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hamrouni_anis@yahoo.fr haifa.khalfallah@gmail.com
Dep Sciences Economiques et de Gestion Dep Sciences Economiques et de Gestion
ISET Kairouan - TUNISIE ISET Kairouan - TUNISIE
Résumé
« Le bon produit, au bon moment, au bon endroit et à la bonne personne », c’est le crédo de
la logistique. Optimiser des process, minimiser les coûts, les délais, les stocks, satisfaire le
client, développer des relations durables avec les fournisseurs. Autant d’objectifs et des
raisons pour mettre en place un projet d’amélioration de la Supply Chain. Cependant, si
toutes ces problématiques liées à la logistique ne se traduisent par un enrichissement tangible
de l’entreprise, l’entreprise ne sera pas en mesure de survivre financièrement. Même dans une
société où le client est censé être le roi, ce qui pousse les entreprises à le mettre au cœur de sa
stratégie, le but ultime d’une entreprise est de générer des profits pour assurer sa pérennité. Il
semble donc indispensable d’inclure la notion de flux financiers dans la vision de supply
chain. Ainsi, tout projet d’optimisation de la supply Chain doit être suivi d’une optimisation
des flux financiers associés afin que ses résultats soit durable.
Mots clés: flux logistiqus, coordination, ERP, diagnostic logistique, stratégie logistique
Abstract
"The right product, at the right time, in the right place, and in the right person," is the creed of
logistics. Optimize processes, minimize costs, deadlines, inventory, satisfy the customer,
develop lasting relationships with suppliers. So many goals and reasons to set up a project to
improve the supply chain. However, if all these logistics issues do not translate into tangible
business enrichment, the company will not be able to survive financially. Even in a society
where the customer is supposed to be the king, which drives companies to put it at the heart
of its strategy, the ultimate goal of a company is to generate profits to ensure its
sustainability. It therefore seems essential to include the notion of financial flows in the
supply chain vision. Thus, any supply chain optimization project must be followed by an
optimization of the associated financial flows so that its results are sustainable.
Key words : logistics flow, coordination, ERP, logistics diagnosis, logistic strategy
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1. La notion de flux dans les définitions de la logistique et la Supply Chain
L’entreprise a toujours évolué au sein d’un environnement. Cependant, dans un contexte de
globalisation et d’externalisation accrue, la multiplication des intermédiaires tout au long de
la Chaîne ont entrainé une interdépendance accrue entre l’entreprise et ses différents
partenaires industriels, ce qui implique aussi la complexification des relations entre les
différents départements au sein même de l’entreprise. Ainsi, il est pertinent de considérer
l’entreprise et son environnement comme un écosystème au sein duquel différents acteurs
interagissent dans un but commun : la performance financière et la satisfaction du client. Ce
nouveau mode de fonctionnement tend vers un système multidimensionnel plus dynamique et
moins linéaire qui nécessite une coordination sans faille entre les acteurs et les différentes
activités. L’interaction de ces différents acteurs et de ces différentes activités peut être définie
sous forme de flux. Ainsi, l’activité d’une entreprise est constituée de différentes formes de
flux : physiques, financiers ou informationnels.
Le rôle du Supply Chain Management est d’assurer la coordination, l’optimisation et
l’intégration de ces différents flux dans un objectif de satisfaction du consommateur final à
travers un enchainement de processus, allant des fournisseurs (voire des fournisseurs des
fournisseurs en remontant le plus en amont possible) aux clients (ou les clients des clients, le
plus en aval possible).
Les définitions de la logistique et de la Supply Chain se comptent par dizaines ou par
centaines, nous choisirons quelques définitions pertinentes qui nous permettront de situer le
cadre de ce mémoire.
The Institute of Logistics définit la chaîne logistique comme « une séquence d’événements
pour satisfaire les clients. Elle peut contenir les activités d’approvisionnement, production,
distribution et gestion des déchets, avec les transports associés, le stockage et technologie
informatique ». Cette définition peut être complétée par une définition de Jacques Colin,
Claude Fiore, Hervé Mathe et Gilles Paché qui met en avant la notion de réduction de coûts et
d’amélioration de niveau de service, ainsi ils proposent de définir la logistique comme « une
technologie de la maîtrise de la Mémoire de fin d’études Carmen ROUANET circulation
physique des marchandises qui pour réaliser ses deux priorités de réduction de coûts et
d’optimisation du niveau de services, associe en un double mouvement un flux de
marchandises, régulé d’aval en amont par un flux d’information ».
Selon des chercheurs en sciences de gestion (Aurifeille 1997), « la démarche logistique est
transversale aux fonctions classiques de l’entreprise, elle est centrée sur la gestion des flux
physiques, informationnels, financiers, aussi bien en interne au sein des entreprises que dans
les relations entre entreprises partenaires d’une même chaîne de valeur. A ce titre, elle peut-
être vue comme une compétence de gestion et de pilotage des flux qui, pour optimiser le
couple coût/niveau de service, mobilise un certain nombre de ressources le long des processus
de circulation ».
Toutes ces définitions nous permettent de ressortir quelques concepts clés : efficience, flux
marchandise, flux d’information, réduction des coûts, satisfaction client. A travers le temps,
la logistique, qui se limitait auparavant à une dimension opérationnelle, a acquis un rôle
stratégique au sein des entreprises. La logistique n’est plus considérée comme un département
mais comme une démarche en soi ayant une fonction transversale qui doit impliquer tous les
départements de l’entreprise. Heskett propose de modéliser le fonctionnement de l’entreprise
autour de cette vision d’une chaîne logistique combinant, synchronisant, coordonnant des flux
physiques et d’information autour d’objectifs de réduction de coûts, d’amélioration des
niveaux de service au profit de la stratégie de l’entreprise. Il ne s’agit plus de gérer les flux de
l’entreprise mais de se doter d’une représentation du fonctionnement de l’organisation à partir
des flux dans une perspective de pilotage.
Un autre concept qui est devenu essentiel dans la définition de la chaîne d’approvisionnement
est la notion de satisfaction client et du consommateur final. Auparavant, la logistique ne
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s’intéressait qu’à la livraison de son client direct pour écouler sa production. Cependant, la
supply chain étendue intègre aujourd’hui les problématiques liées à la distribution jusqu’au
consommateur final et sa satisfaction. Ainsi, le site internet du Council of Logistics
Management définit la logistique comme « la partie du processus de la chaîne
d’approvisionnement qui planifie, met en oeuvre et contrôle le transit et le stockage efficace
et efficient des et des services ainsi que l’information adjacente, de l’endroit de leur création
jusqu’à celui de consommation, dans le but de répondre aux exigences des consommateurs ».
Néanmoins, nous pouvons remarquer que la notion de flux financiers n’est pas une priorité
dans la définition de la supply chain. On parle essentiellement de flux d’information qui
permettent de piloter des flux physiques. A part quelques chercheurs en sciences de gestion,
l’aspect financier est souvent négligé dans le concept de supply chain étendue. On peut
cependant retenir une définition proposée par The Logistics Institute qui permet d’intégrer
une notion financière, et notamment les entrées et sorties d’argent, dans la chaîne : « La
logistique est une collection de fonctions relatives aux flux de marchandises, d’informations
et de paiement entre fournisseurs et clients depuis l’acquisition des matières premières
jusqu’au recyclage ou à la mise au rebut des produits finis ».
En effet, un flux physique doit forcément se traduire par un flux financier. Toutefois, une
livraison ou une réception de produit ou de service ne se traduit pas directement par un
encaissement ou un décaissement. De même, toute entreprise, quelque soit son activité
(production, distribution, service) doit à un moment donné stocker des matières (matières
premières, encours, produits finis…) et ce stockage représente une somme d’argent qui est
immobilisée et qui pourrait être utilisée autrement dans des activités génératrices de valeur.
Toutes ces problématiques peuvent se traduire par une dégradation de la qualité de service
délivré au client final. Par exemple, si une entreprise ne respecte pas les délais de paiement
accordés avec ses fournisseurs, ceux-ci peuvent délibérément ne pas respecter les délais de
livraison de marchandises ou diminuer la qualité des marchandises livrées, ce qui aurait un
impact direct sur le consommateur final. Ainsi, la coordination entre les flux physiques et
financiers est indispensable pour garantir la rentabilité d’une entreprise et la satisfaction des
consommateurs afin d’assurer la pérennité de l’entreprise.
Ces trois flux ont des caractéristiques et des sens très différents :
- Le flux de produits peut être caractérisé comme « down Stream », c’est-à-dire qu’il va
de l’amont vers l’aval. Cependant, avec le développement de la reverse logistics
(recyclage, articles en fin de vie, retour de produits défectueux…) les flux de produits
du consommateur vers le producteur tendent à s’accroître, ce qui implique que le flux
de matériel est en train de devenir un flux à deux sens. Le flux de produit peut aussi
être un flux de service.
- Les flux d’information se font à deux sens : de l’aval vers l’amont (passations de
commandes, remontée d’information en provenance du consommateur…) et de
l’amont vers l’aval (en suivant les flux physiques) qui permettent de piloter la
planification de la production, la prévision des ventes, l’analyse de la satisfaction des
consommateurs, l’étude de nouvelles tendances…
- Les flux financiers se caractérisent comme « upstream » parce qu’ils vont de l’aval
vers l’amont. L’échange d’information financière se fait dans les deux sens, souvent
de façon électronique (appelés EDI, échange de données informatisé), mais le flux
d’argent (ou cashflow) se fait au sens inverse, dans le sens de l’encaissement, le client
paye le distributeur, le distributeur paye le fabricant et le fabricant paye ses
fournisseurs.
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2. Logistique externe et interne :
Logistique Externe Logistique Interne
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3. Présentation de l’Etude :
Lors de notre première visite a la société, le directeur nous a informé que la société qui
manifester de l’existence d’un stock réel négative de la fin de l’exercice 2010 jusqu’à
l’heur actuelle, l’étude avait comme sujet d’analyser les écarts et les défaillances de
l’article «Câble noir » , définir les causes principales et proposer des axes d’amélioration
En effet, En 2010, la société et lors de son inventaire annuel de stock de matière première
a manifesté un écart de 340 mille dinars. Le Câble noir possède la part le plus important
dans cet écart qui représente 40%de l’écart total.
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4.2. Gestion des flux physiques
4.2.1. Flux physique de matière première
Etape 1 : Import : L’import est arrivé d’Allemagne de plusieurs fournisseurs (Leoni, Yazaki,
Takata…) est les documents utilisé sont (facture, déclaration, TTR).
Etape 2 : Zone de réception : On fait la réception de la matière première dans une zone spéciale qui
s’appelle zone de réception d’import de superficie de 20 m2 .on fait mettre toute les palettes et tous
les colis dans cette zone ;
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4.2.3. Flux physique d’emballage
Au moment de lancer l’ordre de fabrication, le service qualité va donner une copie de l’OF
au service emballage. La dernière étape de préparation de produit fini déterminé par le
contrôle final, puis va mettre le produit finis à la zone d’emballage.
Les emballeuses font les vérifications sur la traçabilité pour quelle soit identique avec l’ordre
de fabrication, puis a continueront de faire le tri de chaque référence de (25 pièce pour
chaque référence), a vérifier la quantité reçue par pesage et mettre l’identification de produit
sur le carton (étiquette n° de référence, quantité, l’indication, date de fabrication de produit
finis).
Finalement, après avoir mis les cartons sur les palettes les emballeuses saisissent sur le
logiciel SAP mettre le produit finis dans le magasin d’export dans le code (0383 ou 0334).
Le responsable de magasin saisit l’import sur SAP et gére les articles importés dans le logiciel
a distance en permettent à l’utilisation de consulter, d’ajouter, de modifier ou de sortir les
données concernant les produits dans les stocks et également de suivre les commandes et de
surveiller les articles en même temps.
Le service logistique saisi les ordres de fabrication assisté par logiciel SAP, ensuite livre la
quantité demandé sur l’OF au magasinier pour prépare les quantités de matière première
demandées en respectant la méthode FIFO.L’ordre de fabrication représente un élément
essentielle du Système de planification et de contrôle de la production.
Les procédures de travail au sein de la société Amphenol sont exécutées suivant des ordres
.Un ordre de fabrication définit quel article doit être traité, à quel endroit, à quel moment et
quelle est la charge de travail demandée.
Il définit également quelles ressources doivent être utilisées et comment les coûts de l'ordre
doivent être imputés.
Dès qu'un ordre planifié ou un besoin interne de l'entreprise est émis par des niveaux de
planification précédents (calcul des besoins en composants), le contrôle de la production
récupère les informations disponibles et ajoute les données relatives à l’ordre afin de garantir
le traitement complet de l’ordre.
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Aprés la préparation de la liste de matière première dans l’ordre de fabrication, les articles
circulés dans des postes différents et passe par des processus pour transformer le produit
finis. Le chef de la ligne de production affiche le plan de production pour suivre le rythme de
production et la capacité de production des opératrices.
Dans l’étape de contrôler le chef de la ligne contrôler les articles fabriqués.
En cas de défaut il traite les défauts trouvés dans la fiche d’enregistrement des défauts et
suivie les erreurs remarquables quand il teste le produit fini.
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5.2. Diagnostic des flux informationnel
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Après avoir effectué un diagnostic des flux (physique et informationnel) au sein de la société
on a pu dégager un certain nombre de dysfonctionnements:
En effet, ce chapitre et subdivisé a 3 section :
Ø Enumération et analyse des anomalies ;
Ø Analyse des problèmes par la méthode 20/80 ;
Ø Proposition des fiche d’intervention ou fiche d’anomalie.
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Analyse des dysfonctionnements et recommandations
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-6- Rebut non déclaré -Risque de rupture de stock ; - Créer un service qualité Responsable de
surtout dans l’équipe -Qualité de produit non conforme pour travailler avec qualité :
de nuit (absence de -Augmentation du rebut et des l’équipe de nuit pour éviter Zouaoui
surveillance qualité) : déchets ; les risques non qualité et Nourdine
-Absence de climat de confiance pour satisfaire les besoin
avec les clients ; de client.
- La société n’assure pas des
produits de bonne qualité ;
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- Produits finis non conforme et
répond pas aux exigences des
clients.
-7- Absence de bonne - Il n’ya pas surveillance de - Motiver les employés à -Chef de ligne
supervision de la production et de qualité de donner le meilleur d'eux-
production : c'est-à- produit fini ; mêmes;
dire contrôle du - L’entreprise assumé les frais -Prime de rendement ;
rendement de chaque supplémentaires en cas de retard -Fournir les opératrices et
opératrice : de livrer les produit fini aux les responsables pour
clients ; comprendre quels sont
- Absence de climat de confiance les processus de production
avec les clients. et l’importance de qualité
de produit pour satisfaire
les exigences des clients.
-Détecter les disparités
suffisamment tôt pour
mettre en place les actions
correctives nécessaires
- Vérifier l'état des
produits, les formations des
opérateurs ;
- Proposer aux employés
des occasions de formation
et de perfectionnement afin
de les aider à améliorer leur
rendement et augmenter la
productivité.
- Détecter le moindre
problème avant qu'il
devienne critique et ainsi
de garantir une meilleure
disponibilité des services
offerts.
-8-Réaliser les sorties - Oublier de saisir l’information Faire une fiche de suivi de -Chef de
des matières première sur la SAP ; production. production
verbalement sans - Oublier de réduire les quantités
document autoriser : sur le système.
9-les magasiniers n’est - Faute de saisir les donnés sur le -Formation approfondie en - les agents
pas qualifié sur logiciel logiciel SAP ; SAP ; magasin
SAP au niveau de - Absence de suivie de stock du
saisir les donner logiciel ; -Recruter des autres
(absence de - Ecart dans la quantité existant personnels plus qualifié ;
polyvalentes) : dans le magasin et la quantité - La participation active
traitée sur SAP. dans les cercles de
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-13- Le chef d’équipe -Présence d’un taux d’erreur -Assurer pour toute -Chef de
préparer les composant important sur les OF (des fautes l’équipe intervienne dans la production
de l’ordre de de détermination des quantités). détermination de l’of afin
fabrication tout seul : d’assurer d’erreurs.
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-14- Absence de zone - Un mauvaise prévision et Réalisé un zone de -Responsable
de préparation de détermination des besoins en préparation des OF. logistique
l’ordre de fabrication : matière premier.
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- Responsable ;
- Date de détection ;
- Constat de l’anomalie ;
- Action corrective ;
- Pertinence proposé ;
-Vérification de l’efficacité de l’action proposée.
Conclusion générale
Pour conclure, il est important de signaler que la réalisation d’un projet de fin d’études,
permet à l’étudiant de confronter des situations pratiques et de développer les thèmes abordés
en classe. Quant à notre projet il s’agit d’analyser les causes principales de l’écart.
Ainsi nous pouvons affirmer que ce stage nous permet d’acquérir des nouvelles connaissances
et de s’intégrer dans la vie professionnelle.
Le stage que nous avons passé au sein de la société «Amphenol Tunisia» a été très
enrichissant de point de vue connaissance et pratique du domaine industriel. Il nous a permis
de connaître l’environnement et avoir une bonne approche en ce qui concerne les relations et
les circulations de l’information au niveau de production, effectivement c’est le lieu de
rencontre entre le domaine théorique et pratique.
Pour se développer, la société doit éliminer ou réduire les anomalies existées et rechercher la
combinaison optimale des moyens, techniques et humains et améliorer la gestion des flux
physique et informationnel de la chaine logistique.
La société «Amphenol Tunisia» a fait des efforts pour mettre en place les facteurs essentiels
de la profitabilité avec système de travail fiable. Cependant elle doit améliorer les conditions
de travail et innover les machines de production. Par ailleurs, il faut proposer aux employés
des occasions de formation et de perfectionnement afin de les aider à améliorer leur
rendement et augmenter la productivité.
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