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b) L’expansion thébaine
Une paix se construit sans l’intervention du Grand Roi et Sparte refuse d’y
adhérer car elle refuse de reconnaitre l’indépendance/autonomie de la cité de
Messène
Personne n’est capable d’entretenir cette paix, pas de gardien/gendarme de la
paix.
b) L’abaissement d’Athènes
III- Les relations entre cités au VIème siècle : paix communes et unions
de cité
Les guerres du V et IVème siècle ont provoqué des réflexions au sein des cités.
Idée d’une paix générale qui a pris source pendant la guerre du Péloponnèse.
La paix n’était plus vue comme une trêve au IVème siècle.
La paix du roi = échec car instrumentalisé par Sparte et imposé par le grand roi.
Cette paix devient une référence.
Nombreuses paix communes : 386 ; 375 ; 371 ; 367
Celle de 386 né de nouveaux désastres par la guerre de Corinthe et le désir du
grand roi pour stopper cet enchainement d’événements.
But : empêcher la domination d’un état sur un autre. 2 aspects : liberté des
Etats et absence de guerre.
Le pb : pas d’organisme international pour faire respecter cette paix. Nouvelles
paix conclus sans l’intervention du grand roi.
Au IVème siècle : progrès des droits internationaux de par l’apparition
d’accords bilatéraux c’est-à-dire que deux cités s’unissent. On s’efforce de
protéger du aux dangers de passage, facilité de circulation. Les états
partenaires s’accordent l’accès aux tribunaux avec des conventions, symbola.
2. Pacifisme et panhellénisme
b) La guerre
Koinon= regroupement d’états mais qui est différent des alliances, symmachiai
comme la ligue de Délos.
Pas d’institutions communes
1. Le Koinon béotien
Dissous par la paix du roi en 386 (1) mais est reconstruit en 379 par Thèbes et
redissous en 338 (2)
(1)= 1er koinon : 11 districts, 16 cités , le plus égalitaire, il y a un conseil, des
juges fédéraux, une monnaie commune, des béotarques (magistrats fédéraux
commandant l’armée)
(2)= un koinon sous domination Thèbes