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2ème siécle ap. JC : Claudus Galenus (Galien), médecin grec venu a Rome
« Une atteinte du cerveau peut produire des trouble mentaux »
Il fait un lien entre lésion cérébrale et trouble mentaux.
Au cours du XVIIIe siècle le terme de démence entre dans l’encyclopédie de Diderot et d’Alembert :
« la démence est clairement séparable du délirium, elle peut atteindre des individus de tous âges
(faux), elle est chronique, irréversible et rattachée à une pathologie cérébrale »
Conception plutôt « organiciste » qui mettent l’accent sur l’organe plutôt que le point vu
psychologique.
1910-1925 : classification des démences en : séniles ou pré-séniles (selon l’âge de la manifestation)
1917 : Julius Wagner Von Jauregg : neurologue et psychiatre autrichien
- Il introduit le concept de démence curable
Observation de l’amélioration de certains déments post-syphilitiques (bine installer dans
toutes les capitales européennes) après injection de sang de malade atteints de paludisme
(« malariathérapie »)
Prix Nobel de médecine 1927
Finalement quelque temps plus tard, les patients soigner rechute, et les patients ont de nouveau
des démences et en plus la malaria.
2. critère de diagnostiques
A- Evidence d’un déclin cognitif significatif par rapport au niveau de performance antérieur dans
un domaine cognitif ou plus, sur la base :
1- D’une préoccupation de l’individu, d’un informateur bien informé ou du clinicien
2- Déficit significatif de la performance cognitive apprécié par des tests neuropsychologiques
standardisés ou, en leur absence d’une autre évaluation clinique quantifiée
A- Les déficits cognitifs interfèrent avec l’indépendance dans les activités quotidiennes (besoin
d’aide)
B- Les troubles cognitifs ne se produisent pas exclusivement dans le cadre d’un épisode de
confusion mentale aigue (délirium)
C- Les déficits cognitifs ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (dépression
majeure, schizophrénie, etc...)
Exemple :
- Mini mental state examination (MMS)
- Montréal cognitive assesment (MoCa)
- ...
Batteries éclectiques : tests autonomes ou subtests empruntés à des batteries différents et publiés
sous forme d’articles de recherche par des auteurs qui ont réalisé une étude des corrélations entre
les épreuves.
Avantage : administration à différents moments
Exemple : le protocole d’évaluation neuropsychologique optimal (PENO) du C.H. cotes- des-neiges
(Montréal)
Gnosie = connaissance, sont quasi tout le temps visuel.
Praxie = interaction avec le monde extérieur.
Troubles frontaux
Jugement altéré
Raisonnement logique perturbé
Pensée abstraite déficiente (capacité qu’on a de se représenter mentalement un objet ou un
concept que l’on a sous les yeux)
Troubles de la planification (capacité que l’on a de se projeter dans un avenir immédiat et de
faire des plans)
Trouble du comportement
Trouble de l’humeur (très fréquent)
Syndrome dépressif fréquent au stade initial
Anosognosie (incapacité de prendre conscience de son trouble pour des raisons organique)
5) Neuropathologie
5.1 atteinte multifocale du cerveau
Mort neuronale
Atrophie cérébrale
Vacuole = camion de poubelle qui prend les molécules qu’elle ne veut plus.
Contrôle de synthèse de la protéine APP (695 à 770 AA) protéine B-A4 (forme courte)
Mutation
APP muté Protéine B-A4 (forme longue à 42AA) dans les plaques séniles
B-Sécrétase Alzheimer
Y-Sécrétase
Transport axonal
Les protéine tau sont importante pour la communication interneuronale. Ils sont les agents
d’entretien.
transport Mort
neuronal neuronale
Gène ras contrôle MAPK qui va produire une phosphorisation sur les protéines Tau. Ça va faire que
les protéines tau vont s’agglutinées les unes aux autres, et donc tout boucher (car les phosphates
s’attirent et les protéines tau en sont entourées.). Mort neuronal
6.4 Dégénérescence granulo-vacuolaire
- Familles négatives pour les 3 gènes connus existence certaine d’autres loci de mutation
(gènes)
Cerveau et langage
1. Considération générales sur le langage
Monèmes
Exemple : chapeau : ch a p o
1.1. Définition
Aphasie = dérèglement des mécanismes psycho-sensori-moteurs qui interviennent dans la
perception et l’expression du langage et qui élaborent dans une région limitée de l’hémisphère
dominant pour le langage (T. Alajouanine)
Paragraphies
dysorthographiques : bcp
de faute.
Problème de
compréhension de
syntaxe quand on
s’adresse à eux.
Il faut faire des pauses
dans le discours, car c’est
saisi de manière
fragmentaire
Transcodage : passage
d’un code a un autre.
D = droit.
Apraxie bucco-faciale :
déficit du mouvement du
visage.
2.2.2 : les aphasies de type Wernicke
Paragraphie Dyssyntaxique :
n’obéit pas au loi syntaxique.
HLHD = hémianopsie
latérale homonyme droite
Patient pour chacun de
ses deux yeux a perdu la
moitié du champs visuel
droit.
GSM = impliqué dans le
langage et la phonétique.
(les neurones de doivent pas être en contact direct avec le sang sinon mort du neurone)
Imagerie morphologique.
Le détecteur transforme la quantité de rayon X reçus en énergie électrique afin d’obtenir une
valeur quantifiable
3) Chaque pixel de l’image est affecté d’un niveau de gris sur une échelle de 256 niveaux
(0=noir, 255= blanc 128= gris contenant 50% de noir et de blanc) en fonction des rangs des
valeurs UH pour chaque coupe
L’ordinateur calcule ensuite la valeur des pixels volumétrique « voxels » qui permet de
naviguer dans le volume de l’organe d’intérêt.
On ne peut obtenir un scanner qu’avec un plan axial. + ou – paraxial (+20° ou -20°)
Avantage et inconvénients :
Avantage :
Acquisitions rapides : 1,2 à 6,8 sec (tourne en 1.2 sec jusqu’a 6.8 sec) plus ça mets du temps, mieux
on voit.
Anneau pas claustrophobie
Inconvénient :
Rayon X radioactivité
Plan de coupe limité (+ ou – axial)
Infection fréquente de produit de contraste
- 1947 : Moore observe à l’aide d’un compteur Geiger-Muller que le tissu tumoral prend le
contraste après injection de certains produits radioactifs
- 1951 : la scintiencéphalographie naît du couple injection radioactive-caméra à scintillation
- Aujourd’hui, la scintigraphie est réalisée en particulier dans la recherche de lésions
cancéreuses (osseuses et pulmonaire principalement) dans les services de médecine
nucléaire des CHU.
- Technique développé dans le milieu des années 80 : première IRM installé en France à BUC
en 1983 (expérimentale) puis Marseille en 1986
- Principe : on utilise pour former une image le signal électromagnétique émis par les noyaux
d’atomes (hydrogène en particulier) des tissus placés dans un champs magnétique intense et
excités par une onde de radiofréquence appropriée
Avantage
Pas de rayons radioactifs pas de danger
Examen non invasif (sauf en cas d’injection de contraste)
Coupes dans tous les plans possibles
Diversité des modes d’acquisition meilleure lecture des images
Inconvénients
Examen assez bruyant (bruit d’un marteau-piqueur)
Tunnel examen impossible pour les claustrophobes
Développement d’appareils « ouverts », mais les champs sont bcp plus faibles qualité
d’image moindre
Composantes :
- Exogènes : latence amplitude liées aux caractéristiques physiques des stimuli (étapes
perceptives) jusqu’à 100-200 ms ex : N100 ou P200
- Endogènes : reflètent les étapes plus tardives (cognitives) du traitement de l’information
au-delà de 200ms, ex : N400 ou P600 liées a la sémantique.
Précoces 0-20ms
Semi-précoces 20-50ms composantes de nature perceptive reflétant l’intéfrité
Voir photo elyse.
Semi-tardives 50-200ms
Tardives >200ms
- Problème majeur : très faible amplitude des champs magnétiques de l’ordre de 10 -14 tesla
(mille fois inférieur au champs magnétique cardiaque et cent millions de fois inférieur au
champs magnétique terrestre)
- La MEG détection des générateurs électriques enfouis dans les profondeurs des scissures
et des sillons corticaux : s’utilise rarement seul, on le couple a une autre méthode comme
IRM.
- EEG détections des générateurs électriques localisés à la surface corticale.
- Schéma fonctionnel :
Principes :
Spect : injection d’un isotope radioactif instable se désintégrant émission de rayon gamma à
photon unique émis dans toutes les directions et a faibles énergie recueil des photons à l’aide
d’une gamma-caméra et conversion en signaux électrique mesure de constantes hémodynamiques
(débit sanguin loco-régional) calcul informatisé et reconstruction d’une image
Pet-scan : injection d’un isotope radioactif émettant une anti-particule (en se désintégrant ils
émettent un électron positif) lors de la rencontre entre l’électron positif (positon) et négatif,
annihilation et émission de 2 photons émis dans 2 directions opposées 180° et de haute énergie
mesure de la consommation de diverses molécules en fonction du marqueur par les neurones activés
calcul informatisé et reconstruction d’une image.
Pet-scan : arrivé dans les année 70 étude fonctionnelle et biochimique du cerveau humain.
Besoin de : un cyclotron (production d’oxygène 15 instable) centre de synthèse biochimique
(assemblage moléculaire H2O15) gamma caméra
Avantages et inconvénients :
- Localisation et comptage des photons facilités dans les protocoles PET
- Demi-vie des radiotraceurs plus courte dans les protocoles PET(2min) que SPECT
Investigations similaires en temps plus courts
Sen nombre plus élevés
A des doses plus élevés (précision accrue) pour un même taux d’irradiation
Meilleure résolution spatiale des protocole PET
- Cout d’acquisition et de fonctionnement moins élevés pour les centres SPECT que PET (dix
fois moins cher)
Consommation d’énergie
(1) Etude du devenir du médicament dans le corps et de l’action du corps sur le médicament
(2) Etude du devenir du corps après la prise du médicament et de l’action du médicament sur le
corps.
La résorption
La distribution
L’élimination
A. La résorption :
A. La distribution
Foie métabolise la molécule active en molécule inactive par réactions chimiques d’oxydation,
d’hydroxylation, etc...
Rein rejette la molécules dans les urines par transformation hydrosoluble.
Voir schéma.
- Loi fondamentale : une substance ne peut agir que par l’intermédiaire d’un récepteur
Récepteur : gros peptide comportant un site de réception spécifique dans la conformation spatiale
de la molécule à laquelle il appartient.
Psychotropes :
Psycholeptiques (sédatifs psychiques qui ralentissent l’activité du SNC et ont une action dépressive
sur l’humeur)
Nooleptiques (agissent sur la vigilances)
- Hypnotiques
B- Les neuroleptiques
Médicaments d’action thérapeutique liée aux modifications psychomotrices, neurologiques et
neurovégétatives qui objectivent l’imprégnation des centres méso-diencéphaliques.
A- Les psychostimulants
Médicaments d’action antagoniste au sommeil et opposé a celle des hypnotiques
A- Les antidépresseurs
Médicaments capables d’inverser l’humeur dépressive.
Actions :
Comportement : inversion de l’humeur dépressive voire euphorie
Vigilance : réduction du sommeil
Fonctions végétatives : Hypotension orthostatique / ralentissement péristaltisme intestinal /
inhibition de la sexualité (physique + libido)
- La région de Broca :
G>D : environ 75% des sujets sains (Galaburda, 1980)
- Le corps calleux :
11% (75mm2) plus grand chez les gauchers que chez les droitiers (Witelson, 1885)
En résumé :
- Asymétrie morphologique intra-individuelles
- Asymétrie morphologique inter-individuelles
Question :
- Quelle est la signification fonctionnelle de ces asymétries ?
Réponse :
- Etude des corrélations entre asymétries morphologiques et indices de latéralisation
fonctionnelle
Implications :
- Utilisation et développement des méthodes d’appréciation des localisations hémisphériques
fonctionnelles.
Tachistoscope nous permet d’envoyé des infos dans un des hémisphères cérébrale mais pas dans
l’autre.
- Brève projections au tachistoscope de mots Yiddish chez des sujets normaux droitiers lisant
le Yiddish (de droite a gauche)
HV G (HC D) ≥ HV D (HC G)
Les deux modèles de l’asymétrie hémisphérique pour le ttt des infos visuelles :
Ces deux modèle se complètent et ne se contredisent pas, tout dépend de l’information qu’on a
traiter.
Corps calleux mis en œuvre en fonction de la nature de l’information.
- Présentations tachistoscopiques
Informations maintenue latéralisée dans l’hémisphère cérébrale (sans transfert pour l’HC D)
Image HV D HC G : dénomination
Image HV G HC D : dénomination impossible
Fonctions émotionnelles
=>image à contenu émotionnelle HV D HC D : description analytique, exacte, mais
« froide »
=> Image à contenu émotionnelle HV G HC D : description impossible, mais
modification des expressions faciales (embarras, rire, rougissement)
aptitude aux fonctions « émotionnelles » de l’HC D.
Ecoute dichotique :
- Présentation monaurale : réponses identiques à celles des contrôles
Voies ipsilatérales suffisantes pour de bonnes performances
- Présentation dichotomique : extinction complète de l’OG car :
1) Voies ipsilatérale G « déprimées » par le principe dichotique
2) Pas de transfert possible à partir de l’HC D (voies controlatérales) car plus de corps
calleux.
Localisation fonctionnelle
Le cerveau humain est constitué de 2 hémisphère, constituer tt les deux de 4 lobe.
Lobe F, T, P, O.
Aires du langage
Le langage : est une capacité à communiquer avec le son de parole dans l’espèce humaine, a des fins
d’échange d’information.
Langage organiser autour de deux pôles :
Aire de Wernicke : tiers postérieur de la 1ere circonvolution temporal conception et
compréhension du langage.
Zone de Wernicke : aire de Wernicke = lobule pariétal inférieur gyrus supramarginal
gyrus angulaire
+ partie de 2ème circonvolution temporale
Aire de Broca : 3ème circonvolution frontale production de langage
Aire auditive primaire ou A1 : partie supérieure de la 1ere circonvolution temporale (gyrus de Heschl)
Aire auditive secondaire ou A2 : partie supérieur de 1ere circonvolution temporale (planum
temporale)
Cortex olfactive : partie inférieure de la région préfrontale
Bulbe olfactive : dans une tête humaine les deux bulbe olfactive se situe derrière la racine de nos
sourcil.
Aires motrices
Ensemble des fonctions qui assure le mvt, actions du sujet su l’environnement mais aussi ses actions
de déplacement.
Aire motrice primaire : circonvolution frontale ascendante (ou gyrus précentral) adjacente au sillon
central (ou sillon Rolando) responsable de la motricité grossière = proximale (marcher, courir,
danser etc...)
Aire prémotrice latérale : gyrus frontal moyen (F2) réponse motrice stimulus externe
Aire motrice supplémentaire : partie dorso-médiane du gyrus frontal supérieur (F1) réponse
motrice stimuli interne et motricité fine = distale.
Aires pariétales postérieures (cortex mixtes) stimuli ayant une valeur motivationnelle
Aire oculomotrice
Aire somesthésique
Somesthésie = ensemble des sensations (chaleur, pression, douleur) qui proviennent de différents
régions corporelles (peau, tendons, viscères...)
Aire somesthésique primaire SI : circonvolution pariétale ascendante (ou gytus post-central)
adjacente au sillon central (ou sillon de Rolando)
Aire somesthésique secondaire SII : base du gyrus post-central
Aires pariétales supéro-postérieur
Fonctions exécutives = ensemble de processus cognitifs de haut niveau qui permet de traiter de
l’information en vue de modifier un comportement
Cortex préfrontal : région la plus antérieur, qui s’étend sur la face interne, juste au-dessus des aires
olfactives.
Fonctions émotionnelles du cortex paralimbique : très important dans le rôle de la mémoire.
Structure qui s’atrophie avec le temps
Cortex paralimbique :
Cortex orbito-frontal postérieur
Gyrus cingulaire antérieur
Aire sous-calleuse ou septale sous le corps calleux fonction de plaisir sexuel
8. Localisation et fonctions
Il y a une séparation des hémisphères en 4 lobes : lobe frontal, lobe pariétal, lobe occipital et lobe
temporal.
8.1Aires du langage
Principalement localisé dans l'hémisphère gauche. À droite, on parle de l'aire « homologue de Broca
», sauf pour 30% de la population, où il y a une participation des deux hémisphères. En gros, l'aire de
Broca est soit à gauche, soit est un mélange des deux hémisphères.
Aire de Wernicke : tiers postérieur de la 1ière circonvolution
temporale.
Bulbe olfactif
Observation de base :
3 questions principales :
- Spécificité des troubles du calcul ? on les trouve seul ou tjrs accompagné ?
- Classification possible en syndrome ?
- Localisation cérébrale lésionnelles dédiées ?
Henschen (1919) :
Un des premier auteur a parler d’ «acalculie » 2 niveaux de perturbations
Acalculie amnésique = trouble de l’évocation des savoirs chiffrés (num de tel, résultat arithmétique)
EX : 985895
- Acalculies visuospatiales :
Perte de l’ordonnancement des chiffres dans les nombres : 289 298
Négligence spatiale (disparition d’une partie du nombre) : 1649649
Erreur spatiales sur les opérations écrites
- Anarithmétie = trouble des opérations arithmétiques
Calcul mental impossible
Calcul écrit impossible
10 (code arabe)
Dis
Dix (code graphémique français)
Mais : forme arabe allant de 1100 à 1900 : transcodage doubles en langage française.
1100 mille cent ou onze cent
1>2>3>4... un>deux>trois...
Photo tableau
DELOCHE et SERON (1992) : expérience de repérage des erreurs chez les aphasiques
Taches de transcodage : code verbale code arabe (ex : douze 12)
Erreurs lexicales :
- Erreur intra-catégorielles (erreur de positions)
EX : Cinq 6
Douze 11
Erreurs syntaxiques :
- Erreurs de transcodage total
EX : mille neuf cents 1000 9 100
- Erreur de transcodage partiel
EX : Cent cinquante-trois 10053
- Erreurs de transcodage terme à terme (un mot correspond a un chiffre)
EX : cent deux « 12 » cent = 1 deux = 2
- Erreur de transcodage cent/mille
EX : Mille huit cent dix 18110
Dans les années 80, perspective de traitement de l’information modèle des troubles de la
lecture
Modèle de traitement des nombre
Photo tableau
Système de calcul
- Traitement des symboles d’opérations
- Procédures de calcul
- Stocks des faits arithmétiques
Représentation sémantique