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consommateur :
Pr. Chaimaa Bendahou
Ph.D Sciences de Gestion
Respect
Respect !!!!
2 i9 presentation to Joe Smith
Système de notation
Projet 50%
Contrôle 25%
Assiduité et Participation 25%
Absences -2 pts
Communication
01
Collaboration
02
Critical Thinking
03
Creativity
04
4 i9 presentation to Joe Smith
Le consommateur ?
• Le terme «consommateur» est sans doute aujourd’hui un peu galvaudé, souvent utilisé de
façon indistincte pour évoquer les multiples facettes et rôles de l’individu soumis à des
facteurs d’influence divers et en constante évolution.
• Le consommateur est une personne qui ressent un besoin ou un désir, fait un achat, puis
se départit du produit, selon les étapes du processus de consommation
• Dans de nombreux cas, différentes personnes interviennent dans cette séquence
d’événements
• Le Walkman de Sony est un bon exemple d’un produit couronné de succès qui a dû
rehausser son image, surtout à partir du moment où l’entreprise a fait face à la concurrence
féroce du très populaire iPod d’Apple.
• Bien que Sony ait révolutionné la musique mobile et vendu près de 300 millions de
Walkman, les adolescents d’aujourd’hui considèrent ces baladeurs comme des dinosaures.
• L’agence de publicité de l’entreprise a suivi 125 adolescents afin de savoir comment ils
utilisent les produits au quotidien. En se fondant sur cette étude de consommation, Sony a
relancé son Walkman en remplaçant le lecteur de cassette par une carte mémoire
amovible qui lit les fichier MP3. La nouvelle Série S permet de visionner des vidéos et crée
instantanément des canaux d’après les préférences d’écoute de l’utilisateur.
• Les consommateurs sont, pour l’entreprise, des agents vitaux car ce sont eux qui
constituent la garantie essentielle de son profit.
• Pour survivre dans un environnement hyper compétitif, une organisation doit savoir
apporter à la cible visée une valeur perçue plus élevée que ses concurrents .
• la « valeur consommateur » pouvant être définie comme :
la différence entre l’ensemble des avantages perçus (utilitaires ou symboliques) apportés
par un produit (pris dans son acception la plus large) et le coût (en argent, en temps et en
efforts) nécessaire pour l’acquérir et pour en jouir pleinement.
• La culture populaire : c’est-à-dire la musique, les films, les sports, les livres, les célébrités
et toutes les formes de divertissement que consomme le marché de masse , est à la fois un
produit du marketing et une inspiration pour les spécialistes de la discipline.
• Le Contenu Généré par les Consommateurs: refers to any written, audio or video content
created by end users, using basic or semiprofessional tools. CGM can include one-
consumer-to-many applications such as photo sharing, publishing via blogs, podcasting,
social network videoblogging and the like, as well as “auteurs” looking to get their content to
an audience”
les gens achètent un produit non pas pour ce qu’il fait, mais pour ce qu’il signifie .
« J’étais à une fête du Super Bowl, et j’ai pris une boisson quelconque. Un gars à l’autre
bout de la salle m’a alors lancé un retentissant yo ! Parce que je buvais la même chose que
lui. Les gens ont l’impression qu’ils sont liés parce qu’ils boivent la même chose »
Ce commentaire d’un participant à un groupe échantillon illustre le lien curieux que peut
entrainer un choix de consommation .
• La consommation n'a pas seulement une fonction économique. A travers leurs choix, les
consommateurs expriment ce qu'ils sont et qui ils veulent devenir.
Consommer = S’identifier ?
• L'identité est une « histoire toujours inachevée que le consommateur écrit en permanence»
(Giddens A.) et les objets de la consommation sont les accessoires indispensables à ce
scénario.
• Comme les gens jouent de nombreux rôles différents, ils modifient parfois leurs décisions
de consommation selon la « pièce » qu’ils interprètent .
• Voila pourquoi il importe que les spécialistes du marketing fournissent à chacun des
« acteurs » que sont les consommateurs les accessoires dont ils ont besoin pour jouer
les différents rôles .
• Elle doit mobiliser la réflexion économique, mais aussi les sciences sociales telles que la
psychologie ou la sociologie, ou bien des disciplines quantitativistes comme la modélisation
mathématique ou les statistiques appliquées.
Facteurs influents le
comportement
(variables explicatives)
1- Motivation 2- Perception 3-
Formation des attitudes 4-
mémorisation 5- apprentissage
27 i9 presentation to Joe Smith
Les spécialistes du marketing manipulent-ils
les besoins et les désirs des consommateurs ?
• L’une des critiques les plus cinglantes envers le marketing affirme que les entreprises
réussissent à faire croire aux consommateurs qu’ils ont « besoin »de nombreuses choses
« essentielles »pour être heureux et ne pas être inférieurs aux autres.
- Nous sommes à l’ère des consommateurs : ce sont maintenant eux qui dictent aux
entreprises les types de produits qu’ils veulent et comment, quand et où ils veulent que l’on
les renseigne sur ces produits .
- En contrepartie, les entreprises doivent accroître la valeur de leurs marques par de
nouveaux moyens audacieux afin de fidéliser les consommateurs « nomades ».
La motivation fait référence aux processus qui conduisent les gens à agir .
• Elle survient lorsque le consommateur souhaite satisfaire un besoin. Celui-ci crée un état
de tension qui pousse le consommateur à agir afin de le réduire ou de l’éliminer
• Cet état active d’un comportement axé sur l’atteinte d’un but, celui de réduire ou d’éliminer
cet état de frustration et de revenir à une situation d’équilibre appelée homéostasie .
• Le degré de motivation dépend donc de l’écart entre l’état présent d’une personne et
son objectif
• L’objectif d’une entreprise est de convaincre les consommateurs que la solution qu’elle
propose leur fournit la meilleur chance d’atteindre leur but.
Par exemple : Une consommatrice qui a besoin d’un jean pour atteindre son but d’être
admirée par les autres a le choix parmi les marques Levi’s, Gap, Guess ou Diesel, chacune
promettant des avantages particuliers .
• Selon Freud, l’individus réprime de nombreux désirs lors de son développement et de son
acceptation progressive de la vie en société .
• Lorsqu’un client regarde un objet, il n’est pas seulement sensible aux performances
décrites , mais réagit mentalement à d’autres caractéristiques tels que la forme, la matière,
la couleur ou le nom de marque .
• Aussi, le fabricant doit-il, lors de la conception du produit, étudier la capacité des éléments
visuels et tactiles à provoquer des sentiments susceptibles de stimuler ou au contraire
d’inhiber l’achat .
• Selon cette théorie, certains achats des consommateurs auraient donc pour but de
combattre ces sentiments d'infériorité, de solitude, d'anxiété, perçus comme tels par eux-
mêmes faces aux nouvelles circonstances de la vie
Les consommateurs dirigent leur comportement vers l’atteinte de buts qu’ils estiment positifs .
Ils sont motivés à atteindre ces buts et à rechercher des produits qui les aideront à le faire .
Cependant
Les consommateurs sont parfois plus motivés à éviter un résultat négatif qu’a atteindre un
résultat positif .
Ils structurent alors leurs achats ou leurs activités de consommation de manière à réduire les
risques d’obtenir un résultat désagréable.
+ Approche-Approche +
+ Approche-Évitement -
- Évitement – Évitement -
• Le conflit est résolu lorsque l’individu fait un choix entre deux options grâce à la réduction
de la dissonance cognitive , processus par lequel il cherche un moyen de réduire cette
contradiction (dissonance) et d’éliminer les tensions déplaisantes.
01 les besoins
fondamentaux
• Il y a quelques années, Bic a tenté d’appliquer aux parfums la formule qui avait fait son succès dans le
domaine des rasoirs et autres produits jetables. L’entreprise a mis au point une gamme comportant un petit nombre
de variantes : il y avait un parfum conçu pour être porté le jour, et un autre pour les sorties du soir; une partie des
produits était destinée aux femmes, l’autre partie visait les hommes. Ces parfums étaient proposés en petit
conditionnement, dans un flacon dénué de sophistication, dont la taille n’était pas sans évoquer celle d’un briquet. Ils
étaient vendus à un prix modique et distribués dans les bureaux de tabac. Les ventes de ces parfums n’ont jamais été
à la hauteur des ambitions de la société Bic et celle-ci a fini par renoncer à les commercialiser.
• L’étude de la perception est donc axée sur ce que l’individu ajoute à ces sensations brutes
afin de leur donner su sens et va au-delà du simple fait de remarquer un stimulus.
• Vue yeux
• Son Oreilles
Processus de
• Odeur Nez
perception
• Goût Bouche
• Texture Peau
La rétention
56 i9 presentation to Joe Smith
La perception
• Les individus reçoivent des stimuli externes, ou apports sensoriels , sur un certain nombre
de canaux.
• Ces stimuli détectés par les cinq sens sont les données brutes qui déclenchent le
processus perceptuel .
Combien de fois des consommateurs peuvent passer en voiture devant des panneaux
publicitaires ( ils sont exposés à la publicité ) sans pour autant les remarquer (ils ne portent
pas attention à la publicité ?
• Le seuil absolu :fait référence à la quantité minimale de stimulation que peut détecter un
canal sensoriel donné.
• Le seuil absolu est un élément important dans la conception des stimuli de marketing .
• Le seuil différentiel :
• Savoir quand et comment les consommateurs remarquent une différence entre deux stimuli
est primordiale dans de nombreuses situations de marketing. Il arrive qu’un spécialiste du
marketing veuille s’assurer que les consommateurs remarquent un changement, comme
lorsque le détaillant offre un rabais ou qu’il appose un logo sur un chandail .
• Dans d’autres cas , le spécialiste marketing peut vouloir que le consommateur ne
remarque pas le changement , comme lorsqu’un fabricant réduit quelque peu la taille d’un
contenant ou diminue subtilement la quantité de croustilles dans un emballage .
• Plus ce stimulus est fort plus le changement doit être important pour qu’on le remarque.
∆𝑖
K =
𝐼
• Où :
• K= une constante ( qui varie selon nos sens)
• ∆𝑖= le plus petit changement d’intensité du stimulus nécessaire pour produire une
différence juste perceptible
• I= l’intensité du stimulus où le changement e produit
• Si tel est le cas, une paire de chaussettes se vendant 10 DH devrait être soldée à 8 DH (
rabais de 2DH) pour que les acheteurs remarquent la différence .
• Toutefois dans le cas d’un T-shirt se vendant à 100dh, le détaillant de pourrait pas
appliquer un rabais de 2dh; il devrait réduire l’article à 80 DH pour obtenir le même impact .
• Cela consiste à concevoir un produit , un logo, une marque ou un emballage qui diffère
suffisamment de l’original pour que les gens remarquent le changement , mais qui ne soit
pas trop différent , de manière qu’ils continuent de penser qu’il s’agit toujours du même
produit .
L’expérience
est un facteur qui détermine le
degré d’attention qu’une
personne accepte de porter à un
01 Les filtres perceptuels
stimulus en particulier.
La vigilance perceptuelle : 02 fondés sur les expériences
antérieurs ont ainsi une
les consommateurs sont plus
susceptibles de remarquer les
stimuli liés à leurs besoins
03 influence sur ce qu’on décide
de traiter
La discrimination
On s’habitue plus rapidement au
stimuli simples
L’intensité La pertinence : on
On s’habitue plus
rapidement au stimuli 01 03 05 s’abitue plus rapidement
aux stimuli sans
moins intenses parcequ’ils importance ou non
ont un impact sensorial pertinents parcequ’ils
moindre . n’attirent pasl’attention.
02 04
L’exposition
La durée On s’habitue plus rapidement aux
On s’habitue plus rapidement stimuli frequent parcequ’il n’est pas
aux stimuli exigeant une necessaire de porter attention aux
exposition relativement longue details
pour être traités.
72 i9 presentation to Joe Smith
LES FACTEURS DE Sélection liés au stimulus:
• En général , les gens sont plus susceptible de remarquer les stimuli qui différent de ceux
qui les entourent.
la nouveauté
L’emplacement
La couleur
La taille
• Dans le processus qu’on appelle l’amorcage, certaines propriétés d’un stimulus évoquent
un schéma , ce qui incite l’individu à le comparer à d’autres stimuli similaires auxquels il a
été exposé dans le passé .
• Ces principes proviennent du gestaltisme, école de pensé qui soutient que les gens
interprètent le sens d’un stimulus d’après la totalité d’un ensemble de stimuli plutôt qu’à
partir d’un seul stimulus.
• Pour mieux comprendre comment les consommateurs interprètent le sens des symboles,
certains spécialistes du marketing se tournent vers la sémiotique , la discipline qui
examine la correspondance entre les signes et les symboles et le rôle qu’ils jouent dans
l’attribution du sens
Cigarette
Marlboro
Solide
Cow-boy gaillard Interprétant
américain (sens)
Signe
81
(image) i9 presentation to Joe Smith
La perception subliminale
• La plupart des spécialistes du marketing veulent créer des messages qui sont au-dessus
du seuil absolu des consommateurs , de manière qu’ils puissent les remarquer .
Le spectateur
doit porter une
attention
complete au
stimulus.
Les publicitaires
n’ont aucun
contôle sur la
position ou la les niveaux de seuil
distance du varient énormément
consommateur par d’un individu à l’autre.
rapport à l’écran
• Une attitude est une évaluation générale et durable des gens ( y compris soi-même), des
objets , des publicités ou de certaines questions.
• On appelle tout élément à l’égard duquel on forme une attitude l’objet de l’attitude.
• Une attitude est durable parce qu’elle a tendance à se maintenir sur une certaine période
de temps .
• Elle est générale dans le sens où elle ne s’applique pas qu’à des événement momentané
• Selon cette approche pragmatique, les attitudes existent parce qu’elles remplissent
certaines fonctions pour la personne .
La fonction La fonction
La fonction expression La fonction de
utilitaire de défense connaissance
des valeurs du moi .
.
Ces trois éléments constituent ce que l’on appelle le modèle à trois composantes des
attitudes .
Enoncés verbaux
exprimant des Cognitive
croyances
Variable
mesurable
Attitude
Enoncés verbaux
favorable ou
exprimant des Affective
défavorable à
sentiments
un stimulus
donnée
Comportement réel et
énoncés verbaux Comporte
exprimant l’intention menatle
comportementale
94 i9 presentation to Joe Smith
Le modèle à trois composantes des attitudes
Chaque hiérarchie montre la suite des étapes qui surviennent au cours de la formation d’une
attitude:
Cette hiérarchie nécessite que le consommateur soit fortement impliqué tout au long de la
décision d’achat .
• La théorie de la dissonance cognitive affirme que lorsqu’une personne fait face à des
incohérences parmi ses attitudes ou comportements, elle prend des mesures pour
résoudre cette « dissonance ».
• Elle suppose que les gens observent leur propre comportement afin de déterminer leurs
attitudes, tout comme ils déterminent l’attitude d’une autre personne en observant ce
qu’elle fait
• Les modèles d’attitudes précisent les différents éléments qui peuvent se combiner pour
influencer les évaluations que fait une personne de l’objet de l’attitude.
• Le modèle disjonctif
• Le modèle lexicographique
• Éviter les produit dont les performances sont inférieures au minimum que le consommateur
juge acceptable.
Prix 5 2 5 3
• Le conditionnement classique se produit lorsqu’un stimulus qui suscite une réponse est
jumelé à un autre stimulus qui, en soi, n’entraîne initialement aucune réponse.
• La famille de marques
• L’emballage d’imitation
• Dans ce cas , l’apprentissage se fait par l’expérience indirecte plutôt que directe.
• La mémoire à long terme (MLT) est le système qui permet de retenir l’information pendant
une longue période.
•
• Cette approche est fondée sur les modèles d’activation de la mémoire : Plus il faut d’efforts
pour traiter une information , plus il est probable que cette information soit transférée à la
MLT.
• Le consommateur organise dans sa mémoire , des systèmes de concepts qui relient les
marques, les fabricants et les magasins.
Quels facteurs influent sur la probabilité que les consommateurs se rappellent les messages
Marketing que des entreprises ont mis tant d’efforts à créer?
Le transfert
La répétition La récupération
mentale 01 03 05
02 04
Le stockage
Le codage
L’approche
expérientielle:
Les consommateur
s’impliquent fortement
dans une decision sans
toutefois pouvoir expliquer
leur choix de manière
rationnelle : les choix
artistiques , musicaux …
L’approche de
l’influence
comportementale :
Les decisions sont Approche rationnelle:
souvent des reactions le consommateur
apprises à des signaux s’efforce de receuillir
environnementaux . autant d’information qu’il
le peut pour prendre une
decisions satisfaisante.
Le choix d’un
produit
04
03
L’ évaluation des
options
La recherche
d’information
02
01
La
reconnaissance
du problème
153 i9 presentation to Joe Smith
Les étapes du processus de prise de décision:
• Étape 1 : La reconnaissance du problème :
La reconnaissance du problème survient lorsque le consommateur constate une différence
significative entre sa situation réelle et celle dans laquelle il aimerait se trouver.
• Il est important de comprendre comment cette information est représentée dans une
structure cognitive.
• Créer un produit de référence: les caractéristiques des produits de référence d’une catégorie exercent
une influence disproportionnée sur la manière dont la gens considèrent une catégorie dans son ensemble.
• Localiser le produit en magasin : la catégorisation des produits peut aussi avoir une incidence sur les
attentes des consommateurs quant à l’endroit où ils pourront trouver le produit désiré.
• Les règles de décision qui guident les choix du consommateur peuvent aller des stratégies
très simples à des processus complexes nécessitant beaucoup d’attention et de traitement
cognitif.
• Un autre élément important à considérer est que les critères sur lesquels les produits
diffèrent ont plus de poids dans le processus décisionnel que les critères sur lesquels ils
sont semblables.
• Le temps économique
• Le temps psychologique
• Le temps économique : Le temps est une variable économique . C’est une ressource que
tous doivent répartir entre leurs activités. Les priorités d’un individu déterminent son style
temporel. Selon le pays où ils vivent les gens peuvent dépenser cette ressource à des vitesses
différentes.
• Dans le cadre d’une étude sur les styles temporels, des chercheurs en sciences sociales
ont comparés le rythme de vie dans 31 villes du monde. En se basant sur les résultats
obtenus , les chercheurs ont dressé une liste des pays les plus lents et les plus rapides :
Les pays les plus rapides :
1- suisse, 2- Irlande, 3-Allemagne, 4- Japon, 5-Italie
Les pays les plus lents:
31- Mexique,30 Indonésie, 29-Brésil,28- Salvador, 27-Syrie.
• Pour les spécialistes marketing il est important de comprendre la fluidité du temps parce
que l’humeur est plus propice à la consommation à certains moments qu’à d’autres.
• Quand un produit fonctionne selon leurs attentes, ils y accordent peu d’importance. En
revanche , si le produit ne comble pas leurs attentes, ils éprouvent des sentiments négatifs.
Et si la performance du produit dépasse leurs attentes, ils sont satisfaits.
• Le pouvoir référent: Si une personne admire les qualités d’une autre personne ou d’un
groupe, elle tentera d’imiter les comportements de ce référent .
• Le pouvoir d’information : Une personne peut un pouvoir simplement parce qu'elle a des
connaissances que les autres aimeraient posséder . Les gens qui détiennent le pouvoir
d’information ont la capacité d’influencer l’opinion des consommateurs en vertu de leur
accès présumé à la « vérité ».
• Le pouvoir légitime : Certaines personnes se voient accorder un pouvoir par l’entremise
du contrat social. Le pouvoir légitime d’un uniforme confère de l’autorité dans un contexte
de consommation.
• Un leader d’opinion c’est quelqu’un qui réussit souvent à influencer les attitudes et comportement
d’autrui .
• possèdent les compétences techniques qui leur confèrent un pouvoir d’expert ;
• sélectionnent, évaluent et synthétisent l’information sur un produit de façon impartiale, et
détiennent ainsi un pouvoir d’information ;
• sont actifs dans la société et bien réseautés dans leur communauté
• s’acquittent de fonctions au sein de groupes communautaires et de clubs et sont actifs à
l’extérieur de la maison ;
• tendent à ressembler au consommateur en ce qui a trait à leurs valeurs et leurs croyances
;
• sont souvent parmi les premiers à acheter un nouveau produit, absorbant ainsi une bonne
part du risque.
• Dans un sondage récent, 69% des personnes interviewées affirmait s’être fiées à la
recommandation d’une personne au moins une fois au cours de l’année pour choisir un
restaurant; 36% disaient s’être fiées à des recommandations pour choisir du matériel
informatique et des logiciels, et 22% avaient obtenu l’aide d’amis ou de collègues pour le
choix d’une destination voyage .
Le réseautage social
• Au lieu d’un contenu produit par l’entreprise, le visiteur trouve sur ce site un lien vers
Twitter, où il peut lire des microblogues parlant de Skittles ( en bien ou en mal).
• Un autre lien le guide vers des clips vidéo et des photos de Skittles sur YouTube, et s’il
clique sur « friends », il est automatiquement dirigé vers la page Facebook de la marque .
La théorie de la sagesse des foules prétend que, dans certaines conditions, les
groupes sont plus intelligents que les plus intelligents de leurs membres.
• Si cela est vrai, un grand groupe de consommateurs devrait pouvoir prédire le succès d’un
produit.
Le marketing viral
• L’instigateur
• Le filtre
• L’influenceur
• L’acheteur
• L’utilisateur
• Avec l’âge, les préférences et besoins en matière de produits et d’activités ont tendance à
se modifier.
CHA PITRE 1 0 LA PRISE DE DÉCISION ORGANISATIONNELLE ET FAM ILIALE 273
• PourCONSO-PUB
décrire ces 10.1changements correctement, il faut se concentrer sur quatre variables :
l’âge, l’état matrimonial, la présence ou l’absence d’enfants à la maison et l’âge des
La Fédération des producteurs de lait du Québec –
enfants,
« Les 50 anss’il y en
d’amour a. et M adeleine »
de Roméo
Roméo et Madeleine, entourés de leurs enfants et de leurs petits-enfants, sont
réunis autour de bons fromages d’ici pour célébrer leur 50e anniversaire de vie
commune. Cette publicité de la Fédération des producteurs de lait du Québec
fait appel au concept de famille élargie pour promouvoir ses produits. Ainsi, le
site fromagesdici.com (membre de La famille du Lait) présente les fromages
comme des familles. Il donne même accès au site Le Québec, une histoire de
famille (lequebecunehistoiredefamille.com), où l’on peut découvrir l’histoire de
52 familles bien réelles du Québec.
• Le terme classe sociale est aujourd’hui utilisé de façon générale pour décrire l’ensemble
des personnes de même rang dans la société.
La réponse dépend en partie de produit que l’on vend : les consommateurs l’achètent-
ils surtout pour sa valeur fonctionnelle ( ce à quoi il sert) ou pour sa valeur symbolique
( l’impression qu’il fournit aux autres?)
La classe sociale est un meilleur indicateur pour les achats revêtant un aspect symbolique,
mais dont le prix est bas ou moyen.
Le revenu est un meilleur indicateur pour les dépenses majeures sans valeur symbolique
ou de statut.
Classe sociale et revenu, pris ensemble, constituent les meilleurs indicateurs pour les
achats de produits symboliques et chers.
• La génération des aînés – les personnes nées pendant la Deuxième Guerre mondiale ou
avant
• La génération du baby-boom – Les personnes nées entre 1946 et 1964
• La génération X – Les personnes nées entre 1965 et 1985
• La génération Y – Les personnes nées entre 1986 et 2002
• La génération Z ou les préadolescents – Les personnes nées en 2003 et après
• Il n’est pas toujours facile de bien définir et de cibler les membres d’un groupe ethnique
dans une société multiculturelle.
SO-PUB 13.1
• La culture détermine la priorité que les consommateurs accordent aux activités et aux
produits et services.
• Un produit capable de répondre aux besoins des consommateurs appartenant à une même
culture dans une période donnée a beaucoup plus de chance d’être en bonne place sur le
marché