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Byzantion
(17) H. Martin, o.L, pp. 520-521. Selon toute apparence, Jean Ascotzangès
s'était borné à composer un florilège patristique. Jean Philopon le connaît et le
cite à l'occasion, mais le traité qu'il avait composé était doté d'une véritable
armature logique, voir H. Martin, o.l. , p. 522. Gudeman (o.L, col. 1791) se con-
tente de donner une référence au présent codex de Photios. Voir Th. Hermann,
Johannes als Monophysit, dans Zeitschrift für die neutestamentliche Wissen-
schaft, 29 (1930, p. 212. Photios indique explicitement une répartition en quatre
sections (voir plus bas pour le texte). Le traité est donc plus volontiers cité sous
le titre de T[xf||iaTa par les spécialistes du monophysisme. Il en subsiste des frag-
ments considérables en syriaque dans la Chronique de Michel le Syrien. On les
consultera dans la traduction de J. B. Chabot (II, p. 92-121). Voir aussi Ģer-
māņus, dans PG, 69, col. 70 c. Il semble que l'ouvrage ait été répandu sous le
double titre De Trinitate et De theologia, voir A. Van Roey, Les fragments
trithéites de Jean Philopon, dans Orientalia Lovaniensia Periodica, 11 (1980),
pp. 158-160 et pp. 148-152 pour le De Trinitate et p. 160-161 et pp. 152-154,
qui offre respectivement traduction latine et original syriaque des fragments
attestés.
(18) Je résume ici la belle démonstration d' H. Martin (o.L, pp. 524-525). Voir
aujourd'hui A. Van RoEY-Pauline Allen, o.L, p. 282 et pp. 284-285.
(19) Cod. 75, 1, p. 154, 1. 35-38 : cpweiç yaQ xal owiaç xai freoTTyraç xaî
ftzovç JtXaoá|i8voç, èvxetr&Ev àdvQ00TÓ|jic0Ç Jtãoav ßXaocpri|iiav xfjç
XQiOTiavtôv xaxaxéei Jtíaxecoç;, tò ev Jióoa oiļļiaivei oijiixqoXoycõv. Sur le
personnage et la date de Jean, voir A. Kazhdan, dans ODB, II, p. 1047, s.v. John
(25) Cod. 21, I, p. 13, 1. 26-29 Henry : tt)V xtov ocojiáxcov áváoxaoiv
àvaiQeî jtoXÀá te àjteçiOMéjraoç Xiyei, émx^euáÇcov xaì toiíg [AaxaQÍovç xaì
áyíovç Jtaiégag r|(x<jõv. La date est donnée par P. Maraval (o.l., p. 464). Photios
avait sûrement eu l'intention de donner le nombre des tomes que contenait l'ou-
vrage. Mais, suite à une distraction ou à un accident de la tradition manuscrite,
le chiffre a disparu des manuscrits. On connaît à présent une quinzaine de frag-
ments du traité. Voir A. Van Roey, Un traité cononite contre la résurrection,
dans Antidôron. Hommage à Maurits Geerard I, Wetteren, 1984, pp. 123-139.
L'ouvrage comptait au moins six livres. Le florilège restitue sept fragments du
livre IV et trois du livre VI, sans compter quelques autres impossibles à situer
mieux.
(26) Nicéphore Calliste, H. E., XVIII, 47, dans PG 147, col. 424 D-425 A,
cité et traduit par Wanda Wolska, o.l., p. 189. Pour une présentation doctrinale,
voir Theresia Hainthaler, o.l., pp. 205-209, qui montre que la principale diffi-
culté aux yeux de Jean tenait à la contradiction par rapport au système conceptuel
élémentaire enseigné par Ammonios dans son Commentaire à /'Isagôgè de
Porphyre.
(27) Photios, o.l., cod. 23, 1, p. 14, 1. 37-2.
(28) Cod. 23, 1, p. 14, 1. 37-2 : 'Aveyvcoo-fh) Kóvcovoç xal Eír/evíou xaì
©enioTÍov xatà 'Iooávvou, tt)v tcqì àvacrtáoecuç; amov naxaumovíav cmj-
La Bibliothèque renferme tr
Deux correspondent précisémen
(cod. 43 et 240), et l'autre au Co
(cod. 215) ; ils renferment des
donneraient leur approbation :
Cod. 75 Cod. 55
Dans son style, il est éga
même, sans rien de vigoure
majestueux
àXk' vnò (jieíÇovoç aQxieçéœç, xa-ötbg xaí oí ötyioi xavóveç; cpaoív • xaMjteg
xaí èv xfí èxx^TìGiaoTixfì loxoQÍot OíXcavoç tov cpdooócpou. Un fragment de
la même œuvre est cité dans les Annales de Jean Glycas au XIIe s. ( PG , 158, col.
526 D-528 B), mais il est impossible d'identifier l'auteur et l'œuvre d'autre
manière.
(49) Ibidem : O xijjuov xòv iBQea xòv ©eov xi^oei • ò òe 'iamov xòv teçea
xaxacpQovelv óôcõ jiQoßaivcov xaí eíç xòv 0eòv evußQiaei Jtoxé. łO ôexó^e-
vog v'iãç, cprioív, è^è ôéxexai.
(50) Ibidem : xai ëxeQOg akkaxov • Tovç ieqeIç amou, cprļaiv, evxi|xovç
exe * èvxeWev eļjiaftov oí 'Iouôatoi tov ©boi) xaxacpQovelv, ôxi Mcoaéœg
xaxBcpQÓVTioav, õxi amòv èXUkxÇov, xxL J'avoue cependant quelque hésita-
tion sur la traduction qu'il convient de donner des premiers mots. Le reste du
manuscrit n'est pas, autant queje sache, publié. L'édition de la Patrologie est due
à A. Mai.
(51) De la création du monde, I (préface), p. 1,1. 6-2, 1. 4 Reichardt : IIoÀuç
|mèv èjjtol J18QÍ xfiç tov XÓG1IOD Yevéôeœç è v jtoXXalç jtQaYliaxeíatç ôif|vwxai
PHILOPON PHOTIOS
Mais (Qu')
surtout, il dédie son écrit
c'était toi,à SergeSerge,
de
mon très Constantinople
ami
honoré, : le plus gran
ornement de ceux qui s'accomplis-
sent comme pontifes (àQXieçeîç) d
Dieu, qui, avecc'est sous son impulsion
force instances,qu'il s'est m
chargé de ce
avais incité - c'est travail, d'après
tout juste la pré- mêm
si tu n'avais face.
pas usé de violence
à donner ma contribution dans
l'affaire, à la mesure de ma capa-
cité
dans ce cas, on comprendrait mal l'opposition avec ct[ae^f|Oai|ii qui arrive trois
lignes plus bas.
(53) Cod. 240, V, p. 166, 1. 4-8 : Ou xo cruYY6<Wa Seçytcp xtp K.O)v-
crtavTivoujtóX.ecoç JTQOoqxüvei, èxeívov jtooxQOJif) xovtov ÚJteWtelv xòv
jióvov JiQooi[xiaÇó|xevoç;. Tòv ôè oxojiòv eivai <pr)Oi avfxcpcúvov ôetíjcu xotç
(paivofiévoiç xfļv xoí fteojteoíou Mcooécoç xocjjiOYéveiav.
(54) Hexaméron, I, p. 2, 1. 3-12 Reichardt : ooç ou xoiç cpaivopiévoiç
Mcoi3of)ç JteqwoioXóynxe oí'(i(jxi)va. MáXioxa ôè <xú, ti[u<jot0tt1 ļj.oi xecpaXíi,
2éQ7L£, xai xã»v èv áexieee®oi íteov xe^ovvicov (xéyioxov èyxaXXcójtiona,
jxoMjç èitéxeioo jtQoxçéjtcov, novovovxi xai ßia^0|xevog, xà eiç è(j.f|v ow-
eiotpÉQeiv xã> jtçávnaxi ôxrva|wv, owzQyòç ôé ooi xov ojtovôáo^axoç; rjv ó
Yvá)QL|ioç xoíi yévovç oíw èXáxxaiv xr|v iteooeßeiav 'Afraváaioç, ola oxtj-
ļivog xtõ e'iç àçexriv OĢeaļtaļievtp avujiaça-ôécov. II0X.1Ò5 òè vovç è v àoxf)<m
Xòyíov aiòéoi|iov jioieī veóxrixa. Pour le début du texte, voir supra, p. , n. 44.
M. Cl. Schölten ( o.l. , p. 75) traduit à juste titre àQXi£Q£Ùç par «Hohepriester».
Je n'ai pas fait autrement, en essayant seulement de conserver l'ambiguïté.
Université de Fribourg
Jacques Scha