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15/09/2018

Planning du cours

DIDACTIQUE SPECIALE
1. Fiche leçon et Grille d’observation d’une leçon
2. Micro-Enseignement
DIDACTIQUE 3. Observation de classe

D’INFORMATIQUE 4. Etude de quelques concepts Informatiques

Mr B. Lamharchi

Enseignement centré sur l’élève


DIDACTIQUE SPECIALE
 Pour s’inscrire dans un enseignement actif et
éviter un enseignement classique qui
considère que l’élève n’est qu’une boîte vide
Fiche leçon et grille qu’on doit bourrer d’informations, il faut :
d’observation – Motiver l’élève
– Maintenir l’éveil de l’élève

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Comment motiver l’élève et


comment maintenir son éveil ? Préparation de la leçon

 L’utilisation d’une méthode d’enseignement active permet la


L’enseignant doit créer une situation d’apprentissage centrée sur
motivation des élèves. En effet :
l’apprenant en utilisant l’une des techniques suivantes :
– les activités préparatoires provoquent chez l’élève une volonté de
s’approprier de nouvelles connaissances ; – Questionnement (Questions / Réponses) : l’enseignant prépare
soigneusement les questions et les questions de remplacement sur un
– les moyens didactiques diversifiés facilitent à l’élève la saisie de l’objectif
sujet donné. En classe, il pose les questions aux élèves qui vont répondre,
de la leçon.
pour en faire une synthèse.
 Le professeur maintient l’éveil de l’élève par : – Travail en groupe restreint (Dynamique du groupe) : Les élèves vont
– la non monotonie de la leçon : il faut partager la leçon en plusieurs parties ; travailler en petits groupes sur des documents de travail. Chaque groupe
– la parole (haute voix et non monotone, bonne articulation et temporisation présente sa synthèse.
de l’élocution), la dramatisation des gestes et la bonne gestion de l’espace. – Brainstorming : Le professeur présente un sujet aux élèves et récolte
Le cerveau travaille continuellement sans être fatigué ; leurs idées exprimées librement, pour en faire une synthèse.
– son implication dans les activités de la classe (réponses aux questions, – Jeu de rôle : Le professeur fait jouer aux élèves une scène préparée à
travail en groupe, etc.). l’avance. Leur pose des questions auxquelles ils vont répondre pour en
faire une synthèse.
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Différentes rubriques d’une fiche leçon Différentes rubriques d’une fiche leçon

 Identification :  Prérequis : citer les prérequis qui sont liés directement à cette
séance de cours et qui sont indispensables pour acquérir les
– Module : Intitulé du module
nouvelles connaissances. Suivant son importance, le
– Leçon : Intitulé de la leçon dans le module professeur fait un test de prérequis ou le rappelle seulement
– Titre : Intitulé de la séance, il peut faire l’objet  Objectifs de la leçon : citer les objectifs opérationnels pour
cette séance. Un objectif doit faire référence au formé et non
d’un sous-titre de la leçon.
pas au formateur. Il doit être exprimé avec un et un seul verbe
– Séance: Cours/ TD / TP d’action (le verbe savoir n’est pas un verbe d’action).
– Niveau : Troncs communs scientifiques /  Activités préparatoires : lister les différentes activités
littéraires / toutes filières préparatoires prévues pour ce cours. Il faut mentionner le titre
de chaque activité préparatoire suivie de son objectif.
– Durée : Nombre d’heures

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Différentes rubriques d’une fiche leçon Différentes rubriques d’une fiche leçon

 Déroulement :  Techniques d’animation : préciser la ou les techniques


utilisées dans ce cours (Questions/Réponses, Dynamique de
– Activités du professeur groupe, Brainstorming, Jeu de rôle)
 Énumérer toutes les activités du professeur du début de la séance
jusqu’à la fin  Moyens didactiques : préciser le matériel didactique utilisé
 Il est préférable de les formuler avec des verbes d’action (tableau, vidéo-projecteur, ordinateurs, autres dispositifs) et les
– Activités des élèves documents didactiques exploités (feuille d’exercice, feuilles
 Énumérer toutes les activités des élèves du début de la séance d’activités préparatoires, schémas, etc.)
jusqu’à la fin  Évaluation : préciser les éléments à mettre en évidence pour
 Il est préférable de les formuler avec des verbes d’action l’évaluation des connaissances acquises
 Il faut éviter les phrases qui ne reflètent pas d’activité telles que
« écouter attentivement »
– Durée : Préciser la durée estimative pour chaque activité

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Liste des leçons prévues pour le tronc Liste des leçons prévues pour le tronc
commun commun

 M1 : Généralités sur les systèmes informatiques  M2 : Logiciels outils


– Définitions et vocabulaire de base – Systèmes d’exploitation
 Introduction à l’environnement Windows
– Structure de base d’un ordinateur
 Gestion des fichiers et des dossiers
 Schéma fonctionnel d’un ordinateur
– Traitement de textes
 Les périphériques  Environnement Word et saisie d’un texte
– Types de logiciels  Mises en forme

– Domaines d’application  Gestion des tableaux

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Liste des leçons prévues pour le tronc Liste des leçons prévues pour le tronc
commun commun

– Tableur  M4 : Réseaux et Internet


 Environnement Excel, saisie et mise en forme d’un – Notion de réseau informatique
tableau
 Insertion des formules de calcul – Typologies des réseaux informatiques
 Adressage relatif et adressage absolu – Avantages des réseaux informatiques
 Gestion d’un graphique – Réseau Internet
 M3 : Algorithmique et Programmation
– Notion d’Algorithme
– Instructions de base
– Structures de contrôle de base
– Langage de programmation
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Grille d’observation Grille d’observation

Cette grille se compose de trois parties  Déroulement : se compose de trois parties :


importante pour mieux mener une leçon : – Expression : Langue, voix, articulation, gestuel,
 Comportement général (ponctualité, gestion de l’espace
assiduité, relations humaines) – Relation enseignant/apprenant : comportement,
évaluation des réponses des élèves, réaction vis-
 Préparation de la leçon à-vis des questions des élèves, motivation des
– Fiche leçon : préparation convenable des élèves
différentes rubriques de la fiche leçon
– Préparation des documents didactiques

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DIDACTIQUE SPECIALE
– Leçon :
 exploitation des prérequis,
 exploitation des activités préparatoires,
 déclaration des objectifs,
 exploitation des documents didactiques,
 gestion du temps,
Micro-Enseignement et
 utilisation des outils didactiques (tableau, vidéoprojecteur, Observation de classe
ordinateur),
 techniques d’animation (Q/R, dynamique du groupe,
brainstorming, jeu de rôle),
 Travaux pratiques (partie théorique, partie pratique),
 vérification de l’atteinte des objectifs.
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Micro-Enseignement Technique du Micro-Enseignement

 Objectifs du micro-enseignement
– Préparer l’élève-professeur à la prise en charge (situation
réelle) de la classe.  Le sujet en situation simulée est filmé par caméra et visionné
par magnétoscope L’auto-observation, la confrontation avec soi
et le feed-back instantané sont à l’origine de la prise de
– Permettre une situation simulée par laquelle on essaye de conscience, de l’évaluation et de la modification des
créer un cadre réel pour permettre à l’élève-professeur de comportements du sujet en formation.
s’auto-critiquer et aux élèves-professeurs de se critiquer
mutuellement, ce qui induit un apprentissage immédiat et
mutuel.

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Identification des aptitudes Identification des aptitudes


 Aptitudes en rapport avec la motivation : renforcement,  Aptitudes en/avec le travail par groupe ou individualisé :
sensibilisation, encouragement, savoir accepter, soutenir, etc. l’apprentissage individuel, l’organisation du travail par groupe,
dialogue avec l’individu, entretien avec le groupe.
 Aptitudes en rapport avec la présentation et la
communication : explication, dramatisation gestuelle,
intonation de la voix.  Aptitudes en/avec la discipline et l’animation : comportements
attentifs, inattentifs, susciter l’intérêt, faire face aux situations
complexes.
 Aptitudes en rapport avec le questionnement : questions
d’approfondissement, de réflexion.
 Aptitudes en/avec l’évaluation : reconnaître et évaluer le
 Aptitudes en rapport avec le développement des processus progrès, diagnostiquer les difficultés, favoriser l’auto-évaluation.
intellectuels : favoriser l’apprentissage par la recherche, la
découverte et la créativité.

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Cours dans une salle informatique Cours dans une salle informatique

Dans une salle informatique, le cours doit se faire en deux  Phase de manipulation :
phases : – La supervision : faire un tour rapide pour voir si les élèves ont bien
compris la consigne.
 Phase de présentation : – L’encadrement individualisé selon les besoins des élèves et selon
les difficultés observées chez certains élèves.
Dans cette phase, il faut mettre en évidence les éléments essentiels – Voir si tous les élèves ont réalisé les opérations demandées.
qui vont permettre, par la suite, aux élèves de mener à bien les
activités demandées. Il faut éviter à ce niveau de faire un cours – Bilan :
magistral.  Réguler les différentes observations.
 Partager les réussites des élèves.

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Observation de classe Qu’observer et comment observer ?

 L’observation se fait par un groupe restreint  Le cours comme un élément d’un ensemble où il
d’élèves-professeurs prend sens
– Il faut s’enquérir du cadre dans lequel le cours observé
s’inscrit
 Objectifs de l’observation 

Au sein de quel projet pédagogique ?
A l’intérieur de quelle séquence ?
– Donner un contenu concret aux questions didactiques  Avec quels objectifs ?
– Observer avec « les orientations pédagogiques »
– Voir fonctionner un lycée – Comment prendre connaissance de ce cadre ?
 En consultant le cahier de textes de la classe
 En interrogeant le professeur

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Qu’observer et comment observer ?


DIDACTIQUE SPECIALE
 Qu’observer dans un cours ?
– Identifier clairement la nature et la visée du cours.
 A quel niveau se situe-t-il (dans quelle classe) ?
 Dans quelle partie du programme s’inscrit-il ?

Etude de quelques
– Le déroulement chronologique de la séance
 Noter les étapes successives et s’interroger sur leur fonction et leur concepts informatiques
enchaînement.
 Noter aussi la façon dont la séance est rattachée -explicitement ou
implicitement- à la séance précédente, et à la séance suivante.
 La démarche mise en œuvre

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Le concept Objet Le concept Objet

 L’environnement Windows et les applications sous-  Les objets gérés par Windows sont les dossiers et
jacentes traitent uniquement des objets : les fichiers de données (data files) et d’applications.
 Un objet est un élément qui vit dans un  Chaque objet est représenté par une fenêtre (d’où le
environnement : nom Windows).
– Envoie et reçoit des messages ;  Une fenêtre se présente sous trois formes :
– Se déplace, change de dimensions, il peut être dupliqué – Fermée : représentée par une icône ;
ou supprimé (un menu contextuel lié à l’objet met en
– Ouverte ou plein écran ;
évidence les différentes commandes agissant sur l’objet
en question) – Réduite : représentée par un bouton sur la barre des
tâches.
 Les objets sous Windows sont hérités par
les applications sous-jacentes
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Le concept Objet Notion de donnée en algorithmique

 Les autres applications gèrent d’autres  Pour chaque algorithme, on distingue intuitivement :
– Les données d’entrée : ce sont les données fournies à
objets, tels que : texte, image, tableau, l’algorithme.
graphique, feuille de calcul, cellule, dessin, – Les données de sortie : ce sont les résultats produits par
l’algorithme.
etc.
– Les données intermédiaires : ce sont les données de travail de
 Pour mener correctement un cours sur les l’algorithme, servant aux manipulations internes (compteurs,
données de stockage des résultats intermédiaires, etc.).
logiciels outils, il faut mettre en évidence la
 L’ensemble des données d’entrée et des données de
gestion des différents objets. sorite d’un algorithme constitue le paramétrage de cet
algorithme.

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Notion de donnée en algorithmique Origine des instructions de base

 Pour définir une donnée, il faut préciser son nom, son  Tout le traitement au niveau de l’unité centrale se
type, son utilisation et sa nature. passe à travers la mémoire centrale. Ainsi, on
 Nom d'une donnée : Il sert à désigner la donnée dans l’algorithme. Il accède à une case mémoire soit en lecture soit en
est représenté par une chaîne alphanumérique.
écriture :
 Type d'une donnée : Le type d'une donnée caractérise les valeurs
que peut prendre cette donnée ainsi que les actions autorisées sur  L’accès en lecture se fait soit en interne soit en
celle-ci. externe :
 Utilisation d'une donnée : L’utilisation d’une donnée désigne sa
– Accès en lecture interne : de la mémoire vers l’unité
caractéristique dans l'algorithme : donnée d’entrée, donnée de sortie
ou donnée intermédiaire. arithmétique et logique (UAL), permet de lire les valeurs des
 Nature d'une donnée : La nature d’une donnée désigne sa
données se trouvant dans une expression arithmétique (ou
caractéristique constante ou variable dans l'algorithme. logique), afin de son évaluation.

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Origine des instructions de base Origine des instructions de base

– Accès en lecture externe : de la mémoire vers les – Accès en écriture externe : des périphériques d’entrée
périphériques de sortie (écran, imprimante, etc.) ou vers les (clavier, etc.) ou des unités de stockage vers la mémoire.
unités de stockage. Ce qui est réalisé grâce à l’instruction Ce qui est réalisé grâce à l’instruction LIRE().
ECRIRE().
 L’accès en écriture se fait soit en interne soit en
externe :
– Accès en écriture interne : de l’unité arithmétique et logique
(UAL) vers la mémoire, permet d’écrire le résultat d’une
expression arithmétique (ou logique) dans une case
mémoire. Ce qui est réalisé grâce à l’instruction
d’affectation.

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Imbrication des structures sélectives Notions de boucles

 L’imbrication des structures sélectives est souvent très  Nous avons constaté que les apprenants donnent souvent des
complexe à mettre en évidence. Une redondance de algorithmes incomplets reposant sur une analyse non bien
conditions peut apparaître dans un raisonnement mal fondée.
mené. De plus, souvent les programmeurs débutants  En basant l’analyse sur la détermination des trois éléments
sont amenés à utiliser des expressions logiques plus composant une boucle, à savoir :
– Le terme initial : caractérisé par les actions d’amorçage du processus à
complexes d’où une source d’erreurs. D’autre part, le répéter. Ces actions viennent avant la clause débutant la boucle.
programmeurs oublie facilement un cas parmi les cas qui – Le terme général : caractérisé par l’ensemble des actions constituant le
doivent être mis en évidence. Une solution efficace pour processus à répéter. Ces actions constituent le bloc de la boucle.
résoudre facilement un tel problème est d’utiliser une – Le nombre d’itérations ou le test d’arrêt : caractérisé par l’intervalle de
valeurs que va prendre la variable Compteur au niveau de la boucle
arborescence binaire. Deux cas sont possibles : soit POUR ou par la condition évaluée dans les boucles TANTQUE et
construire l’arbre binaire d’une manière ascendante, soit REPETER…JUSQUA.
le construire d’une manière descendante.
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Notions de boucles Notions de boucles

 Nous avons constaté une nette amélioration chez les  Etape 1 : On a : S1 = 2 + 4 On remarque que le 2ème opérande 4=2*1+2
 Etape 2 : On a : S2 = S1 + 6 On remarque que le 2ème opérande 6=2*2+2
apprenants concernant la maîtrise des boucles. En plus les
 Etape 3 : On a : S3 = S2 + 8 On remarque que le 2ème opérande 8=2*3+2
solutions données par les différents apprenants sont similaires.  …………………..
Exemples :  Etape (N-1) : On a : SN-1 = S N-2 + 2N On remarque que le 2ème opérande 2N=2*(N-1)+2
– Écrire un algorithme qui permet de calculer la somme des N premiers  On conclut donc que pour la somme partielle Si de l’étape i, le 1er
entiers positifs pairs (N entier > 0). opérande est la somme partielle Si-1 calculée à l’étape (i-1), et le 2ème
Analyse : opérande est calculé à partir du rang de
– Le problème consiste à calculer la somme : S = 2 + 4 + 6 + 8 + … + 2N. l’étape i ; soit le terme (2*i+2).
Ceci revient à effectuer (N-1) opérations d’addition (répétition d’additions).  A l’étape 1, si on prend S0 = 2, on aura S1 = S0+(2*1+2). On peut définir
Or, l’opération d’addition est une opération binaire qui a besoin de deux ainsi le terme général Si = Si-1 + (2*i + 2) pour 1  i  N-1, le terme
opérandes. Trouvons, pour chaque opération d’addition, les deux
opérandes correspondants :
initial S0 = 2 et le nombre de répétitions (itérations) = N-1. Ceci
complète les éléments constituant la structure d’une boucle.

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Notions de boucles Sous-programmes et paramètres formels

Remarque :  L’utilité de l’utilisation des paramètres formels dans les


 Le 2ème opérande peut être calculé aussi à partir du 2ème différents sous-programmes (procédures et fonctions) est
opérande calculé dans l’étape précédente. Ainsi on considère importante pour une meilleure programmation modulaire.
que le 2ème opérande est calculé grâce à une donnée U. On  La détermination des paramètres formels pour un sous-
aura, par conséquent : programme donné était une chose difficile à maîtriser ; les
– Terme initial : S0 = 2 ; U0=4 apprenants se trompaient souvent sur le nombre de paramètres
– Terme général : Si = Si-1 + Ui-1 ; Ui = Ui-1 + 2 qu’il faut mettre et surtout sur leur type (paramètre formel par
– Nombre d’itération : N-1 ou Test d’arrêt : U > 2N valeur ou paramètre formel par adresse).
 On disait souvent que si le paramètre formel change de valeur
dans le corps du sous-programme alors c’est un paramètre par
adresse et sinon il est par valeur.

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Sous-programmes et paramètres formels Sous-programmes et paramètres formels

 Chose qui n’est pas toujours vraie car on peut par exemple diminuer la – Si une donnée représente en même temps une donnée d’entrée et une
taille d’un tableau dans une procédure de tri, mais la taille reste donnée de sortie le paramètre formel associé doit être par adresse.
toujours un paramètre formel par valeur dans cette procédure (on dit – Les paramètres formels, associés à une fonction, ne représentent que les
alors que la diminution de la taille est une action intermédiaire dans données d’entrée de celle-ci (le seul résultat est retourné par la fonction) ;
le tri). Nous avons déduit que la définition exacte de la liste des par conséquent, ils doivent normalement être transmis par valeur.
paramètres formels en nombre et en type repose sur ce qui suit : Exemples :
– Un sous-programme se comporte comme un programme, donc lui aussi
– Procedure Rectangle (ByVal X0, Y0, Long, Larg : Entier)
admet des données d’entrée, des données de sortie et des données
intermédiaires. – Procedure Echange (ByRef A, B : Entier) ;
– Les données d’entrée et les données de sortie constituent les paramètres – Prodedure Tri (ByRef T : Tableau, ByVal Taille :Entier)
formels du sous-programme, tandis que les données intermédiaires – Fonction Minimum (ByVal X, Y : Entier) : Entier;
constituent les variables locales de celui-ci.
– Les données d’entrée constituent les paramètres formels par valeur et les
données de sortie constituent les paramètres formels par adresse.

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