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Présenté à :

Dr Najwa Houkayem

Réalisé par :
Celina Ghalloub
Rim Haj Houssein
Mouhamd Ayoubi
Ahmad Haj Houssein
A) Les Accords de Bâle :
• Les accords de Bâle désignent un ensemble d'accords
internationaux qui établissent des normes et des réglementations
pour le secteur bancaire.

• Les Accords de Bâle sont ainsi nommés car ils sont élaborés par le
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire (BCBS), dont le siège est
situé à Bâle, en Suisse.

• Ces accords visent à promouvoir la stabilité financière en s'assurant


que les banques maintiennent des niveaux adéquats de fonds
propres pour couvrir les risques auxquels elles sont exposées. Ils ont
eu un impact significatif sur la régulation bancaire à l'échelle
mondiale, influençant la manière dont les banques gèrent leurs
risques et renforcent leur position financière.
Les Accords de Bâle ont plusieurs objectifs principaux visant à renforcer la stabilité et la solidité du
système financier mondial. Voici les objectifs fondamentaux de ces accords :

1-Stabilité financière : Assurer la stabilité et la solidité du système financier mondial en établissant des
normes réglementaires.

2-Renforcement des fonds propres : Garantir que les banques disposent de niveaux adéquats de fonds
propres pour absorber les pertes potentielles et maintenir leur solvabilité.

3-Gestion des risques : Encourager une gestion des risques précise pour minimiser les risques liés aux
activités bancaires, y compris les risques de crédit, de marché et opérationnels.

4-Transparence et discipline du marché : Promouvoir la transparence en exigeant une divulgation


adéquate d’informations financières pour renforcer la discipline du marché.

5-Adaptabilité aux évolutions du marché : Être suffisamment flexible pour s’adapter aux changements
dans le paysage financier mondial et aux nouveaux défis
Les principaux types d’accords de Bâle sont Bâle I, Bâle II et Bâle III. Chacun de ces
accords représente une étape dans l’évolution des normes de régulation bancaire à
l’échelle internationale.

Bâle I (1988) a instauré des exigences minimales de fonds propres.


Bâle II (2004) a introduit une gestion des risques plus sophistiquée en catégorisant les
risques.
Bâle III (2010-2011) a répondu à la crise de 2008 en imposant des exigences plus strictes,
des coussins de conservation de capital et des ratios de liquidité.

Ces accords, développés par le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, visent à améliorer
la résilience des banques face aux évolutions du marché et aux crises financières

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