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L'ATTRIBUT DE L'OBJET
Anne Buchard
2006/2 no 53 | pages 67 à 89
ISSN 0082-6049
ISBN 2801113816
Article disponible en ligne à l'adresse :
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Anne BUCHARD *
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1. L’attribut de l’objet
Il est connu que l’adjectif attribut s’accorde en genre et en nombre avec le
syntagme objet. Cet accord morphologique reflète le lien référentiel unissant
les deux constituants, l’attribut exprimant une caractéristique du référent du
syntagme nominal complément d’objet. Quoique cette propriété de l’adjec-
tif attribut de l’objet le rapproche de l’adjectif épithète se rapportant à l’objet,
son fonctionnement syntaxique montre qu’il est un constituant autonome 2.
Cette dissociation syntaxique correspond à une division de la structure in-
formationnelle : l’attribut véhicule un apport d’information à propos du com-
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(i) Dans le cas des verbes causatifs tels que laisser, rendre, faire 3 et de
certains verbes d’appréciation comme trouver, penser, croire, juger,
estimer, dire, l’objet du verbe principal est constitué par une relation
prédicative « seconde » composée de deux termes, un terme nominal
et l’adjectif attribut, celui-ci étant dès lors obligatoirement présent :
(ii) Une partie des autres verbes transitifs permettent, sous certaines con-
ditions, la présence d’un adjectif fonctionnant comme attribut de l’objet
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Pour une analyse unitaire de l’attribut du sujet et de l’attribut de l’objet
A la différence des attributs des exemples [8] et [9], cet attribut a un carac-
tère facultatif, ainsi que l’illustre [11b] :
[11] b. Elle a retrouvé un objet : son propre portrait.
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[15] Je prie le bon Dieu de le bénir, et de le rendre tel qu’il doit être pour
faire votre bonheur et pour assurer le sien. (F.-R. de Lamennais, Let-
tres à la Baronne Cottu)
[16] Je l’ai retrouvé tel qu’il était il y a dix ans. (J. Chardonne, Eva ou le
journal interrompu)
Tant dans le cas de [10] que dans le cas de [14], le constituant auquel se rap-
porte l’attribut est de construction directe et correspond au paradigme prono-
minal le / la / l’ / les. En revanche, il n’est pas possible d’avoir un constituant
de construction indirecte et un adjectif s’y rapportant à la manière d’un attri-
but. En effet, comme l’ont observé Olsson (1976) et Riegel (1981), les phéno-
mènes de pronominalisation [17b/18b] et de focalisation [17c/18c] permettent
de distinguer entre épithète et attribut :
Ces tests appliqués aux énoncés [19] et [20] mettent en évidence qu’en pré-
sence d’un complément d’objet indirect, l’adjectif est nécessairement épi-
thète (Olsson, 1976 ; Riegel, 1981) :
[19] Pierre ressemble à son frère malade. / Il lui ressemble. / *Il lui res-
semble malade.
[20] Pierre parle à sa sœur nerveuse. *C’est nerveuse que Pierre parle
à sa sœur.
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Pour une analyse unitaire de l’attribut du sujet et de l’attribut de l’objet
2. L’attribut du sujet
Afin de satisfaire à la contrainte voulant que toute forme verbale finie ait
un sujet exprimé, le sujet de la “small clause” monte en position préverbale,
comme le montre le schéma [23] :
D’après cette hypothèse, être, comme tous les verbes copules, sous-catégo-
rise un constituant composé d’un syntagme nominal et d’un élément prédi-
catif, ayant donc le statut d’argument interne.
Cette analyse se fonde principalement sur la syntaxe du pronom géni-
tif en. Comme l’ont montré Ruwet (1972) et Couquaux (1980), en génitif est
un pronom clitique complément qui ne peut avoir pour origine qu’un syntag-
me nominal inclus dans le groupe verbal et ayant donc le statut d’argument
interne 12. Ainsi, alors que [24], où en a pour origine un objet direct, est gram-
matical, l’exemple [25] est inacceptable du fait que en provient d’un sujet :
[24] Elle frôlait le livre qui cependant n’existait pas encore, elle en feuille-
tait les pages non écrites […]. (S. Germain, La pleurante des rues de
Prague)
[25] *L’auteur en a téléphoné [en = de ce livre].
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De ce qui précède, nous retiendrons que le sujet des structures à verbe copule
est un argument interne. Néanmoins, nous rejetons la représentation syntaxi-
que [22], séparant la copule de l’adjectif attribut, car elle ne rend pas comp-
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[29] a. Alors sera parfait le monde, puisque purgé du mal. (A. de Saint-
Exupéry, Citadelle)
b. *Alors sera le monde parfait.
[30] a. Surtout seront utiles les examens biologiques faits au laboratoire.
(Encyclopédie médicale Quillet)
b. *Surtout seront les examens biologiques faits au laboratoire uti-
les.
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Pour une analyse unitaire de l’attribut du sujet et de l’attribut de l’objet
Cette structure peut donc être analysée de la même manière que celle à at-
tribut de l’objet facultatif, c’est-à-dire comme l’intrication de deux prédica-
tions permise par l’identité référentielle entre le référent du sujet du verbe
intransitif et le référent du sujet de la prédication adjectivale :
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Tous les verbes intransitifs ne permettent toutefois pas cette structure, com-
me il ressort de [34] :
La distinction entre les deux classes est fondée notamment sur les critères
suivants :
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Un examen des deux classes de verbes sur la base de données Frantext fait
apparaître que les verbes intransitifs permettant la structure à attribut du sujet
sont ceux qui ont été identifiés par Perlmutter (1978) et Burzio (1986) com-
me inaccusatifs. La structure avec un attribut se rapportant au sujet est attes-
tée non seulement en combinaison avec des verbes inaccusatifs dont la forme
du passé composé comporte le verbe être :
[41] Il est venu ici […] avec beaucoup d’espoir, et il est reparti désen-
chanté. (J. et J. Tharaud, L’an prochain à Jérusalem)
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Pour une analyse unitaire de l’attribut du sujet et de l’attribut de l’objet
[42] Dis donc, Joseph, nous entrons pauvres comme Job, mais nous res-
sortirons peut-être riches comme Crésus. (G. Chepfer, Saynètes, Pay-
sanneries)
[43] Je suis sorti pensif, replongé d’un coup dans les années de mon ado-
lescence […]. (M. Tournier, Les Météores)
[44] Vous mépriser, mon ami ...- je vivais inconscient. (A. Gide, Les
Caves du Vatican)
[45] Zelten disparaît joyeux. (J. Giraudoux, Siegfried)
Les verbes que ces deux mêmes auteurs définissent comme inergatifs, ayant
comme argument unique un argument externe au groupe verbal, tendent à
refuser la présence d’un adjectif attribut :
Il est possible de traiter de manière unitaire les trois cas abordés jusqu’ici dans
le cadre de l’hypothèse inaccusative. En effet, le sujet des verbes intransitifs
de type inaccusatif correspond, tout comme l’objet d’un verbe transitif et le su-
jet des verbes copules, à un argument interne au groupe verbal. Dans la même
perspective, l’on peut rapprocher le caractère agrammatical de la structure à
attribut du sujet en combinaison avec des verbes inergatifs ([46] à [48]) de cel-
le à attribut du sujet en combinaison avec des verbes transitifs ([49] à [51]) :
[49] *Sa femme a vu son bébé heureuse / contente.
[50] *Paul a construit le décor fatigué / malade.
[51] *Marie a aidé son père joyeuse 16.
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[55] Il s’affronte deux clans au sein du comité d’action. (Ch. de Gaulle, cité
par L. Melis, 1990 :122)
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Si les phénomènes d’accord semblent indiquer que ces adjectifs doivent être
considérés comme des attributs du sujet de type facultatif, plusieurs faits
nous amènent à mettre en cause cette analyse.
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Pour une analyse unitaire de l’attribut du sujet et de l’attribut de l’objet
(i) Alors que dans les cas précédents les structures attributives acceptent
un paradigme ouvert d’adjectifs, les adjectifs sous [56-61] ne peuvent
pas être remplacés par d’autres syntagmes adjectivaux. Seule une com-
mutation avec un adverbe apparaît possible. Ainsi, par rapport à l’exem-
ple [57], bien qu’il soit tout à fait possible que « Marie ait été triste ou
encore enceinte ou dépressive lorsqu’elle a perdu ses parents », les
énoncés sous [62] sont exclus. Il en est de même de [63] à [67] :
A l’inverse, les exemples ci-dessous où les adjectifs sont remplacés par des
adverbes de manière, ne posent aucune difficulté 18 :
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[80] J’allais retourner les litières, dit-elle, je suis venue telle que j’étais,
tu penses. (G. Bernanos, Monsieur Ouine)
[81] […] à partir de cette époque, les grandes lignes des garde-temps
étaient fixées telles qu’elles sont encore en usage actuellement dans
les pendules ou les montres. (B. Decaux, La mesure précise du
temps)
[82] […] qu’il voie enfin les choses comme elles sont, qu’il se voie tel
qu’il est : faible, enfantin, un enfant révolté. (N. Sarraute, Le Plané-
tarium)
(iii) Les syntagmes adjectivaux répondent aux questions introduites par
quand…? ou de quelle manière…? qui, comme l’a fait remarquer
Blanche-Benveniste (1988), sont caractéristiques des circonstants :
[83] Quand a-t-elle perdu ses parents ? Marie les a perdus très jeune.
[84] De quelle manière Pierre a-t-il travaillé ? Pierre a travaillé seul.
[85] De quelle manière les attend-on ? On les attend peinards.
[86] De quelle manière le regarde-t-elle ? Elle le regarde goguenarde.
[87] De quelle manière a-t-elle couru vers les glaces ? Elle a couru sou-
riante vers les glaces.
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Nous concluons de ces faits que les adjectifs ci-dessus n’entrent pas dans une
relation purement « essive » avec le syntagme nominal sujet. Ils entretiennent
des rapports complexes et variés avec le verbe ayant trait au temps et à la
manière caractéristiques des circonstants 19.
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Cette contrainte nous semble provenir du fait que l’entité dont on prédique
un état, comme c’est le cas dans les structures attributives, est aussi fonda-
mentalement un thème : le constituant auquel se rapporte l’attribut doit donc
être associé à ce même rôle sémantique.
Notre analyse présente des similitudes avec celle proposée par Levin et
Rappaport (1995) pour les constructions résultatives anglaises, dans la me-
sure où les linguistes les considèrent comme diagnostic d’inaccusativité. En
effet, l’anglais dispose d’une construction soumise à une contrainte structu-
relle analogue à celle qui existe pour la structure attributive du français : seu-
le l’entité portant le rôle sémantique de thème, à savoir l’argument interne
au groupe verbal, peut être le support d’une prédication attributive résultative
(Levin et Rappaport, 1995). Un attribut indiquant l’état résultant ne peut, en
effet, se rapporter ni au sujet d’un verbe transitif ou inergatif [97], ni à un
complément d’objet indirect [98] :
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[98] *John loaded the hay into the wagon full. (Levin et Rappaport,
1995 : 41)
John a chargé le foin dans le wagon plein. (trad. litt.)
L’anglais dispose par ailleurs aussi d’une structure attributive à valeur des-
criptive, qui n’est toutefois pas soumise à la même contrainte : l’adjectif at-
tribut peut se rapporter tant à l’argument externe [102] qu’à l’argument
interne [103] (Levin et Rappaport, 1995) :
[102] Julia burned the cookies dirty. (Levin et Rappaport, 1995 : 35)
Julia a brûlé les biscuits sale. (trad. litt.)
[103] Willa arrived breathless. (Levin et Rappaport, 1995 : 58)
Willa est arrivée essoufflée.
[104] Les policiers ont retrouvé les petites filles saines et sauves.
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Il n’empêche que le français peut spécifier cet état résultant du procès ver-
bal [105/106] (Cf. Van de Velde 21). Ainsi, il est possible de gloser [105] par
« les quatre hommes ont battu Pierre jusqu’à ce qu’il soit mort » :
[105] Les quatre hommes ont battu Pierre à mort. (d’après Van de Velde)
[106] Il a cassé le vase en mille morceaux. (d’après Van de Velde)
Comme l’a observé Van de Velde, cette structure résultative est soumise aux
mêmes contraintes syntaxiques que celle en anglais : l’état résultant peut être
prédiqué d’un objet direct d’un verbe transitif [105/106] ou d’un sujet d’un
prédicat passif ou d’un prédicat pronominal, qui sont généralement considé-
rés comme des constructions verbales inaccusatives [107/108] :
[107] Pierre a été battu à mort. (d’après Van de Velde)
[108] Le vase s’est cassé en mille morceaux. (d’après Van de Velde)
Nous n’avons par contre pas repéré de cas où l’état résultant se rapporte au
sujet syntaxique d’un verbe intrinsèquement inaccusatif, tout en gardant son
sens lexical plein. On comparera sur ce point [108] avec [109], qui est inac-
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4. Conclusion
La fonction « attribut » peut être analysée de façon unitaire dans le cadre de
l’hypothèse inaccusative. En effet, si l’on considère que l’attribut est tou-
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comme dans le cas de rendre ou dans le cas de tomber quand ce verbe fonc-
tionne comme copule aspectuelle. Qu’il s’agisse de l’état concomitant ou
de l’état atteint, l’expression de l’état apparaît toujours, en français, intime-
ment liée aux verbes inaccusatifs.
NOTES
1. Cet article a été élaboré dans le cadre d’une recherche doctorale et a été
considérablement enrichi par les nombreux commentaires de ma directrice, Anne
Carlier. Je lui témoigne ici toute ma gratitude. Merci également à D. Van de Velde
et aux deux lecteurs anonymes de la revue pour leurs remarques, critiques et sug-
gestions.
2. Riegel (1991) propose une analyse détaillée du comportement syntaxique de
l’attribut du complément d’objet.
3. Comme le précise Riegel et al. (1994), on peut adjoindre à cette liste les ver-
bes conférant un titre ou une dénomination comme élire, nommer, appeler, pro-
clamer qui se construisent généralement avec un attribut nominal. En effet, élire
quelqu’un député peut être glosé par faire que quelqu’un soit député au moyen
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[1] Mais elle n’était pas encore définitive : c’est l’aîné qui l’a rendue telle
en rejetant, malgré sa peine, la requête du fantôme qui voulait repren-
dre sa place parmi les vivants. (C. Levi-Strauss, La pensée sauvage)
[2] […] si l’on ne peut diviser cette pierre angulaire en deux, il faut la lais-
ser telle qu’elle est pour ne pas mettre à bas tout l’édifice. (P. Reverdy,
Le Livre de mon bord)
[3] […] ce déchu, ce paria, - rien que son départ le faisait tel - , méritait
encore d’être préféré. (P. Bourget, La Geôle)
[4] Le frère de Rouart m’a écrit une lettre charmante mais c’est encore
par à peu près que je la juge telle : je n’y vois pas du tout, je dors.
(A. Gide et P. Valéry, Correspondance)
[5] « Eh bien, lui dit-il avec cordialité, puisque vous avez la protec-
tion d’une dame si bonne et si éclairée... on la dit telle du moins...! ».
(G. Sand, Le Meunier d’Angibault)
[6] […] il se sentait le courage de tenir tête à Chandelier, de trouver sans
l’aide de personne, dans le village hostile ou qu’il croyait tel, un hom-
me qui voiturât ses bagages jusqu’au lieu-dit... (H. de Montherlant,
Les Célibataires)
[7] Je le trouvai tel qu’autrefois, aussi bohème, aussi imprévoyant.
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