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ESSENTIEL | ENDOCRINO-

PARTIE 2
1 GENERALITES
• Les protéines G sont des hétérotrimères à l'état de repos, ancrées dans la membrane par un substitut
lipidique.
• La sous unité alpha possède l'activité GTPasique lente, stimulée par son interaction avec un effecteur.

GPCR • Extrémité N terminale extra cellulaire
• Formés de 07 TMB
• Classés en 7 familles
• Activés par l'hormone et non po la protéine G
• Impliqué dans le transfert de l'information
• L'extrémité C terminale de la s/u alpha interagit avec le R

RTK • Possède une fonction effectrice


• Responsable de la transduction
• Induisent une réponse métabolique et mitotique (insuline et GF)
• Se dimérisent après liaison du R (sauf celui de l'insuline)
• Ne possèdent po une activité GEF !
• Ligands : hormones protéiques + facteurs de croissance + éphrines
• Les molécules cytoplasmiques signal des RTK possèdent des motifs structuraux spécifiques, sont
phosphorylés lorsque le R est activé --> organisent la réponse cellulaire selon 3 voies. PS : ne sont po
toutes ancrées dans la membrane.

RAS • Existe sous 3 formes homologues : K H N
• 2 formes : active et inactive
• Ancrée dans la membrane par isoprénylation
• Active la RAF qui phosphoryle elle-même la MEK
• Fixe le GTP grâce à la protéine SOS
• Possède une activité GTPasique qu'elle perd si elle est mutée.

PI3K • Son S/U régulatrice p85 possède un domaine SH2, la s/u


catalytique 110 transforme le PIP2 membranaire en PIP3 -->
Protéine kinase B
• Exerce une activité lipide kinase, phosphorylant le PIP2 en 3
• Voie différente de celle des MAK
• C faux | permet la formation du Ca2+ second messager
• Régulation -- par la protéine PTEN

Insuline R • IR a ou IR b
• Glycoprotéine de 2 s/u
• Similaire à celui de l'IGF I

IRS1 • 4 isoformes
• Domaines : PTB + PH
• Interagit avec le domaine SH2 de différentes protéines (PI3K +
GRB2)
• Se lie indirectement avec Ras
• Possède des sites de phosphorylation de tyrosine
• Interagit avec la PI3k pour une action sur les transporteurs
• 1ère protéine interagissant avec le R de l'insuline activé

Domaine D du R • NLS : translocation nucléaire


nucléaire • Petite taille
• Permet le repliement du R activé dimérisé
• La liaison Hormone - R se fait avec une grande affinité, elle n'est po covalente, plutôt réversible.
• La Concentration d'hormone nécessaire pour occuper 1/2 des R est déterminée par KD
• La classe des R NR1 lie les hormones thyroïdiennes, la vitamine D et l'acide rétinoïque.
• Les HSP 90 permettent aux R NR3 de rester inactifs dans le cytoplasme.
• Les œstrogènes favorisent la prolifération des cellules présentant le R : ER @
• Les SERM se lient au R ER@ avec activité antagoniste des E2.
• La GRB2 possède un domaine SH2 et 2 domaines SH3 (recrutement de SOS) puis activation de RAS.
• Les protéines cytosoliques à domaine PH reconnaissent le PIP3 qui résulte de l'action de la PI3K par sa
s/u 110s catalytique sur le PIP2.
• Le site de dimérisation des R des H stéroïdiennes est le domaine C | des H non stéroïdiennes est le
domaine E/F
• s/u alpha : myristoryl
• s/u gamma : farnésyl ou géranyl - géranyl
• L'ancrage de la s/u gamma se fait par un groupement lipidique fixé sur son extrémité C terminale.
• L'affinité et la conformation de GPCR varient selon la voie de signalisation.
• La PK C en absence de stimulation, se trouve dans l'AG. Elle est transloquée vers la membrane en cas
de stimulation.
• KD est indépendante de la Concentration.
• En absence d'hormone, le R des H stéroïdiennes est dans le cytosol.
• Les molécules signal qui passent à travers les connexions sont impliquées dans le contrôle
métabolique.
• Les s/u de la protéine G conservent leurs séquences.
• Les R de même classe qui lient des ligands différents induisent souvent le même effet.
• Les mutations qui inactivent les R TGF béta ou les protéines Smad, ont pour résultat la résistance à
l'inactivation exercée normalement par le TGF béta sur la prolifération cellulaire.
• Une hormone ne peut po être synthétisée par plusieurs glandes endocrines (spécifique d'une ou de qlq
glandes)
• La réponse cellulaire au message hormonal est toujours intra cytoplasmique
• Les régions conservées du domaine E sont responsables de la conformation commune des RN.
• SH2 : se lie aux motifs peptidiques contenant des phosphotyrosines.
• La fonction principale du IP3 est de modifier la concentration du Ca2+.
• Sécrétion hormonale exagérée --> diminution du transporteurs plasmatiques
• Protéine Kinase C : ca2+ dépendante, activée par le DAG.
• Les AA variables du domaine E des R des hormones stéroïdes sont responsables de la spécificité de
liaison hormonale.
• La concentration plasmatique des transporteurs des hormones est inconstante + petit nombre de
sites de liaison.
• La réponse de la cellule cible aux hormones stéroïdes est toujours tardive.
• Augmentation du transporteur --> diminution de la fraction libre de l'hormone.
• Le site receveur du R n'est po tjrs à N terminale.
• Le nombre de R est soumis à une régulation physiologique.
• HSP 90 protège le R des hormones stéroïdes contre la dégradation.
• MAPK --> phosphorylation des facteurs de transcription.
• Le récepteur de l'insuline se dimérise après fixation de l'hormone.
• Le taux d'AMPc cytosolique est régulé par l'adénylate cyclase et les PDE
• Le Ca2+ stimule les PKC et les CAM kinases.
• Une antihormone empêche l'action d'une hormone en se fixant sur son R.
• Les R des hormones thyroïdiennes sont localisées dans le noyau
• L'urine ne contient que des hormones inactives.
• Les R d'une hormone sont différents selon la cellule cible.
• La majorité des hormones circulantes se trouvent liées à un transporteur.
• Les effets de l'AMPc sont les mêmes qlq soit le type cellulaire.
• L'activité tyrosine kinase du R de l'insuline se trouve dans la s/u béta.
• La communication intercellulaire fait intervenir : molécules hydrosolubles et liposolubles, de nature
ionique, vitamines liposolubles, des radicaux gazeux.
• Parmi les propriétés non communes entre les R : localisation cellulaire, fixation du ligand à l'extrémité
COOH, régulation par les arrestines.
• Les NR3 (stéroïdes) : contiennent plusieurs domaines structuraux, et sont piégés dans le cytoplasme
en absence d'hormones,
Ils sont activés sous forme d'homodimères, transloqués grâce au domaine D "NLS", se lient à des séquences d'ADN
spécifiques palindromes (non répétées).
• Er béta des E2 diminue l'affinité de ER alpha pour les E2, il modifie l'interaction ER@ avec HRE.
• La régulation de la voie PI3k est une régulation négative, réalisée par déphosphorylation, et fait
intervenir la PTEN.

2 HORMONES HYPOTHALAMO-HYPOPHYSAIRES
• Les HHH interviennent dans : la reproduction, la survie et le développement staturopondéral
• Ces Hormones n'interviennent ni dans l'immunité, ni dans l'hémostase.
• Les neurones de l'antéhypophyse communiquent avec leurs cellules cibles par voie endocrine.
• La libération d'ADH est inhibée par le cortisol, l'apeline, l'ANP, l'HTA.
• L'OCT intervient dans l'attachement social, le sentiment de récompense, l'addiction aux drogues +
l'autisme.
• La ghréline n'est po spécifique de l'hypothalamus, son 3ème AA est acylé, 2% plasmatiques sont
actives, stimule la croissance staturale.
• La ghréline stimule la libération de GHRH ou somatolibérine.
• La libération de GH est pulsatile, rythmée par le repas( 2 à 3h après) et le sommeil (1h après son
début), influencée par les neurotransmetteurs, + stimulée par les hormones thyroïdiennes et le pic du
cortisol.
• La SS14 inhibe la libération de GH, l'insuline, le glucagon et la gastrine. "même la sécrétine, la CCK, la
VIP".
• L'insuline inhibe la SS14 et le glucagon
• Le glucagon active la SS14 et l'insuline.
• La libération de GH présente un dimorphisme sexuel.
• FSH, TSH, LH sont des hétérodimères @ béta, avec @ identique (composante peptidique) de 89 AA.
La s/u alpha se lie au R alors que la Béta exerce une spécificité négative.

Les RF amides : 3 GnIH, GnIH RP1 et GnIH RP2, agiront soit directement sur l'Antéhypophyse
membres : inhibant FSH LH soit indirectement en inhibant la sécrétion de GnRH, sont
sécrétés par le noyau dorsomédial

GHRH + ghréline noyau arqué de l'hypothalamus
SS 14 noyau périventriculaire
GnRH noyau pré-optique
Kisspeptines noyau AVPV (stimule les neurones à GnRH) et noyau arqué (inhibe les neurones
à GnRH).
RF amides Noyau dorso-médian
• La libération des Kisspeptines est inhibée par la testostérone par rétrocontrôle négatif.
• Ont une activité biologique portée par les 10 derniers AA C terminaux.
• Famille des KP : KP 54 (métastine), KP 14, KP 13, KP10.
• L'hyperprolactinémie -> hypogonadisme en empêchant les neurones à kisspeptines d'activer l'axe des
gonades.
• Les kisspeptines se lient aux récepteurs membranaires Kiss-1R sur les corps cellulaires des neurones à
GnRH pour induire une voie de phospholipase C (y a plusieurs R de kisspeptines )
Interaction PROK2 avec PROK2R : migration des neurones à GnRH : placode olfactive --> nerfs voméro-nasaux --> aire
pré-optique.
La sémaphorine 3A participe au guidage de ces neurones le long des axones voméro-nasaux.
• Les RF amides possèdent une extrémité C terminale amidée, agissent sur la sécrétion de FSH LH ou
bien celle de GnRH, sans inhiber les kisspeptines.
• La protéine RAS interagit grâce à son motif SH2 avec le R tyrosine kinase.
• Le complexe HH est situé à la base du cerveau, interface entre le SN et le SE, présentant un petit
nombre de neurones.
• Les HHH sont toutes de nature protéique ou peptidique synthétisées en petites quantités.
• Peuvent agir sur plusieurs axes.
• Les neurones de l'hypothalamus peuvent agir sur leurs cellules cibles d'une manière : paracrine,
autocrine et synaptique.
• La posthypophyse contribue à l'amplification du signal hormonal hypothalamique (en stockant les
hormones).

ADH et • Nonapeptides avec une structure cyclique de 6 AA (pont disulfure
OCT entre Cis 1 et Cis6)
• Très forte homologie structurale
• Synthétisées sous forme d'un précurseur inactif de grande taille
• Codées par 2 gènes qui ont une origine ancestrale commune.
• La maturation d'une protéine implique : le REG, la signal peptidase, les maturases/convertases,
acidification des futures vésicules sécrétoires ( c faux | lysosomes).
• L'ADH agit sur le tube collecteur de Bellini par son V2R (7 TMB activant la voie de l'adényl cyclase) -->
augmentation de la synthèse de l'AQP2.
• Libération de l'OCT peut être tonique ou pulsatile selon le stimulus (stress ex), stimulée lors de la
parturition par les PG F2@.
• La libération de Kisspeptines est inhibée par la prolactine.
• La fonction de reproduction peut être altérée par des anomalies de :
Dynorphine, neurokinine B, GnRH, KP, PKN et sémaphorine 3a.
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• La GH présente une spécificité d'espèces étroites.
• Les neuromédiateurs régulent la croissance par action sur la GHRH, la SS14 et la ghréline
• 6 types d'IGFBP dont la 3 est la majoritaire.
• Jak2 Stat5 est induite par la GH.
• Prolactine : 2 types de R au niveau de la glande mammaire
• Les androgènes inhibent la LH ms agissent aussi sur la FSH par activation de l'inhibine.
• Les GnIH agissent sur l'axe gonadique en inhibant la libération du GnRH, FSH et LH.
• Les neurones magnocellulaires ont des axones qui se terminent au niveau de la post-hypophyse.
• L'exocytose est initiée par la dépolarisation membranaire et l'influx calcique intracellulaire.
• La biosynthèse des AQP 2 et 3 est régulée par l'ADH.
• L'IGF I agit sur les chondrocytes d'une manière endocrine, paracrine et autocrine.
• La POMC (pro opio-mélano-cortine) donne naissance à 3 MSH et 2 LPH (lipotropines).
• Les neurones à kisspeptines constituent le relai du feed back - des H stéroïdes sur la libération du
GnRH.
• La GH plasmatique est majoritairement liée.
• Les hormones hypothalamiques hypophysiotropes exercent leur action d'une manière paracrine.
• ADH augmente l'osmolarité urinaire.
• La SS14 possède 5 sous types de Récepteurs
• La sécrétion des kisspeptines dépend du statut nutritionnel et énergétique de l'organisme
• La taille des corps cellulaires des neurones à ADH varie selon que les axones se terminent au niveau de
la tige pituitaire et de la posthypophyse.
• Les maturases sont inactives dans l'AG
• Le GH R n'est actif que sous forme dimérisée.
• Po toutes les mutations du gène du V2R (ADH) conduisent à un diabète insipide.
• Le GnRH et le GAP sont codés par le même gêne.
• Les HT stimulent l'expression du gène codant pour la GH.
• La prolactine stimule elle-aussi la voie JAK STAT
• La dopamine : + puissant inhibiteur de la prolactine. Elle diminue les effets de TRH et entraîne une
diminution de la sécrétion de TSH.
• Les osmorécepteurs et le centre de régulation de la soif sont topographiquement proches
• Le rythme de libération de la GH diffère selon le sexe (dimorphisme sexuel).
• L'ADH utilise le Ca2+ comme second messager au niveau des VSX sanguins.
• Le site de coupure de la signal peptidase est un doublé basique.
• Au cours de la parturition, l'OCT et les PG F2@ se stimulent mutuellement.
• TRH stimule la libération de la prolactine
• La somatomédine (IGF1) a une action insuline like (récepteur).
• La GH agit indirectement sur la croissance et le métabolisme peptidique, par l'intermédiaire de l'IGF1
• Somatocrinine = somatolibérine =/= GH
• Mécanisme d'action de l'OCT sur son R n'est po identique à celui de l'ADH.
• Le glucose inhibe la libération de la GH.
• LH et FSH sont synthétisées par le même type cellulaire.
• La majorité des hormones hypothalamiques sont synthétisées sous forme d'un précurseur de haut
poids moléculaire.
• La GH et la prolactine dérive d'un gêne ancestral qui a subi deux duplications au cours de l'évolution.
• L'activité hormonale de l'ACTH est portée par l'extrémité N terminale
• L'ADH est à la fois, hormone et neurotransmetteur.
• La taille des corps cellulaires des neurones à ADH dépend du lieu de sa libération.
• Les sécrétions hypothalamiques sont ultradiennes, celles hypophysaires sont circadiennes.
• L'osmolalité plasmatique peut être calculée à partir de la natrémie, glycémie et urémie.
• Les neurones GHRH et à ghréline s'amplifient mutuellement.

3 CATECHOLAMINES
• Circulent dans le sang sous forme libre et liée
• NA 5 à 10x > A
• Demi vie courte de 2 mn
• Les concentrations plasmatiques dépendent de l'état physiologique de l'organisme
• Lieu de synthèse : cerveau, médullosurrénale et fibres post synaptiques sympathiques.
• Catabolites urinaires de l'AD : métanéphrine et VMA
• Le catabolite urinaire des catécholamines lors d'un phéochromocytome est le VMA
• Au cours du neuroblastome le catabolite urinaire qui peut augmenter massivement : HVA
• Les phéochromocytomes ne se développent qu'à partir les cellules chromaffines.
• Au cours du neuroblastome, la concentration plasmatique de la DA peut être normale et donc un taux
normal d'HVA peut s'observer
• La PNMT est spécifique de la médullosurrénale
• La MAO et la COMT sont les seules enzymes du catabolisme des CA.
• L'AD représente 80% des sécrétions de la médullosurrénale
• La dopamine B hydroxylase est une mono oxygénase qui catalyse l'oxydation du carbone Béta de la
chaîne latérale des CA.
• La chromogranine est une protéine présente dans les granules chromaffines des C
neuroendocriniennes.
• Son taux n'est pas affecté par le stress ou les médicaments, il est étroitement corrélé avec la masse
tumorale.
• Peut-être dosé par RIA ou ELISA.
TD :
• La réaction spécifique est la NPMT
• La réaction limitante est la tyrosine hydroxylase.
4 HORMONES THYROÏDIENNES
• Devant une hypothyroïdie, l'examen clinique de 1ère intention à demander est l'examen de TSH par
technique de 3ème génération.
• Le goitre est retrouvé dans l'hyperthyroïdie centrale + l'hypothyroïdie périphérique.
• Thyrotoxicose gestationnelle transitoire : due à l'effet de l'HCG sur le R de TSH durant le 1er trimestre,
elle n'est po auto-immune.
• Les HT dérivent de la tyrosine "ms ne sont po peptidiques", apparaissent chez le fœtus même avant la
mise en place de l'axe thyréotrope.
• La TSH régule les C folliculaires seulement, c'est un facteur de croissance pour la thyroïde, elle régule
toutes les étapes de biosynthèse des HT.
• La thyroïde produit de la calcitonine, T3 et T4
• Produit toute la T4 circulante, 20% de la T3 "majoritairement formée par désiodation"
• La thyroïde contient 1% des C parafolliculaires et 99% des C folliculaires.

La TPO • Intervient dans l'oxydation, le couplage et l'organification des iodures
• Elle ne reconnaît po la TCT
• Elle n'intervient po dans la captation.
• Le marqueur tumoral des cellules parafolliculaires est la TCT
• La TG est exclusivement thyroïdienne, substrat de la TPO, c'est le précurseur sur lequel se forment les
HT
• Les anticorps anti- R-TSH stimulent les R de TSH pour augmenter la synthèse des HT, sont retrouvés
dans la maladie de Basedow. Ces AC peuvent traverser la barrière placentaire --> hyperthyroïdie
néonatale.
• La TCT (calcitonine) n'est po exclusivement thyroïdienne, son dosage est indiqué dans le diagnostic
des CMT, elle n'est po demandée en cas de bilan phosphocalcique perturbé.

TSH, T4 et T3 élevées : • Adénome thyréotrope
• Résistance aux Hormones
thyroïdiennes
• Hyperthyroïdie d'origine
hypophysaire
• Suivi de la thyroïdite d'Hashimoto par dosage des AC anti TG
• 2017-------------------------------------------------------
• AC anti TPO : marqueur d'auto immunité thyroïdienne
• CMT "cancer médullaire de la thyroïde" : c'est le gène RET à analyser.
• Les 2 enzymes nécessaires à l'oxydation des iodures sont : la TPO + la DUOX "NADPH oxydase"
• Désamination oxydative de T3 et T4 : TRIAC et TETRAC respectivement.
• Iodotyrosine déshalogénase : désiodation microsomique in situ des MIT/DIT.
• Iodotyronine désiodinase : désioodation de T4 en T3 avant leur sécrétion.
• La captation est un mécanisme actif, thiocyanate, le brome et le perchlorate l'inhibent
• La T3 potentialise l'action de l'IGFI et des catécholamines.
• Le goitre au cours d'une carence prolongée en iode s'explique par la croissance du volume des
follicules thyroïdiens suite à une hyperstimulation par TSH.
• Cortisol chronique --> diminution de l'activité thyroïde (diminue même le taux de TBG circulante)
• Hypothyroïdie néonatale : TSH élevée : d’où l'intérêt du dépistage néonatal.
• La NIS et la pendrine interviennent dans la captation folliculaire d'iode.
• La protéolyse de la TG n'est po catalysée par la TPO, ms plutôt des enzymes lysosomiales.
• L'apport d'iode est de 100 à 150 ug
• 99% des HT sont sous forme liée au protéines de transport.
• La RT3 n'est po active
• La TG est de 660 kDa : c la forme de stockage des HT
• Les HT stimulent la synthèse protéique, ms deviennent catabolisantes à des doses supra
physiologiques
• La TBG fixe essentiellement la T4, le R nucléaire est 4 fois plus affine à la T3, la T3 est 10 fois plus
actives.
• Concentration plasmatique de T4 > T3
• La TG est pauvre en tyrosine bizarrement.
• Iode hormonal représente 9/10 de l'iode circulant
• TSH, T3 et T4 élevées : adénome thyréotrope et syndrome de résistance aux HT.
Td
• L'iode incorporé dans les HT est organique
• La thyroïde sécrète aussi la calcitonine qui n'est po une hormone iodée.
• La calcitonine sécrétée par les C parafolliculaires de la thyroïde
• La TBG est synthétisée par le foie, stimulée par les œstrogènes.
• La TSH augmente la captation de l'iode par les thyréocytes
• La T4 subit une conversion périphérique grâce à la 5' désiodase
• La T3 peut subir une conversion en 3,3' diodo thyronine

5 HORMONES STEROÏDES
• Le cholestérol est le point de départ de la synthèse des stéroïdes.
• Les stéroïdes dérivent du noyau stérane
• Synthèse ovarienne d'E2 nécessite la thèque interne + la granulosa
• L'aldostérone est la seule hormone stéroïde qui ne possède po un transporteur spécifique
• Au cours de la phase folliculaire, pic d'E2 --> feed back + sur GnRH, FSH et LH.
• Corticothérapie à long terme est responsable d'une insuffisance surrénalienne d'origine hypothalamo-
hypophysaire par carence en ACTH
• Les hormones de la libido : la testostérone et la prolactine.

La testostérone • Noyau androstane de 19 C
• Possède un rythme circadien
• Son déficit en période embryonnaire ->
cryptorchidie
• Permet indirectement de masculiniser le cerveau en
passant par E2
• N'est po l'androgène le plus actif (DHT
biologiquement)
• La 5 alpha réductase est périphérique,
exclusivement à partir de la testostérone.
• Stimule la croissance des OGE
• Nécessaire à la spermatogénèse
• Essentielles aux caractères sexuels secondaires
• Responsable de la poussée de croissance pubertaire
• Transporteur + important : TeBG (SHBG)
Aldostérone • Sa synthèse nécessite : la 21, 18 et 11 hydroxylases +
20-22 desmolase + 3 BHSG
11 BHSD • Déficit en type 2 --> AME
• Réversible
• N'est po strictement hépatique (empêche l'accès au
R minéralocorticoïde)
Œstrogènes • Participent à la croissance et l'arrêt de la croissance
• Anti-ostéoporose
• Anti-athérogènes
• Les oestro-progestatifs naturels -> traitement de la
ménopause
• Naturels =/= synthétiques
• Transporteur + important : albumine
Maladie de Cushing • Mélanodermie
• Hyperplasie bilatérale des surrénales.
• CLU et ACTH élevés
• Rupture du rythme circadien du cortisol
• Due à un adénome hypophysaire
• Production excessive du cortisol par surexcitation
ACTH
Déficit en 21 hydroxylase • Cause ++ fréquente du syndrome adréno-génital
• Provoque un pseudo-hermaphrodisme féminin
• Autosomal récessif
• Taux d'androgènes élevés chez le fœtus
• Le cerveau du fœtus féminin est masculinisé
Pseudo-hermaphrodisme • Déficit ou absence des récepteurs des androgènes
masculin (testicule féminisant)
• Déficit en 5@ réductase, anomalie de TDF ou
agénésie des C de Leydig
Maladie d'ADDISSON • Mélanodermie
• Origine auto-immune fréquente
• ACTH élevée
• Cortisol, aldostérone bas en cas d'une tuberculeuse.
Cyp450 Scc • Une réaction irréversible commune à la synthèse des
stéroïdes
• Précédée par une étape préliminaire (STAR)
• Mitochondriale
• Régulable
• NB : persistance du canal du Muller --> Déficit en AMH --> hermaphrodisme

• La synthèse des neurostéroïdes au niveau cérébral peut se faire à partir des hormones stéroïdes
plasmatiques.
• Le cortisol stimule l'activité de la PNMT
• La cholestérol desmolase n'est pas spécifique à la corticosurrénale.
• La 18 hydroxylase permet la synthèse de l'aldostérone
• Le SDHEA est d'origine surrénalienne.
• La LH active la Cyp450, la FSH active l'aromatase.
• Les cellules de Leydig n'expriment po une aromatase.
• Une mutation du gène SRY : po de différentiation du testicule.
• La présence du TDF conditionne la production de la testostérone et l'AMH.
• La 20-22 desmolase est retrouvée dans tous les organes stéroïdogènes.
• La Mifepristone est une contragestion : inhibiteur compétitif de la progestérone stimulant les
contractions utérines provoquant des avortements.
• La présence d'andostandiol dans les urines est un reflet de l'utilisation de la DHT par les cellules cibles.
• Les SARM "non po SERM" utilisés dans le traitement de l'acné, l'hirsutisme et le cancer de la prostate
(hyperandrogénie).
• Une gynécomastie est retrouvée dans la maladie du testicule féminisant (résistance aux androgènes)
ms non po dans le syndrome de SWEYER.
• Agénésie des cellules de Leydig : développement psychique féminin.
• L'alpha foeto protéine empêche la masculinisation du cerveau fœtal féminin.
• Contraception orale : suppression de l'ovulation
• La P4 bloque la lactation en bloquant les R de la prolactine et du cortisol.
• La ménopause est obligatoire chez la femme, l'andropause ne l'est po.
• Le cortisol peut se fixer sur le R de l'aldostérone.
• Le risque cardio vasculaire postménopause est du au diminution en E2
• Les androgènes surrénaliens apparaissent avant ceux des gonades
• Le cortisone a un effet glucocorticoïde uniquement
• Hydrocortisone = cortisol : son augmentation -> glycosurie -> acétonurie
• La transcortine n'est po spécifique du cortisol (même la P4).
• N'oublie jms, cortisol a un effet anti-insuline.
• La testostérone et l'E2 ont les 2 une affinité pour le SHBG
• Seule la fraction non liée du cortisol est filtrée dans le glomérule, donc la CBG diminue sa fuite
urinaire.
• L'hyperaldostéronisme primaire s'accompagne d'une hypernatrémie.
• La testostérone, pour le muscle et larynx joue le rôle d'une hormone, sinn c'est une prohormone de la
DHT.
• L'ovaire synthétise lui-aussi des androgènes
• L'E2 placentaire est synthétisé à partir du prégnénolone fœtal.
• Actions successives de la 3 BHSD et l'isomérase transforme le DHEA en E2.
2018
• Les cellules de Leydig sont le site de synthèse de : l'E2 et la testostérone.
2015-----
• La concentration du cortisol salivaire est corrélée à la concentration du cortisol libre plasmatique, car
seule la fraction libre du cortisol diffuse dans la salive.
• Le SDHEA est l'androgène
• Le SDHEA module la neurotransmission en activant les récepteurs NMDA et en inhibant les R GABA
• L'inhibition de la 5@ réductase type I est le mode d'action des médicaments utilisés dans le
traitement de l'adénome de la prostate.
• La testostérone biodisponible = libre + liée à la SHBG + liée à l'albumine.
• E2 : principal œstrogène chez la femme en âge de reproduction.
• E1 et son sulfate : principal œstrogène chez la femme ménopausée et chez l'homme.
• E3 : surtout chez la femme enceinte, synthétisé par l'unité foeto-placentaire
• La metirapone va bloquer la 11 béta hydroxylase nécessaire à la synthèse du cortisol et de
l'aldostérone.
• La synthèse de l'aldostérone est accessoirement activée par l'ACTH, sans possibilité du rétrocontrôle.
• La synthèse des androgènes est activée par l'ACTH sans possibilité du rétrocontrôle.
• La synthèse du cortisol est activée par l'ACTH, avec possibilité du rétrocontrôle.
TD
• La prolactine : montée laiteuse chez la femme enceinte, libido chez la femme non enceinte
• La 3 B HSD est commune à la synthèse de toutes les hormones stéroïdes.
• ACTH élevée --> hyperplasie :
• Bilatérale : Maladie de Cushing -> augmentation du cortisol
• Congénitale : déficit en 21 hydroxylase --> insuffisance surrénalienne avec hyperandrogénie -->
pseudohermaphrodisme féminin

• Hyperandrogénie chez l'homme est normale --> puberté précoce


• L'AMH n'a pas un rôle dans les OGE.

Différences • Déficit en 21 Hydroxylase : enzymopathie la plus fréquente ->
diminution des stéroïdes surrénaliens avec excès d'androgènes
(hyperplasie congénitale des surrénales)
• Les anticorps anti 21 hydroxylase : cause la pus fréquente de la
maladie d'ADDISSON --> diminution de tous les stéroïdes.

• L'adénome de CONN est la cause la plus fréquente d'un hyperaldostéronisme primaire.


• La 21 hydroxylase se trouve dans la glomérulée et la fasciculée
• Les androgènes surrénaliens rétro-inhibent l'ACTH, ils n'inhibent que la FSH-LH.

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