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La courbe IS-LM

République Algérienne Démocratique et Populaire


Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique

Ecole Supérieure de Comptabilité et de


Finances de Constantine
-ESCFC-

Département : Classes Préparatoires


Niveau : Deuxième Année

Notes de Cours de la matière :


Macroéconomie
Le modèle IS LM

Préparé par l’enseignante : Mme GUERRAS

Année universitaire: 2019– 2020

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La courbe IS-LM

Elaborée en 1937, le modèle IS-LM ou modèle de Hicks Hansen ( I= investissement, S= épargne, L=


liquidité , M= monnaie ), permet de mettre en évidence l’équilibre économique global d’une économie obtenu à
partir des relations d’équilibre qui s’établissent entre le revenu national réel et le taux d’intérêt sur le marché des
biens et services, d’une part, et le marché de la monnaie d’autre part. Pour ce la nous allons voire comment
l’équilibre sur le marché de bien et service s’établie, ainsi on va traiter l’équilibre sur le marché monétaire, pour
présenter en fin le modèle IS LM dans sa conception finale.

Section 1 : L’équilibre sur le marché des biens et services : la courbe IS

L’épargne chez les Keynésiens est une fonction croissante du revenu (loi psychologique de Keynes) 1, alors
que pour les Classiques (et les néo-classiques) elle est une fonction du taux d’intérêt r qui commande le partage
entre consommation immédiate et consommation future. Ainsi pour les Keynésiens, l’épargne est la partie du
revenu non consommé lors de la période considérée.

Or la fonction de consommation keynésienne, dans sa version simple, prend la forme linéaire2 suivante :
C = cY + C0

Ainsi, les agents prennent la décision d’investir en effectuant la comparaison entre le taux d’intérêt
qu’affiche le marché et les taux de rentabilité prévisionnelle des investissements prévus (ce que Keynes appelle
l’efficacité marginale du capital « EMC » et ce que les Classiques appellent la productivité marginale du capital).
Selon Keynes, les agents classent leurs projets d’investissement par ordre décroissant d’EMC. Contrairement à la
fonction d’épargne, la conception des Keynésiens et celle des Classiques en matière d’investissement sont très
proches. Il est convenable d’investir tant que le taux de rentabilité prévisionnelle est supérieur aux taux d’intérêt, si
bien que le flux d’investissement est une fonction décroissante du taux d’intérêt.

Donc on peut dire que pour Keynes et les classique l’équilibre sur le marché des bien est service atteint
lorsque I=S

D’une part l’offre de bien et service correspond au revenus global(Y) qui se partage entre la consommation
et l’épargne O=C+S, et d’autre part la demande d’un bien et service se décompose en consommation et
l’investissement D=C+I d’ou donc O=D <=> C+I= C+S<=>I=S ce qui implique que l’équilibre de l’offre et la
demande dépend de l’équilibre entre l’investissement et épargne.

L’épargne et une fonction croissante des revenus car celle-ci est considérer comme la part non consommé
de se revenus (Y = C + S ce qui implique S = Y – C), donc l’augmentation de revenus entraîne une augmentation
d’épargne et inversement (voir quadratique1)

A l’équilibre l’investissement est égal à l’épargne (S=I), il se présente par la première bissectrice (voir
quadratiques 2)

L’investissement est une fonction décroissante de taux d’intérêt .Les agents compare entre les placements
des fonts et l’investissement suite a la comparaison entre efficacité marginale de capitale et taux d’intérêt (Voir
quadratique 3).

1
Macroéconomie, Edition Bréal, P : 180.
2
Pour mieux cerner cette fonction de consommation voir « MODÉLISATIONS SCHÉMATIQUES DE L’ÉQUILIBRE
MACROÉCONOMIQUE» P : 19.
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La courbe IS-LM

S S

P Quadratique 1 Y Quadratique 2 I

i i

Quadratique 4 Y Quadratique 3 I

Figure n° 1 : la construction de l’IS

La relation IS traduit donc l’équilibre et montre que sur le marché des biens et service, le revenu national
réel Y est une fonction décroissant aux taux d’intérêt i (Voir quadratique 4). On a :

S I Y

À l’équilibre I=S Y i

S I i

Section 2 : L’équilibre sur le marché monétaire : la courbe LM

La demande de monnaie constitue un point de divergence capital entre Classiques et Keynésiens. De deux
manières au moins :
- Alors que pour les Classiques la monnaie n’est qu’un instrument facilitant les échanges et ne peut donc
être désirée pou elle-même, pour Keynes, elle permet d’apaiser l’inquiétude que crée l’incertitude et peut donc être
désirée pour elle-même.
- Alors que pour les Classiques la monnaie ne joue aucun rôle important dans la réalisation de l’équilibre
global. Alors que chez Keynes, la monnaie tient une place autant plus considérable qu’elle peut être cause de
déséquilibre au travers des phénomènes de thésaurisation et de déthésaurisation.

Cette différence de conception sur la monnaie amène Keynes à rejeter non seulement la loi de Say -« les
produits s’échangent contre les produits »- (et celle de Walras par la même occasion) mais aussi l’analyse
dichotomique. Refuser la loi de Say et ne pas vouloir raisonner comme si on avait affaire à une économie de troc
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La courbe IS-LM

consiste à admettre que la circulation monétaire scinde l’échange en deux opérations, un achat et une vente, et
qu’un hiatus peut se glisser entre le deux et être ainsi une cause de déséquilibre. Dès lors, la monnaie ne peut plus
être considérée comme neutre.

Chez Keynes, la demande de monnaie s’explique par la préférence pour la liquidité (alors que les
Classiques mettent l’accent sur la préférence pour le présent). Et cette préférence pour la liquidité qu’ont les agents
s’explique elle-même par le désir de faire face à l’incertitude qui caractérise leur environnement

Ainsi, Keynes a met trois raison pour lesquelles les agents préfèrent détenir des actifs monétaires (motifs
de préférence pour la liquidité) :

o Motif de transaction ou de trésorerie : les agents économiques désirent conserver une partie de leurs
ressources sous forme de monnaie afin de pouvoir effectuer les règlements de la vie courante.
o Motif de précaution : il s’agit de faire face à des dépenses inattendues ou des accidents éventuels.
o Motif de spéculation : il s’agit de la possibilité de conserver une partie de son épargne sous forme liquide
en attendant le meilleur moment pour la placer en achat des titres du marché financier.

A - Demande de la liquidité

La quantité de monnaie offerte par les pouvoirs publics est égale à la quantité de monnaie détenue par les
ménages (on suppose, comme dans la théorie keynésienne, qu’ils sont les seuls à en détenir). Or, pour Keynes le
fait pour un agent qui détient sa richesse sou forme liquide (thésaurisation) n’est pour luis source d’aucun revenue,
alors s’il plaçait ses liquidités sur le marché financier il pourrait réaliser des gains.

Ainsi la demande de monnaie transactionnelle (transaction + précaution) Mt dépend essentiellement du


revenu national nominal Y. une croissance économique plus forte, entraînera un nombre de transaction plus élevé
nécessitant une plus grande quantité de monnaie pour les réaliser. Mt est une fonction croissante de Y
Mt =L(Y)
La demande de monnaie spéculative Ms dépend :
- Du taux d’intérêt.
- Des prévisions que font les agents sur l’évolution future de taux d’intérêt.
Ainsi, il existe une relation inverse entre le cours des obligations et le taux d’intérêt.

Taux intérêt élever implique demande de monnaie spéculative en baisse puisque :


o Le prix des actifs est bas
o Le coût de détention de la monnaie est élevé,
o Les anticipations concernant le taux d’intérêt futur sont à la baisse (le taux d’intérêt va
probablement monter)
o Les agents se défont de leur monnaie pour acheter des actifs financiers.

Taux intérêt faible implique demande de monnaie spéculative en hausse :


o Le prix des actifs financiers est élevé,
o Le coût de détention de la monnaie est faible
o Les anticipation du taux d’intérêt futur sont à la hausse (le taux d’intérêt va probablement
plus monter que baisser
o Les agents économiques conservent des encaisses liquides (monnaie) et renoncent à acheter
des actifs financiers

En résumé, la demande de monnaie spéculative Ms est une fonction décroissante du taux d’intérêt courant i
Ms=L2 (i)

A-1 : La trappe à liquidité

Les agents selon kenyanes n’éprouvent plus le besoin d’acheter des titres financiers dont le taux de
rendement serait très bas ; ils estiment certains les hausses du taux d’intérêt. Donc le taux d’intérêt est à sont
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La courbe IS-LM

minimum et ne peut plus baisser. On peut dire que l’économie est dans la trappe à la liquidité puisque la demande
de monnaie et infiniment élastique au taux de l’intérêt. Donc toute émission supplémentaire de monnaie serait
affecté à des encaisses oisives pour lesquelles ont peut parler de thésaurisation.

A-2 : La demande de monnaie transactionnelle Mt (transaction et précaution)

Elle dépend du revenu national, il i


ne dépend plus du taux d’intérêt, sa
Mt = L1(Y)
présentation graphique alors est un droit
vertical pour une abscisse égale au
montant de Mt (voir figure 2)

0 Mt Mt

Figure n° 2

A-3 : La demande de monnaie spéculative Ms

Elle est une fonction décroissante du taux


i
d’intérêt 3 (voir figure 3). MS= L2
On a pour :
o i > i1 : Ms est nulle ; les agents ne
conservent pas d’encaisses liquides et i1
n’achète que des titres financière dont les
rendements sont importants. i2
o i <i2 : MS est absolue, c’est ma trappe à
liquidité ;
o i1>i>i2 MS est une fonction décroissante de
i.

0 MS

Figure n° 3

B - L’ensemble de la demande de i Md = L1(Y) + L2(i)


monnaie
Vision néo-classique
On à l’ensemble de demande monnaie : M d
Vision keynésienne
=L1(Y) +L2(i)
i1 Trappe à liquidité
o i ≥ i1, M d est représentée par une
portion de droite verticale (la i2
demande de monnaie est totalement
inélastique au taux d’intérêt) : c’est la
vision néo-classique.
O Md = Mt + Ms

3
Macroéconomie, Edition Bréal, P : 189. Figure n° 4
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La courbe IS-LM

o i2 > i1 : est représentée par une courbe décroissante plus au moins élastique au taux d’intérêt : c’est
la vision keynésienne.

o i ≤ i2, M d est représentée par une droite horizontale (la demande de monnaie est parfaitement
élastique au taux d’intérêt) : c’est la trappe à liquidité

C - Confrontation entre l’offre et la demande

L’offre de monnaie M O représente le volume des moyens de paiement injectés dans l’économie par les
institutions financières (banque centrale, banque commerciales) : elle assure la création et la mise en circulation de
la monnaie auprès des agents économiques non financières.

Dans la théories keynésienne, l’offre de monnaie est supposée discrétionnaire, c'est-à-dire , entièrement
contrôlée par les système bancaire qui adapte le montant des moyens de paiement en fonction d’objectifs
conjoncturels (politique monétaire expressionniste visant à la baisses des taux d’intérêt, graphiquement, dans un
système d’axes où la monnaie M est en abscisses et le taux d’intérêt i est en ordonnées, l’offre de monnaie M O est
représentée par une droite verticale dont l’abscisse détermine justement la quantité de monnaie offerte M O par les
système bancaire .

On a l’équilibre sur le marché de la monnaie est obtenu


lorsque l’offre de monnaie M O est égale à la demande de i M d M O M O1
monnaie M d. cette équilibre est caractérisé par une quantité de
monnaie échangée a l’équilibre et un taux d’intérêt d’équilibre
i* (voir figuier 5). Figure n° 5
i1
Puisque alors on a d’une part : MO=Md et d’autre part
on a M d =L1(Y) +L2 (i) donc on peut dire que l’équilibre
monétaire s’écrire : MO=L1(Y) +L2 (i).
i2

M
O
O MO M 1

D - La réalisation de l’équilibre sur le marché


monétaire

On a la demande monnaie transactionnelle L1 est une fonction croissante du Y et la demande de monnaie


spéculatif L2 est une fonction décroissance du taux i.

On supposant sur le marché des biens services que le


revenu réel augmente, ce qui implique une augmentation de la i
demande de monnaie transactionnelle (L1). Ce qui engendrera par
la suite une baisse de la demande de monnaie spéculative, cette LM
diminution est causé aussi par le respect de l’équilibre qui implique
que MO est constante, et puisque L 2 est une fonction décroissante de
i, donc la diminution de cette dernière (L2) aura comme effet
l’augmentation de taux d’intérêt i, d’où alors le taux d’intérêt est
une fonction croissante de revenus (voir figure 6)

Y
Figure n° 6

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La courbe IS-LM

Finalement, la rencontre entre IS et LM conjoint l’équilibre du marché des biens et service et du marché de
monnaie, d’où alors il y a une seule valeur d’équilibre du revenu national (Y) est celui d’équilibre du taux d’intérêt
(i), ces valeurs caractérisent l’équilibre global de l‘économie. (Voir figure 7), pour simplifier la présentation des
courbes nous allons les présenter sous
forme de droit Taux d’intérêt i
LM

I*

IS

Revenu Y
Y*

Figure n° 7

Cet équilibre détermine un taux d’intérêt et un revenu d’équilibre ; toutefois, le niveau d’investissement
découlant de ce taux ne suffit pas forcément pour assurer le plein emploi. En effet, le marché du travail ne participe
pas à la détermination de l’équilibre global : le couple (Y, i) pourrait correspondre à un « équilibre de sous-emploi
». Même si ce n’est pas dit explicitement ici, Hicks fait référence à l’idée keynésienne selon laquelle l’économie est
sujette à des chocs, provenant essentiellement des variations de l’efficacité marginale du capital.

Exercice 1

On donne les équations suivantes caractérisant le marché des produits de l’économie de Minta (On raisonne en
économie fermée).
(1) C  0,75Y  T   50
(2) I  5500i  800 (i est exprimé en centièmes de point)
(3) G  G0 avec G  0
(4) T  0,2Y  80
1-Rappelez succinctement la signification des variables et équations (1) à (4).
2- En déduire l’équation de la courbe IS dans le plan i, Y  . Que représente-t-elle
3- Donnez la formule du multiplicateur de dépenses publiques. Rappelez sa signification. Pourquoi est-il supérieur
à1
4- Le gouvernement de l’économie de Minta anticipe une baisse de la propension à consommer des ménages. En
vous appuyant sur ces équations et vos connaissances, précisez les différents effets induits par cette baisse :
- pour le marché des produits ;
- pour l’équilibre général de l’économie de Minta.
5- Quelles mesures de politique économique pourraient envisager les responsables de cette économie pour
compenser les effets négatifs de cette baisse.
Exercice 1

1- L’équation (1) exprime la fonction de consommation de l’économie de Minta. C  0,75Y  T   50 est


une fonction de type keynésien où la consommation dépend de la propension marginale à consommer c =
0,75, du revenu disponible Yd  Y  T et de la consommation incompressible C 0  50 , qui synthétise
l’ensemble des facteurs autres que Yd influençant la consommation. L’équation (2) exprime la fonction
d’investissement de l’économie, liaison négative qui associe à tout niveau de taux d’intérêt i courant le

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La courbe IS-LM

montant de l’investissement correspondant I. Elle est de la forme I   ji  I 0 avec j  5500 est un


paramètre positif représentant l’incitation à investir liée au taux d’intérêt ; I 0  800 représente
l’investissement autonome synthétisant toutes les variables exogènes (autres que i) influençant I. Les
équations (3) et (4) traduisent l’influence de l’Etat dans l’économie via les finances publiques.
G  G0 avec G  0 représente la dépense publique purement exogène et T  0,2Y  80 , représente la
fonction d’impôt. Elle repose sur l’hypothèse que l’impôt est pour partie endogène (proportionnel au
revenu, avec t = 0,2 taux marginal d’imposition), pour partie exogène ( T0  80 ).

2- Nous partons de l’équilibre sur le marché des produits OG  DG ou encore Y  C  I  G soit


Y  cY  T   C0  ji  I 0  G0  cY  tY  T0   ji  C0  I 0  G0  après transformation nous
avons :

  j    cT0  C 0  I 0  G0 
Y  i    , la courbe IS représente l’ensemble des couples de la valeurs de i
 1  c  ct   1  c  ct 
et de Y compatibles avec l’identité de I et de S. L’équation de IS est celle d’une droite de pente  5500 4 et
d’ordonnée à l’origine 790  G0  0,4 . Soit
Y  13750i  790  G0  0,4

3- On sait que le multiplicateur de dépenses publiques met en relation la variation du revenu Y avec la
variation de la dépense publique G , élément de la demande autonome A. Partant de l’expression générale
de IS, on peut faire apparaître le multiplicateur de dépenses publiques en mettant en facteur les paramètres
communs et en isolant les éléments de la demande autonome.
 
 cT0  C 0  I 0  G0   ij , k A  1 1  c  ct  est le multiplicateur. Après calcul
1
Y 
 1  c  ct 
k A  2,5 ainsi toute augmentation de la dépense publique G provoque une augmentation du revenu national
Y  k G G  2,5G . On remarque que la présence de la fonction d’imposition (paramètre ct ) provoque
une baisse du multiplicateur simple de la valeur 1 1  c  4 à la valeur k A  2,5 .
4- La baisse de la propension à consommer va avoir des incidences à la fois sur la consommation mais
également sur la courbe IS, via la fonction d’épargne. Sur le marché des produits, la consommation est plus
faible pour tout niveau de Y : la fonction de l’économie de Minta se déplacera vers le bas. Par ailleurs, le
fonction d’investissement étant maintenue identique, la répercussion de la baisse de c sera notable dans
l’équation de IS : la droite IS se déplace vers la gauche. (Il est important pour l’enseignant de faire
apparaître clairement sur un graphique ces différents mouvements).
5- Afin de compenser les effets négatifs de la baisse de c, les responsables de la politique économique peuvent
envisager toute action permettant de faire remonter le niveau de la demande effective :
- hausse de la dépense publique G : elle augmenterait la demande autonome A et provoquerait un
déplacement de IS parallèlement à elle même ;
- baisse de l’impôt forfaitaire  T0 : elle ferait baisser la valeur de l’expression cT0 au sein de la demande
autonome et provoquerait également un déplacement de IS vers la droite, mais moindre que celui qui
proviendrait d’une augmentation d’une dépense G de même montant.
- Baisse du taux marginal d’imposition t : cette réduction provoquerait une diminution de la pente de IS ; elle
aurait également pour conséquence de faire augmenter la valeur du multiplicateur k G . Cette politique
aurait une efficacité supérieure à la baisse forfaitaire de l’impôt mais aurait une efficacité moindre que la
politique de hausse des dépenses publiques, car elle porterait la demande effective à un moindre niveau.

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