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Droit Des Stés PDF
Droit Des Stés PDF
UNIVERSITE MOHAMMED V
FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES
ECONOMIQUES ET SOCIALES
RABAT – AGDAL
LES SOCIÉTÉS
COMMERCIALES
PROFESSEUR Chakib EL OUFIR
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Droit des sociétés – S5 Droit privé Version 2009-2010
INTODUCTION
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En vertu de l’article 982 «la société est un contrat par lequel deux
ou plusieurs personnes mettent en commun leurs biens ou leur travail,
ou tous les deux à la fois, en vue de partager le bénéfice qui pourra en
résulter».
Il se dégage de cet article que le contrat de société est soumis à
trois conditions de fond qui concernent les associés, les apports, le
partage des bénéfices ; à ces conditions il convient d'ajouter une
quatrième condition d'origine jurisprudentielle : «l’affectio societatis».
A – LES ASSOCIES
S'agissant d'un contrat, les associés doivent d'abord remplir les
conditions relatives à la capacité avant de s'intéresser au nombre
d'associés exigé par la loi.
a - La capacité
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Selon le principe posé par l'article 982 D.O.C. une société peut être
constituée au moins par deux associés.
Quant aux sociétés commerciales, le nombre minimal d’associés
varie selon le type de société : 5 pour la SA, 3 commanditaires au moins
et un ou plusieurs commandités pour la société en commandite par
actions, deux pour la SARL et un seul pour la SARL à associé unique et
ce, contrairement au principe de la pluralité d’associés posé par l’article
982 D.O.C.
B – LES APPORTS
On distingue trois types d’apports.
a. Les apports en numéraire
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A – LES STATUTS
C’est l’acte fondateur de la société ; il consiste dans la rédaction et
la signature des statuts.
En principe, en vertu de l’article 987 D.O.C., le contrat de société
est simplement consensuel, c'est-à-dire que seul le consentement des
parties est nécessaire pour constituer une société ; cependant,
s'agissant des sociétés commerciales, il est obligatoire que les statuts
soient établis par écrit.
Les statuts peuvent prendre la forme d’acte sous seing privé ou
d’acte authentique. Ils contiennent des indications sur :
- l’identité de la société (forme, objet social, siège social, durée,
capital social, etc.),
- celle des associés apporteurs (nom, domicile, types d’apport,
montant, etc.),
- ainsi que les règles de fonctionnement qui la régissent (gérance 11,
tenue des assemblées, partage des bénéfices, etc.).
B - SOUSCRIPTION DU CAPITAL ET LIBERATION DES APPORTS
Une société ne peut être constituée que si tous les titres émis sont
souscrits par les associés.
Dans les S.A. et SARL la souscription au capital est exigée parce
qu'il est possible de fractionner la libération comme nous allons le voir.
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Par contre, dans les autres sociétés, les apports en numéraire doivent
être libérés intégralement dès la constitution.
Pour les S.A. la réalisation du capital se fait par des bulletins de
souscription qui doivent être établis en double exemplaire, dont l’un est
remis au souscripteur contenant un certain nombre de renseignements
sur la société.
a - La libération des apports en numéraire
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§ 1 – LA DENOMINATION SOCIALE
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multinationales
Il existe cependant des sociétés qui ne sont régies par aucune loi
nationale, il s'agit des sociétés internationales qui sont comparées par
certains auteurs aux personnes physiques apatrides, avec cette
différence qu'elles sont créées par des conventions internationales (entre
Etats) et régies par leurs seuls statuts sans être rattachées à une loi
nationale17. On peut citer comme exemples la B.I.R.D. (Banque
International de Reconstruction et de Développement) 18, le S.A.S.
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§3 – LA CAPACITE DE LA SOCIETE
La capacité des sociétés n’est pas aussi large que celle des
personnes physiques. En effet, une société n’a de raison d’exister qu’en
fonction d’une activité économique (objet social). Sa capacité se limitera
19 - Créée par la convention du 11 avril 1955.
20 Alors qu'une filiale n'a pas de personnalité morale distincte de la
société, une succursale est une annexe de l'entreprise gérée par la
société mais qui a une personnalité morale propre.
21 - HAMEL (J) et autres, op. cit., n° 420-2.
22 - C'est une société de transports aériens créée par la
convention de Yaoundé du 14 mars 1961 qui lui attribue cumulativement
la nationalité de chacun des États signataires (les Etats de l'Union
Africaine et malgache).
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donc aux actes relatifs à l’objet social défini dans les statuts ; c’est la
règle dite de la spécialité ou de la spécialisation.
Pour exercer ses droits, une société doit faire appel à des
représentants qui sont obligatoirement des personnes physiques. Ces
derniers accomplissent les actes au nom de la société. Ce sont les
dirigeants de la société qui remplissent cette fonction. Il s'agit de la
capacité d'exercice de la société qui est exercée par ses dirigeants.
§4 – LE PATRIMOINE
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§ 3 – LA SARL
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Dans les rapports avec les associés, le gérant peut accomplir tous
les actes de gestion dans l’intérêt de la société ; toutefois, les statuts
prévoient souvent une limitation de ses pouvoirs en soumettant certains
actes à l’autorisation préalable des associés (vente d’immeubles,
dépenses excessives, constitutions de sûretés, etc.).
b - Les pouvoirs du gérant face aux tiers
Dans ses rapports avec les tiers, le gérant engage la société par
les actes qui entrent dans le cadre de l’objet social, par conséquent, et
contrairement à la SARL, la société n'est pas tenue par les actes du
gérant qui dépassent l'objet social. Les clauses statutaires limitant les
pouvoirs des gérants sont inopposables aux tiers.
En cas de pluralité de gérants, chacun d’entre eux peut faire tous
les actes conformément à l’objet social.
Deux fois par an, les associés ont le droit de prendre connaissance
(et éventuellement copie) au siège social des livres comptables, ainsi
que de tous les documents sociaux utilisés par la société au cours de
son activité. A cette fin ils peuvent être assistés d’un conseiller.
Ils peuvent aussi poser des questions par écrit sur la gestion
sociale, auxquelles il doit être répondu également par écrit.
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C’est un droit impératif qui peut donner lieu, s’il n’est pas respecté
par les gérants, à des sanctions pénales (article 110).
b – L’information préalable aux assemblées
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§ 4 – LA FIN DE LA SNC
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§ 2 - LA GESTION DE LA SCS
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- par un commandité,
- soit par le quart en nombre et en capital des commanditaires.
Les décisions ordinaires, c'est-à-dire résultant d'une assemblée
générale ordinaire, sont prises à la majorité fixée par les statuts.
Par contre, les décisions extraordinaires, c'est-à-dire qui sont
prises en assemblée générale extraordinaire, donnant lieu à modification
des statuts, ne peuvent être adoptées qu'avec :
- le consentement de tous les commandités,
- et de la majorité en nombre et en capital des commanditaires.
Les clauses édictant des conditions plus strictes de majorité sont
réputées non écrites.
B - LA CESSION DES PARTS
La règle posée par l'article 27 veut que les parts sociales ne soient
cédées qu'avec le consentement de tous les associés (l'intuitu personae
oblige).
Toutefois, les statuts peuvent prévoir :
En ce qui concerne la cession des parts des commanditaires :
* la libre cession entre les associés (commanditaires ou
commandités) ;
* et pour la cession à des tiers étrangers à la société, le
consentement de tous les commandités et la majorité en nombre et en
capital des commanditaires.
En ce qui concerne la cession des parts d'un commandité, il
ressort du dernier alinéa de l'art. 27 deux limites :
* d'une part, les statuts ne peuvent prévoir la cession que d'une
partie33 des parts sociales des commandités ;
* d'autre part, cette cession ne peut être prévue qu'au profit d'un
commanditaire ou d'un tiers étranger à la société, auquel cas le
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§ 4 - LA FIN DE LA SCS
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CHAPITRE 3 – LA S A R L
La SARL était réglementée par le dahir du 1 er septembre 1926 qui
avait rendu applicable au Maroc la loi française du 7 mars 1925.
Actuellement, elle est régie par les articles 44 à 87 de la loi 5/96
qui a abrogé les dispositions du dahir de 1926.
La SARL est considérée comme une société hybride dans la
mesure où elle possède certaines caractéristiques des sociétés de
personnes et d’autres des sociétés de capitaux.
Depuis cette nouvelle loi, il est devenu possible de créer une SARL
à «associé unique».
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société. En outre, le gérant est révocable par les tribunaux pour cause
légitime, à la demande de tout associé (art. 69 al. 2).
Enfin, l’arrivée du terme ou la survenance d’un événement
personnel (incapacité, déchéance, etc.) entraînent la fin des fonctions du
gérant.
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§ 1 – INFORMATION ET COMMUNICATION
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50 V. introduction
51 La loi 20/05 a interdit de soumettre la négociabilité des actions
cotées en bourse à l'agrément des actionnaires (art.255).
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SECTION 2 – LA GESTION DE LA SA
La nouvelle loi offre désormais un choix entre deux types de
gestion de la SA : un mode traditionnel à l’instar de celui prévu par le
dahir de 1922, avec un conseil d’administration et son président, et un
type nouveau, avec un directoire et un conseil de surveillance, repris sur
la législation française elle-même inspirée du droit allemand (Vor stand
et Aufsitchtsrat)52.
En introduisant ce nouveau type de gestion, le législateur français
avait pour but de faire introduire dans le directoire (qui est -
contrairement au conseil d’administration ouvert aux non – actionnaires)
les salariés de l’entreprise et plus particulièrement les hauts cadres. Il
est cependant étonnant qu’en France plus de 99% des SA utilisent le
mode traditionnel d’administration et moins de 1% ont recours au
nouveau système avec directoire et conseil de surveillance.
Les SA ont le libre choix entre ces deux modes de gestion, soit
pour celles qui se créent, soit pour celles qui existent déjà ; la société
peut même adopter l’un d’eux lors de sa constitution, et décider de le
changer par l’autre au cours de la vie sociale, par AG extraordinaire, en
modifiant les statuts.
Nous envisagerons donc dans cette section d’abord, le type
traditionnel d’administration, ensuite, le type moderne.
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A- LE CONSEIL D’ADMINISTRATION
a – Composition
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générale ordinaire. Ils ont aussi le droit de démissionner dans les mêmes
conditions.
Les membres du conseil de surveillance peuvent être des
personnes morales, à condition d'être représentées par une personne
physique.
À noter que le président et le vice-président du conseil de
surveillance doivent être obligatoirement des personnes physiques. Par
contre, les pouvoirs et le rôle du conseil de surveillance sont différents
de ceux du conseil d'administration.
b – Pouvoirs
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Elle se tient, comme pour toutes les sociétés, dans les 6 mois qui
suivent la clôture de l’exercice. Les conditions de quorum sont de un
quart des actions sur première convocation ; lorsque l’assemblée ne
peut valablement délibérer, il doit être procédé à une deuxième
convocation, auquel cas, aucun quorum n’est requis.
b – Déroulement
Les décisions sont prises à la majorité des voix (la moitié plus une).
Tout associé peut participer aux assemblées, mais quelque fois les
statuts exigent un minimum d’actions qui ne peut être supérieur à 10.
Les participants signent une feuille de présence qui est visée par le
bureau composé d’un président, d’un secrétaire et de deux scrutateurs 61.
Après lecture des rapports des dirigeants et du commissaire aux
comptes, les résolutions sont mises aux voix (approuvées ou rejetées). À
61 Art. 134.
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§ 1 – LES ASSOCIES
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collectif (art. 20). Ils sont commerçants, par conséquent, ils doivent
remplir les conditions de la capacité commerciale.
Les associés commandités sont responsables indéfiniment et
solidairement des dettes sociales, en contrepartie, ils sont généralement
désignés comme gérants par les statuts, mais ils peuvent se contenter
d’être des associés commandités sans être gérants.
Dans la dénomination sociale de la société, seul le nom d’un ou de
plusieurs associés commandités peut être incorporé, pas celui des
commanditaires.
B – LE STATUT DES COMMANDITAIRES
Les commanditaires ont la qualité d’actionnaires et ne supportent
les pertes qu’à concurrence de leurs apports. Leur nombre ne peut être
inférieur à trois (art. 31), ce qui correspond au nombre nécessaire pour
constituer le conseil de surveillance (art. 33). Leurs noms ne doivent pas
figurer dans la dénomination sociale et ils ne peuvent accomplir aucun
acte de gestion externe sous peine d’engager leur responsabilité
solidaire et indéfinie au même titre que les associés commandités.
§ 2 – LE CAPITAL
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SECTION 2 – FONCTIONNEMENT
Quelles sont les conditions de la gérance de la société en
commandite par actions, comment se déroulent ses assemblées
générales et quels sont ses organes de contrôle ? Telles sont les
questions qui gouvernent le fonctionnement de la société en commandite
par actions.
§ 1 – LA GERANCE
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l’égard des tiers cette opposition reste sans effet, à moins d’établir qu’ils
en ont eu connaissance.
Dans les rapports avec les tiers, la société est engagée même par
les actes du gérant qui ne relèvent pas de l’objet social.
Les clauses statutaires qui limitent les pouvoirs du gérant sont
inopposables aux tiers.
La rémunération du gérant est librement fixée par les statuts ; toute
autre rémunération ne peut lui être allouée que par l’assemblée générale
ordinaire, mais avec l'accord de tous les commandités, à moins que les
statuts n’en décident autrement.
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§ 3 – LE CONTROLE DE LA SCA
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du mandat des administrateurs des SA, lorsque les statuts sont muets
sur ces questions.
a – Statut
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