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Conclusion COM S1

L’ingénieur est à la fois actif et passif face à la culture d’entreprise. Il est actif car il peut construire ou faire évoluer des
outils managériaux ou les projets de l’entreprise.
Il est également passif car il doit intégrer les différents codes, valeur et engagement de l’entreprise. On parle alors de
processus d’acculturation.
Néanmoins ce processus peut être inachevé et dans ce cas l’ingénieur peut développer des dissonances primitives
voire des dilemmes éthiques.
En qualité de futur ingénieur, il est donc essentiel qu’on comprenne les processus culturels de l’organisation afin de
pouvoir les intégrer mais surtout les accepter comme notre.
De plus, nous devons prendre conscience que les entreprises s’orientent de plus en plus vers des cultures d’entreprises
dites de responsabilité sociétale des entreprises.
Sur ce point beaucoup d’entreprises visent aujourd’hui le bien-être des collaborateurs comme valeur centrale de leur
culture d’entreprise mais il s’agit surtout d’un moyen de fidélisation de ces derniers.
Il faut concevoir la culture d’entreprise comme un ensemble de principe ou de commandement permettant de favoriser
la performance. Selon Peters et Watermann, la productivité est favorisée car la culture d’entreprise assure la cohérence
de l’entité en fédérant les individus et en améliorant leur intégration. La culture d’entreprise se décrit par différents outils
comme des codes, des chartes ou des déclarations de valeurs. Ces références sont des guides d’actions permettant de
donner du sens à l’action des collaborateurs par la création rituel, d’objet de culte et en instaurant une réelle culture du
management. Si la culture d’entreprise peut être un facteur de productivité elle peut également être un facteur de
conformité poussé à l’extrême, les collaborateurs peuvent ainsi perdre leur individualité et leur créativité.
Ainsi une culture trop forte peut être contre productive. Elle peut être également source de résistance au changement.
Avant de contractualiser notre premier embauche on doit s’interroger sur nos propres valeurs et sur les valeurs de
l’entreprise.

En conclusion, les 3 sprints du module doivent nous amener à réaliser 3 constats :

- l’ingénieur français est un corps professionnel particulier. Chargé d’appliquer des savoirs-faire scientifique et
technique et assumant des responsabilités sociétales, juridiques, managériales et éthiques.
- l’ingénieur de demain sera fondamentalement tourné vers l’international. Il est indispensable qu’il maitrise les
codes linguistiques mais aussi les codes culturels du pays d’accueil.
- l’ingénieur est un collaborateur de l’entreprise amené à respecter ses codes et à les faire accepter aux
autres collaborateurs.

A la vue de ces 3 constats, l’ingénieur est un scientifique, un super-technicien capable de manager les équipes et des
projets en respectant des codes sociaux éventuellement internationaux le tout en étant heureux de faire son travail.

Antoine t’es la ? Ababababa

DELETE from Facture

WHERE num_f = 1;
DELETE from ProduitCommande
WHERE num_f = 1;

1) Calculer le montant total d'une facture :

SELECT num_f, sum (prix_unitaire*(qte + tva))
from produitcommande natural join produit
group by num_f

1) Accorder une ristourne

On affiche les ristournes potentielles max pour chaque unité de produits :
select nom_p, prix_unitaire-prix_achat
from produit
where prix_unitaire > prix_achat

Ristourne
Select (
SELECT sum (prix_unitaire*(qte + tva))
from produitcommande natural join produit
where num_f = 1) - (
SELECT sum (prix_achat*qte)
from produitcommande natural join produit
where num_f = 1);