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nutrition
protection = macroФ
cicatrisation résidents
du SNC
NG2
oligodendrocytes
Aphasie Aphasie de
de Wernicke
Broca• troubles du schéma corporel
• ↓ organisation, attention, compréhension
raisonnement • toucher, dessin
• contrôle inhibition-désinhibition OK • X
hémi-négligence visuo-spatiale
expression X OK
BROCA WERNICKE
• amnésie antérograde
• aphasie
• épilepsie HM
sémiologie topographie-dépendante
• déficits visuels
zone • hallucinations
préfrontale
• amnésie
antérograde
• aphasie
• épilepsie HM
Neurones pyramidaux
- Dendrites développés
- Nombreuses synapses
- Axones longs
- Neuromédiateur = GLU & ACh
≠ Gyrus denté à petits neurones granulaires
Mémoire
Orientation spatio-temporelle
Neurogénèse adulte
8
TROUBLE COGNITIF LÉGER / MAJEUR
9
1, 2, 3 ?
. MÉMORISATION
1
2
VIELLISSEMENT CÉRÉBRAL NORMAL :
diminution modérée des performances cérébrales
signaling in the mouse hippocampus. [Kosmidis S. Cell Rep 2018 ;25:959-973]. MAIS PAS MA
=> contrairement à ce qui se produit avec la maladie d’Alzheimer, la mémoire des personnes âgées
n’est pas affectée par une perte de neurones mais par une modification de leur fonctionnement
Idée reçue n°1 :
au cours du vieillissement cérébral normal,
les troubles mnésiques s’expliquent par la mort des neurones de l’hippocampe
Faux !
+ hippocampe âgé normal :
- peu de dénervation
- ↓ fonction = ↓ ∑ protéine RbAp48
X
def. : État pathologique caractéristique normal de la vieillesse avancée
OUI NON
vieillissement normal
- optimal
- souhaitable
vieillissement pathologique
→ MND ex : MALZ
3- Maladie Neurodégénérative
ex : Maladie d’ALZHEIMER
1
9
maladie
dégénerescence de
maladie d’Alzheimer
cortico-basale Parkinson
MFT
chorée de SEP
Huntington
La plupart des patients atteints de MA sont atteints d’une forme sporadique qui est plus
complexe et plus susceptibles d'être le résultat d’une combinaison de facteurs génétiques
et environnementaux.
CONTEXTE du diagnostic = ?
DÉSORGANISATION DES FONCTIONS COGNITIVES DU SUJET AGÉ
ETAT DÉPRESSIF ?
SYNDROME CONFUSIONNEL ?
22
SYNDROME DÉMENTIEL-TCM
SYNDROME CONFUSIONNEL • déficit chronique irréversible
• déficit temporaire et réversible • évolution directement liée à des
• IIaire à pb organique, toxique, lésions dégénératives
infectieux … - installation progressive > 6mois
23
CONTEXTE du diagnostic (2) ?
SYNDROME DÉMENTIEL (TCM)
SECONDAIRE à :
- MALADIE VASCULAIRE FRÉQUENT +++
- Hydrocéphalie chronique
- Origine neurochirurgicale (tumeur, hématome sous-dural, hydrocéphalie chronique)
- Origine carentielle (alcoolisme B9, B12)
- Origine inflammatoire & auto-immune (SEP, CADASIL)
- Origine infectieuse (HIV, neurosyphilis), prion (MCJ)
- Origine endocrinienne (hypothyroïdie), métabolique (M. Wilson, cytopathies mitochondriales)
25
une question simple :
Pourquoi diagnostiquer si on ne sait pas traiter (2)?
• Recherche
Chère consoeur,
participer à un essai
Nous envisageons de proposer à monsieur LEKIEFFRE Bertrand né le 16/07/1954 de
26
en théorie :
TROUBLES COGNITIFS
Mémoire Comportement
Langage
maladie d’Alzheimer maladie frontotemporale
variant comportemental
M Park
MCL
Mémoire M Park
MA Comportement DFTP
PSP SYNDROME
DFT
AMS EXTRAPYRAMIDAL
DCB
Langage
APP
DS
ACP AMS
Atteinte
SNA
TROUBLES
VISUELS
Capacité de gériatrie, 18 janv 2011, UMPC Institut de la longévité. Hôpital Charles Foix.
DIFFICULTÉ du diagnostic
Aloïs ALZHEIMER
1864-1915 Auguste DETER
1850-1906
30
Normal Brain Alzheimer’s disease
Shrinkage of
Corpus Callosum
Corpus Callosum
Enlarged Sillons
Shrinkage of Gyri
• ORIENTATION SPATIO-TEMPORELLE 34
MA : des éléments cliniques évocateurs (2)
36
MA : l’atrophie temporale hippocampique
domine l’imagerie
37
Echelle de Scheltens
IRM Lésions anatomiques spécifiques :
atrophie évolutive et séquentielle
propagation avec des similitudes tau prion-like
39
TE(M)P et Lésions fonctionnelle:
atrophie évolutive et séquentielle
HypoM du cortex temporo-pariétal D prédictif du déclin cognitif
40
Pittsburg composé B et fixation du
traceur sur les lésions amyloides
A research team from the University of Pittsburgh led by geriatric
psychiatrist William E. Klunk and radiochemist Chester A. Mathis
synthesised charge neutral benzothiazoles derived from thioflavin
T, which included a small number of compounds with suitable
J. Delrieu, B Vellas. Amyloid neuroimaging in Alzheimer's properties for use as a TEP imaging agent.
disease: The clinician point of view. Médecine Nucléaire 2011;
35,608-612.
42
ALZHEIMER ?
Jusqu’à O/N
2007
A partir biomarqueurs
de 2007 O/N
du LCR
Pr DUBOIS PSL
En 2005, un groupe international de neurologues, coordonné par Bruno Dubois à l'Inserm, s'est réuni pour redéfinir les critères
diagnostiques établis en 1984. Les chercheurs ont introduit de nouveaux critères diagnostiques, en particulier des
biomarqueurs. Il s’agit de véritables signatures de la pathologie, présentes dès les premiers symptômes (stade prodromal).
La publication de ces résultats a constitué une révolution. Des chercheurs se sont alors aperçus qu’avec ces nouveaux critères,
« 36% de leurs patients inclus dans un essai thérapeutique sur la base d’anciens critères cliniques n’avaient pas la
maladie d’Alzheimer », rapporte Bruno Dubois. Et même si cette analyse n’a porté que sur un sous-groupe de patients,
l’enjeu est important. Des patients n’ont pas reçu le bon traitement et/ou la bonne prise en charge
Dubois B. 2007
Dubois B. 2018
ALZ & autres MND : un phénotype commun de protéinopathie
- solubilité↓
- fonction anormale et/ou agrégats toxiques
• Protéine PTau
• Peptide ß-Amyloide
• -Synucléine
• Protéine prionique
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facteurs génétiques
facteurs épigénétiques
dégénerescence
• neuro-inflammation & apoE4 neurofibrillaire
• brèches BHE PROTÉINE
TAU
• hypoperfusion cérébrale anormale
diagnostic biologique
• stress oxydant RLO
+ probabiliste
Maladie d’ Alzheimer
ischémie & reperfusion PEPTIDE Β-
AMYLOIDE
• toxicité du glutamate et anormal
MORT CELLULAIRE
nécrose (+/- ferroptose ?), apoptose
Protéine TAU Tubuline Associated Unit
• Protéine axonale qui participe à la stabilisation du cytosquelette
(MAP family)
• MA : Agrégation de protéines Tau hyperphosphorylées
- hypoperfusion => kinases + => P aN quali et quanti
.
- filaments hélicoidaux appariés
dégénerescence neurofibrillaire IC
• Capacité « prion-like » à se propager
• Protéine nucléaire : majoration des effets stress et ROS
moindre stabilisation de l’ADN
Sultan A et al. : Nuclear tau, a key player in neuronal DNA Protection. JBC 2011.
Lifeng Qiu et al. : Chronic cerebral hypoperfusion enhances Tau hyperphosphorylation and reduces autophagy in Alzheimer’s disease mice..
Sci Rep 2016; 6: 2396
47
APP et Peptide Amyloïde 1-42
• Précurseur APP = protéine transmembranaire synaptique
• Rôles mal connus
- fonctionnement type R
- adhésion cellulaire, neurogénèse, fonctionnement
synaptique, synaptogénèse …
• Clivage enzymatique
Peptides 38 à 42 AA
Fragments Aß1-42 insolubles
Composant majeur des plaques amyloides
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Excess amyloid β-peptide
- +long
+hydrophobe
→ PQ
soluble
neuroprotecteur
plasticité
puis
γ-secrétase
D’après Damien Amouyel Année : 2015 THESE POUR LE DIPLOME D'ETAT DE DOCTEUR EN MEDECINE, UNIVERSITE LILLE 2
Dosages sanguins ?
MA : plaques amyloïdes et dégénérescence
neurofibrillaire dominent la biologie
Peptide ßA 1-42
Protéine Tau
hyperphosphorylée
51
Polymorphisme de l’Apo E chromosome 19
Allèle E2 : protecteur vis à vis MA
Allèle E4 : x2 à x 4-11 MA Apo E astrocytaire
LDL récepteurs
• réparation, maintenance
et neurogénèse
• produite par astrocytes
• cholestérol --> neurones
via R LDL
E4 > E3 > E2 :
- fixation PQa (1-42)
- fixation vx (f soluble)
- ralentit clairance Aβ à
travers BHE
59
Troubles mémoires épisodique et prospective
•
Désorientation spatio-temporelle
• Dilatation ventriculaire
•
Hypoperfusion
•
Peptide amyloide 1-42
ATI < 1
60
Le gène PSEN1 : situé sur le chromosome 14, il est nécessaire à la production de la
protéine préséniline 1. C’est le gène retrouvé le plus souvent muté dans la maladie
d’Alzheimer héréditaire (69 % des cas). Plus de 180 mutations différentes ont été
répertoriées. L’âge de début de la maladie dépend de la mutation, mais plus de 50 % des
patients porteurs d’une mutation dans le gène PSEN1 développent la maladie avant 40
ans;
Le gène APP : situé sur le chromosome 21, il est essentiel à la production de la protéine
précurseur du peptide amyloïde. Une vingtaine de mutations ont été recensées
(retrouvées dans 13 % des cas). Les personnes porteuses d’une telle mutation
déclenchent une maladie entre 37 et 64 ans. Outre des mutations, des augmentations du
nombre de copies du gène, retrouvées dans 7 % des cas, expliquent une maladie qui
apparaît entre 41 et 65 ans.
Génétique de la maladie d’Alzheimer D. Campion. Act. Méd. Int. - Psychiatrie (18) n° 4, avril 200
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Genetic aspects of Alzheimer's disease (Review)
M ALZ : déficit cholinergique et toxicité du glutamate (précurseur du GABA).
Le NMDA (acide N-méthyl-D-aspartique) est un dérivé d'acide aminé qui se comporte en agoniste spécifique sur les récepteurs
NMDA, et imite donc au niveau de ces récepteurs, l'action d'un neurotransmetteur le glutamate
mémantine (EbixaC)
• AC Anti-plaque amyloide
aducanumab (AduhelmC) approb. FDA 2021 diminue la charge amyloide …
and so what ?
si quand même : ralentit TC mais
œdème cérébral 1/3 cas
J. Delrieu, B Vellas. Amyloid neuroimaging in Alzheimer's disease: The
clinician point of view. Médecine Nucléaire 2011; 35,608-612.
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