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INTRODUCTION
O.1. PROBLEMATIQUE
Depuis de nombreuses années, à force de constater que le bien être de salarié prend plus d’importance au sein de
l’entreprise, celle-ci cherchent de plus en plus à le motiver et à favoriser son épanouissement. Toutefois, bien qu’il se valorise
dans les entreprises, on constate que cette valorisation est omise dans l’actif du bilan, document qui récapitule l’outil de
l’entreprise.[1]

Toute entrepris commerciale, industrielle, publique ou privée nécessite une main d’œuvre bien formée et qualifiée afin d’offrir un
service des qualités aux clients dans les meilleurs conductions de coût et de répondre à l’obligation d’information se voit dans la
nécessité d’organiser un service de rémunération de façon claire, nette et méthodique pour une meilleure prise en charge du
facteur du travail.

En outre, la théorie du capital humain construite par analogue à la théorie du capital physique a ou financier, est formée de
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trois éléments qui ensemble, déterminent une certaine aptitude de l’individu au travail, les connaissances, les expériences et les
avoirs.[2]

Le travail considère comme une ressource homogène dans le développement économique, est une quantité de pouvoir humain
disponible pour produire des biens et services, alors si l’on songe au rôle prépondérant du travail manuel dans l’ensemble des
opérations qui conduisent à la production des biens et services fournis par l’industriel, si l’on songe au chiffre d’affaires
considérable que représente la rémunération de la main d’œuvre dans l’économie d’un pays et à l’influence sociale d’une
rémunération différentielle de travailleurs, on peut a bon droit s’étonner sur la mesure exacte du travail et le niveau de qualification
d’individus indifférents des générations dans les entreprises.

Cet étonnement s’accroit encore plus lorsque, ayant appris à mesurer le travail manuel, on arrive à constater son faible
rendement par rapport à l’usage de la technologie.

A cet effet, la littérature économique souligne que les individus peuvent améliorer leur productivité par des actes volontaires
d’investissement dans l’éducation car accumuler encapital humain par l’intermédiaire de l’éducation par exemple contribue
positivement à la croissance par l’entremise de l’accroissement de la productivité.[3]

L’idée de l’entreprise est que le capital humain est un stock immatériel imputé à une personne pouvant être accumulé et
s’user. Cette notion a été principalement développée par G.BEKER qui considère que les dépenses de formation aident à
constituer un capital humain au même titre que les dépenses d’investissement des entreprises conduisent à la création du capital
humain.[4]

L’homme acquissent entant premier des connaissances grâce à la formation générale c'est-à-dire son éducation, celle-ci
procède à des investissements monétaires, tels que le coût de production et des biens non monétaires ; comme la perte des
temps, le coût d’opportunité et il attend que ceci soit rentabilisée.

Cette rentabilité prend la forme d’un salaire plus élevé lors de son entré dans la vie active. Toute fois ce salaire constitue
une charge pour l’entreprise évalué normalement en fonction du niveau d’étude des employés et non de sa productivité, une part
importante de connaissances à son emploi est spécifique à chaque entreprise telle que l’utilisation d’équipements particuliers,
l’éducation et la formation sont considérées comme des investissements que l’individu effectue rationnellement afin de constituer
un capital productif inséparable de sa personne ; Il influera sa production par ses connaissances

Par ailleurs, la forme que s’est choisie toute entreprise en matière de traitement de ses personnels et de la stratégie de sa
compétitivité influent sur le volume et la qualité du personnel de l’entreprise.

Dans ce cas de véritable défit (structurels et conjoncturels) de la SNEL résident dans l’inefficacité de gestion sur le plan de
recouvrement de ces créances, minimiser les charges financiers, assurer la liquidité suffisante….. Et autant d’objectif et moyen
mis en œuvre par la gestion de flux de ces créances.

Au-delà de ces problèmes qui guettent les entreprises Etatique dans la poursuite de leurs objectifs, il figure aussi le manque de
moyen pour être plus performent, pourtant il est possible d’arracher un financement et s’approvisionner à moins cher et démener
un politique marketing de l’efficacité de son produit.

La durabilité d’une entreprise est tributaire de plusieurs facteurs notamment l’homme, l’argent, l’environnement, etc… La
combinaison de ces facteurs en proportion variable aboutit à la production des biens ou des services, selon que l’entreprise se
soit fixé tel ou tel objectif social.

La théorie économique nous apprend que toute production doit avoir comme fin la satisfaction des besoins et cette dernière
exige que le bien produit parvienne aux consommateurs, ce qui suppose à supporter.[5]

Aujourd’hui on constate que la non satisfaction de la population en énergie électrique est causé par l’irrégularité du courant
électrique d’une par la facturation forfaitaire d’autre part, cela engendre la manque de confiance des abonnées au sein de la
société et le non-paiement de la totalité du montant facturé par la société.

Pour ce faire, dans le cadre de l’analyse de la rémunération dans une entreprise publique cas de la SNEL ; nous rendrons à
répondre aux différents questions ci-après :

Quel est le niveau d’embauche du capital humain et les modes d’embauche au sein de la SNEL ?
Quel est le niveau de rémunération et son impact sur le rendement de travail des agents ?
Les stratégies de gestion du personnel de la SNEL permettent-elles d’aboutir à un rendementmaximal et l’attente des
objectifs

0.2. HYPOTHESE
Selon R.PINTO et M.GWAWITZ ; l’hypothèse est définie comme étant une proposition des réponses provisoires que l’on se
pose a propos d’un objet de la recherche formulée en terme tel que d’observation et l’analyse puissent fournir une repose .
[6]

Ainsi dans le cadre de la problématique ci haut posée émettons les hypothèses selon lesquelles

1. Le niveau et le mode d’embauche du capital humain détermineraient le niveau de performance des agents sur le rendement
de travail a la SNEL.
2. Le niveau de rémunération aurait un impact positif sur le rendement de travail des agents a la

3. Les stratégies de gestions à la SNEL sembleraient inefficaces pour permettre les agents d’aboutir à un rendement maximal
voir l’attente des objectifs.

0.3. CHOIX, INTERET ET OBJECTIF DU TRAVAIL


La bonne intégration des travailleurs repose largement sur la qualité du système de rémunération adopté, être mal
rémunéré c’est peut être vivre mal mais c’est également être atteint dans sa dignité, [7]

C’est pourquoi nous avons voulus orienter ,notre étude dans les domaine de rémunération des agents des entreprises
publiques particulièrement ceux de la SNEL BKV ;pour examiner la façon dont ils parviennent a couvrir leurs besoins vitaux
avec le traitement qui leur sont allouées ,

Effet ; nous espérons que notre travail servira tous ceux qui s’intéressent a l’analyse de la rémunération des agents
des entreprises publiques en générales et ceux de la SNL Bukavu en particulier,

L’intérêt que porte ce travail est cependant triples ;

Sur le plan personnel :

Ce travail va nous permettre d’approfondir les connaissances sur la notion de la gestion de ressources humaines (GRH) et sur la
politique de rémunération des agents dans les entreprises Publiques cas de la SNL/BKV journaliers

Sur le plan scientifique

Ce travail constitue une base des données pour les chercheurs qui aurons à orienter leur recherche dans le même domaine;

Sur le plan social :

Ce travail est d’une grande importance, pour les personnes qui veulent avoir une connaissance sur la politique de
rémunération dans une entreprise publique et savoir plus de stratégiesutiliser pour rémunérer les agents.

Ainsi ce travail poursuit deux types d’objectifs,

Objectif global est de savoir si la politique de rémunération qu’exerce l’entreprise SNEL a de l’impact sur son rendement.

Les objectifs spécifiques sont:

-Analyser les stratégies utilisées dans des entreprises publiques cas de la SNEL Bukavu

-proposer les facteurs sur lesquels l’entreprises doivent se focaliser afin d’atteindre les objectifs assignés.

0.4. ETAT DE LA QUESTION


L’état de la question s’étend comme une centralisation tour de la théorie en vrac en rapport avec l’objet de
recherche,[8]

Ainsi donc, dans le cadre de notre travail nous avions réalisé qu’il existe des auteurs et/ou chercheurs ayant déjà abordé
différents théories et recherches similaires ou en rapport avec notre objet de recherche ;parmi eux :

1.BURHAMA NSIMIRE Chancelline dans son travail intitulé « Analyse du capital humain son impact sur la production dans
une entreprise industrielle : cas du groupe industriel du sud Kivu 2006 -2008 » aborde sa problématique et veut savoir si
GINKI organisait des formations pour son personnel et que si le capital humain influençait sa production et elle eut comme
son résultat :

Que GINKI utilise six individus dans son atelier de production sur un total de 81 individus pour l’ensemble de
l’entreprise ; et que 67% de ce personnel productif est sous qualité contre 33% qui est qualifié ;
Que GINKI organise seulement la formation anti incendie pour son personnel et que ce type de formation ne
contribue pas au développement des compétences son personnel ;
Que le capital humain productif n’influes ce pas sa production a cause de la stratégie compétitive cout poursuivie par
cette entreprise et des procédés simples utilisés pour la production des mousses flexible;ensuite le gain de
productivité s’accroit lors de l’embauche du travailleur jusqu'à l’acquittions de l’automatisme puis s’estompe en
l’absence de toute ; augmentations des salaire et toutes formation supplémentaire[9].

Contrairement à ce recherche; nous voulons analyser les modes de recrutement du capital humain et sa rémunération comme
moyen d’influencé la production de l’entreprise SNEL dans le cadre satisfaire ses clients.

2. S.ITUNGULU in « apport du marketing mix dans l’accroissement des recettes d’une entreprise industrielle en
situation de concurrence : cas du GINKI » se pose la question de savoir si la dont GINKI pratique le marketing est
efficace accroitre ses recette et conclut que GINKI considéré certains éléments de 4P à savoir
produit ;prix ;production ; place ;promotion ; mais ignore l’aspect distribution de son produit[10]

Ainsi donc, cet auteur a parlé d’une entreprise industrielle comme nous mais dans le but de savoir si la politique utilisée par la
GINKI est efficace pour accroître ses recettes. Contrairement à lui, nous voulons connaitre si seule la rémunération du
personnelle détermine la productivité au sein de l’entreprise industrielle comme la SNEL même si elle ne fonctionne qu’aussi à
vase clos.

3. JOEL MULEKA MPUNGU dans son travail portant sur « la gestion du personnel et son impact sur la productivité au
sein d’une entreprise :cas de SOGETEL CKZ à 2008 » aborde sa problématique de savoir si toute les dispositions
relatives à la bonne gestion du personnel soit-elles a application de l’auteur ; a comme résultat la gestion du personnel avait
des répercussions négatives sur la productivité dans la société et que cette dernière dépendaient aussi d’une concurrence
de la téléphone cellulaire vis-à-vis de la téléphonie d’où la clientèle préfère la téléphonie cellulaire que la téléphonie fixe ;
puis nous avons donné une piste des solutions pouvant faire que la société générale de la télécommunication ne puisse
tomber en faillite et prendre le pas vers la réalisation de ses objectifs [11]

Il s’est intéressé sur la bonne gestion du personnel et son impact sur la productivité dans une entreprise industrielle comme nous ;
par contre nous cherchons à connaître si les politiques de rémunération comme élément de la bonne gestion du personnelle
influe sur l’amélioration de rendement de travailleurs au sein de l’entreprise.

4. MAPENZI M’KYOBA Mapaixdans son travail portant sur « l’impact de l’amélioration des conditions de travail sur le
développement humain dans une entreprise » aborde sa problématique et connaitre quel est l’impact de l’amélioration des
conditions de travail et de sécurité sur le développement humain dans une entreprise.

Cet auteur a eu comme résultat nécessaire pour les entreprises de penser à leur survie et à l’augmentation de la productivité par
le moyen du développement du capital humain en améliorant les conditions dans lesquelles évoluent les travailleurs.[12]

Dans le cadre complémentaire, nous voulons aborder sur la gestion des agents à travers les conditions d’encadrement au sein
de l’entreprise qui le permettent de fournir lesmeilleurs prestations pour les développements non seulement d’eux même mais
surtout aussi pourl’entreprise.

5. NGOMB NANSONG madeleine Dédé dans son travail intitulé « Impact de la gestion du personnel sur la productivité dans
une entreprise publique : cas de la SNEL » l’auteur essayé de donner le rôle de la gestion du personnel, les stratégies
utilisées pour atteindre les objectifs ou l productivité ainsi que le point fort et faible de cette gestion.[13]

Cet étude s’accole de la nôtre par le fait qu’elle fournit des informations utiles et nécessaire sur la gestion du personnel et la
production ou le rendement de ce dernier. Contrairement à ce chercheur, nous parlerons du rôle de la rémunération comme l’une
de stratégie de gestion du personnelle permettant à l’entreprise d’atteindre les objectifs escompté.

0.5. METHODOLOGIE DU TRAVAIL


L’ensemble des méthodes et des techniques que nous confère la méthodologie, permettent de découvrir les vérités qu’elles
poursuivent. Pour la collecte, le traitement et l'analyse des données de notre travail, nous nous sommes servis des méthodes et
des techniques.

METHODES

Selon R. PINTO et M. GRAWITZ, « la méthode est l’ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une discipline cherche
[14]
à atteindre les vérités, les démontrer, les vérifier » . C’est ainsi que nous avons fait recours aux méthodes ci-après :

1. La méthode descriptive :

Cette méthode se base sur la description des faits ; leur comportement pour enfin fournir des explications relatives au
fonctionnement de l’économie. Elle nous a permis à décrire la situation de rémunération des agents au sien de leur société
nationale d’électricité SNEL Bukavu en sigle :

2. La méthode statistique

Cette méthode nous a servie de la présentation des données sous la forme des tableaux et graphique et pour évaluer en terme
économique des recettes et dépenses.

3. La méthode analytique

Est une méthode intellectuelle consistant à décomposer des données recueillies en ses éléments essentiels, afin d’en saisir et de
donner un schéma d’ensemble ou résultat. Elle nous a permis d’analyser les données recueillies sur le terrain en vue d’en retirer
celles qui seront utiles en établissant une corrélation entre elles.

LES TECHNIQUE UTILISEES

1. GRAWITZ définit la technique comme un moyen à mettre en place pour répondre à une préoccupation quelconque. La
technique est tout moyen qui permet au chercheur d’acquérir et de traiter les données dont il a besoin pour comprendre ou
[15]
expliquer un phénomène ou un sujet d’étude . C’est ainsi que dans le cadre de notre travail nous avons utilisé les
techniques suivantes :

1. Technique d’observation

Elle nous a permis d'enregistrer d'une manière systématique le comportement non verbale de l'individu, des événements des
situations d'achat ou des consommations sans communiquer d'aucune manière avec les personnes observées[16]. Elle nous a
aidé a confectionner ce travail ; elle constitue le guide de ce travail et après avoir observé certains faits au sien de la SNEL
BUKAVU.

2. Technique documentaire

Elle nous a permis de parcourir certains documents ayant trait a notre sujet l’enrichissement de ce travail ;

3. Technique d’échantillonnage

Cette technique nous permet de choisir au hasard l’unité ou les unités de l’échantillon parmi toutes les unités de la population.

4. Technique d’enquête par questionnaire

À partir du questionnaire ouvert nous avons été en mesure de noter avec précision les réponses des nos interviewés intervenant
dans le secteur sous analyse[17].

Ici il a été question de constitué d’une série des questions auxquelles nos enquêtes vont répondre par écrit et qui va nous
permettre de collecter les informations nécessaires auprès d’eux .

5. Technique d’interview

Par un jeu des questions-réponses, elle nous a permis de recueillir les opinions des certains agents de la SNEL BKV ; pour
nous rendre compte de certaines réalités.

0.6. DELIMITATION
Nos recherches porte sur l’analyse de la rémunération du capital humain et son impact sur le rendement d’une entreprise
industriel : cas de la SNL/BKV, nos études vont se dérouler dans la ville de BUKAVU le chef-lieu de la province du sud Kivu en
République Démocratique du Congo ; plus précisément a la société nationale d’électricité SNEL BKV, vont couvrir une période
allant de 2013 à 2015.

0.6. SUBDIVISION DU TRAVAIL


Hormis introduction et la conclusion ; notre travail comporte trois chapitre :

Le premier chapitre porte sur la cadre conceptuel et généralité sur l’étude;


Le deuxième chapitre porte sur l’analyse du niveau d’embauche du capital humain au sein de la SNEL,
Le dernier chapitre va s’articuler sur le niveau de rémunération et son impact sur le rendement,

0.8. DIFFICULTES RENCONTREES

La rédaction du présent travail n’a pas été facile ; nous nous sommes heurté aux difficultés de plusieurs
ordres dont notamment l’indisponibilité de nos enquêtés et l’inaccessibilité à certains documents de la SNEL BUKAVU. Ce
travail est donc le fruit de notre dévouement ; docilité ; patience et courage

[1] S. CACOT et REBOUISSOUX, le capital humain, PUF, Paris, 2001, p1.

[2] Idem

[3] J.L. ESSO et F.FALL., Distribution du cpital.num, R et D, croissance dans le pays développé, PUF, Paris.

[4] S.CATO et C.REBOUISSOUX, p2.

[5] LUCK MASTAKI, Notes cours d’économie rurale, inédit, G3 ECO, UOB/BKV, 2015-2016

[6]R.PINTO et M.GRAWITZ ; Méthodes de sciences sociales ; Paris ;Dalloz ;1971.P20

[7] D larue,Acaillar ; économie d’entreprise, éd hachette, paris 1984 page 8 .

[8]MATYABO ASAKILA, Initiation a la recherche scientifique ;cours, inédit ;G1Economie ;2006-2007 ;p7

[9]BURAMA NSIMIRE Chancelline ; « Analyse du capital humain et son impact sur la production dans une entreprise
industrielle : cas de la GINKI BKV ; 2006 2008. Mémoire inédit ; UOB.

[10]S.ITUNGULU ;apport du marketing mix dans l’accroissement des entreprise des recettes d’une entreprise industrielle
en situation de concurrence : cas du GINKI ;mémoire ;inédit ;UOB ; 2009 2010 ;

[11] JOEL MULEKA MPUNGU « la gestion du personnel et son impact sur la production au sein d’une entreprise : cas de la
SOGETEL CKZ , mémoire, inédit, CUKI 2008.

[12] MAPAIX MAPENZI M’KYOBA « impact de l’amélioration des conditions de travail sur le développement humain dans une
entreprise, mémoire, inédit, UNIKIN,2007

[13] NGOMB N.« impact de la gestion du personnel sur la productivité dans une entreprise publique : cas de la SNEL

[14]M.GRAWITZ, Méthodes de sciences sociales, Dalloz, Paris, 1993, p11.

[15]BAKENGA SHAFALI, Cours d’Initiation à la recherche scientifique, UOB/BKV, inédit, G1 ECO, 2013-2014.

[16]MWILO M., Cours de Méthodes de recherches en sciences sociales,UOB,G2 Eco, 2014-2015.

[17]PINTO et M. GRAWITZ, Méthodes des sciences sociales, Paris, Dalloz, 1964, P38.

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