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Ponctions

PONCTION D’ASCITE : Exp, pas néc (jeun), Uriner avant, Constantes, Champ opé, Poids/périm abd si p.évac,
Pas lever pendant pls h si p.évac, Installer en DD, avec l'oreiller, rebord G du lit protégé avec l’alèse pliée en 4
✓ Après : P.explor : Pst sec au point, Remplir les tubes et acheminer, P.éva : Observer la couleur, Peser après
✓Fin de ponction : aseptiser l’orifice avec compresse imbibée, Coucher sur coté Dr pour empêcher la fuite
✓Surveillance : Point, Constantes, Réactions, Diurèse, Dlr, Confort, Poids/Taille abd, Noter
PONCTION PLEURALE : Tranquillisant, psy, constantes, assis, pieds posés sur la chaise, bras reposant sur
l'oreiller posé sur les genoux sur le côté sain, bras du coté à ponction au-dessus de tête.
• Pendant : faciès, toux • Après : allongé sur le côté sain • Surveiller : expectorât, pouls, TA, T°/3h pendant 12h

PONCTION ARTICULAIRE
✓ PRÉPARATION DU PATIENT
➢Asepsie : lavage, rasage et dégraissage à l’éther et aseptisé avec une solution iodée en utilisant des
compresses stériles
➢Après ponction : pst stérile et compressif, prévoir en cas d’hémarthrose un bistouri fin.
✓ SURVEILLANCE
➢Après : articulation
➢Vérifier le pst, Absence de dlr, T°

PONCTION DU PERICARDE
✓ PRÉPARATION DU PATIENT
➢ECG avant , Rx du poumon
➢Rassurer avec sédatifssi besoin
➢Position ½ assise/décubitus dorsale
✓ SURVEILLANCE
➢Pendant :faciès, TA, pouls
➢ Apres :constantes, Saignement
Met le malade prés d’oxygène

Ponction lombaire
✓ PRÉPARATION: Fond d’œil, Radio CV,
à jeun, Expliquer, Lavage, Rassembler le matériel, Source lumineuse, Respect d’intimité, Torse nu, Vider la
vessie
✓ Surveillance
➢Pendant : Maintenir la position, Rassurer si dlr, Aspect du patient : coloration, resp, pouls
➢Après : Couché à plat sur le dos sans traversin/oreiller au moins 3h, allongé pendant la journée, Diète
absolue pendant 2-3h, manger légèrement dans la journée.

PONCTION DU SINUS
✓ PRÉPARATION : Anxiolytique (PM)
Expliquer qu’une ponction pour éviter la chirurgie et les complications.
✓ SURVEILLANCE : Épistaxis, hémorragie, T°

Ponction biopsie hépatique


✓ Préparation :
• Js précédant l’ex : Informer
Bilan hépatique, hémostase, groupage
• J de l’ex:À jeun depuis 6h,Vérifier le dossier
Effectuer les injections prescrites (atropine 0,5mg S/C, 1 à 2 ampoules (Vit k)).
• Au cours de l’examen:
Installer en D.dorsal, tronc en rotation versla G, tête tournée vers la G, bras Dr relevé et la maintenant la tête
du lit à la hauteur de l’épaule G, Aider l’opérateur
Pst sec au point de piqûre après compresser pendant 5mn, Acheminer au lab
Rester en D.latéral Dr bras collécontre le thorax enpressant au point 15mn.
✓ Surveillance :
Hémorragie, Pneumothorax, Péritonite B
Rester coucher au lit pendant 24h dont les 2h premières couché sur le côté Dr.
Vessie de glace posée sur la région
Constantes, Choc, Pst, Administration médt,Pst enlevé au bout de 3J
Dans la S qui suit, Pas demédt modifiant la coagulation.

PONCTION BIOPSIQUE DU POUMON


✓Préparation :
➢ Avant: psychologie, bilan d’hémost, Rx, Pas fumer au moins 24h, Pas sous anti-coagulants, à jeun,
constantes
Prémédication 1h avant
➢Pendant :Installation soit :
• Assis au bord, pieds posés sur la chaise, bras reposant sur l'oreiller poser sur genoux
• Allongé sur le côté sain, bras du côté à ponctionner relevé au dessus de tête
➢ Après :Installer en position ½ assise
➢Surveiller au moins 3h :Constantes, Point, Etat gén, Hématome saignement Anomalies →avertir, Oxygéner si
besoin, Noter

BIOPSIE DU REIN
✓Préparation :
Psychologie, Rassurer, Vérifier le dossier
Si patient est sous anticoagulant, l’arrêter quelques Js d’avance avec contrôle de l’hémostase, TA et T°
½-1h avant 10mg de Valium par VO(PM)
Installer à plat ventre l'oreiller comprimant les vicaires
✓ Surveillance : Retour dans le chariot
Rester dans le lit pendant 24h
Pouls et TAe toute les h pendant 8h puis toutes les 3h pendant 24h
Si pst hémorragique, avertir
Aspect : 1ére miction les urines hématiques mais deviennent clair
Recueillir les urines dans des bocaux diff ppur apprécier les changes des couleurs.
Éviter l'exercice violant pendant plusieurs Js

Ponction sternale
✓ PRÉPARATION
Expliquer, Ne bouger pendant la ponction et signaler toute sensation inhabituelle
Faire un TP, groupage RH, NFS
Raser la région
✓SURVEILLANCE : Réactions,Point,Pouls,TA
Thrombopénie : comprimer le point 5mn pour éviter le saignement.

LES ENDOSCOPES
LA FIBROSCOPIE OESO-GASTRO-DUODENALE

DEFINITION : C’est une technique d’exploration qui permet de visualiser et d’examiner le haut appareil
digestif : œsophage, estomac et duodénum par l’intermédiaire d’un fibroscope.

BUTS : Exploration. , Thérapeutique.


INDICATIONS

Affections œsogastriques et duodénales.

Tout malade présentant une symptomatologie digestive haute. Les EXRADIO usuels ne gardent plus que de
rares indications.

Epigastralgie, dysphagie, pyrosis, hématémèse, méléna, RGO, douleur abdominales persistantes,

Dyspepsie, nausées, vomissements et altération de l’état général.

Sclérose et ligature de varices œsophagiennes

La fibroscopie gastrique a pour but

D'observer directement la paroi des organes explorés pour déterminer la cause des symptômes ressentis

D'effectuer des prélèvements de fragments de muqueuse (biopsie) pour ex au microscope (recherche de


cancer ou d'helicobacter pylori)

De traiter directement certaines maladies à l'aide d'un bistouri électrique ou d'un laser placé dans la sonde, ou
d'injecter un produit sclérosant dans des varices œsophagiennes.

La fibroscopie est un examen de référence pour diagnostiquer

Ulcère gastrique et duodénal, Ulcère de l’œsophage, Hernie hiatale, Gastrite érosive, Varices œsophagiennes,
Inflammation, Infection

Contre-indications

L’anévrisme de la crosse de l’aorte. La grande IC. Les troubles graves du rythme cardiaque. Raideur de la région
cervicale (atteinte musculaire ou du rachis cervical)

Préparation du malade

Bilan d’hémostase. Prendre rendez-vous auprès de service intéressé. Préparation psychologique, Lui demander
de rester à jeun douze heures (12h) avant l’ex et de ne pas fumer. Administrer la prémédication prescrite par le
médecin à L’heure prévue.

En cas de fibroscopie d’urgence pour hémorragie digestive, l’opérateur peut demander la pose d’une sonde
gastrique pour réaliser un lavage d’estomac avec du sérum physiologique glacé.

 Faire transporter le patient et son dossier à l’heure prévue au service d’endoscopie. !

ACCIDENTS

Hémorragie, Perforation digestive : perforation œsophagienne, Infection (hépatite virale notamment) :


stérilisation +++, Douleurs, vomissements avec du sang, Trouble du RC ou AC

A la fin de l’ex

Déposer les biopsies dans le liquide de Bouin s’elles sont prélevées.

Surveiller les réactions du patient : hémorragie, syncope, malaise, pâleur...

Noter le soin, réinstaller le patient et ranger le matériel

INCONVÉNIENTS ET RISQUES

Des éructations dues à l’insufflation gazeuse. Les prélèvements peuvent entrainer des hémorragies de faible
abondance.

En cas de fièvre, d’hémorragie ou de douleurs dans les j qui suivent l’ex, consulter le médecin.
SURVEILLANCE APRÈS L’EXAMEN

Si anesthésie générale

Poursuivre la surveillance des fonctions vitales jusqu’au réveil complet afin de dépister les différents risques liés
à l’anesthésie

Reprise d’une alimentation légère au bout de 6 à 8 h au minimum

En cas d’anesthésie locale

Observer un délai de 30 min au minimum avant la reprise de l’alimentation

Dépister les complications liées au geste notamment douleurs thoraciques ou cervicales dues à une éventuelle
perforation de l’œsophage ou des signes d’infection

LA RECTOSCOPIE

DEFINITION ; C’est une technique d’exploration qui permet de visualiser et d’examiner l’anus, le rectum le
colon sigmoïde par l’intermédiaire d’un rectoscope.

BUTS ET INDICATIONS

De préciser un diagnostic :

Hémorroïdes, Fissures, fistules anales, Rectites, Tumeurs bénignes ou malignes, Troubles du transit (diarrhée,
constipation), Dysenterie amibienne, Rectorragie

De suivre l’évolution d’une maladie : RCH, Polypose (Polypes)

De traiter certaines affections : Ablation de polypes rectaux, Sclérose d’hémorroïdes

CONTRE INDICATIONS

Abcès anal, Prolapsus anal, Lésion traumatique du rectum, Malformation du rectum, Prolapsus anal

Préparation du patient

Préparation psychologique : (région intime et fragile) +explication de l’ex, position (genou-pectorale)

Préparation physique : Un lavement évacuateur la veille et le matin, Une toilette intime,

Demander au patient de vider sa vessie, Patient à jeun, Installation en position genou –pectorale

Incidents et accidents

Lésion de la muqueuse voir même la perforation

Douleur causée par l’introduction et retrait de l’endoscope

Hémorragie suite à la perforation/l’ablation d’un polype

Surveillance ; La douleur, L’hémorragie, Les selles

LA COLOSCOPIE

DEFINITION

C’est une technique d’exploration qui permet de visualiser et d’examiner le côlon par l’intermédiaire d’un
coloscope.

BUTS

Diagnostic : recherche de tumeurs, de colite inflammatoire, diverticules,...


Thérapeutique : ablation de tumeurs

Contrôle et surveillance : surveillance postopératoire des polypectomies et des opérés coliques.

INDICATIONS

Tumeurs bénignes/malignes, RCH, Malade de Crohn,Rectorragie (en dehors de la période hémorragi)

CONTRE INDICATIONS ; Troubles d’hémostase

Préparation du malade

Expliquer au patient le principe de l’examen et la nécessité de préparer le côlon afin qu’il soit parfaitement
propre pour assurer la vacuité intestinale. La vidange colique est débutée quelques j avant l’ex. Elle associe :

◦ Un régime sans résidus 3j avant l’ex

◦ L’ingestion d’une solution laxative type Colo-peg ou X- prep la veille de l’ex.

◦ L’arrêt de la prise de charbon et de fer les 8 j qui précédent l’ex.

A-Régime sans résidus

Il consiste, pendant les 3 jours précédents, à limiter l’apport de fibres alimentaires (celles-ci n’étant pas
absorbées et augmentant les déchets fécaux). Ces fibres sont contenues dans les légumes secs ou verts, les
fruits frais ou secs, les céréales, les fromages fermentés, les viandes en sauce.

B-Préparation du côlon par purge (+++)

Débutée la veille de l’examen. Par ex : 4 L de purge (colopeg, fortrans...) à boire en 2 temps la veille au soir de
l’examen. Le patient boira les 2 premiers litres à partir de 16 h jusqu’à 18 h. Puis il prendra un repas sans
résidus avant de boire les 2 derniers litres à partir de22 h jusqu’à minuit

Noter les quantités effectivement bues et les heures de prise.

Si l’examen se déroule le lendemain matin, il doit être à jeun à partir de minuit

N.B : les lavements évacuateurs ne sont pas systématiques. Ils remplacent ou complètent la prép colique par
Colo-peg ou X-prep en cas d’intolérance ou lorsque la personne doit rester à jeun.

Faire un bilan d’hémostase : T.P, T.C.A, plaquettes, groupage sanguin et autres examens sur PM.

Si l’examen est prévu sous anesthésie générale :

◦ Une consultation d’anesthésie (48h avant l’examen) ◦ Faire un E.C.G

◦ Malade à jeun le matin de l’ex ◦ Prémédication selon PM 1h 30 avant l’ex

◦ Antibiothérapie, selon PM en cas de terrain à risque.

INCIDENTS ET ACCIDENTS

Douleurs intolérables et agitation.

Des incidents de type vagal avec nausées, vomissements, chute de la TA peuvent survenir.

Hémorragies : essentiellement après Polypectomie.

Perforation, surtout en cas de facteurs de risque.

◦ Diverticules◦ Colite inflammatoire ◦ Polypectomie, dilatation ◦ Manque d’expérience de l’opérateur.

SURVEILLANCE
Pendant l’examen :

Surveiller : Le pouls, La T.A, FR, La coloration des téguments, le comportement du malade.

Actionner la pince à biopsie à la demande du médecin.

Récupérer les prélèvements à l’aide d’une aiguille fine et les mettre dans les flacons contenant le liquide de
Bouin.

Après l’examen :

En cas d’anesthésie : réveil et surveillance en salle de réveil.

Un malade non accompagné ne peut pas sortir le jour de l’examen s’il a été anesthésié.

Envoyer les prélèvements au laboratoire avec la demande d’examen remplie par le médecin

Surveiller le pouls, la T.A et la température

Avertir en cas de douleurs abdominales, baisse tensionnelle, tachycardie et rectorragie.

Le malade reste au repos une à deux heures après l’examen.

REMARQUES

La position du malade varie en cours d’examen selon ;

La progression du coloscope.

L’insufflation d’azote ou l’aire se pratique à la demande de l’opérateur selon les besoins.

LA LAPAROSCOPIE

DEFINITION : Examen endoscopique permettant d’examiner le péritoine et les viscères abdominaux au moyen
d’un endoscope introduit à travers la paroi abdominale après création d’un pneumopéritoine artificiel.

INDICATIONS

L’ex du foie, des voies biliaires :

◦ Diagnostic des cirrhoses, des tumeurs. ◦ Diagnostic étiologique au cours des cholestases

L’examen du péritoine :

◦ Péritonite tuberculeuse, métastase.

L’ex du grêle et du côlon :

◦ Recherche des lésions tumorales

L’ex des organes du petit bassin, (organes génitaux chez la femme). Cet examen porte le nom de cœlioscopie.

CONTRE INDICATIONS

Adhérences péritonéales rendant impossible la création du pneumopéritoine.

Troubles de la coagulation, péritonite IC et IRESP sévères que risque d’aggraver le pneumopéritoine. Ascite.

PREPARATION DU MALADE

a) La veille de l’examen :

TP, TCA, numération des plaquettes NFS, HB, et autres examens à la demande du médecin
Déterminer le groupage sanguin et le rhésus. Effectuer un E.C.G., Demander une radio-pulmonaire Raser très
largement la paroi abdominale jusqu’au pubis. Evacuer l’ascite si elle existe.

Prendre les constantes : TA, pouls, T°, Donner un lavement évacuateur sur avis médical

Conseiller le malade de rester à jeun, Un somnifère est souvent utile.

b) Le matin de l’examen :

Malade à jeun, Nettoyer la paroi abdominale du patient en insistant sur l’ombilic.

Prendre les constantes. Effectuer la prémédication. Faire uriner le malade juste avant l’examen

Préparer le dossier complet du malade.

SURVEILLANCE

Le repos strict au lit est nécessaire pendant 08 heures

Une vessie de glace peut être posée sur l’abdomen

Le malade peut se plaindre des douleurs des deux épaules, ces douleurs sont secondaires à l’irritation
diaphragmatique par l’air du pneumopéritoine

Surveiller : le pouls, TA en vue de dépister une hémorragie interne possible, la température pour dépister une
infection péritonéale

REMARQUE

Le terme de cœlioscopie a longtemps été utilisé uniquement pour l’exploration des organes génitaux pelviens
de la femme en opposition à la laparoscopie désignant l’exploration abdominale digestive et particulièrement
hépatique. Actuellement toutes les explorations trans-pariétales abdominales sont dénommées cœlioscopie.

TUBAGE GASTRIQUE

Technique qui consiste à introduire une sonde dans l’estomac par voie nasale ou buccale dans le but d’étudier
le contenu.

INDICATIONS

But diagnostique : ❖Aspiration gastrique ❖Recherche du Mycobactérium tuberculosis ❖Lavage d’estomac


❖Pour l’étude bactériologique des crachats déglutis

But évocateur : ❖Lavage gastrique : intoxication ❖Préparation opératoire

But thérapeutique : ❖Réhydratation ❖Administration médicamenteuse

But alimentaire : ❖Gavage

CONTRE INDICATIONS

❖Varices œsophagiennes ❖Tumeur ou obstacle de l’œsophage ❖Sténose du cardia

❖Ulcère gastrique récent ❖TC (fracture du maxillaire inférieur) ❖Agitation du patient

Préparation du patient

➢Préparation psychologique en expliquant le déroulement et le but du soin

➢Patient à jeun si recherche de MTB

➢Patient en position 1⁄2 assise ou assise avec protection autour du cou


RISQUES ET COMPLICATIONS

➢Fausse route de la sonde dans la trachée ou enroulement dans la gorge ➢Déshydratation

➢ Risque d’escarre ou de lésion du nez ➢Douleurs de gorge, douleurs à la déglutition

➢Risque de lésion de la muqueuse gastrique ➢La sonde peut se boucher

SOINS ET SURVEILLIANCE

➢Soins de nez : minimum une fois par j ➢Soins de bouche : minimum 2à3 fois par j

➢Vérifier et surveiller :

❖La position de la sonde, chaque j ❖La perméabilité de la sonde

❖L’apparition d’effets secondaires (douleurs, nausées, hémorragie, transit, température, lésions...) ❖Le liquide
aspiré : couleur, aspect, quantité

➢ Changer le sparadrap s’il est sale ou décollé.

ABLATION DE LA SONDE

➢Sur PM ➢Expliquer au patient ➢Prévoir mouchoirs, compresses, protection, sac poubelle

➢Retirer le sparadrap ; retirer la sonde ➢Soins de nez et de bouche ➢Evacuer les déchets

(Sac rouge) ➢Nettoyer \et ranger le matériel ➢Notification du soin

LAVAGE GASTRIQUE

C’est la mise en place d’une sonde de gros calibre adapté à un entonnoir pour évacuer le contenu de l’estomac.

INDICATIONS

❖Avant les interventions sur l’estomac ❖Intoxication (diminuer la quantité de toxique absorbé) ❖Sténose du
pylore de l’adulte en période préopératoire pour vider et désinfecter l’estomac

❖Avant une anesthésié générale en urgence, lorsque le malade est en période digestive afin d’éviter les
vomissements et les inondations trachéales ❖Hémorragie

❖Le lavage gastrique est souvent remplacé par une aspiration gastrique continue

CONTRE –INDICATIONS

❖Intoxication par produits caustiques ou dérivés du pétrole ❖UG connu ❖Varices œsophagiennes ❖ATCD de
chirurgie gastrique

CONDUITE À TENIR

AVANT LA TECHNIQUE ;

Préparation du patient : ❖Préparation psychologique. ❖ Installer en position 1⁄2 assise

Epreuve des 3 verres

Définition ; technique qui consiste à recueillir les urines chez un malade présentant une hématurie.

L'épreuve des 3 verres permet de détecter l'origine de l'hématurie (rein, uretère ou vessie et urètre)

Résultats

La présence du sang dans les urines dans :


❑1er verre : hématurie initiale provenant de l'urètre ou de la prostate ;

❑3ème verre : hématurie terminale venant de la vessie ;

❑les trois verres : démontre une hématurie totale venant des reins.

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