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Droit des sociétés = Ensemble des règles juridiques qui régissent les sociétés depuis leur
création en passant par leur fonctionnement et jusqu’à leur disparition.
En droit, une société valablement créée est une personne morale. Ce termine est une fiction
juridique pour justifier des règles sur la répartition du patrimoine.
Ainsi, la société est une personne pouvant disposer d’un patrimoine qui lui est propre. Cela
permet également de distinguer son patrimoine de celui des associés.
Pour la société puisse acquit cette personnalité morale, il faut qu’elle remplisse toutes les
règles de formation en passant par la rédaction des statuts jusqu’à l’immatriculation au RCS.
Dans le Code Civil, on retrouve toutes règles qui s’applique à l’ensemble des sociétés appelé
par conséquent le droit commun.
Pour qu’une société unipersonnelle existe valablement il faut qu’elle réponde à des critères
légaux posés par la loi.
Ces classifications sont juste un moyen pour appliquer les règles à tel ou tel type de société.
Différence entre :
Donc, il faut que le législateur ait prévue le cas pour pouvoir créer une société unipersonnelle
car le principe c’est qu’il faut au minimum deux associés.
L’EURL a été ensuite concurrencée par l’EIRL qui correspond à un entrepreneur individuel
(donc pas de société et de personnalité morale) cependant il aura la responsabilité limitée.
Elle a les avantages d’une société : possibilité de créer un patrimoine d’affectation dans lequel
on retrouve tous les biens qui constitue le patrimoine de l’EIRL.
Les sociétés civiles sont régies par le Code Civil et les sociétés commerciale par le Code de
Commerce.
Les associés sont indéfiniment responsables (responsabilité illimitée) et détiennent des parts
sociales.
Conséquences de l’intuitu personae : l’entrée et la sortie des associés est fortement
contrôlée.
Exemples :
S’il y a le décès ou l’incapacité d’une associé la société peut être dissoute si cela est
prévue par les statuts
Si un associé veut vendre ses parts sociales, il faudra un agrément par tous les associés
si les statuts le prévoient.
Société de capitaux : priorité donnée aux investissements, ce qui compte ce sont les biens
apportés par les actionnaires et le patrimoine de la société.
Exemples : SA et société cotée.
La responsabilité est limitée au montant de l’apport fait dans la société. Le capital est
constitué d’actions.
En principe, les actions sont librement négociables (pas de contrôle sur les cessions).
Attention : Pour éviter que les statuts soient trop facilement modifiés certaines conditions
doivent respecter. Ainsi toute AG qui veut modifier les statuts doit avoir un certain quorum
(certain nombre de personnes présentes) et les décisions modifiant les statuts doivent prises à
une certaine majorité.
C. Règle de formation
Toutes sociétés sont régies par des règles impératives (elles ne peuvent pas y échapper).
Il y a des points où les associés ont une liberté contractuelle (pouvoir prévoir ce que je veux
dans mon contrat) plus ou moins étendue.
Consentement
En droit des sociétés, les co-contractants (parties au contrat des sociétés = futurs associés)
doivent exprimer leur consentement et avoir la capacité de conclure le contrat.
Chaque associé doit consentir au contrat de société.
Son consentement doit être réelle, sincère et non vicié.
Cour d’appel du 30 juin 2015 : Cela mêle le droit des sociétés et le droit des contrats.
Une personne âgée a créé une SCI avec deux associés. Elle a apporté plusieurs biens
immobiliers donc pendant 2 ans elle était associée majoritaire à 80%.
Par la suite, elle conclue avec ses associés la cession de ses parts contre une rente viagère.
Elle finit par décéder rapidement suite à une opération.
Cependant ses ayants droits veulent contester la cession des parts sociales.
Ils assignent ainsi les deux associés devant le tribunal pour :
- Demander l’annulation de l’apport de la personne âgée à la SCI,
- Demander l’annulation de la cession des parts,
- Prononcer la dissolution de la société,
- Exiger le versement de dommages et intérêts.
Les jugent ont rejeté cette demande car ils ont considéré qu’il n’y avait pas la preuve que :
- La personne âgée était dans un état de vulnérabilité particulier qu’il l’aurait empêché
de discuter de la proposition de ses coassociés.
- Des pressions avaient été exercé sur la vielle femme.
- Il a eu des manœuvres dolosives des associés.
De plus, les associés ont réussi à prouver que leur associée recherchait le versement d’une
rente.
Capacité
L’associé doit avoir la capacité de conclure le contrat de société.
Les règles de la capacité sont régies par le Code Civil (mineurs et majeurs vulnérables ne
peuvent pas entrer dans les sociétés).
Il y a des sociétés où les exigences sont plus importantes sur la capacité.
Exemple : capacité commerciale des associés (inscription au répertoire des métiers) dans les
SNC.
Règle de capacité renforcée
Objet
= Type d’activité que la société se proposer d’exercer pour faire des bénéfices ou réaliser des
économies.
Cet objet doit impérativement être indiqué dans les statuts. Toutes les décisions des organes
de direction doivent entrer dans cet objet social.
Si une société effectue des actes qui ne rentrent pas dans l’objet social cela entraine la nullité
de l’acte si une demande est faite en justice.
Apports / affectation
Les associés doivent affecter à l’entreprise des biens ou leur industrie.
En échange de ces apports ils vont recevoir des droits sociaux (parts sociales ou actions).
Les biens apportés par les associés sont au service de l’entreprise et lui sont affecté.
Cette affectation dure pendant toute la vie de la société.
Une fois que la société est immatriculée c’est une personnes morale tous les apports constitue
le patrimoine de la société.
Type d’apports :
Apport en nature = Tous bien qui n’est pas une somme d’argent ni un apport en
industrie. Un bien de toute nature (meuble ou immeuble) corporelle ou incorporelle.
Dans le Code de Civil, il est précisé que l’associé qui s’est obligé à faire cet apport à
la société lui doit compter de tous les gains qu’il a réalisé par l’activité faisant l’objet
de son apport.
Évaluation : L’associé qui n’apporte que son industrie a une part qui est égale à celle
de l’associé qui a le moins apporté sauf clause contraire dans les statuts.
Affectio societatis
Terme créé par la jurisprudence
= Volonté des associés de collaborer ensemble sur un pied d’égalité au succès de l’entreprise
commune en participant aux bénéficies comme aux pertes.
Dans les sociétés unipersonnelles, un affectio societatis est considéré si l’associé se comporte
comme un associé.
Utilité ?
Ce terme a été créer pour qualifier une société dans le cas il y avait un doute.
C’est le cas pour des personnes qui n’ont pas voulu créer une société mais qui se comportent
comme des associés. Pour cela, il faut vérifier toutes les conditions de validité pour la société.
Participation au résultat
Il est nécessaire que les associés consentent à participer au résultat pour qu’il y ait existence
d’une société.
Recherche de bénéfice = exercice sociale qui dure 12 mois, à la fin de cet exercice les
résultats sont publiés et des dividendes sont à répartir. Chaque associé reçoit une part du
bénéfice vie une décision collective.
Partage d’économie = grâce à société les associés vont obtenir des prestations ou des biens à
des coûts inférieurs ce qu’il aurait obtenu à titre individuel.
Exemple : Les SCM (société civile de moyen) qui sont souvent créée par des
professionnels libérales où chacun continue d’exercer son activité à titre individuel
mais la société a était créée pour mettre en commun des moyens (locaux, machine,
ect..).
Contribuer aux pertes = règle impérative, au moment où les associés entrent dans la société,
ils acceptent d’encourir le risque de contribuer aux pertes sociales.
Le plus souvent cette contribution va se manifester à la liquidation de la société.
L’enjeu se fait sur le type de société :
o Dans une société à responsabilité limitée, l’associé est limité au montant de son
apport.
o Dans une société à responsabilité illimitée, l’associé peut être poursuivit par les
créanciers au-delà du montant de son apport.
En revanche, les conditions pour aller chercher dans le patrimoine personnel de
l’associé sont strictes.
Distinction entre l’obligation de contribuer aux pertes et les engagements qui peuvent
être demandé d’un associé
Impossibilité d’imposer à un associé d’augmenter ses engagements c’est une règle
d’ordre public.
Exemple : Un associé veut faire une augmentation de capital, il ne peut pas l’imposer
aux autres actionnaires car sa responsabilité augmente.
L’article 1844 prévoir que la part de chaque associé dans les bénéfices et les pertes est
proportionnel à la part que ce dernier déteint dans le capital social sauf si clause
contraire.
Attention : Impossible de prévoir une clause qui aboutit à attribuer la totalité du profit
à un seul associé ou à exonérer un associé de la totalité des pertes => clause léonine =
clause interdite.
Une fois les statuts correctement rédigés, ils sont publiés dans un JAL et enregistrés auprès du
greffe qui communiquera par la suite l’extrait K-bis.
D. Importance de la rédaction des statuts
Une fois rédigé, les statuts doivent être signés par les associés mais la société n’a pas encore
de personnalité morale.
En droit des sociétés, pour prononcer la nullité de la société il faut qu’il y est un article qui
prévoit précisément que tel point s’il n’y est pas cela entraine la nullité de la société.
Pas de nullité sans texte.
La première sanction est la nullité de la société à laquelle peut s’ajouter une action en
responsabilité civile.
Référence au droit des contrats en général, pour le reste seule la violation de dispositions
expressément visées peut entrainer la nullité d’une société.
La régularisation de la société
Article 1844-11 et L. 235-3 du Code de Commerce
« L'action en nullité est éteinte lorsque la cause de la nullité a cessé d'exister le jour
où le tribunal statue sur le fond en première instance, sauf si cette nullité est fondée
sur l'illicéité de l'objet social. »
Le Code Civil et le Code de Commerce permettent d’éteindre l’action en nullité dès lors que
la cause de la nullité a cessé exister le jour où le tribunal statut.
Possibilité de réparer l’irrégularité.
Lorsque la nullité de la société est prononcée, elle met fin, sans rétroactivité, à l'exécution du
contrat à l'égard de la personne morale qui a pu prendre naissance. Elle produit les effets d'une
dissolution prononcée par justice.
La société est liquidée, comme si elle était dissoute après avoir fonctionné régulièrement.
o Le rapport de gestion, l'inventaire et les comptes annuels établis par les gérants, sont
soumis à l'approbation des associés réunis en assemblée, dans le délai de 6 mois à
compter de la clôture de l'exercice.
o Dans les assemblées ou lors des consultations écrites, les décisions sont adoptées par
un ou plusieurs associés représentant plus de la moitié des parts sociales.
o La réduction du capital est autorisée par l'assemblée des associés statuant dans les
conditions exigées pour la modification des statuts. En aucun cas, elle ne peut porter
atteinte à l'égalité des associés.
EURL
o Lorsque la société ne comporte qu'une seule personne, celle-ci est dénommée
« associé unique ».
o L'associé unique exerce les pouvoirs dévolus à l'assemblée des associés.
o Le gérant n’est pas nécessairement l’associé unique, ses décisions doivent être
répertoriées dans un registre.
L'assemblée générale extraordinaire est seule habilitée à modifier les statuts dans toutes leurs
dispositions. Toute clause contraire est réputée non écrite.
Elle statue à la majorité des deux tiers des voix dont disposent les actionnaires présents ou
représentés.
L227-1 : le principe est qu’on lui applique les règles de la SA sauf celles qui sont
incompatibles avec les dispositions particulières propres à la SAS.
L227-5 : Les statuts fixent les conditions dans lesquelles la société est dirigée.
La société est représentée à l'égard des tiers par un président désigné dans les conditions
prévues par les statuts. Le président est investi des pouvoirs les plus étendus pour agir en toute
circonstance au nom de la société dans la limite de l'objet social.
Les décisions sont prises dans les conditions fixées par les statuts.
Toutefois, la réunion d'une assemblée de tous les associés est de droit, si elle est demandée
soit par un commandité, soit par le quart en nombre et en capital des commanditaires.
5) Société en commandite par actions – article L226-1 à L226-14
FOCUS sur les sociétés qui offrent au public des instruments financiers
Article L.411-1 du CMF : l’offre au public de titres financiers et les augmentations de capital
réservées à catégories de personnes.
« Insolvency Act 1986 », pose les règles applicables en cas de sauvegarde, redressement,
liquidation judiciaire, procédures spécifiques au traitement de la situation des entreprises en
cessation des paiements.
Quand une directive est prise au niveau européen (contrairement au règlement européen qui
est applicable dans tous les États membres de l’UE), elle fixe des objectifs, des grandes lignes
de manière générale puis après chaque État doit voter une loi dans son droit national qui vise à
transposer la directive.
On peut transposer :
- A minima (= prévoir ce qui a été prévue dans la directive)
- A maxima (= essayer d’atteindre les objectifs plus poussés de la directive).
Quand un dirigeant prend une décision : il doit justifier en quoi cela va dans l’intérêt de la
société.
Introduction d’une procédure permettant aux actionnaires d’intenter une action contre un
dirigeant au nom de la société pour violation de ses devoirs.
Pour cela ils doivent obtenir préalablement l’autorisation de poursuivre une telle
action : ils doivent aller devant le Tribunal, prouver que le dirigeant a agi dans un
intérêt contraire à la société.
Le Tribunal va alors statuer sur le caractère fondé ou non de la requête.
Si l’action est fondée, un certain nombre d’actionnaires peuvent porter une
action en responsabilité contre un dirigeant au nom de la société.
Ce « Companies Act » a suscité de nombreux litiges ont été portés devant les tribunaux
notamment sur l’application de ce texte. Maintenant, l’association de ce texte et des
jurisprudences appliquées a permis à ce que le régime soit admis aux différents acteurs.
Ce qu’il faut retenir : Texte de 2006 qui a mis de nouveaux devoirs à la charge des dirigeants
qui ont plus de chances de voir leurs responsabilités engagées et qui ont donc un devoir de
vigilance accrue.
En droit anglais, une société peut être créée par une ou plusieurs personnes qui souscrivent au
contrat de société et enregistrent celle-ci conformément aux exigences de la loi.
Toutes les obligations imposées par les textes sur la création d’une société sont respectées, on
le soumet au registre des sociétés qui va délivrer un numéro d’immatriculation et va ainsi
donner la personnalité morale à la société. ( companies house)
Toute société, doit avoir ses statuts.
Depuis 2010, il n’est plus obligatoire : l’objet social doit être inscrit dans les « Articles of
Association ».
Ces documents sont déposés au registre central des entreprises, qui pour l'Angleterre et le
Pays de Galles est « Companies House », à Cardiff. Ici à la différence du droit français, c’est
un registre national alors qu’en France nous avons des tribunaux au niveau régionaux.
Actions sans droit de vote : instruments purement financiers dont l’objectif pour l’entreprise
est d’ouvrir son capital plus facilement. C’est avoir de purs investissements financiers sans
vocation qu’ils interviennent dans le fonctionnement de l’entreprise.
2) Prise de décision
Companies act : Le droit anglais fait preuve d’un peu plus de souplesse par rapport au droit
français.
Objectif : facilité la gestion quotidienne des entreprises de petites tailles qui
constituent la majorité des sociétés en droit anglais.
Attention : Valable pour tous types de sociétés tant qu’elles ne sont pas côtés.
Il est loisible aux différents organes sociaux d’adopter différentes résolutions sans qu’il soit
nécessaire de réunir leurs membres.
Pour que les résolutions écrites soit appliqués il faut que celle-ci soit signés par un minima de
personnes.
C’est aussi possible en droit français : mais sur des résolutions sans trop d’enjeux
(généralement dans les SARL, SA …)
Suite à un changement des résolutions écrites en droit anglais : toutes les résolutions écrites
ont été soumises aux mêmes conditions de majorité que celle émise dans les AG = plus
d’exigences d’unanimité.
On va exiger une majorité simple pour les domaines qui relèvent d’une résolution simple.
Résolution ordinaire : majorité simple (50% des actionnaires).
Résolutions spéciales : signés pas des associés représentants 75% des droits de votes.
Même chose en droit français : on a des décisions qui doivent être prise par l’AGO
(décision vie courante) avec des quorums plus faibles
Décision plus importante : prise par l’AGE avec règles de quorum et majorité plus
élevés.
Encadrement : le droit anglais va prévoir que le consentement de tous les actionnaires est fixé
non pas à la date où il signe l’acte mais à la date où la société reçoit l’acte signé.
La résolution est valable et s’applique une fois que la société a reçu l’acte signé.
Le système de signature est fortement encadré avec des sanctions civiles et pénales en cas de
fraude.
En droit anglais : il n’est pas écrit dans le « Companies Acts » de tenir une AG annuelle sauf :
- Si les statuts le prévoient ;
OU
- Dans l’hypothèse où les actionnaires représentant au moins 10% des droits de votes.
Statut d’une personne physique qui exerce une activité commerciale mais qui n’est pas
inscrite au registre du commerce anglais.
Structure a but lucratif dans laquelle une personne va exercer une activité professionnelle, le
plus souvent commerciale mais qui n’a pas de patrimoine propre et qui ne peut avoir qu’un
seul membre.
Cette personne physique est directement propriétaire des actifs de l’entreprise. Il est donc
personnellement responsable des dettes
Pas de personnalité morale = la structure en elle-même n’est pas imposable c’est donc la
personne physique qui est elle-même imposée sur ses revenus.
En tant que soldetrader, j’ai la possibilité d’avoir des salariés (max 2/3 personnes) même si je
n’ai pas de personne morale.
Responsabilité illimitée : son patrimoine personnel peut être recherché si la société n’arrive
pas à couvrir ses dettes.
2) Partnerships
Forme ancienne de relation contractuelle crée entre des personnes qui font des affaires
ensemble en vue de réaliser des bénéfices.
Illimited Partnership
Le « partnership » est une entité qui offre une méthode simple pour réguler les relations entre
deux ou plusieurs personnes désireuses de réaliser une activité commerciale commune sans
avoir à supporter les couts de création d’une société.
Limited partnership
Créé par « Limited partnership act » en 1907.
Les associés n’ont pas vocation à participer à la gestion de l’entreprise et n’ont pas le pouvoir
de prendre des actes qui peuvent engager la société.
Il y a donc dans cette société des associés avec responsabilité limitée et illimitée.
A la personnalité morale empêche d’aller chercher les biens personnels des associés en cas de
faillite.
Elle permet aux membres de limiter leur responsabilité personnelle pour les dettes de
l'entreprise tout en organisant la structure interne de leur firme comme un « partnership ».
Avec la souplesse du partnership, avec une organisation libre pour le fonctionnement.
Sociétés ayant la possibilité de faire un appel public à l’épargne (le capital reste ouvert à la
négociation).
Nouvelles exigences informationnelles étendues pour les rapports annuels des sociétés cotées
issues de la transposition de la Directive européenne « Transparence ».
Deux types :
- « Quoted companies ou listed companies » (société cotée)
- « Unquoted companies » (société non cotée)
Les sociétés côtés ont l’obligation de donner davantage d’informations dans un document de
référence annuelle.
Politique de transparence très élevée afin de permettre aux investisseurs éventuels de
se faire une idée sur l’action des sociétés.
5) Corporations : Private Limited Companies (LTD)
= Société non côtés
Elles ont :
- la personnalité morale ;
- la responsabilité limitée ;
- Pas de capital minimum ;
- Nombre d’actionnaires max 50
- Suffixe LTD
S’apparente à la SARL qui, à la différence des Plc, sont définies par l'interdiction de l'offre de
leurs actions ou de leurs obligations auprès du public.