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07/10/2023

Machines électriques

Machine Asynchrone
Prof. BOULMANE

Département Génie électrique

Année universitaire: 2023 ~ 2024

Plan

I. Constitution et principe de fonctionnement

II. Schéma équivalent

III. Bilan de puissances

IV. Démarrage du moteur asynchrone

V. Variation de la vitesse d’un moteur asynchrone


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07/10/2023

Plan

I. Constitution et principe de fonctionnement

II. Schéma équivalent

III. Bilan de puissances

IV. Démarrage du moteur asynchrone

V. Variation de la vitesse d’un moteur asynchrone


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I. Constitution et principe de fonctionnement

Convertisseur électromécanique réversible


Fonctionnement Moteur
Conversion Electrique → Mécanique :
Exploitation de la force électrodynamique
Energie Energie (Loi de Laplace)
Electrique Mécanique

• Cuivre (Joule)
∑ Pertes • Fer (magnétiques)
• Mécaniques
Fonctionnement Génératrice
Conversion Mécanique → Electrique
Exploitation de la force électromotrice induite
(Loi de Faraday)
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I. Constitution et principe de fonctionnement

Avantages du moteur asynchrone

Grande simplicité de construction ⟹ prix relativement bas.


Facilité d’utilisation et d’entretien ⟹ coût de maintenance réduit.
Commande aisée avec les convertisseurs de puissance et simplicité de démarrage.
Grande robustesse mécanique.

I. Constitution et principe de fonctionnement

Composé de deux parties séparées par un


entrefer.
Le stator ou inducteur
La partie fixe.
Sous forme d’une carcasse ferromagnétique
feuilletée comportant un enroulement triphasé.
Alimenté par un système triphasé de pulsation
Couplage étoile ou triangle.
Analogue à l’induit d’une machine synchrone.

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I. Constitution et principe de fonctionnement

Composé de deux parties séparées par un entrefer.

Le rotor ou induit
la partie mobile ou tournante
différents types de rotor à distinguer:

Rotor bobiné: constitué d’un bobinage analogue au stator, fermé sur un rhéostat
extérieur via des bagues et des balais

Rotor à cage: constitué de barres conductrices en court circuit

I. Constitution et principe de fonctionnement

Rotor bobiné
Le rotor est un cylindre composé d’un empilement de tôles pressés. Ces tôles sont
munies d’encoches où sont logés des conducteurs formant trois bobinages, accessibles
par des bagues et des balais.

Bague
Bagues

Balai

Rhéostat
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I. Constitution et principe de fonctionnement

Rotor à cage
Le rotor est constitué de barres conductrices, en cuivre ou en aluminium
Ces barres sont inclinées par rapport à l’axe de rotation.
Les extrémités de ces barres sont court-circuitées par deux anneaux de même métal.

Barres conductrices siège Anneaux de court-circuit


des courants induits
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I. Constitution et principe de fonctionnement

Symboles

i1 i1
u12 i2 M u12 i2 M
u31 u31
u23 i3
3~ u23 i3
3~

Inducteur Induit

Rotor bobiné (ou à bagues) Rotor à cage

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I. Constitution et principe de fonctionnement

Boites de raccordement

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I. Constitution et principe de fonctionnement

Principe de fonctionnement

ω . On dispose de (2p) pôles.


Trois bobines fixes, décalées de 120° et alimentées par un système triphasé équilibré de courants à la pulsation

Création d’une f.m.m Fs tournante à la vitesse


ω
Phase C Phase A
Ω rad/s
p
f
N tr/s
p Stator Ω

Création dans le rotor des courants induits. 120°

Ces courants induits créent au rotor une f.m.m. Fr tournante


Rotor
Production d’un couple de démarrage non nul :
⇒ Le rotor tourne à la vitesse Ω Ω .
Phase B

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I. Constitution et principe de fonctionnement

Glissement

Le rotor tourne à la vitesse Ω légèrement inférieure à Ω : Ω

On définit le glissement g du moteur qui s’exprime en % : g

La pulsation des courants induits devient ω ω ω g. ω

La vitesse du rotor peut s’écrire: Ω 1 g .Ω

F tourne à Ω par rapport au stator.

F tourne à Ω par rapport au rotor ⇒ F tourne à Ω Ω Ω par rapport au stator.

Les deux f.m.m. tournent à la même vitesse ⇒ Création d’un couple constant.

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I. Constitution et principe de fonctionnement


F
Rotation à la vitesse ! F

Stator alimenté à la pulsation ω ⇒ f.m.m. F tourne à Ω


Enroulements du rotor en court-circuit tourne à Ω Ω
Tensions induites au rotor, pulsation ω ω ω
Courants au rotor ⇒ f.m.m. F tourne à Ω " 0 par rapport au rotor et Ω Ω Ω par rapport au stator
F
Couple moteur ⇔ Moteur Asynchrone

" F
Rotation à la vitesse !

Stator alimenté à la pulsation ω ⇒ f.m.m. F tourne à Ω


Enroulements du rotor entraîné à Ω " Ω
Tensions induites au rotor, pulsation ωr = ωs - ω
Courants au rotor ⇒ f.m.m. Fr tourne à Ω 0 par rapport au rotor et Ω Ω Ω par rapport au stator
Couple résistant ⇔ Génératrice Asynchrone

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I. Constitution et principe de fonctionnement

Couplage

La plaque à bornes du moteur asynchrone permet de raccorder les enroulements du stator à l’aide de six
bornes repérées :
$% , '% , (% et $* , '* , (*

Le positionnement de trois barrettes de cuivre permet d’alimenter le moteur sous deux tensions différentes.

Le couplage des enroulements du moteur est effectué en fonction de la tension de réseau d’alimentation.

U, V, W,

W/ U/ V/

Plaque à bornes d’une


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machine asynchrone à cage

I. Constitution et principe de fonctionnement

Couplage

L1 L2 L3
Ph1

U, V, W, V
U
W/ U/ V/
Ph2
Ph3
Couplage Etoile (Y)

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I. Constitution et principe de fonctionnement

Couplage

L1 L2 L3
Ph1
U, V, W,
U
V
W/ U/ V/ Ph2
Ph3
Couplage Triangle (∆)

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I. Constitution et principe de fonctionnement

Couplage

Moteur 127/230 V Moteur 230/400 V Moteur 400/660V

Réseau 127/230 V Étoile Triangle ---

Réseau 230/400 V --- Étoile Triangle

Réseau 400/660V --- --- Étoile

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I. Constitution et principe de fonctionnement

Plaque signalétique

Tension nominale selon


Puissance utile le couplage adopté
Vitesse Et intensité de courant
nominale de ligne
Fréquence de
fonctionnement

Facteur de puissance et
rendement 19

I. Constitution et principe de fonctionnement

Calcul de Vitesse de synchronisme

Pour une fréquence de 50 Hz

P 1 2 3

Ns 3000 1500 1000

Pour une fréquence de 60 Hz

P 1 2 3

Ns 3600 1800 1200

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I. Constitution et principe de fonctionnement

Application

Considérons un moteur asynchrone de caractéristiques suivantes:

Δ/Y 230/400 V; 57/33 A


1427 tr/min
17 KW
Facteur de puissance = 0,88

1. Déterminer le couplage approprié pour une installation de 400 V.


2. Calculer le rendement de ce moteur.
3. Déterminer la vitesse de synchronisme et déduire le nombre de paire de pôle.
4. Déterminer le couple utile sachant que 23 43 .

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Plan

I. Constitution et principe de fonctionnement

II. Schéma équivalent

III. Bilan de puissances

IV. Démarrage du moteur asynchrone

V. Variation de la vitesse d’un moteur asynchrone


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II. Schéma équivalent

La machine est équivalente à un transformateur triphasé :


Stator Primaire
Impédance
Rotor Secondaire
du rotor
N
I .I
R jω ℓ N R jgω ℓ I

I,=
Impédance
V R; jω L: j. N . gω . ϕ
du stator

ω Impédance gω ω ω ω
magnétisante
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II. Schéma équivalent

de même valeur efficace


que le courant rotorique
réel, mais de pulsation
différente.
N
I R jω ℓ .I jω ℓ I
N

I,=

R
V R; jω L: j. N . ω . ϕ
g

ω ω
Résistance fictive dépend
de la vitesse de rotation:
Résistance motionnelle
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II. Schéma équivalent

Schéma équivalent ramené au stator

ℓ R
ℓ >
R >
m/ m/
R >
I jω ℓ R I jω ℓ >
g

I,=

V R; jω L:

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II. Schéma équivalent

Schéma équivalent ramené au stator Inductance de fuite ramenée au stator


L ℓ ℓ >

R >
I R I jω L
g

I,=


V jω L: ℓ >
R; m/

R
R >
m/

m= @ : rapport de transformation
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II. Schéma équivalent

Schéma équivalent ramené au stator

Pertes joules au rotor


pA 3R > I /
Pertes joules au stator
pA 3R I /
R >
I R I jω L pA g. PD
g
I,=
La puissance
transmise du stator
V R; jω L: au rotor
R > /
PD 3 I
Pertes dans le fer au stator g
pE

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Plan

I. Constitution et principe de fonctionnement

II. Schéma équivalent

III. Bilan de puissances

IV. Démarrage du moteur asynchrone

V. Variation de la vitesse d’un moteur asynchrone


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III. Bilan de puissance

PD TIF . Ω PIF TIF . Ω


Puissance Puissance utile PJ
Électrique PI Puissance Puissance (Mécanique PF K
Transmise PD Électromagnétique PIF

TIF TJ
Alimentation Charge
Stator Rotor Arbre
Électrique Ω Ω Ω Mécanique

Entrefer

Pertes totales Pertes totales Pertes


Moteur au stator au rotor Mécaniques
Asynchrone p pA pE p pA pE pFéH

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III. Bilan de puissance

PI 3. V . I . cos φ
Puissance
Électrique

Pertes Joules au
PD PI pA pE
Pertes Fer au stator Puissance
stator
MR!
Transmise
MN! OP ! Q! *
2ST 4UV . ! PIF pA pE

Pertes Joules au Puissance


rotor Pertes Fer au rotor
Électromagnétique
MRT ≅ Y
MNT OP T > QT * W2ST 2UV 4UV . 2ST % W
Les pertes fer sont PJ PIF pFéH
proportionnelles à la fréquence.
Alors que la fréquence des Pertes Mécaniques Puissance utile
MVéZ 23 43 .
courants rotoriques est
généralement faible ^_ `. ^ 30

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III. Bilan de puissance

Rendement

23 2U ∑ MUTSU! 2U MN! MR! MNT MVéZ


a
2U 2U 2U

Dans les machines de forte puissance, il est possible de négliger l’ensemble des pertes au stator ainsi
que les pertes mécaniques. Les expressions des puissances absorbé et mécanique deviennent:

PI PD pA pE ≅ PD
c
PJ PIF pFéH ≅ PIF PD 1 g

L’expression du rendement devient:


η≅ 1 g

⇒ Le glissement est élevé, plus le rendement de la machine est faible


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III. Bilan de puissance


Exercice

Soit un moteur asynchrone triphasé à cage dont les indications de la plaque signalétique sont:
220/380V; 70/40A; 50hz; cos(n) = 0.86; 725 tr/min
On donne:
La résistance d’un enroulement du stator est P % Y. %o
Les pertes fer du stator sont de 500W
La tension du réseau est de 380V entre phases
Les pertes mécaniques sont négligeables
Déterminer :
1) Le mode de couplage des enroulements du stator
2) La vitesse de synchronisme et le nombre de paires de pôles
3) Les pertes par effet joule du stator
4) Le glissement
5) Les pertes par effet joule dans le rotor
6) Le rendement du moteur
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III. Bilan de puissance


N.B

Les pertes joules statoriques:


MN! OP ! Q! *
où P ! est la résistance d’un enroulement statorique pour un couplage étoile.

Pour un couplage triangle:


MN! P ! Q! *
Pour généraliser, on considère:
3
pA R. I /
2
Avec R est la résistance mesurée entre deux phases

Les pertes collectives:


MZ MR! MVéZ

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III. Bilan de puissance

Fonctionnement à vide
À vide : le rotor n’entraîne pas de charge
Conséquence : le glissement est pratiquement nul et le rotor tourne quasiment à la
vitesse de synchronisme
On supposera que, à vide, g = 0 et q= q
Le facteur de puissance cos r= à vide est très faible
Conséquence : le courant absorbé s,= est élevé
Le courant absorbé s,= est un courant de magnétisation, Il sert à créer le champ
magnétique tournant
Fonctionnement en charge
Lorsque l’on charge la MAS, le facteur de puissance augmente
Conséquence : augmentation de la puissance active
Le stator absorbe un courant s actif

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III. Bilan de puissance

Détermination des paramètres du schéma équivalent

Essai à vide: On alimente la machine à tension nominale, et on mesure la


puissance absorbée.
Mesurer les pertes collectives: tH tE tFéH
Déterminer l’impédancemagnétisante

Essai à rotor bloqué: On alimente la machine avec une tension réduite


Mesurer la puissance absorbée
Déterminer la résistance rotorique et l’inductance de fuite ramenées au stator.

Essai en charge

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III. Bilan de puissance

Expression du couple électromagnétique

1) À partir du schéma monophasé équivalent et le bilan de puissance de la machine


asynchrone, déterminer l’expression du couple électromagnétique en fonction des
paramètres de la machine.

2) Étudier l’expression obtenue puis tracer la caractéristique mécanique du moteur.

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III. Bilan de puissance

Expression du couple électromagnétique

PIF TIF . Ω PD 1 g
pA 3R> I / gPD
En outre:
ω
Ω Ω . 1 g . 1 g
p
Il en résulte :
3R> I /
3pR> I /
Tem
g. Ω gω
Or:
R>
V R jXx I
g
Réactance de fuite totale
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III. Bilan de puissance

Expression du couple électromagnétique


R >
3p / g
Tem V
ω R >
/
R X x/
g

Au démarrage:
OM * PT>
Y⇒W % ⇒ 4UV 4y '
z! ! P ! PT> * { *4

Au voisinage de la vitesse de synchronisme, le glissement est faible, le couple électromagnétique est


proportionnelle à la vitesse de rotation:
4UV |. ; | Y

À vide, ! ⇒W Y, le couple électromagnétique est nul.

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III. Bilan de puissance

Expression du couple électromagnétique

R >
3p / g
Tem V
ω R >
/
R Xx/
g

Le couple électromagnétique passe par un maximum qui correspond à un glissement critique noté g H :
OM * %
4UV~• '
z! !
* P! P*! { *4

PT>
WZ
P*! { *4

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III. Bilan de puissance

Caractéristique mécanique TIF Ω


TIF
R >
3p / g
Tem V
TF•‚ ω R >
/
R Xx/
g
T€
Zone d’utilisation
(Linéaire)

Ω
Ω
g
1 gH 0
40

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III. Bilan de puissance


4UV

4V~•
Fonctionnement Génératrice
% W Y
" !
4y
Hypersynchrone

W % WZ Y %

Fonctionnement Moteur
Y W %
!

Zone instable
41
Zone linéaire

III. Bilan de puissance

Point de fonctionnement

T N. m

Point de fonctionnement

T€
4

N tr. min ,
ƒ N
g
1 0
42

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III. Bilan de puissance

Couple résistant de la charge entraînée

En général, ce couple s’écrit sous la forme:


T K. Ω…

4T 4T 4T 4T
| 4T |
4T |. * 4T |. 4T

Couple proportionnel à Machine à puissance


Machine à Couple
Couple proportionnel au la vitesse (Pompe constante (Enrouleuse,
constant (Levage,
carré de la vitesse volumétrique, compresseur,
pompe, …etc.)
mélangeur,.. etc.) essoreuse,…etc.)
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III. Bilan de puissance

Équation fondamentale de l’entraînement

Le moteur développe sur son arbre un couple moteur 4V . Alors que la


charge entraînée exerce sur le même arbre un couple résistant 4T .

Cet entraînement est régit par la relation suivante:

y
4V 4T †
yS

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