Rapport de Stage IBRAH

MAINTENANCE PREVENTIVE DE POSTE HTAP
SOMMAIRE
Sommaire
Remerciements
Dédicace
Avant-propos
Abréviations
Liste de figures
Introduction
Première partie : présentation de la structure d’accueil
Chapitre 1 : Historique de la CIE
Chapitre 2 : Organisation de la DRAN
Deuxième partie : l’aperçu des activités menées lors du stage et la présentation du thème
Chapitre 1 : aperçu des activités menées lors du stage
Chapitre 2 : présentation du thème
Troisième partie : Maintenance de poste HTAP de poste HTAP
Chapitre 1 : Equipements du poste
Chapitre 2 : Maintenance préventive du poste
Conclusion
Bibliographie
Webographie
Annexes
Table des annexes
Liste des tableaux
Table des matières
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DEDICACES
Louange à Dieu, nous le louons et nous lui demandons pardon, et nous cherchons refuge
auprès de Dieu contre nous même, et contre nos mauvaises actions. Celui que Dieu guide,
il ne sera point perdu, et celui que Dieu égare, il ne sera point guidé. Et je témoigne que le
seul qui mérite l'adoration est Dieu et que Muhammad est Son serviteur et Son messager.
Je dédie ce présent projet qui m’a donné la santé, l’intelligence, la force et m’a fait la grâce
de pouvoir finir ce travail.
Je remercie mon père M. Ibrah Malam pour ses conseils ma mère Mme Nafissatou
Issoufou qui m’a toujours soutenu, mes amis et mes frères pour leurs soutiens pendant tout
mon cycle.
2
REMERCIEMENT
Nous ne saurions commencer la rédaction de ce rapport sans remercier et féliciter l’ensemble

du corps professoral qui a en charge l’éducation professionnelle pour avoir mis leur
dévouement et leur compétence dans la formation des étudiants que nous sommes.
Nous tenons à remercier particulièrement :
▪ nos chargés de stage M. KOKORA, M. OUATTARA LAGAZANE, M. DJA JEAN
LUCK pour leurs accueils, leurs soins et leurs connaissances transmises
rigoureusement durant ces trois mois de stage.
▪ A M. DJE BI responsable technique de la section comptage et notre maître de stage,

pour sa sollicitude et sa disponibilité à notre égard.
▪ A tous les agents de la section comptage pour leur accueil leur conseils et soutiens, Mr
BEDA, M. TAKI, M. DJA, M. ANE, M. KOKORA et M. GOUEU.
▪ A la facturation HT.
▪ A M. BLEOU ADIKO mon tuteur de stage pour le suivi et les vérifications de mon
rapport.
▪ A M. Candela, ex ingénieur commercial en distribution d’énergie industrielle HT/BT

et produits annexes dans un grand groupe français pour son aide.
Que toutes ces personnes, ainsi que toutes celles dont les noms ne figurent pas ici et qui ont
contribué au succès de notre stage trouvent ici l’expression de notre profonde reconnaissance.
Que Dieu leur accorde longue vie et beaucoup de réussite dans leurs carrières
professionnelles.
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Avant-propos
Centre des Métiers de l’Electricité
Pour un développement harmonieux pour la nation, Le CME fut créé le 06 mars

1970, opéré par la CIE (Compagnie Ivoirienne d’Electricité et basé à Bingerville en Côte
d’Ivoire. C’est un centre d’excellence international de formation industrielle dispensant des
formations continues, diplômantes et certifiantes.
Cette école, à laquelle nous appartenons, a pour mission de former en deux années d’études
des Techniciens Supérieurs de qualité dans le domaine électrique et énergétique.
A la fin de cette formation l’étudiant en deuxième année au CME effectue un stage de (3)
mois dans le but de répondre à un besoin exprimé par l’entreprise.
Ce stage renvoie à un projet de soutenance de fin d’étude du BTS industriel qui est une
occasion donnée aux étudiants d’approfondir leurs connaissances apprises en classe tout en
acquérant une expérience professionnelle de l’entreprise dans laquelle l’étudiant effectue son
stage, et fait l’objet d’un mémoire écrit qui est soutenu devant un jury.
C’est dans ce cadre que nous avons été reçus du 10 novembre 2021 au 31 Décembre 2022 au
sein de la compagnie ivoirienne d’électricité CIE précisément à Abidjan Cocody.
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Sigles et abreviations
CIE : Compagnie Ivoirienne d’Electricité

EECI : Énergie électrique en côte d’Ivoire
CME : Centre des Métiers et de l’Electricité

DRAN : Direction Régionale Abidjan Nord
BTA : Basse Tension
HTA : Haute Tension A
DR : Direction Régionale
ADR : Adjoint Technique Réseau
RGP : Responsable Gestion du Personnel
RGC : Responsable Gestion Comptabilité
ASCOM : Assistance de Communication
RC : Responsable Commerciale
RF : Responsable Facturation
RGS : Responsable Gestion de Stock
RT : Responsable Technique
HT : Haute Tension
BT : Basse Tension
EPI : Equipement de Protection Individuel
EPC : Équipement de Protection Collective
TC : Transformateur de Courant
TT : Transformateur de Tension
HTAP : Haute Tension A au primaire
HTAS : Haute Tension A au Secondaire
Pu : Puissance utile
Sn : Puissance apparente
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Ps : Puissance souscrite
Introduction
Société anonyme, de droit ivoirien, la CIE sous l’autorité de l’état assure la

production, le transport, la distribution et la commercialisation de l’énergie en
Côte d’ivoire.
Pour atteindre cet objectif, la CIE délègue la fourniture et la commercialisation
de l’énergie électrique aux « grands clients » à la section comptage.
Compte tenu de la consommation colossale de ses derniers, la disponibilité de
l’énergie électrique est indispensable. Ainsi, il est essentiel de prévenir tout risque
pouvant entraver la livraison de l’énergie.
C’est dans ce cadre, étant en stage à la section technique comptage HTA, plus
précisément à la direction régionale Abidjan Nord (DRAN), nous verrons en
pratique le thème : « la maintenance préventive d’un poste de livraison
HTAP »
La première partie portera sur la présentation de la structure d’accueil.
La deuxième partie portera sur l’aperçu des activités menées lors du stage et de la
présentation du thème.
La troisième partie concernera l’étude du thème.
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PREMIERE PARTIE : Présentation de la structure d’accueil
Chapitre 1 : Présentation de la CIE
I. Historique de la CIE
La COTE D’IVOIRE est alimentée en électricité depuis les temps coloniaux. En effet, vers
1940, GRAND BASSAM ET BINGERVILLE furent les premières villes mises sous la
direction des travaux publics.
A partir de 1952, l’Energie Electrique de Cote d’Ivoire appelé EECI assure la gestion de
l’électricité ; plus précisément dans la production, le transport et la distribution de l’énergie
électrique sur toute l’étendue du territoire national.
Cependant, avec la crise économique qu’a connu le Pays, L’EECI n’a pas été épargnée dans
les reformes prises par le gouvernement. Ainsi, le 12 Aout 1990, sa technique de gestion
financière et administrative fut cédée au groupe BOUYGUE qui créa :
La Compagnie Ivoirienne d’Electricité nommée CIE. Elle regroupe trois grands actionnaires
qui sont :
 L’Etat ivoirien bénéficiant de 24 % des parts,

 La société internationale de services publics avec 51 %,
 Les privés ivoiriens avec 20 %,
 Le personnel de la CIE avec 5% des parts.
II. Les activités de la CIE
La mission principale de la CIE est d’exploiter l’ensemble des ouvrages de production, de

transporter et de distribuer l’électricité en Côte d’Ivoire et dans la sous-région. En tant que
concessionnaire, elle gère l’ensemble des ouvrages qui lui sont donnés par l’État. Ainsi, elle
supporte l’intégralité des charges de fonctionnement, d’entretien de courant et de gestion. Elle
réalise les travaux de branchement et d’extension de réseau.
Pour mener à bien sa mission, la CIE dispose d’importants moyens techniques, matériels et
humains. Ainsi, elle mit sur place une nouvelle organisation et une nouvelle structure basée sur
la décentralisation, la responsabilité, la délégation et la communication.
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Chapitre 2 : Présentation de la Direction Régionale Abidjan Nord (DRAN)
La DRAN est l’une des 14 directions régionales de la CIE. Elle est située dans la commune
de Cocody, non loin de l’église catholique Saint Jean.
Elle gère l’approvisionnement et la commercialisation en électricité BTA et HTA dans les
secteurs suivants :
Adjamé Nord (Plateau), Adjamé Sud, Cocody, Djibi, 2 Plateaux et Bingerville.
1. Mission de la DRAN
Afin d’être plus proche de ses clients et mener à bien ses actions, la direction générale de la
CIE a décidé de créer d’autres directions générales sur l’ensemble du territoire ivoirien. Les
missions majeures de la DRAN sont :
 Fournir et distribuer une électricité de bonne qualité à ses clients,

 Faire les branchements et poser les compteurs pour les clients,
 Facturer la consommation de l’électricité et recouvrir les factures

émises aux clients,
 Veiller à la bonne marche de l’éclairage public.
2. Fonctionnement de la DRAN
La DRAN fonctionne de manière indépendante et coordonnée en tant que structure
décentralisée. Elle est responsable des activités en sa charge, supervise toutes les
activités des secteurs. Elle est composée comme suit :
 DR
 ADR
 RGP
 RGC
 ASCOM
3. Organisation de la direction régionale ABIDJAN NORD
La DRAN est divisée en deux structures qui travaillent en collaboration pour mener à bien
les objectifs fixés.
a) La structure fonctionnelle (le staff)
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Le staff de la DRAN comprend :
 Le directeur régional (DR)
Le DR est le représentant de la Direction Générale, il gère les structures de la DRAN en

supervisant toutes les activités effectuées par les différents secteurs. Le DR analyse les résultats
de la qualité de l’électricité, les résultats de vente d’énergie en HT et BT. Il analyse également
les résultats de gestion des activités des secteurs à partir d’un tableau de bord et des indicateurs
de performance. Il signe les documents administratifs, préside les réunions du staff et des
responsables des secteurs, le DR transmet aussi les besoins d’exploitation à la direction
Générale afin de trouver des solutions adéquates.
NB : Il existe deux ADR.
 L’Adjoint directeur régional (ADR)
Elle est la responsable du budget et des dépenses de l’accréditif de la direction régionale.

Elle est la courroie de transmission entre la section commerciale et la section clientèle. Elle gère
les rendez –vous des clients, édite et programme les bons d’intervention. Elle est l’intermédiaire
entre la direction : de contrôle et de gestion. Elle collecte toutes les statistiques pour les
transmettre à la direction commerciale et clientèle (DCC), assiste et contrôle les structures
commerciales techniques et administratives des différents secteurs.
 L’Adjoint directeur (ADR)
Il élabore le programme de maintien des ouvrages de distribution, contrôle la mise à jour des
plans de réseau électrique de la DRAN. Il analyse et valide les rapports de sinistre. Il élabore
les programmes de travaux d’extension et de renforcement du réseau en haute tension et basse
tension, c’est en ce sens qu’il encadre l’équipe de maintenance. Il collabore avec toutes les
entreprises qui sont en sous-traitance avec la direction régionale. En cas d’absence du DR,
l’ADR peut assurer son intérim.
 Responsable gestion du personnel (RGP)
Elle administre le personnel, gère les moyens matériels (les locaux, les fournitures de bureaux,
les parcs automobiles) de la DRAN. Elle contrôle et saisit les éléments variables de paie des
collaborateurs de secteur.
Elle est la garantie de l’ordre social et veille au bon respect du règlement intérieur. De plus, la
RGP contrôle la présence et la ponctualité des collaborateurs grâce à des feuilles de présence
émargées par les agents. Elle prévoit les programmes de formation et de recyclage des
collaborateurs afin de leur assurer une formation continue, de développer et d’améliorer la
qualité de leur rendement au travail. Elle planifie les congés et contrôle les absences, elle choisit
les journaliers et met fin à leur activité, elle élabore et suit le budget du staff. Pour mener ces
activités, elle a à sa disposition un outil informatique moderne appelé GIPDEC et est aidée dans
sa tâche par deux ou trois agents administratifs.
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 L’assistance en communication (ASCOM)
Elle est l’intermédiaire entre le département de communication et la DRAN. Son rôle est de
mettre en place un plan de communication au sein de la DR en adéquation avec la politique de
communication élaborée par la DIRCOM. Elle fait des propositions en vue d’une parfaite
symbiose entre les collaborateurs de la DRAN. Elle effectue également des enquêtes sur le
terrain afin de mesurer le degré de satisfaction des clients de la CIE. Elle a en charge la
distribution des dépliants des prospectus et support de communication dans les secteurs de la
DRAN et les arrondissements.
 Responsable de gestion de comptabilité (RGC)
Son rôle est d’encadrer les comptables de chaque secteur de la DRAN. Il contrôle la trésorerie
de la DRAN, il contrôle les dépenses des accréditifs et des dossiers de remboursement des
clients payant par chèque. Il vérifie les pièces comptables établies par les comptables avant de
les transmettre à la direction financière et comptable (DFC).
b) La structure opérationnelle (les secteurs)

Afin de satisfaire sa clientèle et être proche de ceux-ci, la direction générale de la
CIE a opté pour une décentralisation des directions DR. La direction générale Abidjan Nord
est divisée en six secteurs et chaque secteur porte un code d’exploitation :
 Secteur Adjamé nord (041)

 Secteur Adjamé sud (042)
 Secteur Cocody (043)
 Secteur deux plateaux (044)
 Secteur Djibi (045)
 Secteur Bingerville (046)
Chaque secteur de la DRAN est organisé comme suit :
▪ Section administrative facturation

Cette section comprend deux branches que sont:
 Facturation basse tension :
Elle est chargée, de la facturation des abonnés basse tension (BT) en électricité. Elle est dirigée
par un Responsable facturation (RF) qui coordonne et suit les activités des agents qui sont sous
sa tutelle. Le Responsable facturation est le gérant du budget de son secteur.
Pour ce fait, il est aidé dans sa tâche par des collaborateurs que sont : les facturiers, les agents
de zone, l’assistant informatique.
 Facturation haute tension :
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Cette section est chargée de la facturation des abonnés HT en électricité
• La section commerciale :
Cette section est dirigée par la responsable commerciale qui est chargée de veiller à la
coordination des actions commerciales de son secteur afin d’atteindre un objectif de 99%
comme taux de recouvrement en basse tension. La responsable commerciale supervise les
agents sous sa tutelle à savoir l’agent litige, les agents d’accueil, l’agent contentieux, le
comptable, les caissières.
• La section de stock
Cette section est chargée d’approvisionner et de gérer le stock en matériel (câbles, compteurs,
disjoncteurs…) du secteur. Cette section est dirigée par une RGS qui élabore le budget et le
besoin en matériel, elle prépare les inventaires, le suivi des mouvements du matériel de stock
et distribue le matériel en cas de besoin à l’équipe technique. La section gestion des stocks et
la section technique travaillent en étroite collaboration.
• Section technique HT ou BT
Cette section est chargée d’éditer et d’enregistrer les BI, de programmer des poses compteur
suite à un abonnement, un réabonnement ou de résilier cet abonnement à la demande du client.
Elle est dirigée par un responsable technique qui est assisté par l’agent technique clientèle et
des agents d’étude et de codification.
Figure 1chronogramme de la CIE
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DEUXIEME PARTIE : Aperçu des activités menées lors du stage

et la présentation du thème
Chapitre 1 : activités menées lors du stage
Pendant mon stage à la CIE dans la direction Abidjan Nord, j’ai occupé le poste d’agent au
comptage HTA. Occupant ce poste sous la supervision d’un chargé d’équipe, plusieurs tâches
nous ont été confiées :
1. La vérification des systèmes de comptage HTA de la DRAN
Cette tâche consistait à vérifier le bon fonctionnement des éléments du système de comptage ;
à savoir les TC, les TT, et le compteur.
Pour vérifier le bon fonctionnement des TC, nous mesurons l’intensité en amont (partie primaire
du TC) de chacun des TC et également en aval (partie secondaire du TC) de ceux-ci. Par la
suite, nous faisons le produit de chacun des courants secondaires mesurés par le coefficient de
transformation des TC. Ainsi si chacun des courants calculé correspondent aux courants
respectives mesurés au primaire, alors on dit que la transformation est bonne dans le cas
contraire on dit que le/les TC sont en mauvais état.
Si l’écran du compteur affiche, ne clignote pas et que les intensités secondaires de chacune des
phases mesurées au secondaire des TC correspondent à 10-2 près à celles affichées par le
compteur on dit que l’affichage du compteur est bon.
Par ailleurs, le compteur peut signaler des erreurs comme le mauvais champ tournant et les
phases manquantes.
Quant aux TT leur tension secondaire en situation normale doit être approximativement égale
à 100V.
2. L’exécution de travaux de nouvelles poses de comptage et de modification
La modification d’un système de comptage consiste soit à remplacer les TC ou les TT soit à
remplacer le compteur pour des raisons évidentes.
Dans le cas des nouvelles poses de comptage, il s’agit de mettre en place tous les éléments de
comptage nécessaires avant la mise en service de l’installation du client.
3. L’exécution des bons d’intervention labo et des bons d’enquête terrain
L’exécution des bons consiste très souvent à vérifier le système de comptage des clients
concernés lorsque la consommation de celui-ci est devenue remarquablement faible.
NB : Nous avons par ailleurs réalisé d’autres tâches liées à la section technique HTA…
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JOURS DU MOIS
ACTIVITES 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
Relevé des index en vue de la facturation
Traitements des anomalies trouvées pendant

le relevé
Préparation de chantier, Distribution de

courrieR, Vérification du comptage,
Modification d’éléments sur le comptage,
pose de comptage, Dépose de comptage,
Pose de réducteur, Dépose de réducteur,
Dépannage de comptage, Rédaction de
rapport après exécution
Figure 2: Activités effectuées pendant’ un mois
13
Chapitre 2 : Présentation du thème
La présentation de notre thème regroupe les points suivants : l’intitulé, la problématique et

l’objectif de ce thème.
Pour mener à bien ce travail, nous présenterons la méthodologie permettant de résoudre le
problème posé.
1. Intitulé du thème
Le thème qui nous a été proposé est libellé comme suit : « la maintenance préventive d’un poste
de livraison HTAP»
2. Problématique
Supposons un client ayant une puissance de 505KW, lors d’une coupure de 10heures, sachant qu’un
KWH coûte 69,09 FCFA, le coût d’indisponibilité serait de 348.904,5f CFA (69,09*505*10) pour la
CIE sans parler des coûts des pertes de non production qu’enregistrerait le client.
Grâce aux informations recueillies à la GPE sur les prix et partir du diagramme de PARETO ci-
dessous nous pouvons identifier les équipements les plus importants :
Figure 3: Diagramme de PARETO

EQUIPEMENTS valeurs cumulée(Fcfa) % cumulé PRIX
Transformateur 12 000 000 25,81% 12 000 000
DM2 24 000 000 51,61% 12000000
IM1 29 000 000 62,37% 5 000 000
IM2 34 000 000 73,12% 5 000 000
3TC 37 500 000 80,65% 3 500 000
TT 41 000 000 88,17% 3 500 000
QM 43 800 000 94,19% 2 800 000
CM 45 500 000 97,85% 1 700 000
TUR 46 500 000 100% 1 000 000
Total 46 500 000
Tableau 1: Données Pareto
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PRIX
14000000
12000000
10000000
8000000
6000000
4000000
2000000
0
Figure 4:Courbe des prix des équipements
L’observation du diagramme montre que les équipements situés dans zone A à savoir : le
transformateur, la cellule DM2 et les cellules IM constituent 73,12% du coût d’achat des
équipements d’un poste de livraison HTAP.
En conséquence, il est primordial d’assurer une maintenance préventive efficace dans
d’améliorer la disponibilité et la durée de vie des équipements.
Il faut également noter que ces équipements installés en série: la panne d’un seul équipement
provoque l’indisponibilité de l’énergie électrique.
Figure 5: équipements du poste en série
3. Objectifs du thème
L’étude de ce thème a pour objectif d’apporter des solution aux problèmes susceptibles de
provoquer l’indisponibilité des équipements, afin de sensibiliser, encourager et convaincre les
clients HTAP à exécuter une maintenance préventive adéquate de leur poste de livraison grâce
aux solutions trouvées.
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TROISIEME PARTIE : Mise en place d’une maintenance

préventive d’un poste HTAP.
Chapitre I : Les équipements constitutifs d’un poste HTAP
A. Préambule
Le poste de livraison est le dernier maillon de transformation du réseau électrique. Le poste

assure ainsi la première protection des appareils se trouvant en son intérieur. Pour le client
HTAP les appareils qui nous concernent sont le transformateur, les cellules, le compteur HTA
et le TUR.
IM IM CM DM2 QM
ARRIVEE DEPART INSTALLTION

Compteur
Figure 6: Schéma unifilaire d’un poste HTAP
B. Les différents équipements d’un poste de livraison

I. Le transformateur
Un Transformateur de puissance (parfois abrégé en « transfo ») est une machine électrique
statique permettant de modifier les valeurs de tension et d'intensité du courant délivrées par
une source d'énergie électrique alternative, en un système de tension et de courant de valeurs
différentes, mais de même fréquence et de même forme.
Il effectue cette transformation avec un excellent rendement.
Il est analogue à un engrenage en mécanique(le couple sur chacune des roues dentées étant
l'analogue du courant et la vitesse de rotation).
On distingue deux types de transformateurs de puissance :
16
a) Le transformateur à huile
Ce sont des transformateurs dont les enroulements sont plongés dans une huile isolante afin
d’assurer le refroidissement de ces derniers et une isolation entre les enroulements et les spores
de ses derniers.
Ils sont généralement utilisés dans des postes espacés et ne sont limités en termes de
puissance.
Figure 7: Photo d’un Transformateur à huile
b) Le transformateur à sec
Ici l’isolation des enroulements est réalisée par des isolants solides à base de résine. Le
refroidissement est donc réalisé par l’air ambiant sans liquide intermédiaire.
Ces transformateurs sont légers et sont généralement sélectionnés pour des postes à espace
réduits et ne peuvent atteindre certaines puissances.
En outre les transformateurs de type sec enrobé, assurent une excellente protection contre les
contacts directs.
Figure 8:Transformateur à sec
17
 Dispositif de surveillance de transformateur

Un transformateur immergé dans l’huile présente des risques impliquant plusieurs mesures de
protections :
 Protection de l’environnement : rétention de l’huile
 Défauts interne : incendie
La protection contre les défauts interne et les surintensités prolongées et contre les risques
d’incendie est assurée par un bloc de protection :
Dispositif automatique fonctionnant en cas d’émission anormale de gaz au sein du diélectrique
liquide ou d’élévation de température et provoquant la mise hors tension du matériel.
En pratique ce dispositif est un bloc relais de type DMCR ou DGPT2 qui ferme un contact
entrainant la mise hors tension par déclenchement de l’interrupteur de la cellule QM.
Figure 9: DGBT
II. Les cellules

Les appareillages électriques à haute tension (interrupteurs, disjoncteurs, sectionneurs, etc.)
sont en général installés dans des cellules, armoires métalliques modulaires qu'on assemble et
relie entre elles. Ces cellules sont installées en bâtiment.
Une cellule est un appareillage électrique située généralement dans un poste de transformation.
Elle est un maillon indispensable dans la distribution de l’énergie électrique. Elle est le siège
de l’arrivée HTA mais aussi le siège de sa protection. La cellule HTA joue un rôle crucial dans
le processus de la distribution de l’énergie; son absence ou sa défaillance n’épargne le
transformateur d’aucun danger.
L’exploitation est simplifiée par le regroupement de toutes les commandes sur un plastron
frontal.
18
Les cellules peuvent être équipées de nombreux accessoires (reliage, tores, transformateurs).
Figure 10: Photos de cellules ouvertes de la marque Schneider
1. Les types de cellules
a) cellule DM2
Figure 11: Photo d’une cellule DM2
o Définition et rôle
La cellule DM2 est un disjoncteur manuel, situé entre les cellules de protection transfo et les
cellules arrivées et départ.
19
Elle est particulièrement présente pour éliminer les court-circuits, et les conséquences de la
foudre.
De part ses caractéristiques, le disjoncteur est l’appareil de protection essentiel des réseaux
électriques HTA, car il est le seul capable d’interrompre un courant de court-circuit et donc
éviter que le matériel soit endommagé par ce court-circuit.
Selon la définition de la Commission électrotechnique internationale (C.E.I), un disjoncteur

HTA est destiné à établir, supporter et interrompre des courants sous sa tension assignée (la
tension maximale du réseau électrique qu’il protège) à la fois.
o Présentation disjoncteur sf6
Le disjoncteur utilisé de marque Merlin Gerin et type : sf6 est installé sur des réseaux dits
de hautes tensions. On le trouve sur de nombreux réseaux d’alimentation, de sites industriels
(Raffineries, SNCF, SONATRACH, …etc.) et sur le réseau de distribution domestique (poste
abonné, agglomérations).
Figure 12: Photo d’un disjoncteur SF6
o les relais de protection

Les relais de protection sont des appareils qui reçoivent une ou plusieurs informations (signaux)
à caractère analogique (courant, tension, puissance, fréquence, température …etc.) et le
transmettent.
Le rôle des relais de protection est de détecter tout phénomène anormal pouvant se produire sur
un réseau électrique tel que le court-circuit, variation de tension. …etc.
Un relais de protection détecte l’existence de conditions anormales par la surveillance continue,
détermine quels disjoncteurs ouvrir et alimente les circuits de déclenchement
Il existe trois types de relais de protection :
20
 Relais de protection électromécanique :
Figure 13: Relais électromécanique
 Relais statique
Figure 14: Relais statique

 Relais
numérique
Figure 15: Relais numérique
21
b) La cellule CM
Figure 16: Photo d’une cellule mesure
o ROLE
Ces cellules contiennent les artéfacts de mesure (les TT: transformateurs de tension et les
TC : transformateurs de courant) permettant à la CIE de faire le comptage de l’énergie électrique
consommée par le client ; on les retrouve généralement dans les postes H59 à comptage HTAP
(c’est-à-dire que le système de comptage se trouve au primaire du transformateur).
Une cellule de comptage peut être intégrée dans une autre cellule ; c’est le cas des cellules
contenants les TC, elles sont généralement intégrées aux cellules de protection générale de
l’installation.
Quant aux cellules TT, elles ne sont pas intégrées dans d’autres cellules : leur rôle est
d’alimenter à partir du jeu de barres du tableau, des dispositifs de comptage MT et un dispositif
de protection.
Cette cellule permet la réalisation des opérations d’exploitation suivantes :
- sectionnement permettant les manœuvres d’ouverture et de fermeture à vide ou en charge,
des transformateurs de tension et le sectionnement des circuits principaux,
- mesure de la tension du jeu de barres aﬁn d’alimenter des dispositifs de comptage ou de
protection MT,
- protection par fusibles du réseau MT amont contre les pertes d’isolement pouvant affecter le
transformateur de tension,
- mise à la terre et en court-circuit en aval des transformateurs de tension et en amont des
fusibles par sectionneur de terre.
o Transformateur de Potentiel TP (tension)
Selon la définition donnée par la commission électrotechnique internationale (C.E.I), un

transformateur de tension ou potentiel est un transformateur de mesure dans lequel la tension
secondaire est, dans les conditions normales d'emploi, pratiquement proportionnelle à la tension
22
primaire et déphasée par rapport à celle-ci d'un angle voisin de zéro, pour un sens approprié des
connexions. On utilise aussi le terme transformateur de potentiel (TP).
La caractéristique la plus importante d'un transformateur de tension est donc son rapport de
transformation, par exemple 15000 V/100 V. La fonction d’un transformateur de tension est de
fournir à son secondaire une tension image de celle qui lui est appliquée au primaire.
L’utilisation concerne autant la mesure que la protection.
Les transformateurs de tension (TT ou TP) sont constitués de deux enroulements primaires et
secondaires, couplés par un circuit magnétique, les raccordements peuvent se faire entre phases
ou entre phase et terre.
Figure 17: Photo d’un transformateur de potentiel
o Transformateur de courant
Selon la définition de la commission électrotechnique Internationale (C.E.I)
un transformateur de courant est un transformateur de mesure dans lequel le courant
secondaire est dans les conditions normales d’emploi, pratiquement proportionnel au
courant primaire et déphasé par rapport à celui-ci d’un angle approximativement nul
pour un sens approprié des connexions.
Associés aux compteurs d’énergie et centrales de mesure, ces transformateurs

permettent, grâce à un rapport de transformation adapté, de réaliser des mesures sur
les circuits de fortes puissances.
23
Figure 18: photo d’un transformateur de courant (TC)
c) cellules IM
Figure 19: Photo d’une cellule interruptrice
o ROLE DE LA CELLULE
Leur rôle est d’assurer le raccordement entre les câbles du réseau MT (moyenne
tension= HTA) et le jeu de barres du tableau par l’intermédiaire d’un interrupteur trois
(3) positions (ouvert - fermé - mise à la terre). Cette cellule permet la réalisation des
opérations d’exploitation suivantes :
- consignation Enedis ou verrouillage boucle interne,
24
- manœuvre d’ouverture/fermeture à vide ou en charge,

- sectionnement de la liaison,
- mise à la terre et en court-circuit des extrémités des câbles d’arrivée (ou de départ),
- vérification de présence de tension sur les têtes de câbles et contrôle de la concordance
des phases
INTERRUPTEUR INTERRUPTEUR INTERRUPTEUR INTERRUPTEUR

IM IM AVEC TC AVEC OU SANS
ET COMPTAGE
SECTIONNEUR DE
MISE A LA TERRE
Figure 20: Schéma des différentes cellules IM
o COMPLEMENT
Certaines cellules de raccordement peuvent être équipées d’un disjoncteur départ câble :
Son rôle est d’alimenter et de réaliser la protection d’un départ ou d’une arrivée
moyenne tension. Cette cellule permet également d’alimenter le dispositif de protection
et éventuellement de comptage MT (ou HTA).
2. Présentation d’un tableau compact (cellules monobloc)
Les appareils (disjoncteurs, interrupteurs, jeu de barres sectionneurs, … etc.) sont intégrés dans
des enveloppes métalliques qui facilitent l’installation et l’exploitation, en toute sécurité des
personnes, ces enveloppes sont appelées cellules, ils permettent de réaliser la partie HTA des
postes de transformation HTA/BT de distribution publique, spécifiques ou de répartition HTA
jusqu’à 36 kV Les cellules existent en deux versions :
 La version compacte : ce type de conception peut être intégré dans la station compacte.
Jusqu’à cinq panneaux de commutation peuvent être installés dans un seul
compartiment isolé au gaz SF6 ou dans le vide.
 La version extensible : elle permet l’extension du tableau par rajouts d’unités
fonctionnelles à gauche ou à droite.
La version extensible offre plusieurs avantages qui sont les suivants :
-Solution très économique pour les applications de distribution secondaire - Installation possible
depuis l’extérieur via de petites ouvertures et des trappes
- Les unités fonctionnelles de la version compacte peuvent être agencées dans n’importe quel
ordre.
25
- Une extension ultérieure est possible sur les deux côtés du tableau : La version extensible, est
une unité fonctionnelle avec extension à gauche et/ou à droite qui permet d’être raccordée à un
tableau extensible, ensuite raccordement par jeux de barres sur pour permettre une plus grande
alimentation d’énergie.
Figure 21 : Cellules compact annotée
Nomenclature du tableau modulaire

1. Panneau toiture d’accès au compartiment jeu de barres
2. Compartiment jeu de barres
3. Plages du raccordement de jeu de barres
4. Interrupteur sectionneur trois positions sous enveloppe étanche
5. Répartiteurs de champs et raccordement de câbles
6. Isolateurs diviseurs capacitifs
7. Compartiment raccordement câbles
8. Plaque d’identification du constructeur
9. Borne de terre
10. Hublot de contrôle de raccordement des câbles
11. Poignée d’accès au compartiment câbles, verrouillables (avec un cadenas)
12. Porte d’accès au compartiment câbles
13. Indicateur de présence tension
14. Plastron et compartiment de la commande
15. Support plaque
16. Interrupteur de neutralisation
III. Le computeur électrique

Un compteur électrique est un organe électrique servant à mesurer la quantité d'énergie
électrique consommée dans un lieu : habitation, industrie… Il est utilisé par les fournisseurs
d'électricité afin de facturer la consommation d'énergie au client. À l'origine ces appareils
étaient de conception électromécanique, ils sont remplacés dorénavant par des modèles
électroniques. Les nouvelles versions de compteurs électriques sont des compteurs
communicants appelés parfois « compteurs intelligents »
26
Figure 22: Photo d'un compteur INHEMETER
IV. SECTIONEUR COMPACT

Un sectionneur compact est en amont de l’installation et en aval des autres
équipements du poste.
Figure 23: Sectionneur compac
27
Chapitre 2 : Maintenance préventive d’un poste de livraison

HTAP
I. Définition de la maintenance
Selon l'AFNOR la maintenance préventive est la « Maintenance exécutée à des intervalles
prédéterminés ou selon des critères prescrits et destinée à réduire la probabilité de défaillance
ou la dégradation du fonctionnement d'un bien ».
II. Etude des modes de défaillance
Le transformateur de puissance ainsi que les cellules sont les composants majeurs d’un poste
de livraison HTAP. Les causes de défaillances de ces équipements doivent être intensivement
analysées afin de les prévenir, évaluer leur fonctionnement et de déterminer leur calendrier
d’entretien. Ainsi pour mener à bien notre étude nous allons nous servir de la méthode des 5M
encore appelée le diagramme d’ISHIKAWA.
Figure 24: Cellules défaillantes
METHODE DES 5M OU DIAGRAMME D’ISHIKAWA

A. Etude de défaillances des cellules
Les cellules HTA sont très généralement "oubliées" pendant de longues années, notamment les
cellules interruptrices. Elles manœuvrent peu, et le principal problème est lié au vieillissement
des graisses et à leur pollution par la poussière. Certes, les cellules disjoncteur sont censées
manœuvrer plus souvent, d'autant plus qu’il s'agit de sous stations importantes (grandes usines,
postes-source...). Historiquement (années 50-60, puis découverte des phénomènes années 70-
80) les postes d'abonnés étaient peu ou pas entretenus, et l'on avait tendance à utiliser des
graisses "à haute performance" pour la mécanique, et des graisses chargées (en cuivre) pour les
contacts électriques. Dans les années 70, les exploitants ont commencé à en voir les
inconvénients : ces graisses vieillissaient mal et arrivaient à former, par la poussière ainsi
28
qu’aux "charges", du vrai "béton". Conséquence: une épidémie de cellules bloquées,

impossibles à manœuvrer (interrupteurs, sectionneurs) ou au fonctionnement défectueux
(disjoncteurs
Pendant notre stage nous avons constaté de l’usure et des défaillances de certaines cellules.
Ainsi nous nous aiderons du diagramme d’Ishikawa ci-dessous pour analyser les causes de
défaillances et d’usures possibles:
Matière Matériel
Thermodurcissable
et thermoplastique s Milieu
Disjoncteur
Métaux Humidité
ferreux et
non ferreux Mecanismes
Transformateur Poussière Température

de courant et et bruit
Fusible
de tension
Cellules
défaillantes
Maintenance Niveau
corrective d’étude
Maintenance Expérience de
préventive l’intervenant
Habilitation
Méthodes Main d’œuvre
Figure 25: DIAGRAMME D’ISHIKAWA
HYPOTHESE
-Matériel : Considérons que le matériel mis en œuvre ne parvienne pas à réaliser la protection
souhaitée.
Il s’agit ici de la cellule HTA et ses équipements annexes mis en œuvre pour la protection du
transformateur. Le constat est que le matériel fourni est de bonne qualité c’est-à-dire répond
aux normes internationales du point de vue matériaux constitutifs. Néanmoins, il y a des
problèmes qui surviennent comme le grippage des mécanismes (cas du disjoncteur DM2),
isolateurs fendus,
-La main d'œuvre : Les opérateurs ou agents de maintenance sont-ils qualifiés à intervenir
sur les cellules?
29
La mauvaise réalisation des extrémités : par exemple, le retrait du semi-conducteur avec un

couteau d'électricien au lieu de l'outil de "pelage" adéquat. Une simple rayure de l'isolant et
c'est au bout de quelques mois l'amorçage garanti.
-Le milieu : Considérons que le milieu environnemental de ces cellules répond aux critères et
conditions nécessaires d’installation.
▪ Les problèmes de condensation. Ils se produisent lors de forts gradients de température
(variation rapide) et lorsque l'humidité de l'air est importante. Celle-ci peut être d'origine
atmosphérique, mais aussi par amenée d'air venant des caniveaux.
▪ Pollution par dépôt chimique, poussière conductrice.
▪ Explosion d'un réducteur de mesure.
Nous remarquons une incohérence entre le comportement réel du milieu et l’hypothèse posée
ci-haut, ce qui nous conduit à conclure que la branche « milieu » constitue une cause de l’usure
des cellules.
-La matière : Il s’agit de la qualité de la matière première ou du type de matériaux utilisés
pour faire la production, c’est-à-dire la constitution des matériels d’usage et leurs périphéries.
Dans notre cas, la matière qui constitue la cellule répond à toutes les normes internationales du
point de vue type de matériaux. Cependant on peut constater quelque blocage comme :
La défectuosité des extrémités: une particularité de la matière faisait que les gouttes de
condensation en surface se rejoignaient en un film continu et conducteur ! D'où production
d'effluves d'ozone avec une dégradation rapide de la cellule. Des cellules neuves peuvent être
ravagées en trois mois...
-La méthode : La méthode de maintenance utilisée n’est pas adéquate vis-à-vis des cellules
HTA posée.
Les postes de livraison HTAP ne reçoivent d’entretien que sous ordre du client par conséquent
la maintenance préventive est rarement exécutée les cellules HTAP. Ainsi la maintenance
corrective et la plus pratique au niveau de ces équipements.
A l’issu de nos différentes hypothèses conformément à la méthode des 5M, nous pouvons
conclure que toutes les branches constituent des causes de la dégradation ou de l’usure des
cellules HTA d’où l’intérêt de mettre en exécution les solutions ci-après.
Solution
 Le remède a consisté à sélectionner des graisses avec comme critère important la faculté
de "bien vieillir". Les meilleures de ce point de vue sont à base de vaseline pure, en ce
qui concerne les contacts électriques. Cette solution fut recueillie grâce aux recherches
effectuées par les industriels français.
 Les Compagnies d’électricité ont souhaité, de façon constante d’acquérir des matériels
nécessitant de moins en moins d'entretien, avec des solutions diversifiées : coupure dans
le SF6, usage de bagues autolubrifiantes pour les interrupteurs, etc. Bien entendu, les
mêmes recettes ont été appliquées au matériel "privé".
 la maintenance est à adapter en fonction de l’usage: des interrupteurs réseaux peuvent
patienter 5 ans avant une maintenance complète, mais des cellules motorisées
30
(manœuvrées plus souvent) ne devraient pas dépasser 2 ans (à adapter selon ambiance,
vibrations, poussière, fréquence etc.)
 bien entendu, l'inspection visuelle et le dépoussiérage doivent être annuels, voire moins
en atmosphère sévère.
 il est inutile de faire trop de maintenance...et parfois nuisible. Toucher à un mécanisme
comporte toujours le risque de provoquer une défaillance.
 Il ne faut JAMAIS "rajouter" de la graisse, mais TOUJOURS "laver" intégralement le
mécanisme avec un solvant agréé au regard de la protection des travailleurs et de
l'environnement et regraisser ensuite.
 Pour le choix des graisses, il est fortement conseillé de suivre les prescriptions du
fabricant: les errements du passé ont été traités, et il est le seul à pouvoir déterminer le
choix idéal. Impératif, bien entendu, en période de garantie.
 les axes et plongeurs des bobines ne doivent généralement pas être graissés. Parfois, les
constructeurs préconisent une huile très fluide (huile de vaseline, huile d'armes, téflon.)
 Veiller à mettre sous tension les résistances pour la protection contre l’humidité.
Plusieurs améliorations ont contribué à régler le problème d’amorçage :

 l’adoption des interrupteurs et disjoncteurs à coupure SF6 (à partir de 1977)
 condensation: obturation des caniveaux, sinon chauffage des cellules (bien plus efficace
que le chauffage du poste, 50w/cellule suffisent) et dans ce cas suppression de la
ventilation par la tôle de fond pour éviter que la chaleur "aspire" l'air humide.
 Nettoyage annuel (plus si nécessaire) des cellules et inspection minutieuse visant à
détecter :
1-les bruits d'effluves (les pros utilisent un ampli),
2-une odeur d'ozone,
3-toute trace suspecte : Rouille sur partie peinte, dépôts blanchâtres sur alu et époxy,
dépôt poisseux,
 Tous ces signes montrent la présence d'effluves qui doivent être traitées au plus vite,
d'abord en identifiant la cause. Si l'on ne trouve pas, il faut faire appel au spécialiste
avant la défaillance..
 Autant la révision et le graissage peuvent être espacés sur des matériels fonctionnant
peu, autant les opérations indiquées ci-dessus doivent être pratiquées annuellement, par
une personne "avertie" et connaissant si possible son matériel afin de pouvoir repérer
des changements d'aspect.
31
B. Etude des défaillances des transformateurs

Le transformateur est un appareil électrique qui a une durée de vie de plusieurs dizaines
d’années. Cependant en fonction de son utilisation, sa maintenance, sa charge, les perturbations
qu’il subit, etc. il peut être le siège des défaillances plus ou moins importantes.
Figure 26: Transfo couvert d’huile
Bien qu’il soit rare que ceux-ci s’avarient il n’en est pas autant pour leur mauvais état.
Nous nous aiderons des hypothèses suivantes sur le diagramme d’ishikawa suivant :
Matières Matériel
Milieu
Papier
d’isolation Bobine
Humidité
Huile isolante
Acier Dgpt2
Prise de
Coup de Chaleur
réglage
foudre
Cuivre
TRANSFORMATEUR
DEFAFFAILLANT
Maintenance Niveau
corrective d’étude
Expérience de
Maintenance
l’intervenant
préventive
Système de Habilitation
serrage
Main d’œuvre
Méthode
s
32
Figure 27: Diagramme d’Ishikawa
HYPOTHESE
-Matériel : au niveau de cette hypothèse considérons que le matériel mis en œuvre ne
parvienne pas à réaliser la protection souhaitée. Ici nous pouvons envisager plusieurs à savoir :
En cas de court-circuit, interne ou externe au transformateur, les courants au sein des
enroulements sont très importants et peuvent provoquer des déplacements mécaniques de ceux-
ci.
Prise de réglage : Si les positions ne sont jamais passées mécaniquement, ces contacts voyant
passer du courant peuvent chauffer anormalement.
Une défaillance DGPT2 peut entrainer la perte de contrôle du transformateur.
-La main d'œuvre : Les opérateurs ou agents de maintenance sont-ils qualifiés à intervenir
sur les cellules ? Nous remarquons ici des défaillances de type électrodynamique : mauvais
système de serrage de bobine.
Les intervenants sur ces types de machine doivent être habilités à cet effet et expérimentés
-Le milieu : Considérons que le milieu environnemental de ces cellules répond aux critères et
conditions nécessaires d’installation. Les cas probables sont :
Lors des surtensions sur le réseau, comme les chocs de foudre ou de manœuvre de disjoncteurs
par exemple, le papier isolant des enroulements peut permettre un amorçage entre spires ou
dans la cuve.
Le facteur thermique : L'isolation en cellulose du transformateur se dégrade avec temps dû à la
génération de chaleur pendant le chargement normal de transformateur. Il en résulte une
diminution de la rigidité diélectrique du l'isolation et affaiblit l'isolation jusqu'à la rupture dans
des conditions normales conditions de tension.
-La matière : Il s’agit de la qualité de la matière première ou du type de matériaux utilisés pour
faire la production c’est-à-dire la constitution des matériels d’usage et leur périphérie. Les
défaillances causées par ces matières sont :
 La fuite d’huile : Le transformateur possède de nombreux joints en caoutchouc,
typiquement en bas de la cuve, à la base des bornes, aux raccords de la réfrigération,
etc. Dans le temps ces joints peuvent se dégrader, se durcir et fuir. Par la suite l’huile
peut se décomposer et former des points de carbone solides autour du défaut. Dans
certains cas le contact peut même être soudé.
 Claquage de papier isolant : Si l’huile est trop acide ou le transformateur a subi de
nombreux court-circuit dans sa vie alors ses papiers isolants peuvent être endommagés
ou fatigués. Par suite une contrainte électrique trop importante peut dépasser la tenue
33
diélectrique de ces papiers à des endroits critiques, alors un amorçage se formera à cet
endroit
-La méthode : Supposons que la méthode de maintenance utilisée n’est pas adéquate vis-à-
vis des cellules HTA posée
Comme les cellules les transformateurs n’ont une fréquence adéquate de maintenance
préventive mais plus souvent corrective
A l’issu de nos différentes hypothèses conformément à la méthode des 5M, nous pouvons conclure
que toutes les branches à l’exception de la main d’œuvre constituent des causes de la dégradation ou
de l’usure des transfos d’où l’intérêt de mettre en exécution les solutions ci-après.
Solution
Un programme planifié de maintenance, d'inspection et de test peut réduire
considérablement les pannes soudaines. Un programme de maintenance du transformateur
doit inclure les recommandations suivantes :
 Installation et fonctionnement: Installer des transformateurs et maintenir la charge
électrique dans la plage de conception. Protéger les unités contre les surtensions et
autres dangers externes.
 Tester l'huile: L'analyse des gaz dans l'huile doit être effectuée chaque année pour
mesurer les gaz dissous dans l'huile qui sont créés par le développement de défauts
dans le transformateur.
 Sur les unités refroidies par liquide, vérifier les radiateurs pour les fuites, la rouille,
l'accumulation de saletés et tout dommage mécanique qui limiterait le débit d'huile.
 Maintenez les connexions électriques bien serrées.
 Inspectez régulièrement les changements de prise.
 Les enroulements, les traversées et les parafoudres du transformateur doivent subir
un test de facteur de puissance tous les trois ans.
 Vérifier annuellement la mise à la terre du parafoudre.
 Envisager un système de surveillance de transformateur en ligne pour les
transformateurs les plus critiques.
 Des inspections visuelles régulières de l’état du transformateur avec une maintenance
adaptée permettent de s’affranchir des fuites d’huile.
Ainsi nous proposons les fiches
III. Les différentes étapes d’un entretien courant :

a. La consignation :
Pour l’exécution des travaux hors tension, la partie de l’installation sur laquelle ils sont
effectués doit être préalablement consigné c’est-à-dire faire l’objet des opérations
successives suivants :
 Séparation de cette partie d’installation de toute source possible d’énergie électrique
34
 Condamnation en position d’ouverture des dispositifs assurant le sectionnement pendant

toutes la durée des travaux
 Vérification d’absence tension (VAT) aussi près que possible du lieu du travail
 Identification des équipements concernés
 La mise à la terre et en court-circuit du conducteur actif du circuit concerné doit être
effectuée
Afin de travailler en toute sécurité, les intervenants en fonction de leurs niveaux d'habilitation
doivent :
* signaler l'endroit où se trouve le risque : BALISAGE DE SECURITE
* appliquer une procédure de consignation : CONSIGNATION / CONDAMNATION
* vérifier les installations et mesurer les grandeurs électriques : APPAREILS DE MESURE
* être équipé d'EPI : casques, visières, gants et sous-gants, vêtements, tapis de sol, etc.
Figure 28: EPI
b. L’environnement du poste
AVANT OPERATIONS APRES
Dépoussiérage de
tout le poste puis
nettoyage avec une
serpière mouillé
Tableau 2: Tableau comparatif des environnements
35
c. Entretien des équipements
EQUIPEMENT OPERATIONS MATERIELS UTILES PERIODICITE

Nettoyage des bornes HT et BT;
nettoyage de la cuve du transfo; controler
visuellement l'etencheité ;
vérifier les les protections du
ANNUELLE
transformateur(DGPT2); Vérifier l’étanchéité,
TRANSFORMATEUR
éliminer les fuites d’huile si possible et

réaliser l’appoint éventuel, en cas de fuite
remplacer les joints d’étencheité contrôler lr
EPONGE, CLES,
niveau d'huile; analyser l'huile
dielectrique(rigidité, claquage, teneur en
DEGRAISSANT
eau, acidité)Vérifier le fonctionnement de
prise de reglage du transfo (manœuvre et
commutation, mesurer la continuité entre
bobine HT) ;Mesurer les isolements HT et BT
du transformateur
Nettoyer les cellules transformateur, les

cellules d’arrivée et départ, cellule
disjoncteur, cellule mesure; Contrôler et
ANNUELLE
entretenir l’état des résistances chauffantes
TABLEAU MODULAIRE
(vérifier l’isolement, le jeu de barres,

s’assurer de l’inexistence fuite de gaz
SF6)Contrôle général et nettoyage, nettoyage EPONGE, CLES,
et graissage des contacts principaux,
contrôle de la partie active( frainage, fèlure,
traces d'echauffement…); controler le jeux de
DEGRAISSANT
barres et serrer; verification de l'absence de
traces d'éffluves sur les càbles moyenne
tension; verifier les fusibles;Vérifier les
verrouillages des cellules ;
MECANISME DE COMMANDE
contrôle visuel du mécanisme, de

ANNUELLE
l'équipement electrique et des dispositifs de

securité; contrôle visuel des embiellages
externes; nettoyage et graissage;
changement de la motorisation de la
EPONGE, CLES,
commande; changement des ressorts de
manœuvres; verification de serrage des
DEGRAISSANT
equipements; de la visserie; de la présence
des elementd d'arret
Tableau 3: Activité d'un entretien courant
36
d. Proposition d’une fiche post-entretien et inspection
FICHE POST ENTRETIEN

ENTREPRISE: DATE:
TYPE POSTE: HEURE DEBUT:
N° POSTE: HEURE FIN:
EQUIPE DE MAINTENANCE: AGENT DE CONSIGNATION:
DEPOUSSIERAGE
ENVIRONNEMENT DU POSTE
NETTOYAGE A L'EAU
TRANSFORMATEUR 1 2 3 4 5
Nettoyage des bornes HT et BT;
nettoyage de la cuve du transfo;
contrôler visuellement l'étanchéité ;
vérifier les protections du

transformateur(DGPT2);
éliminer les fuites d’huile si possible et réaliser
l’appoint éventuel
en cas de fuite remplacer les joints
d’étanchéité contrôler le niveau d'huile;
analyser l'huile diélectrique (rigidité, claquage,

teneur en eau, acidité) Vérifier le fonctionnement
de prise de réglage du transfo (manœuvre et
commutation,
mesurer la continuité entre bobine HT) ;
Mesurer les isolements HT et BT du

transformateur
CELLULES IM IM DM2 CM QM
37
Nettoyer les cellules transformateur, les

cellules d’arrivée et départ, cellule
disjoncteur, cellule mesure;
Contrôler et entretenir l’état des résistances chauffantes

(vérifier l’isolement, le jeu de barres, s’assurer de
l’inexistence fuite de gaz SF6) Contrôle général et
nettoyage, nettoyage et graissage des contacts
principaux, contrôle de la partie active (freinage, fêlure,
traces d'échauffements…);
contrôler le jeu de barres et serrer;
vérification de l'absence de traces d'effluves sur

les câbles moyenne tension; vérifier les fusibles;
Vérifier les verrouillages des cellules ;
DISJONCTEUR
MECANISME DE COMMANDE INTERRUPTEUR DISJONCTEUR SECTIONNEUR
contrôle visuel du mécanisme, de l'équipement

électrique et des dispositifs de sécurité;
contrôle visuel des embiellages externes;
changement de la motorisation de la commande;
changement des ressorts de manœuvres;
vérification de serrage des équipements; de la

visserie; de la présence des éléments d'arrêt
Tableau 5: Fiche technique entretien
FICHE D'INSPECTION
ENTREPRISE: DATE:
TYPE POSTE: HEURE DEBUT:
N° POSTE: HEURE FIN:
AGENT:
OPERATIONS Valeurs/appreciations
VERIFICTION DES VALEURS DES COURANTS
VERIFIER LES VALEURS DE LA TERRE DES MASSES
OBSERVATION
Figure 29:fiche inspection
Quant aux opérations de maintenance systématique, il est mieux d’agir en fonction des
préconisations du fournisseur.
38
CRITIQUES ET SUGGESTIONS
a) CRITIQUES
L’expérience vécue à la section comptage fut une expérience très enrichissante, nous fumes
cependant certains constats qui ferons l’objet de nos critiques ;
 La prise de risque des agents qui négligent les règles de sécurité les plus pertinentes.
 Une carence de bons de carburants suffisants pour les déplacements sur le terrain.
 Le mauvais (pas de lumière d’aération…) entretien des postes qui rend l’exploitation
des postes difficiles pour les agents techniques comptage.
 Il est regrettables de constater une négligence des méthodes préventives, certaines
dispositions qui devraient être prises sont banalisées et ignorées alors que les
conséquences de cette négligence pourront être fatales pour les équipements. C’est
l’exemple de la BICICI qui vit ses cellules exploser à cause de l’absence de résistances
chauffantes.
b) SUGGESTIONS
A la lumière de ce qui précède, nos suggestions seront les suivantes :
 Sensibiliser les clients à faire plus de préventif que de correctif, ne pas attendre
qu’une défaillance progresse jusqu’à une défaillance complète des équipements.
 Etre attentif à la croissance des charges par des tests rigoureux afin d’éviter une
saturation des transformateurs qui pourra être une cause d’avarie.
 Trouver un moyen de mieux sensibiliser les agents afin qu’ils soient plus vigilent
quant au respect des règles de sécurité.
 Palier aux contraintes logistiques afin d’accomplir les tâches quotidiennes prévues.
CONCLUSION
Le fondement de la théorie c’est la pratique. C’est dans cette optique que notre étude a porté
sur la maintenance préventive de poste HTAP, durant la période de Novembre 2021 à Décembre
2021. L’objectif de ce travail était de fournir des solutions préventives pour de conseiller les
clients afin que ceux-ci assurent une meilleure maintenance de leurs équipements.
Nous avons pu mettre en pratique nos connaissances théoriques acquises durant la formation
sur le métier d’agent technique comptage HTA.
En définitive, cette expérience était très enrichissante autant sur le plan humain que sur le
plan intellectuel.
39
BIBLIOGRAFIE
 DOCUMENT 1
Guide de conception réseaux Schneider top (1)
 DOCUMENT 2
Guide de maintenance
 DOCUMENT 3
Imperfection sur les installations
 DOCUMENT 4
Mode de défaillance
 DOCUMENT 5
540b37146033d
 DOCUMENT 6
3863-reseaux-de-distribution-eleve (1) (1)
 DOCUMENT 7
SeQuelec_Guide_7
 DOCUMENT 8
6011951-CEP-14-15
 DOCUMENT 9
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 DOCUMENT 10
cahors_cata_mvd_2017-2018_a4_0 (1)
 DOCUMENT 11
Guide de conception réseaux Schneider top (1) THESE_MEGDICHE (1)
 DOCUMENT 12
Memotecch électrotechnique
40
WEBOGRAPHIE
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 https://www.google.com/search?q=photo+de+poste+de+transformation+hta+c%C3%B4te+d%27ivoire&
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HCCMQsAMQJzoHCAAQRxCwAzoECCMQJzoFCAAQgAQ6BggAEBYQHjoJCCMQJxBGEPkBOgQIABAKOgcIIR
AKEKABSgQIQRgAUJdNWJipAmCIugJoC3ABeACAAbkEiAHhKpIBDDAuNy4xNC4wLjEuMZgBAKABAcgBC8AB
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d%C3%A9finition+d%27un++entretien&gs_lcp=ChNtb2JpbGUtZ3dzLXdpei1zZXJwEAMyBAgjECcyBAgjE
CcyBAgjECc
yBQgAEIAEMgUIABCABDIFCAAQgAQyBQgAEIAEMgYIABAWEB46BwgjELADECc6BwgAEEcQsAM6BwgjE
LACECc6Bgg
AEAcQHjoICAAQFhAKEB46CggAEIAEEEYQ-
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G4Dw&oq=maintenance+des+postes+haut&gs_lcp=ChNtb2JpbGUtZ3dzLXdpei1zZXJwEAEYADIGCAAQF
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41
Annexe
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE 1 : COMPTAGE HTAP……………………………………………………………………………..………43
ANNEXE 2 : REGIME DE NEUTRE……………………………………………………………………………….…43
ANNEXE 3 : EPI………………………………………………………………………………………………………….…43
ANNEXE 4 : TABOURET ISOLANT………………………………………………………………………………….43
ANNEXE 5: PERCHE……………………………………………………………………………………………………..43
ANNEXE 6: DEGRAISSANT………………………………………………………………………………………………………..43
ANNEXE 7: TC HTAS…………………………………………………………………………………………………………………43
42
ANNEXE 1 : COMPTAGE HTAP
ANNEXE 2 : REGIME DE
NEUTRE ANNEXE 3 : EPI
ANNEXE 4 : TABOURET ANNEXE 5: PERCHE

ISOLANT ISOLANTE
ANNEXE 6: Dégraissant ANNEXE 7: TC HTAS
43
LISTE DES FIGURES

FIGURE 1CHRONOGRAMME DE LA CIE ........................................................................................................................... 11
FIGURE 2: DIAGRAMME DE PARETO ........................................................................................................................... 14
FIGURE 3: EQUIPEMENTS DU POSTE EN SERIE .................................................................................................................. 15
FIGURE 4: SCHEMA UNIFILAIRE D’UN POSTE HTAP .......................................................................................................... 16
FIGURE 5: PHOTO D’UN TRANSFORMATEUR A HUILE........................................................................................................ 17
FIGURE 6:TRANSFORMATEUR A SEC .............................................................................................................................. 17
FIGURE 7: DGBT....................................................................................................................................................... 18
FIGURE 8: PHOTOS DE CELLULES OUVERTES DE LA MARQUE SCHNEIDER ............................................................................... 19
FIGURE 9: SCHEMA ANNOTE DE LA CELLULE DM2 ........................................................................................................... 19
FIGURE 10: PHOTO D’UN DISJONCTEUR SF6 .................................................................................................................. 20
FIGURE 11: RELAIS ELECTROMECANIQUE ....................................................................................................................... 21
FIGURE 12: RELAIS STATIQUE ...................................................................................................................................... 21
FIGURE 13: RELAIS NUMERIQUE ................................................................................................................................... 21
FIGURE 14: PHOTO D’UNE CELLULE MESURE.................................................................................................................... 22
FIGURE 15: PHOTO D’UN TRANSFORMATEUR DE POTENTIEL .............................................................................................. 23
FIGURE 16: PHOTO D’UN TRANSFORMATEUR DE COURANT (TC) ........................................................................................ 24
FIGURE 17: PHOTO D’UNE CELLULE INTERRUPTRICE ......................................................................................................... 24
FIGURE 18: SCHEMA DES DIFFERENTES CELLULES IM ........................................................................................................ 25
FIGURE 19 : CELLULES COMPACT ANNOTEE .................................................................................................................... 26
FIGURE 20: CELLULES DEFAILLANTES ............................................................................................................................. 28
FIGURE 21: DIAGRAMME D’ISHIKAWA .................................................................................................................. 29
FIGURE 22: TRANSFO COUVERT D’HUILE ........................................................................................................................ 32
FIGURE 23: DIAGRAMME D’ISHIKAWA .......................................................................................................................... 33
FIGURE 24: EPI ......................................................................................................................................................... 35
LISTE DES TABLEAUX

TABLEAU 1: DONNEES PARETO ..................................................................................................................................... 14
TABLEAU 2: TABLEAU COMPARATIF DES ENVIRONNEMENTS ................................................................................................ 35
TABLEAU 3: ACTIVITE D'UN ENTRETIEN COURANT ............................................................................................................ 36
TABLEAU 4: FICHE TECHNIQUE ...................................................................................................................................... 38
TABLEAU 5: FICHE TECHNIQUE ENTRETIEN ...................................................................................................................... 38
44
Table des matières

SOMMAIRE ................................................................................................................ Erreur ! Signet non défini.
DEDICACES ....................................................................................................................................................... 2
REMERCIEMENT ............................................................................................................................................... 3
Avant-propos ................................................................................................................................................... 4
Sigles et abreviations ....................................................................................................................................... 5
Introduction ..................................................................................................................................................... 6
PREMIERE PARTIE : Présentation de la structure d’accueil ............................................................................... 7

Chapitre 1 : Présentation de la CIE...................................................................................................................... 7
I. Historique de la CIE ............................................................................................................................ 7
II. Les activités de la CIE ......................................................................................................................... 7
Chapitre 2 : Présentation de la Direction Régionale Abidjan Nord (DRAN) ........................................................ 8
DEUXIEME PARTIE : Aperçu des activités menées lors du stage et la présentation du thème ......................... 12
Chapitre 1 : activités menées lors du stage ............................................................................................. 12
1. La vérification des systèmes de comptage HTA de la DRAN .............................................. 12
2. L’exécution de travaux de nouvelles poses de comptage et de modification ................... 12
3. L’exécution des bons d’intervention labo et des bons d’enquête terrain ......................... 12
Chapitre 2 : Présentation du thème ......................................................................................................... 14
1. Intitulé du thème ........................................................................................................ 14
2. Problématique ............................................................................................................ 14
3. Objectifs du thème ..................................................................................................... 15
TROISIEME PARTIE : Mise en place d’une maintenance préventive d’un poste HTAP. .................................... 16
Chapitre I : Les équipements constitutifs d’un poste HTAP ............................................................ 16
A. Préambule ................................................................................................................................... 16
B. Les différents équipements d’un poste de livraison ................................................................... 16
I. Le transformateur ........................................................................................................................... 16
II. Les cellules....................................................................................................................................... 18
1. Les types de cellules ........................................................................................................................ 19
a) cellule DM2 ................................................................................................................................. 19
b) La cellule CM ............................................................................................................................... 22
c) cellules IM ................................................................................................................................... 24
2. Présentation d’un tableau compact (cellules monobloc) ............................................................... 25
III. Le computeur électrique ................................................................................................................. 26
IV. SECTIONEUR COMPACT................................................................................................................... 27
Un sectionneur compact est en amont de l’installation et en aval des autres équipements du poste. .. 27
................................................................................................................................................................. 27
Chapitre 2 : Maintenance préventive d’un poste de livraison HTAP ............................................... 28

A. Etude de défaillances des cellules .................................................................................................. 28
B. Etude des défaillances des transformateurs .................................................................................. 32
45
a. La consignation :................................................................................................................................ 34
b. L’environnement du poste ................................................................................................................ 35
c. Entretien des équipements ................................................................................................................ 36
d. Proposition d’une fiche post-entretien et inspection ....................................................................... 37
CRITIQUES ET SUGGESTIONS ............................................................................................................................ 39
a) CRITIQUES ....................................................................................................................... 39
b) SUGGESTIONS ................................................................................................................. 39
CONCLUSION .................................................................................................................................................. 39
BIBLIOGRAFIE ................................................................................................................................................. 40
WEBOGRAPHIE ............................................................................................................................................... 41
Annexe ........................................................................................................................................................... 42
LISTE DES FIGURES ......................................................................................................................................... 44
LISTE DES TABLEAUX ...................................................................................................................................... 44
46

Rapport de Stage IBRAH

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MAINTENANCE PREVENTIVE DE POSTE HTAP

Première partie : présentation de la structure d’accueil

Chapitre 1 : Historique de la CIE

Chapitre 2 : Organisation de la DRAN

Chapitre 2 : présentation du thème

Troisième partie : Maintenance de poste HTAP de poste HTAP

Chapitre 1 : Equipements du poste

Chapitre 2 : Maintenance préventive du poste

Table des annexes

Liste des tableaux

Table des matières

Nous ne saurions commencer la rédaction de ce rapport sans remercier et féliciter l’ensemble

▪ A M. DJE BI responsable technique de la section comptage et notre maître de stage,

▪ A M. Candela, ex ingénieur commercial en distribution d’énergie industrielle HT/BT

Centre des Métiers de l’Electricité

Pour un développement harmonieux pour la nation, Le CME fut créé le 06 mars

CIE : Compagnie Ivoirienne d’Electricité

CME : Centre des Métiers et de l’Electricité

Société anonyme, de droit ivoirien, la CIE sous l’autorité de l’état assure la

PREMIERE PARTIE : Présentation de la structure d’accueil

Chapitre 1 : Présentation de la CIE

 L’Etat ivoirien bénéficiant de 24 % des parts,

II. Les activités de la CIE

La mission principale de la CIE est d’exploiter l’ensemble des ouvrages de production, de

Chapitre 2 : Présentation de la Direction Régionale Abidjan Nord (DRAN)

 Fournir et distribuer une électricité de bonne qualité à ses clients,

 Facturer la consommation de l’électricité et recouvrir les factures

 Veiller à la bonne marche de l’éclairage public.

3. Organisation de la direction régionale ABIDJAN NORD

les objectifs fixés.

a) La structure fonctionnelle (le staff)

Le staff de la DRAN comprend :

 Le directeur régional (DR)

Le DR est le représentant de la Direction Générale, il gère les structures de la DRAN en

 L’Adjoint directeur régional (ADR)

Elle est la responsable du budget et des dépenses de l’accréditif de la direction régionale.

 L’Adjoint directeur (ADR)

 Responsable gestion du personnel (RGP)

 L’assistance en communication (ASCOM)

 Responsable de gestion de comptabilité (RGC)

b) La structure opérationnelle (les secteurs)

 Secteur Adjamé nord (041)

Chaque secteur de la DRAN est organisé comme suit :

▪ Section administrative facturation

 Facturation basse tension :

 Facturation haute tension :

Cette section est chargée de la facturation des abonnés HT en électricité

Figure 1chronogramme de la CIE

DEUXIEME PARTIE : Aperçu des activités menées lors du stage

Chapitre 1 : activités menées lors du stage

1. La vérification des systèmes de comptage HTA de la DRAN

2. L’exécution de travaux de nouvelles poses de comptage et de modification

3. L’exécution des bons d’intervention labo et des bons d’enquête terrain

Relevé des index en vue de la facturation

Traitements des anomalies trouvées pendant

Préparation de chantier, Distribution de

Chapitre 2 : Présentation du thème

La présentation de notre thème regroupe les points suivants : l’intitulé, la problématique et

Figure 3: Diagramme de PARETO

Figure 4:Courbe des prix des équipements

Figure 5: équipements du poste en série

TROISIEME PARTIE : Mise en place d’une maintenance

Chapitre I : Les équipements constitutifs d’un poste HTAP