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OPTIMISATION DE
LA GESTION DES STOCKS
FAYE D.
Laboratoire de Pharmacie galénique
UCAD
OBJECTIFS
Classer des produits pharmaceutique selon leur volume et leur
valeur dans le stock, loi de PARETO ou méthode ABC ;
Groupe B 40 % 30 %
Groupe C 50 % 10 %
PRIX DE VENTE QUANTITE CHIFFRE
PRODUITS UNITAIRE VENDUE D'AFFAIRES
A 0,2 300 60,00
B 1,5 160 240,00
C 20,25 160 3 240,00
D 3 170 510,00
E 3,8 50 190,00
F 15 100 1 500,00
G 0,5 100 50,00
H 2,5 360 900,00
I 1 140 140,00
J 20 140 2 800,00
K 2,33 120 279,60
PRIX DE % % %
VENTE QUANTIT QUANTIT CHIFFRE CHIFFRE % CA
PRODUIT UNITAIR E QUANTIT E D'AFFAIRE D'AFFAIRE CUMULE
S E VENDUE E CUMULES S S S
C 20,25 160 8 8 3 240,00 32,40 32,4
J 20 140 7 15 2 800,00 28,00 60,40
F 15 100 5 20 1 500,00 15,00 75,40
H 2,5 360 18 38 900,00 9,00 84,40
D 3 170 8,5 46,5 510,00 5,10 89,50
K 2,33 120 6 52,5 279,60 2,80 92,30
B 1,5 160 8 60,5 240,00 2,40 94,70
E 3,8 50 2,5 63 190,00 1,90 96,60
I 1 140 7 70 140,00 1,40 98,00
L 0,45 200 10 80 90,00 0,90 98,90
A 0,2 300 15 95 60,00 0,60 99,50
G 0,5 100 5 100 50,00 0,50 100,00
I.4. LA METHODE ABC (Activity
Based Costing) suite
Comment interpreter la courbe de concentration dans le cas
d’une utilisation de la methode abc pour controler l’equilibre du
portefeuille clients ?
CRITÈRES ZONE A ZONE B ZONE C
Volume en chiffre important moyen + faible
d’affaires
tenir compte des relations favorable, bon rapport faible car les frais
dominé/dominant – frais d'exploitation / marge d'exploitation risquent d'être
les clients bénéficient de trop importants
Rentabilité tarifs préférentiels
incertaine car risque de bonne, le départ d'un très bonne car les clients de
forte dépendance vis-à-vis client ne met pas cette zone sont nombreux et
d'un nombre restreint de immédiatement en péril la fidèles mais procurent un
Sécurité clients survie de la firme faible chiffre d'affaires
I.4. LA METHODE ABC (Activity
Based Costing) suite
COMMENTAIRES
La zone C est la zone la moins rentable car le volume des
affaires est faible, mais ces clients sont cependant nécessaires
au portefeuille‑clientèle.
Il s'agit alors de développer leur potentiel en ayant au préalable
fait une étude minutieuse de leurs besoins.
Si les résultats de cette analyse sont probants, il est
indispensable de rechercher des solutions afin de les aider à se
développer pour atteindre la zone B.
Néanmoins, cette attitude doit veiller à diminuer les coûts
d'exploitation afin d'améliorer la rentabilité.
II. Notion de quantité économique de
commande : loi de Wilson
Le lot économique de Harris-Wilson, c'est-à-dire la quantité
idéale de chaque commande sera
Q = √ (2*CL*X/CP)
• Q : quantité par lot
• CL : Coût de Lancement d’une commande par Commande
• X : Consommation par unité de temps
• CP : Coût de possession du stock par Unité
II. Notion de quantité économique de
commande : loi de Wilson suite
Chaque commande engendre des coûts pour l’entreprise. Ils
sont déterminés en fonction des coûts liés à
l’approvisionnement des produits.
Vous pouvez les déterminer en calculant les coûts de
transports, les coûts des salariés en charge des commandes,
les coûts d’électricité...
En général, on procède à une estimation en divisant les
coûts du service achat global par le nombre de commandes
passées.
II. Notion de quantité économique de
commande : loi de Wilson suite
Posséder un stock a un coût. Il est constitué des charges
liées au stockage (surface, manipulation...) mais aussi par les
coûts des actifs immobilisés (non rémunération, emprunts...).
Le taux de possession se calcule en divisant le coût total des
frais de possession par le stock moyen. On obtient ainsi un
pourcentage généralement de l’ordre de 15 à 35%.
II. Notion de quantité économique de
commande : loi de Wilson suite
Le graphique de Wilson
Pour mieux visualiser la quantité économique, Wilson propose
un graphique permettant facilement d’identifier la taille de lot.
Nous retrouvons 3 courbes :
Le coût de lancement : dégressif en fonction des quantités
Le coût de possession : théoriquement proportionnel aux
quantités
La courbe des coûts cumulés