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la vulve ;
le vagin ;
la partie externe du col de l'utérus ;
Quels sont les symptômes pouvant être associés aux pertes blanches ?
Les leucorrhées d'origine pathologique sont généralement
malodorantes et peuvent être accompagnées d'autres signes cliniques
tels que :
Les leucorrhées peuvent être le signe d’une infection des voies génitales
basses, c’est-à-dire de la vulve, du vagin et/ou de la partie externe du col
de l’utérus. La cervicite est une inflammation du col de l’utérus d’origine
infectieuse ou non.
la Chlamydia trachomatis ;
Neisseria gonorrhoeae ;
au Mycoplama genitalium.
les endométrites ;
Optez pour un lavage des zones intimes à raison d’une fois par jour
(même si vos pertes sont plus importantes que d’habitude) avec un
savon adapté et respectueux de la flore microbienne.
Les IGH peuvent être graves et à l’origine de séquelles. Les IGH peuvent
se compliquer par un abcès tubo-ovarien (ATO) ou une pelvipéritonite.
C'est pourquoi ces affections nécessitent une intervention et une
hospitalisation.
la chirurgie ;
la radiothérapie ;
la chimiothérapie.
Une leucorrhée, ou perte blanche, est une perte vaginale plus ou moins abondante, blanche ou
teintée, odorante ou non, fluide ou épaisse. Elle peut être physiologique ou signaler la présence
d'une infection génitale1.
Leucorrhée physiologique[modifier | modifier le code]
Article détaillé : sécrétion vaginale.
Les sécrétions ne provoquent pas d'irritation, sont inodores et dépendent des hormones. Elles
apparaissent ainsi à la puberté et disparaissent à la ménopause2,3.
Elles proviennent essentiellement de la glaire cervicale, de la desquamation vaginale,
du transsudat vaginal des plexus veineux, et des sécrétions des glandes vulvaires (glandes de
Skene et de Bartholin). Les femmes adultes non ménopausées en produisent entre 1 mL et 4 mL
par jour, avec des variations en fonction de l'âge, du cycle menstruel, de la prise éventuelle
d'hormones et des stimulations sexuelles4.
Chez la femme ménopausée, la carence hormonale entraîne une atrophie et une modification de
la flore donnant l'aspect de vaginite sénile2.