de la tutelle américaine. Sauf que
la France ne veut pas du réarmement de l'Allemagne c'est le sens de l'opinion publique française.
Mais qui va être rejeté par les français. En 1954 le parlement français refuse de ratifié le traité, il vaut
mieux revenir à la première méthode sur des sujets techniques économiques. La défense c'est un
secteur politique. C'est pour la raison pour laquelle on va crée plusieurs modèle sectorielle sur le
modèle de la CECA.

D- Les traités CEE communauté économique européenne et CEEA communauté économique de


l’énergie atomique

La communauté économique européenne elle vise à mettre en place un marché économique


européen. C'est ambitieux , sa consiste à éliminer les droits de douane entre les États membre, on
crée un tarif extérieur commun. On va associer à cette création 4 libertés de circulations, on ne se
limite pas à autorisation des libres circulations des marchandises, on va accorder la liberté de
circulation des personnes, des services et des capitaux.

La CEEA porte sur le secteur atomique l'idée c'est à la fois de protéger cette énergie mais aussi en
limitant l'emploi sa veut dire qu'on le limite aux civiles. Les deux traités sont signé à Rome en 1957.

PARAGRAPHE 3 : LA DYNAMIQUE DE LA CONSTRUCTION EUROPÉENNE

A- L'acte unique européen

Ce traité il vise à réactivé le processus d'intégration de l'union européenne pour réaliser le marché
intérieur. Cela va permettre de crée un système de monnaie on commence à parler de monnaie
unique. De la même manière des politiques, de nouveaux secteur sont insérés dans ce traité tel que
la cohésion économique et sociale l'idée c'est de favorisé la solidarité entre les États dans le secteur
économique.

B- Le traité de Maastricht du 7 février 1992

A ce moment le marché unique fonctionne, l'économie s'améliore, les États se lance de nouveau
défie comme l'intégration des pays de l'est l'Allemagne de l'est en particulier et aussi l'idée de contre
balancer la superpuissance américaine. Ce traité il marque le début d'une mutation de la
construction communautaire puisqu’il va institué l'union européenne. Tout d'abord, ses structures
réunie dans un même ensemble qu'on qualifie d'union européenne 3 piliers : premier pilier les
communautés donc la CECA , CEE et la CEA, la politique étrangère et de sécurité commune, la
coopération dans le domaine de la justice et des affaires intérieur.

Le pilier de la communauté est un pilier d'intégration tandis que les deux autres sont des piliers de
coopération. Cela crée un changement au niveau de la prise de décision. Par exemple dans le pilier
d'intégration, les décisions peuvent être prise à la majorité renforcé, alors que dans les piliers de
coopération les décisions sont prise à l'unanimité.

Le traité de Maastricht marque d'autre d’avancé et notamment la création d'une union économique
et monétaire qui se concrétise par une monnaie unique l'euro. On admet une Europe à deux
vitesses c'est à dire que les États si ils souhaitent approfondir l'intégration européenne ou si au
contraire ils souhaitent à ce qui avait déjà était accorder. L'union ambitionne de faire adhéré une
dizaine d’États d’Europe ce qui implique de réviser les traités. Car les traités ont été conçut pour 6
États membres et donc les règles de décision doit être adapté par les nouveaux adhérents.

C- Le traité d'Amsterdam du 17 juin 1997

Le traité d'Amsterdam c'est un traité peu ambitieux, il n'y a pas eu d’accueil enthousiasme il ne règle
pas les problèmes institutionnelles qui sont lié à l'élargissement des pays qui intègre l'union. Il y aura
quelque avancés d'abord ce traité va permettre de faciliter la mise en place de l'euro et faciliter le
fonctionnement globale des institutions. Comme il ne règle pas les problèmes principaux on sait déjà
qu'il y aura un nouveau traité.

D- Traité de Nice de février 2001

Trois questions ont été laisser de coté à Amsterdam, la composition de la commission de l'union
européenne, la répartition des voies au sein du conseil et puis l'élargissement des cas de vote à la
majorité qualifié. A nouveau des difficultés, des désaccords apparaissent entre États, très rapidement
le ministre des affaires étrangères allemand et le président français Jacques Chirac laisse entendre
qu'il y aura une nouvelle révision des traités après Nice. Il y aura un nouveau traité après Nice.
L'essentiel pour ce traité de Nice c'est de mettre en place un calendrier pour l'intégration des
nouveaux États dans l'union européenne.

En parallèle une charte a été préparer, la charte des droits fondamentaux de l'union européenne
c'est un traité qui liste les droits fondamentaux de l'union européenne tels que la liberté, la dignité
humaine, l'égalité. Cette charte est crée par une convention qui est composé par les chefs d'états et
de gouvernements, les parlementaires européens et nationaux et d'un membre de la commission
européenne.

L'idée c'est une nouvelle méthode pour l'adoption d'un traité, elle sera porté par Valéry Giscard
d’Estaing.

E- Le traité établissant une constitution pour l'Europe

Ce traité ce n'est pas une constitution mais un traité, il ne agissait pas de crée un État fédéral
européen, il s'agissait de regrouper en un seul traité tous les autres traités qui ont été conclu en
un seul traité une constitution on recadre l’Europe. La méthode qui a été suivit pour l'élaborer.
Contrairement aux traités traditionnel sont invités à participer à la création de ce traité, pas
seulement les chefs d'états et de gouvernements mais aussi les parlementaires de certain État, des
syndicats, des associations et même les citoyens européens eux même. L'idée c’est que le citoyen
européen parvient un peu mieux à comprendre le fonctionnement de l'union européenne. Au lieu de
parler de règlement européen on propose de parler de loi européen de manière à faciliter la
compréhension. Ce traité présente en premier lieu les valeurs et les règles communes entre États,
dans une deuxième partie elle intègre la charte des droits fondamentaux puis dans une troisième
partie sont repris tous les traités fait par la communauté européenne toutefois ce traité a été rejeté
par référendums par la France et les Pays-Bas. Après une vague de ratification tels que l'Allemagne,
la Belgique, l'Espagne, la Grèce, l'Italie. La France par référendums a rejeté ce traité puis trois jours les
néerlandais le rejette par référendums.

En principe le traité pouvait entrée en vigueur si au moins 20 États accepte de le ratifié toutefois ce
n’est pas la méthode qui a été suivis puisque dès que le traité a été rejeté par deux pays fondateurs
la France et les Pays-Bas il a été envisagé de stopper le processus de ratification.

F- Le traité de Lisbonne

Le traité de Lisbonne ce n’est pas un traité de refonde de l'union européenne ou qui remplace les
ancien traité mais un traité de révision. Ce traité de Lisbonne est composer de deux traités d'un
coté le traité sur l'union européenne et de l'autre coté le traité sur le fonctionnement de l'union
européenne. Ce traité il actualise le fonctionnement institutionnelle en prenant en compte les
nouveaux États adhérants. Ce traité il permet de consacré la modernisation du fonctionnement du
marché intérieur. Il précise aussi les rapports et les compétences des États et de l'union. La charte
des droits fondamentaux n’est pas inclus dans le traité on dit que le traité y fait référence.
Section 2 : Le cadre institutionnelle de l'union européenne

PARAGRAPHE 1 : LES INSTITUTIONS DECISIONNELLES

A- Le parlement européen

Dans les traités le parlement se situe à Strasbourg mais en vérité l'essentiel des séances législatives a
lieu à Bruxelles.

1- Le rôle

En vertu de l'article 14 du traité sur l'union européenne, le parlement représente les citoyens
européens, il y a 705 députés européens élu au suffrage universelle direct par les citoyens
européens. Les députés bénéficie de la légitimité démocratique. Il exerce avec le conseil des
ministres ou de l'union, les fonctions législatives et budgétaire, il exerce des fonctions de contrôle
politique, des fonctions consultatives et puis il élis le président de la commission européenne.

2- La composition

Ce parlement européen il est composé des représentants des citoyens de l'union qui sont élu
dans les 27 États membres de l'union européenne ils sont élus pour 5 ans au suffrage universelle
direct depuis 1979. Le parlement compte 705 siège après le Brexit et il a été décidé de réduire le
nombre de siège après le départ des 73 députés du Royaume on supprimer 46 sièges mais une
réserve de siège a été conservé pour le cas où il y aurait une adhésion à l'union.

Chaque État décide de la forme, des modalités des élections sur son territoire mais il faut que les
États garanti l'égalité entre les sexes et le secret du scrutin. L'age électoral est fixé à 18 ans sauf en
Autriche l'age a été fixé à 16 ans. Les élections elle suivent de la représentation proportionnelle et
les sièges sont attribués selon le critère de population de l’État membre. Plus la population est
important plus il y a de siège il y a un seuil minimum sa veut dire qu'un État se voit au moins 6 sièges
et un seuil maximum un État ne peut pas avoir plus de 96 sièges.

Les députés au parlement européens ne sont pas regroupé par nationalité, ils sont regroupé par
affinité politique, dans les groupes politiques auxquelles appartiennent leur parti politique, pour
former un parti politique il faut un minium de 23 députés et le groupe politique doit comprendre des
membres représentants au moins ¼ des États membres. Le président il est élu pour un mandat de 2
ans et demie renouvelable soit la moitié de la législature qui est de 5 ans. Pour les présidents qui est
on font l'histoire, d’ailleurs la première présidente fut Simone Veil en 1979. Ce président est assisté
par 4 vice-président qui se charge d'un domaine spécifique.
3- Les compétences du parlement européen

Le parlement européen exerce un pouvoir législatif ce qu'on appelle le conseil de l'union ou le


conseil des ministres suivant la procédure législative ordinaire. Dans certains cas précisé par les
traité le parlement agit suivant la procédure législative spéciale. Dans tous les cas ce parlement il a
pour mission d'approuvé certaine mesure de droit dérivé de l'union européenne et parfois il est
tenu d’être consulté. Il a pour mission d’arrêter le budget de l'union européenne c'est un pouvoir
important car le budget va permettre de fonctionner les politiques de l’union, le budget s’élève à 750
milliard d'euros. Le parlement a pour mission d’élire le président de la commission européenne sa
signifie que le président de la commission est élu par les citoyens de l'union car les députés sont élus
au suffrage universelle direct. Ce parlement peut voter une motion de censure contre la
commission européenne c’est une compétence classique. Si cette motion de censure est adopter elle
provoque la démission de la commission européenne. Ce parlement européen ne dispose pas de
pouvoir d'initiative mais il peut demander à la commission européenne à la majorité de ses
membres de soumettre toute proposition approprié sur un sujet qui relève de la compétence de
l'union et qu'elle juge opportun dans le cadre du pouvoir législative de l'union. Si la commission
refuse d’initier un projet elle devra motivé son rejet c'est à dire qu'elle devra justifié les raisons pour
lesquelles elle ne fait pas suite à la demande du parlement européen. Le parlement européen
procède en séance publique du rapport général annuel qui est soumis par la commission
européenne. Enfin le parlement peut constitué à la demande ¼ de ses membres une commission
temporaire d’enquête pour examiner les allégations d'infractions ou mauvaise administration dans
l'application du droit de l'union. Ce parlement européen peu élire le médiateur européen. Ils ont crée
un parlement à travers une chambre basse d'un régime parlementaire.

B- La commission européenne

1) Le rôle

La commission européenne elle a pour mission principale de promouvoir l’intérêt général de


l'union européenne. A ce titre elle dispose de l'initiative législative, sa signifie qu'un acte législative
de l'union ne peut être adopter que sur sa proposition sauf si les traités en dispose autrement. Pour
les autres actes de droit dérivé mais pas de nature législative ceci sont adopter sur sa proposition
lorsque les traités le prévoit. Le siège ce trouve à Bruxelles

2) La composition

Elle est composé d'un ressortissant de chaque État membre y compris son président et le haut
représentant de l'union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.
3) Les compétences

La commission exerce ses responsabilités en pleine indépendance sa signifie que ses membres ne
peuvent recevoir ni sollicitation ni instructions du gouvernement d'un État membres ou encore d'un
organe ou d'une institution. Ses commissaires doivent s'abstenir de tout acte incompatible avec leur
fonction ou l'exécution de leur tache. Les États membres doivent respecter cette indépendance et
doivent s'abstenir à influencer les commissaires dans leur mission. La commission fonctionne suivant
le principe de la collégialité sa signifie qu'ils prennent ensemble les décisions commune et sa
signifie qu’il sont collectivement responsable devant le parlement européen. C'est l'ensemble des
commissaires qui démissionne dans le cas d'une motion de censure. Elle a pour rôle de proposer
des actes législative. Elle veille à l'application des traités et du droit dérivé c'est à dire des
mesures adopter par les institutions en vertu de ceci. Sa signifie que si dans le cas où un État ne
respecte pas un traité peut s'exposer à un recours mais avant la commission entre en contact, trouve
un compromis avec cette État. La commission exécute le budget européen et gère les programmes
européen. Elle exerce des fonctions de coordination des politiques d'exécution et gestion des
politiques conformément au traités. Cette commission assure la représentation extérieur de
l'union sa signifie que l'union européenne qui a la personnalité juridique donc elle peut conclure
des accords internationaux et selon les cas lorsqu'elle conclu un accord avec un tiers elle peut avoir
pour mission de représenter l'ensemble de l'union européenne pour négocier les traités. Elle peut
prendre des initiatives pour la programmation annuels et pluriannuel de l'union de manière à
parvenir à des accords entre institutions. Elle publie tous les ans un rapport général sur l'activité de
l'union européenne et le parlement européen en séance publique procède à la discussion de ce
rapport.

C- Le conseil de l'union européenne (conseil des ministres)

1) Composition et fonctionnement

Ce conseil il est formé par les représentants des États membres qui doivent être de niveau
ministérielle sa signifie qu'il est formé par les ministres des États membres. Sa signifie que si on
examine un projet de loi sur l'agriculture sa sera l'ensemble des ministres de l'agriculture qui se
réunissent ou si le projet de loi porte sur l'éducation sa sera les ministres de l'éducation qui se
réunissent, elle assure l’intérêt des États membres. Ce conseil il dispose d'une présidence assuré a
tour de rôle par chacun des États de l'union européenne selon un système de rotation prédéfini et ce
pour une période de 6 mois
2) Compétence et rôle

Ce conseil il assure la représentation et la défense des intérêts des États membres. Il exerce
conjointement avec le parlement européen les fonctions législative et budgétaire. Le conseil agit
comme une deuxième chambre (chambre bicamérale) une chambre haute. Il est aussi investi d'une
mission de coordination des actions de l'union et des États membres.

D-Le conseil européen

1) La composition et fonctionnement

Cette institution n'était pas prévu par les traité, c’est une institution qui est né de la pratique. C'est
l'héritière des conférences au sommet du début des années 60. En 1974 on prend acte de cette
pratique et on institue le conseil européen avec un principe périodique et programmé. C'est avec le
traité de Lisbonne que le conseil européen devient une institution avant ce traité il n'avait pas de
statut officiel. Ce conseil il réunie les chefs d’état et de gouvernement des États membres l'union
dans le cas des réunions est invité le président de la commission européenne et le haut représentant
de l'union pour les affaires étrangères et les politiques de sécurité. On a une représentation via les
chefs d’état et de gouvernement. Il y a une forme de déséquilibre des représentations au sein de
l'union européenne.

On a une institution qui représente l'union à savoir la commission européenne, une institution qui
représente les citoyens européens à savoir le parlement européen, une institution qui représente les
États à savoir le conseil de l'union et depuis le traité de Lisbonne une institution qui représente une
deuxième fois les États le conseil de européen.

Cette institution elle dispose d'une présidence du conseil européen, ce président il est élu par les
membres du conseil européen à la majorité qualifié pour une durée de deux ans et demie et
renouvelable une fois. Ce président ne peut pas exercer de mandat national, il est chargé de présidé
et d'animer les travaux du conseil européen. Il a un rôle de représentation extérieur de l'union et
surtout il assure un dialogue avec les autres institutions européenne. Ce conseil européen il ce
prononce par consensus sauf si les traités en dispose autrement. L'article 4 du traité prévoit que ce
conseil se réunie deux fois par ans sous la présidence du président du conseil. C'est Charles Michel
de nationalité belge qui exerce la présidence du conseil européen.

2) Compétence et rôle

Ce conseil va représenter l’intérêt des États, il a une légitimité interétatique et il a un rôle


d'impulsion politique sa veut dire que le conseil européen décide des grandes orientations de
l’union européenne donc il décide de la politique de l'union européenne. La commission
européenne elle concrétise ses orientations à travers les propositions d'acte normative. Dans
l’émission certains disent qu'il y a une concurrence entre le rôle de la commission européenne et le
rôle du conseil européen.

PARAGRAPHE 2 : Les autres institutions


A- La cour de justice de l'union européenne

Elle se trouve au Luxembourg, elle comprend deux juridictions d'un coté la cour de justice et de
l’autre coté le tribunal. Il y avait aussi un tribunal de la fonction publique crée en 2004 puis
finalement éliminé en 2016 qui a transférer toute ses compétences au tribunal dans le cas d'une
réforme. Cette cour est spécifique, chaque État membres peut s'y exprimer dans la langue nationale
ce qui fait de la cour de justice de l'union européenne une institution multilingue, pas d'équivalent
puisque toute les langues sont des langues officiels de l'union européenne il y a en tout 24 langues
dans l'union européenne. La langue de travaille de la cour reste le français tous les arrêts sont
rédigés en français. Cette cour de justice est composé de 27 juges et de 11 avocats généraux donc
elle est formé d'un juge par État membres et vient s'ajouter les avocats généraux et le tribunal est
composé de deux juges par État membres. Ses juges et les avocats généraux sont désigné par les
États membres après avoir consulté un comité qui est chargé de donner un avis sur l'adéquation des
candidats à l'exercice des fonctions. Ils ont une expérience dans l'exercice de leur fonctions, leur
mandat est de 6 ans renouvelable. Ils sont choisis,garantis d'indépendance pour l'exercice des plus
hautes fonctions juridictionnelles ou qui possède des compétences notoire. Les juges désigne parmi
eux un président et un vice président pour une période renouvelable de 3 ans.

Les avocats généraux ils assistent la cour ce sont des juges et ils doivent traiter l'affaire en toute
impartialité et en toute indépendance mais il traite l'affaire individuellement ils rendent un avis sur la
décision qui doit être prise donc ce qu'on appelle les conclusions de l'avocat général sont rendu
avant la décision définitive de la cour. Il arrive que la cour de justice de l'union ne suive pas les
conclusions de l'avocat général.

2) Le rôle

La cour a vocation à garantir le respect du droit de l'union européenne et elle assure le respect du
droit dans l’interprétions et l'application des traités. L'essentiel du travail de la cour relève des
questions préjudicielles se sont des questions posé à la cour par les juridictions des États membres
quand elle rencontre une difficulté d'interprétation du droit de l'union ou un doute sur la validité de
la valeur de l'union. Le recours en constatation de manquement il est sanctionner à toute État qui
ne respecte pas les obligations qui leur incombe. Le recours en annulation c'est un recours qui vise
à obtenir l'annulation d'un acte du droit de l'union ce droit de l'union n’est pas conforme au traité.
C'est un recours qui peut être formé par les institutions de l'union mais aussi par les États membres
de l'union et enfin par les particuliers. Le recours en carence c'est de sanctionner les institutions
européenne lorsque celle ci on omis d'adopter un acte qui porte sur un domaine dans lequel elles
doivent agir on sanctionne l'inertie d'une ou plusieurs institution.

Fonctionnement du système contentieux de la cour


Cette cour siège sur l'importance de l’affaire suivant 3 formations de jugement plénière grande
chambre de 3 à 5 juges. L'assemblée plénière elle est saisis des cas particuliers, dans le cadre d'une
démission d'un commissaire qui a manqué à ses obligations dans le cadre de ses fonctions ou des
affaires exceptionnelles c'est l’assemblé plénière qui se prononce. Elle siège dans une grande
chambre lorsque l'affaire est complexe, elle réunie 13 juges. Les autres affaires sont examiner par des
chambres à trois ou cinq juges.

B- La banque centrale européenne

Cette banque centrale elle a été fondé en 1998 par le traité sur de l'union européenne et elle agit
avec le système des banques européennes qui compte les 27 États membres de l'union pour rappelle
19 de ses États ont adopter l'euro et constitue a eux la zone euro. Elle Forme l'euro système . La
banque centrale européenne elle est doté de la personnalité juridique et agit en toute indépendance.
Elle a son propre budget indépendant que celui de l'union européenne. Elle peut adopter des
règlements contraignant dans son domaine de compétence qui lui a été attribué. Sa mission est
d'assurer la gestion de la monnaie et la stabilité de la monnaie unique l'euro et elle est charger
de mettre en œuvre la politique économique de l'union l'objective c'est de maintenir la stabilité
des prix. Elle autorise l’émission des billets de banque des États de la zone euro. On trouve le conseil
des gouverneurs, le directoire et le conseil général. La présidente c'est Christine Lagarde qui dirige la
banque centrale européenne.

C- La cour des comptes européenne

La cour des comptes n'a pas de pouvoir juridique son but est d'améliorer la gestion du budget
de l'union et de rendre compte de la situation financière de l'union. Elle contrôle les recettes et
les dépenses de l'union de manière à vérifié si les recettes son correctement collecter et dépenser
et qu'ils sont investi pour produire de la valeur ajouté. Elle contrôle aussi les personnes et les
organisations qui gère les fonds de l'union l’européenne, elle peut procédé à des contrôles
aléatoire au sein des institutions et des États qui reçoivent des aides de l'union européenne. Elle
consigne toute les constations dans un rapport qui est envoyé à la commission européenne et au
États membres. En cas de soupçon de cas de fraude, de corruption, de prise d'illégal d’intérêt elle
doit saisir l'office européen de lute anti fraude. Elle envoie un rapport annuel au parlement européen
et au conseil et c'est sur la base de ce rapport que le parlement décide si il approuve la gestion du
budget par la commission. Elle publie des avis, elle propose pour aider à mieux géré les fonds et à
rendre compte aux citoyens. Elle doit mener en toute indépendance ce qui implique qu'elle est libre
de décider ce qu'elle contrôle, comment elle effectue le contrôle et comment et quand elle présente
ses conclusions.

Section 2 : Les rapports entre institution de l'union et entre le peuple

PARAGRAPHE 1 : Les rapports entre institutions

A- La désignation de la commission européenne

1) L’élection du président de la commission européenne

C'est le conseil européen qui statue à la majorité qualifié pour proposer au parlement européen un
candidat à la fonction de président de la commission européenne en tenant compte des résultats aux
élections au parlement européen. Ensuite une fois qu'une personne est proposé c'est le parlement
qui élis à la majorité des membres qui le compose. Si ce candidat ne recueille pas la majorité, le
conseil européen doit proposer une autre personne toujours à la majorité qualifié dans un délais
d'un mois. C'est la tète de liste du plus gros groupe parlementaire qui devra être proposer comme
président de la commission parlementaire. Le faite que le conseil européen tient compte des
élections au parlement européen est une innovation cela augmente le poids du parlement européen
et cela renforce l'enjeu politique lié au élection européenne. Ce parlement ne peut pas prendre
l'initiative de proposer un nom pour présider la commission, son rôle se limite à un droit de veto
qu'il peut exercer sur le conseil européen. En pratique l'influence du parlement européen sera
d'autant plus grande que les parties politiques sauront s'organiser pour suggérer au conseil
européen le nom d'un candidat à la présidence de la commission.

2) La désignation des autres commissaires européen

C'est le conseil de l'union qui d'un commun accord avec le président de la commission adopte le
nom des autres personnalités qu'il propose de nommer membre de la commission européenne. Le
mandat de cette commission est de 5 ans. Le choix des personnalités sur la base de suggestion faite
par les États membres en raison des compétences de ses personnes et de leur engagement
européen, de garantie d'indépendance qu'elle offre. La garantie d'indépendance examiner par le
conseil de l'union et le parlement européen qui soumet les candidats à une audition certains
candidat ont été rejeté par certain État. Le président de la commission et le haut représentant de la
commission une fois désigner le haut représentant et le président de la commission sont soumis à un
vote d’approbation (vote d'investiture) du parlement européen.

B- La procédure législative ordinaire

Cette procédure, à l'origine le parlement n'avait qu'un rôle marginal, progressivement ce parlement a
revendiqué une place plus importante, le traité de Maastricht va décuplé le parlement européen et le
traité de Lisbonne l'actuel traité lui octroie une place égalitaire avec le conseil de l'union dans la
prise de décision législative.

Cette procédure prévoit deux lectures d'une proposition de la commission européenne par le
parlement européen et le conseil de l'union et en deuxième lecture la commission européenne peut
emmètre un avis en cas de désaccord entre le parlement européen et le conseil de l'union et donc
c'est le parlement européen qui doit tenir compte de cette avis. Si jamais le désaccord persiste on
convoque un comité de conciliation. Une fois que le comité trouve un accord cette accords passe
par une troisième lecture en vue d'une adoption finale. Si par contre il n'y a pas d'accord le projet est
rejeté et la commission devra initier un nouveau projet recommencer la procédure en tenant
comptes des désaccords exprimer. Le parlement européen et le conseil de l’union sont sur un même
pied d'égalité et les deux institutions sont complémentaire, aucune institutions ne peut adopter
d'acte sans l'autre c'est un bicaméralisme. Il existe à coté de cette procédure législative, il existe des
procédures spéciales entre le conseil et le parlement européen, il y a un déséquilibre en faveur du
conseil de l'union mais cette procédure reste minoritaire.

C- Le contrôle de la commission par le parlement européen

1) La motion de censure

Il existe tout un tas d'organe d’instrument, de contrôle de fonctionnement et de gouvernance de


l'union européenne. On va juste s'intéresser à la motion de censure. Le parlement européen va se
saisir d'une motion déposé par des députés européens contre la mauvaise gestion opéré par la
commission européenne. Le parlement européen doit se prononcer sur cette motion de censure
mais il vote 3 jour après son dépôt c'est un délais. Pour adopter la motion de censure il faut une
majorité des 2/3 des suffrages exprimés, majorité des 2/3 des États membres qui compose le
parlement. Si la motion de censure est adopter les membres de la commission doivent
démissionner et leur fonction au sein de la commission. Il expédie les affaires courantes le temps
qu'une autre commission soit nommé.

PARAGRAPHE 2 : Les rapports avec le peuple

A- L’élection du parlement européen au suffrage universel direct

Le mandat des députés est de 5 ans renouvelable et cette élection elle laisse la liberté aux États de
choisir la procédure et les modalités de son déroulement.
La procédure électorale commune, le suffrage doit être universelle, libre et secret. Le mode de
scrutin est fixé par le traité c'est un scrutin de liste à la proportionnel. Il y a de fixation ou non la liste
aux siège ce qui va permettre de surreprésentée les petits États et de sous représenté les grands
États. Pour voter il faut avoir la majorité et enfin tout citoyen de l'union qui réside dans un autre État
membre que le sien a le droit de vote et d’éligibilité aux élections européenne dans cette État. C’est
un droit garanti par l'union européenne.

B- L’initiative citoyenne européenne

Cette instrument est relativement récent il vient compléter le discours sur la démocratie
participative. L’idée elle tient au fait que les citoyens européens sont destinataires des normes
européennes et donc ils doivent participer à l’élaboration de la norme. En ayant à l'initiative d'un
nouveau texte législatif européen. Pour pouvoir initier ce projet d'acte normative il faut qu’une
proposition émane d'un comité de citoyen européen c'est à dire au moins par 7 citoyens européens
de 7 États membre différent. Une fois ce comité crée, la proposition d'initiative sera enregistré en
ligne sur le site de la commission européenne dans un délais de deux mois. Une procédure de
certification du système de collecte des signatures en ligne va s’opérer dans un délais maximale d'un
mois. Ensuite une collecte des déclarations de soutien va s’opérer par papier ou voie électronique , il
faut recueillir au moins 1 million de signatures issu de 7 États membres différents dans un délai
maximale de 12 mois. Il devront veiller à la conformité des déclarations dans un délais de 3 mois. Si
toute les règles ont été respecté ce projet fera l'objet d'une présentation devant la commission
européenne. Suite à cette présentation la commission rendra une décision motivé, si la décision est
favorable elle sera envoyé au parlement européen pour débat et adoption. Exemple d'initiative
citoyenne européenne l'interdiction des expérimentations sur les animaux.

Chapitre 2 : Le conseil de l'Europe et la convention européenne des droits de


l'homme

Section 1 : L’approche historique et les base de la construction de la grande Europe.

PARAGRAPHE 1 : LA CONSTRUCTION DU CONSEIL DE L'EUROPE

A- Une naissance lié à la fin de la guerre

C'est une construction en parallèle de l'union européenne. Après la seconde guerre mondiale est
lancé le projet de construction l'union européenne avec un objectif sauvegarder la paix en Europe.
Les européens ce rassemble en mai 1948 à la Haye pour s'engager en faveur de l'unification
européenne. Un an plus tard le 5 mai 1949 le conseil de l’Europe est crée par un traité signé à
Londres par 10 États fondateurs ses dix États sont la Belgique le Danemark la France l’Irlande, l’Italie,
le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume-Unis et la Suède.

B- L’ensemble des États européens

Polarisation dû à la Guerre froide qui a limité le conseil de l’Europe aux pays de l'est continentale.
Avec la fin de la guerre froide avec la démocratisation croissante des États européens on a pu
observer l'adhésion de la quasi totalité des États au conseil de l’Europe. D'abord en 1970 l'arrivé des
pays du sud de l’Europe l’Espagne, Grèce, Portugal première vague et puis deuxième vague à partir
de 1989 pour les États situé à l'est de l’Europe. Le seul pays qui est resté extérieur au conseil de
l’Europe est la Biélorussie et le dernier pays à ce rallié est le Monténégro en 2007.

C- L'union européenne et le conseil de l’Europe

Le conseil de l’Europe et l'union européenne sont deux institutions différente. Cette structure va être
marqué par cette grande Europe qu’est le conseil de l’Europe et une structure plus restreinte et
l'union européenne. Progressivement c'est l'union européenne qui va gagné en ampleur sont
impacte au niveau international va être important, et le conseil de l’Europe sera relégué au second
plan parfois oublié par l’opinion publique. Les deux Europe vont tenter d’acquérir une entité propre
ce qu'on peut retenir c'est que le conseil de l’Europe représente essentiellement une communauté
de valeur fondamentale fondé sur les droits de l'homme, la démocratie et l’État de droit.
L'union européenne affiche davantage une vocation économique.

PARAGRAPHE 2 : Les base du conseil de l’Europe

A- Les objectifs
Le traité indique que le but du conseil de l’Europe est de réalisé une union plus étroite entre ses
membres afin de sauvegarder et de promouvoir les idéaux et les principes qui sont leurs
patrimoines communs et de favoriser leurs progrès économiques et sociales. Derrière idéaux et
principe on attend droit de l'homme, liberté individuelle, liberté politique, État de droit en ce sens les
activités du conseil de l'Europe vise à rechercher des solutions communes aux problèmes de société.
Ce conseil devra traiter des problématiques tels que la violence , les discriminations, la
cybercriminalité etc.

B- Le siège

Le siège est à Strasbourg , certains organes du conseil de l’Europe on leur siège dans d'autre ville
c'est le cas par exemple de la commission européenne de la démocratie par le droit dont le siège est
situé à Venise.

Section 2 : La composition et les pouvoirs du conseil de l'Europe

PARAGRAPHE 1 : Les membres du conseil de l’Europe

A- Les États membres du conseil de l’Europe

1) Le nombre

Il compte 46 États partie soit 28 membres de l'union européenne auxquelles s'ajoute la plupart des
autre États européens à l’exception de la Biélorussie et la Russie. Elle compte la Turquie et certains
États comme l’Azerbaïdjan, ou encore l'Arménie.

2) L'adhésion

Globalement les règles n'ont pas évolué ils sont les mêmes que pour les États qui ont adhérer en
1949. Il faut remplir un double impératif à savoir avoir un régime démocratique pluraliste et être
un État européen.

Qu'est ce qu'il faut entendre par démocratie pluraliste ?

Il y a 3 conditions :

Procédé au sein de l'État à des élections libre, concrètement ses élections doivent se faire au
suffrage universelle. Il faut assurer un accès libre au scrutin et il faut que l’État respecte le pluralisme
des idées le pluralisme partisan. Cette condition elle fait l'objet de contrôle puisque il y a des
organes du conseil de l’Europe qui veille aux respect de ce critère.
L’État doit ratifié la convention de sauvegarde des droits de l'homme qui est crée par le conseil de
l’Europe.

L’État doit protégé les droits des minorités nationale.

Toute État dont le territoire nationale est situé en totalité ou en partie sur le contient européen et
dont la culture est étroitement lié à la culture européenne peut aspirer à devenir membre du conseil
du l'Europe.

3) L’exclusion la suspension et le retrait

C'est une spécificité on peut exclure, suspendre, un État membre, le retrait est prévu à l'article 7 du
statut tout État membre peut se retirer en notifiant sa décision au secrétariat général. La Grèce s'est
retiré temporairement puis est redevenu membre du conseil de l'Europe.

Un État qui ne rempli plus les conditions qui unissent les membres de l'organisation peut être exclu,
d'ailleurs ce système n’existe pas dans l'union européenne. Cette exclusion est prévu aux articles 8 et
9 du statut d'abord on suspend puis on exclu. Tout membre du conseil de l'Europe qui ne respecte
plus les dispositions essentielles du statut qui figure à l'article 3 peut être suspendu de son droit de
représentation et invité par le comité des ministres à ce retiré de l'organisation. C'est si l’État ne veut
pas quitter l'organisation de lui même, que le comité pourra décider de l’exclure en indiquant qui la
cesser d'appartenir au conseil à partir d'une date qu'il fixe. Si l'infraction n'est pas essentielle par
exemple si l’État n’exécute pas ses obligations financière le comité des ministres peut se contenter de
suspendre le droit de représentation de l’État en question au sein du comité et au sein de
l'assemblée. La Grèce comme exemple à la suite de ce coup d'état était sous menace d'une
procédure d’exclusion elle a choisi de se retirer de l'organisation puis elle a réintégrer la structure en
1974 après le retour du régime démocratique. La Russie a été suspendu de son droit de
représentation à l'assemblée de 2000 à 2001 à cause de sa politique en Tchétchénie. Le 16 mars 2022
le comité des ministres a lancé la procédure de l'article 8 contre la Russie du fait de la guerre en
Ukraine. La Russie suite à cette initiative a décidé de se retirer du conseil de l’Europe 26 ans après
son adhésion.

B-Les États et organisation partie aux conventions

Ce conseil de l’Europe il crée des conventions pour faciliter la collaboration entre les États et
favoriser la construction européenne.

Qui peut adhérer à ses conventions ?

1) Les États

Les conventions du conseil de l’Europe peut être ratifié par les États. Ses conventions elle ont un
large succès la France a ratifié plus de 200 conventions du conseil de l'Europe. La grande majorité
des conventions du conseil de l'Europe à l'exception de la plus importante la convention de
sauvegarde des droits de l'homme sont ouverte à la ratification par les États tiers à l'organisation.
Par exemple les États Unis ont ratifié 6 de ses conventions.

2) Les organisations internationales


Les organisations internationales à partir du moment qu'elle dispose de la personnalité juridique
peuvent adhéré aux conventions du conseil de l'Europe.

Le projet d'adhésion de l'union européenne à la convention de sauvegarde des droit de l'homme.


Cette adhésion elle a été entreprise dès 1979 puis en 1990 et en 1993. Ce projet est prévu par le
traité de Lisbonne mais elle n'a toujours pas été abouti du fait du manque de collaboration.

PARAGRAPHE 2 : les pouvoirs du conseil de l'Europe

Le conseil de l'Europe est une organisation de coopération, ses organes peuvent adopter des
résolutions et des recommandations et surtout ils peuvent élaborer des convenions mais ses
conventions ne sont contraignante que dans la mesure où les conditions en vigueur sont remplis. Par
exemple si le nombre minimale de ratification pour son entré en vigueur est atteint.

Section 3 : La structure institutionnelle du conseil de l'Europe

PARAGRAPHE 1 : Les organes principaux

A- Le comité des ministres

Il occupe une place prépondérante qui atteste de la nature intergouvernementale de l'organisation.


Ce comité constitue la véritable instance du conseil de l’Europe.

1) Composition et organisation

Le comité des ministres est composé des ministres des affaires étrangères des États membres. En
pratique il se réuni deux fois par an en mai et en novembre. Le but est de donner l'impulsion
politique indispensable aux activités de l'organisation et faire le point sur l'actualité internationale
et sur l’état de la coopération européenne. Ses réunions sont l'occasion pour les ministres de
partager leur expérience respective et de recommander pour coordonner leur politique nationale. La
présidence de comité des ministres est exercé pour 6 mois par rotation des États membres selon
l'ordre alphabétique anglais.

2) Les missions et les compétences de comités des ministres

Il exerce une triple missions, la première c'est de garantir l'expression de l'opinion des États
membres du conseil. Deuxième mission le comité permet l'élaboration collective de réponse aux
défi européen qui ont été identifié et enfin le comité de ministre avec l'assemblée sont le garant des
valeurs fondatrice du conseil de l'Europe. Il y a deux volets à ses compétences sur le plan interne à
l'organisation il exerce ses compétences par le vote du budget et par l’adoption du programme
d'activité du conseil de l'Europe. Il exerce ses compétences sur le plan européenne en transmettant
des recommandations aux États de nature politique ce n’est pas juridique. Il ne peut se substituer
au États en revanche il dispose d'un pouvoir de sanction pour la mise en œuvre des conventions et
des accords conclu entre les États membres notamment pour garantir le respect des conventions qui
vise à protégés les droits de l'homme. De la même manière le comité des ministres peut suspendre
le droit de représentation d'un État, il peut l'invité à quitter l’organisation et le cas échéant l'exclure
de l'organisation.
3) Le processus décisionnel

En théorie les décisions se prennent à la majorité qualifié des 2/3 de ses membres c'est le cas pour
les résolutions exceptionnellement pour les questions relative aux règlements financier, administratif
ou des questions d'ordre intérieur les votes se font à la majorité simple. En pratique les États
recherchent l'unanimité ce qui fait que l'abstention d'un État constitue un droit de veto.

B- L'assemblée parlementaire du conseil de l'Europe

1) La composition

Cette assemblé est composé par chaque représentants des États membres élu par les parlementaires
nationaux elle regroupe 600 membres Il suit un système de pondération en tenant compte de la
démographie, tout État a deux sièges. Certains ont 18 sièges c’est le cas de la France ou encore du
Royaume-Unis.

2) Les compétences

Cette assemblée est un organe consultative il peut délibéré, il peut formuler des recommandations
et il peut proposer des conventions. Cette assemblée parlementaire se réunie 4 fois par an pendant
une semaine au vu de se faible pouvoir elle est essentiellement un forum de discussion sur les
grandes questions en lien avec les enjeux et les missions du conseil de l'Europe. L'assemblée elle a
pouvoir de nomination puisqu'elle va élire le secrétaire général et le secrétaire général adjoint du
conseil de l'Europe sur recommandation du comité des ministres. Elle va nommer les juges de la cour
européenne des droits de l'homme sur la base des listes présenter par les États membres et par le
commissaire aux droits de l'homme. Cette assemblée est systématiquement consulté par le comité
des ministre avant l'adoption des traités européens.

3) Organisation

La duré de mandat est variable en fonction de la constitution qu'il représente. Le président de cette
assemblée est élu parmi ses membres pour un mandat d'un an ce qui est court et traditionnellement
renouvelé durant 3 années consécutives.

C- Le secrétariat général

C'est la réunion du secrétaire général adjoint et de tout le personnelle nécessaire qui est rattaché.

1) La désignation

Ils sont nommé par l'assemblée parlementaire sur recommandation du comité des ministres pour
une période de 5 ans. Ce mandat est suffisamment long, le secrétaire général n'a jamais été
reconduite dans ses fonctions. Ce président est responsable devant le comité des ministres.

2) Les compétences

Il assume la responsabilité d'ensemble de l'orientation stratégique et du budget du conseil de


l'Europe. Il doit garantir la gestion quotidienne de l'organisation internationale et il est aidé par ce
personnelle de ce secrétariat générale. Ce secrétaire s'assure du bon emploi des crédits alloué au
conseil de l'Europe et enfin il a la responsabilité d'établir un rapport annuel sur la coopération
européenne autour des grands sujets du conseil de l'Europe comme la démocratie l’État de droit la
sécurité des citoyens etc.

PARAGRAPHE 2 : Les organes secondaire et spécialisé

Ils sont nombreux on va en présenter trois.

A-Le congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l’Europe

C'est un organe qui vise à représenter les entités infra étatique à savoir les régions, les départements,
les communes de manière à ce quelle puisse influencer les décisions qui seront prise par le conseil
de l'Europe. C'est un organe secondaire il n'a qu'un rôle consultative puisque seul les États peut
parler au nom de l’entité membre du conseil de l'Europe.

B- Le commissaire aux droits de l'homme

Ce commissaire a pour mission de promouvoir l'éducation et la sensibilisation aux droits de


l'homme. Il va observer l'état des États membres identifié les insuffisances et fournir des conseilles
pour y remédier, il un rôle préventive il va pouvoir alerter face aux risque de violation des droits de
l'homme.

C- Le comité de prévention de la torture

Les membre de ce comité sont essentiellement des juristes mais aussi des médecins, des personnes
qui sont spécialisé dans les prisons et des spécialiste de la politique carcérale. Ce comité examine les
personnes qui sont privés de liberté pour renforcer leur protection contre la torture et les
traitements inhumains ou dégradants. Pour ce faire ce comité va visiter les prisons, les centres
pour les mineures, les centres psychiatriques et si il observe une défaillance il va établir des solutions
d'améliorations. Ce comité bénéficie d'un accès illimité à tout les lieux de détention et ainsi aux droit
de circuler sans limite de ceux ci. Il peut s'entretenir avec les personnes qui sont privés de liberté.

Section 4 : Le principale instrument du conseil de l’Europe : la convention de


sauvegarde des droits de l'homme

Parmi les conventions élaborer par le conseil de l'Europe c'est l’œuvre majeur de conseil. Elle a été
adopté le 4 novembre 1950 c'est l'une des rares convention a avoir été ratifié par l'ensemble des
membres de l'organisation.

PARAGRAPHE 1 : L'Originalité de la convention européenne des droits de l'homme


A- Les droits consacré par la conventions

Cette convention organise une garanti collective de certain des droits énoncé dans la déclaration
universelle des droits de l'homme.

Parmi les droits protégé on trouve 4 types de droits d'abord des droits intangibles. Sa signifie que
se sont des droits qui ne peuvent faire d'une dérogation. On peut citer l'article 3 l'interdiction de la
torture, l'article 2 le droit à la vie, article 4 le droit de ne pas être placé en esclavage ou en servitude,
l'article 7 la non rétroactivité de la loi pénal et l'article 4 paragraphe 7 l'interdiction du travail forcé et
enfin article 50 l'impossibilité de juger deux fois la même affaire.

Les droits conditionnelles se sont tous les droits que l'on trouve dans cette convention, ses droits
peuvent supporter des dérogations et des restrictions et ils doivent faire l'objet d'un contrôle de la
part des organes du conseil de l’Europe c'est le droit d'aller et venir justifié sur le fondement de la
crise sanitaire.

Les droits indirects se sont des droits qui ne peuvent pas être invoqué seul, ils doivent être invoqué
avec d'autre droits consacré par la convention par exemple le principe de non discrimination.

Les droits consacré par extrapolation par exemple l'interdiction de traitement inhumain et
dégradant garanti par l'article 3 donc sur la base de cette interdiction les États signataire de cette
convention ne peuvent pas accorder d'extradition lorsque le ressortissant en cause risque d’être
victime de ce traitement et que l’État demande l'extradition. Par conséquent on ne peut pas envoyer
une personne vers un État où la peine de mort est appliqué ou il risque de subir des traitements
inhumains et dégradants.

B- Les caractéristiques de la protection

Dans le recours entre État c'est à dire du recours, les personnes physiques se voient reconnaître un
droit au recours direct sa signifie que n'importe qu'elle personne qui se trouve sur le territoire d'un
des États partie à la convention quelque soit sa nationalité peut former un recours en invoquant la
convention de sauvegarde des droits de l'homme. Le caractère subsidiaire accordé par la convention
sa signifie que pour former ce recours il faut d'abord épuiser toute les voies de recours interne. Il est
interdit le cumul de poursuite qui relève du conseil de l'Europe et de l'ONU et plus spécifiquement
du comité des droits civils et politiques.

La cour européenne des droits de l'homme n'admet le recours qu’au profit des personnes qui risque
directement d’être affecté dans leur jouissance de leur droit. La convention ne protège pas des
problèmes hypothétiques elle ne protège que des problèmes réels.

PARAGRAPHE 2 : La cour européenne des droits de l'homme

A- Le nombre

La cour européenne des droits de l'homme est composé du nombre de juge égal au nombre d'État
parti à la convention. Les juges n’ont pas nécessairement la nationalité de l’État duquel ils ont été élu
pour assurer au micro État la possibilité d’être représenter.
B- La qualité

Selon l'article 21 de la convention les juges doivent avoir la plus haute considération morale et réunir
les conditions requises pour l'exercice des hautes fonctions judiciaires ou être des jurisconsultes
possédant une compétence notoire. Sa signifie qu’il doivent disposé d'une expérience juridique tels
que avocat magistrat et être totalement indépendant.

C- La procédure de sélection

C'est l'assemblée parlementaire du conseil de l'Europe qui est habilité à élire les juges amené à siégé
sur une liste de 3 personnalités par chacun des États membres. Les parlementaires vont auditionné
les candidats devant une commission qui est spécialement crée à cette effet. Ce processus,
l'assemblée doit effectué son choix mais seulement parmi la liste de nom proposé par les États. Il est
déjà arrivé à l'assemblée de contesté la qualité des candidats et il est déjà arrivé qu'elle rejette
purement et simplement ses listes. Pour améliorer ses conditions le comité de ministre en 2010 a mis
en place un panel consultative d'expert charger de formuler des avis aux États partie sur leur liste de
3 juges avant que la liste soit soumise à l'assemblée parlementaire.

D- Le mandat des juges

Il est de 9 sans possibilité de réélection pour renforcer l'indépendance et l'impartialité des juges. Une
limite d'age a été fixé à 70 ans. Le but c'est d’évité d'avoir des juges trop âgé qui souhaite achevé
leur carrière au sein de cette institution.

E- La révocation

Un juge ne peut être révoquer que par les autres juges c'est à dire par la cour plénière à la majorité
des 2/3 cela peut arrivé si le juge en cause ne répond plus aux conditions requise par exemple les
conditions d'indépendance et d’impartialité et qu'il n'exerce plus convenablement ses fonctions.

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