Vous êtes sur la page 1sur 17

 

La consolidation des co-entreprises en


IFRS: étude de l’impact du changement
de méthodes pour les sociétés
européennes

présenté par : Mechergui Dalel

Année universitaire: 2022/2023


1
Présentation de l’article
introduction
problématique 

L’objectif

L’aspect théorique

Étude empirique
Principaux résultat de l’étude
2
Conclusion et les limites de la recherche
Présentation de l’article
 C’est un article publié le 24 janvier 2014
 Par :David Alexander ,Pascale Delvaille , Frédéric Demerens,
Anne Le Manh et Chiara Saccon

3
Introduction
 Les coentreprises internationales représentent un moyen de plus en plus

attrayant de s'étendre sur le marché étranger tout en minimisant les risques


politiques et économiques .
 Le pourcentage élevé de coentreprises souligne la nécessité de comprendre

les e problèmes comptables liés aux coentreprises.


 Il existe essentiellement deux méthodes de déclaration des investissements

dans les coentreprises:


la méthode de la mise en équivalence
la méthode de la consolidation proportionnelle
4
Problématique

Quelles conséquences pour les sociétés


cotées européennes?

5
objectif
Cette recherche fait à :
comprendre et d'examiner les positions et les arguments de
l'IASB et des acteurs du due process ,
valider les affirmations des L'IASB dans son document
d'analyse des effets, par le biais d'une étude empirique
approfondie
 donner une brève évaluation sommaire des avantages et des
inconvénients de l'IF1R.

6
Aspect théorique
1. Pertinence du traitement comptable des coentreprises
 Les IFRS doivent être appliquées par toutes les entités qui sont parties à un partenariat.

 IFRS 11 classe les partenariats en deux catégories: les entreprises communes qui est un
partenariat tel que les parties qui en ont le contrôle conjoint et la coentreprise qui est un
partenariat tel que les parties qui exercent un contrôle conjoint ont des droits sur les
actifs nets du partenariat.
 Les IFRS exigent qu'un coparticipant comptabilise et évalue les actifs et les passifs
relation avec sa participation dans l'accord conformément aux IFRS pertinentes
applicables aux actifs, passifs, produits et charges particuliers.
 l'IASB a expliqué que l'objectif principal de l'élimination de l'intégration proportionnelle
était de « converger avec la littérature comptable américaine sur les coentreprises

7
 Plusieurs chercheurs considèrent que la consolidation
proportionnelle est la meilleure méthode de représentation car
elle permet de mieux prédire le rendement futur des capitaux
propres
 D'autres chercheurs expriment des opinions mitigées. Kothavala
(2003) trouve que les deux méthodes sont pertinentes
 2. intégration proportionnelle dans les IAS/IFRS : d'une alternative
préconisée à sa suppression

 La norme IAS 31 recommandait l'utilisation de la méthode


proportionnelle comme traitement comptable privilégié pour
les coentreprises.

8
Peu après l'émergence de l'IASB, la question de l'élimination
des choix proposés dans différentes normes, dont IAS 31, s'est
posée.
En septembre 2007, l'IASB a publié pour consultation publique
l'ED 9 (IASB, 2007) proposant de remplacer IAS 31
« Participations dans des coentreprises » par une nouvelle
norme intitulée « Partenariats ».
 En mai 2011, une version légèrement différente de l'ED 9 a
été publiée en tant que nouvelle IFRS 11 qui confirme la
suppression de l'intégration proportionnelle.

9
3.Réactions des constituants aux propositions de l'IASB
 Selon l'IASB due process handbook, les lettres de commentaires reçues après la
publication d'un exposé-sondage sont importantes dans le processus
décisionnel du Conseil.
 l'IASB reconnaît que de nombreux répondants étaient contre l'élimination de
l'intégration proportionnelle mais ne fournit pas plus de détails sur la nature des
répondants et sur leur origine géographique.

4. . Analyse des effets (discussion sur l'analyse des effets de

l'IASB pour IAS 11)


 L'analyse des effets de l'IFRS 11 « Partenariats » a été publiée par l'IASB en juillet
2011, ainsi que l'analyse des effets de l'IFRS 10 « États financiers consolidés » et de
l'IFRS 12 « Informations à fournir sur les intérêts dans d'autres entités »

10
De nombreux préparateurs et organisations impliqués dans le
processus de modification des IFRS soulignent l'importance
d'une analyse des effets.

11
Étude empirique
Compte tenu des limites de l'analyse des effets, nous avons entrepris une

étude empirique sur un échantillon plus large afin d'obtenir des résultats plus
probants sur les effets d'un passage de l'intégration proportionnelle à la mise
en équivalence.

On utilisant la méthodologie utilisée par Graham et al. On créant des bilans de

capitaux propres pro forma à partir des bilans consolidés proportionnellement


en soustrayant les passifs des coentreprises du même du total des actifs du
coentrepreneur et du total des passifs du coentrepreneur.

12
• On nous concentrant sur les entreprises européennes déclarant selon les IFRS et
utilisant la consolidation proportionnelle en 2008 et 2009.
• En analysant les rapports annuels de l'exercice 2009, nous avons recherché les
entreprises qui utilisent la consolidation proportionnelle et qui divulguent des
informations financières.
• Parmi les entreprises qui divulguent des informations sur les coentreprises, les deux
méthodes comptables sont assez équilibrées : 67 entreprises utilisent la méthode
de la mise en équivalence et 64 entreprises utilisent la consolidation
proportionnelle.

13
Principaux résultats de l’étude
les principaux résultats de nos travaux concernant les
trois objectifs :
1/Le premier objectif était d'identifier, de comprendre et
d'examiner les positions et les arguments de l'IASB et des
acteurs du due process
2/la deuxième objectif était d'évaluer la validité de l'analyse
des effets de l'IASB
3/la troisième objectif nécessite un bref commentaire
global, nécessairement subjectif, des différents arguments.

14
Conclusion
 Ce document explore les arguments conceptuels et
réglementaires concernant l'information financière des
coentreprises en vertu des IFRS. La nouvelle norme IFRS
11 impose la méthode de la mise en équivalence pour les
coentreprises, cette dernière étant contraire aux
préférences de la norme IAS 31 et à la pratique récente
dans de nombreuses entités.

15
Les limites de la recherche
 la taille de l'échantillon est petite et pourrait être
améliorée.
 la recherche peut être détaillée par industries.
 un échantillon plus large pourrait conduire à des
retraitements plus détaillés.

16
17

Vous aimerez peut-être aussi