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Définition du marché : c’est l’ensemble des firmes qui produisent des produits et
services qui sont plus ou moins substituables. Si leurs produits sont substituables, ce
que les firmes sont en concurrence. Alors, comment définir la substituabilité ?
Qu’est-ce qui arrive sur le marché lorsque les firmes font face à des « SUNK
COASTS » (coûts irrécupérables) ?
2.2) Ecole de Harvard (appelée aussi Ecole structuraliste : est-ce qu’il est
impossible d’inférer des comportements illégaux à partir des certaines caractéristiques
observables du marché ? Pour arriver à répondre à cela, ils développent un
paradigme appelé 𝑆 → 𝐶 → 𝑃 ) : se situe dans la continuité des travaux de
Chamberlain. Les deux auteurs connus : Edward MASON (1899-1992) et J. BAN
(1912-1991).
Cette structure :
𝑆𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 → 𝐶𝑜𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑝𝑢𝑏𝑙𝑖𝑐𝑖𝑡é, 𝑎𝑐𝑞𝑢𝑖𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑓𝑢𝑠𝑖𝑜𝑛, … →
𝑃𝑒𝑟𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑛𝑐𝑒 ∶ 𝑒𝑓𝑓𝑖𝑐𝑎𝑐𝑖𝑡é 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑠, 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑖𝑡 𝑟é𝑎𝑙𝑖𝑠é, … (La structure du
marché induit les Comportements. Et ces derniers ont un effet sur la Performance) :
est à la base de l’économie industrielle. Donc il y a une causalité qui va de S à P. Le
problème, la dimension « → » de causalité peut être questionnée, notamment les
comportements des firmes peuvent influencer la structure du marché : 𝐶 → 𝑆 .
2.3) Ecole de Chicago : autour de plusieurs auteurs de l’université de Chicago :
G. STRIGLER (1911-1991), R. POSTUER (1939), S. PELIZMAN (1940). Ce qui
distingue cette école de Harvard est que la concurrence est un processus dynamique
c’est-à-dire la situation des combinaisons productives les plus efficaces. Si on doit
étudier le marché tel que présenté par l’Ecole de Harvard, il faut le faire sur un
processus dynamique et prendre du temps. Ici, on renverse en grande partie la chaine
𝑃 → 𝐶 → 𝑆 . Donc, la seule étude de la structure ne permet pas de comprendre le
marché. En plus, certains éléments de la structure peuvent être le résultat d’une
recherche de l’efficacité par les firmes.
Bibliographie
- Tirole, Théorie de l’organisation industrielle, Economic
- Belle flamme + Peitz, IO, C/VP
- CHARLTON + PERLOFF, Economie Industrielle, DE BOECK
CHAPITRE I. STRUCTURES DU MARCHE
1. Introduction
On peut définir la structure du marché (ou le type des marchés) à parti du nombre
d’acheteurs et du nombre des vendeurs ; c’est juste une approximation.
Entre les deux références, il y a toutes les structures du marché. Cela va nous
permettre de caractériser le pouvoir du marché, soit par rapport à la concurrence, soit
au monopole.
A. Concurrence et Monopole
A.1. Concurrence parfaite : c’est juste un étalon, une référence. Plusieurs
postulats (conditions) dont 5 :
- Homogénéité des produits
- Transparence de l’information
- Fluidité du marché et parfaite mobilité des facteurs de production : libre entrée
et sortie
- Pas de coûts de transaction = Pas de coût à utiliser le marché
- Parfaite divisibilité de la production (postulat technique). On travaille sur des
fonctions continues (ex. 100,03).
Conséquences de ces 5 conditions : les prix sont donnés, fixés indépendamment (Price
Taker) : personne n’influence le prix.
Secteurs
On distingue deux cas : court terme et long terme
o A court terme : on a n entreprises qui ont un coût identique. Ce qui implique
que la courbe d’offre du secteur est égale à la somme horizontale des offreurs
des n entreprises.
Il y a deux cas où il est possible que l’offre de la demande à long terme soit
croissante :
Conclusion sur la concurrence : les acteurs sont incapables d’influencer le prix (price
taker), ils n’ont pas de pouvoir de marché, que ce soit les producteurs sur les
consommateurs, : 𝑝 = 𝐶𝑚 .
A.2. Monopole
(a) Comportement du monopoleur
(a.1) Monopole monoproduit : price maker, demande exprimée est décroissante.
→ Pour maximiser le profit, le monopole peut fixer soit le prix, soit la quantité, mais
pas les deux à la fois.
Pour avoir ces informations de ces deux effets, le monopoleur va chercher à connaitre
l’élasticité-prix de la demande.
1
Avec la condition d’équilibre, 𝑅𝑚 = 𝐶𝑚 ⇒ 𝑝 ∗ (1 + ) = 𝐶𝑚 .
𝑒
𝑝−𝐶𝑚 1
L’égalité = s’appelle l’inverse de l’élasticité … c’est-à-dire un monopole qui
𝑝 𝑒
vend qu’un seul produit pratique une tarification tel que le taux de marge soit
inversement proportionnel à l’élasticité de la demande.
𝑝−𝐶𝑚
: c’est le taux de marge ou l’indice de Lerner (qui est la mesure du pouvoir du
𝑝
marché).
→ Plus l’élasticité est grande, le prix du monopole se rapproche du coût marginal,
donc du prix de la concurrence.
→ Plus l’élasticité est faible, cela signifie qu’il y a peu de substituts de produits
vendus. La demande va réagir faiblement aux variations de prix. Donc le prix du
monopole va s’éloigner du prix de la concurrence, donc du coût marginal.
(a.2) Monopole multiproduit : dépende des relations entre les deux biens :
La situation où les deux biens sont indépendants. Si 𝑝𝐴 n’a pas d’incidence sur
la quantité de B (𝑞𝐵 ) et inversement : l’augmentation du prix d’un bien n’a pas d’effet
sur la consommation (quantité) de l’autre bien. C’est comme si on avait deux
monopoles, il faut choisir !
La situation où les deux biens sont substituables, l’augmentation du prix d’un
bien a un effet sur la quantité de l’autre (l’augmentation de la quantité de l’autre) ;
dans ce cas :
𝑝 − 𝐶𝑚 1
= + 𝑇𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑓
𝑝 𝑒
Cela signifie que le monopole fie un prix plus élevé que deux monopoles
indépendants. L’idée … prend en compte l’effet de concurrence dans son calcul c’est-
à-dire il internalise l’effet de substitution entre les deux biens. Un monopole biproduit
a plus de pouvoir du marché qu’un monopole monoproduit.
La situation où les deux biens sont complémentaires : le prix de A aura un
effet sur la quantité de B ; donc l’augmentation du prix d’un bien diminue la quantité
de l’autre bien. Dans ce cas :
𝑝 − 𝐶𝑚 1
= + 𝑇𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑛é𝑔𝑎𝑡𝑖𝑓
𝑝 𝑒
Le monopole biproduit complémentaire fixe des prix plus faibles que deux monopoles
monoproduits. Il fixe le prix le plus faible parce qu’il prend en compte l’effet
d’entrainement entre les deux biens dans son calcul c’est-à-dire il internalise l’effet d
complémentarité entre les deux biens.
- Monopole naturel : dans certaines entreprises, il est plus efficient qu’une seule
entreprise produise sur le marché plutôt que plusieurs. On parle de monopole naturel,
parce que la recherche de la spontanéité mène à la recherche de monopole.
Les trois pertes (perte sèche, perte de surplus du consommateur, perte de profit)
dépendent de l’élasticité de la demande. Plus la demande est …
Concurrence Monopole
Prix de concurrence Inférieur Prix de monopole
Quantité de concurrence Supérieure Quantité de monopole
Description : - Entreprise dominante, ses choix ont une influence sur le prix et la
quantité ; cette entreprise est faiseuse de prix. La règle qu’elle doit suivre : 𝑅𝑚 = 𝐶𝑚 .
Déterminants de la concurrence
- L’entreprise peut avoir des coûts de production inférieurs. Pourquoi ?
Meilleure technologie, cela lui permet de produire à des coûts inférieurs
Son ancienneté sur le marché, son apprentissage sur le marché :
« Learnig by doing »
Elle bénéficie d’économie d’échelle
- L’entreprise a un produit qui apparait supérieur par les consommateurs. Cette
différenciation peut reposer sur la qualité du produit ou la réputation de
l’entreprise.
- L’entreprise dominante peut être un Cartel d’entreprise : quelques entreprises
qui coordonnent pour dominer le marché et les autres sont des franges
concurrentielles.
1. Sand Entrée
Plus le coût et le prix de la firme dominante sont élevés, plus la frange récupère
une partie importante du marché.
Plus le coût et le prix de la firme dominante sont bas, la frange produit moins.
2. Avec Entrée
Cela va augmenter la taille de la frange, l’entreprise dominante ne peut plus fixer de
prix …. Le choix final sur le prix dépend du coût relatif ( ) . Si le coût relatif est élevé,
l’entreprise dominante ne va pas laisser entrer de nouvelles firmes dans la fixation de
son prix : le prix relatif est fixé au seuil de rentabilité de la frange ; donc, plus d’entrée
de nouvelles firmes. Elle va fixer le prix au coût moyen minimum de la frange :
𝑃𝑟𝑖𝑥 = 𝑆𝑒𝑢𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑅𝑒𝑛𝑡𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡é 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒
CONCLUSION
C’est plus intéressant d’être une entreprise dominante plutôt qu’appartenir à la frange.
La présence de la frange limite le pouvoir du marché de l’entreprise dominante.
En situation d’oligopole, chaque firme influence sur le prix du marché, donc chaque
firme a une influence sur son profit et celui de ses concurrents.
Hypothèses de départ
- Les consommateurs n’ont pas d’influence sur le prix
- Les produits sont homogènes
- Pas d’entrée pour une nouvelle firme
- Pouvoir du marché : 𝑝𝑟𝑖𝑥 > 𝐶𝑚
- On fixe soit le prix, soit la quantité, mais pas les deux à la fois
L’idée générale : chaque entreprise maximise son profit compte tenu du comportement
des autres entreprises (𝑅𝑚 = 𝐶𝑚 ).
Pour les oligopoles non-coopératifs, on a soit des modèles statiques, soit des modèles
dynamiques. On peut changer des modèles compte tenu du prix et de la quantité sur la
durée des interactions…
Aucune entente entre les firmes, chaque entreprise doit choisir sa quantité à produire.
5 hypothèses : (cas de n = 2)
- Pas d’entrée
- Homogénéité des produits
- Une seule période
- La demande est linéaire
- Le coût marginal est constant et identique
Q/ Quelle stratégie pour déterminer la quantité à maximiser le profit ?
R/ La stratégie dépendra de la quantité produite de l’autre entreprise :
𝑄1 (𝑝) = 𝑄𝑇 (𝑝) − 𝑄2 𝑜ù 𝑄1 (𝑝) 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑟é𝑠𝑖𝑑𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒
𝑄1 = 𝑄 − 𝑄2 : L’entreprise 1 est en monopole, la règle à suivre pour maximiser son
profit est 𝑅𝑚 = 𝐶𝑚 . Ce qui implique que 𝑄1∗ = 𝑓(𝑄2 ) ∶ fonction de réaction optimale
de l’entreprise 1 et 𝑄1∗ 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑚𝑎𝑥𝑖𝑚𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑖𝑡.
Solutions au paradoxe (si une des 4 hypothèses est levée, il n’y a plus de paradoxe)
- Différenciation des produits : si on relâche l’hypothèse d’homogénéité, les
consommateurs ne sont plus indifférents quant à l’origine du produit, donc chaque
entreprise a un pouvoir de marché 𝑝1 > 𝐶𝑚 . On n’arrivera plus au cas où 𝑝 = 𝐶𝑚 .
- Plusieurs périodes : interactions répétées, concurrence en dynamique. Il faut
tenir compte des effets de court terme et de long terme sur des stratégies de prix. [La
baisse des prix simultanées appelée la « Guerre de prix »].
- Existence de contraintes dans les capacités de production : la meilleure des
stratégies n’est pas de baisser la production en dessous du concurrent.
- Information imparfaite : il faut connaitre la stratégie du concurrent en matière
de prix. Le résultat de l’équilibre du marché : 𝑝 > 𝐶𝑚 .
Point de départ : il y a une entreprise qui décide de la quantité avant les autres, appelée
« Leader en quantité ».
Et les entreprises qui suivent, ayant connaissance de la décision du leader, sont
appelées « Followers ». Exemple : Marché en innovation
∆𝑙
𝑅𝑚𝑓 = 𝑝 ∗ (𝑄𝑙 + 𝑄𝑓 ) + ∗ 𝑄𝑓
∆𝑓
Si 𝑄𝑓 augmente, p baisse (diminution de la recette) : effet prix.
Ainsi, de ces deux effets, le nombre d’entreprises effectif est supérieur au nombre
socialement optimal (principe d’externalité).
1.1) Les substituts : cela revient à définir le marché pertinent et cette définition
s’appuie sur le rapport de substitution entre les produits. Il faut trouver le degré de
substituabilité entre les produits, donc il faut calculer l’élasticité-prix croisé :
∆𝑄𝐴 /𝑄𝐴
𝜀𝐴⁄ = >0
𝑃𝐵 ∆𝑃𝐵 /𝑃𝐵
1.2) Test du monopole hypothétique : c’est un élément additionnel du premier ; un
marché pertinent est le plus petit groupe des produits dans une zone géographique tel
qu’un monopoleur hypothétique pourrait tirer bénéfice d’une petite et significative
augmentation non transitoire du prix (SSNP : Small and Significant Non-Transitory
increase in Prices).
𝑝−𝐶𝑚
2.1) Indice de Lerner (L) : 𝐿 = : différence entre le prix et le coût marginal en
𝑝
pourcentage du prix.
𝑆
En concurrence, L = 0 car p = 𝐶𝑚 . En monopole, L = 1⁄𝑒. A la Cournot, L = 𝑖⁄𝑒 où
𝑆𝑖 est la part du marché de l’entreprise i.
Limites de l’indice de Lerner : - C’est une définition qui est statique et non
dynamique sur l’état du marché.
On utilise l’indice de concentration car c’est une bonne mesure de la part du marché,
et beaucoup plus facile à mesurer.
Conclusion
Si les produits sont éloignés, la demande pour une marque ne dépend pas du prix des
autres. Les choix des consommateurs sont des choix binaires.
𝑀𝑎𝑥 ∶ 𝑅𝑚 = 𝐶𝑚
Si 𝜋 > 0, il y a des entrées sur le marché. Mais la demande 𝐷𝑖 et donc sa crecette
marginale va dépendre des quantités produites 𝑞𝑖 et 𝑞𝑗≠𝑖 . La quantité de l’entreprise i
ne dépend pas de la demande totale. La demande de chaque entreprise est … à cause
de la différenciation des produits. Cela rend difficile la modélisation. On va faire pour
une entreprise représentative.
Modèle de localisation spatiale des entreprises. On fait une analogie dans la dimension
géographique des produits. On peut avoir plusieurs dimensions. Pour simplifier, on
étudier sur une seule dimension.
Hypothèses :
Ils vont faire leur choix en minimisant entre optimum A et B : Pouvoir du marché de B
est supérieur au Pouvoir du marché de A.
Les entreprises fixent le prix et non la localisation, et vont arbitrer sur le prix. Cela
modifie l’arbitrage du consommateur. Ce dernier arbitre entre le prix payé et la perte
payée du fait de la quantité caractéristique. Cet arbitrage est pris en compte par les
autres lorsqu’elles cherchent à définir le prix, 𝑫 ← (𝒑𝒓𝒊𝒙, 𝒅𝒊𝒔𝒕𝒂𝒏𝒄𝒆).
Avec une concurrence par le prix, on a un effet d’incitation à différencier pour réduire
l’intensité de la concurrence.
Fonction d’utilité = quadratique, et on a un équilibre avec différenciation maximum
qui est excessif, en pourcentage à l’optimum.
On peut travailler sur des caractéristiques qui ne sont mesurables (pas besoin de les
quantifier). L’idée est que les consommateurs sont repartis sur … du cercle et la
localisation c’est la préférence. Tous les consommateurs achètent la même quantité
(ex. pantalon) et ce qui change c’est leurs caractéristiques (ex. couleur). Et le cercle
décrit toutes les caractéristiques du produit (du pantalon).
L’objectif du consommateur : Max 𝑈(𝑡, 𝑡 ∗ ) – P. Le meilleur produit est celui qui offre
la différence entre le prix et 𝑈(𝑡, 𝑡 ∗ ). Il existe un bien substituable indifférencié (ex.
Jogging). Mais pour que le consommateur préfère le pantalon au jogging, il faut que :
utilité qu’il retire de la consommation du pantalon par prix soit supérieure. L’utilité du
jogging qu’il retire par le prix : U(pantalon) – prix ≥ U(jogging) – prix.
1
La distance entre variété = . Plus il y a d’entreprises sur le marché, plus la distance se
𝑛
réduit.
Si les coûts marginaux et les coûts fixes sont constants, on découle sur un équilibre de
NASH pour lequel il y a aucune entrée de nouvelles entreprises, et chaque entreprise
ne veut pas modifier son prix. Toutes les entreprises ont le même prix, d’une distance
1
de .
𝑛
Tant que le profit est supérieur à zéro (positif), on a des entrées d’entreprises. Et le
prix d’équilibre de long terme va dépendre des trois éléments : coût marginal, degré
de différenciation et coût fixe.
Le coût fixe (CF) diminue avec l’augmentation de n et la différenciation augmente.
Avec l’augmentation d’entrées, le coût moyen augmente, on aura une perte d’efficacité
productive, il y a trop de variétés. Pour éviter l’entrée de nouvelles entreprises, c’est la
prolifération des variétés (produits) qui est la meilleure solution.
Première idée : voir comment les entreprises peuvent utiliser le prix pour accroitre leur
profit.
Deuxième idée : voir comment les entreprises peuvent utiliser le prix pour réduire ou
éliminer la concurrence.
On aura 4 points :
1
Soient deux groupes : 𝑅𝑚1 = 𝐶𝑚1 ⟹ 𝑝1 (1 + ) = 𝐶𝑚
𝑒1
1
𝑅𝑚2 = 𝐶𝑚2 ⟹ 𝑝2 (1 + ) = 𝐶𝑚
𝑒2