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Fraternité-Travail-Progrés Le ZENITH
Classe : 4ème A
EXPOSE DE SVT
Groupe N°4
Présenté par :
Introduction ..................................................................................................................................3
I. DÉFINITION.....................................................................................................................3
IV. EXAMENS.........................................................................................................................5
V. TRAITEMENT..................................................................................................................6
VI. COMPLICATIONS...........................................................................................................6
I. DÉFINITION
Les méningites d’origine virale sont généralement bénignes chez les patients
ne souffrant pas d’un déficit immunitaire, le rétablissement étant le plus souvent
spontané : le malade guérit sans séquelles au bout de quelques jours.
L’habitat naturel des espèces bactériennes le plus souvent mises en cause dans
les méningites aiguës (H. influenzae, N. meningitidis, et S. pneumoniae) est
le rhinopharynx de l’homme. Après une infection locale, respiratoire ou ORL
(angine, otite, sinusite, etc.), les bactéries peuvent se retrouver dans le sang et
éventuellement franchir la barrière hémato-méningée pour infecter le liquide
céphalo-rachidien, ce qui entraîne un œdème et une inflammation méningée.
III. SYMPTOMES
Chez la personne âgée, le début est encore plus brutal, avec apparition
rapide d'un coma profond avec des convulsions,
Il apparait souvent un bouton de fièvre au niveau de la lèvre supérieure.
Les méningocoques sont des bactéries qui peuvent provoquer des maladies très
graves comme les méningites ou les septicémies qui peuvent être mortelles ou
laisser des séquelles importantes. Un état de choc non expliqué peut survenir.
Le cerveau et la moelle épinière peuvent être touchés. Il peut y avoir, pour les
cas les plus graves, une infection générale du sang et de différents organes.
L’état de santé de la personne se dégrade.
IV. EXAMENS
La ponction lombaire est une nécessité car il s'agit d'un syndrome méningé.
C'est le résultat de cette ponction lombaire qui donne le diagnostic et qui met en
évidence le méningocoque.
V. TRAITEMENT
VI. COMPLICATIONS
La méningite cérébro-spinale est mortelle dans 1/3 des cas, surtout s'il y a
un purpura.
Dans les autres cas, le pronostic est favorable grâce au traitement.
Certaines séquelles peuvent survenir : surdité, troubles visuels, troubles
neuro-psychiques.
La bactérie se transmet par voie aérienne ou par la salive, notamment par la toux
ou les postillons. Elle ne survit pas dans le milieu extérieur, ni sur les objets, ni
sur les surfaces.
Méningocoques ACWY
Vaccination de chez les sujets contacts d’un cas, les autres sujets à risque (les
voyageurs en zone endémique ; les personnels des laboratoires de recherche
travaillant spécifiquement sur le méningocoque ; les personnes porteuses d’un
déficit en fraction terminale du complément ou d’un déficit en properdine ; les
personnes ayant une asplénie anatomique ou fonctionnelle ; les personnes ayant
reçu une greffe de cellules souches hématopoïétiques) et dans des situations
spécifiques (cas groupés et épidémies).
Si le risque est durable, il faut un rappel tous les 5 ans.
Méningocoque B
Vaccination de chez les sujets à risque et dans des situations spécifiques (cas
groupés et épidémies).
Dans tous les cas d’infections méningococciques, l’antibioprophylaxie est
préconisée pour l’entourage proche, ce qui empêche la contagion entre les
individus : la rifampicine doit être administrée pendant 2 jours. Toutefois, il
existe des contre-indications (hypersensibilité, grossesse, maladie hépatique
grave, alcoolisme, porphyrie,…), et des résistances à la rifampicine pour de
rares souches de méningocoques. La prévention repose alors sur la prise de
Ceftriaxone par voie injectable ou de Ciprofloxacine par voie orale, en dose
unique.
Dans le cas de méningites à méningocoques du sérogroupe A, C, Y ou W la
prévention par la vaccination permet de compléter l’antibioprophylaxie
instaurée pour la protection des sujets ayant eu des contacts proches et répétés
avec un malade (généralement les personnes vivant au domicile du malade) et
des enfants en bas âge vivant en collectivité, où la promiscuité est grande.
Les infections méningococciques touchent 500 000 personnes par an, dans le
monde, selon l’OMS.
CONCLUSION