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Hypothèse

Tout chercheur doit en effet présupposer au départ un point de vue, lequel


constitue ce qu'on appelle le concept d'opération aux hypothèses de travail
selon.1(*) R. Rzohazy : « l'hypothèse cherche à établir une vision provisoire
du problème soulevé en évoquant la relation supposée entre les faits
sociaux dont le rapport constitue le problème en indiquant la nature de ce
rapport ».
1
 REZSOHAZY .R, Théories et critiques des faits sociaux, la renaissance, Bruxelles, 1971, P. 72.

Choix et intérêt du sujet

Ce sujet revêt un double intérêt : théorique et pratique. En effet, lorsque les


mécanismes économiques conçus en vu d'améliorer la situation des déficits
chroniques de la balance des paiements sont constamment mis en cause,
la trame de débat est de nature à faire avancer les considérations
épistémologiques des sciences économiques et de gestion.

Sur le plan pratique, ce travail prétend explorer les panoplies des


mécanismes et des stratégies déjà expérimentés dans le but d'élaguer les
ratés, d'améliorer les insuffisances et de corriger les erreurs de sorte que
les résultats attendus soient réellement opératifs et ainsi stimuler le bien
être collectif des congolais. Cela permettra de temps en temps aux
décideurs de garder un esprit d'éveil en vu d'une adaptation aux aléas et
impondérables non prévus dans la mise en oeuvres de différentes
stratégies arrêtées. Par ailleurs, nous pensons mettre à la disposition des
operateurs un instrument à leurs portés que nous espérons contribuer à
l'amélioration de la qualité de leur travail. Sur le plan personnel, cette étude
nous permet de maitriser, d'expliquer correctement les concepts et les
théories étudiées dans les cours de macroéconomie et de les appliquer ou
les confrontant avec les réalités du terrain.

Approches méthodologiques et techniques

Ce point nous renvoie aux méthodes et techniques capables,


respectivement de donner une explication d'effets économiques étudiés et
de récolter les données y afférentes pour appuyer les méthodes utilisées.
Méthodes du travail

Il existe en sciences sociales plusieurs définitions du concept de méthode,


parmi lesquelles celle de M. GRAWITZ est plus exploitée. Pour cet auteur,
le concept des méthodes renvoie à « un ensemble d'opérations
intellectuelles par lequel une discipline cherche à atteindre les vérités
qu'elle poursuit, les démontrer et les vérifient2(*). En effet, selon le
dictionnaire Robert méthodique, la méthode désigne l'ensemble des
démarches que suit l'esprit pour découvrir et démontrer la vérité dans les
sciences3(*).

Ainsi pour voir l'impact de la dette extérieure sur la balance des paiements
de la RDC, on va recourir aux méthodes suivantes :

· Méthode descriptive, elle permet de retracer l'histoire de la dette


extérieure de la RDC, de présenter l'environnement de l'étude et d'exploiter
les sens des concepts fondamentaux et les théories clés utilisés dans son
approche conceptuelle et théorique et d'éviter toute ambigüité dans leur
entendement et de parler le même langage avec les lecteurs.

· Méthode analytique, elle consiste à l'analyse de la dette extérieure en


RDC, ces causes et ses conséquences sur la balance de paiement ;

· Méthodes inductive : nous permettra, à partir de l'observation des faits et


des évènements qui ont effectivement eu lieu, de constater la fréquence de
certaines attitudes dans le temps.

I.2. Définition des concepts

I.2.1. Dette

La dette est un engagement financier qui donne lieu à une obligation de


paiement futur. En conséquence, les passifs y afférents sont susceptibles
d'exposer l'unité institutionnelle, un secteur ou l'économie tout entière à des
risques d'illiquidité ou d'insolvabilité6(*).

La structuration des échéances d'une dette est un élément de son analyse,


aussi est-il de certaines caractéristiques, comme la possibilité de
remboursement anticipé, qui limitent quelque peu l'importance des services
et échéances dans certains cas.

Il est naturellement connu que pour faire une analyse de la dette par
échéance, il faut la décomposer en :
· Dette à court terme;

· Dette à moyen terme ;

· Dette à long terme.

La dette peut être contractée par divers secteurs institutionnels de


l'économie d'un pays :

A. Ménages

Les ménages s'endettent pour diverses raisons. Ils cherchent souvent à


financer l'achat d'actifs particuliers qui sont donnés en nantissement. Par
exemple, les actifs achetés servent de garantie de prêts servant à financer
l'acquisition d'un logement ou d'une automobile, cas « des subprime ».

Les ménages s'endettent aussi pour financer leur consommation


domestique courante, leurs dépenses d'éducation ou de santé, pour obtenir
le fonds de roulement ou le fonds à plus long terme aux fins de l'exploitation
d'une entreprise leur appartenant. Egalement elles s'endettent pour
financer l'acquisition de participations ou d'autres actifs financiers. Le taux
d'intérêt, le montant de la mensualité de remboursement, le patrimoine et
les revenus escomptés sont autant de facteurs qui influent sur les décisions
d'emprunt.

B. Entreprises

Les sociétés et autres types d'entreprises s'endettent à court terme pour


financer leur production, alimenter leurs stocks et faire face à leurs
dépenses ordinaires, notamment pour payer impôts et intérêts. Elles
contractent également des dettes à long terme pour financer la formation
de capital. Les sociétés peuvent, à ces fins, faire appel au crédit
commercial, emprunter aux sociétés financières ou émettre des titres.

C. Etat

La dette du secteur public est souvent un objectif de la politique


économique. Les paramètres de cette dette peuvent être calculés pour
l'administration centrale ou pour l'ensemble des administrations publiques.
La dette publique est souvent subdivisée en dette envers les résidents
(dette intérieure) et dette envers les non-résidents (dette extérieure). A ce
sujet, le FMI et la Banque ont un critère différent, pour eux une dette
libellée en devises, qu'elle soit contracter à l'intérieur du territoire nationale
ou non, reste une dette extérieure.
Il convient de notifier déjà ici qu'une dette contractée par d'autres secteurs
institutionnels peut être garantie par l'Etat ; en cas de défaut de paiement
l'Etat est donc tenu de la liquider.
* 6 IMF, Manuel des statistiques Monétaires et financiers Washington 2000.
 LA PROBLEMATIQUE

L'ALTHUSER définit la problématique comme « une définition du champ


des connaissances théoriques dans lequel on se pose le problème du lieu
exact de sa position et des contextes requis pour les poser »2(*)

Elle est une série des questions qui ont pour raison de poser les problèmes
qui préoccupent les chercheurs, de les clarifier afin que ce dernier en
cherche une solution ou encore une explication ; lorsqu'on hiérarchise la
question générale et les questions spécifiques déduites d'elles, on a
construit ce qu'on appelle la problématique3(*)

Ainsi, vu l'importance que notre sujet porte, qui est celui de la petite et
moyenne entreprise car sa réalité étant abordée sous l'angle de l'innovation
et de l'esprit d'entreprise, du fait que la naissance de ce type d'entreprises
aboutit à la création d'emploi et à la transformation des structures
économiques et sociales d'un pays.

C'est aspect de voir les choses, nous a poussé d'étudier les petites et
moyennes entreprises comme : nous l'avons souligné dans l'introduction
qui étant donné l'importance que représente ces types d'entreprise
susceptible de modifier ou encore ou transformer les structures économies
et sociales d'engendrer d'une part la valeur ajoutée et d'autre part
l'intégration industrielle a retenu notre attention particulières et nous pousse
pour cette étude à nous poser les questions suivantes :

· Pourquoi les petites et moyennes entreprises ont fait l'objet d notre


étude ?

· Relativement à l'importance que présentent ces types d'entreprise ;


pouvons-nous dire que les petites et moyennes entreprise oeuvrant dans la
ville de Lubumbashi ont-elles contribué au développement socio-
économique ?

· Y a-t-il interaction d'activité entre les petites et moyennes entreprises


oeuvrant dans la ville d Lubumbashi ?

· Et si la première idée qui nous arrive dans la tête que le secteur primaire
soit considéré comme moteur de développement des autres secteurs
(secondaire et tertiaire), est ce que les entreprises de secteurs primaires
ont-elles assuré leur rôle ?
Voilà les questions notables de cette étude que nous entendons mener sur
l'apport des petites et moyennes entreprises dans la ville Lubumbashi que
trouveront des hypothèses à priori dans ce travail.

03. HYPOTHESES DU TRAVAIL

RONGERE P ; définit l'hypothèse comme étant « une proposition des


réponses aux questions que l'on se pose à propos de l'objet de la
recherche formulée en des termes tels que l'observation puisse fournir une
réponses définitive au début de la recherche ; elle est destinée à guider
l'investigation et à être abandonné ou maintenu d'après les résultats de
l'observation »4(*)

L'hypothèse peut avoir deux acceptations selon le cadre référentiel auquel


nous nous posons ou rapprochons :

- De l'hypothèse loi ou petite hypothèse qui est une anticipation de la loi ou


de la vérité. Elle est une idée directrice ou une tentative d'une explication
des faits formés du début de la recherche qui peut confirmer ou infirmer le
résultant de la recherche

- De l'hypothèse théorique ou grande hypothèse laquelle se propose


d'expliquer l'ensemble d'un envers, d'un phénomène ;

Pour ce faire, en réponse provisoire à notre problématique formule et sous-


tendue par des questions ci-dessus, nous proposons ce qui suit ;

- Quant à la premier préoccupation ; comme dans tous les pays, les petites
et moyennes entreprise jouent un rôle important à ne pas traiter avec
indifférence du fait que les petites et moyennes entreprises contribuent à
résoudre certains problèmes sociaux : chômages pour la création des
emplois et économiques : la participation ou produit intérieur brut (PIB)

Et portant la RDC en général et la ville de Lubumbashi en particulier


espérant dans l'industrie du cuivre traitent des ressource non renouvèle n'a
soutenu le développement et que seuls les petites et moyennes entreprises
pourraient devenir le deuxième soubassement de l'économie du Katanga
car la politique de libéralisme économique prônée depuis peu, doit être
pour le promoteur du Katanga le déclic de son développement économique.

L'industrie du cuivre s'essouffle et est en train de provoquer une


décapitalisation et une délocalisation de l'activité économique, seule la
petite et moyenne entreprise Pourraient venir en aide de ce développement
économie, eu égard aux paramètres toujours croissants tel que : la
pression démographique, le niveau de revenu, la croissance d'une
économie dite de « débrouilles ».

- Quant aux autres préoccupations qui restent nous nous abstenons des
affirmations avant des analyses, car l'hypothèse de la présentation de
l'analyse donnée viendra éclairer notre préoccupation qui sera présentée
au cours des chapitres qui suivent.
* 2 L. ALTHUSER, Pour Marx, éd. MASPERO, Paris 1975, page 85

* 3 TURNER. T, cours de méthodes des travaux scientifiques, éd. UNAZA Lubumbashi, 1973, page 74

* 4 RONGERE. P, Méthodes des sciences sociales, éd. Dalloz, Paris 1971, page 20

CHOIS ET INTERET DU SUJET

Notre option pour ce thème n'est pas fallacieuse, elle repose


fondamentalement sur des motivation inhérent à la petites et moyennes
entreprise ;car il importe d'amblée de souligner que la théorie sur la petite
et moyenne entreprise est nouvelle que nous ne disposons pas de
beaucoup d'éléments susceptible d'être considéré comme le soubassement
de la petite et moyenne entreprise.

Néanmoins, comme dans tous les pays la petite et moyenne entreprise


joue un rôle important dans le programme d'expansion économique des
pays en voie de développement, nous nous sommes intéressés à ce
secteur que nous qualifions de stratégie pour le développement et la
croissance économique de la ville de Lubumbashi.

Ce travail sera utile aux promoteurs de ce type d'entreprises (PME) de


savoir des théories managériales de pilotage et de régulation à fin de se
doter de meilleures capacités de direction de leurs entreprises et aussi au
pouvoir public de lui permettre de mettre en place un modèle de
développement économique basé sur l'épanouissement ou la promotion
des petites e moyennes entreprises qui sont aussi créatrices de la petite
industrie et de l'emploi.

Ce travail est un apport nouveau et complémentaire, car il renferme des


nouvelles informations sur les petites et moyennes entreprises lesquelles la
réserve de la référence chère à tout chercheur qui traduira la volonté
d'aborder une étude analogue.

Notre choix se justifie aussi par le fait que l'industrie du cuivre, traitant des
ressources non renouvelables n'a soutenu le développement et que seules
le petites et moyennes entreprises pourraient devenir le deuxième
soubassement de l'économie du Katanga. La politique du libéralisme
économique prônée depuis peu en RDC doit être jour les promotions du
Katanga en général et de la ville Lubumbashi en particulier le déclic de son
développement économique.

0.5. METHODES ET TECHNIQUES DE RECHERCHE

Pour arriver à étudier rationnellement un problème qui se passe, il s'avère


indispensable de procéder avec raisonnement scientifique. A cet effet,
celui-ci fait toujours appel à certaines méthodes et techniques de
recherche.

A. METHODES

Nous entendons par méthodes : « l'ensemble d'opérations intellectuelles


par laquelle une discipline cherche à atteindre les vérités qui elles
poursuivent, les démontrer et le vérifier »5(*).

De tout l'arsenal méthodologique d'usage en science économique nous


avons recouru à :

5.1 METHODE COMPARATIVE

Comparer, c'est recherché simultanément les ressemblances entre deux ou


plusieurs phénomènes. Cette méthode nous a permis de comparer les
différents résultats des productions réalisés par les petites et moyennes
entreprises évalués en valeur à travers la valeur ajoutée dans chaque
secteur économique en vue de comprendre leur évolution contributive et
fonctionnement.
* 5 PINTO& GRAWITZ, cité par KILONDO, court de méthode de recherche en sciences sociale, Inédit, G2 éco,
UNILU 2007-2008

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METHODE ANALYTIQUE

Elle permet d'analyser systématiquement toutes les informations ainsi que


les données récoltés, elle insiste beaucoup sur chaque cas, sur chaque
élément d'un tout. Cette méthode nous a permis de décomposer les petites
et moyennes entreprises évoluant dans la ville de Lubumbashi en secteur
dans lesquelles elles évoluent et à les étudier séparément.
5.3 METHODE INDUCTIVE

Elle permet de fournir une preuve concrète à la théorie économique à partir


d'un nombre des faits particuliers, induire c'est partir du particulière du
général, partir des observations à une proposition générale6(*).

Cette méthode nous a été utile pour tirer les conclusions sur les études
menées sur les petites et moyennes entreprises des différents secteurs
d'activités économiques aux quelles elles évoluent.
* 6 VERHAEGEN, B. les phénomènes révolutionnaires, Paris PUF 1984, p. 21

DELIMITATION DU TRAVAIL

Tout phénomène social doit être le produit d'un temps et circonscrit dans un
cadre spatial bien déterminé. Cette façon de voir les choses permet aux
chercheurs de n'est pas tanguer dans le vide au cours d'étude.

Pour ce faire, nous rejoignons Georges GURUITCH qui estime que « les
lois de l'histoire sont empirique, on ne peut les étudier au-delà de temps et
du cadre physique ou se sont manifestés à moins qu'elle ne faillisse de la
nature humaine et ne continuèrent à s'appliquer dans les circonstances
nouvelles.8(*)

A. DELIMITATION TEMPORELLE

Pour mieux obtenir des informations suffisante sur la petite et moyenne


entreprises ; notre étude a approfondi des recherche allant sur une période
de 2006-2010. Cette période nous permettra d'analyser les problèmes qui
ont affecté le mécanisme de la petite et moyenne entreprise.

 PRESENTATION SOMMAIRE DU TRAVAIL

Pour faciliter la compréhension de notre sujet intitulé étude par secteur


économique des activités des petites et moyennes entreprises et leurs
apports au développement socio-économiques », il revient d'en faire une
étude détaillée de ses composantes :

Cela étant, hormis l'introduction générale et la conclusion, ce travail


comporte trois chapitres dont :
- Le premier chapitre est entièrement consacré à la considération générale
qui spécifie sur les lexiques sémantiques, qui ont été utilisés tout au long de
cette étude, ainsi que les notions des petites et moyennes entreprises,

- Le deuxième chapitre traite l'approche théorique de la petite et moyenne


entreprise de la ville de Lubumbashi,

- Et enfin, le troisième chapitre qui est le vif de notre étude, gravite autour
de l'étude par secteur économique des activités des petites et moyennes
entreprises et leur apport au développement socio-économique.
Objectifs de l'étude

L'objectif de cette étude est d'explorer l'impact économique de l'instabilité


sociopolitique, que la Côte d'Ivoire traverse depuis 1999 sur le niveau des
investissements publics et privés. De façon spécifique, elle vise à :

y' déterminer les effets de la crise sociopolitique sur la structure et


l'évolution du budget de l'Etat ;

y' évaluer les coûts économiques en termes de pertes engendrées par la


crise sociopolitique sur les investissements publics ;

y' déterminer les effets de l'instabilité sociopolitique sur les investissements


privés. 0.3. Hypothèses de l'étude

L'étude cherche à vérifier les hypothèses suivantes :

Hypothèse 1 : la crise sociopolitique a modifié la structure des dépenses


de l'Etat au détriment des dépenses d'investissements publics ;

Hypothèse 2 : la crise sociopolitique a affecté la croissance économique


qui a eu un impact négatif, en termes de pertes économiques, sur les
investissements publics ;

Hypothèse 3 : l'instabilité sociopolitique a affecté négativement le volume


de l'investissement privé.

0.4. Intérêt de l'étude

Cette étude entre dans le cadre des travaux réalisés pour relever le rôle
déterminant de la stabilité politique sur les investissements et partant sur la
croissance et le développement économique. Elle est une contribution à la
recherche scientifique relative à l'évaluation du coût économique généré
par la crise sociopolitique que connaît la Côte d'Ivoire. Sur le plan politique
et social, ce travail est un appel à l'endroit des gouvernants sur les pertes
que l'économie nationale subit du fait de l'instabilité sociopolitique ; il les
oriente également dans les réformes politico-économiques nécessaires
pour remettre l'économie sur le sentier de la croissance et le
développement dans un pays en voie de sortir de guerre, qui devra
reconstruire son capital d'infrastructures économiques et sociales, entamé
par plusieurs années de conflits.

Mémoire de DESS_GPE 11 (2009/2010) Présenté par KOUAKOU


Armand 4
Impact de l'instabilité sociopolitique sur les investissements publics et
privés en Côte d'Ivoire

0.5. Approche méthodologique de l'étude

La méthodologie de l'étude repose essentiellement sur la revue


documentaire, les analyses statistiques descriptives et économétriques des
données secondaires collectées.

? Revue documentaire

La revue documentaire a consisté à l'examen des travaux réalisés sur les


différentes relations qui existent entre les investissements (publics et
privés) et la croissance économique d'une part, et sur l'impact des conflits
sur la croissance et le développement économique et social, d'autre part.
Cette revue documentaire a permis de valoriser les données existantes,
d'identifier les déterminants des investissements publics et privés et de
formuler les hypothèses de l'étude.

? Collecte et traitement des données de l'étude

Les données utilisées proviennent des informations économiques et


financières produites par le MEF et la BCEAO sur la Côte d'Ivoire. Ces
données portent sur le PIB, le budget de l'Etat (recettes fiscales, dépenses
de fonctionnement, dépenses d'investissements publics, dépenses liées à
la gestion de la crise), les investissements privés, les taux d'intérêt et le
degré d'ouverture commerciale. Ces informations ont été complétées par
les données du WDI 2008, sur le Cameroun, le Ghana et le Sénégal, pays
témoins de l'étude5. L'étude s'étend sur la période allant de 1970 à 2010.

Pour mesurer l'incidence de la crise sur les investissements, deux


approches méthodologiques ont été utilisées dans cette étude, en fonction
du type d'investissement. Etant donné que l'investissement public est une
donnée exogène, la méthode d'analyse statistique des tendances des PIB
factuel et contrefactuel a été utilisée pour apprécier l'impact de la crise.
Cette approche méthodologique est similaire à celle employée par Oxfam
International et al. (2007). L'effet de la crise sur les investissements privés a
été appréhendé à travers une modélisation économétrique de
l'investissement privé avec un Modèle à Correction d'Erreur, intégrant une
variable indicatrice qui prend en compte l'instabilité politique. Le traitement
des données a été réalisé en utilisant les logiciels EXCEL et EVIEWS 5.0.

5 Le Cameroun, le Ghana et le Sénégal ont été choisis comme pays


témoins de l'étude, compte tenu de la similitude de leurs performances
économiques avec celles de la Côte d'Ivoire avant la crise sociopolitique
ivoirienne de décembre 1999.

Mémoire de DESS_GPE 11 (2009/2010) Présenté par KOUAKOU


Armand 5

Impact de l'instabilité sociopolitique sur les investissements publics et


privés en Côte d'Ivoire

La suite de cette étude est organisée autour de trois parties. D'abord, elle
trace le cadre conceptuel et théorique de l'étude dans lequel sont définies
les notions d'investissement, d'instabilité politique et d'impact. Cette
première partie rappelle également la revue de littérature relative aux
fondements théoriques et empiriques des liens de causalité entre les
différents types d'investissements et la croissance, et l'impact des conflits
sociopolitiques sur la croissance et le développement économique. La
seconde partie examine les conséquences de la crise sur les
investissements publics par l'analyse de la structure et de l'évolution du
budget de l'Etat et l'évaluation des coûts, en termes d'investissements
publics, engendrés par la crise sociopolitique. Enfin, la troisième partie
traite des effets de l'instabilité sociopolitique sur les investissements privés
à travers une analyse économétrique.

Impact de l'instabilité sociopolitique sur les investissements publics et


privés en Côte d'Ivoire

Notion d'impact

1.3.1. Définition de l'impact

La majorité de la littérature définit l'impact relativement à un programme7.


Ainsi selon le CIEDEL (2010), « l'impact, c'est la situation issue de
l'ensemble des changements significatifs et durables, positifs ou négatifs,
prévus ou imprévus, dans la vie et l'environnement des personnes et des
groupes et pour lesquels un lien de causalité direct ou indirect peut être
établi avec le projet ou programme ». L'impact peut donc être défini comme
les effets tangibles et intangibles, directs et indirects, positifs et négatifs
qu'un incident, un accident, un changement, un problème, un mouvement
ou une action a, ou pourrait avoir, sur un phénomène. Dans le cadre de
cette étude, l'impact sera appréhendé comme les conséquences en termes
de pertes ou de coûts économiques et financiers, du fait de la survenue de
la crise, sur les investissements.
1.3.2. Evaluation de l'impact

L'évaluation de l'impact, qui est un jugement porté sur les dynamiques de


changements survenus à la suite d'une action entreprise ou d'un choc
exogène, est complexe. Cette complexité est liée à la diversité des
domaines auxquels se rapporte le terme (Bachelet, 2010). Cependant,
l'impact de l'instabilité sociopolitique sur les investissements sera apprécié
comme la différence entre le niveau observé des investissements, avec la
crise, et le niveau qu'auraient eu les mêmes investissements sans la crise.

Plusieurs méthodes scientifiques existent pour l'évaluation de l'impact. Le


choix d'une méthode dépend, entre autres, de l'objet, de l'objectif, de la
disponibilité des données, du coût et de l'environnement de l'étude ainsi
que des contraintes de temps. Toutefois, selon M'Baye, (2010), c'est la
détermination de la comparaison contrefactuelle qui est l'essence de la
conception d'évaluation d'impact.

7 Il y a une nette différence entre résultat, effet et impact (cf. annexe


A1.1)

Mémoire de DESS_GPE 11 (2009/2010) Présenté par KOUAKOU


Armand 12

Impact de l'instabilité sociopolitique sur les investissements publics et


privés en Côte d'Ivoire
HYPOTHESES

Dans ce travail, nous nous situons dans l'hypothèse selon laquelle, l'impact
des dépenses publiques en éducation dans le cadre de la croissance
économique, auxquelles la RDC veut atteindre dans les prochains jours ;
nous voulons voir si et seulement si les dépenses publiques en éducation
n'auront pas des effets positifs ou négatifs ou soit la combinaison de ces
deux questions. C'est ainsi que nous répondons à nos hypothèses de la
manière suivante :

H1. Les dépenses publiques en éducation n'influencent pas la croissance


économique en RDC à cause de leur faible part dans le budget de l'Etat ;

H2. La nature de la corrélation qui existe entre les dépenses publiques en


éducation et la croissance économique en RDC serait positive car les deux
variables évoluent dans le même sens.

1.1. Etat de la Question

La problématique sur la contribution de l'éducation dans l'activité


économique fait l'objet des nombreuses études. Cette question de
recherche a pris de l'ampleur au 20ème siècle, lorsqu'au début des années
60, les économistes anglo-saxons en général et

L'Impact des dépenses publiques e n Education sur l a croissance E c o n o


miqueenRDCde1980à2012

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américains en particulier ont introduit la dimension qualitative du facteur


travail grâce à l'éducation et à la formation. C'est à partir des travaux de
ces économistes que l'on a déterminé le rôle de l'éducation dans le
développement socio-économique en général et à la croissance
économique en particulier.

De nombreux auteurs ont analysé, tant sur le plan théorique qu'empirique,


les liens qui existent entre les dépenses publiques, l'éducation et la
croissance économique.

THEODORE SCHULTZ a analysé l'évolution aux USA durant la période


1900-1957 du stock de l'éducation de la population d'une part et de stock
du capital physique d'autre part, par l'approche de relation entre les
dépenses en éducation et la formation du capital physique. Il parvint à la
conclusion qu'au cours de cette période les USA ont plus investi dans la
formation du capital humain que dans la formation du capital physique
c'est-à-dire les investissements matériels.

EDWARD DENISON, cherchant à déterminer les sources de la croissance


économique aux USA, à mené une étude couvrant la période 1929-1957 en
utilisant l'approche résiduelle qui consiste à expliquer le taux de croissance
de PNB non expliqué par les variations des facteurs travail et capital. Il est
arrivé à la conclusion selon laquelle l'éducation a contribué à la croissance
du revenu national quatre fois plus que le facteur capital physique.

FREDERIC HARISON ET CHARLES MAYEURS ont appliqué dans leur


étude l'approche de corrélation internationale entre le taux de scolarisation
de la population et le PNB sur un échantillon de 75 pays et ont conclus qu'il
existe une corrélation très positive entre la scolarisation de la population et
le PNB.

FOUEKA TAGNERS en 2009, a étudié la croissance des dépenses


publiques et son incidence sur le développement au Cameroun. Les
résultats empiriques indiquent à partir d'un modèle de déséquilibre où les
aspects d'offre et de demande de dépenses publiques sont pris en compte
simultanément, que le niveau de vie appréhendée à partir du revenu réel,
est le principal facteur qui explique la demande. Du coté de l'offre ce sont
les facteurs tels que le montant des taxes et des impôts qui ont une
influence significative mais une observation faite dans le secteur de
l'éducation permet de

L'Impact des dépenses publiques e n Education sur l a croissance E c o n o


miqueenRDCde1980à2012

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constater que ces dépenses sont inégalement réparties selon la zone


géographique.

RIADH BEN JILILI (2000) a analysé en 2007 les dépenses publiques,


corruption et la croissance économique dans les pays de l'Union
Economique et Monétaire Ouest-Africain (UEMOA) par une analyse de la
causalité au sens de granger. Il ressort de résultats de cette analyse que
les dépenses publiques et croissance économique s'influencent
mutuellement.

WAUTABOUNA OUATTARA a analysé les dépenses publiques et la


croissance économique dans une étude économétrique en Cote d'ivoire.
Cette étude a apporté la confirmation de la contribution productive des
dépenses d'investissement public en infrastructures et en capital humain à
la croissance du PIB.

THOMAS JOUBERT a étudié les dépenses publiques d'éducation, les


dépenses militaires et la croissance en Turquie. Se basant sur une analyse
empirique, il en est résulté une causalité positive des dépenses d'éducation
vers le PIB et une causalité négative des dépenses militaires.

BILETIKA A. a étudié l'efficacité des dépenses publiques en capital humain


sur la croissance économique en RDC. Il résulte de cette étude que les
dépenses publiques d'investissement en capital humain ont un effet positif
mais non significatif sur la croissance économique en RDC.

NYAMUHIRYE NZIGIRE R. a étudié les dépenses publiques et la


croissance en RDC de 1976 à 2008 par l'estimation de l'approche
autorégressive (VAR). Il résulte de cette étude que les dépenses publiques
sont négativement liées à la croissance économique. La présente étude
considère les dépenses publiques en éducation et analyse son impact sur
la croissance économique en RDC.

L'Impact des dépenses publiques e n Education sur l a croissance E c o n o


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OBJECTIF DE LA RECHERCHE

Dans ce travail, l'objectif est de 3 ordres à savoir : l'objectif général,


l'objectif social et enfin l'objectif économique.

2.1. Objectif Général : Il est question de faire une Analyse empirique, tout


en essayant de voir l'impact Dépenses publiques en éducation sur la
Croissance économique de la RDC.

Par rapport à l'impact nous vaudrions juste mesurer la corrélation positive


ou négative des dépenses publiques allouées dans le secteur éducatif enfin
d'évaluer leur répercutions sur la croissance économique.

Dans le cas où ces dépenses publiques nous conduisent à un résultat


positif par rapport au taux de croissance cela implique que le
développement peut être envisageable.

Dans le cas contraire, il y a nécessité d'évaluer l'allocation de ces dépenses


publiques enfin qu'il ait équilibre avec le taux de croissance économique.

2.2. Objectif social : A ce stade, il est d'abord question d'améliorer la


qualité de la formation, d'assainir l'environnement social éducatif, et enfin
de se procurer des infrastructures éducatives de base étant donné qu'une
partie des dépenses publiques est allouée à ce secteur.

2.3. Objectif Economique : l'objectif économique de ce présent travail est


de faire des analyses du cadre macro-économique pour voir la part des
dépenses publiques allouées dans le secteur éducatif enfin d'envisager une
croissance auto-entretenue et une croissance économique.

L'Impact des dépenses publiques e n Education sur l a croissance E c o n o


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1
 B.M. MWAMBA, Méthode de recherche en sciences sociales, notes
inédits, UPN/FASEG, G2 économie 2009-2010, p.21

3. INTERET ET CHOIX DE LA RECHERCHE

3.1. Intérêt de la Recherche

L'intérêt porté à ce sujet s'explique par l'importance de l'éducation dans le


développement des peuples d'autant plus qu'il est admis sur base des faits
que la croissance économique que certains pays connaissent, repose sur
l'économie du savoir. Et cette éducation nécessitant des coûts énormes
que certaines couches de la population de la RDC ne peuvent supporter,
d'où, l'intervention indispensable de l'Etat particulièrement dans ce secteur
par les dépenses publiques enfin d'envisager son développement de et de
stimuler la croissance économique et de permettre l'accès de tous à
l'éducation.

3.2. Choix de la Recherche

Le choix de ce sujet s'avère d'une grande importance, du fait que le


système éducatif congolais ne prend pas de l'essor étant donné qu'il y a
une faible part des dépenses publiques allouées à ce secteur alors que,
l'éducation sous d'autre cieux est l'un des facteurs déterminant le
développement des pays. Outre cela, la RDC connait encore de graves
problèmes dans son système éducatif entre autre : les salaires des
personnels enseignants, des infrastructures scolaires et la qualité de la
formation et bien tant d'autres que le Gouvernement doit résoudre dans les
jours avenirs.
METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE

Au sens général du terme, la méthode est l'ensemble des opérations


intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les vérités
qu'elle poursuit, les démontrent et les vérifient1.

L'élaboration de notre travail va nécessiter l'utilisation des méthodes ci-


après :

L'Impact des dépenses publiques e n Education sur l a croissance E c o n o


miqueenRDCde1980à2012

Page 7

? La Méthode Déductive : qui consiste à partir des faits généraux et des


théories déjà élaborées, se rapportant à notre sujet pour aboutir aux faits
particuliers de la RDC.

? La Méthode Analytique : qui nous a permis d'analyser l'importance des


dépenses publiques en éducation sur la croissance économique de la RDC.

Quant aux techniques, nous allons utiliser les techniques ci-après :

? La technique Documentaire : qui a permis de recourir aux ouvrages,


articles, documents officiels et autres écrits qui sont en rapport avec notre
sujet.

? La technique Quantitative : qui nous a permis de démontrer par des


Analyses économétriques la corrélation qui existe entre les dépenses
publiques en éducation et la croissance économique en RDC.

Elles ont porté sur l'estimation d'un modèle avec capital humain dans lequel
nous considérons les variables taux de scolarisation primaire, secondaire et
dépenses publiques en éducation pour établir la relation avec la croissance
économique.

Nous utilisons à cet effet, le modèle vectoriel autorégressif (VAR) et le


logiciel E-Views pour l'estimation.
REPUBLIQUE DE COTE D’IVO

Union-Discipline-Travail

MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR


ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
---------------------

MEMOIRE DE FIN DE CYCLE


En vue de l’obtention du diplôme de la Licence Professionnelle
Option : BANQUE ET ASSURANCE
Thème :

LA DIGITALISATION DES SERVICES


BANCAIRES POUR LES PARTICULIER:
ENJEUX,DÉFIS ET PERSPECTIVES : CAS DE
L’AGENCE ATLANTIQUE ABATTA
Présenté par :
M.LANZE David Sanmien

Promotion 2021-2022

SOUS LA DIRECTION DE : MAITRE DE STAGE :

Dr. Hervé ZOKOU Mme. Elise KOKORA épse MANGOUA


CHEF D’AGENCE ABATTA

Décembre 2022
Le contrôle interne a pris une grande ampleur dans la vision d’organisation des entreprises.
En effet, les dirigeants ont de plus en plus de souci quant à la bonne gestion de leurs
entreprises et ont tendance à prendre toutes les mesures nécessaires et mettent en place
les outils qui leur permettent de les gérer au mieux. Même si le contrôle interne ne fournit
qu’une assurance raisonnable sur la fiabilité de l’information financière et de gestion, la
protection du patrimoine et la conformité aux lois et règlements, cette assurance
raisonnable bien que non totale est très importante et nécessaire et permet de
contrecarrer un grand nombre de risques pouvant compromettre l’efficacité et la
pérennité de l’entreprise. Le rapport d'audit est considéré comme un moyen important
dans la communication financière entre les différents utilisateurs des états financiers. En
effet, la certitude que procure l'auditeur et l'obligation légale d'auditer les états financiers
favorisent que ce rapport joue un rôle primordial dans la garantie de régularité et la
sincérité des états financiers. Le réviseur comptable (commissaire aux comptes) fondera
son opinion notamment sur l’examen du système de contrôle interne dont il sondera
l’efficacité. Si celui-ci fonctionne de manière satisfaisante, l’examen du réviseur
d’entreprises peut se limiter à des sondages appropriés. Par contre, si le système présente
de graves lacunes, le réviseur a le devoir d’adapter son examen et de procéder à un
contrôle plus approfondi. Le présent rapport n’est pas une image exhaustive des
différentes missions que l’on m’a confiées au sein du cabinet, toutefois il m’a semblé plus
opportun de traiter l’appréciation du contrôle interne. L’objet du présent rapport est de
situer la phase d’évaluation du contrôle interne et comment elle peut conditionner l’étape
suivante de contrôle des comptes. Les deux phases s’insèrent dans le cadre d’une
approche générale d’audit, l’une prépare l’autre, à travers des conclusions et des
programmes de travail. L’appréciation du contrôle interne laisse à conclure, si les
contrôles mis en place présentent une assurance ou une sureté pour l’auditeur, donc il
pourra se baser sur eux lors de la démarche d’audit des comptes puisque le système
présente des points forts validés à travers des tests de permanence, ou il doit renforcer ses
contrôles et vérifications lors du contrôle des comptes.

Le contrôle interne vise à appliquer les instructions et les


orientations fixées par la Direction et à assurer :
> Le bon fonctionnement des processus internes de la
société
> La sauvegarde du patrimoine de la société
> La qualité et la fiabilité des informations financières,
entre autres.
De façon à favoriser l'amélioration des performances de la
société : l'efficacité de ses opérations et l'utilisation
efficiente de ses ressources.
En somme, le dispositif de contrôle interne est un outil de
prévention et de maitrise des risques de ne pas atteindre
les objectifs que s'est fixé la société. Il a un rôle clé dans
le pilotage de ses différentes activités.

Comme tout système, le dispositif de contrôle interne fait


l'objet d'une évaluation permanente. L'audit interne,
quand il existe, est chargé de vérifier la pertinence et
l'adéquation du dispositif aux objectifs de la société.
Le contrôle interne vise à appliquer les instructions et les
orientations fixées par la Direction et à assurer :
> Le bon fonctionnement des processus internes de la
société
> La sauvegarde du patrimoine de la société
> La qualité et la fiabilité des informations financières,
entre autres.
De façon à favoriser l'amélioration des performances de la
société : l'efficacité de ses opérations et l'utilisation
efficiente de ses ressources.
En somme, le dispositif de contrôle interne est un outil de
prévention et de maitrise des risques de ne pas atteindre
les objectifs que s'est fixé la société. Il a un rôle clé dans
le pilotage de ses différentes activités.

Comme tout système, le dispositif de contrôle interne fait


l'objet d'une évaluation permanente. L'audit interne,
quand il existe, est chargé de vérifier la pertinence et
l'adéquation du dispositif aux objectifs de la société.

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